Sérénissime République de Venise
Depuis la nuit des temps,la puissance des vénitiens s'est toujours appuyé sur leur flotte.Cette force navale,toujours en expansion,est l'une des plus puissante de Méditerranée,capable de protéger le commerce de Venise partout ou les marchands passent.C'est environ 1000 galères dont dispose le Doge,ce qui n'est rien comparé à la puissance de la flotte vénitienne lors de son apogée (soon ).Mais en ce jour,la puissance de Venise est insultée.Ce sont les pirates barbaresques,ces vils brigands baiseurs de chèvres,qui sont à l'origine de cet affront ignoble.Mais le Doge ne se laissera pas faire.Les mesures de protection prises sur les navires vénitiens (escorte) ont déjà été renforcés par 100 galères vénitiennes,cependant le Doge se prépare à frapper un grand coup dans la piraterie.On ne sait encore rien des projets du souverain de Venise,mais déjà les chantiers navals s'activent partout dans la ville...
Venise via Comtés et Duchés de Sardaigne
Nous avons eu des différents par le passé,sous le règne d'un autre Doge,mais cependant aujourd'hui quelque chose nous unit.Cette chose,c'est la menace des pirates barbaresques,qui s'abat sur nos côtes avec une hardeur toujours redoublée.Nous pouvons la contrer,mais nous aurons besoin de votre aide.
Venise via France
Chers alliés français,notre commerce est menacé.Les pirates barbaresques redoublent encore d'hardeur,et je crains fort que nous n'ayons besoin d'une coalition de nos deux puissantes flottes pour mettre à mal ces brigands.
Venise via Italie
Nos relations sont parfois hoûleuses,parfois amicales,parfois indifférentes,mais cependant nous sommes réunis par notre intérêt commun dans le commerce,et ce commerce est menacé par les barbaresques qui souillent nos mers et pillent nos navires.Votre aide bienveillante sera la bienvenue dans notre projet de les expulser de méditerranée,définitivement.
Need Simu
Venise via Byzance
En tant que grands alliés de Venise et partenaires commerciaux partageant les mêmes intérêts,notamment en Italie,nous aimerions que vous nous rejoigniez dans notre future campagne contre les pirates barbaresques en Méditerranée
Simu : Bouyides
- Je suis médecin, et c'est en pratiquant ma profession que je pense vous servir le mieux. Je souhaiterais donc être le médecin royal.
Royaume des Asturies
En l’an 1005
Maria , la reine à déjà 40 ans
Malcolm et Cristina , 15 ans
Je fais un RP dans le passé si vous vous posez des questions sur les concordances
La mariage d'un prince et d'une Reine
Le mariage entre le frère du Duc de Toscane et La Reine maria se déroula le 25 Juillet de l’an 998 à Burgos . Après les longues heures de cérémonie et de banquet le traditionnel couché des mariés s’effectue afin de consommer le mariage . une tradition parcourant des siècle et de plus zn plus extravagante . selon des rumeurs certain seigneurs invitent leur serf et servante à participer à la nuitée en symbole d'une vie de dévotion et de donation . Mais ce ne fut pas le cas ici , en revanche selon les traditions dynastiques les frères et sœurs des deux dynastie devaient rester dans la chambre pendant la nuitée afin d'être témoin du mariage et du couple à vie . Cette tradition fut suivie . Et après quelques galipette entre mariés , la reine annonça à tout le royaume qu'elle était de nouveau enceinte se qui réjouissait les gens de sa cours ainsi que son jeune marie .
Après neuf mois d'attente relativement calme vint le bébé. En pleine nuit la reine senti de violente contractions venir et se réveilla de ces et de chagrins . une fois accompagné de ces servants l’opération dura en tout quelques heures et ce fut un jeune garçon qui sorti du ventre .
Ce jeune garçon s'appela alors Amérigo , prénom rendant hommage aux origines italiennes du marié . l’enfant fur alors présenté sur la place public avant d’être reconduit dans sa chambre .
La Reine maria à tenu à féliciter le Duc de Toscane et de Corse qui venait de devenir oncle . une missive lui fut alors envoyer .
Les Alliances
Royaume d'Asturies via Grand Duché de Bretagne
Cher Duc de Bretagne,
Je cherche actuellement à m'entouré de fidèle et puissant alliés . C'est pourquoi je me suis directement tourné vers vous . votre puissance ne cesse d’être narrée dans mes contrées et je voudrais marié mon fils hérité avec votre / l’une de vos fille(s). Cela forgera dans le fer, le sang sang et la pierre notre alliance afin de lié nos deux maisonnées . Qu'en dites j’attends votre réponse avec impatience messire !
-Maria , Reine des Asturies et d’Angleterre-
Royaume des Asturies via Royaume de France
Cher Glorieux Roi de France , Robert deuxième du nom , le pieux .
Messire le roi de France , ami, je cherche en ce moment à forgé de puissante alliance avec de glorieux roi ou duc . C'est donc pour ceci que je me suis tourné vers vous. Ma fille , Cristina , princesses des Asturies à récemment atteint l'âge afin d'avoir des enfants . C'est pourquoi je cherche un homme pieux et bon capable de lui fécondé quelques enfants , prince et princesses si possible . Qu'en dites vous ? Avez-vous un fils capable de se marié avec ma tendre enfant ?
Rus' de Kiev
Localisation: Est de l'Europe, de la Baltique à la mer noire.
Population: Plus ou moins un million d'âmes.
Régime: Conglomérat de principautés sous l'autorité du Grand-duc de Kiev.
https://youtu.be/LfXIF7ZQytg
L'orage grondait dans la plaine, faisant vrombir les nuages. Ayant senti quelque chose les animaux avaient déserté les environs. Comme porté par le souffle du vent, un murmure lointain traversait les airs alors que le ciel s'obscurcissait toujours plus. Une complainte susurrée, un friselis chuchoté, une lamentation oubliée... Les notes des cornemuses résonnaient de manière surréaliste au dessus de l'herbe battue par la brise.
Ce son perçant, cette mélodie élégiaque, paraissait comme exaltée de la terre, comme l'aura d'une tradition ancienne que quelques gardiens ravivaient en cet instant. Les sonorités se mêlaient les unes aux autres, les précédentes annonçaient les suivantes en glissant lentement vers elles, alors que la mélodie se répétait plus distinctement.
L'écho annonçait que la chose approchait.
La dernière note se prolongea, comme un râle d'agonie, ou plutôt une humeur changeante, un aboutissement, le son grave muait en un sifflement plus aiguë.
Accompagnant le tonnerre, l'éclat d'un tambour retentit soudain. Puis un autre, rythmant les cornemuses. Chaque nouveau martelement ébranlait le sol, et il y en eut de plus en plus. Des chants vinrent rapidement couvrir les cornemuses ranimant l'émotion que celles-ci avaient transporté avant de se taire. Les paroles étaient inaudibles, laissant songer à un pleure supplicié et distant. La complainte se changea en hymne de fureur, déchaînant toute l'énergie qu'elle avait accumulé jusque-là.
Déferlant comme la pluie qui tombait maintenant, les russins fondaient sur leur proie. Engoncés dans leurs manteaux de fer et brandissant fièrement le visage du Christ, les hommes de Vladimir s'abattaient sur la steppe. Véritable courroux de la colère divine, ils avaient reçu pour ordre de pénétrer en territoire Khazar, ceux-là même qui menaçaient la chrétienté en déclarant vouloir asservir les peuples civilisés. "Fi de tout cela, pensait le Grand-duc de Kiev, nous leur montrerons ce qu'il en chaut d'aboyer !"
L'occasion se présentait également de mettre la main sur des régions fortement convoitées pour leur importance stratégique. Vladimir leva en conséquence treize mille guerriers de toute la Rus'. Ils venaient de Kiev bien évidemment, mais aussi de Novgorod, de Siversk, de Smolensk, de Ryazan et de bien d'autres principautés et fiefs russins. La stratégie fut longuement réfléchie afin de maximiser les chances de succès. Une première armée passerait par le Nord pour faire diversion et attirer l'ennemi loin de l'endroit où il aurait dû se trouver. L'armée de Vladimir quant à elle se précipita sur Sarkel grâce à une flotte de 150 navires qui descendirent le Don. Pendant ce temps, 50 autres navires remontaient le fleuve pour les rencontrer et 3000 cavaliers galopaient dans la même direction, afin de prendre en tenaille la forteresse vitale. Le plan fonctionna à merveille et les pertes furent plutôt marginales.
Vladimir se tenait devant Sarkel après avoir ravagé les côtes du fleuve, quand la horde khazar fit son apparition, Khal Azho à sa tête....
Rus' de Kiev via Empire romain de Constantinople
Salutations à vous grand Basileus.
Je viens vous apprendre que moi, Vladimir Ier, Grand-duc de Kiev et souverain de toutes les russies kieviennes, ai embrassé la foi en Dieu selon le rite de vos contrées. C'est pourquoi je suis fier de pouvoir dire que vous et moi sommes aujourd'hui frère en Christ. L'union commerciale que nos deux empires ont réalisé quelques années auparavant se concrétise dorénavant par une convergence culturelle et cultuelle que nous devons mettre en place. Envoyez donc des bâtisseurs, des architectes, des prêtres, des érudits et des artistes afin que mon peuple puissent s'élever et oeuvrer pour la plus grande gloire du Tout-Puissant.
Je souhaite également vous demander la main de votre soeur, Anna, dont la grâce est ventée par les voyageurs du monde entier.
Sachez que je place en cette missive mon plus profond espoir quant à l'amitié de nos couronnes.
Que l'Eternel vous accorde la félicité.
+ Varej ou quelqu'un d'autre, les trois territoires petchenegues (41) les plus à l'ouest sont à moué. J'ai pas d'accès à l'ordinateur, si une âme bienveillante veut se dévouer
Khazarie
La rencontre
Les Russins avaient frappé la moitié de la Khazarie, et ces anciens partenaires commerciaux, considérés comme les seuls voisins fiables avaient montré la fragilité des relations qu'ont les hommes en ce monde. Les Khazars moururent par milliers avec le passages des Russins, et dès que Khal Azho apprit ce qui se passait plus au nord, il abandonna sa campagne pourtant victorieuse afin de défendre ses frères et ses sœurs. Dès lors, ce fut une horde de plusieurs dizaines de milliers de chevaux qui remonta le Khazarie afin d'arriver à Sarkel.
Les steppes et le temps clair avaient permis de voir l'assaut de Sarkel à plusieurs kilomètres pour celui qui a l’œil affûté, et dès lors Khal Azho ordonna à ce que la horde reste en place. Il prit avec lui sa garde personnelle tcherkesse, formant ainsi un groupe d'une petite centaine d'individu afin d'aller à la rencontre de Vladimir Ier, Grand-duc de Kiev. Celui-ci accepta l'entretien, et Khal Azho lui parla en ces mots :
« Toi Vladimir Ier, sache que tu es la dernière personne que je m'attendais à voir envahir mon territoire. Ma nature khazare fait peut-être de moi un sauvage aux yeux des trois-quarts du monde, mais il y a des valeurs que vous les sédentaires nous enviez sûrement. Notre fidélité et notre confiance absolue sont les raisons pour lesquelles nos armées vaincront toujours, mais ici … Ces qualités sont devenues un poison qui à coûté la mort à des milliers des miens. J'ai été naïf, et sachez que mon peuple sera se souvenir de cet événement tragique auquel vous l'avez confronté.
Je suis venu à vous sans mon armée pour vous donner mes claires intentions, car l'attaque surprise n'est pas dans nos codes. Je suis venu ici pour négocier votre retrait de nos terres à l'aide d'arguments que vous saurez trouver suffisants. J'ai récemment expédié une missive au Basileus dans laquelle nous traitions de mon adhésion au Christ, corps et âme. Dieu quel qu'il soit est celui qui permettra à mon peuple de vivre dans ses steppes, et si il veut que nous adhérions à la parole du Christ, alors nous serons ses plus fidèles serviteurs, voilà tout. Voyant bien que vous seriez contrariés de seulement trouver en nous un allié coreligionnaire, et sachant que vous êtes un peuple de marchands efficaces, nous sommes en mesure de vous donner accès à une circulation sur nos fleuves ainsi qu'à l'établissement d'une colonie à l'embouchure du fleuve du Don. Voilà nos concessions. »
Royaume de France via Venise
Cher Doge,
Nous envoyons une partie de notre flotte protégée nos navires de commerce des pirates. Mon fils Henri pourra vous aider avec sa flotte à anéantir les pirates.
Robert II, Roi des Francs.
Royaume de France via Royaume de Léon
Cher Roi,
Il se trouve que mon fils, le prince héritier, Henri n'est point marié, j'accepte qu'il prenne la main de votre fille, pour que notre alliance subsiste.
Robert II, Roi des Francs.
Event : Grand-duché de Gwynedd
Cher Cadwallon,
Nous en convenons que ce que je sais doit rester secret. Vous savez, un homme de votre importance n'a pas grand chose à faire dans les endroits où vous avez embauché les hommes dont vous avez le sang sur les mains.
Nous allons nous voir, mais sachez que si vous tentez quoi que ce soit à mon encontre comme vous l'avez fait avec les personnes que vous avez engagé, toute l'affaire sera révélée, j'ai pris mes dispositions.
Vous en saurez plus sur moi lors de notre rencontre. Venez jeudi prochain dans la petite maison opposée au bistrot où vous vous êtes rendus la dernière fois. Venez seul.
Mes salutations les plus distinguées,
A
Grand-duché de Gwynedd
Nous avons le plaisir de vous annoncer que la princesse Gwenaëlle a mise au monde un enfant et plus précisement une fille
Cadwallon via A.
Cher A, oui j'ai engagé ces gens mais je n'ai aucun souvenir d'avoir souhaité leur mort.
Il semblerait que vous ayez beaucoup de choses à m'apprendre.
Vous devez aussi savoir qu'une personne de mon importance n'a rien à faire dans ce genre d'endroit seul.
Mais je viendrais, soyez en sûr.
Sincèrement, Cadwallon, grand duc de Gwynedd.
La Rencontre
Cadwallon avait réussit à se débarrasser de ses gardes pendant un certain temps et était partit.
Il avait néanmoins dit à une personne de confiance que s'il ne revenait pas d'où il partait la guerre devait se déclarer dans les plus brefs délais. Il n'a toutefois pas dit ni la destination ni la raison de ce départ.
Une fois arrivé à ce fameux bistrot, il le longea et entrouvrit la porte de cette maisonnette.
Il y vit une table où était assis une personne, capuche vissée sur la tête bien sûr.
Il s'approcha malgré tout, s'assit et commença à parler : "Bonsoir...
Event : Grand-duché de Gwynedd
"Quel courage de venir vous présenter ici face à moi. Je suis Andrew, Andrew Black"
Il enleva dès lors sa capuche et fit apparaitre son visage. Sa barbe et sa chevelures blondes avaient des reflets roux qui semblaient préciser certaines origines. Il était d'une corpulence assez fragile mais le ton qu'il prenait pour parler suffisait amplement à impressionner, de même que tout le mystère qui continuait à tourner autour de ce mystérieux personnage.
"Je suis un des descendants directs de fameux William Black, l'homme qui tint tête aux envahisseurs Français et Espagnols lorsqu'ils arrivèrent. Il est tant que la situation dans laquelle se retrouve plonger l'Angleterre change, et que l'ibérique retourne d'où il vient. Je ne suis pas ici pour vous menacer, seulement pour qu'on puisse trouver ensembles un moyen de faire évoluer les choses ici."
Event : Sérénissime République de Venise
Comtés et Duchés de Sardaigne Comme vous le précisez dans votre lettre, la situation est grave et touche tout le monde. Nous participerons donc bien évidemment à lutter contre cet ennemi qui s'impose à nous, toutefois ne voyez pas notre participation comme une forme de pardon vis à vis des relations houleuses que nous avons eu, et nous les gardons en tête.
Italie Les pirates barbaresques sont une menace contre laquelle nous lutterons aussi intensément que possible, et si nous nous pouvons collaborer afin d'éliminer cet ennemi commun, alors nous serions ravis.
Sérénissime République de Venise
Venise via Toscane
Les gênois sont d'illégitimes crapules qui s'approprient notre système politique et menacent notre commerce dans la Méditerranée par leurs actes perfides.Les natifs de Pise ne nous sont guère plus sympathiques.Et le seul véritable empereur romain ne peut être que celui qui siège à Constantinople,et non pas ce bouffon germanique qui traite son empire et le bon peuple italien avec un mépris constant.Nous sommes heureux que vous ayez pris la bonne décision plutôt que de vous soumettre à l'autorité de pacotille du faux empereur,mais la puissance de l'empire nous oblige à rester prudent quand à la conduite à tenir pour le moment.Notre aide,par des moyens les plus discrets possible,vous arrivera bien assez tôt.
Royaume des Asturies et d'Angleterre via Duché de Toscane et Corse :globe :
Malgré notre alliance nous ne pouvons nous alligné sur votre jugement !
Les jeune république de Gêne et de Pise sont dans leur entière légitimité d'indépendance et de système politique si leur but est d'étendre économique leur leur influence , alors ceci est dans leur droit . L'empeureur de l'Empire romain d'Occident a les plein pouvoir sur ces villes appartenant à SON royaume .
Je ne peux qu'être dans l'obligation de vous demander de lever cette embargo sur le champs . je vous le demande en considération de notre alliance et de nos nouveaux liens familiaux !
Maria,votre demi soeur et souveraine des Asturies et d'Angleterre .
PS : SKARO ? J'ATTEND TOUJOURS TA SIMU CAR JE VOUDRAIS M'OCCUPER D'UN AUTRE MOI MAIS J'AI BESOIN DE LA SIMU POUR CA ! MERCI
Oullà excusez moi des majs x)
Grand-duché de Gwynedd
Cadwallon via Andrew Black
Cadwallon écoutait sans broncher cette personne. Quand il eut fini, Cadwallon dit
« Si vous dites vrai et que vous êtes le fils de William Black alors c’est pour moi un grand honneur que de parler au fils de l’homme ayant tenu tête à ces espingouins malgré ses troupes bien inférieures.
Vous dites vouloir faire évoluer cette situation mais vous voulez faire quoi pour la faire évoluer ? Sachez aussi que je suis tout à fait d’accord avec toi, ces rastaquouères n’ont rien à faire sur le trône d’Angleterre.
Et surtout quel est ce secret que vous avez appris ? En sachant tout de lui apparemment. »
Sérénissime République de Venise
Venise via Marche de Vérone
Peu après avoir reçu la missive du Duc de Toscane,le Doge décida de faire une visite chez son allié Veronais.Le marquis fut très heureux de recevoir des nouvelles de Venise,et ils purent ainsi discuter autour d'un banquet.Après que les esprits se soient échauffées,au moment ou les discussions battaient leur plein,le représentant de Venise posa la question fatidique:
-Dites moi,que pensez vous de l'autorité de l'empereur germanique?Moi,je pense,dit-il avant de s'interrompre pour boire une gorgée d'un bon vin italien,que l'empereur n'a rien fait pour votre fief.Les barbares slaves sont aux portes de l'empire,et pourtant il refuse de vous accorder son soutien pour le défendre si d'aventures les bulgares lançaient une invasion.C'est à se demander si il ne vous utiliserait pas comme un bouclier ou un pion,celui qui serait le premier à subir les frais en cas d'attaque.Et quelle arrogance,à se mêler des fiefs des autres et à libérer qui bon lui semble,qui sait s'il ne s'attaquera pas à vous en prochain?
Event : Grand-duché de Gwynedd
"Et bien, même si vous n'êtes effectivement pas doté de l'armée la plus puissante de la région, vous pouvez tout de même contribuer à renvoyer cet ibérique d'où il vient. Nous ne les verrons peut-être pas partir de notre vivant, mais nos descendants verront cela assurément.
Ma requête est simple, vous avez promis une somme à des hommes, et vous ne les avez pas convenablement payés. Cet argent me reviendra. De même, engagez-moi comme maître-espion, car je pense être en mesure de servir le peuple de la meilleure des manières possibles en étant ainsi à votre service."
Bouyides
Annexion
Voilà des Années maintenant que cohabite avec les bouyides une nation, le Mazandéran
Occupant des territoires du nord ouvrant la mer caspienne, une nation de culture persane, de religion musulmane, mais qui n’est pourtant pas encore partie intégrante du grand califat, l’émir des croyants avait des projets pour cette petite nation…
بسم الله الرحمان الرحيم
De Son Eminence l’émir des croyants au chef manzaderaneen,
Salutation , et que la paix soit avec toi , voilà bien des années que nos deux nations sont sœurs , je te viens aujourd’hui mon ami car j’ai fait un rêve , vois-tu en tant que guide de la oumma je suis le berger qui protège le troupeau.
J’ai rêvé que nos deux nations était uni sous ma bannière car ne nous le cachons pas, nous sommes pareils et je sens en vous une noble personne , qui décide par la sagesse , je vais être brève pour ne pas vous ennuyer , je souhaiterais vous proposer d’intégrer notre territoire , en ces temps troubles l’union prévaut sur la désunion et comme vous êtes cher a moi j’aimerais vous protéger de tout mal quel qu’il soit
Aussi j’ai eu que votre armée n’est pas nombreuse mais qu’importe ? a mes yeux seul la valeur de l’homme compte
Etes-vous un homme de valeur sur lequel je peux compter pour réaliser les desseins de la oumma qui est celle de l’union ou choisirez-vous la voie de la déraison toute en sachant que l’amour de la patrie est un péché ?
J’espère qu’en bon musulmans vous servirez l’islam et non votre pays car moi je ne sers que dieu , qui nous ordonne de nous unir …
Voici pour vous le saint livre , il vous aidera a réfléchir
a peine eut il finit que s’élança de Bagdad le messager chevauchant tel un astre a travers l'univers