Classement après 8 matchs
On fait un très bon début de saison, étant deuxième. On est la seule équipe à mettre un peu de "piment" dans ce championnat bien terne en buts et spectacle
Le prochain match se jouera contre le CSKA Sofia, l'actuel leader. Je ferai un épisode entier dédié à ce choc ce soir
Ah parce que les noms qu'il a deviné à l'allure des gars dans le bureau du président se révèlent être les vrais
Of course
C'était pour éviter un "surpoids" de noms différents
Fuck tu divise ton épisode en plusieurs parties la suite demain
L'épisode en plusieurs partie
Sinon, très bon comme depuis le début.
Non Je suis en train de l'écrire, il va être assez long donc il fallait que le coupe en deux sinon ça n'aurait pas tenu
Mais ne t'inquiètes pas, il va être puissant Laisse moi juste une petite demi-heure et tu vas kiffer
La suite, la suite!
Finalement ce sera trois parties
La deuxième arrive
Dernière tentative de vie
http://www.youtube.com/watch?v=O8X8SeFFzm4&feature=related
Ça y est, c’était le jour. Le jour de ma première grande victoire en tant que manager, le jour où je ferai pour la première fois l’amour avec la femme la plus sexy jamais connue, le jour où je ferai péter le compte en banque avec cette magnifique prime qui n’attend que moi. Bon ok, avant tout ça il y avait un match, mais bon c’est de l’optionnel.
J’arrivais au stade 2h avant le match avec mes joueurs. On est tous allés dans le petit vestiaire sale qu’était le notre. On s’est préparé tranquillement avec la musique et des encouragements. On était définitivement prêt. J’ai expliqué une dernière fois comment battre le CSKA Sofia à mes joueurs puis je les ai envoyés s’échauffer. En sortant du vestiaire, nous avons eu la première confrontation avec les joueurs de la capitale. Certains ont tentés le duel des regards avec moi. J’ai gagné, ils ont perdus. Leur fierté en moins, ils ont perdus leur odorat en rentrant dans le vestiaire : un rat mort depuis une semaine s’était malencontreusement glissé dans cette partie du stade ! Bizarre quand même !
Le stade commençait peu à peu à se remplir. Quelques chants se lançaient mais rien de bien folichon. Le ciel était gris, la pluie allait s’abattre d’un moment à un autre. J’ai voulu reprendre mon carnet de notes laissé dans le vestiaire quand tout à coup, une main fut posée sur mon épaule. C’était Adriana la fille du président et la mère de Maria. Mon dieu, elle aussi, à l’image de sa fille, donnait extrêmement envie. Elle m’a demandé où était son père. Je ne savais pas mais vu que je n’avais rien d’autre de mieux à faire, je l’ai emmené dans le bureau, traversant le couloir étroit qui mène au second étage, où je savais très bien que Nikolay n’était pas car il n’y est jamais.
On est entré dans le bureau. Comme prévu il n’était pas là. Le dérapage commence, attacher bien vos ceintures, craquage de string immédiat. Adriana a fermé la porte. Je l’ai regardé d’un air suspicieux, elle m’a regardé d’un air affamé. Elle est venue sur moi, m’a embrassé fougueusement. Mes mains, timides jusque là, sont venus caresser ses cuisses puis ses magnifiques fesses. Elle me griffait le torse comme lionne et descendait ses mains vers la zone de largage. Je l’ai installé sur le bureau et nous avons fait de fantastiques choses, je décrirai bien mais qui sait, cela pourrait être censuré… Nous avons été brusquement interrompu lorsque Mikhaïl, ce petit con, a ouvert la porte. Un doigt d’honneur plus tard, il était reparti.
J’ai quitté Adriana quelques minutes après sans rien dire, en état de choc. Comme pour définitivement me tuer, je suis tombé sur sa fille en allant vers mon vestiaire. Elle m’a embrassé tendrement, avec un sourire à faire mourir un hippocampe, si seulement elle savait ce que mes lèvres avaient goutés avant… Bref, j’ai prétexté beaucoup de travail pour m’éclipser. Mikhaïl est venu me rejoindre dans le vestiaire avec une bouteille de whisky. Il m’a présenté ça comme le remède. Il avait parfaitement compris la situation et on a rigolé.
Nos esprits revigorés par cette douce potion, nous sommes allés chercher les maillots de l’équipe dans le local rangement du stade. Il était composé d’une grande salle et de la petite laverie où on s’occupait du linge. Mikhaïl est allé dans la laverie pendant que je répondais à un sms de Maria dans la grande salle. La porte s’est une nouvelle fois ouverte derrière moi, mon esprit m’a dit « toi, tu vas baiser. », je me suis retourné et j’ai vu Nikolay avec les trois assholes. Mon esprit a dit « Merde » et j’ai rigolé.
Nikolay avait déjà une sale gueule, il avait des rides de partout, les cheveux blancs décimés par la calvitie, les narines défoncées par la cocaïne, il n’était pas beau à regarder, mais aujourd’hui encore moins. Il m’a dit « Archie, aujourd’hui on perd le match. Ta compris ?! ». Mon esprit, mes neurones un par un, mes bras, mes jambes, mes doigts ont gueulés de toutes leurs forces « Oui monsieur. ». Ma bouche, elle, a dit « Va te faire foutre. »
D’un coup les trois fils de putes derrières Nikolay se sont jetés sur moi. Nikolay est partie disant « Archie, aujourd’hui ta intérêt à perdre ! ». J’ai frappé Petrov puis Vasil, j’enchainais les droites, les uppercuts tel un Mike Tyson des grands jours, jusqu’à ce que je n’arrive plus à respirer. Salope d’hypertension. J’allais m’évanouir bordel de merde. Alors ses enfoirés m’ont frappé encore et encore, je gisais sur le carrelage froid, la tête ensanglantée quand Mikhaïl est enfin sorti de sa putain de laverie et à commencer à les frapper puis mon buteur Junior est entré dans la salle lui aussi et à aider Mikhaïl à battre ses connards.…
Une fois le calme revenu, ils m’ont relevé et m’ont soigné. Le match commençait dans une demi-heure. J’étais mal en point et je serai encore pire si on faisait autre chose que perdre le match. Mais tant pis, je les emmerde…
Remix de The Graduate
La suite
Dernière tentative de vie: Episode 8 Partie 3
http://www.youtube.com/watch?v=-3uAW3_cP5Q
J’ai expliqué à mes joueurs que j’avais fais une chute dans l’escalier et qu’il ne fallait pas s’inquiéter. En fait si, il fallait s’inquiéter. Le match devait se finir sur une victoire de Sofia, où on serait tous dans la merde. Je leur ai dit de gagner et de se battre jusqu’au dernier souffle existant dans leur corps. On est sorti des vestiaires pénétrant sur le terrain sous les cris des spectateurs. Les journalistes présents sur le bord du terrain m’ont sauté dessus pour savoir ce qu’il m’était arrivé, j’ai répondu avec un sourire. Je m’en foutais désormais, ce qui importait c’était le match.
Coup d’envoi, mon cœur bat à 15000km/h, j’ai des vertiges et mon visage me fait mal. Mais je résiste. Mes joueurs devaient procéder en contre et faire un marquage strict sur les trois attaquants adverses, Michel Platini, Spas Delev et Todorov, tout en faisant le pressing sur les milieux de terrains pour les empêcher de distribuer le jeu.
Mais ça ne suffit pas, nous sommes absents en ce début de match, le CSKA nous presse très haut et se procure les premières actions. Je stresse de plus en plus.
On obtient notre premier corner du match à la 20ème minute. Le stade se lève. On doit profiter de tous les coups de pieds arrêtés pour se créer de vraies occasions. Palankov enroule magnifiquement le ballon, dans mon état semi-comateux j’ai eu l’impression que ce centre durait plusieurs années, les joueurs se battent dans la surface et Junior surgit au premier poteau pour placer sa tête surpuissante. Le ballon finit au fin des fillets, le stade explose, Mikhaïl crie à côté de moi, je souris.
Makedonska Slava 1-0 CSKA Sofia – Junior 20’
Je me suis retourné pour voir mon président dans les tribunes. Il me fixait avec des yeux de lions, je lui ai souris.
Le match repris avec une domination incroyable de mes joueurs gagnant chaque duel, réussissant chaque passe pour se procurer de multiples occasions. A la 40ème minute, notre défenseur central Winstanley propulse le cuir du rond central jusqu’au côté gauche pour notre ailier Rangelov qui frappe, le gardien de Sofia repousse dans les pieds de Kocev qui reprend le ballon et l’envoie sur la barre. Une vague d’insulte fuse dans les tribunes et Kocev dépité met quelques secondes à se relever.
Deux minutes plus tard, Palankov, intenable, décale Rangelov à l’entrée de la surface qui frappe de toutes ses forces. Son tir vient s’écraser sur le poteau. La chance n’est pas de notre côté.
Mi-temps. Makedonska 1-0 CSKA Sofia
On reprend la seconde période comme on avait finit la première : en attaquant. Ainsi, Kocev encore déçu de son raté, perce la défense, dribble deux joueurs puis rate son duel face au gardien. Mikhaïl l’engueule. Je souris.
Ce deuxième raté de Kocev marque la fin de notre suprématie sur le match. Le CSKA se réveille et dominera tout le restant du match. A la 62ème minute Vladimir Manchev reprend de volée un corner qui oblige notre gardien à sortir une magnifique parade.
L’ancien lillois nous fait très mal en cette fin de match et oblige à la 76ème minute mon gardien à une nouvelle parade extraordinaire.
Les minutes défilent, les spectateurs sentent que la fin est proche et encouragent de plus belle nos joueurs. On rentre dans le temps additionnel, 3 minutes supplémentaire à tenir. Les joueurs sont héroïques en défense, se battant comme des lions affamés.
A la 94ème minute, Manchev, en position de hors-jeu, hérite d’un ballon à l’entrée de la surface, l’arbitre ne lève pas son drapeau, il frappe. Tout le stade retient son souffle, je vois la faucheuse m’emmener dans le cimetière, un long moment de silence jusqu’à entendre le bruit des filets qui tremblent. But pour le CSKA Sofia.
Makedonska 1-1 CSKA Sofia
Fin du match.
Je pleurs.
C'est affreux je me suis embrouillé dans les temps
La suite demain
dommage pour l'égqalisation fmesque, mais GG qd même
Hâte de savoir ce qui va arriver à ton personnage
Push it to the limit.
La troisième partie arrive ce soir
Fail*. La suite*
Non demain, là j'ai vraiment pas le courage Et il faut que je réfléchisse à la suite des évènements
Merci à tous de suivre ça fait plaisir
Tu adaptes ton scénario à ce que te sort Fm ? Parce que là si tu fais pas le recommencix tu vas te faire couper les c******* par ton président