Je fais exactement pareil, Sad, ça me perturbe ces gros blocs gris sur mon texte du coup j'ai aussi pris l'habitude de les virer dès qu'ils apparaissent pour les remplacer par des bêtes espaces... Du coup si quelqu'un a la réponse ça m'intéresse également.
Je ne chercherai pas à votre place, mais j'avais réussi en bidouillant dans les préférences. Suffit de changer la couleur grise par du blanc ou enlever l'apparition de couleur. Faut regarder dans couleur des trames de fond. Un truc comme ça
J'ai une question plutôt hors-sujet, vu le thème des derniers messages.
Lors d'un conflit armé assez grave entre deux pays industrialisés contemporains, disons la Russie et les États-Unis, quel personne aurais le pouvoir et l'influence de se déplacer relativement librement dans la zone de conflit, de parler autant à des citoyens, soldats, officiers et chefs des deux ? Ce personnage est destiné à devenir le narrateur, il faudrait idéalement que cela soit logique.
Si ce personnage est poissonnier (c’est un exemple) ou occupe un métier assez commun, je doute que quiconque lui prête attention, en particulier les personnages occupant des postes importants.
Mais s'il est journaliste ou diplomate, il aurait un motif suffisant pour "fouiner", rencontrer d'autres personnes et interagir avec son univers. Le mieux serait qu'il soit neutre; pour cela, j'avais pensé le lier aux Nations-Unies, mais cela limiterait les métiers disponibles.
N'hésitez pas à me dire si cette question est difficilement compréhensible, ou si mes propos sont confus.
Moi je n'y connais pas grand chose mais il faudrait déjà déterminer à fond la forme de ton conflit. S'il y a une tout dépend de la forme de ton conflit en fait. S'il y a des zones de combats, un front, des frappes aériennes, du terrorisme, des interventions tactiques, etc, etc...
Après seulement on pourra voir comment l'armée et l'état décide de gérer les civils. Enfin je vois plus les choses comme ça perso.
Sinon, dans les conflits au moyen orient, j'imagine qu'il arrivait que des "bergers" se baladent en plein désert alors que des affrontements avaient lieur. Mais bon, ça marcherait pas comme ça dans un pays industrialisé je pense.
Oula, virer la deuxième phrase.
24bits
Les Russes fuient une catastrophe (biologique, climatique, politique... il faut que je décide) et ont débarqués en Californie, profitant de manifestations contre le gouvernement américain (plus tyrannique que maintenant).
Ils ont gagné du terrain jusqu'à Sacramento, où le front s'est stabilisé sur le fleuve de la ville : les envahisseurs sont mal équipés, mais ont plus de ressources humaines et sont mieux commandés que les envahis.
L’armée américaine tente de repousser les Russes à la mer, tandis que ceux-ci veulent s'installer, voir s’intégrer. Il y a des bombardements et des frappes aériennes des deux côtés, mais l’intensité initiale des combats a diminué.
La population de San Francisco est gardé sous contrôle (loi martiale, contrôles d’identité, patrouilles, créations de milices pro-Russe voulant surtout maintenir l’ordre précaire), et des groupes rebelles commencent à se former.
Ben je vois pas ^^
S'il y a un front, une avancée des forces russes, je ne vois pas qui pourrait passer au travers. Quoique après si l'arrivée est fulgurante et que on a pas eu le temps d'évacuer les villes, tu as des civils partout, donc tu pourrais faire un peu ce que tu veux.
Bref j'en sais rien, c'est pas mon domaine d'expertise tout ça, désolé. Les autres ?
Sinon question personnelle, un pote me soutiens qu'on peut écrire : "Il n'y a pas de définition précise de qu'est un humain." et je trouve cela très étrange. Il me paraît plus naturel de rajouter "ce" : "de ce qu'est un humain". Qu'est-ce que vous en pensez ?
Idem. Il manque le "ce". "De" qui fait le lien avec "définition", "qu'" qui sert à l’interrogation, et "ce" qui doit se rapporter au sujet, ici "l'humain", il me semble.
Mais ça ne me paraît pas si simple, puisque le formulation "de que" ou "de quoi" est faisable. Si on tord un peu la phrase, on pourrait dire :
"rien ne définit de quoi l'homme est fait"
"rien ne définit de ce en quoi l'homme est fait"
seraient toutes les deux correctes non ? J'ai l'impression que je me mélange complètement les pinceaux et que je compare deux formulations pas comparables. Mais du coup j'ai du mal à trouver les règles qui régissent tout ça.
Oulah, je n'ai pas la prétention d'être grammairien, ce que je disais plus haut n'était qu'une théorie.
Mais je suis certain qu'il "n'y a pas définition précise de CE qu'est un humain" et que "rien ne définit CE DONT l'homme est fait".
je pense avec presque autant de certitude qu'un bon moyen de s'en rendre compte est de reformuler la phrase momentanément, un peu à la Yoda : "de ce qu'est un humain, il n'y [en] a pas de définition précise" + "Ce dont l'homme est fait, rien ne [le] définit".
http://www.languefrancaise.net/forum/viewtopic.php?pid=18233#p18233 Hop ! ça me semble assez pertinent.
Ouais en fait ce sont deux problèmes distincts et je me suis mélangé les pinceaux.
De quoi l'homme est fait / ce dont l'homme est fait sont toutes les deux tout à fait correctes.
Reste la première question, ce n'est pas tout à fait comme tu le disais, "ce que" est la tournure utilisée dans la question indirecte. Il n'y a pas d'autres possibilité. "ce qui fait l'homme", "ce qui définit l'homme", induit l'interrogation "qu'est-ce qui fait l'homme ?"
Voilà les règles : http://grammaire.reverso.net/3_1_11_ce_que_quest-ce_que.shtml#header1
Sinon en farfouillant ici : http://grammaire.reverso.net/3_1_15_de_ce_que_que.shtml j'ai appris qu'on ne disais pas "je profite que vous soyez là" mais "je profite de ce que vous soyez là". Voilà un truc que mon entourage va pas capter si je le ressors ^^
Est-il sage d'écrire deux "œuvres" en même temps ?
Je suis parfois gagné par la lassitude en écrivant mon histoire la plus développé, et j'ai en tête d'autres idées d'écriture que j'ai hâte de commencer.
Peut-être faudrait-il que je mette en place une plage horaire régulière où j'écrirais mon premier texte, et travailler sur le deuxième pendant une autre période.
Je n'ai pas de réponse toute cuite à t'apporter.. DE ma propre expérience, je sais que mener de front deux textes a pu être à la fois très bénéfique et très catastrophique.
Libre à toi de voir comment tu peux ménager la chèvre et le chou...
J'ai une question.
Pensez-vous qu'il soit correct de commencer une phrase par le mot "et"?
D'accord, merci de ta réponse!
nobuli33 Perso j'écris 5 histoires en même temps et ça me pose aucun problème, je peux switcher quand je veux et j'arrive très bien à me "mettre dans le bain" de chaque histoire.
Comment tu fais ? Cinq histoires ! J'espère qu'elles sont courtes. Moi, je ne peux écrire qu'un roman à la fois, car déjà que ça me prend plusieurs mois, alors plusieurs ! J'aurais l'impression de travailler indéfiniment sur les mêmes choses.
Ecrire juste pour le plaisir de faire exister un univers, sans pour autant suivre une trame narrative : ça se fait ?
Bah oui.