Au Royaume-Uni, les habitants bénéficient également d'un service de santé public, baptisé National Health Service. Malheureusement, l'une des dirigeantes a récemment été victime d'un piratage lié à la PS5.

Un an après son lancement auprès du grand public, la plateforme de jeux en streaming GeForce NOW de Nvidia se dit prête à « passer à la vitesse supérieure ». Voici comment. Alors que certains services de jeux en streaming ont du plomb dans l’aile, à l’image de Google Stadia, après un an d’activité, GeForce NOW s’approche des 10 millions de membres, et met donc en avant son succès dans un communiqué plein d’enthousiasme. Sortie de sa phase de bêta le mois dernier, la plateforme de Nvidia affiche des ambitions focalisées sur le développement des performances du service, mais aussi sur la mise en place de nouvelles offres d’abonnement. Une nouvelle offre premium En premier lieu, et pour remercier ses membres Fondateurs, Nvidia indique que ceux qui sont restés fidèles à GeForce NOW depuis les premières phases de la bêta lancée en 2017 bénéficieront de leur tarif spécial de 5,49 euros par mois, ou de 27,45 euros tous les six mois, « à vie ». Cela signifie qu’ils paieront le même prix tant qu’ils resteront abonnés. Désormais, il n’est plus possible d’opter pour l’offre Fondateur : elle est remplacée par l’abonnement Prioritaire, qui permet de bénéficier des mêmes avantages, mais cette fois-ci pour 9,99 euros par mois ou 99,99 euros par an, c’est-à-dire avec un engagement. Cela comprend un accès prioritaire aux sessions de jeux, des durées de session prolongées, ainsi que l’accès au ray-tracing dans les jeux qui prennent cette fonctionnalité en charge. L’offre gratuite reste toujours disponible, avec un accès standard et des durées de session limitées à une heure seulement. Un service qui passe « la vitesse supérieure » Pour accompagner la croissance de son service, Nvidia annonce par ailleurs l’ouverture prochaine de deux nouveaux data centers, avec tout de même un gros focus sur l’Amérique du Nord puisque le premier se trouvera à Phoenix, en Arizona, et le second à Montréal, au Canada. Dans le même temps, l’entreprise a signé des partenariats avec des acteurs locaux du cloud en Turquie (Game+), en Arabie Saoudite (Zain) et en Australie (Pentanet) pour rendre GeForce NOW accessible sur ces nouveaux marchés. La capacité des data centers actuels va également être étendue et Nvidia promet également une « amélioration de la qualité de service, avec déploiement immédiat auprès des membres ». Des optimisations sont aussi à venir pour que les membres puissent avoir plus rapidement accès à leurs jeux via GeForce NOW : la liaison de compte pour les jeux clés ainsi que le préchargement sont notamment évoqués. Toujours plus de jeux en vue GeForce NOW prend actuellement en charge plus de 800 jeux et à en croire Nvidia, ce n’est qu’un début : l’année 2021 devrait voir le catalogue de compatibilité évoluer généreusement. Le service espère notamment proposer davantage de gros jeux dès le jour de leur sortie, ainsi que de nouveaux titres free-to-play. La firme compte sur de nouveaux outils qui lui faciliteront l’intégration des jeux à l’avenir. En somme, GeForce NOW espère une nouvelle montée en puissance pour sa seconde année d’existence concrète, et met en avant de gros investissements et de vastes ambitions pour justifier l’augmentation tarifaire qui attend ses nouveaux adhérents dès aujourd’hui. Reste à voir si la sauce continuera de prendre à partir de là.

C'est aujourd'hui, jeudi 18 mars, que sort officiellement la nouvelle carte graphique d'AMD : la Radeon RX 6700 XT. Comme pour tous les nouveaux GPU arrivés sur le marché ces derniers mois, le stocks sont très faibles. Partons ensemble à sa recherche.

Le mois dernier, Sony annonçait préparer un PSVR nouvelle génération destiné à la PS5. Le constructeur nous en dit un peu plus aujourd'hui en dévoilant la manette qui l'accompagnera.

Les consoles PS5 continuent de se rendre disponible au compte-gouttes au fil des semaines. Les internautes surveillent donc les petits réassorts délivrés par les distributeurs principaux. Amazon et Cdiscount semblent pour l'heure être les plus souvent concernés. Aujourd'hui, quelques chanceux de plus pourront peut-être récupérer leurs machines next-gen.

Le Corsair K65 RGB Mini 60% est un clavier mécanique de taille réduite, qui sacrifie son pavé numérique pour afficher une taille des plus réduites. Dans le monde des claviers, l’appellation 60% désigne un modèle ultra-compact qui fait environ 60% de la taille d’un modèle classique. La marque Corsair n’avait pas encore tenté l’aventure, mais c’est désormais chose faite avec le K65 RGB Mini 60%. Ce modèle, qui est donc très compact, embarque des switchs de touches mécaniques 100% Cherry MX, un rétroéclairage RVB par touche dynamique, la technologie d’hypertraitement Corsair Axon avec un taux d’interrogation de 8000 Hz, un ensemble de touches PBT à double injection noires ainsi qu’un câble USB Type-C amovible. Ce clavier laisse de côté le pavé numérique et les touches fonctions : pour compenser, ses différentes touches peuvent être associées à différents usages, comme de coutume sur les claviers 60%. Le Corsair K65 RGB Mini 60% est également compatible avec le logiciel Corsair iCUE qui permet de personnaliser le clavier du côté des macros, mais aussi du remappages étendu de touches, ou encore de leur éclairage. Le clavier en lui-même est annoncé au prix de 129,99 euros en trois versions, dotées de switchs de touches différentes : Cherry MX Red pour une frappe douce et linéaire, Cherry MX Silent Red pour une frappe plus silencieuse, ou bien Cherry MX Speed Silver comprenant une d’action ultrarapide, de seulement 1,2 mm. Notons cependant, au risque d’en décevoir certains, que seule la version Cherry MX Red est disponible pour le lancement français, dès aujourd’hui sur le site de Corsair. Enfin, il est possible d’acquérir des kits de modifications de touches Corsair PBT Double-Shot Pro au prix de 29,99 euros l’ensemble : différents coloris sont disponibles, ce qui permet une personnalisation complète du clavier. Tous ne sont pas encore disponibles à la vente en France, mais cela ne devrait pas tarder. Achetez le Corsair K65 RGB mini sur Amazon

La grave pénurie de semi-conducteurs dans le monde du high-tech est en train de poser de sérieux problèmes aux géants du secteur. Samsung s’est décidé à prendre la parole pour anticiper la crise en cours et les déceptions à venir. Les retards de production de PlayStation 5, d’iPhone 12, d’antennes 5G, de cartes graphiques ou encore de certains modèles de voitures Volkswagen et Renault, pour ne citer que quelques exemples, sont dû à une pénurie de plus en plus accentuée de semi-conducteurs, des composants qui entrent dans le cadre de la fabrication d’un très grand nombre d’appareils high-tech. Samsung fait partie des principaux fabricants mondiaux de semi-conducteurs, et l’entreprise a décidé de tirer la sonnette d’alarme cette semaine, durant la réunion annuelle des actionnaires de la firme : la crise va probablement encore durer un bon moment. Pas de nouveau Galaxy Note cette année ? Le co-PDG de Samsung, Koh Dong-jin, estime que la pénurie de semi-conducteurs va avoir un impact très fort sur la production des différents produits de l’entreprise durant le second trimestre de 2021. À tel point que, pour éviter de rajouter des contraintes de production supplémentaires, elle pourrait faire l’impasse sur un nouveau modèle de smartphone Galaxy Note cette année. Cela pourrait permettre à Samsung de se concentrer sur la production de ses terminaux et autres appareils déjà commercialisés. Le site The Next Web, qui rapporte cette information, nuance cependant le propos en expliquant que Koh Dong-jin n’a pas clairement associé la possibilité de ne pas voir arriver de nouveau Galaxy Note avec la pénurie de semi-conducteurs, mais les deux sujets ont été abordés lors de la même réunion. Une situation inquiétante L’une des principales causes de cette pénurie s’avère être, sans grande surprise, la pandémie mondiale du Covid-19, qui a entraîné la fermeture d’usines l’année dernière. Si la plupart ont pu rouvrir depuis, les conditions sanitaires mises en place ralentissent très fortement la cadence de production des composants, qu’il faut ensuite transmettre aux usines qui se chargent d'assembler les appareils qui en sont équipés et qui font face à des limites de production similaires. Si de nombreuses entreprises, parmi lesquelles Sony et Nvidia, ont déjà évoqué la pénurie de composants pour expliquer les retards de livraisons de certains produits, le fait que Samsung monte au créneau permet de gravir un nouveau barreau sur l’échelle du problème, puisqu’en tant que producteur de semi-conducteurs, l’entreprise sud-coréenne a un autre regard sur la situation. Pour résumer, ça ne sent pas bon pour les mois à venir : non seulement la crise devrait durer encore longtemps, mais elle pourrait toucher de plus en plus de secteurs liés aux technologies. Achetez le Galaxy Note 20 au meilleur prix

Après quelques années de fidélité à l’univers PlayStation, Nacon était en 2020 parmi les premiers constructeurs à présenter sa nouvelle gamme de contrôleurs dédiés aux consoles Xbox Series. Aujourd’hui, nous accueillons le premier modèle de cette série sur notre banc de test, le Pro Compact Controller, pour voir s’il soutient la comparaison avec le modèle officiel de Microsoft. Spécifications Compatibilité Xbox One, Xbox Series, Windows Type de connexion USB filaire Boutons d’action 8 Sticks analogiques 2 Pad tactile Non Vibrations Oui, 4 moteurs Batterie Non Poids 170 grammes Une place difficile dans l’univers Xbox C’est malheureusement encore une fois accroché à un câble, tressé et de près de 3 mètres dans ce cas, que Nacon avance son premier modèle pour Xbox. Dans l’impossibilité de créer un modèle sans fil sur cette plateforme faute d’accord avec Microsoft, comme Thrustmaster et Razer avant lui, le fabricant français n’a cependant pas fait le choix de l’eSport ou du haut de gamme pour entrer dans la course. Ainsi, avec un tarif de lancement de 49€, le Pro Compact Controller se place à peine 10€ en dessous de celui de la manette officielle. Un placement tarifaire difficile et une différence de prix très faible, quand on sait que la Manette Xbox Series fonctionne aussi bien avec que sans son câble. Pourtant, au-delà de cette connexion, la manette de Nacon présente une fiche technique équivalente sur le papier à celle de Microsoft. On y trouve le même nombre de boutons, de fonctions avec même une gestion de l’audio, et même deux mémoires de profils, l’une par défaut et l’autre paramétrable par l’utilisateur. Que l’on soit joueur PC ou Xbox, la manette étant utilisable avec les deux plateformes grâce à une connexion XInput à large compatibilité, on profite dans les deux cas d’une application donnant accès à un mapping complet, un calibrage des sticks et des gâchettes, avec zone morte et courbe de progression. De quoi donner un petit air de Revolution à ce modèle Pro Compact. Il faut néanmoins noter que ces courbes ne sont pas manipulables à loisir par l’utilisateur. Nous en sommes en effet en présence de presets fixes, qu’il faut choisir parmi une liste, alors que la largeur de la zone morte centrale est à sélectionner par paliers. Un peu plus accessible, beaucoup moins confortable Nous attendions très clairement que la Pro Compact se positionne comme un modèle de confort, et ce malgré la présence du terme “Compact” dans le nom de sa manette. Malheureusement, c’est bien la compacité qui prime puisque le contrôleur se montre un peu plus petit que la concurrence. Pas de beaucoup, puisque l’épaisseur et la largeur restent comparables à celles de la Manette Xbox Series. Par contre, la profondeur est moindre de près de 2 centimètres, et ce sont principalement les poignées qui font les frais de ce changement. Plus courtes, avec des courbes plus prononcées, on y place le majeur et l'annulaire, mais le petit doigt reste désespérément dénué de point d’accroche. Ainsi, elles peinent à offrir aux grandes mains une prise en main agréable, et particulièrement sur le long terme. Les mains d’enfants y gagneront tout de même en accessibilité des différentes touches, et particulièrement pour ce qui est de la croix directionnelle et du stick droit. Mais n’attendez pas non plus de la Pro Compact qu’elle se présente totalement comme une manette enfant, car ce n’est pas le cas. Ses commandes sont de taille standard et l’écartement nécessaire reste élevé, même pour la tranche d’âge 8-11 ans avec laquelle nous avons fait l’essai. Nous notons tout de même l’effort de Nacon pour offrir un grip de qualité à ses poignées, notamment grâce à la présence d’une texture en relief sur l’ensemble de la partie basse de la coque. Texture comparable à celle de la DualSense, très légère, mais suffisante pour empêcher toute glissade de l’objet en jeu. Des contrôles assez qualitatifs mais perfectibles= Nous avions beaucoup apprécié la largeur et la réactivité des boutons de la Nacon Revolution Unlimited et si la Pro Compact n’en prend pas tout à fait le chemin, elle propose quelque chose de plus grand que les manettes habituelles. Les chapeaux de boutons plus larges, plus hauts, plus plats et plus doux que ceux de la Manette Xbox Series, apportent un certain confort au pouce qui se place au centre, prêt à agir sur la touche de son choix. Dans le même temps, la hauteur d’action et le rebond du ressort restent comparables à ceux du modèle officiel, pour un résultat global très appréciable, où seule la cadence maximale est en baisse. Pas une grosse perte dans la plupart des jeux. Les deux sticks analogiques sont identiques en mécanisme, mais se différencient par la texture de leur chapeau. Celui de gauche propose une surface concave en nid d’abeilles quand celui de droite orne fièrement le logo de la marque. Le toucher est à peine différent, et nous ne notons aucune incidence sur le grip. Ce dernier n’est d’ailleurs assuré que par la texture lisse et caoutchouteuse de l’arrondi de ces sticks, pour un résultat loin d’être catastrophique, mais clairement inférieur à ce que propose la Manette Xbox Series, beaucoup plus marquée dans ses reliefs. En même temps, la résistance des sticks reste très faible et leur maniabilité n’est pas compromise par ce choix. Quant à l’angle maximal des stick, il correspond totalement au choix fait par Microsoft pour son contrôleur, vous ne serez donc pas pénalisé en passant d’un modèle à l’autre. La croix directionnelle est un peu plus problématique. Encore une fois, le modèle choisi pour cette pro Compact ne pose pas de problème particulier, mais il souffre de la comparaison avec la Manette Xbox. Ici, nous sommes en présence d’une croix simple, épaisse, aux directions peu marquées mais à la résistance élevée. C’est loin d’être idéal pour la pratique du jeu de combat ou de plateforme, surtout que la surface lisse est assez glissante. Il faut donc poser son pouce à plat au centre et appuyer nettement dans la direction choisie. C’est source d’erreurs et assez fatiguant à la longue. Pour ses gâchettes et boutons de tranche, Nacon a aussi fait le choix de se différencier de la plupart de ses concurrents avec deux boutons bien séparés l’un de l’autre. Les boutons LB et RB offrent donc une surface assez large, de près de 3 centimètres, avec une force d’appui quasi constante sur toute la longueur, de telle sorte qu’il est possible, comme avec la manette Xbox Series, d’appuyer dessus sans réellement amener le doigt totalement à l’arrière de la manette. Un bon point. La force nécessaire est elle aussi comparable à celle du modèle original, mais avec un toucher moins sec et une profondeur légèrement supérieure. Inversement, les gâchettes sont plus fines, avec une course raccourcie de près de 5 degrés. On y perd en précision ce qu’on y gagne en réactivité, ce qui fait que la manette est moins à l’aise sur les jeux de course que pour ceux où la gâchette sert à tirer, dans des proportions qui n’empêchent pas non plus de jouer quel que soit le genre. On y retrouve d’ailleurs un moteur de vibration dédié par gâchette, ce qui manquait cruellement à la manette premium Wolverine v2 de Razer, avec tout de même un bémol sur la qualité de la vibration, un peu grossière par rapport à celles des Manettes Xbox One et Xbox Series. Constat que nous ne faisons pourtant pas avec les vibrations principales. Notez enfin que la manette est livrée avec une licence Dolby Atmos pour Xbox One/Series, valable dès la connexion de la manette et utilisable autant sur le téléviseur, que sur le port casque de la manette. Une conclusion en demi-teinte Difficile de trouver un public pour ce Pro Compact Controller. La manette ne démérite pas sur la qualité de sa fabrication, mais son ergonomie laisse à désirer, la faute à des poignées peu adaptées aux mains d’adultes, et qu’on ne conseille pas particulièrement à celles d’enfants. Surtout, on ne retrouve pas le confort des anciens modèles de Nacon. Les touches et différents contrôles sont de bon niveau, mais la concurrence incarnée par Microsoft et sa manette officielle fait beaucoup mieux avec des grips de sticks plus élevés ou une croix plus convaincante. Enfin, le tarif finalement élevé et la limitation d’utilisation au filaire, empêchent cette Pro Compact de prétendre être une véritable alternative à la Manette Xbox Series, sur consoles comme sur PC. Une jolie qualité de fabrication De larges boutons, très agréables en jeu Deux mémoires interne avec logiciel de gestion sur PC et console Un câble long et épais Le grip des poignées, léger mais suffisant Désespérément filaire Un placement tarifaire trop proche de la manette officielle Une prise en mains particulière Le grip des sticks est un peu léger La croix directionnelle, trop dure et glissante Difficile pour Nacon de concurrencer la manette officielle pour Xbox Series alors que Microsoft lui refuse l’accès à la technologie sans fil. Pour 10 euros de moins seulement, cette Pro Compact Controller se limite donc au filaire, mais sans proposer de fonctions orientées eSport, et surtout sans égaler sa concurrente sur le plan de l’ergonomie, de la prise en mains ou de la qualité des contrôles. La proposition de Nacon a beau être honnête, avec quelques belles qualités, elle est malheureusement insuffisante à l’heure actuelle dans l’univers Xbox comme PC. 13 Egalement disponible directement sur le site de Nacon

La collection K/DA X Logitech G permet de profiter d’une série d’accessoires gaming à l’effigie du groupe virtuel composé de personnages du jeu League of Legends. Des produits déjà disponibles à la vente. Avec la collection K/DA X Logitech G, la marque de produits gaming commence par redesigner deux de ses produits déjà connus aux couleurs de LoL, à savoir la souris Logitech G502 HERO avec son capteur 25K et ses 11 boutons programmables, ainsi que son clavier mécanique Logitech G PRO avec ses Switchs Clicky et son design compact sans pavé numérique. À cette proposition s’ajoutent quatre nouveaux équipements, à savoir un casque sans fil G733 K/DA et une paire d’écouteurs G333 K/DA, une souris G305 K/DA ainsi qu’un tapis de souris G840 K/DA, le tout aux couleurs du groupe de musique virtuel composé de Ahri, Akali, Evelynn et Kai’sa. « La collection mêle harmonieusement la technologie de haute performance de Logitech G au design unique inspiré du groupe de K-pop » détaille la marque, qui s’est en revanche bien gardée de dévoiler les prix de ces différents produits avant leur sortie. On sait néanmoins que Logitech G est loin d'être la marque qui affiche les prix les plus élevés sur le marché, on peut donc s'attendre à des tarifs abordables. La sortie de cette collection est prévue aujourd’hui, directement sur le site de Logitech G pour commencer. Rendez-vous sur celui-ci pour plus de détails, et pour éventuellement commander les articles qui vous intéressent.

A ma droite, une marque connue pour la qualité sonore et le sérieux de ses produits, une référence depuis quelques années sur le marché du casque avec suppression du bruit : le Bose Noise Cancelling Headphones 700. A ma gauche, un petit nouveau à l'esthétique particulière et avec un tarif qui ne nous surprend pas de la part de son fabricant : le Apple AirPods Max. Un affrontement point par point, et à la fin un seul gagnant de ce versus. Apple AirPods Max Bose Noise Cancelling Headphones 700 Compatibilité Windows, Mac, iOS, Android, Bluetooth, ... Windows, Mac, iOS, Android, Bluetooth, consoles, ... Type de connexion Bluetooth, filaire avec adaptateur optionnel Bluetooth, filaire avec adaptateur fourni Transducteurs 2 x 40 mm 2 x 40 mm Réponse en fréquences annoncée 20Hz-20kHz 20Hz-20kHz Impédance N.C 60 Ohms Sensibilité annoncée N.C N.C Rendu audio (stéréo, 7.1, etc) Stéréo Stéréo Réduction active du bruit Oui Oui Microphones 9 x omnidirectionnels 8 x omnidirectionnels Atténuation des bruits microphone Non Non Accessoires fournis Housse, adaptateur Lightning/USB Housse, adaptateur USB-C/USB, Mini-jack/micro-jack Poids 385 g 260 g Autonomie annoncée 20 heures 20 heures Matériaux et finition : Tout est à l'avantage de l'AirPods Max Du métal pour la partie extérieure des oreillettes, arceau métalique avec une finition gomme dure, l'aspect extérieur de l'AirPods Max est particulièrement réussi avec un aspect premium jamais vu pour un modèle de cette catégorie et qui saute aux yeux dès le premier regard. En face, le Bose Noise Cancelling Headphones 700 a plus de mal à tenir son rang, la faute à un plastique simple, légèrement brillant et surtout omniprésent. Idem avec la surface des oreillettes et l'intérieur de l'arceau qui sont très classiques chez Bose, avec un similicuir légèrement étouffant et une gomme peu qualitative en contact avec le haut de la tête, quand Apple nous sort un tissu aéré pour les oreilles et une suspension légère au dessus de la tête. Nous apprécions aussi la possibilité de retirer les oreillettes sans effort sur l'AirPods Max, pour les remplacer ou les nettoyer. Matériaux et finition sont donc clairement à l'avantage du Airpods Max d'Apple, ce qui n'a rien d'étonnant face à la différence de prix. Et sur ce point, cette différence se justifie parfaitement, le casque de Bose n'étant clairement pas à son avantage. Confort : Des arguments de poids chez Bose Avec plus de 120 grammes de différence à son avantage, le Noise Cancelling Headphones 700 gagne haut la main la palme du confort, ne serait-ce que grâce à son appui plus modéré sur les cervicales pour ceux qui comptent le laisser sur la tête pendant des heures. Le casque de Bose se montre aussi mieux équilibré au niveau de la pression entre le crane et les oreilles, et se règle plus facilement. Du côté d'Apple, le confort ne manque pas particulièrement, notamment au niveau des oreilles où les épaisses mousses assurent une bonne gestion de la sudation. Mais le poids se fait vraiment ressentir avec le temps, surtout au niveau de la toile tendue de l'arceau, qui s'affaisse progressivement au point de mettre le crâne et la tige rigide en contact. Et ce n'est pas très agréable. Nous notons aussi un manque de pression sur la partie basse des oreilles quand le casque est porté par une tête plus large. Pas de quoi laisser fuiter le son, mais suffisamment pour ajouter une légère impression de déséquilibre. Sur le confort, le casque d'Apple est donc distancé par celui de Bose. Ce dernier assure avec une belle tenue de tête, un poids très mesuré, et un équilibre global proche de la perfection, quelle que soit la taille de la tête. C'est le compagnon idéal des longues sessions musicales. Ergonomie et compatibilité : Chacun son domaine de prédilection Pour une utilisation dans l'écosystème Apple, l'AirPods Max est difficile à concurrencer. Il se connecte en moins de 3 secondes, passe d'un appareil à l'autre à la volée, propose des réglages déjà intégrés dans les différents OS de la marque, et ses commandes sont particulièrement pratiques et bien intégrées. Nous apprécions d'ailleurs fortement la molette inspirée des Apple Watch pour le contrôle du volume, des morceaux en cours ou la gestion des appels. Le casque n'en est pas moins compatible avec les appareils sous autres systèmes grâce à sa connexion Bluetooth 5.0 standard. Par contre, gros bémol sur les accessoires fournis avec d'une part une SmartCase qui n'a rien de très pratique, et d'autre part l'absence de cordon pour l'utilisation en analogique avec microphone (un câble mini-jack sans micro étant facturé 39€). Du Côté de Bose, nous profitons toujours du Bluetooth 5.0, mais il s'accompagne sur iOS et Android d'une application quasi obligatoire. Elle apporte tout de même quelques fonctions bienvenues, avec notamment un égaliseur 3 bandes permettant de sculpter un peu le son de base. Attention, le casque se montre globalement moins agréable à utiliser au quotidien : Ses boutons sont fins et difficiles à identifier, et ses commandes tactiles relèvent plutôt du gadget tant elles sont parfois difficiles à gérer. Par contre, Bose a équipé son casque d'une entrée/sortie analogique en micro-jack et fournit l'adaptateur vers mini-jack. Si ce n'est pas parfait, le casque assure tout de même une compatibilité filaire avec nos consoles (Manettes PlayStation ou Xbox, Nintendo Switch) comme avec de nombeux appareils équipés du connecteur mini-jack, et ce sans surcout. Au final, le casque d'Apple montre une certaine supériorité en Bluetooth grâce à l'ergonomie de ses commandes, et particulièrement si vous êtes utilisateur d'appareils de la marque. Néanmoins, le modèle de Bose se défend avec une plus large compatibilité que son câble analogique fournit permet. Considérons cela comme une belle égalité. Qualité sonore et isolation phonique : Apple entre en force sur le marché Si le AirPods Max ne peut pas vraiment se targuer d'être un modèle audiophile, la faute notamment à l'absence de gestion de l'audio en haute définition, son rendu sonore reste très supérieur à celui du Bose. Clarté des aigus, rendu des graves, équilibre des fréquences quel que soit le volume, optimisation de la qualité sonore de vos morceaux en base résolution, le casque d'Apple est une véritable réussite qui permet d'apprécier la musique stockée ou en streaming comme jamais. De son côté, le Bose 700 ne déçoit pas particulièrement, mais il reste un cran en dessous de son concurrent. Il pêche un peu par manque de précision des aigus, ou pour son rendu variant en fonction du volume avec des mediums un peu trop en avant. Pour le reste, il s'en sort honorablement. On se souvient aussi de son argument principal lors de sa mise sur le marché, à savoir son atténuation des bruits ambiants qui permet d'écouter la musique à plus faible volume, voire de profiter du casque simplement pour gagner en qualité de silence ambiant. Sauf que sur ce point aussi, Apple prend le dessus avec un mode ANC (Active Noice Cancelling, soit Réduction Active des Bruits) encore plus efficace, qui vous isole quasi-totalement du monde extérieur, et un mode Transparence qui, au contraire, donc presque l'impression de ne pas avoir de casque sur les oreilles. Et il faut avouer que sur ce coup, la marque californienne fait très fort en se plaçant en nouveau leader de cette technologie. Au final, on se retrouve donc avec deux casques qui n'offrent pas vraiment le même niveau de prestation, tant pour la réduction des bruits que pour la qualité du rendu sonore. Sur ces deux points, c'est bien Apple qui prend la palme. En conclusion : Pas d'avantage net pour Apple malgré une belle différence de prix Le Bose Noise Cancelling Headphones 700 a été lancé à près de 400€ (mais on le retrouve régulièrement sous la barre des 300€ lors de promotions) et le AirPods Max d'Apple dépasse les 600€. De quoi justifier plusieurs points sur lesquels le modèle d'Apple surclasse son concurrent comme la qualité des matériaux utilisés ou le rendu sonore. Il faut aussi avouer qu'Apple a fait un excellent travail pour intégrer son casque dans ses différents OS, avec une molette très pratique et simple d'utilisation. L'Airpods joue aussi la carte de l'ouverture avec un Bluetooth 5.0 qui le rend compatible avec les plateformes non-Apple, mais n'offre pas de solution analogique pour les possesseurs de consoles ou de smartphones équipé de prise mini-jack. Enfin, le casque d'Apple assure vraiment sur la réduction du bruit active, avec deux modes parfait pour voyager ou pour rester en contact avec le monde extérieur. A ses côtés, le Bose Noise Cancelling Headphones 700 perd un peu de sa superbe côté esthétique et sonore, où il ne réussit pas à offrir le même niveau de prestation. De même, on regrette un peu son ergonomie faite de boutons fins ou ses commandes tactiles difficiles à utiliser. Par contre, pour ce qui est du confort, le modèle de Bose dépasse assez largement celui d'Apple, notamment grâce à un poids mieux maitrisé et un équilibre du casque quasi-parfait. C'est probablement ce casque que nous choisirions s'il fallait partir en voyage. Nous apprécions aussi sa compatibilité étendue en filaire et son utilisation en mode passif, sans utiliser la batterie, qui permet de jouer sur nos consoles, tout en profitant du micro quand c'est possible. Au final, l'affrontement de ces deux modèles se montre plutôt équilibré, et à l'avantage du Bose si on prend en compte la différence de prix. Un résultat auquel nous ne nous attendions pas forcément. De notre côté, nous ajouterons une référence chez Razer à regarder de près : l'Opus que nous avons testé tout récemment. Moins cher que les deux casques présentés ici, il propose une ergonomie, un confort, une compatibilité et un rendu proches du Bose 700, la qualité de la réduction des bruits en moins. A voir en fonction de votre budget et de vos besoins. A lire également : * Test du casque AirPods Max : Audiophile, nomade, mais tellement Apple - 23/02/2021 * Test du Razer Opus : Le casque nomade anti-bruit et pro-gaming - 06/03/2021 * Retrouvez notre sélection de casques pour PlayStation 4 et Playstation 5

Aussi bien jouable de façon occasionnelle que compétitive, et parfois utilisé comme un véritable réseau social, Fortnite n'a pour le moment aucun souci à se faire concernant son avenir.

Lancée en septembre 2015 avec la mise à jour 3.0 de la PS4, la fonctionnalité Communautés ne sera plus disponible dès le mois d'avril prochain sur la console de Sony.

Avec le ROG Flow X13 et le boîtier ROG XG Mobile, Asus tente un mélange séduisant : mixer l’univers des ultraportables, petits, légers, mais peu puissants à celui du “gaming PC haut de gamme”, le tout en branchant un seul câble. Ça vous intrigue ? On vous explique tout.

Asus nous annonce l'arrivée de 3 modèles de casques et écouteurs dans sa gamme ROG dédiée au gaming. Au programme, un casque supra auriculaire pour compléter sa série Strix Go et deux modèles d'écouteurs filaires à utiliser sur de nombreuses plateformes. Le ROG Strix Go BT est donc le premier modèle de la série Strix à supporter la technologie Bluetooth, avec notamment une gestion de l'APTX pour profiter d'une faible latence. Les joueurs pourront aussi brancher le casque en filaire grâce à un connecteur standard mini-jack 4 pôles gérant à la fois l'audio en stéréo et le le microphone. Et parce que ANC is the new RGB, le casque proposera une atténuation des bruits ambiants active, du genre de celle que proposent les Razer Opus et Apple AirPods Max que nous avons récemment testés pour vous. D'ailleurs, les écouteurs ROG CETRA II proposeront eux aussi cette technologie, mais cette fois-ci en filaire via un port USB-C. De quoi profiter de ces écouteurs intra-auriculaires sur PC, Mac, smartphones ou Switch, avec soit une atténuation du bruit, soit un mode Ambient qui vous permet d'entendre clairement votre environnement. On nous promet un son clair côté microphone et des basses de qualité grâce aux haut-parleurs Essence d'Asus. Quand au confort et au maintien, il est assuré par un embout en silicone (au choix parmi 4 tailles) et une ailette à placer autour du lobe de l'oreille. Les ROG CETRA II seront de plus accompagnés par une télécommande filaire et un logiciel PC dédié dans lequel vous pourrez calibrer le son à votre goût et contrôler l'éclairage RGB. Enfin, troisième et dernier modèle présenté aujourd'hui, le ROG CETRA Core se présente comme une version analogique pure, avec connexion mini-jack 3.5 4 pôles coudé, et donc une compatibilité élargie à nos consoles PlayStation, Xbox et Switch. Tout ce beau matériel est d'ores et déjà visible sur le site d'ASUS et devrait envahir les étagères des marchands du web entre les mois d'Avril et Mai. Quand aux tarifs officiels, ils sont de 249,99 € pour le ROG Strix GO BT, 139,99€ pour le ROG CETRA II et 69,99€ pour le ROG CETRA Core.

Le mois de mars accueille un nouveau modèle de smartphone haut de gamme, spécifiquement pensé pour le jeu vidéo : voici le ROG Phone 5 de chez Asus, qui profite d'une fiche technique spectaculaire et qui renferme tout un tas de fonctionnalités "gaming" très intéressantes. Si vous aimez les smartphones XXL et très performants, vous êtes au bon endroit.

En début de soirée, Microsoft a mis en ligne un certain nombre de Xbox Series X, et, comme d'habitude, tout est parti très vite. Du côté de Sony, on a aussi opté pour la mise en ligne de stocks limités en attendant de pouvoir fabriquer plus de consoles, et il est possible que des PS5 apparaissent demain, le 10 mars.

Le 17 février dernier, Microsoft dévoilait une toute nouvelle fonctionnalité pour sa gamme de consoles Xbox Series : le FPS Boost. Cette fonctionnalité, d'ores et déjà disponible, a pour objectif de doubler ou même de quadrupler automatiquement le framerate de vos jeux. Cependant, même si l'idée est particulièrement novatrice, cette dernière a récemment été pointée du doigt par de nombreux joueurs préférant mettre en avant la résolution de leurs jeux.

Tout comme la PS5, La Xbox Series X est très difficile à trouver, et les rares stocks disponibles disparaissent en quelques minutes. Toutefois, les joueurs peuvent espérer en obtenir une ce soir.

Deux ans après les premières allusions à propos de la next gen coté Microsoft, les Xbox Series X et S sont enfin disponibles en précommande ! On fait le point.

Les consoles Xbox vont bientôt accueillir la version Chromium du navigateur Microsoft Edge, disponible sur PC et Mac depuis janvier 2020. Elle est actuellement testée auprès de certains membres Xbox Insiders (rang "Alpha Skip Ahead"), en vue d'un déploiement global dans les prochaines semaines.

Razer, marque spécialisée dans le matériel pour joueurs et fabricant de plusieurs casques de référence, s’aventure du côté du grand public avec le modèle Opus, un casque anti-bruit à utiliser avec votre smartphone, votre ordinateur, mais aussi votre console. Nous l’avons testé au quotidien pendant plusieurs jours, voici notre verdict. Spécifications Compatibilité Windows, MacOs, Smartphones, Tablettes, Xbox On et Series, Playstation 4 et 5, Switch Transducteurs 2x40 mm Réponse en fréquence 20 Hz – 20 kHz- Impédance 12 Ohms Sensibilité 105 dB / mW Type microphone 1 x Omnidirectionnel Atténuation bruit micro Non Zones éclairées Non Rendu 7.1 / 3D Non Poids 270 g sans câble Connexions disponibles Bluetooth 5.0 Les meilleures offres pour le Razer Opus : Nomade avant tout Il est livré dans une coque semi-rigide, avec finition tissu à l’intérieur et simil-cuir à l’extérieur, tout à fait équivalente à celle du Bose Headphones 700, et dans laquelle vous pourrez ranger le casque et ses accessoires pour les protéger de la poussière et des coups. Une fois dans le sac, la sacoche se montre assez massive avec 20 x 18 x 6,5 centimètres, mais aussi très protectrice, notamment des coups. L’idéal pour une utilisation au quotidien dans le sac comme dans une plus grosse valise, au milieu de tout votre bazar. C’est en tout cas beaucoup plus efficace que la Smart Case du AirPods Max Apple que nous avons testé il y a quelques jours. Seul bémol, il faut plier le casque d’une façon assez précise pour qu’il rentre dedans, avec un oreillette repliée sur l’arceau et pas l’autre, ce qui demande souvent un peu de réflexion (voire quelques essais) avant de réussir. Une question d’habitude. Le casque est aussi livré avec un petit sac de quelques centimètres carrés pour ranger le cordon USB-A/USB-C de 50 centimètres nécessaire à la charge, le câble mini-jack 4 pôles d’1m20 et l’adaptateur avion mini-jack 4 pôles vers 2 mini-jack 2 pôles. Chipotons encore un peu avec la taille de ce petit sac qui fait perdre un peu de temps pour qui veut ranger ses câbles à l’intérieur, faute d’espace. En tout cas, le Razer Opus affiche ici sa fonctionnalité première, à savoir être un casque nomade que l'on emporte avec soi dans les transports. Il faudra quand même y faire attention Toute cette protection n’est pas là pour rien. Sans être particulièrement fragile, le Razer Opus est loin d’afficher une solidité à toutes épreuves. On est plus sur un petit casque HiFi que sur un large modèle gamer ou sono. L’arceau est fin, les rotules les sont également, et c’est bel et bien le plastique qui fait office de finition comme de structure, à l’exception de deux tiges en métal en renfort des extensions d’oreillettes. C’est donc un modèle à manipuler avec une certaine précaution. Pour autant, la qualité de finition est bien au rendez-vous : pas de vis apparente, des plastiques semi-mat sobres et sans défaut. Nous sommes pas au niveau de ce qu’offre l’Apple AirPods Max, bien évidemment, mais le casque est aussi beaucoup plus léger, avec seulement 270 grammes sur la balance. Il est donc moins pesant sur la tête et sur les cervicales à long terme et se fait plus rapidement oublier. Avec son arceau simple, il vient se poser sur la tête via une mousse assez fine mais suffisamment dense pour que la tige ne presse pas le haut du crâne. Et en termes de taille, nous avons pu l’installer sur une tête d’enfant comme sur une large tête d’adulte, avec de la marge dans les deux cas pour augmenter ou réduire l’écartement. Le confort est au rendez-vous, avec un maintien assez ferme et un casque qui bouge très peu avec les mouvements de tête. Et puis nous apprécions la mobilité élevée des différents éléments grâce à la rotation des oreillettes autour d’un axe vertical de -15° à +90°, et une légère rotation autour d’un axe horizontal de 10° seulement, qui permet au casque de bien se placer quelle que soit la forme de la tête. La double connectique qui le rend multi plateformes Du côté des connexions, le Razer Opus s’appuie sur deux protocoles à large compatibilité : d’une part le bluetooth 5,0 pour une liaison sans-fil avec les smartphones, tablettes, ordinateurs et téléviseurs, et d’autre part une connexion filaire classique, en mini-jack, pour tout ce qui n’est pas compatible bluetooth. Ce qui fait que le casque est utilisable sur l’ensemble de nos consoles actuelles, PS4, PS5, Xbox Series ou One, mais aussi Switch, si on accepte de jouer en filaire. Sachant que le casque fonctionne dans ce cas sans forcément utiliser de batterie, à moins d’activer l’atténuation active des bruits extérieurs. Évidemment, l’Opus n’est pas le premier à proposer cette double connexion et il est clair que cela ne suffit pas à ajouter l’étiquette gamer à un casque de tous les jours. Sauf que nous profitons ici d’un mode à faible latence pour le bluetooth, avec traitement audio réduit au minimum, et d’une gestion du micro dans tous les cas, en sans-fil comme en filaire. L’Opus peut donc être utilisé aussi bien pour répondre au téléphone que pour chatter sur console (sauf sur Switch, évidemment). Il ne lui manque que le dongle fourni, façon ETW 270 Hybrid pour remplir totalement les caractéristiques d’un casque gamer grand public, et nous offrir le sans-fil sur consoles. Au niveau de l’ergonomie pas contre, Razer pouvait mieux faire. En effet, on se retrouve avec quatre boutons fins sur l’oreillette droite, assez peu différentiables (malgré un petit effort pour créer une différence de relief entre les trois premiers). En plus de ça, le casque cumule les multifonctions par bouton avec d’un côté une touche On/Off qui permet aussi de changer de mode d’atténuation, et de l’autre une touche spéciale pour répondre au téléphone, refuser un appel, activer le mode gaming, ou encore contrôler la lecture des pistes. Beaucoup de choses pour de si petits boutons. Bon, ce n'est pas pire que le tactile du Bose 700, mais pas meilleur que la proposition d’Apple. Le support logiciel simple et bienvenu Razer nous propose d’accompagner le casque Opus avec une application mobile dédiée, téléchargeable gratuitement sur iOS et Android. Contrairement au Bose 700, l’application n’est pas obligatoire et il est tout à fait possible d’utiliser le casque en Bluetooth directement. Mais les bonus qu’elle apporte sont appréciables : indicateur de batterie du casque, égaliseur avec presets, gestion de la veille automatique et de l’arrêt automatique quand on met le casque autour des épaules, mais aussi un accès direct au mode d’emploi, ce qui est très pratique face à la complexité de certaines commandes. Nous regretterons simplement l’impossibilité de créer son propre preset , le visuel de l’égalisation n’étant qu’une simple image et non un module pour régler soit même les différentes fréquences. En clair, il faudra faire avec ce qui est proposé, à savoir une égalisation plate nommée THX (pour le partenariat avec le protocole audio), un mode “amplifié” qui booste les médium, un mode vocal avec un peu plus de haut medium pour faire ressortir les voix, le mode “basses améliorées” qui baisse medium et un peu aigus pour faire ressortir les graves, et le mode “clarté améliorée “ qui agit comme un coupe-bas sous 800Hz. Des presets qui sont plutôt pertinents, plus ou moins utiles, et qu’on regrette aussi de ne pouvoir choisir sans utiliser l’application. Côté son, c’est très bon Passer du Airpods Max au Opus aurait dû nous faire un choc assez important, le casque d’Apple étant particulièrement réussi côté sonore (et même pour son prix). Pourtant, il faut avouer que le modèle de Razer s’en sort vraiment bien, avec une belle définition sur l’ensemble du spectre et un équilibre qui fait plaisir à entendre. Alors évidemment, l’Opus n’est pas un casque audiophile et nous n’irons pas chercher la petite bête à ses petits excès dans le bas médium, ou sur la précision de ses aigus quand on pousse le volume. Dans l’ensemble c’est très bon, avec une bonne dynamique et une jolie amplitude de volume, parfait pour une balade en musique en milieu bruyant. Surtout que le casque ajoute une composante anti-bruit à l’équation avec 3 modes d’isolation. Le mode “passif” où l’ANC (Active Noise Cancelling pour Suppression active du bruit) est désactivé, laissant l’épaisseur des oreillettes et des plastiques se charger seuls de protéger vos tympans des bruits extérieurs. Dans ce cas, ce sont les aigus de ces bruits qui sont atténués, et il reste une couche assez épaisse de vibrations dans le medium-grave. Une fois l’ANC activé, ces medium-graves tombent presque dans l’oubli, laissant à nouveau apparaître quelques medium-aigus dans le fond. L’effet est efficace dans les transports, en train, avion ou voiture, puisque le bruit des moteurs ou des roulements devient quasiment inaudible. Reste tout de même un petit effet de souffle en fond, et l’impression d’être très cloisonné (les claustrophobes apprécieront moyennement). Ca reste aussi un cran en dessous de la proposition d’Apple, notamment avec les voix environnantes qui ne sont pas aussi bien atténuées. Le mode Ambiant souffre aussi de la qualité des micros qui équipent ce casque, surtout en comparaison avec le AirPods Max. On est très loin de l’effet “transparence”, avec simplement une atténuation plus limitée sur les aigus, mais qui manque de définition. Vous ne pourrez pas tenir une conversation normale avec quelqu’un en gardant le casque sur les oreilles. Mais dans l’ensemble, c’est correct, comparable aux propositions de Bose ou Sony, avec un signature sonore qui reste cohérente quel que soit le mode d’atténuation activé. Dans l’ensemble une belle réussite Le Razer Opus est certes un casque nomade avant d’être un casque gaming, mais nous avons apprécié son utilisation dans les deux situations. Le fait qu’il soit utilisable avec son micro pour téléphoner ou chatter, avec un son correct et intelligible (qu’on ne vous conseille pas pour du streaming non plus), fait de lui un compagnon très agréable, surtout que sa batterie tient bien le choc avec plus de 20 heures d’utilisation en continu à plein volume et la possibilité de passer en filaire si nécessaire. Il est aussi facile à ranger, agréable à porter, il vous protège des bruits ambiants et sonne très bien. Peu de regrets finalement, si ce n’est son apparente fragilité qui demandera quelques précautions de manipulation, et de bien le ranger dans sa coque pour le transport pour éviter les rayures. Pour un peu plus de 200€, ce qui reste assez cher mais inférieur à ses concurrents les plus prestigieux, Razer signe un joli modèle, léger et performant, que l’on a plaisir à utiliser au quotidien. Un casque sobre, léger et élégant Une très bonne sonorité, équilibrée et sans agressivité 20 heures d’autonomie L’isolation phonique assez efficace dans les transport Une large compatibilité L’application non obligatoire mais bienvenue Un casque qui nécessite de l’attention au rangement Ergonomie des boutons perfectible L’isolation manque un peu d’air Bravo à Razer pour ce premier essai dans la gamme des casques audio anti-bruit. L’Opus est agréable à porter, il est pratique et convient parfaitement à l’écoute de musique, au visionnage de films ou au jeu vidéo, notamment grâce à une compatibilité avec de nombreuses plateformes en Bluetooth comme en filaire. Le tarif est certes un peu élevé, mais c’est le prix à payer pour avoir un casque performant, avec une belle signature sonore. 17 Achetez le Razer Opus directement sur le site de Razer

En quelques mois seulement, le Quest 2, le casque de réalité virtuelle de la marque Oculus, s'est placé comme un indispensable pour tous les joueurs aimant la technologie. En plus d'être complètement autonome et surtout bien plus ergonomique que son prédécesseur, l'appareil est également capable de rivaliser avec l'Oculus Rift S. C'est donc sans surprise, que le casque a réussi à s'imposer auprès des joueurs depuis son lancement en octobre dernier.

Après le déploiement d'une mise à jour 8.00 en octobre dernier, la PS4 serait sur le point d'en accueillir une nouvelle, déjà soumise à une poignée de testeurs.

Les lunettes connectées Razer Anzu font leur arrivée surprise au sein du catalogue du constructeur californien : destinées à protéger leur porteur face à la fatigue oculaire, elles embarquent également des écouteurs et un microphone. Plutôt que d’utiliser un casque devant votre écran, et si vous optiez pour une paire de lunettes connectées ? C’est la proposition faite par Razer avec les Anzu, un nouvel appareil intelligent tout juste dévoilé par la marque. Il s’agit d’une monture qui, de base, embarque des verres standards capables de filtrer 35% de lumière bleue, dans l’optique de réduire la fatigue visuelle des utilisateurs intensifs d’écrans. « Pour les activités de plein air, des verres polarisés de remplacement sont inclus dans la boite pour protéger les yeux contre 99% des rayons UVA/UVB », ajoute la marque. Achetez les Razer Anzu sur le site de Razer Les porteurs de lunettes « classiques », c’est-à-dire avec des verres correctifs, peuvent choisir de faire des Razer Anzu leur paire du quotidien, grâce à un partenariat avec la plateforme Lensabl. Problème, cette dernière ne gère les ordonnances et les envois qu’aux USA et au Canada : Razer n’a pas précisé si des partenaires européens étaient prévus à l’avenir. Des lunettes Bluetooth polyvalentes Filtrer la lumière bleue, c’est bien, mais proposer en prime des écouteurs et un microphone intégré, c’est mieux. Les Razer Anzu permettent donc d’écouter de la musique, mais aussi de passer et de recevoir des appels en mode mains libres, via une connexion en Bluetooth 5.1. L’électronique se trouve au sein des branches de la monture, et Razer promet une latence de 60 ms, soit « la meilleure du marché pour un son fluide et sans coupure ». L’autonomie annoncée est de 5 heures par charge. Une application mobile disponible sur iOS et Android est destinée à offrir un aperçu concret de l’autonomie restante, mais aussi un ajustement des différents réglages de l’appareil. Enfin, les lunettes sont également étanches aux éclaboussures selon le standard IPX4, au cas où vous auriez envie de les porter sous la pluie ou en faisant du sport. Livrées avec deux paires de verres, un chiffon, un câble de chargement USB-A et un étui de transport, les Razer Anzu sont d’ores et déjà disponibles au prix de 209,99 euros sur le site de la marque. Comptez 34,99 euros pour acquérir une paire de verres de remplacement.

Bloomberg relance l'éternelle rumeur d'un nouveau modèle de Nintendo Switch. Selon les sources du média, une "Switch Pro" serait bien prévue pour la fin d'année 2021, malgré les récentes déclarations de Nintendo indiquant qu'aucune annonce en ce sens ne sera faite prochainement.