Sous LibreOffice, c'est clic droit, paragraphe, et ensuite dans les options : onglet "Enchaînements", et là tu peux tout régler : coupure des mots automatique, veuves, orphelines, etc.

Hmm, curieux. Essaie avec un paragraphe de texte "normal" ? Les effets seront peut-être plus visibles.

Et LibreOffice et OpenOffice ne sont pas la même chose, des gars d'OpenOffice ont fait sécession quand ça a été racheté, et créé LibreOffice, qui est similaire (mais normalement un peu mieux. Et, surtout, toujours libre.

Salut tout le monde, je viens sur ce topic (en espérant ne pas me tromper de sujet ) pour vous posez une question concernant les pseudonymes : Comment trouver un bon nom de plume ? J'aimerais me lancer dans l'écriture mais je trouve mon nom de famille imprononçable assez handicapant
Merci d'avance à ceux qui répondront

Pour les noms, regarde les livres d'antan, les personnages et personnes de jadis. Ça t'aidera, je pense. ¨Personnellement, j'ai une demande. Connaissez-vous des phrases du type :

tout au bout de

Des phrases qui inspirent, indiquent le bout du bout d'une situation, d'un système, etc.

J'espère m'être bien fait comprendre, c'est un peu atypique comme recherche.

Le choix du nom de plume est une question intéressante. Dans mon cas, je sais que je ne pourrais pas choisir un nom totalement différent du mien, ou qui n'y ferait pas référence d'une manière ou d'une autre. Parce que je n'ai pas de nom "externe" qui me convienne véritablement, parce qu'aucun ne m'a marqué durablement.
De la même manière, je ne saurais pas quoi me faire comme tatouage. Et pourtant, je me connais bien. (Quelque chose me dit, me connaissant, que le meilleur tatouage que je pourrais me faire, c'est de ne pas m'en faire. Je préfère être moi de manière simple et directe, et exprimer ce que je suis en actes et en paroles (et en mots), plutôt que de tenter de l'afficher avec un tatouage que je pourrais regretter plus tard, et qui sera de toute manière incomplet.)

À part ça, les noms de famille imprononçables, moi je trouve ça classe.

Ecobio : je n'ai pas tout à fait compris ta requête. Est-ce que tu recherches des expressions comme "un système qui s'essouffle", ou "en arriver aux dernières extrémités", ou "l'aboutissement", ou "le déclin", ou encore les points culminants : apogée, climax, acmé ? Ou encore autre chose ?

Al-tes, oui presque, des phrases, du type

tout au bout de...
Que je retranscrit ensuite et adapte selon la situation .
Exemple:

" Cette vieille folle ! Elle était tout au bout de la folie, celle dont on ne revient pas, celle qui vous fait passer pour une génie, mais qui ne vous enlève pas ce que vous êtes, une folle, une hystérique".

Que pensez-vous de la publication en ligne?
Comme sur amazon, et autres?

Bonsoir tout le monde, je suis en pleine période d'écriture, et j'aurais besoin de savoir si "le monde, l'histoire" sur le/laquelle je travaille est une bonne idée.

Pour commencer mon histoire s'étendrait sur plusieurs tomes, je ne sais pas combien, mais j'en ai déjà 5 en tête. Il y aurait pas mal de personnages principaux et secondaires, mais il y aurait LE héros de l'histoire (pour au moins le tome 1), et pas mal d'intrigues pour des personnages, des énigmes/mystères à découvrir au fil de l'histoire, qui pourrait surprendre le lecteur.

Bon après, je ne m'avance pas trop, si l'idée ne plait pas, je ne pense pas continuer, ou alors continuer pour moi parce que l'idée me plaît, mais j'aimerai mieux que les autres aiment aussi.

Donc en gros j'ai déjà la trame du tome 1, et des idées pour les prochains tomes. Je vais parler pour le tome 1:

L'histoire se déroule dans une Académie où sont formés soit des Guerriers, des Invocateurs, ou des Serviteurs (qui aident au bien-être de l'Académie). Le héros principal (Lance) arriverait dans l'Académie en compagnie de son meilleur ami, mais il est spécial, car il y a un "voyant" dans l'Académie qui voit le futur des élèves, mais qui n'arrive pas à voir celui de Lance. Enfaite, Lance serait une des rares personnes à pouvoir être un Guerrier-Invocateur. Normalement, une personne ne peut avoir qu'une classe. On suivrait donc l'apprentissage de Lance en tant que Guerrier avec un obstacle (le commandant avec qui il se battra souvent), l'apprentissage d'une Invocatrice, qui sera la plus puissant de l'Académie, le Directeur, qui cache un secret commun avec Lance, une petite fille ayant de mystérieux pouvoirs, un Guerrier cherchant à venger de la mort de sa famille (il sait que le tueur est à l'Académie)...

Ce tome serait basé seulement sur ce qui se passe au sein de l'Académie, avec des histoires d'amour, des combats, des révélations, de la magie... Un univers fantastique.

Voilà donc qu'en pensez-vous déjà ? Je n'ai pas encore de résumé, de synopsis, je suis désolé

Ces quelques lignes me renvoient directement à une récente série de romans dont j'ai oublié le nom où l'on trouvait le même délire ; on forme les jeunots (présence aussi de servants), mais parmi eux il y a une jeune fille qui peut accéder à plusieurs classes parce que blabla.

Mais bon, cela a aussi le don de me faire penser à Twilight (Bella qui peut choisir entre vampire et lycanthrope) et Harry Potter (héros qui peut choisir la Maison de son choix via la Chapeau-qui-parle).

Je n'avais jamais remarqué que le choix multiple (alors que la destinée des larbins est elle déjà tracée) était si présent dans les séries à succès. Tu tiens peut-être le bon bout.

Plus sérieusement, et vrai conseil : écris avant tout pour toi. J'ignore ton âge (et l'envie de me rendre sur ta carte de visite ne m'est pas venue) mais ne perds pas de vue que la rédaction d'un roman risque de te prendre un ans, parfois deux ans. Entre cinq et dix ans donc pour écrire tes cinq tomes. Et vu que tu te soucies de plaire aux autres, je suppose que l'édition est dans tes plans. Eh bien les éditeurs sont bien frileux à publier des séries non terminées, surtout venu d'un petit nouveau. À la limite, cela pourrait passer avec deux tomes et demies terminés et un synopsis détaillé pour les tomes restants. Mais là encore, cela te prendrait entre deux et quatre ans.

Je ne cherche pas à te décourager, juste à te faire comprendre que la déception et l'ennui comme des pillards sur chaque grande route et que la seule manière pour moi d'en arriver au bout est d'entreprendre ce voyage pour nous-même.

DickFigures Voir le profil de DickFigures
Posté via mobile le 7 septembre 2014 à 09:28:20 Avertir un administrateur
Ces quelques lignes me renvoient directement à une récente série de romans dont j'ai oublié le nom où l'on trouvait le même délire ; on forme les jeunots (présence aussi de servants), mais parmi eux il y a une jeune fille qui peut accéder à plusieurs classes parce que blabla.

Je pense que tu parles de Divergente...

J'ai essayé de résumer la situation initiale de ma, disons, fiction (dont j'avais déjà écrit quelques chapitres et que je décide enfin à faire au propre). Mélange de Science-Fiction et Thriller, j'aimerais savoir si ça vous semble accrocheur, fait légèrement à l'"arrache", c'est pour savoir si le scénario vous semble sympathique, merci d'avance :

"Paris, 2030, la France est rongée par une vague de criminalité sans précédent et les forces de l'ordre sont débordées. Le gouvernement met alors en place un état policier afin de contrer plus efficacement ces soulèvements. Des sociétés privés militaires voient le jour sous ce joug policier et vivent du chaos de cette petite guerre. En 2044, les forces de polices et leurs dirigeants ont plein pouvoir et assurent la protection des citoyens. C'est dans ces jours sombres que Victor Deckan, capitaine de police, assiste à la mort de son mentor et décide d'enquêter sur celle-ci."

R2 Effectivement !

Rag Déjà qu'Amnesty tape du poing parce que les conditions de vie des prisonniers leurs semblent dégradantes, je n'imagine pas leur tronche face aux vices d'un état policier.
Et seule la France se verrait étouffée par la racaille ?

DickFigures En tout cas l'histoire se déroule en France, peut-être simplifier par "2030, le monde entier est... . Le gouvernement français met alors..." ?? ^^

Aha, c'est un futur fictif, j'espère pas qu'on aura affaire comme tu dis aux vices d'un état policier à l'avenir.

Cependant, c'est pensé pour le scénario que la France soit peut-être l'un des seuls pays qui subitement se retrouve, j'aime bien la façon d'être dit, étouffé par la racaille ! Mais il pourrait être intéressant que l'Hexagone ne soit pas le seul état touché, à méditer !

(Hmm, je sens une odeur de D&D pas loin. Que de souvenirs.)

Dick, c'est intéressant, cette notion de "multiclassage" chez les héros. Je ne l'avais pas remarqué non plus. Dans la même veine, les héros des RPGs ont souvent une classe équilibrée, polyvalente et plus forte que d'autres, tandis que le reste des membres de l'équipe est très spécialisé et cantonné à un certain rôle.
Ça fait sentir que le héros est "unique", paradoxalement, parce que lui peut tout faire. C'est assez cheap comme procédé, en fin de compte.

Note pour plus tard, donc : éviter les grosbills.

Et les mary-sue...

Petite question purement pratique, comment marqueriez vous, dans un dialogue, un ou plusieurs mots sur lesquels on insiste ?

— T'es vraiment un égoiste.
— "l'égoiste", il te dit merde.

J'hésite entre les guillemets et l'italique ? Qu'en pensez-vous ?

Perso, je mettrais plus des guillemets, mais c'est strictement personnel.

En l’occurrence, je trouve ta proposition suffisamment simple pour songer à d'autres méthodes.
Moi, par exemple (et perso une fois de plus), j'opterais mieux pour "Ben l'égoïste te dit merde, [tu sais quoi]." J'trouve que l'insistance sur la précédente intervention y est conservée et que ça coule mieux.

Désolé du double post.

En fait, moi, ça dépendrait des cas.
Quand l'insistance est sur la reprise d'un terme déjà cité (comme là, y m'semble), ou qui peut juste être mal connu du lecteur, je mets des guillemets.
Quand l'insistance est indépendante, plus globale (genre, dans ton cas, si "l'égoïste" était une sorte de surnom de ton perso tout le long du récit), je mets en italique.

Ouais en fait sur cet exemple précis on a pas besoin, on comprend comment le lire. Mais dans ce que je veux faire c'est un peu différent.

C'est plus dans ce genre là :
— La dernière fois que je l'ai baisée...
— On ne "baise" pas, on fait l'amour.
— Étonnant venant d'un salaud de première...
— "Étonnant", venant de celle qui "baise".