Quelques mois après les Radeon RX 6800 et 6900, AMD présente un nouveau modèle de carte graphique basée sur sa dernière architecture RDNA 2. La Radeon RX 6700XT vise le jeu en 1440p.

La marque Acer déboule sur le marché des composants PC, et pas avec n’importe quel premier produit, puisque c’est son ventilateur Predator FrostBlade qui ouvre la marche. Intégré aux tours Acer Predator Orion 9000 et 3000, le Predator FrostBlade est un ventilateur de 120 mm conçu en fibre de verre, aux courbes pensées pour optimiser la circulation de l’air et la pression statique au sein de la machine. Jusque-là réservé aux possesseurs d’un PC haut de gamme d’Acer, ce ventilateur est désormais disponible seul, à partir de 29,99 euros. Le Predator FrostBlade embarque un rembourrage en caoutchouc destiné à le rendre le plus silencieux possible : Acer estime que son niveau sonore ne dépasse pas les 30 dBA même lorsqu’il tourne à plein régime. Sa vitesse de rotation est de 600 RPM au minimum et de 1800 RPM au maximum, et sa durée de vie est estimée à 50 000 heures de fonctionnement. Enfin, composant gaming oblige, il embarque également 4 LEDs ARGB qui peuvent être contrôlées via le logiciel PredatorSense. « En proposant le ventilateur Predator FrostBlade hors de l’Orion pour la première fois, nous répondons aux joueurs qui plébiscitaient nos technologies de refroidissement et qui peuvent dorénavant optimiser le flux d’air de leur PC “Custom” avec nos technologies », déclare Karim Ouahioune, Directeur Marketing et Communication d’Acer France. De là à penser que cette incursion de la marque sur le marché des composants PC n’est qu’une première étape, il n’y a qu’un pas que nous franchissons bien volontiers.

Le 23 février dernier, Sony avait pris la parole pour annoncer une petite surprise : l'arrivée d'un casque de réalité virtuelle à destination de la PlayStation 5. Ce dernier, qui ne devrait pas sortir avant 2022, a pour objectif d'améliorer l'expérience proposée par le premier PSVR en augmentant par exemple la résolution, mais aussi le champ de vision, la mobilité, l'accessibilité et les fonctionnalités intégrées. Aujourd'hui d'ailleurs, un brevet a fait son apparition sur la toile, et ce dernier présenterait en avant-première le potentiel contrôleur du PSVR 2.

Actuellement se déroule la conférence Ignite 2021 de Microsoft, une conférence qui s'attarde notamment sur les futures technologies à commencer par la réalité augmentée, notre sujet du jour.

A l’heure où tous les claviers gaming se ressemblent et ne se différencient que par quelques détails esthétiques ou fonctionnels, Razer tente l’impossible avec une gestion analogique touche par touche. Un pari risqué, peut être en avance sur son temps, qui ouvre le champ des possibles à qui se donne le temps et l’énergie pour la configuration. Mais est-ce que cela fonctionne vraiment ? Spécifications Technologie de touche Mécaniques-optiques Razer Rétroéclairage Oui, RGB par touche Raccourcis multimédia Oui, dédiés et partagés Raccourcis macro Partagés Anti-ghosting - Prise en compte simultanée des touches Oui, N-KEY Connectique requise 2 port USB Port(s) USB Oui Fréquence d'interrogation max. 1000 Hz Port(s) audio Non Des touches analogiques sur clavier N’y allons pas par quatre chemins et regardons de près ce que Razer nous propose de si exceptionnel avec son Huntsman V2 Analog, à savoir la gestion analogique de chaque touche, et ce que cela implique. Déjà, le terme analogique est un peu trompeur, mais c’est aussi celui qui est utilisé pour les sticks ou les gâchettes de nos manettes, qui sont tout autant qualifiés d’analogiques sans l’être. Le bon terme devrait être “à valeur progressive”, mais c’est plus long à dire et nous utiliserons donc analogique comme tout le monde. (Les puristes, on est quand même de votre côté !) Donc en clair, chaque touche peut, moyennant réglage, envoyer une valeur progressive en fonction de la profondeur d’appuizzzzzzz. Ça veut dire que chaque touche du clavier est potentiellement comparable à une gâchette de manette, que l’on peut enfoncer plus ou moins vite, plus ou moins profondément. Et en jeu, ça se traduit potentiellement (et le mot est important) par trois modes de fonctionnement pour chaque touche. En premier, le mode normal, on/off, avec ici la possibilité de régler le point d’activation de 1,5 à 3,6 mm, en fonction des goûts et du type de frappe que vous attendez. Il est d’ailleurs possible de régler le point de relâche différemment, sur les mêmes valeurs, pour avoir par exemple une activation très haute et une relâche très basse. Deuxièmement, il est possible d’attribuer deux fonctions à une même touche, suivant la profondeur d’appui. Vous appuyez peu, première fonction, vous appuyez plus, vous déclenchez la seconde à la place de la première. Là encore, on peut calibrer à volonté l’activation et la relâche de chacune des deux fonctions, pour rendre les choses plus naturelles sous les doigts, ou plus adaptées aux fonctions choisies. On peut imaginer en FPS avoir la position “accroupi” sur la première partie de la course, “allongé” sur la seconde partie, et “debout” quand la touche est relevée. Pourquoi pas. Enfin, il est possible de donner à la touche une fonction progressive, avec des valeurs basses quand on appuie peu et des valeurs plus hautes quand on appuie plus. Idéal pour gérer un accélérateur, un frein ou une direction dans un jeu de course, intéressant aussi pour contrôler les déplacements d’un personnage, d’un avion ou d’un vaisseau. Bref, l’intérêt est réel dès que l’on parle d’action progressive, de vitesse, de puissance ou de direction. Et s’on imagine immédiatement intégrer ces multiples fonctions au sein de son jeu préféré. Une technologie difficile à utiliser Sauf qu’il y a aujourd’hui des limitations à ce système. Pour les deux premiers modes, touche simple ou double, rien de bien méchant. On peut insérer une macro, une fonction clavier, souris ou autre dans chaque slot et ça fonctionne vraiment bien. On passe un peu de temps à bien régler son clavier (et oui, plus de fonctions, plus de réglages) mais le résultat est là. Pour les valeurs progressives, c’est plus ambigu. Pour fonctionner, Razer s’appui sur de l’existant dans Windows 10, à savoir la gestion “analogique” des sticks et gachettes d’une manette Xbox One. En clair, toutes les touches progressives seront vues par Windows comme celles d’une manette, idem pour Steam, Epic, et n’importe quel jeu. Du coup, deux cas de figure se présentent à vous : le jeu gère le combo souris+clavier+manette et vous pouvez faire ce que vous voulez, ou le jeu ne permet que clavier+souris ou manette, et vous devez attribuer tous vos contrôles à cette manette virtuelle. Même ceux de votre main droite (pour les droitiers, l'inverse pour les gauchers). Et donc dire adieu à votre souris. Impossible dans la plupart des cas. De nos expériences, ça fonctionne techniquement avec les jeux de course, de vol, ou avec quelques rares FPS ou TPS, et c’est tout. Et quand on dit rare, c’est vraiment rare. Les Call Of Duty, les Battlefield, les Counter Strike, c’est mort pour le moment. Quant aux jeux de voiture ou de vol, ils demandent à la fois un niveau de réglage important pour chaque fonction analogique, mais aussi un temps d’adaptation non négligeable pour le joueur, qui peinera à trouver les sensations d’une manette, la faute à une course de progression qui fait à peine 2 millimètres, contre dix fois plus environ pour une gâchette. Et en étant précurseur, Razer prend le risque d’être tout seul sur ce créneau, et donc de ne pas être suivi par les développeurs pour faciliter l’intégration de cette technologie, tant pour des mises à jour de jeux existants, que pour de futurs développements. Donc pour le moment, tout ça relève un peu du gadget, malgré ce que l’on imagine possible. Mais ce n’est vraiment pas la faute de Razer, qui pour le coup a super bien adapté ses outils habituels, en l'occurrence le logiciel Synapse, pour rendre la tâche la plus accessible possible et ce malgré un niveau d’implication élevé demandé au joueur. L’interface logicielle est limpide. Tout y est bien expliqué, bien traduit en français, et ce malgré la profusion de possibilités. Simplement, au delà de la gestion des profils, de l’éclairage et de l’attribution des touches, qui restent à la fois complets et accessibles, il manque tout de même un côté Plug’nPlay, avec par exemple des presets tout prêts pour profiter des jeux du moment avec toutes ces nouvelles fonctions. Un niveau de prestation élevé Pour le reste, Razer nous sert ici un très beau clavier, avec un châssis en plastique dur et un plateau en aluminium noir sur lequel viennent se reposer les mécaniques-optiques linéaires et leurs chapeaux noir mat. Stable et rigide, le clavier ne bouge pas d’un iota sous la frappe des doigts. Il est aussi très sobre, très élégant, avec une finition de haut vol, sans vis apparente, et une partie multimédia en haut à droite à la fois discrète et pratique, avec 3 boutons et une molette cliquable. Tant que le clavier n’est pas trahi par l’éclairage RGB, rien ne laisse supposer de son caractère gamer. Surtout qu’il s’accompagne d’un repose poignets tout aussi classieux, avec une épaisseur raisonnable et un coussinet à même d'accueillir vos mains en position de repos. L’accessoire ne se fixe pas au clavier mais vient se placer facilement et se coller par une légère aimantation, alors que six contacteurs se mettent face à face pour que le repose poignets puisse alimenter ses propres LEDs. La hauteur de frappe est assez élevée, même avec le repose poignets, de l’ordre de 15 millimètres au-dessus du plateau, 35 millimètres au total à l’avant et 45 millimètres à l’arrière. Pourtant, le confort est bien présent, notamment grâce à une courbe du positionnement des touches qui les rend accessibles sans effort de la première à la dernière rangée. A l‘arrière du clavier, deux pieds permettent d’augmenter l’angle du plateau, avec deux niveaux de hauteur différents. Au final, la position est assez équivalente à celle du Corsair K100 RGB que nous venons de tester, et donc dans la moyenne très haute niveau confort. Vous devriez beaucoup apprécier, tant pour la saisie de texte que pour le jeu, et surtout en profitant du réglage de hauteur du point d’activation de chaque touche. Attention néanmoins au bruit généré par certaines touches, notamment l’espace, assez sonores bien que dans la norme, et heureusement dénuées de résonance. L’éclairage touche par touche reste sobre Une fois allumé, le clavier ne fait pas dans la démesure colorée et garde une certaine sobriété. Les couleurs ne débordent pas beaucoup sur le plateau et illuminent même la typographie sans forte luminosité. Comme pour les Logitech G815 et G915, ou le Corsair K100, c’est tout à fait suffisant pour bien voir les couleurs dans une pièce à éclairage artificiel mais sans avoir un effet sapin de Noël trop prononcé. On regrettera simplement que les LEDs soit placées au-dessus des mécaniques, n'illuminant que la partie supérieure de la typo et laissant donc les fonctions secondaires dans la pénombre. Pour le coup, le K100 propose une solution plus efficace avec ses fonctions secondaires alignées avec les primaires. A l’éclairage et à la couleur touche par touche s’ajoute un filet lumineux et segmenté parcourant la tranche du clavier, alors que le repose poignets prend la relève de l’effet sur sa propre tranche, pour un rendu assez réussi si vous prenez le temps de le régler correctement avec le logiciel Chroma Studio, lequel prend le relais de Synapse. Éclairage touche par touche, effets de fond avec possibilités d’ajouter d’autres effets en surcouche, réglages complets ou rapides, le logiciel s’adapte assez facilement au niveau d’implication de l’utilisateur, que ce soit pour faire du joli comme de l’utile. Un câble en USB-C avec adaptateur fourni vers USB-1 et un autre en USB-A 3.0, le Huntsman V2 Analog a besoin des deux connexions pour assurer d’une part l’utilisation du clavier et son éclairage, et d’autre part la liaison pass-through de son port USB femelle sur lequel vous pourrez venir connecter une souris, un casque, ou un disque dur. Les câbles sont suffisamment épais pour ne pas risquer grand-chose au fil de leur vie, mais restent irrémédiablement séparés l’un de l’autre, de leur connexion moulée au châssis du clavier jusqu’à leur connectique finale, sans qu’on ne sache pourquoi Razer a fait ce choix. Des prestations très solides, mais un prix trop élevé Le Razer Huntsman V2 Analog est donc un clavier très bien construit, qui ne souffre d’aucun défaut particulier dans le cadre d’une utilisation classique, tant pour la bureautique que pour le gaming. Il ajoute surtout une fonction très intéressante, à savoir le paramétrage de la hauteur d’activation des mécaniques-optiques, en globalité ou touche par touche, offrant du coup un réglage précis entre réactivité et profondeur d’appui, le premier étant plus adapté aux jeux, le second à l’écriture. Quant à la possibilité de gérer les touches en analogique, elle reste balbutiante, limitée par des logiciels et des jeux qui ne prennent pas en compte cette fonction, et assez peu accessible face au temps d’investissement nécessaire dans les cas où c’est faisable. En clair, la promesse est belle, mais elle ne dépend pas seulement de Razer qui se place en précurseur mais prend le risque d’être seul sur ce créneau. Et seul le futur nous dira si cette direction est celle de l’avenir ou si elle est déjà à enterrer. En attendant, le Razer Huntsman V2 Analog souffre déjà du coût de cette technologie avec son prix de lancement autour de 270€. Un tarif un peu hors marché malgré son niveau de prestation élevé. Une finition très qualitative Des mécaniques rapides et agréables Le réglage de la hauteur d’action, super intéressant et rapide à mettre en place Solidité et stabilité au rendez-vous La courbe des touches, reposante sur le long terme Fonctions multimédia complètes Un repose poignets magnétique très confort Le logiciel complet, tant pour le mapping, que pour l’analogique ou l’éclairage Le prix, vraiment très élevé Touches analogiques finalement difficiles à utiliser Sérigraphies secondaires non éclairées Le Razer Huntsman v2 Analog ouvre le champ des possibles en termes de contrôles avec une technologie analogique par touche qui fait énormément de promesses, à condition que les développeurs de jeu l’utilisent correctement. A l’heure de ce test, ce n’est pas le cas et ces possibilités sont donc encore difficiles d’accès pour les joueurs, en plus d’être facturées au prix fort. Cela n’enlève rien aux qualités remarquables de ce clavier, ni à son confort de frappe optimisé par un réglage inédit de la hauteur de déclenchement des touches. 16

La plateforme de cloud gaming de Microsoft pourrait prochainement proposer du 1080p en plus du 720p déjà d’actualité : en effet, certains utilisateurs ont déjà accès au Full HD en streaming, sous la forme d’un test. xCloud, c’est la solution de jeux vidéo en streaming de Microsoft, associée au Xbox Game Pass Ultimate. Elle permet de profiter du catalogue proposé par l’éditeur depuis un smartphone Android, via la technologie du cloud gaming. Dans l’immédiat, cette expérience est proposée en 720p, ce qui s’avère globalement satisfaisant pour jouer sur mobile. Mais Microsoft a annoncé en décembre dernier que le Xbox Game Pass Ultimate, et donc xCloud, seraient disponibles durant le printemps 2021 sur les appareils sous iOS (iPhone et iPad) ainsi que sur PC. Dans cette optique, le 720p risque de ne plus suffire. Mais la donne pourrait rapidement changer : en effet, le site Windows Central rapporte que Microsoft propose à certains utilisateurs de xCloud la possibilité de jouer en 1080p à certains jeux. Le site a notamment pu mettre la main sur une version streamée du jeu Hellblade tournant, effectivement, en Full HD. Par ailleurs, une version test de l’application xCloud pour PC prend en charge le streaming réalisé depuis une console Xbox, là aussi en 1080p, une expérience là aussi plaisante à en croire nos confrères. Microsoft semble donc suivre sa feuille de route pour 2021 : elle inclut également le fait de passer les serveurs xCloud de la Xbox One S à la Xbox Series X pour en améliorer les performances. Il ne faut cependant pas perdre de vue qu’il s’agit, pour l’heure, de tests proposés à un petit nombre d’utilisateurs : la firme de Redmond n’a pas encore donné de dates concernant un déploiement à plus grande échelle du 1080p sur xCloud ni de la disponibilité du service sur d’autres plateformes. Le journaliste Paul Thurrott, bien connu pour être la source de bien des informations en lien avec Microsoft, croit savoir que l’entreprise pourrait tenir un événement en ligne dédié au gaming le 23 mars prochain. Affaire à suivre !

Le nouveau SSD externe de Western Digital se veut bien plus qu’un simple système de stockage rapide. Bardé de connectiques, ce D50 est une véritable extension pour votre ordinateur portable.

Avec l'arrivée d'Hitman 3 et de Control en cloud-gaming sur Nintendo Switch, on aurait pu s'attendre à ce que le service de jeu vidéo à la demande devienne rapidement une norme sur la console hybride du géant japonais, mais cela ne semble pas être le cas.

Alors que l’on se demandait où se cachait la VR de Sony depuis l’arrivée de la PS5, la firme japonaise a récemment mis fin au suspense : oui, le PSVR fera bien l’objet d’un nouveau modèle, avec des améliorations “gigantesques” en matière de performance et d’interactivité. Un joli programme qui est encore loin d’être prêt, et qui ne sortira dans tous les cas pas en 2021. Mais en attendant, rien ne nous empêche de faire une petite virée dans la réalité virtuelle selon PlayStation.

Au milieu des récentes GeForce commercialisées par Nvidia va débarquer une nouvelle Radeon d’AMD. Si l'ont ne sait pas encore quand elle sera disponible, elle sera présentée dès mercredi prochain, le 3 mars. Une rumeur courait depuis peu concernant l’arrivée d’une nouvelle carte au sein du catalogue d’AMD, et le constructeur a finalement officialisé la chose en milieu de semaine. La nouvelle Radeon de la famille RX 6000 sera dévoilée dans le détail le mercredi 3 mars, à l’occasion d’une présentation en ligne que tiendra AMD à 17 heures ce jour-là. Pour le moment, seul un visuel permet d’apercevoir deux larges ventilateurs et quatre sorties vidéo, sans plus de détail. Il semble néanmoins qu'il n'y ait pas de port USB Type-C au programme. Le site TechPowerUp estime qu’il pourrait s’agir de la RX 6700 XT, qui embarquerait notamment 40 cœurs dédiés au ray tracing, 2560 shading units ou encore 12 Go de mémoire GDDR6, avec un bus de 192 bits. Son positionnement, aussi bien en matière de performances que de prix, pourrait la situer au même niveau que la RTX 3060 Ti de Nvidia, disponible (en théorie) depuis le 25 février dernier. De quoi pimenter un peu plus encore le marché, en pleine pénurie à l'heure actuelle. Pour plus de détails et surtout savoir si ces spéculations se confirmeront ou pas, rendez-vous le 3 mars à 17h.

C’est le 26 février 2011 que le public japonais a vu débarquer la 3DS dans ses rayons. C’est à elle que revient la lourde tâche de succéder à la Nintendo DS qui trône sur le podium des consoles les plus vendues de tous les temps. Juste derrière la PlayStation 2, la Nintendo DS s’est écoulée à 154 millions d’exemplaires. Si la 3DS n’a pas reproduit le même exploit, elle n’en reste pas moins une console aux multiples réussites et une portable mémorable de la firme japonaise.

Après être revenu sur les problèmes d'approvisionnement de la machine PlayStation 5 au micro de nos confrères de GQ, Jim Ryan, le président de Sony Interactive Entertainment, a décidé de prendre la parole dans le Financial Times pour répondre une fois de plus à la question que l'on retrouve sur toutes les lèvres : "Quand y aura-t-il enfin de nouveaux stocks pour la PlayStation 5 ?

Le constructeur Razer vient d’annoncer l’arrivée sur le marché d’une nouvelle webcam, la Kiyo Pro, qui s’adresse aux adeptes du streaming, ainsi qu'aux habitués des visioconférences. Mais la note s’annonce salée. Est-vous prêt à débourser 209 euros pour acquérir une webcam ? C’est la première question à se poser face à la Razer Kiyo Pro, la nouvelle référence disponible dès maintenant au sein du catalogue du constructeur californien. Cette caméra USB embarque un capteur ultrasensible CMOS, mais aussi, et surtout la technologie STARVIS. Cette dernière se compose de pixels rétroéclairés, que l’on retrouve notamment dans les capteurs des caméras de surveillance. L’objectif est de créer des imagines de haute qualité à partir de la plage de lumière visible, et proche de l’infrarouge. Il faut comprendre que peu importe l’éclairage de la pièce, la webcam délivrera toujours une image claire et lumineuse. Achetez la caméra Razer Kiyo Pro sur le site de Razer En somme, si vous aimez jouer dans l’obscurité ou bien tamiser la lumière lors de vos réunions en visio avec vos collègues, la Razer Kiyo Pro devrait pouvoir s’adapter à vos habitudes. Elle diffuse une imagine en Full HD 1080p à 60 images par seconde et dispose également d’un mode HDR à 30 images par seconde, destiné à corriger les zones sous ou surexposées, à éliminer les ombres parasites et à optimiser les couleurs. Trois champs de vision sont disponibles, à savoir 103°, 90° ou 80°, une proposition utile pour recentrer l’image sur une seule personne, par exemple. Enfin, côté son, c’est un microphone stéréo omnidirectionnel 16bits qui est embarqué. La connexion s’effectue en USB 3.0 à l’aide d’un câble inclus, un point essentiel pour profiter d’une qualité vidéo optimale. Razer fournit un cache de protection pour protéger l’objectif et assurer la confidentialité du propriétaire de la Kiyo Pro lorsqu’il ne l’utilise pas. Compatible avec Open Broadcaster Software et Xsplit, cette webcam haut de gamme est d’ores et déjà disponible à la vente sur le site de Razer et arrivera plus tard dans le trimestre chez d’autres revendeurs.

Malgré une compatibilité du PSVR avec la PS5, de nombreux observateurs s'attendaient à ce que Sony prenne la parole pour annoncer un nouveau casque, plus performant, à destination de la PlayStation 5.

Roccat met à jour son milieu de gamme en repartant presque de zéro. En effet, si la série Burst est visiblement une héritière des Kain Aimo, elle ne lui emprunte pas son ergonomie, ni sa construction. Nous sommes donc bien face à un nouveau design, dont la Burst Pro est à l’heure actuelle la figure de proue en version filaire, et que nous comptons bien passer aujourd’hui au banc de test. Spécifications Sensibilité max. supportée 16 000 DPI (bas sur le PMW3389) Capteur Optique Nombre de commandes (hors boutons droit et gauche, et rotation molette) 4 Rétroéclairage Oui, RGB Prise en main Droitier Fréquence d'interrogation max. 1000 Hz Poids 77 g sans câble (68 grammes annoncés) Connexion Filaire USB 2.0 Si les souris que nous testons aujourd’hui semblent toujours proposer plus de DPI, il y a une double bataille qui semble s'ajouter désormais aux caractéristiques que les fabricants aiment afficher : d’un côté la perte de poids en rognant au maximum sur la matière de la structure, et de l’autre l’arrivée sur le marché d’un nouveau type de téflon (PTFE) pour assurer une meilleure glisse des patins. Et dans cette bataille, la Burst Pro semble vouloir assurer sur tous les fronts. Du côté du poids, elle s’annonce comme étant passée sous la barre des 70 grammes grâce à une coque en nid d’abeille, mais toujours entourée d’une surface pleine pour que la souris garde son esthétique habituelle. L’effet est ici réussi puisque la surface est effectivement pleine, contrairement à la Steelseries Aerox 3, ne révélant sa structure qu’avec l’ajout de l’éclairage. Une souris agile et confortable Néanmoins, nous serons un tantinet moins optimistes sur le poids mesuré par le constructeur, avec 68 grammes annoncés, puisque nos 3 balances nous ont présenté un résultat plutôt autour des 77 grammes, sans câble. Une différence qui reste anecdotique au regard de la qualité de glisse de cette Burst Pro, qui se présente donc avec du PTFE de dernière génération, tout à fait comparable à ce qui équipe les récentes (et haut-de-gamme) Logitech Pro X Superlight et Razer Deathadder V2 Pro, pour un résultat remarquable sur tapis fin comme avec un peu d’épaisseur. Notez d’ailleurs que Roccat fournit un second jeu de patins, pour le remplacement après un certain temps. Une bonne initiative, pour une opération facile et rapide (comptez 5 minutes). Attention tout de même à prendre votre temps au moment du placement pour bien le réaliser, celui-ci étant déterminant pour la qualité de glisse. Nous pouvons d’ailleurs citer à nouveau la Pro X Superlight pour la comparaison des formes, la série de Logitech semblant avoir servi d’inspiration aux modèles Burst pour ce qui est de la forme du dos, offrant ainsi une prise en main comparable, avec cependant une première différence notable au niveau de la forme des clics principaux, (très) légèrement moins bombés. Autre différence d’importance, alors que Logitech a fait le choix de proposer une surface lisse à laquelle on peut rajouter des stickers pour augmenter le grip, Roccat a placé une texture très légère de part et d’autre de sa souris, avec un pouvoir d’accroche que l’on ressent à peine mais qui suffit pour que le pouce et le petit doigt se maintiennent en place sans difficulté. En clair, la Burst Pro est une souris confortable, qui offre surtout un bon maintien et une belle agilité quand il s’agit d’accélérer le rythme. Un capteur de haute volée Côté capteur, la bestiole assure avec un capteur optique Pixart PMW3389, customisé pour la marque, et atteignant les 16 000 DPI pour une accélération de 50G. En clair, vous ne le mettrez pas en défaut à ce niveau de précision sans balancer la souris à plus d’un mètre par seconde, et au-delà des 3 mètres par seconde en cas d’utilisation autour des 6000 DPI. De notre côté, nous n’avons rencontré aucun défaut de précision ou de décrochage, après une centaine d’heures d’utilisation dans toutes les situations habituelles, du traitement de l’image au FPS compétitif. Des fonctions bien placées et efficaces Pour les clics principaux de cette Burst Pro, Roccat a fait le choix de ses switchs opto-mécaniques Titan. Nous apprécions le toucher offert par les larges capots, qui réagissent sans difficulté quel que soit le point d’appui, avec un retour en position particulièrement rapide que permet un ressort à peine plus répondant qu’à l’accoutumée. Le revers de ce choix de ressort, c’est le point de déclenchement de ces clics, à peine plus élevé que la moyenne. Il faut appuyer un peu plus fort que sur les modèles sus-cités. C’est très minime et la plupart d’entre vous ne réaliseront pas cette différence avant de l’avoir comparée, et ce n’est en rien une excuse pour ne pas avoir touché votre adversaire en premier. Mais c’est un fait que nous constatons, aussi léger soit-il. Au niveau des boutons de pouce, Roccat a fait le choix de larges chapeaux, bien en relief, avec là encore un point de déclenchement un poil élevé qui évite la plupart des clics involontaires. Leur position est d’ailleurs parfaite pour une utilisation en griffe comme à plat. L’autre bouton secondaire, celui qui de base est attribué au changement de précision du capteur, se place comme souvent derrière la roulette. Carré, bien visible, mais suffisamment plat pour ne pas gêner les autres commandes, il ne soufre que de l’absence d’éclairage pour indiquer par exemple la valeur de DPI en cours. Du côté de la molette, nous avons droit à un modèle large, doublé de caoutchouc, avec une rotation légèrement crantée. Là encore, en comparaison de la Pro X, le cran est un peu plus élevé, avec en plus une roue plus basse, un peu plus discrète, ce qui n’est pas moins agréable à utiliser. Le clic en revanche est un peu plus léger que sur la Kain 200 Aimo que nous avons eue en test, et il s’active plus facilement quel que soit le point d’appui sur la roulette. Un logiciel très complet, à peine un peu austère La Roccat Burst Pro est accompagnée du logiciel Roccat Swarm, un modèle en termes de fonctionnalités, malgré une interface un peu vieillissante. Tout est paramétrable pour votre mulot. Les seuils de précision, la vitesse verticale, le changement de vitesse logicielle de Windows, le point de décrochage quand on soulève la souris, l’ajustement de l’angle, et le remapping complet, avec ou sans touche alternative. Il y a là largement de quoi perdre les néophytes qui trouveront peu d’intérêt à tous ces paramètres, mais les amoureux du réglage précis apprécieront, bien évidemment. Et puis évidemment, le réglage de l’éclairage est bien de la partie, avec au choix une couleur fixe ou un enchainement de couleurs, par profil, mais pas par réglage des DPI. Pour le coup, cette partie est facile d’accès et le résultat est … particulièrement visible, illuminant la roulette, les patins (oui oui) et tout le dos de la souris, faisant apparaître les nids d’abeille. Ca donne beaucoup de cachet à l’objet (si vous choisissez bien les couleurs) même si évidemment la paume de votre main viendra cacher la plupart des surfaces illuminées lors de l’utilisation. Un modèle équilibré, même au niveau du tarif Du haut de ses 59€, la Burst Pro reste une souris filaire. Elle a tout de même le bon goût de proposer un câble très léger, très souple, qu’on oubliera facilement lors de l’utilisation. Il reste néanmoins tressé pour assurer une bonne protection dans le temps, avec 1m80 de longueur pour accéder sans difficulté à l’arrière de votre tour. Dans tous les cas, nous avons trouvé ce modèle particulièrement agréable à utiliser, en jeu comme en bureautique. Un capteur de haute volée, une glisse de grande qualité, un confort de toutes les situations, Roccat nous signe encore une fois une très belle référence, bien en place sur son marché, et ce malgré une concurrence rude sur ce segment. Elle devrait plaire aux amateurs de souris agiles, raisonnables en taille et en poids, avec ce petit cachet supplémentaire apporté par son éclairage particulièrement visible. Pour nous, c’est en tout cas un grand oui. Fabrication et finition de qualité La glisse vraiment efficace Un modèle rapide, agile, mais confortable Le capteur, irréprochable Le câble, très souple et très léger Les boutons de pouce sont bien en place et en relief Un bon rapport qualité prix Le logiciel est très complet Des patins de rechange fournis L’interface logicielle un peu austère pour les néophytes Superbe souris proposée aujourd’hui par Roccat à moins de 60€, la Burst Pro assure à tous les niveaux. Sa glisse est impeccable, son confort est excellent, son grip à la fois discret et efficace, et ses performances sont bien au-delà de ce qui est nécessaire en jeu. Si en plus vous craquez pour son éclairage atypique, alors tout y est. 19

Lundi, nous apprenions par l'intermédiaire de GamesIndustry que Sony était visé par un recours collectif aux Etats-Unis à propos du DualSense Drift. Comme pour les Joy-Con, la manette de la PS5 semble victime d'un problème de sticks, occasionnant des mouvements non désirés de la caméra, des personnages, ou du sélecteur dans les menus.

Dévoilé le mois dernier à l’occasion du CES, les PC portables dotés de cartes graphiques GeForce RTX 30 sont de plus en plus nombreux à arriver sur le marché. Il y en a pour tous les gouts, et surtout tous les prix. Cette semaine, on monte en gamme et nous vous parlons d’un PC portable de luxe, issu d’une marque bien connue. Voici donc le Razer Blade Pro 17 édition 2021, paré de sa GeForce RTX 3080 et de son écran 4K à 120 Hz. Prêt à vider votre compte épargne ?

L’annonce récente de la limitation des capacités de minage des cartes graphiques Nvidia GeForce RTX 3060 a amené les utilisateurs de modèles déjà sortis à s’interroger sur la mise en place d’un bridage de manière rétroactive. Le constructeur n’a pas tardé à y répondre. Nous apprenions hier que Nvidia avait conçu ses cartes graphiques GeForce RTX 3060, dont la sortie est prévue pour le 25 février, de telle sorte qu’elles ne soient pas avantageuses pour le minage de cryptomonnaie, et en particulier de l’Ethereum. Forcément, les mineurs ayant, pour certains, investi des sommes folles dans l’acquisition de RTX 30 en vue d’en équiper leurs fermes de minage, se sont interrogés sur la capacité du constructeur à brider les performances des cartes graphiques déjà sorties, via une mise à jour logicielle. Interrogé par le site The Verge, un porte-parole de Nvidia a affirmé que l’entreprise ne comptait pas « nerfer » les GPU déjà vendus. Une réponse simple et claire, qui a le mérite de mettre les choses au point. Par ailleurs, le constructeur en a profité pour rassurer les joueurs toujours à la recherche d’une GeForce RTX 30 : les GPU CMP (Cryptocurrency Mining Processor) spécifiquement dédiés au minage de cryptomonnaies annoncés jeudi n’auront pas d’impact sur la production des GeForce RTX 30. « Les puces utilisées pour les CMP ne répondent pas aux spécifications des GeForce. Il n’y aura donc pas d’impact ni sur la production des RTX 30 ni sur leur disponibilité », explique Nvidia. Pour autant, la firme ne donne aucune information sur l’origine des puces qui entrent dans la conception des GPU CMP. Si ces informations se veulent rassurantes pour tout le monde, cela ne résout cependant pas la pénurie mondiale de cartes graphiques : la chasse continue si vous désirez vous équiper à un prix raisonnable de l’un des derniers modèles commercialisés par Nvidia. A lire également : * Test de la carte graphique GeForce RTX 3060 Ti : l'entrée de gamme qui en a sous le capot Achetez une GeForce RTX 3060 Ti au meilleur prix

Alors que la gamme de cartes graphiques Nvidia GeForce RTX 3060 arrive sur le marché la semaine prochaine, le constructeur vient d’annoncer qu’elles seraient bridées pour en limiter l’usage en minage de cryptomonnaies. Dans le même temps, Nvidia annonce l’arrivée d’une gamme de cartes graphiques focalisées sur le minage. Les GeForce RTX 3060 seront disponibles à la vente le 25 février prochain, et cette sortie s’annonce d’ores et déjà sulfureuse avec des stocks limités et des prix, pourtant fixés par Nvidia, qui ne semblent pas respectés par tous les revendeurs dans le cadre des précommandes. Les derniers modèles de cartes graphiques GeForce RTX 30 souffrent de pénuries massives, notamment parce que les mineurs de cryptomonnaies parviennent à faire main basse sur les rares stocks, au grand dam des joueurs. Nvidia a donc décidé de contre-attaquer, en annonçant aujourd’hui qu’il compte « limiter le taux de hachage des GPU GeForce RTX 3060, afin de les rendre moins efficaces à utiliser dans le cadre du minage ». L’explication donnée est simple : le constructeur considère qu’une carte graphique est avant toute conçue pour jouer, même s’il admet que les « GPU Nvidia sont programmables ». Mais aux grands maux, les grands remèdes : « Avec le lancement des GeForces RTX 3060 le 25 février, nous prenons les mesures nécessaires pour garantir que les cartes graphiques arrivent bien entre les mains des joueurs ». Des GPU dédiés au minage En pratique, les pilotes des RTX 3060 ont été conçus pour détecter les attributs spécifiques de l’Ethereum, l’une des cryptomonnaies les plus minées à l’heure actuelle. Le hachage, qui correspond à l’efficacité d’extraction de la cryptomonnaie, est alors réduit d’environ 50%. De quoi nuire de manière évidente à la rentabilité de la pratique. En contrepartie, Nvidia a annoncé l’arrivée de GPU nommées Nvidia CMP, pour « Cryptocurrency Mining Processor ». Ces modèles, « qui ne gèrent pas les graphismes », sont désignés comme étant destinés au « minage professionnel ». Les CMP n’ont pas de sortie d’affichage, ce qui permet d’optimiser le flux d’air pour densifier le minage. Par ailleurs, Nvidia explique que « les CMP ont également une tension et une fréquence de pointe inférieures, ce qui améliore l’efficacité énergétique de l’exploitation minière ». En somme, le constructeur cherche à détourner l’attention des mineurs de cryptomonnaies vers des produits conçus pour eux dans l’optique d’alléger la pression sur ses cartes graphiques « pour joueurs ». On se demande désormais si Nvidia pourrait aller jusqu’à brider a posteriori les autres cartes graphiques RTX 30, qui sont rares sur le marché et font l’objet de folles spéculations ces derniers mois. A lire également : * Test de la carte graphique GeForce RTX 3060 Ti : l'entrée de gamme qui en a sous le capot Achetez une GeForce RTX 3060 Ti au meilleur prix

Afin de faire patienter les joueurs jusqu'à l'événement dédié à l'Intelligence Artificielle qui se déroulera du 23 au 24 février prochains, Microsoft dévoile aujourd'hui une mise à jour de ses directives d'accessibilité Xbox pour permettre de développer l'accessibilité dans le jeu vidéo.

Le 10 novembre 2020, la Xbox Series X est arrivée sur le marché, pour ceux qui ont pu en commander une. Cependant, elle n'était pas toute seule, car, à ses côtés on trouvait également la Xbox Series S, moins coûteuse, mais également moins performante que sa soeur.

Microsoft lève aujourd’hui le voile sur un nouveau casque sans fil, optimisé pour une utilisation sur les différentes consoles Xbox du constructeur. Son arrivée dans le commerce est prévue dans un mois. Sobrement nommé Casque sans fil Xbox, ou Xbox Wireless headset, ce nouvel accessoire tout juste officialisé par Microsoft est conçu pour une utilisation sans aucun fil sur une console du constructeur. Mieux encore, il embarque un jumelage direct pour une utilisation très rapide, sans avoir besoin d’un dongle. Compatible avec les Xbox Series X et S, mais aussi avec les Xbox One et les PC sous Windows 10, le casque peut également servir avec les appareils mobiles qui prennent en charge le Bluetooth. Précommander le casque sans fil Xbox à 99,99€ chez Fnac.com Si l’idée est de pouvoir l’utiliser dès son allumage, ce Casque sans fil Xbox peut être paramétré finement à l’aide de l’application Accessoires Xbox. Il prend en charge les technologies de son spatial Windows Sonic, Dolby Atmos et DTS Headphone:X. Une isolation vocale est présente du côté du microphone embarqué, ce qui réduit les bruits de fond. Une coupure automatique du micro est présente, et il est possible de le désactiver manuellement au besoin. Côté design, on retrouve assurément l’esthétique des dernières consoles de Microsoft. Les coussinets sont présentés comme étant « ultra-confortables, au design léger et à l’ajustement personnalisable », mais dans l’immédiat, il n’y a pas d’autre choix que de faire confiance à Microsoft sur ce point. Des molettes sont présentes sur les écouteurs, pour ajuster le volume des haut-parleurs et celui du microphone. Côté autonomie, c’est la promesse d’un fonctionnement jusqu’à 15 heures qui est mise en avant. À noter que le casque intègre une batterie rechargeable : pas besoin de se soucier des piles. Il se recharge à l’aide d’un câble USB-C, cependant, n’espérez pas l’utiliser en le chargeant, car le câble en question ne mesure que 35 cm. 30 minutes de charge permettent de récupérer environ 4 heures d’autonomie. Enfin, il pèse 312 grammes, un poids raisonnable pour ce type d'accessoire. L’arrivée sur le marché du Casque sans fil Xbox est prévue pour le 16 mars. Comptez 99,99 euros pour en faire l’acquisition.

Le problème du "Dualsense Drift" prend de l'ampleur. Mercredi dernier, le cabinet d'avocat américain CSK & D a mis en ligne un formulaire afin de recueillir les témoignages de joueurs ayant constaté un dysfonctionnement des joysticks de la Dualsense, la manette de la PS5. Les retours ont visiblement été suffisamment nombreux pour motiver le lancement d'un recours collectif (class action).

Samsung est de retour, avec une nouvelle fournée de smartphones Galaxy S. La cuvée “S21” se compose de trois modèles et nous testons ici le moins onéreux. Prise en main, puissance, photo, autonomie… Que vaut vraiment le Galaxy S21 ?

Avec l’arrivée du K100, Corsair lance le renouvellement de la série K95 de ses claviers haut-de-gamme. Le modèle K100 RGB que nous testons aujourd’hui inaugure un nouveau châssis, de nouvelles fonctions, et surtout de nouvelles mécaniques optiques. Sans surprise, le résultat est excellent … Pour qui a les moyens de se l’offrir. Spécifications Technologie de touche Mécaniques-optiques CORSAIR OPX ou Cherry MX Speed Rétroéclairage Oui, RGB par touche Raccourcis multimédia Oui, dédiés et partagés Raccourcis macro Oui, dédiés et partagés Anti-ghosting - Prise en compte simultanée des touches Oui, N-KEY Connectique requise 2 port USB Port(s) USB Oui Fréquence d'interrogation max. 4000 Hz Port(s) audio Non En effet, il va falloir faire chauffer la carte pour se payer ce K100 RGB, lancé à pas moins de 250€ sur le marché européen. C’est cher. C’est même 50€ plus cher que le K95 RGB Platinum que nous avions testé à l’été 2017. Corsair réserve donc son clavier à une clientèle qui a les moyens, et qui est donc particulièrement exigeante tant sur les fonctionnalités, la finition que sur la qualité des matériaux utilisés. Pour le coup, pas de grande surprise avec le plateau qui affiche un bel aluminium brossé, plutôt épais, et une rigidité à toutes épreuves. Légèrement tombant vers l’avant, ce plateau offre un décrochage à l’arrière pour accueillir à droite une molette de gestion du volume et un mute général, au centre une zone en plastique brillant cachant quelques affichages de fonctions et à droite une molette à plat et 3 touches supplémentaires. Globalement, le clavier est très beau et respire la qualité de fabrication. Un physique irréprochable S’ajoutant à 6 boutons additionnels sur la gauche du clavier, histoire d’avoir quelques macros et raccourcis de réserve, les deux molettes accompagnées de leurs boutons apportent leurs lots de contrôles multimédia, avec notamment à droite une gestion douce du volume telle qu’on la trouvait déjà sur le K95 Platinum et à gauche des fonctions un peu plus obscures tant que l’on n’est pas passé par le logiciel de gestion du mapping. Un petit tour à l’arrière du clavier nous permet de voir le port USB 3.0, lequel a son connecteur USB dédié puisque le clavier fonctionne grâce à deux fiches USB A. Un mot d’ailleurs sur ces connecteurs, qui d’une part profitent d’un cordon tressé particulièrement épais et protecteur, quand d’autre part ils bénéficient d’un modèle de fiche tout à fait remarquable par sa qualité, avec zone d’accroche en métal texturé pour faciliter la manipulation. Sous le clavier, le châssis en plastique dur présente 3 renfoncements traversants pour assurer le passage d’un cordon de souris ou de casque, et quatre grands patins en caoutchouc pour éviter tout glissement lors de la frappe. Patins qui s’ajoutent à ceux du repose-poignets amovible fourni de série et qui n’est pas sans rappeler celui de l’excellent Razer BlackWidow Chroma V2. En effet, celui-ci est légèrement rembourré sur un demi centimètre, offrant aux poignets un accueil doux, mais néanmoins dynamique. Une frappe très agréable La position de frappe avec ce repose-poignets est d’ailleurs particulièrement agréable puisque l’on se retrouve avec la paume de la main au niveau de la base des chapeaux de touche, avec seulement 1,2 centimètres de hauteur supplémentaire pour atteindre le haut de la touche. C’est plutôt reposant sur les longues sessions, largement plus que sans repose-poignets où la hauteur totale atteint les 3 centimètres à l’avant du clavier, et jusqu’à 4 centimètres avec utilisation des pieds arrière. Pieds qui, au passage, proposent deux hauteurs différentes, à 4 et 10 millimètres. Dans tous les cas, le plateau propose une organisation des touches en creux, laquelle facilite l’accès à l’ensemble des touches pour les mains les plus petites. Il y a là une vraie volonté de rendre le clavier plus ergonomique et plus agréable à l’utilisation, sans pour autant changer radicalement la position des touches. Un petit plus très appréciable. Le K100 RGB existe en deux versions de touches : les classiques Cherry MX ou les Opto-mécaniques Corsair OPX que nous avons eues entre les mains. Et en comparaison avec les MX Speed de notre K95, ce sont bien les OPX qui ont notre préférence grâce à une course réduite et un point de contact plus haut qui impliquent moins de force à la frappe. On y gagne en termes de mouvement comme en bruit généré, et ce malgré un plateau qui reste encore un petit peu résonnant. Le bruit de frappe, bien que présent, perd tout de même son côté strident et s’améliore donc avec cette nouvelle génération, pour se placer dans la moyenne. Corsair fournit avec son clavier un lot de 10 chapeaux de touches alternatifs, avec le choix de l’angle pour les touches Z, Q et D. Ces chapeaux, légèrement plus épais que les originaux, permettent de mettre en relief les touches principales dédiées au déplacements. Ces touches sont accompagnées d’un outil simple pour le retrait des chapeaux d’origine et leur changement s’opère en quelques secondes seulement, avec évidemment la possibilité de revenir en arrière si ces nouveaux modèles ne vous conviennent pas. Moins haut en couleurs que le modèle précédent Montées en surface, les OPX diffusent assez difficilement leur lumière sur le plateau sombre, ne laissant au final qu’une fine couche de couleur apparaître autour de chaque touche. Le résultat est donc plus sobre qu’avec le K95. Les amateurs de sapins de Noël n’y seront pas pour leur compte. Pourtant en jeu, la différenciation de couleurs est suffisante pour mettre en avant certaines touches ou certaines zones, et ce du moment que vous ne jouez pas en plein soleil. Quant à ceux qui jouent dans le noir, ils apprécieront que Corsair ait pensé à réviser ses touches pour que l’éclairage intègre les fonctions alternatives. En effet, qu’il s’agisse des touches de chiffres du haut du clavier, de celle de ponctuation en bas à droite, ou des symboles spéciaux à droite, le K100 résout le problème de l’éclairage limité à la partie haute de la touche en y alignant les fonctions primaires, secondaires et alternatives. Par exemple “9”, “ç” et “^" se retrouvent côte à côte dans la moitié supérieure du chapeau de touche, pour un effet un peu ramassé, mais auquel on s’habitue vite finalement. Sans être idéale, cette solution est plus efficace que la proposition des G815 et G915 qui “abandonnent” ces fonctions supplémentaires à la pénombre. Un logiciel complet mais pas complexe Le réglage de l’éclairage comme celui des fonctions de touches se fait via le logiciel iCUE pour Windows 10. L’interface y est agréable et limpide, avec des fonctions simples à appréhender malgré la profusion de fonctions et de possibilités. Gestion des profils, remapping du clavier avec appel de fonctions, macros temporisées ou non, éclairage touche par touche avec 20 effets superposables (il est par exemple possible d’avoir un effet en fond et des touches fixes à l’avant), et choix des touches désactivées en mode jeu. En plus, le pole rate est configurable jusqu’à 4kHz, pour ceux qui craindraient de perdre une milliseconde dans le feu de l’action. A cela s’ajoute une mémoire conséquente de 8MB que nous avons poussée jusqu’à 10 configurations directement dans le clavier, avec pour chacune tous les réglages précédemment cités. Clairement, le K100 joue dans la cour des très grands, tant au niveau du matériel que des fonctions qu’il propose. Seul bémol, la gestion de la molette de gauche qu’il est difficile d’affecter comme on le voudrait, celle-ci ne pouvant être utilisée que pour une liste bien définie de fonctions, la plupart limitée à l’univers de Windows. Tellement efficace, mais aussi tellement cher Le K100RGB est confortable grâce à un repose poignets bien pensé et une courbe de touches qui facilite la frappe. Il affiche aussi une qualité de matériaux comme une finition de haut vol, et propose toutes les fonctions que nous sommes en droit d’attendre d’un modèle de cette gamme, tant au niveau de la gestion des touches que de son éclairage. Reste son tarif à 250€ minimum sur le marché, qui le place au même niveau que les BlackWidow V3 Pro, dans une sphère totalement déraisonnable face au peu de nouveauté ou d’innovation qu’il apporte, mais qui se justifie par la qualité globale qu’il nous présente à tous les niveaux. Un très beau modèle donc, qui demande un investissement particulièrement élevé, bien que mérité. Une finition très qualitative Des mécaniques rapides et agréables Solide et stable La courbe des touches, reposante Fonctions multimédia deux molettes Un repose poignets magnétique très efficace Le logiciel complet, tant pour les macros que pour l’éclairage Un éclairage discret mais néanmoins utile Le prix, très élevé Finalement peu de fonctions pour la molette de gauche Il faut s’habituer à la sérigraphie en ligne de certaines touches Il n’y a rien à reprocher à ce clavier qui, au-delà de l’objet de luxe qu’il représente avec son tarif prohibitif, brille à tous les niveaux. Confort de frappe, finition, fonctions et gestion, sans être surprenant le K100 RGB réussit à être exceptionnel partout, avec des touches opto-mécaniques rapides et réactives. Si vous avez ce budget pour un clavier gamer, vous devriez beaucoup apprécier. Mais est-ce bien raisonnable ? 18