Quoi T?
Hello guys !
Salut Alcahe, je viens de rentrer. Tu a vus les nouvelles vidéos de gameplay d'ac4? Tu peux me donner une nouvelle mission? Merci!
Me revoilà /
I'm Batman...I'm Back
Bientôt prochaine anecdote, Jet, je ne te lâcherais pas
Bon je pense que je vais reprendre du service.
assassinT > Je te donne le choix entre ces deux missions:
Le Nouveau Monde: Nous ne connaissons peu cette terre et nous avons besoin d’alliés pour construire notre confrérie là-bas.
Allez à New York, Boston et Détroit pour trouver des alliés potentiel et convainquez-les de rejoindre notre cause.
(Vous devez faire cette mission en 3 parties)
Epoque: 18e siècle (Révolution Américaine)
Silence de mort : Un de nos Assassins avait été envoyé sur le nouveau monde pour espionniez les Templiers. Il semblerait qu’il était sur le point de faire une découverte assez importante mais cela fait plusieurs semaines qu’on est sans nouvelle de lui.
Allez en Amérique découvrir ce qui s’est passé et quelle découverte il était sur le point de faire.
Epoque: 18e
Donc j'en conclu que assassinT =/= T
tiens, je vais m'y essayer
je serais le p'tit nouveau de cette relance
Prénom : milon
Nom : aldmeri
Age : 16
Sexe : masculin
compétence : lui même ne le sait pas.
langue et pays : France et il parle Français.
DESCRIPTION PHYSIQUE : plutôt petit pour son Age – 5 pied tout au plus- plutôt léger aussi, la brindille était un de ses surnoms que lui donnaient souvent les gens. Il avait la peau pale, les yeux très foncés. Il avait beaucoup de cheveux, des cheveux noirs qui lui coulaient jusqu’aux reins. Ils étaient caractérisés par des jambes fines, rapide d’une très grande grâce. Cependant, il avait très peu de force dans les bras, sa taille lui imposait des rires chez ses camarades et sa faible force l’irrespect de ceux-ci.
DESCRIPTON MORALE : « il en a plus dans la caboche que dans les bras ce p’tit gars ! ». Tels étaient les pensées de ceux qui le connaissaient –très peu nombreux à vrai dire. Sinon que dire sur sa personnalité ? Timide, curieux, il avait du mal à se faire respecter des autres, son seul ami était disparu. Lui, ll avait plus peur du jour que de la nuit, contrairement aux autres enfants. « la nuit, vos ennemis ne vous vois pas, le jour oui » qu’il avait dit à un paysan. On le voyait pour ainsi dire jamais, peut-être la nuit si êtes chanceux. Tout cela lui avait donné une sale réputation. On l’accusait de voleurs, de fourbe, d’assassin. On avait peur de lui. Lui aussi.
(Pour quelque raison obscure, je vais raconter un tout petit bout de sa vie, mais qui devrait suffire pour l’instant)
HISTOIRE : « sors d’ici, sors te dis-je, je ne te veux plus dans ma maison, sors ! ». La rage rendait Mme. Serier rouge de colère. On l’aurait dit prête à exploser. Elle maniait sa casserole de cuivre comme une hache, à deux mains, et elle faisait de grands mouvements avec ses bras tout en gueulant « sort de chez moi ! Sors ! Sors ! » Milon esquivait ses coups, toujours avec grâce.
Jamais la vieille ne l’avait touché d’ailleurs. Il était habitué. Chaque fois qu’il ne revenait pas souper le soir ou qu’il était parti une semaine ou deux en ville, c’était comme ça. Sa tutrice allait asséner un gigantesque coup sur la tête de Milon, mais la casserole ne réussit qu’a fissuré la table en bois, provoquant un grand « BIIING » dans toute la maison. Le bruit du cuivre contre le bois, contre la pierre lassa finalement le garçon qui s’échappa furtivement par la fenêtre. Il se réceptionna sur le grand chêne juste au-dessus, grimpa sur les branches et atterrît dans les feuilles un peu plus loin. La vieille y avait vu que du feu. Partout, les lumières des chaumières alentours s’éteignaient, les ténèbres s’installèrent, la nuit pris ses aises. Milon était habitué a ses ténèbres. Il resta planter là un moment, regardant les étoiles, fixer les grands arbres de la foret, les quelques gardes qui faisaient leur rondes. Il vit un renard, deux chats qui se battaient. Il vit une chouette hululer, puis attraper une petite souris. Il réussit à attraper un lapin, comme il le faisait à son habitude, à faire démarrer un petit feu malgré l’humidité. Le lapin n’était pas cuit, mais c’était comme ça que Milon aimait la viande. Il voulut ensuite attraper son arc. Il le planquait en haut d’un grand peuplier, au fin fond de la foret. Le trajet lui prit une bonne demi-heure.
Son arc était un modèle anglais, très léger, très puissant et très encombrant quand il fallait dégainer. Il avait sur lui 4 flèches. Une avec un empennage rouge, une avec un empennage bleu, une verte et une blanche. Il reprit sa route dans le noir le plus total, mais lui connaissait chaque chemin, chaque racine, la foret lui appartenait se plaisait -il à dire. Il arriva dans une prairie, lui sembla approprier pour roupiller et se lança a la recherche de quelques feuilles et de quelques hautes herbes. Ce qu’il en fit fut fort agréable et confortable. Il rêva qu’il retrouvait siphone, son amie disparu. Elle était si joli avec sa chevelure rouge feu très longue, ses beaux yeux bleus profonds, son sourire qu’elle ne perdait jamais.
« et pourtant lui pleura quand on lui annonça sa disparition. C’était un jour d’hiver. Froid et sombre. Un chevalier vint toquer a la porte. La vieille lui ouvra et ils discutèrent. Milon était encore somnolent. La vieille vient s’assoir à côté de lui, il l’aimait bien, avant. Avant. Elle avait l’air triste, elle lui prit les mains. Lui s’assit à côté d’elle. Et ce fut le choc. Une partie de sa vie s’écroulait. Une partie de son cœur s’était envolé avec son amie. Il s’était sentit blanchir, la vieille lui demandait si ça allait. Ça n’allait pas.
Et puis il se réveilla. Il avait les joues humides. Les oiseaux chantaient, l’air sentait le matin, la rosée s’était allongé sur lui. En se relevant, il constata que sept hommes l’encerclaient. Ils l’épiaient. Aucun n’était armé. Ils avaient tous une capuche et étaient tous en blancs. Blancs et rouges. Les longs cheveux de milon étaient trempés. L’un annonça, « nous te cherchions. »
Accepté Fire.
Tu veux commencer par une mission ou tu veux faire une anecdote?
Laglace tu es le modo du topic ?
Bonsoir au passage
//Nouvelle Recrue_Partie 2//
Il m’emmena au fond du magasin, là où tout était en désordre et certainement là où personne ne venait jamais. Il déblaya une sorte de trappe et l’ouvrit.
Je le regardai en fronçant légèrement les sourcils et il comprit que je ressentais une sensation de déjà-vu.
-Ne t’inquiète pas, l’endroit ou je t’emmène est sûr et sent bon, dit-il avec un sourire en coin.
Il descendit en premier par un grand escalier de pierre en colimaçon. Je le suivi et entendais Sir Lowell qui grognait à l’idée de devoir remettre un maximum de livres sur la trappe. Je fermai cette dernière et précédai Aaron. L’escalier était éclairé par des torches toutes les dix marches environs. Nous arrivâmes à la fin et la dernière marche donnait sur une gigantesque caverne. Aaron s’avança de quelques mètres pour aller jusqu'à un énorme fossé puis se retourna vers moi.
-Il va falloir sauter, me dit-il. N’aie crainte, tu atterriras dans un tas de foin...si tout se passe bien...
-Je... Je ne suis pas sûr de...balbutiai-je.
-C’est une mesure de sécurité, si jamais on trouve cette cachette, personne n’ira penser à sauter dans le vide sans savoir ce qu’il y a en-dessous.
-Attends, pourquoi est-ce que tu n’y va pas en premier ? Je serais sûr si jamais...
-Si jamais quoi ? Si jamais j’avais voulu te tuer, tu serais mort depuis longtemps. Et je ne peux pas passer avant toi, c’est un rite de passage pour les nouvelles recrues, tu dois le faire !
Je m’approchais lentement du bord, j’avais les mains moites et j’étais presque en sueur. Non pas que j’avais le vertige, mais le fait de sauter dans l’ombre, sans avoir la certitude de la où je mettais les pieds me rendait mal à l’aise.
Je sentis que j’approchais du bord et me préparai à sauter.
-Concernant le tas de foin...bafouillai-je.
-Tu es pile au-dessus, me répondit Aaron. Ne réfléchit pas et saute !
Je suivis son conseil. Je tombais maladroitement la tête la première et entreprit de changer de position, de fait à ce que mon dos touche le foin en premier. Je ne suis resté que quelques secondes dans le vide mais ça paraissait une éternité.
J’atterrissais avec lourdeur dans le tas de foin tandis qu’Aaron m’imitait et passait devant moi.
-C’était pas si terrible ? Fit-il d’un ton moqueur.
-Je... Oui... Enfin, non... C’est...balbutiai-je, un peu sonné.
-Allez, suis-moi, on est presque arrivé, dit-il avec un sourire bienveillant.
Je le suivais, une fois de plus et cette fois-ci dans un long couloir aux murs de pierre humide et légèrement fissurée, éclairé par des torches.
-Ça fait combien de temps que ça vous sert de quartier général ?
-Ça, j’en ai aucune idée. Même les plus anciens ont toujours été entrainés ici. Certains pensent que c’est là depuis la création de l’Ordre, mais j’y crois pas trop.
Nous étions arrivés au bout du couloir. Une grande porte de bois et de fer s’opposait à nous. Aaron avança et tapa trois coups.
La porte s’entre-ouvra et un homme maigre aux cheveux longs et noirs, dans la trentaine, en habits d’Assassin passa la porte.
-Aaron ! Déjà de retour ? Moi qui pensais que les Peterson étaient réputés pour ne pas ne faire attraper par le premier tueur venu, une fois de plus tu m’épate !
-Merci Scott, mais je n’ai tué qu’Abby. Troy est mort de la main de cet homme, dit-il en me montrant.
-Bonjour, Sir. Enchanté de vous connaître. Je suis William Taylor.
-Tu peux oublier les «Sir» et les «vous», on est entre nous, dit-il avec un sourire et en tendant sa main. Je suis Scott Byrne, le gardien des portes.
-Byrne ? Dis-je en lui serrant la main. Vous n’êtes pas d’ici ?
-Je suis écossais.
-Bien, maintenant que les présentations sont terminées, reprit Aaron, je propose qu’on aille voir le Maître. Il est ici ?
-Oui, répondit Scott. Dans son bureau.
-Bien.
Aaron m’emmena à l’intérieur de la base sous-terraine. Elle était magnifique, spacieuse, des tas de peintures représentant les plus grand Assassins de notre histoire. Il y avait une salle d’arme, où dagues, épées, pistolets, sarbacanes et même arbalètes étaient légions, avec le lot de munitions qui allait avec. Une salle d’entraînement remplie de mannequins en bois ou en paille avec une petite arène où en ce moment même, deux hommes se battaient à mains nues sous un public criant et encourageant leur préféré. Une grande salle à manger, une salle de repos où l’on pouvait discuter ou lire des livres mis à dispositions. Et pour finir, les dortoirs –femmes et hommes séparés-, avec plusieurs lits en bois aux draps rouges et blanc.
Après la visite guidée, Aaron m’emmena dans le bureau du Maître, dans le hall d’entrée. Aaron entra en premier et salua le Maître qui était assis à son bureau, à quelques mètres de nous. Il avait au moins la cinquantaine, était chauve avec un léger bouc comme barbe. Il était plongé dans des écritures, il n’avait sans doute même pas remarqué ma présence.
-Qui est avec toi, Aaron ? Demanda-t-il, toujours sans lever le regard.
-Présente-toi, me dit Aaron.
-Je suis William Taylor, de Plymouth. Je suis une nouvelle recrue dans la Confrérie et j’aimerais m’installer ici, à Londres, dis-je sur un ton sur de moi.
Le Maître leva les yeux vers moi.
-Taylor ? Tu es le fils de Bill ?
-Oui. Et le frère d’Andrew.
-Bill est quelqu’un de compétent, remarqua-t-il en se replongeant dans ses manuscrits. Tout comme l’était Andrew. Penses-tu être à leur hauteur ?
-Oui, je le pense, dis-je, confiant. Sir Bradley a officié ma cérémonie d’entrée dans la Confrérie, j’ai aidé Aaron à éliminer les Peterson et j’ai effectué le saut à l’entrée de la grotte.
Le Maître eu un sourire.
-Tu es déterminé. C’est une qualité que tous les Assassins se doivent de posséder, autrement ils n’arrivent jamais à leurs fins. Sir Bradley m’a prévenu qu’une nouvelle recrue arriverait ici mais le fils de Bill Taylor... Pourquoi as-tu rejoint la Confrérie ? Pour venger ton frère ?
-Non, il ne s’agit pas de vengeance mais de justice. Avant de prendre des vies, je veux savoir en sauver. Et s’il faut tuer pour aider, alors je le ferais.
-Tu arrive à faire la différence entre la vengeance et la justice. C’est très noble de ta part et peu de gens ont le même état d’esprit que toi...
J’étais confiant quant à la suite de notre conversation. Le Maître avait l’air d’être impressionné.
-Toutefois, William... T’est-il déjà arrivé de tuer sans raison particulière ? Par pure rancune ?
Il avait posé la question comme s’il connaissait déjà la réponse. Je me souvenais de Brent. Je me souvenais de comment je l’avais tué. Mais je ne me souvenais même plus pourquoi exactement. Il avait agressé un homme... Mais il ne méritait pas la mort...
Me voyant pensif, le Maître ajouta, sans se soucier d’une réponse attendue de ma part :
-J’en aurais presque oublié de me présenter, je m’appelle Russell Davis. Et comme tu l’as vu, je suis le Maître Assassin de Londres. Bienvenue chez nous, William.
-Bienvenue, renchérit Aaron.
-Merci. A tous, dis-je en m’inclinant.
comme je suis un fou je vais commencer par une mission
Hugost, j'ai vu, j'ai pas lu, mais je noterais
Cool cool cool, mais essaie de lire avant de noter
Jet ? Je sais qu't'es là ! Montre-toi, marin d'eau douce !
Jet_lag ou le pire correcteur que l'histoire aie connue
(Si les insultes marchent pas, je vois pas ce qui pourrait t’amener à lire... )
Patience mon ami, patience...
Déjà, je trouve vraiment pasmal ton style de narration, assez immersifs, les dialogue réalistes sans faire "provoqués" tes persos sont relativement réalistes, j'aime bien quoi. Et ce que je trouve encore meilleur, c'est la taille que tu donne à un simple chap de transition. Il est long, certes, mais pas lassant. Donc j'ai pris du plaisir à te lire, notamment grâce à tes petites interventions culturelles (avec les passeurs d'eau par exemple (que je n'ai pas vérifié, mais je te crois capable de bien relater cela))
en bref, tu mérite amplement deux points et 1000 de ta monnaie