Esque je doit faire une anecdote pour le premier texte
" ils se ressemblent "
Non, pas forcément, tu peux commencer par une mission si tu veux. /
Bienvenue aux nouveaux
Alca je prends qui?
C'est toi qui voit. /
Qui n'a pas de maitre?
Megatron et les deux nouveaux. /
Merci beaucoup Alcahe, ça fait très plaisir ! Merci à toi de te taper mes pavés Pour la peine, si je continue après, je ferai une (autre ) Anecdote où Liam devient Assassin
Non mais je reste quand même ton Apprenti hein T'en fais pas, le jour où l'élève vaincra le maître viendra bien assez tôt.. *mode Seigneur Sith activé *
... Et le maître le détrônera aussitôt.
Oeil pour oeil, dent pour dent.
A quand la MAJ ?
Et j'ai besoin d'une mission.
J'ai été voir un gars, et donc j'attend qu'il m'en file une.
Épisode 4
« Jörgen »
- 4 -
→ 958, Islande ←
La nuit était froide comme de la glace et les lumières blafardes des torches balayaient les murs de la bâtisse. Allongée sur le dos, une femme d'une trentaine d'année gémissait entre deux souffles. De la sueur perlait sur son front blanc et ses cheveux or étaient en bataille. Elle criait encore et encore.
Le vent frappait fortement les fondements de la maison tandis qu'un homme fort bien bâti tenait dans ses bras puissant un tout jeune né. C'était un fils que Balf Olst avait souhaité et les Dieux avaient entendu ses appels. Enveloppé d'un linge chaud, le petit bébé était endormi paisiblement. Balf tourna sa tête vers sa femme qui reprenait des forces lentement. A ses côtés, la femme de son frère et la guérisseuse du village s'activaient tel des fourmis autour de leur reine.
« Il faut lui donner un nom. »
« Oui, nous t'appellerons …... Jörgen. Jörgen Olst. »
Il aimait ce prénom et savait que son fils deviendrait un brave homme sur cette île glacée. Il baissa le regard vers Jörgen et laissa ses pensées vagabonder.
→ 982, Islande ←
Le bruit du marteau frappant l'acier emplissait la forge, couvrant le crépitement des braises. Chaque coup était donné avec précision et expérience. Jörgen posa son marteau et plongea rapidement le métal rouge dans l'eau froide. Une fois refroidit, il leva devant lui l'objet et la contempla dans tous les sens, laissant glisser sa main sur la lame. Il ne remarqua aucun défaut.
« Magnifique, je n’ai que rarement vu une aussi belle lame. »
« Ravit qu'elle te plaise Olaf. » ( Jörgen attrapa une autre pièce de métal ) « On dit que l'expédition va vers l'Ouest. Tu penses qu'il y a encore des terres par là-bas ? »
« Peut-être que oui, peut-être que non. En tout cas Erik lui le pense. »
Erik, Erik Le Rouge. Jörgen avait entendu son nom pour la première fois il y a maintenant plusieurs mois. C'était un client qui lui en avait parler. On racontait beaucoup de chose sur lui et les gens qui ne l'avait même pas vu argumenter pour savoir si ce norvégien avait des cheveux de feu. Être mythique malgré lui, Erik attisait toute les rumeurs.
« Je parlerais de toi à Erik. Je pense qu'il appréciera avoir des armes aussi belle. Une expédition se doit avoir du matériel de qualité tu sais. » ( il dit cela tout en s'appuyant sur l'un des murs de la forge ).
« Merci. »
« Tu sais, l'équipage n'est pas encore complet. »
« Je le sais très bien, à chaque fois que je te vois, tu m'en parles. Mais tu sais comme moi que le village à besoin de moi. »
« Tu n'est pas le seul forgeron à ce que sache. »
« Non, mais je suis le meilleur. Ce n'est pas moi qui le dit mais toi. »
Olaf resta encore un peu à discuter de choses et d'autres avec son ami avant de s'en aller. Jörgen Olst avait maintenant vingt-quatre ans. Il avait une taille d'environ un mètre soixante quinze et il avait hérité des yeux de sa mère, des yeux d'un bleu profond comme la mer islandaise. De son père il avait la carrure et les cheveux noirs, contrairement à sa sœur qui avait des cheveux or.
Jörgen était rapidement devenu un petit génie dans le domaine du métal. C'est son père qui lui avait tout appris et le jeune Olst n'avait pas fait qu'améliorer les enseignements de son père, non, il avait révolutionné la façon de façonner le métal froid. On le surnommé le forgeron des Dieux. Mais sa réputation n'avait de limites que les côtes froides et venteuses de l'Islande. Malgré tout, cela lui convenait car il était plutôt du genre simple.
→ 2013, Chine ←
Je ne sait pas ce qui fait le plus bizarre. Sortir de l'animus ou y être. Les sensations se mélangent un peu dans ma tête et Jörgen hante mes rêves comme un fantôme entre la nageuse et les scandales qui ont détruit ma carrière politique. Comme Olst j’étais doué dans mon domaine et me voilà maintenant à faire le rat de labo. Non pas que cela ne me déplaise mais c'est allez si vite que je me perds un peu.
En rentrant le soir de l’arrestation de cette femme, j'ai soigneusement écrit ce qu'elle m'avait dit tout bas. C'est sans doute la seule chose qu'il me reste de vraiment personnel : un carnet. J'y écris mes inquiétudes et les détails importants. Pourtant, je ne suis toujours pas aller voir ce fameux conduit de ventilation car j’ose croire que Max m'a mis sur surveillance. Ou suis-je devenu parano à force de ressasser tout cela dans ma tête.
Non sum qualis eram.......
bonjour a tous, je vais créer mon assassassin
nom:tom riley
époque 18eme 1759
age:21
nationalité: afro-américan
pays: amérique
sexe:homme
description:yeux bleus, cheuveux noir, habit des assassin en noir avec des bandes blanches et bleues, 1m85. Très naïf, ne sais pas utiliser sa force, très brutal(préfère tabasser puis parler) mais exelent voleur
histoire: tom vivait dans un village au congo avec sa famille j'usqu'au jours ou les templiers rasèrent son village. Heureusement, un marchant sauva lui et son frère et les emenèrent en amérique et les nourrirent pendant 10 ans. Le marchant mouru le jour des 15 ans de tom. Tom et son frère vivèrent pendant 2 ans de petits larcins mais son frère mourut de la peste. Sans famille et sans amis,Il n'avait plus qu'une raison de vivre: tuer les meurtriers de sa famille. Pour cela, il regoignit les assassassin pour qu'ils l'entraine, mais dès qu'il sera un exelent combattant, il s'enfuirat de l'ordre et ira massacrer du templier en afrique...
D'accord, tu es accepté assassin.
Veux-tu une mission où tu commences par une anecdote ?
heu... une mission
merci de m'avoir accepté
C'est moi qui te remercies de t'être inscrit.
Mission : Un chariot rempli de vivres volées aux citoyens va partir réapprovisionner les Templiers. Il est escorté par une demi-douzaine d'hommes, en incluant le chauffeur du chariot. Prenez-le en filature et attaquez-le lorsque vous serez seul avec les gardes. On a pas besoin de problèmes supplémentaires avec les civils.
Voilà. Tu démarre avec une épée, une lame secrète et cinq couteaux de lancers. Tu racontes la mission comme si c'était un livre, donc tu fais des dialogues, ect... La limite minimum de lignes est de 40 en comptant les dialogues. Avant de commencer, tu devras mettre la date et le lieu. Exemple : Boston, 14 avril 1759. (Ca m'est venu tout seul.) Tu peux faire échouer la mission ou ne pas la suivre à la lettre près. Bonne chance !
19 juin 1759, campagne de boston:
A peine ai-je finis mon premier entrainement qu'on me confie déja une première mission:
attaquer un chariot. Au début, j'aivais prévu de leur foncer deçu, mais j'ai eu une vision: moi en train de me faire tuer par des templiers... Il faillait donc être plus statégique... Je trouvis un plan, mais pour cela, il me fallait de la poudre. Je décidai d'aller en voler à un soldat posté sur une colline. Je ne me fis pas repérer.Sur le chemin de l'embuscade, je ramasai un vieux journal est deux pierres.
Je me cachai dans les fougères qui bordaient le chemin et attendit le convoi...
J'analisais la situation: deux ennemis devant le chariot et trois derrière.
Je mis la poudre dans le journal et le referma pour créer un sac de poudre que j'enflamas avec les pierres. Puis je le lança sur les trois de derrière et les fis exploser. Les deux gardes de devant accoururent derrière, et j'en profita pour monter sur un arbre. Je sautai sur le conducteur du chariot et je le tua sans pitié, et la sensation que j'éprouvis me fit dabort peur mais ensuite j'en fus extêmement content: tuer ce templier me fis plaisir... Mais ce n'était qu'un début...
Je fis galoper les cheuveau du chariot pour rentrer au repaire.
Ma première mission fut un succès!
Excuses-moi, mais les 40 lignes minimum, où sont-elles ?
40 lignes MINIMUM! moi j'ai compris maximum!