Karsakai, ton perso s'appelle Yanis Olditore, fils de Esio. Il tue tout ce qu'il bouge parce son père lui a demandé de le venger de on ne sait qui. Il habite dans la jungle visiblement avec sa mère qui veut la vengeance elle aussi. Pour finir tu choisis dès le départ tes compétences.

Je crois que j'ai tout dit.
Oh et je ne t'ais jamais traité de troll.

Hughost a tout dit.

P*utain je n'avais jamais remarqué que le pseudo de Lenski était rose

• pars ni vu, ni connu*

Oui mais c'est parce qu'il aime cette couleur

Je suis pris ou pas?

Bah oui t read

Je passe juste pour dire bonjour...

Bonjour

Bonjour.
Je suis un passionné du Roleplay, aussi puis-je participer à votre roleplay ? Merci.

Bien entendu, mais le topic est quasi mort, et je n'ai franchement participé à son activité

Donc il risque de ne pas se passer grand chose

Il faudrait le remonter...

Désolé si je n'ai toujours pas posté j'avais commencé à écrire une anecdote mais je l'ai pas fini

Je la posterais bientôt

Il faut qu'on remonte le topic dans ce cas. Je creerai ma fiche durant la semaine, j'espère qu'il y aura un correcteur.

Hello ?

Ethan Blackburn
Quartier Général de la Confrérie des Assassins
Londres
24 Décembre 1891
19 : 47 : 01

Un silence de mort régnait dans l’infirmerie. Ethan était allongé sur un lit. L’infirmerie était déserte. Ethan reprit connaissance d’un seul coup, comme tiré d’un cauchemar. A vrai dire, il avait vraiment fait un cauchemar. Il respirait très rapidement et très fortement. Il se souvint rapidement des évènements de la veille : la mêlée dans le bar, la fuite, la chute et… la poignée d’ennemis qu’il avait tués de ses propres mains. Il soupira en se frottant son crane endolori. Le jeune garçon regarda la pièce autour de lui avant poser son regard sur une chaise juste à côté de lui : un élégant costume bleu marine, un chapeau ainsi que sa fidèle canne épée se trouvaient posés dessus. Le Franco-Britannique esquissa un sourire et s’habilla avant d’aller se regarder dans le miroir. Pas de traces de blessures au visage et les vêtements lui allaient à merveille. Il sortit de l’infirmerie et se dirigea vers l’immense salle à manger du QG.

Pendant ce temps, Pauline était dans la salle à manger. La pièce était immense et était recouverte de bois de chêne, de larges fenêtres offraient une belle vue sur Londres enneigée. Un sapin de haute taille se trouvait au centre de la pièce, avec de nombreux cadeaux autour. Les plus jeunes enfants s’impatientaient pour les ouvrir tandis que les adultes discutaient entre eux. Une grande cheminée réchauffait la pièce.
Andrew s’approcha de la Française :
« -Pourquoi tu fais cette tète, demanda-t-il.
-Lâche-moi, Andrew, soupira Pauline
-Allez ! Tu n’as qu’à venir danser avec moi…
-Fout moi la paix ! »
Quelque chose rongeait Pauline. Elle n’avait pas vu Ethan depuis la veille et elle ne savait pas s’il allait se réveiller. La jeune Française se dirigea vers la fenêtre ou elle observait Londres. De la neige recouvrait toujours Londres et d’énormes flocons tombaient lentement. Pauline esquissa un sourire à la vue de trois enfants qui chantaient à la porte d’une demeure devant un couple attendrit.

Ethan continuait de progresser dans les couloirs du QG. Il ouvrit la porte à double-battant donnant sur l’immense salle à manger. Tout le monde se retourna et esquissa un sourire à la vue du jeune garçon. Quand Pauline se retourna et vit Ethan. Son visage s’illumina immédiatement et la jeune fille couru en direction de l’adolescent. Elle le prit dans ses bras et le serra de toutes ses forces :
« -Ne me refait plus jamais ça, chuchota Pauline à l’oreille du jeune garçon.
-Je suis désolé, lui répondit-il tout simplement.
-Comment tu te sens ?
-J’ai un peu mal à la tête et j’ai surtout une faim de loup.
-Ne bouge pas je vais chercher quelques amuses gueules. »
Pauline tourna le dos au jeune garçon. Ethan ne put s’empêcher de balayer verticalement du regard le corps de la jeune fille : elle portait une élégante robe mauve foncée ouverte jusque dans le bas du dos. Ses cheveux blonds vénitiens étais attachés en arrière. Des boucles d’oreilles argentées étaient accrochées à ses oreilles. La jeune fille revint avec un plateau de tartines sur le plat de la main. Ethan en avala goulument quelques-unes. Pauline claqua des doigts comme pour se souvenir de quelque chose :
« -Ne bouge pas ! Il faut que je te présente quelqu’un, s’écria la jeune fille.
-Euh… D’accord, acquiesça Ethan. »
Pauline se dirigea vers un homme au fond de la salle qui discutait avec un Assassin. L’individu sourit à la vue de Pauline et échangea quelques mots avec elle. La jeune fille revint avec l’homme. Il avait des cheveux bruns, la cinquantaine et une fine moustache. Il s’adressa à Ethan :
« -Bonsoir, Mr. Blackburn.
-Bonsoir et euh… A qui ai-je l’honneur, demanda Ethan.
-Pauline, ici présente, ne vous a pas parlé de moi.
-Pas vraiment, non.
-Je m’appelle Arthur Conan Doyle. »

Ethan n’en croyait pas ses oreilles : Arthur Conan Doyle, écrivain de génie qu’Ethan avait toujours admiré, se tenait en face de lui. Le jeune garçon bégaya :
« -Euh… C’…C’est un honneur, monsieur Conan Doyle.
-Moi de même, Ethan, sourit l’écrivain.
-Qu’est-ce que je peux faire pour vous ?
-Rien, ne vous en faites pas. Je voulais juste vous prévenir que j’avais laissé quelques livres dans votre chambre. Dédicacés, évidemment.
-Comment vous remercier ?
-En les lisant, et en en prenant soin.
-Comptez sur moi !
-Bien, je dois maintenant vous laisser. »
Arthur fit demi-tour et sortit de la salle. Les musiciens se mirent en place. Ethan tendit la main vers Pauline :
« -M’accordez-vous cette danse ? »
La jeune fille rougit et prit sa main :
« -Avec plaisir, Ethan. »

Le jeune couple se plaça sur la piste et commença à danser au rythme de la musique. Les deux adolescents amusaient les danseurs. C’était rare de voir deux personnes d’un aussi jeune âge danser une valse. Pauline demanda :
« -Ou as-tu apprit à danser aussi bien ?
-Tu sais, pour nous les Anglais, apprendre à danser est une chose très importante.
-Quel gentleman ! »
Ils ondulaient au rythme du violon. Ethan et Pauline semblaient être dans un autre monde. Le jeune garçon voulu que ce moment dure une éternité. Mais bien vite, la musique s’arrêta et les danseurs furent obligés de s’arrêter. Bientôt, les cloches de Big Ben se firent entendre, sonnant Minuit. Pauline entraina de nouveau Ethan dans un coin de la pièce. Elle lui chuchota :
« -J’ai un cadeau pour toi…
-ça tombe bien, moi aussi. »
Ils s’embrassèrent langoureusement pendant au moins une minute. Après cet instant de bonheur, Ethan proposa :
« -Et si on se donnait notre cadeau en même temps ?
-Je veux bien, sourit Pauline. »
Ethan fouilla sa poche et sortit sa bague. Pauline fit de même. A la vue de leurs cadeaux respectifs, les deux adolescents pouffèrent de rire : ils avaient pensés au même cadeau :
« -On est pas doués, s’esclaffa Pauline.
-Au moins, ça prouve qu’on est vraiment fait l’un pour l’autre, renchérit le jeune garçon. »
Le couple se passa la bague aux doigts. Puis, Pauline s’installa près d’un piano :
« -Tu sais jouer du piano, demanda Ethan.
-Mieux que quiconque sur cette Terre. »
Elle posa ses doigts sur les touches et inspira. Pour Ethan, tout comme Pauline, ce fut la plus belle veille de Noel qu’ils n’avaient jamais passée. Pauline joua commença à jouer. Au fur et à mesure que la musique avançait, de plus en plus de personnes se turent et écoutèrent la douce mélodie. Elle était triste, certes, mais elle restait très poétique. Le morceau était tellement beau, qu’à un moment, un violoniste accompagna la jeune fille.

http://www.youtube.com/watch?v=1Ygw9Upfz34

Hs :

Ah j'vois qu'il y a de l'activité...

Je vais voir si j'vais poster quelque chose mais j'aurai besoin d'un correcteur!