Au fait, en cas d'espionnage, on procède comment ?
Bah tu espionne quoi
g pa lu mdr
Bouyides
Al Hashashiyoun
On rapporte qu’a Masyaf en syrie git une confrérie.. Chiite ismaélienne differente de tous ce que l’on connait
Leur membres obéissent a celui qu’on appelle le vieux de la montagne…
Aujourd’hui au palais deux hommes étranges se présentèrent au calife
-Assalamou Alayka O calife et descendant du prophète
-Waleykom assalam…Etrangers
-Nous sommes envoyé depuis Masyaf ou..
-GARDES !!! , le calife les reconnut enfin a leur accoutrements se sont les Hashanshin
Les gardes du palais arrivèrent, mais les deux hommes les tuèrent sans grande difficulté
- http://www.noelshack.com/2015-28-1436193264-assassin-s-creed-1336034373.jpg
- O Emir des Croyants , si nous voulions vous tuer , nous l’aurions fait depuis longtemps , nous aurions meme pu tuer votre ennemi d’aujourd’hui le khal
- M…mm.mais Que voulez vous
- La vrai question est qui nous sommes, nous sommes les fantômes.. nous sommes la lumière qui agit dans les ténèbres, et nous voulons vous servir … voici une lettre de notre maitre pour vous…
Emir et descendant du prophète, votre sang est béni et votre lignée est favorisée d’Allah
Recevez , ces Deux hommes pour garde , Seuls eux peuvent vous protéger
Quant a cette lettre si vous voulez employez nos service dites oui a haute voix et mes serviteur ce déploieront dans le monde pour vous servir …
- Qu’est-ce donc que cela dit Youssef ? vous prendre comme garde Alors que vous avez tué les miens ? comment puis je avoir confiance
- Nous vous l’avons dit Maitre des Hommes… Nous pourrions vous tuer mais jamais nous n’oserions toucher a un de vos cheveu divin
- J..Je..jee
- Acceptez par Allah nous vous en supplions et acceptez la proposition du maitre …
- J’accepte …. J’accepte Tous..
https://www.youtube.com/watch?v=OLn1i0UxQGE
Sitôt que l’émir Accepta le bruit d’un Aigle retentit dans le palais , l’accord est scellé , les Hashashioun , travaillent desormais pour le Calife…on vit au loin un homme courir avant de disparaitre dans la foule
- Qui EST CE ??!!
-Altair..c'est un jeune Apprenti , la prochaine fois , vous ne le verrez plus
le vizir entra avec un baton ayant vu le jeune homme fuir du palais il cru le pire
-MAIIITRE JE VOUS DEFENDRAISS MA.,, Hein ?
-Vizir...
-Maitre vous allez bien ? qui sont ces hommes...?
-Ils s... ce jeune homme a tué mes gardes , ces hommes m'ont sauvé de lui et grace a eux je suis en vie je les ai promut garde royaux
-ils vous ont defendu contre un jeune eunuque et vous les promettez gardes ?
-Bon sang tais toi vizir et occupe toi donc plutot de ces deux cadavres GISANT SUR MON SOL !!!!
-oui Maitre
le vizir sorta ...
-N’ayez crainte nous vous protégeons.. et la confrérie est désormais vos oreilles dans ce monde… et personne ne saura jamais quoi que ce soit ….
-Ha, Personne ne peux me proteger de mon vizir...
-Voulez Vous que l'on le..
-NON !! Par Allah c'etait une blague .... heuu heu prenez vos postes..
-Nous écoutons et nous obéissons...
Khazarie
L'armée khazare
Elle est composée de différents types de cavaliers, chacun ayant un équipement adaptés à la fonction qui lui a été assigné.
Les Khazars
Les Khazars composent le gros des troupes. Ils se réunissent sur le champs de bataille par groupe variant de 300 à 500 cavaliers, le nombre étant toujours sensiblement différent d'un groupe à l'autre pour briser la prévisualisation des déplacements ou des stratégies pour l'adversaire.
L'arc utilisé par les Khazars a une fabrication tenue secrète par les artisans sachant les faire. Leur forme dites « reflex » permet d'avoir une possibilité de tractation semblable à celle d'un arc long, avec toutefois un arc beaucoup plus court. Les matériaux de l'arc sont chers et il est long à fabriquer, mais la nature chasseresse et guerrière des Khazars font que tous les hommes en sont dotés d'un depuis l'enfance. L'arc permet donc de tirer à cheval jusqu'à 200 mètres de distance tout en étant mortel.
[1]
[2]
On distingue dans les carquois des Khazars deux types de flèches différentes, dont les usages varient sensiblement. Les flèches classiques [1] sont utilisées sur les soldats faiblement équipés comme l'infanterie légère ou les autres cavaliers sont armures. Celles-ci font un dommage maximal lorsqu'elle pénètre, puisque étant volontairement légèrement dévissée, les têtes se détachent une fois rentrées dans les plaies. En conséquence, il est très dur et douloureux de les extraire.
La seconde catégorie de flèche est beaucoup plus simple à faire, et se révèle particulièrement utile selon les contextes. Elle apparut après les contacts avec les cataphractaires et l'adoption de leurs techniques par certains nomades. Ces flèches sont des perce-mailles, c'est-à-dire qu'elles sont adaptées à la pénétration des côtes de maille et autres armures lourdes. Elles pénètrent profondément dans la chair et rompent les muscles par ce procédé. Elle se révèle toutefois moins efficace que la première flèche sur des ennemis déjà sans armures ou peu équipés.
En définitive, l'archer Khazar est capable de tirer prêt de 6 fois par minutes de manière précise, à longue distance et au galop. Ainsi, chaque groupe de 400 Khazars tirent prêt de 1600 flèches par minutes. Alors que le Khazar tire sa troisième flèche, sa première vient seulement de toucher l'ennemi. Un tel résultat est obtenu grâce aux milliers d'heures passés à cheval et au tir à l'arc par tous les Khazars depuis l'enfance.
Le sabre utilisé par les Khazars (qui est également celui utilisé par les Tcherkesses) est légèrement courbé et est tranchant que d'un seul côté, ce qui lui confère des propriétés spéciales, particulièrement utiles à cheval.
L’intérêt d’une telle arme, c’est que sa lame courbée permettait de glisser sur les surfaces dures (armure, cotte de mailles, etc.) et permettait de reprendre une attaque manquée. C'est une lame plutôt rapide. De plus, du fait de la courbure de la lame, le sabre tranchait le tissu là où une épée droite se bloquait, empêchant la création d’une plus grande plaie. Ses effets dévastateurs sur le champ de bataille ne faisaient aucun doute.
L’arme atteint parfois les 90 cm (plus de 70 pour la lame). La lame a un seul tranchant et elle se termine par une pointe très efficace pour les coups d’estoc, les coups de taille étant renforcés par l’élargissement et l’alourdissement de la lame vers la pointe.
L'armure employée par les Khazars étaient en cuir, permettant une légèreté optimale et un déplacement très rapide sur le champs de bataille. Par ailleurs, elle permettait dans une certaine mesure un minimum de protection face aux attaques au corps à corps et dans une moindre mesure, contre les flèches mal tirées.
Les Tcherkesses
Ils portent un équipement sensiblement différent de leur confrère Khazars. Le seul point commun en réalité réside dans l'utilisation du même sabre, pour ses propriétés extraordinaires. Ils portent également un bouclier en cuir, suffisamment résistant pour contrer les coups d'épée et les flèches non perforantes.
L'armure portée par les Tcherkesses est en fer, recouverte par une couche de cuir. Ils sont ainsi indistinguables de leurs confrères Khazars, l'ennemi ne pouvant pas deviné s'il s'agit alors de la cavalerie légère ou de la cavalerie lourde.
Leur charge unie et leur fidélité pour le Khal en font d'eux les soldats les plus puissants de toute l'armée.
L'Ordre du Loup
Ils ont des armures en cuir très légères, le bouclier en cuir et le sabre traditionnel. Ils forment ainsi la cavalerie légère chargée de harceler les archers au sol, les engins de siège à portée ou encore d'intercepter les charges de cavalerie légère ennemie.
Les Avars
Ils disposent d'un équipement identique à ceux des Khazars, avec en plus un bouclier en cuir semblable à ceux des Tcherkesses. Ils peuvent donc occuper le rôle des Khazars puis celui d'une cavalerie légère chargeant traditionnelle.
Matériel militaire: 18500 hommes.
3000 archers montés Vadariots
2000 légionnaires lourds de métier
3000 Fantassins Arméniens de métier
2000 Archers Arméniens de métier
1000 cavaliers Arméniens de métier
1200 Fantassins Vaspourakans de métier
300 cavaliers Vaspourakans de métier
3000 fantassins Arabes classiques
1000 archers Arabes Classique
2000 cavaliers Ghulam lourds du Khawarezm de métier évidemment
Engins de sièges: Huile inflammable, catapultes, balistes, polybolos.
Les armés pour défendre le causase viennent de l'est comme de l'ouest: arabes, byzantins et Arméniens collaborent pour vaincre les barbares Khazards.
Armés d'Arménie
Les Fantassins arméniens sont des experts du combat au corps à corps et contre tout types d'ennemis à cheval ou non, des années de guerre civile les a endurci et leur a appris à combattre des ennemis plus nombreux qu'eux.
Ils combattent en formations dit de phalange comme les célèbres phalanges grecques. Chaque soldat protège son partenaire d'à côté avec son bouclier, ils sont ainsi protégés des flèches et des coups directs la plupart du temps. Ils tiennent leurs lances tendus droit contre l'ennemi et enfourchent chaque adversaire approchant de trop près, ceux qui fait d'eux une unité très efficace contre la cavalerie grâce aux lance et au fait que si la phalange est bien organisée, elle peux résister à une charge de cavalerie.
L'équipement du fantassin est composé d'une lance perforante, d'un bouclier solide et aussi d'une épée longue, pour que si ils doivent séparer la phalange, ils puissent se battre efficacement contre les fantassins ennemis à l'épée ou contre la cavalerie à la lance. Ils sont rompus au combat au corps à corps à l'épée et au bouclier comme à la lance. Ils sont capables de jeter leurs lances avec précision.
Leurs armures sont légères tout en offrant une bonne résistance: des mailles de fer surmontés d'un plastron de cuir ainsi que de brassards, épaulettes et protége-tibiats en cuir, ils possèdent aussi des casques en fer fait de telle manière qu'ils ne gênent pas la visibilité tout en les protegants. Ils allient mobilité, précision, puissance et protection ainsi qu'une loyauté et organisation exceptionnelle. C'est le bras armé de l'Armenie.
Les archers Arméniens sont tout aussi efficaces: rompus au tir groupé comme au tir désordonné, ils sont très précis et atteignent très souvent leur cible. Équipés d'un arc long leur permettant de tirer à longue distance mortellement, ils possèdent aussi une épée courte si jamais ils devaient se battre au corps à corps. Leur armure est faite de cuir. Ils sont tout aussi loyaux que les fantassins. La guerre civile a fait d'eux des tireurs d'élite.
Les cavaliers Arméniens sont des cavaliers légers équipés d'une lance, d'une épée longue, d'un bouclier de cuir rond assez solide pour arrêter les coups d'épée ou les flèches basiques. Ils sont équipés d'une armure de cuir renforcé, ils sont très rapides, parfaits pour mettre en déroute les archers qui n'ont la plupart du temps pas le temps de viser, les cavaliers bougeant trop vite. Ils sont moins efficaces contre la cavalerie lourde. Pendant la guerre civile, ils ont appris à se battre contre des ennemis dispersés.
Armés Arabes
Les Fantassins Arabes sont équipés de cimeterres et de boucliers rond de la meilleure qualité, capable de bloquer la plupart des attaques et les cimeterres capable de transpercer la plupart des armures. Ils portent des armures de cuir renforcés avec de la mousse.
Les archers Arabes sont très rapides ne possédant presque pas d'armure, ils sont capables d'éviter la plupart des attaques. Ils sont équipés d'arc sarrasins courts mais aussi puissant que des arcs long et étant très précis et mortels à 120m.
Les cavaliers Ghulams sont les plus puissantes unités de l'Empire Bouyide, aussi lourds que les Cataphractaires et armés jusqu'aux dents. De tradition Turkmène, ils font trembler les Khazards.
Armés de Byzance
Les Vardariots sont les archers montés de Byzance, lourdement armés et équipés de lourdes armures, ils sont aussi précis que les archers Khazards mais moins rapide tout en étant plus protégés.
Les Légionnaires sont l'infanterie lourde de Byzance: leur armure lourde est aussi solide que leur discipline et leur fidélité. Ils sont rompus au combat contre tout types d'adversaire et sont de très grands combattants.
Vaspourakans
Les Vaspourakans sont semblables aux Arméniens.
Engins de siège
Les Catapultes sont des machines de guerre permettant de tirer des boulets enflammés ou non dévastateurs démoralisant l'ennemi et les fauchant.
Les Balistes sont de grandes machines tirant de grandes flèches perforantes et très puissante à toutes distances. La vue de ses engins démoralise l'ennemi.
Les polybolos sont des genre de petites balistes capable de transpercer 3 hommes à 120 mètres de distance, une plaque de bois situé à l'avant protège le tireurs des flèches ennemies. A courte comme à longue distance, c'est une arme dévastatrice.
L'huile inflammable est stocké dans des barils et peux être renversé sur le champ de bataille pour enflammer la zone et affoler l'ennemi et les destriers. Elle peut être aussi utilisé pour lancer par dessus les murs pour empêcher l'ennemi de passer et pour faire des pièges explosifs.
Franchement ahpiti, tu n'as rien à craindre de moi, j'ai des chats à fouetter. Pas un tigre
Sérénissime République de Venise
Venise via Europe de l'Ouest
Depuis quelques temps,les marchands vénitiens commercialisent un nouveau produit d'Orient,le chanvre.Cette herbe,inconnue jusqu'alors,a commencé à faire des émules dans les cour européennes.De plus en plus de nobles s'essayent à la fumer,sans toutefois provoquer des troubles aussi important que pour le Doge de Venise.
Je suis de l'Europe de l'Ouest ?
Le 06 juillet 2015 à 19:15:06 Mafeking a écrit :
Je suis de l'Europe de l'Ouest ?
Ouais,enfin tu risque aussi d'avoir des nobles fumeurs de weed étant donné nos relations commerciales
Duchés de Gwynedd
« - Très bien faisons ça. » C’était Cadwallon autour de la table du conseil restreint, ils venaient d’établir la stratégie à adopter.
« Si tout se passe comme il le faut dans une semaine, le projet sera lancé et dans un an, il sera fini. Mais assez parlé de ça, demain se déroule mon mariage et ce serait dommage qu’il soit gâché par des préparatifs. Messieurs comme demain est un jour de fête, je vous ordonne d’aller rejoindre vos quartiers afin de vous y reposer. » Dit-il avec un air joyeux et bienveillant
Le lendemain
Le temps était à la fête, le mariage s’était déroulé sans accroc et sa célébration se déroulait à présent. Tout le monde parlait, criait, buvait, bref tout se passait bien.
Cadwallon paraissait bien s’entendre avec celle qui est désormais son épouse et on remplissait sa coupe aussi vite qu’il la finissait. A chaque personne qui venait le féliciter, un nouveau coup à boire, de nouvelles gorgées.
A la fin des célébrations, la nuit de noces commença. La duchesse et le duc était maintenant à deux dans leur chambre.
« - Dites-moi mon duc, que diriez-vous de commencer cette belle nuit ? » La duchesse demandait assise sur le lit avec un ton enjoliveur. Cadwallon était à quelques mètres de ce même lit en train de finir une bouteille d’un alcool quelconque.
« - Ma foi pourquoi pas… » Il se rapprocha du lit et, ayant fini sa bouteille, en prit une autre de rouge cette fois-ci. Joli cadeau pensa-t-il.
Les deux amants s’embrassèrent et Gwenaëlle descendit près de l’intimité du duc, défit son pantalon, l’ouvrit et regarda l’engin. Elle demanda, toujours avec ce fameux ton enjoliveur :
« - Je ne vous plais pas assez c’est cela ?
- Hooooo il est pas prêt ! –Le duc était rond comme une queue de pelle- Attendez je vais le réveiller, DEBOUT LÀ DEDANS FAUT BOSSER »
La duchesse se rendit compte de l’état d’ivresse de son amant et tenta de mettre les mains
« - NOOOOON ! Attends, je connais un truc pour que tu puisses pas voir le dragon blanc aux yeux bleus et pas… -Il regarda son entrejambe- le vermisseau de Pétouillis-les-bains. C’est très simple, tu dois répondre à des énigmes…
- Bon d’accord » dit-elle résignée
- « Qu’est ce qui est petit et marron ?
- Un marron ?
- Ouiiiiiiiiiiii bravo ! Deuxième énigme ! Devine qu’est ce qui est... Smfffrt… Petit, carré et… Et… Et jaune ?
- Un petit carré jaune ?
- T’ES TRÈS FORTE dit donc… Dernière énigme… Je réfléchis… Devine à quoi je pense !
- À un clafoutis ?
- A UNE PART DE CLAFOUTIS !
- Ca va, c’est la même chose.
- QUAND ON CONFOND UN CLAFOUTIS ET UNE PART DE CLAFOUTIS ON FAIT PAS LA MALIGNE ! Mais tu as été valeureuse, je te donne une chance en plus !
- Géniaaaaaaaaaaaaal ! » le ton sarcastique accompagnait bien sûr ces paroles.
- « C’est une énigme balèze celle-là ! Mon coup n’est pas fatal, mais je fais parfois mal. Souvent je suis dressé et sent bon la marée. Qui suis-je ?
- Un phare un Bretagne ?
- https://www.youtube.com/wom/watch?v=wYfZf7pBXDU#t=0m16s » Lui répondit-il. Il regarda la bouteille qu’il tenait dans sa main et qu’il venait de finir. « Wo, elle tape fort la bibine ! » Et il s’affala aussi tôt, il s’endormit du même coup.
La duchesse ramena le corps du duc sur le lit pour qu’à son réveille il n’ait rien à part un mal de crâne. Elle se dit qu’elle allait avoir une nuit tranquille mais elle ne savait pas comment le prendre.
4 heures plus tard
« J’ai un pic vert dans la tête, c’est normal ? » C’était le duc qui venait de se réveiller. Il avait adressé sa question à sa chère et tendre mais elle dormait. Il porta ses yeux dessus et pensa qu’il avait une manière de le faire partir ce maudit oiseau.
« - Ma chère Gwenaëlle, j’ai quelque chose à te montrer…
- Meaaaaf… Quoi donc ?
- Une chose que l’on m’a apprise à Bagdad, ils appellent ça la brouette arménienne.
- Et c’est quoi cette brouette ? »
Il la prit par les épaules pour toute réponse et lui fit ce qu’il avait promis et le reste des ébats dura toute la nuit.
Le duc voulait que sa descendance se fasse le plus vite, il recommença donc le lendemain.
J'ai horreur d'être en fin de page pour poster
Rus' de Kiev
Localisation: Est de l'Europe, de la Baltique à la mer noire.
Population: Plus ou moins un million d'âmes.
Régime: Conglomérat de principautés sous l'autorité du Grand-duc de Kiev.
Deux morts et une renaissance
Novgorod était belle en ce jour, se dit le prince Iaropolk. Le conseil du Kremlin était terminé et le temps semblait clément, tous s'accordaient pour dire qu'une partie de chasse serait des plus divertissante étant donné ces circonstances. Iaropolk s'empressa d'enfiler sa tenue et demanda à ses gens de faire seller son cheval, ce qui fut fait dans la minute. Une trentaine de boyards et leurs écuyers se joignirent au prince en cet après-midi, sortant de la ville au trot. Iaropolk, en tête du cortège, n'était précédé que par une centaine de chiens (des laïkas) et les veneurs qui les tenaient. Le sous bois fut atteint rapidement et il ne fallut guère attendre d'avantage pour qu'une première bête ne soit flairée. Les groupes de chasse se scindèrent pour lancer la traque et les chiens furent lâchés. Iaropolk partit avec trois des membres de sa famille dans la direction qui lui semblait la meilleure. Fruit du hasard, il fut le premier a retrouver la trace du gibier en fuite. C'était un gros animal à n'en pas douter.
Soudain au galop, le prince arriva une centaine de mètres plus loin dans une clairière que le soleil illuminait. Les chiens ne l'avaient pas encore trouvé mais la bête se tenait là, à l'autre bout de cet espace que les arbres avaient déserté. C'était un ours. Que faisait-il si proche de la cité ? s'interrogea-t-il. Peu importe, il le tuerait et sa peau ornerait ses épaules sous peu.
http://img1.gtsstatic.com/wallpapers/17cda7a07a1de39c09e053f911e3be51_large.jpeg
Abaissant sa lance, Iaropolk chargea le monstre, qui, dans un rare élan de lucidité, se déroba sur le côté et saisit le cheval à l'encolure de ses griffes puissantes. Iaropolk chuta et se retrouvit aux prises avec l'ours, dégainant dans la précipitation sa dague. La bête était beaucoup plus forte et commençait à taillader le torse du prince sans que celui-ci ne parvienne à se dégager ou à lui porter un coup. Heureusement, la horde de chiens, aboyante et gémissante, arriva à toute vitesse et fondit sur l'énorme créature. Dès lors Iaropolk réussi à planter sa lame dans le cou de l'ours, qui s'immobilisa instantanément et s'effondra alors qu'un torrent de sang ruisselait au sol. Iaropolk s'en était sorti, mais bien mal en point...
De nombreuses griffures avaient atteint ses membres supérieurs et sa jambe s'était cassée dans la chute. Il mourut quelques jours plus tard de l'infection de ses plaies. Comme un signe des dieux, le vieux Sviatoslav, Grand-duc de Kiev, parti rejoindre ses ancêtres dans la même journée, laissant la Rus' de Kiev orpheline de deux de ses plus grands chefs. La tragique nouvelle créa un profond émoi dans toutes les couches de la société, témoignant ainsi de l'amour que le peuple portait pour ses dirigeants.
Après la mort de Iaropolk et de Oleg, il ne restait plus que Vladimir, troisième fils de Sviatoslav, pour monter sur le trône de Kiev et assurer la succession.
L'homme, déjà adulte, avait été grandement élevé par sa grand-mère, Olga la chrétienne, et n'était originellement pas destiné à supporter les responsabilités qui lui incombaient à présent. Vladimir avait 25 ans et souffrait depuis toujours d'un mal étrange à la jambe droite qui l'empêchait de monter convenablement. La cérémonie d'intronisation devait immédiatement succéder aux funérailles de Sviatoslav et de Iaropolk afin d'assurer la continuité de la dynastie. Les deux événements furent donc fixés le même jour.
Une semaine avant, un moine byzantin, qui avait probablement appris la chose, rendit visite à Vladimir pour l'entretenir.
Ses mots furent précis et juste, il savait que Vladimir avait reçu une éducation chrétienne et songeait depuis longtemps à se convertir. Il avançait que les morts simultanées de Sviatoslav et de Iaropolk symbolisaient l'abandon des dieux païens, et que Vladimir devait faire renaître la Rus' dans la gloire du Christ.
Un moment sceptique, Vladimir questionna le moine:
-J'entends ce que tu me dis, mais pourquoi devrais-je écouter un moine grec se disant romain ? Ton peuple n'existe plus et sa légende est enterrée, vous avez vendu votre âme aux vrais romains d'Italie. Quelle légitimité accorder à tes paroles ?
-laisse moi t'expliquer répondit l'homme. Le cosmos des grecs anciens étaient l'image d'un univers qui ne devient pas, mais qui est. En conséquence le grec lui-même était un homme qui jamais ne devint, mais qui toujours fut, et il en est de même aujourd'hui. La foi en Christ et nos traditions grecques ont conquis Rome, non l'inverse. Aujourd'hui tu as l'opportunité de sauver ton peuple du désarroi qui l'accapare, entend l'Eternel et laisse sa parole entrer dans ton coeur.
Songeur, Vladimir remercia le moine et s'enferma dans une forteresse de silence pour méditer jusqu'à la double cérémonie.
Le jour venu, il sortit de son isolement et rejoint la grande cour du Kremlin pour assister aux funérailles de son père et de son frère. Le sol avait été recouvert de pétales de fleurs et on avait lâché des faucons, qui volaient maintenant entre les tours du palais, symbolisant la liberté de l'âme des deux grands guerriers.
Les dépouilles traversèrent la haie d'honneur que les soldats avaient formé. Ces derniers, les yeux inondés de tristesse, regardaient le corps du Grand-duc qui avait été soigneusement enroulé dans un linceul pourpre.
Vladimir leur rendit un dernier hommage avant de les accompagner dans le mausolée de la dynastie. En sortant il exhorta son peuple à le suivre dans la vieille ville, jusqu'à une étrange bâtisse toute de bois construite. Il s'agissait de l'église de la minorité chrétienne de Kiev. Ne comprenant pas, tous suivirent Vladimir à l'intérieur. Le successeur de Sviatoslav se trouvait devant le moine de Constantinople qu'il avait rencontré auparavent. Celui-ci lui présenta une croix devant le visage, qu'il embrassa aussitôt avant de recevoir le bain baptismal selon le rite grec. En arrière plan d'autres moines entamèrent un chant religieux en vieux slavon.
https://youtu.be/-2it--2P-ag
"Aujourd'hui, dit le moine, en l'an de grâce 1000, ô combien symbolique ; au terme du premier millénaire qui a vu le Seigneur Jésus-Christ annoncer la Nouvelle Alliance aux hommes, moi, Anastase de Constantinople, m'apprête à faire revêtir le Christ à Vladimir Sviatoslavitch de la dynastie des Riourikides, fils de Sviatoslav et de Maloutcha la Norvégienne, Grand-duc de Kiev et de toute la Russie kievienne.
Le Seigneur t’exorcise, Satan, car il est venu dans ce monde et fixa sa demeure parmi les hommes pour abolir ta tyrannie et délivrer le genre humain ; sur la croix il triompha des puissances ennemies, quand le soleil s’est obscurci, que la terre a chancelé, que les tombeaux se sont ouverts et que de nombreux saints ressuscitèrent en leur corps ; par sa mort il a détruit la mort, c’est-à-dire toi-même, le Diable.
Vladimir ! Tourne toi vers l'Occident, lieu où meurt le soleil et renonce à Satan !
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/8b/Vasnetsov_Bapt_Vladimir.jpg
-Je renonce à Satan. Je renonce à Satan. Je renonce à Satan. Répéta le catéchumène.
- Vladimir ! Tourne toi vers l'Orient, lieu où le soleil naît et répond moi: Crois-tu en Dieu ?
Vladimir récita alors le crédo qu'il connaissait depuis son enfance. Le moine, agitant un encensoir au dessus de lui, prononça alors les mots annonçant la sanctification des eaux baptismales:
-Dans le Jourdain lorsque, Seigneur, tu fus baptisé, à l'univers fut révélée la sainte Trinité ; en ta faveur se fit entendre la voir du Père te désignant comme son Fils bien-aimé ; et l'Esprit sous forme de colombe confirma la vérité du témoignage. Christ notre Dieu qui t'es manifesté, illuminateur du monde, gloire à toi !
Vladimir s'immergea alors par trois fois, une pour le Père, une pour le Fils et une pour l'Esprit Saint. L'immersion totale est noyade du vieil homme, renouvellement dans les eaux transformées par l'Esprit en matrice de vie, participation à la mort et à la résurrection du Christ.
Sortant du bain, le moine lui tendit des vêtements blancs, que Vladimir enfila en prononçant les mots suivants:
"Accorde-moi la tunique de clarté,
toi qui te drapes de lumière comme d’un manteau,
trésor de tendresse, ô Christ notre Dieu."
Dernière étape de cette renaissance, le moine donna la chrismation au Grand-duc, qui consiste à oindre d'huile sainte le baptisé afin qu'il reçoive le don du Saint Esprit. Alors que par l'immersion le baptisé meurt et ressuscite avec le Christ, celui qui est chrismé reçoit par ce mystère le don de l'Esprit Saint.
Comme par miracle, la douleur à la jambe de Vladimir disparue, le mal avait été chassé....
Sortant de l'Eglise et se présentant devant la foule, Vladimir annonça la conversion et baptisa son peuple entier en annonçant qu'il régnait désormais sur la Sainte Rus' de Kiev.
Désormais, les bannières de chrétienté seront comme des nuées protectrices flottant au dessus des soldats lorsque la Rus s'en irait en guerre.
LE PAIN
tg
bon c'est quand qu'un GM simu le caucase
j'invoque une paire de couilles
MAITRE DU TEMPS
- Maitre du temps bonsoir ! Quelles dates somme nous aujourd'hui ?
- Et Bien aujourd'hui nous entre l'an de grâce 992 et 997 . Cette date est symbolique puisque nous félicitons Vladimir pour sa conversion ( )
-Mmmh très bien quelles seront les précisons pour demain
- Demain c'est une date spéciale puisque nous fêterons les 1000 ans de notre bon vieux Christ ! Bonne anniversaire à toi pour ton âge qui va varié entre 997 et 1002 .
Souhaitons le un bonne anniversaire pour notre veux croûtons (:hap:)
Et on se retourve pour la prochaine fois pour de nouvelles prévisions !
apiti il é bo
Somme *
Retrouve *
Au revoir !
Je tiens juste à préciser pour la simu que les milices ont été mises en places et agrandies dans les villes et les alantours des grandes villes ont été pièges tout autour.
Les murs on étés renforcés et on a placé des piques pour empêcher les gens de passer.