KeeeeEEEEElllll!!!! T´es lààààà????
Bon si quand j´aurai fini le chapitre de ma fic il s´est toujours pas manifesté, je prends sa place.
Je suis là je suis là. Mais pour résumer, on va dire que j´ai deux trois empèchement par rapport à la fic´, donc va y Mibu. Ptèt même que je vais finalement donner ma démission, ça dépend comment ça se passe après. Désolé de vous avoir fait attendre pour rien.
-Kel´ pfffffffffffffffiou
OOOOh non tu passes pas en deuxième page toi ^^
(en d´autres mots: )
Bon ce soir je peux pas mais je m´occuperai bientôt de la suite (p´têt demain).
Wow le timing! Bah merde alors ^^
Bon ok tiens-moi au courant, je ferai comme je viens de le dire, mais faut que je sache si je te raie de la liste ou pas.
mibu t´es fan de samourai deeter kyo?
Je l´étais mais plus trop maintenant ^^
pk, ce manga est genial? non
Kenshin est mieux
je pense pas, le type qui veut tué personne, je préfère kyo, la il y a du sang lol
De toute facon je lis plus trop ce genre de mangas...
Bah voilà, moi non plus. Je suis passé à plus... mature ^^ (vous comprendrez si vous pensez aux chapitres de ma fic
Tiens un peu de pub, pour une fois: j´ai commencé une autre fic (pour l´instant il y a pas beaucoup de chapitres), un cross over, donc à ceux qui voudront regarder... (j´ai que deux lecteurs réguliers )
Tiens qu´est-ce qu´elle fout là cette " " ?
Et hop, la suite! Bon, en fait je suis pas super content de ce chapitre, mais vous direz ce que vous en pensez. Il me faudra encore un chapitre pour finir de mettre en place ce scénario, et après on reprendra le système de tours.
En plus en ce moment je suis pas trop d´humeur à me mettre dans la peau de Zvan, mais c´est pas grave : c´est le dernier chapitre que j´écris avec lui comme perso principal ^^
Voilà, j´espère que ça vous plaira quand même!
Zvan se rapprochait de sa proie. Il le savait. Il le sentait.
Il avait livré de nombreux combats depuis l’époque où il était mort, et il en était à chaque fois sorti grandi. Son niveau n’avait désormais plus rien à voir avec celui d’antan. S’il rencontrait ses anciens adversaires, il était sûr de pouvoir les vaincre. Son arme était désormais en concordance avec son âme, et son corps comme son esprit étaient désormais tout deux désormais complètement axés vers le meurtre, le sang, le plaisir de combattre. Mais surtout le plaisir de tuer.
Il ne se rendait pas compte qu’il était devenu tout ce qu’Eindra n’aurait voulu qu’il devienne ; il avait complètement perdu son objectif premier de vue : tuer Nightmare par vengeance. Il ne le voyait désormais plus qu’un adversaire important pavant la voie qu’il s’était tracée. Il ne savait plus trop pourquoi, mais il devait détruire le monde, il le fallait. Et Soul Edge était l’arme parfaite pour cela.
Il marchait sur une voie menant à un village quelconque, le prochain sur sa liste, lorsque il fut soudain attaqué.
Zvan esquiva assez facilement le coup : il avait appris d’une certaine Aynea que savoir lire les déplacements de vent était un atout précieux, et s’était approprié cette technique ; mais son adversaire ne parut pas surpris pour autant. De taille moyenne, élancé, ses cheveux noir de jais tombant en mèches jusque au-dessus des yeux, le jeune homme avait déjà dissimulé son arme, confiant en ses capacités de réaction. Son œil droit était d’un bleu azur tandis que l’autre était dissimulé derrière un bandeau de couleur noire. Il avait quelque chose d’étrange. Si Zvan avait été quelqu’un de normal, il l’aurait prit pour une personne banale : pas spécialement beau, ni bien habillé, le regard ne brillant pas réellement d’intelligence. Bref, le genre d’individu que l’on rencontrait un peu partout. Mais Zvan était un guerrier, et même s’il n’avait pas été attaqué, il aurait reconnu en lui un combattant. Et apparemment, pas n’importe lequel, car il s’était préparé à ce que son adversaire survive à son assaut et avait même anticipé ses mouvements, ne laissant pas à celui-ci le loisir de voir son arme. De plus, il avait correctement jugé ses capacités, car bien qu’il soit de toute évidence un assassin, il savait qu’il ne servirait à rien de se cacher. Et il utilisait une arme inconnue de Zvan.
« Tu es Zvan ? »
L’interpellé opina du chef. Sûr maintenant qu’il s’agissait de la bonne personne, l’assassin se prépara au combat : des mouvements infimes, un léger changement dans la posture, voilà tout. Mais ils savaient tous les deux qu’il ne servait plus à rien de parler, car le combat avait déjà commencé, et peu importait les motivations de l’autre, l’important étant de gagner. Zvan sentait la tension monter. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu le plaisir d’écraser un adversaire fort, lui confirmant sa supériorité écrasante. Ecraser les gens, voilà ce qu’il aimait. Les voir implorer sa pitié, pleurer toutes les larmes de leur corps, suppliant pour leur vie en bons cafards qu’ils étaient. Puis le bruit de chair écrasée, les cris d’agonie, l’odeur fétide de sang et de corps brûlé. Oh, Zvan aimait ça. Et aujourd’hui, une proie de luxe était venue toute seule à lui. Il allait s’amuser. Il allait faire subir sa joie sadique au pauvre fou qui osait le défier !
Il comptait tout d’abord découvrir de quel type d’arme son ennemi faisait usage, et l’attaqua dès le début, en ligne droite, sans fioritures ni temps mort. Celui-ci sembla pris au dépourvu et sortit de dieu sait où un sai, une arme japonaise plutôt destinée à la défense qu’à l’attaque, et para le coup que Zvan donna avec le glaive qu’il avait hérité d’Eindra. Mais Zvan lui décocha un coup de tête magistral. Du moins, c’est ce qu’il comptait faire, lorsque un deuxième sai vint se placer sous sa gorge et lui incisa en partie, y traçant un profond sillon sanglant.
Il l’avait blessé ! Le combat l’excitait décidemment de plus en plus, et il décida de sortir tout de suite le grand jeu.
« Empathic Immolation, brûle ! »
Au moment où il chargeait comme une bête, Eyian fit glisser son bandeau, cachant ainsi son œil gauche et découvrant le droit, d’un jaune vif dérangeant. Peu importe la ruse qu’il allait employer, Zvan voulait juste du sang, et le chargea quand même : la vérité se découvrirait d’elle-même durant la bataille.
Mais il ne parvint pas à toucher son adversaire. Il attaqua encore et encore, mais son « épée » enflammée ne rencontrait que du vide, alors que les sai de l’assassin faisaient mouche à chaque fois. Pour la première fois, Eyian se permit de parler réellement à Zvan.
« Alors, gros tas, on est trop lent ? Franchement, c’est un pourceau comme toi qui a détruit toutes ces villes et villages ? Non, franchement, pas quelqu’un d’aussi faible que toi ! Eyian prenait plaisir à ce combat, lui aussi, cela se voyait au sourire carnassier qui s’était profilé sur son visage.
Maintenant, c’est toi que je vais faire souffrir ! Tu paieras pour ce que tu as fait, enfoiré ! »
« Me fais pas rire, gamin. C’est quoi ces prétextes minables ? Pas la peine d’essayer de le cacher, tu es comme moi : tu aimes le sang et le meurtre tout autant que moi ! »
« Et alors ? Moi, au moins, j’ai un prétexte ! »
Les deux ennemis partirent tous deux d’un rire sadique, se comprenant parfaitement l’un l’autre. Et, en même temps, décidèrent d’attaquer. Zvan avait maintenant compris le pouvoir résidant dans cet œil : il permettait à son détenteur de voir de quelques secondes l’avenir, et ainsi d’anticiper toutes ses attaques. Il n’y avait qu’un seul moyen pour lutter contre une chose pareille.
Zvan attaqua de toutes ses forces, de toute sa vitesse, de toute la puissance et de l’animosité dont il était capable. Il lui suffirait d’un seul coup pour en finir avec ce jeune prétentieux, un seul coup et le combat serait fini. Les coups pleuvaient à une vitesse et une puissance extraordinaire, et les deux assoiffés de sang y prenaient un plaisir sauvage.
Mais Eyian commença à avoir du mal à garder le rythme, et malgré son don de voyance il finit par se faire toucher, non sans réussir à planter une de ses armes dans la trachée du monstre auquel il faisait face. Mais il avait perdu, il le savait. Cependant, à sa grande surprise, il ne brûla pas.
« C’était amusant, gamin ! Bientôt, j’entrerai en possession de Soul Edge. Tu penses que tu pourras me battre, à ce moment-là ? »
« Je t’écraserai, gros porc ! »
Zvan sourit derrière son masque, lâcha son arme et décocha un crochet de son bras valide en plein dans le visage du vaincu, qui perdit immédiatement connaissance et fit un vol plané de quelques mètres. Puis Zvan s’approcha de lui et lui brisa quelques côtes à l’aide de son pied, et reprit son arme pour lacérer son adversaire et lui infliger une douleur insupportable, veillant toutefois à lui permettre de combattre à l’avenir. Tel était le lot du perdant, et celui-ci le savait très bien lorsque il avait accepté de vivre.
Quand il eut fini de jouer avec sa victime, Zvan reprit sa route, joyeux. Il avait rencontré un adversaire intéressant, et avait en plus senti tout près la présence de Nightmare.
La fin approchait : la fin de son périple, et la fin de l’humanité.
Ben tu espère bien. J´aime bien ce chapitre.
J´adore le type qui essaye de se justifier "Moi au moins j´ai un pretexte et pas toi nanananaèèèèreuh" XD
Sinon j´ai pas tout lu, mais ca a l´air d´etre bien.
Mci pour vos commentaires ^^
Mais vous voyez, j´ai pas atteint mon but initial: si j´avais été dans le bon état d´esprit ce jour-là, et que j´avais assez bien écrit, motoko l´aurait lu en entier et ce dès la première fois
J´essaierai de faire mieux pour la suite.
eu chap genial et cool et genial
Merci lopaze ^^
Voilà le nouveau chapitre, je sais plus à qui était le tour mais je pense que vous aurez compris le scénario en le lisant, donc...
En fait ce chap est beaucoup plus "décontracter" mais comme vous allez pouvoir le constater, même si mon nouveau héros est arrogant, a une fierté mal placée, est un peu lent à la détente et est trop fier de lui en plus d´être un peu lâche(en encore c´est pas tout, il cumule le pauvre...), je n´abandonnerai pas pour autant le côté un peu "trash" qui faisait mes premiers chapitres: j´ai juste envie de faire plus subtil, moins gratuit. La violence est toujours plus violente quand elle n´est pas gratuite. De plus j´ai rajouté une dimension plus psychologiques, ainsi se chevauchent des passages "détendus" et d´autres complètement plus sombres.
Voilà, j´espère comme d´habitude que vous allez apprécier, et que vous allez commenter. Bonne lecture!
« Et merde… »
Je viens à peine de me réveiller, et déjà mon corps ne me semble plus être que douleur. J’ai perdu, même en ayant eu recours à mon pouvoir !
En temps normal, je ne suis pas celui qui a combattu Zvan: je suis quelqu’un de compatissant, gentil, calme et réfléchi. Peut-être un brin arrogant, sûr de moi-même et dédaigneux envers les autres, mais l’un n’empêche pas l’autre, non ? Mais alors pourquoi deviens-je un être aussi abject lorsque mon pouvoir s’enclenche ? Je pensais au début qu’un quelconque esprit me possédait, mais j’eus tôt fait de comprendre que c’était à une partie de moi-même que je devais faire face. Mais comment pourrais-je l’accepter ? Moi, quelqu’un d’aussi abject, aimant par-dessus tout le sang et la violence ? Impossible ! La seule solution s’étant présentée à mes yeux était de refouler encore plus cette partie dérangeante de ma personnalité. Ainsi lorsque mon œil droit est caché, je suis moi-même. A moins que je ne sois qu’un étranger à moi-même, et que ma vraie personnalité est en fait celle que je tente de refouler… Alors, qui suis-je, à la fin ?
J’essaie de bouger, sans grand succès. Mais je dois me lever. Je dois vivre! Pour venir à bout de celui qui a causé tant de désastres !
Je réussis enfin au prix de grands efforts et de grandes souffrances à tenir plus ou moins debout, et je vois alors mes armes traîner par terre. Mais je suis dégoûté, alors je ne me baisse même pas pour les ramasser et me contente de lâcher un :
« Pff, en fait elles sont pourries ces armes ! »
« Vraiment ? Ne serait-ce pas plutôt dû au fait que tu ne saches les manier ? »
Une jeune femme me fixe de son étrange regarde vide, ses magnifiques cheveux bruns flottant librement, livrés aux caprices du vent. Je décide, malgré mon état, de lui répondre, armé de mon sourire le plus charmeur :
« Veuillez m’excuser, mademoiselle. Il ne sied pas à un gentleman de prononcer de telles paroles en face des jolies femmes. »
Ah oui, mais elle est aveugle. Bon, tant pis pour le sourire charmeur. Au moins, elle esquisse un sourire en réponse à ma galanterie feinte. Cette femme semble être intelligente… Je dois mettre mes derniers instants de lucidité à profit pour tirer quelques informations. Je m’apprête à parler, mais elle s’y met un moment à peine avant moi.
« Alors comme ça tu réserves tes manières aux seules femmes te plaisant ? Bref, passons ce moment d’égarement, probablement dû à l’état plus ou moins pitoyable dans lequel tu te trouves. Aurais-tu fait la malencontreuse rencontre d’un homme masqué et au bras droit inerte ?»
Ah, elle veut jouer au même jeu que moi ! Bien, laissons la galanterie de côté, puisque c’est ce qu’elle semble vouloir :
« Je dois avouer avoir fait une rencontre de la sorte… Justement, il n’est peut-être pas très indiqué à une créature du sexe fragile de se balader ainsi dans la nature, sachant que ce genre d’individu traîne dans les environs. »
Et voilà, elle va me révéler si elle est bien à sa recherche ou non. Mais… une minute… qu’est-ce que c’est que cette expression sur son visage ? Qu’est-ce que j’ai fait encore ? Tentant de me rattraper, je lui lance un sourire maladroit. Ah, mais non, elle est aveugle !
« Si une ‘créature du sexe faible’, comme tu le dis si bien, se ‘balade dans la nature’, c’est pour faire le travail que les représentants du ‘sexe fort’ ne sauraient accomplir, trop arrogants et sûrs d’eux-mêmes pour se battre correctement ! »
Hé, mais pourquoi elle réagit comme ça ? D’habitude, quand je dis quelque chose dans le genre, elles deviennent toutes rouges ! Elle est pas normale ! Mais bon, au moins, j’ai mon renseignement. Elle est également à la poursuite de ce Zvan. Et à sa façon de se mouvoir et à l’impression de force pure et voluptueuse qu’elle dégage, je sens qu’elle est également une guerrière. D’ailleurs, c’est peut-être pour ça qu’elle ne réagit pas comme les autres filles ! Les guerrières sont bizarres, d’habitude ! Bien, la prochaine fois que je la verrai, je la traiterai comme un homme, ça devrait mieux lui convenir. Mais là, mes forces me quittent. Je n’aurais peut-être finalement pas mieux fait de me relever… Alors que ma vision se brouille, et que mon corps perd peu à peu de ses forces, j’entends une dernière fois sa voix :
« Peut-être suis-je privée du don de la vue, mais tu l’es tout autant que moi, car tu as toi-même décidé de te priver de la tienne. Mon nom est Aynea. A bientôt, peut-être. »
J’arrive, avant de m’évanouir, à lui dire mon nom :
« Eyian… »
Deuxième réveil. Pas mal, comparé au premier, même si j’ai toujours l’impression de n’être qu’un amas de chair sanglante. Au moins, ma posture n’est pas celle d’un pantin désarticulé, et il semblerait que des soins rudimentaires m’aient été apportés. En plus, elle m’a même laissé quelques vivres. Je ne dois pas l’avoir vexée tant que ça, finalement.
Mais qu’est-ce qu’elle a voulu dire ? Moi, aveugle ? Ridicule. Je suis la personne la plus sensée et la plus intelligente à ma connaissance, alors je ne me suis certainement pas trompé.
Je m’accorde un peu de temps pour me restaurer, puis je décide de me mettre en route pour le village le plus proche. Plusieurs heures plus tard, j’arrive enfin, et ce n’est non pas un petit village qui se dresse devant moi mais plutôt une grande ville. Mince, je n’aime vraiment pas les villes. Un véritable concentré d’abrutis.
Comme ces deux gardes, là. Rien qu’à voir leurs têtes, j’ai envie de les éclater contre le mur. De leur déchirer leurs faces de gros porcs, les exploser jusqu’à ce qu’il ne reste de ces minables que des infimes morceaux sanglants éparpillés sur quelques mètres. Et il semblerait qu’il y a eu un feu il y n’y a pas longtemps, ça sent un peu le rôti. Ha, c’était peut-être un idiot qui s’est fait tuer et qu’on a mis à incinérer là parce que personne ne voulait se donner la peine de l’enterrer. A moins qu’un sadique ne l’ait mis à brûler vivant, pour pouvoir se délecter de ses cris d’agonie. En tous cas, ça devait être un spectacle amusant !
Mais qu’est-ce que je pense ? Je le savais, je ne peux pas penser ça ! C’est impossible ! Je dois bien être maudit, finalement ! Quelle personne saine d’esprit penserait à ça alors qu’il ne s’agissait probablement que d’un animal qu’on avait mis à cuir ici ? Je me dépêche de sortir ces pensées horribles de mon esprit, et salue amicalement les deux braves gardes, qui gardaient cette porte chaque jour, et ce peut-être au péril de leur vie.
Cette folle avait décidemment tort ! Il est impossible que je sois l’origine d’une personnalité aussi dépravée et immorale ! Cette fois-ci, c’est la dernière ! Plus jamais je ne permettrai à cette entité maudite se trouvant en moi prendre le dessus ! Je resterai moi, le moi sain que j’ai toujours été !
Epuisé, je m’affale dans une chaise d’un bistrot et commande un repas substantiel. La serveuse, une petite blonde portant un tablier sur des vêtements bleus, me demande d’abord de lui montrer mon argent. Comme ça on ne me fait même pas confiance ? Je finis par la payer d’avance, vexé, mais son attitude ne m’étonne pas vraiment. A vrai dire, les gens de cette ville semblent très méfiants envers les étrangers, et dès mon entrée dans celle-ci on n’a cessé de me regarder de travers. Mais pourquoi ? Bon, après tout, ce n’est pas vraiment mon problème. Je cesse un peu de réfléchir à ça pour laisser traîner mon regard sur une jolie blonde courtement vêtue, sa jupe blanche laissant entrevoir… Euh, finalement, je laisse mes pensées un peu perverses là où elles en étaient et détourne le regard, parce que je n’ai vraiment pas envie de me battre contre le type au bâton me fixant d’un œil noir assis en face d’elle. Je mange rapidement, et décide finalement de partir d’ici : il ne peut ressortir rien de bon de rester au même endroit que deux personnes à l’air si fort.
Je décide alors de récolter des rumeurs. Mais à ma grande surprise, aucune nouvelle de ce dénommé Zvan. Se serait-il fait tuer par Nightmare ? Ou, pire, avait-il réussi à lui prendre l’épée ? Ayant une mauvaise impression, je décide d’aller dormir à une auberge quelconque (mais loin de ces deux-là, quand même), et de me dépêcher de partir le lendemain, malgré mes blessures encore vives.
Tiens, au fait, il me faut de nouvelles armes maintenant…