ils restents 8 grand prix il peut s'en passé des choses mais moi c'est surtout la manière et je c'est que ferrari a deja fais par le passé en 2002 en 1999 (mika salo doit laissé passé irvine pour le titre pilote qu'il ne conquérira pas d'ailleurs (mika salo aucune victoire en grand prix si pour moi une grand prix d'allemagne 1999) c'est franchement degoutant pour mika salo et rubens barrichello.

avant 1996 il n'y avait pas de pilote numero 1 clair

Toute façon il n'y a pas de piltos N°1 ou N°2,chaque pilotes est bon apres ses soit les F1 qui sont pas assez performante et le style de pilotage est pour quelque chose.
mes je pense qui s'auraient pu laissé MASSA gagner pour la premiere fois de saison sa se fait pas.

Montezemolo balaie la polémique
27 juillet 2010
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Le Président de Ferrari, Luca di Montezemolo, ne retient que la victoire de son écurie au Grand Prix d'Allemagne. La polémique qui en a découlé ne l'intéresse pas.

Au 49e tour de course à Hockenheim, Felipe Massa a laissé passer son coéquipier Fernando Alonso, après que son ingénieur de course l'en ait incité. Une manœuvre qui permet au double champion du monde, mieux placé au championnat, de s'imposer mais surtout d'inscrire des points importants dans la course au titre. Montezemolo adoube cette décision qui sert l'intérêt de l'équipe.

« Les polémiques ne m'intéressent pas. » a répliqué Montezemolo. « Je réaffirme simplement ce que j'ai toujours dit, nos pilotes en sont bien conscients, et c'est une chose à laquelle ils doivent se plier lorsqu'ils courent pour Ferrari, les intérêts de l'équipe passent avant les intérêts individuels. »

Le Transalpin estime qu'il est temps de mettre un terme à « cette » hypocrisie face aux consignes d'écurie qui existent depuis la nuit des temps.

« Ces choses se produisent depuis l'époque de Nuvolari [ex-pilote des années 30'] et je les ai moi-même expérimentées lorsque j'étais directeur sportif, à l'époque de Niki Lauda, pas simplement maintenant... » rappelle-t-il

« C'est la raison pour laquelle il y a beaucoup d'hypocrisie, même si je peux croire que certains auraient bien aimé voir nos deux pilotes s'éliminer, mais ce n'est certainement pas mon cas, ou bien évidemment celui de nos fans. »

T'as prit un balai et une serpillère pour nettoyer ?

Massa impatient de revenir à Budapest
28 juillet 2010
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Un peu plus d'un an après son accident de Budapest - l'anniversaire a eu lieu dimanche dernier à Hockenheim - Felipe Massa retrouve le circuit du Hungaroring. Mais le pilote Ferrari n'y va pas à reculons, bien au contraire : au volant d'une F10 performante, le Brésilien veut conjurer le mauvais sort.

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Sur le blog qu'il tient sur le site officiel de la Scuderia Ferrari, Massa évoque les sentiments qui l'envahiront à l'heure de poser les pieds en terre magyare.

« C'est très spécial pour moi de revenir ce week-end à Budapest, pour des raisons que vous pouvez tous comprendre car c'était à cet endroit, il y a tout juste un an, que j'avais été sérieusement blessé par un ressort d'une autre monoplace qui m'a touché à la tête lors de la Q2 le samedi après-midi. » indique le Brésilien.

« Ma première action au moment de mon arrivée sur le circuit du Hungaroring sera d'aller voir tous les commissaires et le staff médical qui ont fait du très bon boulot pour m'extirper précautionneusement de mon cockpit. Je souhaite remercier ces personnes, auxquelles je me sens désormais lié. »

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Le Paulista a eu beau répéter à l'envi tout au long de l'inter-saison que cet accident n'avait en rien altéré son coup de volant, les journalistes n'ont cessé de remettre la question sur la tapis. Mais sa performance à Hockenheim - en tête de bout en bout avant d'ouvrir la porte à Fernando Alonso - lui donne raison.

« Les journalistes me demandent souvent si je me sens de retour à la normale et si je pilote aussi bien qu'avant et ma réponse est toujours la même : oui, rien n'a changé. »

« En Allemagne, nous avons signé un bon résultat d'équipe et si les gens se demandaient pourquoi Ferrari ne cessait de dire depuis plusieurs semaines que la F10 avait progressé, ils ont eu la réponse à Hockenheim. Mais cela ne signifie pas que nous allons rester les bras croisés car de nouvelles évolutions vont arriver ce week-end et le résultat de la dernière course est une immense motivation pour toute l'équipe pour continuer à pousser encore plus fort et poursuivre sur notre lancée en nous améliorant course après course. »

Depuis son arrivée chez Ferrari en 2006, Massa n'a jamais brillé en Hongrie. Le Brésilien n'a inscrit que... deux points en trois participations, sans compter son absence en 2009. Il veut néanmoins croire que ce circuit peut lui réussir. N'y-a-t-il pas livré l'une de ses plus belles prestations en carrière avant de voir la victoire lui filer entre les doigts sur casse moteur ?

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« Personnellement, je n'ai jamais récolté de bons résultats sur ce circuit mais c'était simplement dû aux circonstances, car j'apprécie vraiment piloter ici et, en 2008 par exemple, pour ma dernière course, j'ai mené pendant 60 tours avant d'être victime d'une casse moteur. Globalement, il y a énormément de raisons pour lesquelles j'ai hâte de revenir à Budapest dans quelques jours. »

Tu m'étonnes vu le ressort que tu t'es mangé l'année dernière ça sera une belle revanche pour toi si tu gagnes.

En effet, s'il gagne.

Alonso y est pour rien c'est ferrari il fesait deja pareil quand c'était Schumacher. Alonso aurait preferé le doubler a la loyale.

Ce n'est pas un scandale. Ferrari a voulu bien faire en favorisant Alonso, ce qui est logique quand on regarde le classement du championnat.
Si Alonso aurait voulu doubler Massa, et qu'ils se seraient accrochés, qu'est ce que vous auriez dit ? Faut arrêter d'en faire toute une histoire, c'est pas la première fois qu'on voit ça !

la langue de bois est reine dans la F1 d'aujourd'hui, pitoyable, ils ont pas les c******* de l'ouvrir de peur de froisser un sponsor ou le patron, ridiculisime

Ferrari ne rend pas les armes
31 juillet 2010
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Au lieu de pleurer devant la seconde qui la sépare des Red Bull, la Scuderia Ferrari préfère retenir des points positifs de ses qualifications en Hongrie.

Les monoplaces italiennes sont - du moins sur la grille - sur les talons des Red Bull et tenteront comme à Hockenheim de renverser la vapeur lors des premiers mètres de course. La F10 a tendance à reprendre des dixièmes sur la RB6 dans une configuration de course, une fois chargée en essence. Autant de raisons qui laissent Fernando Alonso et Felipe Massa remplis d'espoir avant la course.

Fernando Alonso : 3e (+1214')

Je suis heureux de mon tour en qualifications et des performances de la voiture, car je ne pense pas que nous aurions pu mieux faire aujourd'hui. Les Red Bull se sont avérées très fortes et l'écart qui nous en sépare est assurément surprenant. Ceci dit, nous devons rester concentrés sur notre travail et essayer de faire le maximum, viser une place sur le podium. Nous devons garder à l'esprit que les leaders du championnat sont derrière nous sur la grille et notre objectif est de leur reprendre des points. Le départ sera très important. En général, sur ce circuit, démarrer du côté propre de la piste procure un avantage important mais cette année, nous avons assisté à de bons départs sur la partie sale et à de mauvais du côté propre : il sera vital de faire son maximum et nous verrons ensuite où nous en sommes à l'issue du premier tour. C'est à ce moment que nous pourrons décider de la stratégie à adopter. Le circuit est très exigeant pour les voitures et les pilotes et il ne faut pas perdre de sa concentration.

Felipe Massa : 4e (+1545')

Lorsque l'on est relégué à une seconde en qualifications, il y a toujours matière à réfléchir : la manière avec laquelle ils [Red Bull] font fonctionner leurs pneumatiques dans le premier tour est absolument incroyable et leur aéro les aide énormément dans de nombreux virages, en particulier dans les changements de direction. En course, la situation peut être différente mais nous ne pouvons clairement pas annoncer que nous serons plus rapides en course. Néanmoins, globalement, nous devons nous satisfaire de ce résultat car en fin de compte, nous sommes devant tous les autres. Je n'ai pas réalisé le tour parfait : avec ces pneumatiques, il faut piloter avec une extrême précision car on peut rapidement risquer de quitter la bonne trajectoire. Le départ sera très important et malheureusement, je suis du côté sale de la piste ; attendons de voir ce que nous ferons. La course sera longue et, comme toujours, tout peut arriver. Ce que j'ai ressenti aujourd'hui, en pensant aux évènements de l'année passée ? Lors des qualifications, je n'y ai pas pensé pendant un moment car j'ai beaucoup à faire dans la voiture mais maintenant, je peux vous dire que c'est fantastique d'en avoir vu la fin ! Aujourd'hui, le Professeur Robert Veres, l'un des médecins qui s'est occupé de moi lorsque j'étais à l'hôpital AEK, se trouvait dans notre garage et j'étais très heureux qu'il soit à mes côtés.

Fan depuis petit

Ferrari engrange de gros points
01 août 2010
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La Scuderia Ferrari a ramené trente points de son week-end en Hongrie alors que la position de ses monoplaces sur la grille de départ lui en laissait entrevoir trois de moins : le bilan comptable est donc positif.

Presque sans surprise, Fernando Alonso a gagné une place au départ en profitant de son encart du côté propre de la piste. L'Espagnol aurait pu rendre la 2e place à Mark Webber après l'intervention de la voiture de sécurité mais la pénalité infligée à Sebastian Vettel lui a finalement permis de rester sur la marche du podium intermédiaire.

Quand on a tenu en respect Michael Schumacher à Saint-Marin, « Baby Schumi » c'est du tout cuit. Le double champion du monde a résisté à la pression du pilote allemand et réussit l'exploit de terminer devant une monoplace de l'écurie de Milton-Keynes, pourtant au dessus de lot ce week-end.

Felipe Massa était parvenu à conserver sa 4e place au départ malgré une mise en route sur la partie sale du tracé mais c'est dans les stands que le Pauliste a vu Lewis Hamilton lui filer sous le nez, avant de récupérer cette position suite à l'abandon du pilote McLaren. Pour l'anecdote, Massa décroche son meilleur résultat en Hongrie sur un circuit qui ne lui avait jamais souri.

L'écurie italienne reste encore un peu en retrait au classement des constructeurs (3e - 74 points de retard sur RBR) mais Fernando Alonso réalise la bonne opération du week-end. Il n'est plus qu'à vingt points du nouveau leader, Mark Webber.

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Fernando Alonso : 2e

C'est un résultat très important. La chance nous devait beaucoup et aujourd'hui, nous avons reçu un premier versement. J'ai réalisé un très bon départ, réussi à passer Webber avant de revenir à la hauteur de Vettel dans le premier virage mais je n'ai pas pu conclure. Nous n'avions pas la vitesse pour suivre le leader et je n'ai donc pensé qu'à défendre ma position. Lorsque la voiture de sécurité a fait son apparition en piste, il y a eu quelques moments très tendus, il était vital de ne pas commettre d'erreurs, et de rester à la limite. Ensuite, la lutte avec Vettel pendant près de trente tours n'a pas été simple : sa voiture était assurément plus rapide que la mienne, mais ce circuit n'offre heureusement pas beaucoup d'opportunités de dépassement, mis à part au premier virage. Nous devons clairement améliorer notre monoplace si nous désirons avoir la chance de nous battre pour le titre : ici, les Red Bull étaient intouchables et même si McLaren a été en difficulté, elles seront fortes à Spa et Monza, où il y a de longues lignes droites qui conviennent à leur monoplace. Nous aurons quelques évolutions en Belgique : nous espérons qu'elles nous permettent de réduire l'écart sur les meilleurs. La trêve arrive au bon moment. La dernière partie du championnat sera très intéressante, avec cinq pilotes en vingt points.

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Felipe Massa : 4e

C'est mon meilleur résultat sur ce Grand Prix et je suis heureux qu'il arrive un an après mon accident. Tout bien considéré, c'est un résultat positif. Au départ, je n'avais pas beaucoup d'adhérence mais je m'y attendais, étant donné que j'étais du côté sale de la piste. Aujourd'hui, face à des rivaux qui volaient littéralement, nous avons fait le maximum que nous pouvions. Je pense que la décision de rentrer aux stands une fois la voiture de sécurité en piste était la bonne : nous ne pouvions pas faire la même chose que Webber et rester en piste aussi longtemps avec les pneus tendres. C'est vrai que j'ai perdu une place face à Hamilton pendant les arrêts mais ensuite, pour une fois, la chance était avec moi et j'ai repris ma position. Il y a une semaine à Hockenheim et en début de saison à Bahreïn, nous étions les plus rapides mais mis à part cela, les Red Bull ont toujours été les plus fortes. Nous devons continuer à pousser dans nos développements pour les rattraper : dans quatre semaines à Spa, nous verrons où nous en sommes pas rapport à elles. Mon championnat ne s'arrête pas ici : ce week-end a été très spécial pour moi et le week-end a été positif pour moi et l'équipe.

Le « cas » Ferrari étudié le 8 septembre
02 août 2010
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On saura le 8 septembre prochain le sort que réserve la Fédération Internationale de l'Automobile à la Scuderia Ferrari, accusée d'avoir manipulé le résultat du Grand Prix d'Allemagne, fin juillet.

L'écurie au cheval cabré avait incité par radio Felipe Massa - alors en tête de la course - de se laisser déborder par son coéquipier Fernando Alonso. Le double champion du monde s'était imposé devant le Brésilien. Convoquée dans la foulée par les commissaires de course, Ferrari avait écopé d'une amende de 100 000 $ et... d'une assignation devant le Conseil Mondial du Sport Automobile.

La Rossa est allée à l'encontre de l'article 39.1 de la règlementation sportive 2010 (les directives d'équipe qui interfèrent avec les résultats d'une course sont interdites) et l'article 151 c) du code sportif international (seront considérés comme infractions [...] tout procédé ou manœuvre déloyale de nature à nuire à la sincérité des compétitions ou aux intérêts du sport automobile).

« L’audience disciplinaire du Conseil Mondial sera présidée par le Président Délégué pour le Sport de la FIA et aura lieu le 8 septembre 2010 à Paris. » a indiqué le corps gouvernant de la catégorie reine du sport automobile dans un communiqué.

Vous allez prendre cher.

Y'aura pas de Jean Todt finalement au Conseil ?

Moi ça je sais pas mais je sais seulement que Ferrari doit arrêter le favoritisme surtout de manière déloyale

Qu'ils soient banni de la F1 pour Massa au moins ils comprendront au lieu de se dire que la FIA est dans leur poche

En même temps dur pour eux d'arrêter. Ca fait bien longtemps qu'il y a du favoritisme chez Ferrari.

oui c'est pour ça que le vieux Schumacher est plus rien maintenant qu'il est plus chez Ferrari

Alonso : « La constance sera la clé pour le titre »
05 août 2010
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La liste des prétendants au titre mondial s'est sérieusement raccourcie. Ils ne sont plus que cinq à pouvoir rêver d'un premier, deuxième ou même troisième sacre d'ici la fin de la saison. Un quintette dans lequel figure le miraculé Fernando Alonso, revenu au premier plan en même temps que sa Ferrari.

Monaco, Turquie, Europe, Grande-Bretagne... Alonso a laissé échapper de précieux points et le moindre faux-pas, s'il n'est pas encore éliminatoire, est fortement déconseillé. Le double champion du monde n'a plus endossé le costume de leader du championnat depuis le Grand Prix de Malaisie et pour le retrouver, la régularité sera primordiale.

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« Il y a cinq pilotes en lutte pour le championnat et il ne reste que sept courses à disputer. » expose le pilote Ferrari. « Tout peut arriver lors de ces sept prochaines courses, nous devrons donc être les meilleurs de cette dernière partie de saison. »

« Nous sommes désormais dans une position où nous pouvons prendre la tête du championnat en remportant une course. Je crois que nous devons rester calmes. Nous savons que les quatre ou cinq pilotes se battront jusqu'à la dernière course, mais nous devons faire usage de notre expérience en équipe. »

« Ferrari a remporté énormément de championnats et j'ai également mon expérience personnelle, je me suis battu trois fois pour le titre. Nous devons monter sur un maximum de podiums lors de ces sept courses. Je pense que la constance sera la clé dans la course au titre. »

T'as raison mais je ne pense pas que cette année tu es le titre.

ce serait bien qu'il est
Alonso

Alonso : « Une chance sur deux d'être titré »
09 août 2010
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Revenu dans la course au titre grâce à sa victoire en Allemagne et sa deuxioème place en Hongrie, Fernando Alonso évalue à 50% ses chances de coiffer une troisième couronne mondiale.

L'Espagnol occupe la cinquième place du championnat à vingt points du leader Mark Webber à sept courses du but mais reste le pilote le plus prolifique des deux derniers Grands Prix [43 points sur 50 possibles].

« Nous n'avons eu besoin que de deux courses normales pour revenir dans la course au titre. » s'est félicité le pilote Ferrari. « C'est vrai que nous sommes encore en retrait au championnat et c'est toujours mieux d'être devant, mais je suis persuadé que lors du sprint final, je veux dire les deux ou trois dernières courses, nous serons plus proches que nous le sommes actuellement. La chose importante est de rester calmes, concentrés et de bien faire notre job. »

Des quatre opposants qui tenteront de le priver d'un troisième sacre, deux ont déjà été couronnés et les deux autres courent toujours après le graal. Une situation qui pourrait bien jouer dans les têtes lors des dernières courses de la saison.

« Il est difficile de dire qui sera mon plus grand adversaire : nous sommes pratiquement tous à égalité. Hamilton, Button et moi-même, qui avons déjà remporté un titre, aborderons peut être le rush final avec plus de calme, après avoir déjà vécu une expérience similaire. Mes chances ? Je dirais qu'elles sont de l'ordre de 50%. »

vivement spa !