Ah non, 40 lignes maximum... 'Faut pas déconner... C'est le minimum, quoi... Sinon on a un texte complètement bâclé où on raconte juste que ton mec s'est jeté sur les gardes, les as tous tués et puis voilà...

comment veut tu que je fasses 40 lignes pour l'attaque d'un chariot?
tu fais péter les trois gardes de derrière, tu te jettes sur le chauffeur et puis tu te barres!

bon c'est pas grave, je vais recommencer...
mais dit moi juste: pour faire quarante lignes il faut:
raconter tout les détails: ( j'avance du pied droit, j'avance du pied gauche, j'avance du pied droit, j'avance du pied gauche,... et oui ca devient chian a la fin...)
ou mettre un mot par ligne?

( ps: je n'est pas world, c'est grave?)

C'st un peu chiant de ne pas avoir WORD, mais pas indispensable.

Et bien sur que si on peut faire beaucoup de choses comme ça, regardes : on me demande de protéger un entrepôt, voilà le texte : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-30459-11681-96-0-1-0-rp-l-heritage-des-ombres.htm#message_102582

waouuuuuu! c'est quoi de ce texte de fou!!! tu doit être très intelligent!
je vais reconstruire mon texte et ajouter quelques details et ca devrait faire a peut près 40 lignes.
Je le posterai dans quelque jours!

Merci, mais t'inquiètes pas, si tu fais 40 lignes pile y'a aucun problème.

Y'a plus grand monde, n'est-ce pas ?

Non, et je suis fautif

Ah

Bah moi je suis toujours là quoi

Faudrait que je réécrives un chap, ça fait un bail là

Allez, je m'y mets ? J'en écris un, comme ça, pas de préparation, tac, cash, direct

Campagne de Boston, 18 juillet 1759;
Lors de mon premier entrainement, j'ai appris quelques trucs, comme assassiner par derrière ou en hauteur, a voler des objets sans me faire repérer, mais pas a me battre devant mon adversaire en façe à façe (ce qui m'empêche de foncer sur mes adversaires).
 Attaquer un chariot seul et sans aucun plan me ménerait a ma perte...
Je décide donc d'aller voir un ami du marchant qui m'a sauvé du massacre au congo. Celui-ci connait tout sur tout sur ce qui se passe en ville. Je frappe à sa porte, et il m'ouvre:
-Bonjour Issac.
-Ahh, Tom! Qu'est-que tu deviens?
-Comme je ne veut pas lui dire que je suis un assassassin, je lui dit:
Je désire rencontrer un templier qui garde un chariot de nourriture.
-Oui, il y a bien un chariot de nourriture qui va passer par Windle street, a la sortie de la ville, mais que veux tu faire? 
- Lui voler son chargement!
-Mais tu es fou! Il y a au moins 6 gardes!
-J'ai un plan, mais je vais avoir besoin de ton aide: as tu du papier, du sillex et de la poudre?
-Oui,  je crois que je peux te fournir ça... ( je vois a sa tête qu'il sait ou je veux en venir...)
Je me rends sur le lieu de l'embuscade et me cache dans les fougères...
J'analyse la situation: trois gardes derrière le chariot et deux devant.
Je mets la poudre dans le papier et le referme de façon à créer un sac de poudre que j'enflamme et que je lançe sur les trois garde de derrière.
Booooum!
Les trois gardes de derrière volent dans tous les sens!
Le bruit attire bien sur les deux autres gardes de devant; j'en profite pour monter sur un arbre et je saute sur le chauffeur. Je l'assassassine sans pitié; (de toute façon, eux non plus n'on pas eu de pitié quand ils ont détruits mon village...) et je prend plaisir à l'assassiner...
Je prend sa place et fait galoper les chevaux du chariot et les 2 autres gardes n'arriverront pas a me rattrapper. Je galère un peu pour ramener le chariot au repaire des assassassin, mais au bout de 2 heures j'y arrive.
Ma première mission est un succès, mais surtout un premier pas vers la vengeance...

On atteint toujours pas les 40 lignes, désolé.

Prologue :

Base militaire secrète, Nouveau Mexique, 2005

Le docteur Lee Spencer poussa la porte et entra dans la salle d’interrogatoire. Elle était entièrement blanche et vide, à l’exception d’une table au centre et de divers micros et caméras au plafond et dans chaque angle.
Un homme était assis. Il portait une tenue de prisonnier, totalement orange, et était menotté. Derrière la grande baie vitrée teintée, Lee Spencer savait qu’une dizaine de hauts gradés de l’armée en uniformes militaires observaient la scène.
Le gros docteur presque obèse s’assit en face de l’homme silencieux.
L’individu devait avoir la soixantaine. Il avait les cheveux longs, attachés en queue de cheval, une barbe naissante et une longue cicatrice le long du visage, partant de son front et terminant au coin droit de sa bouche en passant par son arcade sourcilière et son œil.
Le docteur Lee tendit la main avec un sourire.

-Heureux de vous rencontrer, monsieur Masson. C’est bien votre nom ?
-Peut-être. J’en ai porté tellement de différents dans ma vie que je ne peux tous les retenir.

Voyant que le dénommé Masson ne daignait pas lui serrer la main, Lee s’enfonça dans sa chaise et posa un dossier sur la table.

-On a mis du temps pour vous trouver, vous savez ? Plus de dix ans. Qui aurait cru qu’une légende de la guérilla comme vous se cachait dans un petit village, aux Philipines, depuis des années, et coulait des jours heureux ?
-…
-Vous savez… Il y a des dirigeants qui paieraient cher, très cher même, pour vous mettre la main dessus et apprendre tout ce que vous savez. Le gouvernement Américain a mis tous les moyens nécessaires pour vous attraper en premier. Vous êtes un vrai fantôme.

Lee jeta un œil à ses fiches.

-Pas étonnant, puisque officiellement, vous n’existez pas, l’organisation pour laquelle vous travailliez n’existait pas non plus, et les missions confidentielles auxquelles vous avez participées n’ont également jamais eues lieues.
-Vous venez de découvrir le principe de l’agent secret, de l’organisation secrète, et de la mission secrète, le tout en une seule phrase. Félicitation doc.

Masson émit un petit rire sarcastique.
Lee épongea son front luisant de sueur en se penchant sur son dossier.

-Tout à l’heure je vous ai appelé Masson mais il est vrai que vous avez possédé de multiples identités, durant votre carrière. Joe Fallen, Henry Burglistchz, Diego Weldez, Ted MacMurry, James Smith… Et une petite cinquantaine d’autre. Mais en vérité, il n’y a vraiment qu’un seul surnom sous lequel vous êtes connu. Un surnom qui, à la guerre, faisait trembler vos adversaires à sa simple évocation. Un surnom qui s’est transformé en une sorte de mythe, au fil du temps. Le Red Colt.

Masson, ou plutôt, Red Colt, croisa les bras et renifla sèchement.

-Vous aviez vingt-deux ans, pendant la Guerre Froide, quand vous avez vraiment commencé à vous faire connaître. Vous étiez un mercenaire. Un jeune pistolero, expert dans le maniement du revolver n’est-ce pas ?

Lee releva la tête. Red Colt se contenta de le fixer sans rien dire.

-Vous en aviez vingt-trois quand « ils » vous ont contactés ? reprit le docteur.

Pas de réponse.

-Aujourd’hui encore, dans le milieu, vous êtes considéré comme le plus grand tireur d’élite de l’Histoire. Votre tableau de chasse s’élève à plus de huit-cent têtes, et ça, ce n’est que la version officielle, s’il existe une version « officielle » puisqu’officiellement, vous n’existez pas. D’après certains spécialistes, le véritable nombre de vos victimes s’élèverait à plus du quintuple de ce que j’ai dit. Est-ce vrai ?

Le Red Colt bailla bruyamment.

-Vous ne voulez pas coopérer, n’est-ce pas ?

Le vieil homme écarquilla les yeux, puis explosa de rire avant de se gratter le menton en toisant Lee Spencer d’un air hautain.

-Je ne vous aime pas, docteur.
-Et pourquoi ne m’aimez-vous pas ?

Red Colt se pencha en avant et colla presque son visage à celui de Lee.

-Parce que vous êtes gros.
-Quoi ?

[ A partir de maintenant, veuillez écouter cette musique en même temps que votre lisez : http://www.youtube.com/watch?v=rVN1B-tUpgs et s’il y a un problème dans le lien, tapez On The Nature of Daylight sur Youtube]

-Parce que vous êtes gros, que vous puez l’arrogance et l’auto-suffisance alors que vous ne connaissez rien de la Vie.
-Pardon ? Que voulez-vous dire ?
-Avez-vous déjà mis un seul pied sur un champ de bataille, docteur ?
-N… Non, je…
-Avez-vous déjà eu à tuer, sans poser de question, des hommes qui ne vous avaient rien fait et dont vous ne saviez rien, simplement parce qu’on vous en avait donné l’ordre ? Avez-vous déjà eu à porter sur votre dos un compagnon dont la moitié du visage avait été arrachée par un éclat d’obus, sur plusieurs kilomètres, sous une pluie de balle et un déluge de flamme ? Avez-vous déjà eu la jambe coincée sous un véhicule militaire, alors que les troupes ennemies approchaient, au loin, et avez été obligé de vous briser vous-même la rotule à coup de barre de fer pour vous dégager de là ? Avez-vous déjà eu à ouvrir le ventre d’un enfant vivant pour en extraire une bombe que des terroristes lui avait caché dans les entrailles ? Avez-vous déjà eu à ramper dans la boue, le sang et les cadavres carbonisés, les dents serrées, une balle dans l’épaule, en retenant sans cesse votre respiration et en priant pour que l’ennemi ne vous remarque pas ? Vous êtes-vous déjà retrouvés assis sur une chaise, dans une cave, à répéter dans votre tête « Résiste, résiste, résiste, résiste » pendant qu’on vous enfonçait des électrodes dans les cuisses et qu’on vous faisait passer le courant dans le corps ? Vous êtes-vous déjà retrouvés contraint de faire le choix entre achever un ami agonisant et conserver votre toute dernière balle pour vous la mettre dans la tête vous-même en cas de capture ?

Le docteur avait pâlit tout au long de la tirade. Le Red Colt se pencha un peu plus en avant.

-Vous pensez être puissant, parce que vous avez de l’argent et une éducation. Vous vous croyez au-dessus des autres et vous vous satisfaites de votre état, parce que vous vous figurez valoir mieux que la masse grouillante, mais vous n’êtes qu’un déchet. Vous, comme les hauts-gradés derrière cette vitre qui s’imaginent être des « héros » alors qu’ils passent leurs journées à donner des ordres derrière un bureau tandis que les vrais « héros » périssent chaque jour, dans la misère, la douleur, la crasse, et dans l’anonymat le plus total, pour rapporter de l’argent à ces pourris… J’ai connu un homme qui, lors d’une bataille, s’est fait fauché les deux jambes par une sulfateuse, et qui a continué à ramper, un couteau dans la bouche, et un pistolet dans chaque main, et à se battre jusqu’à se vider de son sang, et tout ça pour quoi ? Pour que vous et vos semblables puisses déguster du caviar et écouter de la musique classique, affalés dans vos canapés, devant vos cheminées, un verre de champagne à portée de main et un cigare entre les lèvres. Il y avait plus d’honneur et de courage dans un seul doigt de cet homme, que dans vous tous rassemblés. Et cet homme, personne ne connaîtra jamais son nom. Aucune page de livre d’histoire de le mentionnera jamais. Aucune médaille ne lui sera délivrée. Lui, comme tant d’autres. Moi, j’ai connu l’enfer. C’est la seule chose que j’ai jamais vu de ma vie. Je suis né dedans et je n’ai jamais aspiré à rien d’autre qu’à y mourir. Et vous, vous ne voyez les gens qu’en chiffre, et le monde que comme une carte. Vous croyez connaître la guerre et vous en parlez comme si vous y étiez alors que tout ce que vous savez d’elle, c’est ce que vous avez vu dans les films. Voila pourquoi je ne vous aime pas, docteur.

[ Vous pouvez stopper la musique avant de reprendre ]

Lee Spencer toussota et s’épongea le front alors que le Red Colt reculait lentement et recroisait les bras.

-Hum… Où… Où en étions-nous dé… déjà… Euh…
-Vous me demandiez quand est-ce qu’ « ils » m’ont rencontré.
-O… Oui. Voila.
-Alors, puisque vous le voulez, je vais vous raconter. Vous dire tout ce que vous voulez savoir.

Le Red Colt sourit.

-Vous raconter comment j’ai intégré l’Ordre des Assassins.

Et là, Alcahe, on atteint les 40 lignes ?

Oui.

Je vais te noter sur ton texte assassin, c'est pas grave si t'as pas atteint les 40 lignes.

merci!

Campagne de Boston, 18 juillet 1759;
Lors de mon premier entrainement, j'ai appris quelques trucs, comme assassiner par derrière ou en hauteur, a voler des objets sans me faire repérer, mais pas a me battre devant mon adversaire en façe à façe (ce qui m'empêche de foncer sur mes adversaires).
J'ai aussi apprit a fabriquer des bombes, avec pour matériaux du papier, de la poudre et deux silex.
 Attaquer un chariot seul et sans aucun plan me ménerait a ma perte...
Je décide donc d'aller voir un ami du marchant qui m'a sauvé du massacre au congo.
 Celui-ci connait tout sur tout sur ce qui se passe en ville.
 Je frappe à sa porte, et il m'ouvre:
-Bonjour Issac.
-Ahh, Tom! Qu'est-que tu deviens?
-Comme je ne veut pas lui dire que je suis un assassassin, je lui dit:
Je désire rencontrer un templier qui garde un chariot de nourriture.
-Oui, il y a bien un chariot de nourriture qui va passer par Windle street, a la sortie de la ville, mais que veux tu faire? 
- Lui voler son chargement!
-Mais tu es fou! Il y a au moins 6 gardes!
-J'ai un plan, mais je vais avoir besoin de ton aide: as tu du papier, du sillex et de la poudre?
-Oui,  je crois que je peux te fournir ça... ( je vois a sa tête qu'il sait ou je veux en venir...)
Je me rends sur le lieu de l'embuscade et me cache dans les fougères...
J'analyse la situation: trois gardes derrière le chariot et deux devant.
Je mets la poudre dans le papier et le referme de façon à créer un sac de poudre que j'enflamme et que je lançe sur les trois garde de derrière.
Booooum!
Les trois gardes de derrière volent dans tous les sens!
Le bruit attire bien sur les deux autres gardes de devant; j'en profite pour monter sur un arbre et je saute sur le chauffeur. 
Je l'assassassine sans pitié; (de toute façon, eux non plus n'on pas eu de pitié quand ils ont détruits mon village...) et je prend plaisir à l'assassiner...
Je prend sa place et fait galoper les chevaux du chariot et les 2 autres gardes n'arriverront pas a me rattrapper. 
Je galère un peu pour ramener le chariot au repaire des assassassin, mais au bout de 2 heures j'y arrive.
Ma première mission est un succès, mais surtout un premier pas vers la vengeance...

I'm back z'êtes mort

J'attend toujours qu'on corrige mes deux derniers textes

Petit Voici mon Assassin

//Assassin//
Nom complet: William Taylor
Âge ou date de naissance: 9 juin 1720 (33 ans)
Pays: Angleterre, puis États-Unis d’Amérique.
Epoque: XVIIIe siècle (1753)
Sexe: Masculin.

Description physique puis morale: 1m 81 pour 69 kg, William a des yeux bleus foncés et des cheveux courts châtains clair et une barbe comme celle-ci :
William possède un sens de la justice très fort ainsi qu’une personnalité stratégique poussée. Au lieu de foncer dans le tas, il repérera les cibles à éliminer et comment les mettre hors d’état de nuire. Tout ce qu’il fait, il le fait au nom de la justice. En raison d’un passé douloureux, William a appris à être indulgent quand il le fallait ou impitoyable le moment venu. Il est également un poil égocentrique : si il y a des dommages collatéraux : tant pis, ça aura servit à quelque chose...

Histoire: Né à Plymouth, une ville portuaire anglaise, William est le fils d’un Assassin, Bill Taylor, qui apprit à ses deux fils, William et Andrew l’art ancestral de l’assassinat. Andrew, l’aîné, fût le premier à être intégré officiellement dans la Confrérie. Deux ans après son recrutement, Andrew fût capturé, torturé, puis tué par les pires crapules et les ennemis de toujours des Assassins : les Templiers. William, l’ayant très mal vécu, jura fidélité devant le Grand Maître Assassin de l’époque et devint à son tour un Assassin avec un but bien précis : traquer et éliminer ses cibles qu’elles soient ennemies des Assassins, alliées des Templiers ou Templiers elles-mêmes, William poursuivra ses ennemis comme il poursuivra sa quête de rédemption.

Force: 1/10
Résistance: 1/10
Déviation (combat, riposte mortelle): 1/10
Vitesse: 1/10
Escalade: 1/10
Discrétion: 1/10
Armes à distance (couteaux de lancer, pistolet, arbalètes…):1/10
Compétence spéciale : « Cheers » : Compétence issue directement de l’entraînement de Bill Taylor. Exprime sa rage intérieure et réalise un enchaînement spectaculaire à mains nues et/ou avec une arme courte (dague, lame secrète). Technique nécessitant beaucoup d’endurance et après l’avoir effectuée, l’utilisateur tombe souvent dans les pommes. A utiliser uniquement en cas de force majeure : 1/10

Rang : Recrue.

//Sujet//
Nom complet: Riley Anderson
Âge ou date de naissance: 15 janvier 1985 (28 ans)
Nationalité: Anglaise.
Sexe: Masculin