La première fiche seulement, la prochaine c'est quand tu auras repris la ville des mains des Templiers

Difference pistolet un coup/pistolet cache?

Mon assassins :D

• Le nom: Af'Sayk
• Le prénom: Malik
• L’âge: 26
• Le pays: Egypte
• Langue parlée: Français, Allemands , Anglais , Arabe , Italiens , Espagnol , Grec , Égyptiens et latin.
• Le sexe: Homme
• La description physique puis morale:

Malik est grand musclé et agiles.Il a des cheveux long et blanc et des yeux bleus.

Il a un sens fort de la fraternité et est très loyal envers les assassins et c'est amis.

• L'histoire:

Malik grandit parmi les pauvres et les gitans d'Alexandrie.Ils a appris a se battre jeunes et sa profession d'orphelins /gitans lui a permis d'apprendre a être discret et a voler.Il rejoint les assassins a 15 ans après la libérations d'un de ses amis Théonas de Glakos un assassins Grec.

• Compétence:

Force: 1/10
Résistance: 1/10
Déviation (combat, riposte mortelle): 1/10
Vitesse (aussi bien en combat qu'en course): 1/10
Escalade: 1/10
Discrétion: 1/10
Armes à distance 1/10

Arme : Lames secrète + dague.

je peux commencer avec un contrat facile ?J'accepte les contrats en Egypte et en Israel.

Voilà enfin mon texte. Je sais qu'il est court, surtout pour le temps, mais bon.

Médecin:
Un célèbre médecin de l'hôpital de la ville qui appartient à l'ordre des Templiers effectue divers expériences dans son laboratoire près de l'hôpital sur des pauvres qui trainent dans le quartier, à qui il promet l'hospitalité. Il essayerait surtout des poisons. Tuez-le et montrez au peuple les expériences qu'il faisait en laissant bien sûr une plume d'aigle sur son cadavre. Volez aussi quelques documents et poisons et ramenez le tout au QG.

Juillet 1796
Traquer une cible est l’une des premières leçons qu’un Assassin reçoit. Il est aisé de le faire ; il suffit d’écouter les conversations ou bien d’interroger les personnes qui ont des réponses. Philipe avait indiqué à Dan d’entamer ses recherches au sud-est de la ville, soit dans le quartier de l’hôpital et ses environs. Et la première chose évidente à faire, selon le mode opératoire du Médecin, la cible, était de commencer par interroger les pauvres du quartier.

Après une semaine de haute chaleur, la pluie rattrapait son retard. Son ami l’orage l’accompagnait. Et de plus belle. On ne pouvait distinguer quoi que ce fût au-delà d’une quinzaine de mètre. Les habitants avaient déserté les rues. Sauf Dan qui, bien qu’il appréciât la pluie, n’était pas particulièrement fan de ce temps-là. C’était l’aube et, alors qu’habituellement il faisait grand beau, le plafond nuageux recouvrait le ciel. Sous sa capuche, l’Assassin jetait des coups d’œil dans les ruelles. Mais même les indigents avaient su trouver un abri. Après quelques minutes, il distingua dans le voile pluvieux une silhouette. Penchée, elle avait une démarche ingrate. On devinant des habits délavés. Il s’adossa à un mur, sous un balcon. Dan s’approcha. Il découvrit un homme, totalement trempé. Il arborait un visage jeune, vieilli par des cheveux et une barbe, longs et crasseux. Celui-ci se leva d’un bond et balança son poing sur la figure de l’Assassin. Ce dernier le dévia, puis un second. Ne jugeant plus ses membres supérieurs suffisants, l’homme tenta un coup de pied latéral, que l’Assassin bloqua, le plaquant contre le mur de l’avant-bras. Le choc lui coupa la respiration quelques secondes durant. « Mais qu’est-ce qui vous prend, bon sang ? s’écria Dan.
-J… Je vous prenais pour un homme du Médecin. » Il estimait son âge – la vingtaine, lui semblait-il – par sa voix tapant dans les aigus. « Parlez-moi de cet homme.
-Que dire ? Il enlève les démunis et mène sur eux des expériences horribles. Nombres d’entre eux sont morts. Et j’étais présent, raconta-t-il, prononçant cette dernière phrase dans un soupir.
-Et où amène-t-il ses victimes ? demanda Dan, relâchant le pauvre.
-Dans un laboratoire, près de l’hôpital. Il s’y trouve jusque tard, très tard, dans la nuit.
-Merci, mon brave. Je trouverai, dit-il, acquiesçant. » Il remarqua que son interlocuteur le dévisageait, plissant les yeux. « Mais… Mais je crois vous reconnaître. Vous êtes un Assassin ! » L’une des dernières missions de Dan semblait avoir porté ses fruits. Il voulait transmettre un message de la part de la Confrérie et il semblât que même les sourds eurent ouï de ses prouesses. « En effet…
-Laissez-moi venir avec vous. Je pourrais vous montrez où le Médecin se terre. » Lisait-il dans son regard de la haine, mais désormais, Dan y voyait de la détermination. « Très bien. Quel est ton nom, jeune homme ?
-Geoffrey, conclut-il »

Geoffrey s’était vu confié une dague pour se défendre. Il avait indiqué de l’index un petit bloc rattaché à l’hôpital par un ponton au premier étage. Dan et lui l’observaient depuis la rue. Malgré que le temps ne fût propice à l’escalade, ils s’y hissèrent grâce à une courte échelle. Dan avait d’ailleurs manqué de glisser et de se casser un membre. Se trouvait à côté de la porte un écriteau en bois dont un nom était gravé sur la face. « Docteur G. de Blois, lut Dan, chuchotant. »

Ils pénétrèrent dans un vestibule. Seule une demi-douzaine de crochets aux murs décorait la pièce. Une ouverture, en face, donnait sur les appartements du Médecin. Dans un coin, il y avait un lit défait. Contre un mur, se trouvaient deux fauteuils de cuir – de ceux inconfortables – et au centre, une modeste table entourée de deux chaises. A côté de cette dernière, se trouvait un tapis plié, découvrant ainsi une trappe. Geoffrey l’ouvrit dans un grincement bruyant. L’effet de surprise était tombé à l’eau. Dan se laissa tomber à l’intérieur, suivi de son compagnon. « Des gitans, des vieux et même des femmes, dit l’Assassin, écœuré » Il désignait des cages qui enfermaient hommes et femmes. Tous l’observaient, ému de voir enfin des visages amicaux. « Ne vous en faites pas. C’est terminé…
-Bonsoir, fit une voix, noblement. » En se retournant, ils découvrirent un homme, inclinant sa calvitie. Il portait un costume, sur lequel il laissait dépasser la chaine en or d’une montre. Accompagné de deux autres hommes corpulents, il faisait tourner autour de son index une seringue. « Que me vaut votre visite, Assassins ?
-Bof, trois fois rien. Enlever des gens et les tuer peut être assez gênant… Templier. » Ce sarcasme n’eut pas l’effet qu’escomptait Dan. En pouffant, le Médecin sortit son sabre de son fourreau et donna un signal à ses gardes. Ces derniers s’armèrent et attaquèrent gauchement. En bloquant simplement son coup de son bras, Dan décapita à moitié le premier. D’un coup d’œil, il vit le second se faire contrer chaque coup par Geoffrey, puis, ce dernier planta sa dague dans l’œil de son adversaire. Le Médecin tenait en bout de bras un pistolet pointé vers Dan, dont le sourire s’était effacé. « Jamais je n’avais cru avoir la chance de tuer un Assassin... »

Sur ces mots, il se figea. Il porta son regard vers son abdomen dont le pommeau d’une dague en ressortait. Il tomba à genou, tentant d’appuyer sur la détente. Mais il était démuni de toute force. Dan remercia Geoffrey du regard, puis ils avancèrent vers de Blois. « C… C’est ainsi que mon heure vint, bégaya-t-il, crachant un filet de sang » Puis, il ferma lentement les yeux. « Je vais emporter ses travaux, suggéra Dan, tandis que Geoffrey libérait les prisonniers. » Ils feraient le travail de raconter cette histoire, puis le bouche à oreille fera le reste, pensait-il. Il déposa délicatement une plume sur le corps du Médecin, puis entreprit de quitter les lieux, des documents sous les bras.

« Maîtres ? dit Geoffrey, le chef incliné. » Cette appellation étonna Dan qui l’interrogea du regard. Posant majestueusement un genou à terre, il reprit : « Permettez-moi de rejoindre votre cause. » L’Anglais lui tendit le bras, dont le jeune s’empressa de saisir, relevant la tête. « Bienvenue dans la Confrérie des Assassins, mon frère, déclara-t-il, tout sourire. » Sur ces mots, il l’amena contre lui pour une accolade.

Pourquoi t'as remis la fiche de presentation Flamme?

Salut

Salut

Tiens , j'ai la réponse à la question : qu'à fait Dimitri entre la mort du roi et son opposition à Napoleonch

Vas y dit
A oui pardon

Hello mother fucker !!!

Tralalalala lala la-la, lalaaa, tralalalala lalala la-la....

La drogue c'est mal, m'voyez ?

J'avoue
l'alcool c'est mieux

Techniquement, l'alcool est une drogue

Un bon verre de lait > All

J'ai écrit trois chapitres, l'histoire de Leeve va prendre un nouveau tournant

Je vous postes les deux premiers dans quelques minutes Je garde le troisième pour plus tard.

Quadruple post

Puissance (partie 1) :

1808, Océan Atlantique…

-Plus souple, le poignet ! lança Leeve. Genoux fléchis, pieds plantés dans le sol, poignet mobile ! Tout doit être dans le bras, tes jambes ne bougent pas ! Voila, belle esquive ! Réplique, demi-tour, pas chassé gauche et estoc ! Bien, encore une fois, et n’oublie pas ta garde !
Leeve, assis sur la rambarde du bateau, regardait Diego et Sam, deux de ses disciple, s’exercer au combat à l’épée, sur le pont. Les autres disciples les observaient, en cercle.
Ils applaudissaient chaque coup réussis et chaque retournement de situation.
Sam pivota, laissa passer la lame en bois de Diego derrière sa nuque, fléchit les genoux et bondit. Sa fausse épée cogna l’épaule de l’apprenti Assassin avec force, le faisant reculer de deux pas.
Un demi-tour, une feinte par la droite, un pas chassé gauche et un coup d’estoc plongeant.
La pointe de sa lame frappa les côtes de son adversaire. Diego se plia en deux en toussant, lâchant son arme au passage. Sam leva les deux bras au ciel avec un sourire avant d’aider son partenaire à se redresser.
-Bravo Diego, tu t’es bien battu !
-Génial les gars !
-Joli pirouette à la fin Sam !
-Pas mal ton enchaînement !
-Très beau duel !
Les disciples applaudirent en félicitant leurs deux compagnons. Leeve applaudit à son tour, beaucoup plus sobre.
-Bien joué, bien joué… Diego, surveilles ton équilibre. Sam, ça faisait longtemps que tu aurais du utiliser l’estoc, tu as beaucoup trop tardé à rentrer dans le combat. Mais bravo quand même, les coups étaient fluides, maîtrisés… Samuel, James, à vous.
Les deux anciens esclaves se placèrent au centre du pont.
-Combat à mains nues cette fois, informa Leeve. Uniquement des prises de lutte, coups aux parties interdits. Le premier dont les deux épaules touchent le sol, qui abandonne ou qui s’évanouit a perdu. Commencez !
Les exercices s’enchaînèrent. Combat, méditation, course sur le pont… Les élèves de Leeve aimaient la compétition. Ils adoraient se mesurer à leurs compagnons, que ce soit en combat, en vitesse, en endurance… Chacun luttait pour être meilleur que l’autre.
Leeve veillait cependant à ce que chaque affrontement reste cordial, amical et que personne ne soit trop blessé.
Maintenir la cohésion dans ce groupe était essentiel. Des Assassins qui n’avaient pas confiances les uns en les autres étaient des Assassins perdus.
Il ne devait y avoir ni rivalité malsaine, ni dispute, ni jalousie entre eux. Leeve insistait sur le fait que chacun d’entre eux était meilleur dans un domaine que les autres mais qu’au final, ils étaient tous égaux.
Il tentait aussi d’insérer des valeurs comme l’entraide et la solidarité dans l’esprit de ses élèves. Ne jamais abandonner un des siens, ne jamais rabaisser un autre…
Pour ces raisons, Leeve avait interdit les jeux d’argent entre eux. Il avait d’ailleurs interdit les jeux d’argent tout court.
-Il y a trois gouffres dans lesquels un Assassin ne doit pas tomber : Le jeu, l’alcool et les femmes.
Il leur expliquait cela chaque jour.
-Le jeu est un vice qui ronge les hommes quand ils sont pris dedans. Cela les obnubile, jour et nuit, et les empêche de travailler. Ils perdent toute motivation pour leur cause et ne vivent que pour le jeu et l’argent.
Ainsi, tout jeu, que ce soit dé ou carte, était banni sur le bateau.
-L’alcool brise la concentration et embrouille l’esprit. Il noie les sens et vous détourne complètement de votre mission. Un Assassin soûl est un Assassin mort. Un Assassin soûl ne peut se défendre, donc il est faible, donc il est mort. Car dans notre métier, la faiblesse signifie la mort.
Ainsi, les disciples n’étaient autorisés qu’à boire qu’à de rares occasions et avec modération.
-Les femmes peuvent être la meilleure des choses comme la pire. Vous devez éviter la pire. Nombreux sont les Assassins qui ont, en pleine mission, été attiré dans un piège par une femme séduisante et qui en sont mort. Vous êtes des hommes, mais vous devez parvenir à garder l’esprit clair face aux femmes.
Ainsi, les Assassins travaillaient leur concentration pour atténuer leurs pulsions en mission.
C’était les trois choses dont les Assassins devaient se méfier. Leeve insista bien sur ce fait. Et il veilla à ce qu’aucun de ses disciples ne l’oublie. Un Assassin devait avoir des nerfs d’acier pour résister aux tentations.
Ceux qui échouaient étaient faibles. Et ceux qui étaient faibles étaient morts. Donc ceux qui échouaient étaient morts.
Un soir, Sam vint rendre visite à Leeve dans sa cabine.
-Maître ?
-Oui ?
-Nous arriverons en France dans trois jours.
-Bien.

Une semaine plus tard, France, Q.G des Templiers…

-Chef !
Un serviteur venait de surgir dans le bureau du Chef Templier. Celui-ci se retourna avec un visage soucieux.
-Que se passe-t-il encore ? Vous ne voyez pas que je suis occupé ?
-Mais, chef…
-Quoi ?! Parles donc si tu ne veux pas que je te fasse couper la langue !
-C’est Marcus, il…
-Marcus ?
-Il s’est échappé !

Quintuple post

Puissance (partie 2) :

Le navire accosta dans un petit port, dans l’Ouest de la France. La côte était rocailleuse et parsemée de falaises. Un petit village de pêcheur pouvait être aperçut, au loin, entre deux collines. Leeve et ses disciples descendirent du bateau et entreprirent de le tirer sur la plage de galets, à l’aide de cordes.
Heureusement, c’était une petite embarcation, plutôt légère, taillée pour la vitesse. Ils n’eurent aucun mal à la ramener jusqu’aux terres.
Ils laissèrent leur navire entre deux gros rochers et se dirigèrent vers le village.
-Que faisons-nous, maître ? demanda un des apprentis, en chemin.
-Nous allons nous installer quelque part, dans ces landes. Il faut que nous trouvions un endroit plutôt dégagé ou une colline assez haute pour bâtir notre base.
-Nous n’allons pas à Paris, pour recevoir notre titre d’Assassins, dans le Q.G officiel ?
-Non. J’ai décidé de me couper de la guilde un moment et de fonder ma propre confrérie. Nous serons plus efficaces ainsi.
Les anciens esclaves se regardèrent, perplexes. Leeve continua à marcher. Ils arrivèrent enfin au village.
C’était un minuscule bourg d’une petite dizaine de maison en pierre, avec un puits, une forge, une statue de Jésus-Christ au centre du village, et quelques moutons, broutant dans un champ, derrière. Pas un chat dans les rues.
Toutes les portes et les fenêtres étaient fermées. Le silence total.
-Pas très accueillants, ici, fit remarquer Samuel.
-Qu’importe, dit Leeve. Continuons.
Les Assassins finirent par trouver l’endroit idéal, à une dizaine de kilomètre du village. Une immense falaise s’élevait, dans les terres, surplombant la côte. Leeve s’arrêta au pied de la falaise et mit sa main en visière pour observer le haut.
-Il doit y avoir un plateau, au sommet.
-Mais, maître, il va nous falloir des heures pour contourner la falaise et monter.
-Nous n’allons pas la contourner… Nous allons l’escalader directement et y installer notre base. Cette falaise nous offrira une excellente vue en direction de la mer ainsi que de l’autre côté. Et de plus, les ennemis auront du mal à nous envahir, depuis la côte. C’est le lieu idéal.
Les esclaves se regardèrent de nouveau, se demandant si Leeve était devenu fou.
-Escalader ça ? répéta Diego. C’est impossible…
-Le bagage d’un Assassin doit être composé de trois choses, expliqua Leeve. Premièrement : l’art du combat. Savoir se défendre à l’épée, à l’arc, à la dague ou à mains nues. Deuxièmement : la connaissance. Savoir parler plusieurs langues, lire, écrire, compter, et être cultivé dans au moins deux grands domaines parmi les mathématiques, la médecine, la science, l’astrologie, la littérature… Et enfin, troisièmement : la course libre. Savoir sauter de toit en toit, se balancer à des cordes, escalader des bâtiments… Ici ce n’est pas l’escalade de bâtiment qui nous intéresse mais l’escalade de falaise.
-Mais… Nous n’avons pas été formés à cela ! Nous n’avons que travaillés l’art du combat et la connaissance.
-Eh bien, vous allez avoir droit à une formation accélérée. Elliot, passes-moi la corde.
Le disciple tendit une longue corde à son maître. Leeve l’attacha à la taille de chacun de ses élèves.
-Voila, comme ça, si l’un de nous tombe, il sera retenu par les autres.
-Et vous ?
-Moi je n’ai pas besoin de corde. Je veux être mobile pour pouvoir aller aider les uns et les autres s’ils ont du mal. Si vous êtes en difficulté, dites-le et ne bougez plus. Je viendrais vous donner un coup de main.
Leeve s’approcha du bord de la falaise.
-Quelques conseils avant de commencer. Allez doucement, ne vous pressez pas, vous avez tout votre temps. Repérez les prises à l’avance et dirigez-vous vers elles. N’essayez pas de vous accrocher à des prises trop compliquées, trop petites. C’est réservé aux Assassins expérimentés. Enfin, ne regardez jamais en bas. Surtout si vous avez le vertige. Fixez le haut, seulement le haut.
Les Assassins commencèrent l’escalade. La falaise faisait bien trente mètres de haut. La plupart des élèves étaient terrifiés. Mais Leeve, bondissant de prise en prise et enchaînant des figures plus mortelles les unes que les autres, aidait ses disciples en difficulté à chaque fois que l’un d’eux n’arrivait plus à avancer.
Finalement, au bout d’une heure et quart, Leeve et ses huit disciples parvinrent au sommet.
Une immense plaine s’étendait devant eux, parsemée de quelques arbres et de rochers. Une petite rivière serpentait entre les arbustes. Leeve sourit.
-Nous ne manquerons ni d’eau, ni de matériel. Rivière, arbre, rochers, tout est là. Je parie qu’en nous avançant plus dans les terres, nous trouverions de gros animaux pour nous nourrir. Parfait, ici sera l’emplacement de notre Q.G. Il sera un peu modeste, au départ, mais au fil du temps, je compte bien en faire un véritable fort.
Les Assassins installèrent un petit camp provisoire et s’endormirent. Le lendemain, les travaux commencèrent.
Chacun fut mis à contribution. Les uns allaient couper du bois, d’autres allaient tailler de la pierre, d’autre encore s’occupait de transformer les troncs d’arbre qu’on leur donnait en planches de bois… En quelques jours, les Assassins finirent par construire une petite tour de garde en bois, d’environs dix mètres de haut.
Ils installèrent des tentes tout autours et érigèrent des palissades.
La semaine suivante, ils améliorèrent la tour et la firent atteindre les quinze mètres. Ils créèrent une double palissade autour du camp et entreprirent de creuser un puits, près de la rivière. Leeve décida de faire construire en sorte de poulie, dans la falaise, pour pouvoir faire descendre et remonter des personnes comme des objets sans effort.
Trois jours suffirent à construire un ingénieux système mécanique permettant à chacun de descendre la falaise, dans une nacelle, en quelques secondes grâce à un assemblage de cordes et d’échafaudage en bois.
Des objets lourds pouvaient aussi être transportés dans une plus grosse nacelle et un système permettait, en quelques secondes, de remonter les deux nacelles et les cordes, interdisant ainsi le passage à des éventuels envahisseurs.
Deux moins plus tard, le petit camp s’était transformé en un grand camp, avec des petites maisons en bois, un puits, huit nacelles de tailles variées, une forge rudimentaire ainsi qu’une grande tour, large et haute, toute en pierre, ressemblant à une sorte de phare de vingt mètres de haut.
Les Assassins avaient aussi entrepris de creuser des galeries, sous la tour, dans la roche de la falaise, pour encore plus d’espace. Les palissades, tout d’abord composées de simples piquets en bois, étaient devenus des petites murailles.
Les Assassins avaient même pensés à installer un potager et un enclos pour élever des cochons, des vaches et des poules, au centre du camp, qui était devenu, au fil du temps, un petit village indépendant.
Un autre mois permis aux Assassins de construire deux autres tours, toutes en bois et d’environ huit mètres de haut, aux extrémités du camp, conçus pour des sentinelles.
Ils agrandirent la forge, ce qui leur autorisa à fabriquer leurs propres armes et pas seulement des outils rudimentaires comme des haches et des pioches.
Leeve fit installer une bibliothèque dans les souterrains de la tour principale. Chaque jour, chaque Assassin devait noter ce qu’il avait fait et toutes ses connaissances. Ainsi, le savoir s’accumulait et pourrait servir aux prochaines générations.
L’élevage d’animaux s’agrandit et ils purent ajouter des chèvres et des moutons dans l’enclos et amener trois chiens, dans le camp, dressés pour patrouiller autours des palissades.
Deux semaines plus tard, les Assassins parvinrent à construire des petits canons. Deux furent placés dans la tour principale, six répartis autours du camp et une petit vingtaine fut installée dans des cavités, creusées manuellement dans la falaise, pointée vers la côte.
Enfin, les Assassins, après trois autres mois de travaux, installèrent une scierie, une grande forge, plusieurs établis de travail, une écurie, cinq enclos, un grand potager, plusieurs bâtiments en pierre, une troisième et une quatrième tour de garde, équipées de canons, des nacelles améliorées ainsi que deux arènes d’entraînement : Une petite au centre du camp et une grande dans les souterrains de la plus grande tour.
Cela fait, Leeve accrocha plusieurs drapeaux sur la tour principale, sur lesquels figurait un dessin représentant un chardon rouge. Le chardon, la fleur de la vengeance, et le rouge, la couleur du sang.
-Nous nous nommerons les « Assassins du Chardon Pourpre ». La Confrérie du « Chardon Pourpre ».
Les huit Assassins reçurent des tuniques ainsi que des épées et des lames secrètes, fabriquées dans la forge. Ils exécutèrent, ensemble, un immense saut de la foi du haut de la falaise.

Dimitri a fait la connaissance de wellington en Inde

Nom de la ville: Alexandrie (Egypte)
Pourcentage de contrôle des Templiers: 100%/100%
Nom de(s) Assassin(s): Nizar Ibn al-assad
Fiche de(s) Assassin(s):

Force 1
Résistance 1
Déviation 1
Vitesse 1
Escalade 2
Discrétion 2
Armes à distances 1.5

Armes : Lame secrète, Arc, dague.

Pieces : 500

• Le nom: Mingan Kesegowaase (signifie Loup gris rapide)

• Le prénom: Barthélémius

• L’âge: 20 ans

• Le pays: Le Bas-Canada (Québec)

• Langue parlée: Le français, l’algonquin et il communique avec les animaux

• Le sexe: Homme

• La description physique puis morale:

Un jeune homme un peu plus petit que la moyenne. Il n’est pas imposant, mais il impose le respect par la confiance qu’il a en lui. Il n’est pas très musclé, par contre il est vif et agile. Il a un très bon cardio et cour très vite; il peut atteindre une vitesse qui se rapproche de 40km/h. Ce jeune homme a les cheveux blonds et ses yeux sont d’un bleu clair comme le ciel sans nuage. Par contre, la nuit, ses yeux peuvent paraître phosphorescents, car ils sont tapissés d’une couche de cellule, le tapetum lucidum, qui lui permettent de voir aussi bien le jour que la nuit. Il a aussi une cicatrice à l’œil gauche, mais cela ne dérange aucunement sa vision. Son odorat est un sens qui est plus développé que la moyenne des être humains. Il peut détecter un animal à près de 270m contre le vent. Il a aussi des tatouages amérindiens dans le haut de son dos.

Barthélémius Mingan Kesegowaase est sympathique et drôle. Il s’est s’amuser et amuser les autres qui l’entourent. Il n’a pas peur de l’autodérision et tente du mieux qu’il peut que les gens qui l’entourent soient heureux. Il sait aussi écouter et conseiller les autres pour les aider à régler leurs problèmes. Tout le monde peut conter sur lui et s’il vous fait une promesse, vous pouvez vous assurer qu’il va la respecter. De plus, il est protecteur et ne laissera jamais quelqu’un sans défense. Par contre, il devient très sensible et est prêt à tout pour défendre les gens qu’il aime et qu’il considère comme sa famille. Il est prêt à mourir pour eux. Il est prêt à tuer pour eux. Il est prêt à tout pour eux. Alors si tu veux t’attaquer à Barthélémius soit prêt, mais si tu t’attaques à sa famille, poses toi une question avant d’agir; Es-tu prêt à mourir aujourd’hui?

• L'histoire:

Barthélémius Mingan Kesegowaase est né dans un petit village algonquin situé dans le Bas-Canada en 1760. Il vivait paisiblement avec ses semblables et l’Okima, le chef de son village, l’amenait très souvent dans les villages des blancs pour faire du commerce avec ceux-ci. Barthélémius était toujours heureux de voir ses hommes blancs qui étaient toujours sympathiques avec lui. Quand il ne faisait pas du commerce, le jeune homme apprenait à chasser dans la forêt ou simplement à se balader. Avec le temps, il commença même a chasser avec des loups et apprivoisa un louveteau qu’il nomma Skippy. Le temps passait, Barthélémius grandissait et le louveteau devient un loup, les algonquins de son village vivaient en harmonie avec les hommes blancs et tout pointait vers un futur prospère. Par contre, un jour, de nouveaux hommes blancs, avec des habits rouges écarlates, avaient fait leur apparition au marché du village des hommes blancs. Ces hommes étaient beaucoup moins sympathiques et manquaient de respect pour tous les habitants. Puis, plusieurs de ceux-ci débarquèrent au village algonquin et demandèrent à l’Okima de faire partie du rang des impériaux dans la guerre qui allait faire rage. Le refus n’était pas la réponse attendu et selon ces hommes, «si tu n’es pas un ami, tu es un ennemis». Le village algonquin fut mis à feu et à sang, les hommes étaient fusillés, les femmes violées, les enfants battus à mort. L’Okima était mort pendant la bataille pour sauver Barthélémius. Une rage folle s’empara de lui et il tua tous les hommes blancs vêtus de rouge. Et ce jour, alors que plusieurs innocents étaient morts, il se fit une promesse à lui-même : plus jamais un innocent ne se ferait tuer devant lui. Il mit chacun des morts dans de la peau de caribou qu’il déposa un à côté de l’autre. Puis, il mit l’Okima dans de la peau d’ours qu’il déposa au centre de tous les mort, au centre du village. Il demanda aux esprits de veiller sur eux et parti avec le seul membre de sa famille qui lui restait, Skippy le loup apprivoisé. Ce n’est que quelque temps plus tard qu’un coureur des bois le retrouva et bien sûr il était un assassin. Barthélémius vit dans cette organisation la chance de réaliser la promesse qu’il s’était fait.

• Compétence:

Force: 1/10
Résistance: 1/10
Déviation (combat, riposte mortelle): 1/10
Vitesse (aussi bien en combat qu'en course): 1/10
Escalade: 1/10
Discrétion: 1/10
Armes à distance (couteaux de lancées, pistolet, arbalètes…):1/10
Rage animisme ancestrale (L’esprit du loup prend possession de son corps, ce qui le fait entrer dans une rage intense. Cette rage le rend un peu plus fort, mais surtout beaucoup plus rapide et agile. De plus, la douleur ressentie est moindre. Une légende algonquine raconte qu’un Okima avait déjà combattu pendant trois minutes en rage animisme ancestrale pour défendre les gens qu’il aimait alors qu’il était mort.) : 1/10

Équipements :
Dague
Lame secrète
Cinq couteaux de lancées

Or : 0f

Il communique avec les animaux? Désolé, mais je crois pas que les Aqua-man ne soient acceptés

C'est un mutant ?

Nan mais bon, c'est un rp réaliste hein, les seuls pouvoirs qu'on accepte c'est ceux des fragments d'eden