voila ma story, je précise le vrai nom parce que j'avais pas la place...
L'histoire du mec qu'on surnommait l'américain.

pour l'intro, Baptiste Stiefer est triple champion du monde de GT1 avec Corvette Racing.

Chapitre 1. Rève de gosse

On me surnomme l’américain, américain parce que je ne suis pas qu’un peu malade et tout ce qui va dans ce sens et je ne le nie pas… Mon vrai nom est Baptiste Stiefer, j’ai dix-neuf ans et j’ai un rêve de gosse, la F1. Petit déjà je regardais un type qui se nommait Juan Pablo Mantoya, il pilotait une Williams. Mais aujourd’hui, c’est un jour de rêve, je vais essayer le baquet de Torro Rosso à Valence, bien sûr mon circuit préféré. L’objectif de la séance est de tourner en 1 : 41.500.Mon objectif : 139 au moins. C’est parti pour l’aventure ! Je mets mon casque et un type me guide tout en anglais (je ne comprends rien), et la je découvre le monstre, ce que je surnommerai le Mastodonte. Je m’enfile dans le cockpit et le type me dit des trucs en anglais. Je m’en fous et en plus je ne comprends rien. Alors j’appuie le bouton : engine start, j’appuie doucement sur l’accélérateur, et la un très large sourire se dessine sur mon visage. Je débute mon tour de chauffe, alors je n’accélérais pas trop, je zigzaguais pour chauffer les pneus et les freins. Me voici sur le pont avant la première ligne droite ou Webber s’est si magnifiquement envolé (bien fait). Donc ans cette ligne droite j’ai accéléré (comme un amerloque) et la c’était la mort, l’adrénaline est montée en moi, c’était fou, je ne pouvais plus respirer, j’ai pensé que ce n’était pas pour moi, mais cette fois le destin frappait à ma porte. J’ai donc choisi le destin avant tout car ce n’est pas souvent qu’il vient à notre porte. Je suis allé à fond pour le dernier secteur, pour déclencher le chrono. Ca beigne, je maitrise le premier secteur comme dans mon art. Je débute le deuxième secteur et le passage que je redoute ; la sortie du pont. Je la passe avec énormément de pot et, ca commence, cette horrifique ligne droite. Je me fais donc un bon deuxième secteur et je débute le troisième, très technique et physique. Et els derniers virages, le long gauche, qui tourne très dur sur un droit, un petit bout droit et le dernier virage qui demande un gros freinage. La ligne droite des stands et voila mon premier tour au volant d’une F1 : 1 :42.066. J’enchaîne une craquée de tours avant de m’arrête pour deux ou trois petits réglages et c’est repartis, j’ai dix tour, dix tours de folie et j’y vais, j’attaque. Au troisième tour je massacre j’objectif : je passe de 1 :41.961 à 1 :40 788. Je dois encore améliorer d’une seconde pour avoir mon objectif. C’est ce que je vais faire, j’attaque, et je mange quelques dixièmes au tour pour en arriver au neuvième tour chronométré sur dix à 1 :39.144. J’ai un tour pour tout massacrer, je vais jouer avec le destin, mais à présent je n’ai plus peur, « je vais me faire un pole lap » me dis-je. J’ai foncé comme un américain, pour taper un chrono final de 1 :38.157, c’est excellent et mieux que mon objectif. Dans le stand tout le monde m’applaudissait et Franz Tost m’a donné une feuille : un contrat de F1 comme deuxième pilote avec Buemi, mon compatriote suisse ! J’ai pris sans Hésiter le stylo qu’il me tendait et j’ai signé. Me voici en F1 pour ma première saison, celle de 2010.

Si tu veux un conseil, n'etouffe pas trop ton texte. Saute des lignes et mes des smileys
Mais sinon bonne premiere partie

salut recordon
je pense a la meme chose que kellykelly mais c vraiment pas mal je pense que je vais lire la suite... en parlant de celle-ci j'espere qu'elle est pour bientot

ouaip c sur jvais le faire
episode prochain 19h

chapitre 2. Bahrein, la ou tout a commencé

M’y voila déjà, Bahrein, désert de Sakhir, un circuit assez compliqué, que je n’aime pas trop. En plus avec le nouveau deuxième secteur, ca va être coton.
C’est les essais, j’y vais penaud et tranquille pour m’habituer au circuit pendant les deux premières séances d’essais. La troisième, le samedi matin, après avoir dormi la tête dans les étoiles, j’ai attaqué pour avoir un chrono de référence 1 :58.642. Alors que Button, lui remporte la séance en 1 :56.321. La pole va se jouer en 1 :54, je dois améliorer de quatre secondes, mais ne nous faisons pas d’allusions…
Je débute cette Q1 en pneus dur comme tout le monde. Résultat : 1 :57.854, le onzième temps. Vettel lui, signe 1 :56.212.
Bien, Q2 cette la fois je dois améliorer mais j’arrive à signer le quatorzième chrono à sept minutes de la fin en 1 :57.469. Je rentre, je demande aux mécanos de régler deux ou trois petits trucs pour aller plus vite dans le deuxième secteur et je tente le pari des tendres. C’est reparti et oh miracle, le neuvième temps de la Q2 en 1 :56.414. Alonso remporte la manche en 1 :55.618.
Au stand je demande au gars de mettre la cartographie lente, pour embarquer le moins d’essence et faire le max de tours à fond, personne ne tentait ce coup de poker et personne n’a pu voir mon réglage pour cette Q3. Le résultat est plus que fou ; 1 :55.871, le huitième et la quatrième ligne sur la grille de départ. Pole pour Vettel en 1 :54.871 devant les Ferraris de Massa et d’Alonso. Il me manquait six dixièmes pour la pole, c’est rien du tout mais en F1 c’est énorme. Quand les autres écuries ont appris ma manœuvre, ils l’ont tous fait pour la course de demain à part Vettel et Webber. « Je suis ‘mauvais’ en qualifs mais excellent en course et j’espère être excellent demain » ai-je dit à la presse.

Le voici mon premier grand prix, un peu avant la procédure de départ Franz me dit à la radio ; ne t’attend pas à terminer devant, mais essaye de marquer points et surtout amuse toi bien.
Voila la procédure de départ, un feu, deux, trois, quatre, cinq, ils s’éteignent et c’est partit. Je prends un excellent départ et au premier virage, je suis cinquième, devant moi, il y a Massa quatrième, Hamilton, Webber, Vettel. Je double Massa par l’aspiration et j’attaque pour me rapprocher d’Hamilton, mais au dixième tour Vettel rentre mais je me fais doubler par Button. Je rentre, c’est le quinzième tour, je suis quatrième, boxlap nul à chier de mon équipe, je ressors vingt quatrième et bon dernier.
Je remonte tour par tour au fur et à mesure que les autres rentrent. Je tente la cartographie rapide, je double Vettel dans la ligne droite des stands. Je vais débuter mon vingt quatrième tour et je regarde dans les stands qui je double, j’étais quatrième et j’avais environs sept secondes d’avance sur Vettel, et je vois Button, et la le choc, à la sortie des stands, Hamilton et Webber en début de sortie de pitelane. Je suis premier !!!!
Position que je garderai jusqu’au dernier tour.
Nous y voila à cet interminable dernier tour, que je débutai avec cinq secondes d’avance sur Webber. Me voici dans le dernier secteur, qui débute sur un long droit qui monte, un petit bout droit, puis un virage à 80 degrés à droite, puis une longue ligne droite, qui débouche sur le dernier virage, l’obstacle le plus dur à franchir, et je le pris à l’extérieur pour ne pas toucher le vibreur et là, la ligne droite de la délivrance, c’est un moment magique, toute l’équipe surgit des grillages, le poing en l’air en signe de vainqueur, et moi je brandis le doigt en l’air, signe du maître absolu.
Je viens de remporter mon premier grand prix devant Webber, Hamilton, Vettel et Button. C’est incroyable, inouï, mon premier grand prix, je le gagne.
Sur le podium, Webber et Hamilton étaient sur le cul de se faire exploser par un rookie qui prend la première place du provisoire.

Au gala tous les grands pilotes sont venus me féliciter, me raconter leur course et me demander comment j’avais fait pour passer de la dernière à la première position en neuf tours. Je leur répondais :

-La rapidité, la rapidité de mon équipe, la rapidité de ma voiture et la chance, surtout la chance.

j'ai pas trop mis de smileys..
pour la prochaine fois...

ca me rappelle de beaus moment de lecture..

On up pas un topic surtout quand il est en première page.

en Q2 :"je tente le pari des tendres" on met toujours des tendres en Q2

et ben pas moi... et j'arrive adéquatement a me qualifier monsieur le je sais tout..

viens dans mon concours Racordon

racordon tant mieux si tu y arrives ca t'économise des pneus

excellente histoire racordon parce que sa devenait embêtant de te voire porter tes haltères

bravo pour ta victoire
sinon,belle histoire,bien raconté on attent maintenanat la suite

ptètre dans 5 min sinon faudra attendre demain soir!

C'est un peu inhumain. Passer de la dernière a la premièe avec une voiture de merde.

bah tu sait f1 2010 il est un peu mal foutu pour cela

Chap. 3 Melbourne, la suite du succès.

Melbourne, la deuxième course de l’année, un objectif ; défendre ma première place du général. L’Albert Park est un circuit que j’adore, un de mes circuits préférés.
Quand je vais monter dans mon baquet et piloter sur ce circuit, j’étais vraiment heureux mais ca va très vite se dégrader et j’enchaine les toupies, tous droits et têtes à queue. Fou de rage, je gueule dans la radio :
- Il faut régler cette p*ta*n de voiture avant la Q1, débrouillez-vous.
Et j’ai ramené la voiture aux stands. J’ai discuté avec mon ingénieur, qui m’a tout d’abord demandé de me calmer.
J’ai pu faire les cinq dernières minutes de la troisième séance d’essais et décrocher le treizième chrono.
Dans les grandes équipes, ca a commencé à papoter et à dire aux pilotes de se méfier de moi.
On a pu peaufiner les réglages pour la Q1. On a du rerégler pour décrocher le sixième chrono. En Q2, on a rereréglé la voiture et j’ai signé le quatrième chrono. En Q3, J’au donné tout ce que j’avais pour décrocher la troisième place sur la grille. J’étais stupéfié du travail de mon équipe, je les ai félicités et, contents ils m’ont simplement dit :
-on a fit notre travail, tu as fait le tiens.

Au départ, c’était très spécial, j’étais dernière les deux Red Bull, Webber en pole, je devais à tout prix le battre. Avant le départ, je suis allé serer la pince à Webber et Vettel. Ce dernier m’a félicité pour la qualité de mon pilotage. Webber, lui, m’a souhaité bonne chance, ce que je lui ai retourné.

Au départ, je me fais avaler par Rosberg, mais je vais lui rendre la monnaie de sa pièce au sixième tour. Je vais doubler Vettel via les box. Se livre une grande bataille sans merci entre Webber et moi, il va terminer en tête de son grand prix. Sur le podium, je lui ai dit qu’il était imbattable pour moi cette saison. Ce qui lui a procuré un large sourire.

Au gala, j’ai fais la connaissance de Mikka Heikkinen. Nous avons longuement parlé des trajectoires de son époque (1995-1999) et celles d’aujourd’hui. Après ca, je me suis retrouvé au bar avec Franz qui m’a offert une coupe de champagne. Il a porté un toast en mon honneur :

-Voici un grand rookie qui mène le championnat depuis deux courses qui on été très intenses, merci Baptiste.
J’ai levé mon verre et j’ai dit à mon tour :

-Voici un grand chef d’équipe qui saura me mener ainsi que sa magnifique équipe vers des poles et des victoires plus magnifiques les unes que les autres.

On a bu, on a chanté. J’ai rencontré aussi Vanessa, une jeunette de vingt ans qui m’adore. C’était spécial d’avoir un vrai fan. On s’est quittés vers deux heures du matin, après s’être échangé d’adresse et de numéro de téléphone.

vous etes nourris pour un pti coup!

kellykellly j'y peu rien si je suis trop fort et que je vais trop vite!

Va le faire en vrai j'crois que c'est pas la même