Y'a besoin d'en faire ?
Bah euh... Vive l'amour entre ados, le profond, le vrai !
Wow wow wow ! Arrête, futur, t'es en train de me traumatiser ! Déjà que tu m'as fait subir trois morts dans des fics ou des RPs et que t'en prépare deux autres, tu vas pas m'en rajouter une couche sur un amour que je ne connaîtrai jamais !
Ah, pardon...
Wait, pourquoi t'es gentil ?
Tu préfères que je t'enfonces un scalpel dans les poumons ?
Euh... Reste comme ça, c'est parfait.
Oh ben c'est cool ! Je m'attendais à un truc du genre : "c'est abusé ton truc !"
Sinon jerry du dialogue que tu vient d'inventer !
Bah non, ce genre de couples existe. (mes grands-parents en sont la preuve vivante. ) Il suffit juste de bien les gérer pour pas que leur histoire soit super idyllique mais pas non plus hyper chaotique. Et si ça se trouve, le couple pourrait avoir une fin tragique, ayant un impact psychologique sur le protagoniste restant.
Alec, tu es un monstre !
Non, je suis juste un fan de psychologie et d'histoires tragiques ou avec un scénario intense et réaliste.
Mais pourquoi t'amuses-tu à tuer touts les gens ayant une vie heureuse ?!
Parce que la vie ressemble à ça. Des personnes ayant vécues pleinement et ne regrettant rien meurent en toute sérénité. N'est-ce pas ce dont chacun d'entre nous rêve, de mourir paisiblement après avoir accomplis leurs rêves, avoir fonds une famille et avoir eu des dizaines d'expériences différentes ? (A méditer.)
Tes grands parents ?
Je risque d'avoir du mal a faire une histoire d'amour "pas trop idyllique" !
On peut faire une mission en duo (en contrôlant un autre assassin que son perso) ?
Oui, mes grands parents. Ils se sont rencontrés après la guerre, en 49, coup de foudre, mariage sept mois plus tard. Décembre 50, naissance de ma mère.
Et que veux-tu dire par contrôler un autre perso que le nôtre ?
Magnifique histoire !
Ben... Faire une mission en duo avec... Euh...
Dis le !
Toi la ferme !
Euh... Avec Pauline je voulais dire ?
Euh, oui, pourquoi pas, tu as le droit.
Parce que je vient d'avoir une super idée de scénario pour une mission ! Je te donne un indice ?
Oui.
L'engagement chez la Confrérie necessitait avant un sacrifice. Je te laisse deviner ou est-ce qu'il sera blessé...
Hey ! Pourquoi est-ce que tout le monde se coupe l'annulaire ? Et votre bague de fiancaille alors ?
A oui j'avais negligé ce detail ! Je prendrais l'autre main
Je vais faire la mission "Embuscade", si possible.
Ethan Blackburn
Quartier de Greenwich
Londres
23 Décembre 1891
Heure locale : 19 : 21 : 34
Ethan était à bord d’une calèche en direction d’une taverne. Pauline et Andrew était en sa compagnie. Andrew était un jeune homme âgé de 16 ans et avait un physique avantageux : il était blond, avait des yeux verts intense et une carrure athlétique. Il passait le plus clair de son temps à jouer les coureurs de jupon. Ethan n’avait pas dit un mot depuis le début du trajet. Andrew se tourna vers lui et se moqua de lui :
« -Ethan, tu as un don inouï pour le silence, tu es donc le compagnon de voyage idéal. »
Pour toute réponse, Ethan lui donna un uppercut en plein visage, un sourire narquois aux lèvres. Pauline pouffa de rire tandis qu’Andrew commençait à se passer un mouchoir sur son nez qui commençait à saigner. Le froid était rude à Londres en cette saison, mais les rues étaient toujours pleines de vies : un petit garçon vendait les journaux en criant les dernières nouvelles du monde, une vieille dame balayait le devant de sa porte, une odeur de pain chatouillait les narines des passants… Ethan regrettait un peu Paris, mais il n’était pas mécontent d’être à Londres. La calèche passa sur Westminster Bridge. Les bords de la Tamise étaient gelés à certains endroit et la température de l’eau ne devait pas grimper au-dessus de 3 degrés. La calèche franchit le pont, passa près du Parlement avant de tourner à l’angle d’une rue. Le cochet s’arrêta et clama :
« -Nous y sommes !
-Tu viens avec moi, demanda Ethan à Pauline.
- Non, désolée je dois aller faire quelques courses, répondit la jeune Assassine. »
Pauline et Ethan ne s’étaient pas beaucoup parlé depuis l’autre soir. Mais Pauline regardait toujours le jeune homme avec amour et c’était réciproque. Andrew descendit avec Ethan. Les deux jeunes rirent un instant à cause du coup de poing d’Ethan de tout à l’heure. Tandis que Pauline partait à l’autre bout de la rue, les deux autres Assassins entrèrent dans un bar baptisé le « Lion’s Bar ».
C’était un bar où se rencontraient souvent les Assassins. L’intérieur était en bois. Un comptoir se situait à droite de l’entrée. De nombreuses bouteilles d’alcools en tout genre étaient alignées derrière le comptoir. Quelques tableaux ornaient les murs et de magnifiques tapis recouvraient le sol. Quelques fauteuils étaient disposés autour d’une table basse près d’une cheminée dont les flammes accrochaient des lueurs orangeâtes dans toute la pièce. Au fond à droite se trouvaient les escaliers menant au balcon qui surplombait l’intérieur du bar. Six chambres étaient alignées à l’étage supérieur. Une odeur mêlée de thé et de feu de cheminée embaumait la pièce. Ethan s’approcha du barman et commanda un bon chocolat chaud avant de partir s’asseoir près de la cheminée se réchauffer. Andrew, quant à lui, avait commandé un whisky et s’approcha d’un groupe de demoiselles afin de leur faire la cour. Ethan pensait à Noël. La soirée du réveillon aurait lieux demain soir et il avait prévu son cadeau : il sortit de sa poche une magnifique bague aux reflets argentés et ornée d’un petit rubis. Il l’avait réussi à la payer grâce à une série de petits boulots… plus ou moins légaux. Tout ceci avait été difficile, mais il en était fier. Un serveur le tira de ses pensées :
« -Votre chocolat, monsieur, lui annonça.
-Merci. Posez-le là, répondit poliment Ethan en désignant la table.
-Bien, monsieur. »
Le serveur déposa la tasse fumante de chocolat chaud sur la table. Puis, il s’empressa de retourner servir les autres clients. Le jeune Assassin porta la tasse à ses lèvres, souffla un peu sur la boisson avant de boire une gorgée. Il déposa la table et commença à lire le journal posé sur la table basse.
Pendant ce temps-là, Pauline faisait ses achats de Noël : elle avait acheté quelques chocolats importés de Suisse, des jouets pour les fils et filles des Assassins du QG. Elle se demandait ce qu’elle allait pouvoir offrir à Ethan lorsqu’elle remarqua quelque chose d’anormal près du « Lion’s Tavern » : plusieurs hommes s’étaient rassemblés devant le bar, mais également tout autour et même sur un toit en face de l’édifice :
« -Il se passe quelque chose, pensa Pauline, intriguée. »
Elle mit sa capuche et s’approcha lentement du bar. Elle remarqua malgré la nuit qui tombait le reflet d’une lame au niveau de la ceinture d’un des hommes. Cette fois, plus de toute : Ethan, ainsi que tous les autres Assassins sont en danger ! Elle fit le tour de l’édifice et passa dans une ruelle avant de commencer à escalader le bâtiment. Mais l’escalade était beaucoup plus périlleuse que d’habitude. En effet, la glace qui recouvrait la façade rendait toute la façade extrêmement glissante.
Ethan venait de finir de boire son chocolat chaud et de lire son journal lorsqu’il jeta un œil par la fenêtre et remarqua à son tour l’étrange manège qui se déroulait autour du bar. Il se retourna immédiatement et fila voir Andrew et quelques autres Assassins :
« -Eh ! Les gars ! On a de la compagnie, s’écria Ethan.
-Des femmes, ironisa Andrew.
-Mais non, crétin, répliqua un Assassin. Alors, qu’est-ce que c’est ? »
Ethan fit signe aux autres de se rapprocher :
« -A votre avis, des types qui se tiennent devant le bar ou se regroupent souvent une grosse majorité des Assassins, ça ne peut être que qui, questionna Ethan.
-Oh shit ! Des Templiers, jura Andrew.
-On fait quoi, demanda quelqu’un.
-Andrew, tu fais sortir les civils, intima Ethan.
-Une minute, j’ai beau être d’accord avec toi, Ethan, mais je suis le chef ici, répliqua Jack, le plus vieil Assassin du groupe. »
Jack était un homme âgé d’environ cinquante ans. Il avait des cheveux gris, un visage barré d’une cicatrice et des yeux noirs.
« -D’accord, on te suit, reprit Ethan. »
Jack élabora un plan : le groupe allait couvrir la fuite d’Andrew avec les civils tout en éliminant me faire éliminer le plus de Templiers avant de fuir par les toits. Ethan mit sa capuche et dégaina sa canne épée. Il se plaça sur le balcon, s’adossa à une poutre et inspira. Etait-il prêt à tuer à nouveau ? La réponse allait être résolue d’une minute à l’autre. Il serra la main d’Andrew :
« -Et pas de conneries avec elle, dit Ethan en esquissant un sourire.
-Aucun risque ! Fait gaffe à toi, lui répondit Andrew en s’éloignant. »
Ethan vérifia sa lame secrète et observa son épée. Il s’était fait une promesse : s’il ne s’en sortait pas, il la léguerait à Pauline. Un grand fracas à l’étage inférieur le tira de ses pensées : les Templiers venaient d’enfoncer la porte et commençaient à rentrer, épées aux poings.
Un Templier se trouvait juste en-dessous de lui. L’adolescent fit un signe de tête à un Assassin à côté de lui, et, dans une synchronisation parfaite, tous les Assassins fondirent sur leurs adversaires, tels des aigles sur leurs proies. Ethan tomba sur un premier homme et lui enfonça sa lame secrète dans la gorge. Puis, il saisit la dague que le mort avait en main, effectua une roulade derrière le comptoir avant de la lancer droit dans le sternum d’un adversaire. L’adolescent dépassa la tête du comptoir : le combat faisait rage. Un cri retentit juste à côté de l’adolescent qui baissa la tête juste à temps : un ennemi, qui mesurait au moins deux mètres venait de tenter de lui mettre un coup de hache. L’arme vint se planter sur le rebord du comptoir. L’adversaire retira la hache du comptoir et tenta une autre attaque dévastatrice, ratée aussi à cause de l’agilité de l’adolescent. Ethan sauta sur le comptoir et tenta une attaque en brandissant sa canne-épée. Mais le mastodonte l’arrêta d’une seule main, lâcha sa hache et saisit Ethan avant de le projeter. Ethan glissa sur tout le long du comptoir avant de finir sa course au fond de la pièce. La brute s’approcha du corps inerte du jeune Assassin et rit :
« -Ils les recrutent au berceau maintenant ?! Ah ! Il n’a même pas tenu une minute ! »
Le géant se retourna, prêt à en découdre avec les autres. Ethan ouvrit alors un œil, se releva doucement, saisit un tabouret à pleine main. Il concentra toute sa force et fracassa le tabouret sur le crane du mastodonte. Ce dernier resta un instant debout, avant de s’effondrer. Ethan reprit son épée et engagea le combat face à un adversaire du même gabarit que lui. Leurs épées s’entrechoquaient brutalement, produisant quelques étincelles au passage. Ethan tenta un coup sur le flanc. Son adversaire para le coup et saisit une bouteille d’eau de sa main libre qu’il tenta d’envoyer sur Ethan. Le jeune Assassin se baissa et la bouteille vint s’écraser dans la cheminée, éteignant le feu au passage. L’adolescent appliqua un coup au flanc qui écorcha la hanche de son adversaire. Mais ce dernier, saisit le bras d’Ethan et le projeta contre un coin de la pièce. L’adversaire sortit un pistolet automatique et le braqua vers Ethan.
Pauline arrivait sur le toit. Le sol était glissant et elle avançait avec prudence. Alors qu’elle cherchait un endroit pour entrer dans le bâtiment, une balle ricocha à ses pieds : elle avait oublié le Templier qui faisait office de franc-tireur sur le toit d’en face. Elle regarda à sa gauche et remarqua que la cheminée du bar ne produisait plus de fumée. Elle prit son courage à deux mains et effectua une roulade vers la cheminée. Par chance, le tireur devait recharger sa carabine. Pauline en profita pour plonger dans la cheminée. Elle parvint à descendre sans trop de difficulté : le boyau était étroit. Mais cela n’effrayait pas jeune fille qui avait une taille de mannequin. Elle entendit bientôt le vacarme que produisait le combat à l’intérieur de l’édifice avant de se laisser tomber.
Ethan n’était pas dans une situation avantageuse : son adversaire avait sorti son Mauser et le tenait en joue, prêt à faire feu :
« -Cette fois, Ethan, je crois que Pauline va hériter de ta canne, pensa l’adolescent. »
Alors qu’il s’apprêtait à faire ses prières, le Templier qui le tenait en joue poussa un cri : tous ses muscles étaient tendus, il avait les yeux exorbités et un filet de sang coula de sa bouche. Il tomba à genoux, avant de s’effondrer face contre terre : L’homme avait un couteau planté dans le dos. Ethan remarqua alors Pauline quelques mètres plus loin : cette dernière avait le bras tendu et la main entrouverte. Le visage de l’adolescent s’illumina. Pauline accourra et lui tendit le bras :
« -ça va aller, demanda la jeune Française.
-Ouais ! Deux secondes de plus, et il m’expédiait chez Saint-Pierre, répondit l’adolescent en se relevant à l’aide de la jeune fille.
- Il ne Faut pas trainer ici !
- Comprit ! »
Pauline sortit ses deux dagues et engagea le combat face à deux adversaires à la fois. Ethan prit le Mauser de la main du cadavre et le mit à sa ceinture. Pauline para un premier coup, puis un deuxième avant de bondir tel un félin sur le comptoir et d’envoyer son pied à la figure d’un des deux Templiers qui l’attaquait. Elle en profita pour dégager une bouteille de whisky du comptoir. Le projectile vola à travers le bar avant qu’Ethan ne le saisit en plein vol par le goulot. La seconde suivante, un ennemi tenta un coup d’épée en direction de la tête d’Ethan. L’adolescent fut prompt et se baissa pour éviter le coup. Puis, il donna un violent coup de bouteille sur l’arrière du crâne de son adversaire. L’arme improvisée se brisa sur la tête de l’assaillant dans un fracas de verre, l’aspergeant d’alcool au passage. L’adolescent s’attaqua à un autre adversaire. L’ennemi tenta un coup d’estoc sur l’Assassin, qui l’esquiva Ethan saisit une tasse brulante de thé. Il envoya le liquide bouillant à la figure de son adversaire qui hurla, brulé au visage. L’adolescent remarqua que le Templier avait une grenade à la ceinture. Sans hésiter, il la dégoupilla et prit l’ennemi par la ceinture et le col avant de l’envoyer vers trois Templiers qui entraient en criant :
«- Chaud devant ! »
Pauline, quant à elle, continuait son combat face à un autre Templier. Ce dernier donna un coup d’épée droit vers la jeune fille qui l’arrêta avec ses deux dagues. Puis, elle envoya son pied droit de toutes ses forces dans l’entrejambe de son adversaire qui s’effondra sans dire prononcer un son. Pauline l’acheva d’un violent coup de pied au visage :
« -C’est dans ces moments-là ou je ne regrette pas d’être une fille, pensa l’adolescente en esquissant un sourire »
Elle fit signe à Ethan de se rapprocher : ce dernier se battait contre un Templier près du comptoir. L’adversaire tenta d’enfoncer son épée dans la hanche gauche du jeune homme. Mais le jeune Assassin bondit sur le comptoir, arrêtant brutalement l’épée de son adversaire en posant son pied gauche sur le bord non-tranchant de la lame :
« -Mais qu’est-ce que…, commença le Templier. »
-Surprise, enfoiré, jubila Ethan en sautant et en envoyant ses deux pieds dans la figure de son adversaire. »
Il retomba au sol et saisit l’épée de son adversaire au vol. Alors qu’il se relevait, Ethan se fit violemment plaquer au sol par deux ennemis qui commencèrent à le passer à tabac. Heureusement, Pauline veillait. Elle lança ses deux dagues en direction des deux assaillants. Les projectiles atteignirent successivement leurs cibles. Ethan se releva, prit son épée avec lui et envoya les deux dagues à leur propriétaire. Pauline se dirigea vers le fond du bar et enfonça une porte donnant sur un balcon. Les Assassins avaient progressivement pris la fuite et Ethan et Pauline étaient les derniers à partir. Ethan rejoignit Pauline rapidement :
« -Les dames d’abord, dit Ethan.
-Trop aimable, répondit Pauline en enjambant la rambarde et en sautant vers l’immeuble d’en face. »
Ethan la rejoignit immédiatement tandis que trois Templiers se lançaient à leur poursuite. L’adolescent arriva dans un appartement luxueux et suivit la jeune fille qui bondissait d’appartements en appartements tel un chat. Deux des poursuivants ne lâchaient pas l’affaire. En revanche, le troisième glissa d’un des balcons et vint s’empaler sur un grillage. Les deux adolescents tombèrent dans la rue et continuèrent de courir aux milieux des Londoniens, surpris par cette étrange course poursuite. Mais un groupe de Templiers bloquaient la rue et s’apprêtaient à les accueillir. Ethan remarqua qu’un lourd sac de sable était accroché à une poulie fixée à un mur. Il cria à Pauline :
« -Tient toi à moi !
-Comprit, répondit immédiatement la Française. »
Ethan dégaina le pistolet et tira sur la corde et s’accrocha à une autre : en moins de quelques secondes, les deux adolescents atteignirent le toit du bâtiment. Un Templier arriva par le toit d’en face et sortit un revolver de sa poche intérieure qu’il braqua vers Ethan. Mais l’adolescent fut plus rapide et tira quelques coups de feu vers l’ennemi, qui tomba du toit. Les deux jeunes Assassins continuaient leur course. Ethan sauta vers le toit d’en face. Pauline le suivit immédiatement, mais la jeune fille glissa du toit et s’accrocha au rebord. Ethan l’aida immédiatement à se hisser sur le toit. Ethan regarda autour de lui : Big-Ben n’était qu’à quelques centaines de mètres et Tower Bridge, toujours en construction n’était pas loin lui non plus. Les Assassins continuèrent leurs courses. Ethan jeta un œil derrière lui et plaqua Pauline au sol juste à temps : les Templiers avaient placés une Gatling sur un toit avoisinant. La terrible arme crachait ses munitions à une vitesse folle. Les deux adolescents devaient progresser de cheminées en cheminées afin d’éviter la grêle de balles qui leurs tombaient dessus. Heureusement pour nos deux héros, les munitions s’épuisaient très rapidement sur cette arme. Ethan se leva et profita du moment de rechargement pour tirer quelques coups de feu en direction des ennemis. Ils sautèrent sur l’immeuble d’en face mais durent s’arrêter : l’immeuble d’après était hors d’atteinte pour un saut. Pauline regarda la rue et remarqua une charrette de foin. Elle cria à Ethan :
« -Par ici ! Y’a un tas de foin !
-Vas-y en première ! »
Pauline sauta immédiatement dans la charrette tel un ange tandis qu’Ethan regarda combien de balles il lui restait dans le chargeur. Une seule balle était dans le chargeur. Alors qu’Ethan remettait le chargeur dans l’arme, il reçut un coup de poing en pleine figure : un Templier avait réussi à escalader le toit. L’adolescent tomba à la renverse. L’homme sortit son couteau tandis qu’Ethan se releva. Ethan déploya sa lame secrète et tenta de l’enfoncer dans le ventre de son adversaire mais ce dernier évita le coup riposta par un violent uppercut. Ethan tituba et se rattrapa sur une cheminée. L’adolescent sortit la lame secrète de son fourreau et s’en servit comme dague. L’adversaire essaya de poignarder Ethan. Le jeune Assassin se décala promptement avant de planter sa lame dans la rotule de son adversaire. Le Templier envoya son pied gauche dans la mâchoire d’Ethan qui roula sur le bord du toit. Il remarqua alors que le pistolet était à portée de main. Il le saisit tandis que son adversaire approchait lentement. L’adolescent se leva et jeta un bref coup d’œil vers le bas de la rue : le tas de foin était juste en dessous. Pauline venait d’en émerger. Ethan sauta alors du toit et tira la dernière balle : le projectile atteint le Templier au niveau de la gorge. L’adolescent tomba dans la charrette de foin mais il se réceptionna mal et s’assomma. Pauline le tira alors sans ménagement de la paille et le porta jusqu’au QG en priant pour qu’il n’ait rien de grave.
J'éspère que cette mission vous a plu et qu'elle aura été agréable à lire !
Franchement , j'aime
Merci
Mais je vient de me rendre compte que j'ai fait pas mal de fautes de frappes. Ça pique pas trop les yeux, au moins ?
Ça fait monter la pression, d'attendre sa note
Je crois que je suis l'un des rares à passer encore
Je suis bloqué sur un chapitre que je n'arrive pas à transcrire donc ça me dérange