Alcahe tu peux me corriger steuplé?

Hugost, ton texte est bon, mais tu as déjà fais mieux. Il y avait des lourdeurs dans le textes, des dialogues pas forcément nécessaires, ou encore des petites erreurs par ci par là. Néanmoins ton niveau este très bon, et ça reste agréable à la lecture, pasd de soucis la dessus

1.5 et 500

Moi, un enfoiré?

Aha ! Je le savais, sale marsoin ! Ce correcteur est bidon, j'en veut un autre !

Respect

• s'incline*

N'oublie pas que je fais parti de la traque

asssassinT Ah, honnêtement, ton texte est vraiment pas mal du tout. On prend plaisir à le lire et on suit l'histoire sans avoir l'envie d'arrêter ou de décrocher. Néanmoins, quelques légères fautes se font voir. Je te dis : ne changes rien, rajoutes juste un poil de description, corriges les deux trois fautes et espaces un peu le texte et ce sera parfait ! Courage !

1,5 point, 550 XP et 600 florins. C'est mérité.

D'accord, merci Jet, mais ne t'avise pas de faire ça à chaque fois J'ai une anecdote au fait, bientot deux donc prépare toi

asssassinT Vive la solidarité ! : Une de nos équipes d'assassins a disparue en mission. Nous pensons qu'ils sont retenus à un avant-poste ennemi, mais nous ne savons pas s'ils sont TOUS au même endroit... Trouves les assassins un par un, et enfuies-toi avec eux. Bonne chance.

P.S. : Les assassins ne doivent pas être tous obligatoirement vivant...

Hugost, je dois te dire que dès demain, je ne pourrais plus corriger tes textes

Tu pars en vacances, Jet ?

Noooon

• pas du tout perturbé par la disparition de son correcteur* Bon, il me faut un nouveau correcteur

Hey! Dis toi que je revien d'une absence de plus de... *ceux qui ont compté le disent*

Moi j'ai arrêté de venir depuis un moment donc j'ai pas compté.

Bah enfait moi à la lecture j'en suis à la page 15

• check flamme* /\

Aux deux plus grands branleurs de ce topic

Vois si tu peux au moins corriger mon anecdote d'aujourd’hui

//Plymouth//
//14 avril 1745//
//Contretemps//
//William a [25] ans//

Après avoir pris quelques provisions et faits mes adieux aux gens que je connaissais, je me suis dirigé vers l’endroit où la calèche devait partir. Il devait être dix-neuf heures moins le quart quand je suis arrivé. Un homme et une femme étaient déjà dans la calèche, l’un à côté de l’autre, un couple apparemment. Je les ai salués puis je suis monté dans la voiture. Un homme vêtu de longs habits noirs et marron ornés d’une grande cape avec un tricorne en guise de couvre-chef entra à son tour et s’assit à côté de moi.
Le cochet fit claquer son fouet et ses chevaux avancèrent. La femme qui était assise devant moi voulut débuter la conversation :
-Bon, vu qu’on va rester ensemble pour un petit bout de temps, je propose qu’on commence par se donner nos prénoms, dit-elle avec un grand sourire.
J’acquiesçai avec un signe de tête.
-Moi je suis Abby Peterson et mon mari, Troy, reprit-elle en gardant ce même sourire.
Ils avaient l’air d’être de riches bourgeois à en juger par leurs habits nobles et superbement bien teintés. Ils ne venaient certainement pas de Plymouth.
-Enchanté, je m’appelle William Taylor, répondit-je embarrassé.

Abby avait un certain âge et le fait de sourire constamment lui déformait atrocement le visage. Troy quant à lui ne disant rien et se contentait de me fixer. J’étais vraiment mal à l’aise
-Et vous, reprit-elle en s’adressant à l’homme à côté de moi, quel est votre nom ?

Je me tournai vers lui, attendant une réponse, mais l’individu s’était endormi.
-Il...dort... dis-je.
-Oh ? Tant pis. Nous parlerons ensemble, William !
-Oui... Comme vous voudrez...

Cela faisait deux heures qu’elle parlait, le plus souvent, je répondais par «oui» ou par «non» puis quand la nuit fut tombée, je me suis assoupi, la laissant parler dans la vide ou à son mari qui me fixait constamment. J’ai appris qu’ils étaient venus à Plymouth pour un voyage de noces et qu’ils revenaient chez eux et que, si je le voulais, je pourrais passer au cas où je ne trouverais pas de logis à Londres. Mais je n’en avais aucune envie.

Quand je me suis réveillé, tous les autres étaient endormis, excepté l’homme à côté de moi. Mais il ne fit même pas attention à mon réveil, il se contentait de regarder la route. Nous étions déjà très loin de Plymouth mais également très loin de Londres quand la calèche s’arrêta brusquement, réveillant le couple. Le cochet descendit de la calèche et annonça :
-Pause de trente minutes. Vous pouvez aller où bon vous semble mais je repartirai sans vous si vous n’êtes pas là à l’heure, c’est compris ?

L’homme en noir partit vers la forêt en silence.

-Trente minutes ? Hum, le cochet que nous avions pris pour venir nous a fait faire une pause d’une heure ! Se plaignait Abby.
-Vous pouvez rester une heure ma p’tite dame. Le souci, c’est que nous on sera partis depuis longtemps ! Haha !

Abby avait l’air furieuse. Elle se tourna vers son mari et déclara :
-Viens, chéri. Allons nous dégourdir les jambes loin de ces gueux puants !

Puis elle s’en alla, le menton haut, au bras de son mari.

-Les Londoniens sont tous comme cela ? demandai-je au cochet.
-J’dois dire que j’en ai vu des citadins, mais ces bougres-là ! ‘Sont spéciaux ! répondit-il.
-Et, l’homme en noir, vous pensez quoi de lui ?
-J’jugerais qu’il y manque une neurone ! Pas un seul mot, il est venu, il a payé, il entré, rien du tout !
-Vous savez pourquoi il est parti ?
-Si seulement ! s’exclama-t-il en se grattant la tête.

Je décidai d’aller le rejoindre dans la forêt.

-La calèche repart dans vingt minutes ! me cria-t-il.

La forêt était dense et n’importe qui aurait pu se perdre là-dedans mais l’homme avait laissé des traces. Je les pistais et arrivai dans une clairière où se tenait l’homme au milieu.
-On part dans une quinzaine de minutes, monsieur... dis-je lentement.
-On peut parler en sécurité ici, dit-il subitement.
-Heu...Comment ça ?
-Le couple. Ce sont des chasseurs de primes. Ils sont recherchés à Londres. Ils ont voulu se réfugier dans un patelin mais ils ont été repérés. Et la calèche qu’on emprunte actuellement est leur moyen de fuite.
-Mais, pourquoi retourner à Londres s’ils y sont recherchés ?
-Peut-être parce qu’ils vont pas à Londres.
-Ils sont partis dans la forêt...
-Et ils ne reviendront pas.
-On ne peut pas les laisser s’échapper ! Qu’est-ce qu’on va faire ?
-Commence par te baisser.
-Quoi ?
-Baisse-toi ! cria-t-il en se jetant vers moi.

Nous étions à terre et je vis une flèche se planter dans un arbre devant moi.

-Chéri, je t’ai déjà dit de ne pas utiliser la sarbacane pour ce genre de meurtre, dit une voix derrière nous.

Abby s’avançais vers nous, une longue dague à la main. Nous nous relevâmes et nous préparâmes à combattre. L’homme sortit une dague de sa cape et s’avança vers Abby. Je compris qu’il fallait que je m’occupe de Troy.
Je dégainai mon épée tandis que Troy faisait de même. Il tenta de me porter un coup en diagonale vers le haut. Je le parai, puis j’attaquai en estoc, essayant de toucher son torse, mais ce fut son épaule droite que je touchai. Je jetai rapidement un œil à Abby et l’homme, les deux avaient l’air parfaitement compétent et chacun parait le coup de l’autre, même si globalement l’homme prenait l’avantage. Je me concentrais à présent sur mon combat et vis Troy se tenir l’épaule tout en essayant de me frapper par le flanc gauche. Je fis un bond en arrière mais il réussit à me toucher dans les côtes. Puis il renchérit directement avec un coup vertical. Je le parai difficilement mais nous restâmes dans cette position durant quelques secondes à peine, juste le temps pour moi de faire jaillir ma lame secrète et de la lui planter dans le crâne.
-Troy ! Non !
Abby s’était tournée vers son mari et ne faisait plus attention à son propre duel. Grossière erreur. L’homme la transperça juste au-dessus de la poitrine.

Tandis que l’homme retirait son épée du corps d’Abby, je fermai les yeux d’Isaac.
-Il n’en a pas besoin, remarqua l’homme.
-Si ça se trouve, il a été manipulé par cette catin.
-Il a tué autant de personnes qu’elles, ils sont dans le même panier. Et mon contrat c’était de tuer les deux.
-Votre contrat ?
-Ouais, vu ton accoutrement je pense que tu peux savoir.
-Alors...Vous êtes un Assassin ?
-Précisément. Mon maître m’a ordonné de les tuer, c’est maintenant fait. Tu auras une partie de la récompense, ne t’en fais pas.
-Vous êtes blessé... remarquai-je en montrant le dessus de son épaule gauche.
-Toi aussi, rétorqua-t-il.
-Ce n’est pas bien grave, je survivrai.
-Parfait, maintenant si tu le veux bien, je crois qu’on nous attend, dit-il en signalant la sortie de la forêt.

Je le suivis vers la calèche, le cochet nous attendait.
-Merci l’ami, dit l’homme en lançant une petite bourse au cochet.
-Tout l’plaisir est pour moi, m’sieur.

Nous remontâmes en voiture, il enleva son tricorne et me dit en me tendant la main :
-Au fait, je crois que je dormais quand vous faisiez les présentations. Aaron Fawkes, dit-il en souriant légèrement.
-William Taylor, dis-je, confiant et presque sûr de m'être fait un allié.

Un RP de Watch dogs ?

• va voir*

Le topic est lock

Hugost, mieu que le précédent
une petite incohérences à noter: le mari s'appelle Troy, mais tu dis qu'il ferme les yeux d'Isaac.
Mais c'est minime

J'ai juste trouvé William un peu crédule de rentrer si facilement dans l'histoire de Fawkes.
Mais j'aime la tournure de la chose

2 points et 800 :pk:

Mince, oui au début je voulais l'appeler Isaac, mais j'ai changé d'avis en cours de route ...

Mais sinon

Oh non! Mon message est trop long! Tanpis je vais le mettre en deux fois...