Bah du coup j'en ai oublié de parler des texte de bilbonch et lenskonch...
Lens très bon, mais vu que je ne lie jamais aucun de texte, tu sais très bien que je le lis en touriste
bilbo Bah voila! ça je comprend Mais là encore, un chap d'introduction, donc il ne se passe pas grand chose (ce qui n’empêche pas que ça soit très bon)
Je veux la castration de leeve
mais j'ai l'impression que ce sera stanley qui prendra...
Et oui travailler c'est dur
Jet écoute le sage commentaire de T
Salut tout le monde
Je m'excuse une énième fois si mon texte n'est pas encore posté. Mais j'imagine que vous connaissez la panne d'inspiration.
Bon, je m'y suis mis et les lettres apparaissent au fil de la plume
Bon d'accord, je sais que j'écris sur l'ordi, mais l'effet est moins bon, sinon
Flamme Maintenant que j'y pense. Je peux recruter un Assassin dans mon RP? Ca se prêtera à l'histoire, bien entendu. De plus, l'influence est bien tombé
il y a de la place pour un nouveau ???
toujours fait ta fiche comme indiquait sur la page 1
merci d'avoir répondu si vite et je me lance !!!
Je ne suis pas sûr que le prénom Dark existe. Même au Portugal
prenom qu'il s'est donne apres la mort de ces parents deso oublie de preciser mais son vrai nom est inconnu
Et les yeux rouges je crois pas que sa existe j'en ai jamais vu a pars sur les photos mais bon
on peut quand meme se permettre quelques folies non (:
Bah, le truc c'est qu'on recherche de la cohérence et du réalisme, en fait.
je peut changer sinon ya pas de soucis ca !
Attends comme meme l avis des grand manitou
Ouais attend
Salut
Tueur, si tu arrive à expliqué rationelement les yeux rouge (infection, blessure et j'en passe...) et que tu donne une explication au nom, pas de souci
mais faut que ça soit cohérent, sinon il vaut mieu modifier
Oui, et o évitera es "c'est à cause d'un artefact", parce que ca commence à faire beaucoup ici.
Tant que ça, Homm?
Servitude (partie 3) :
Leeve se pencha pour la centième fois de la journée et arracha un plant de coton qu’il mit dans son panier. Il se redressa, s’essuya le front du dos de sa main, et se remit au travail. Un des hommes de Cheydar passa derrière lui et agita sa matraque.
-Plus vite, limace ! Tu n’es pas là pour dormir !
Leeve grogna et accéléra la cadence.
Finalement, le soleil se coucha et Cheydar fit claquer son fouet par terre pour attirer l’attention à lui.
-Votre journée est finie les gars ! Retournez au camp, en silence !
Les esclaves furent reconduits dans la petite clairière. Des hommes de Cheydar se postèrent à proximité pour les surveiller. Les esclaves se rassemblèrent autour du feu où chauffait une marmite de soupe.
Leeve se mit un peu à l’écart. Il sortit son livre de sa tunique et se dirigea dans un bosquet avant de l’enterrer.
-Ne t’inquiètes pas, je ne t’oublierais pas dans ce trou à rat. C’est juste pour te mettre en sécurité.
Leeve revint vers le camp. Il se servit un bol de soupe et s’assit sur un des bancs entourant le feu. Les esclaves étaient en train de discuter. L’un d’eux s’assit à côté de Leeve.
-Eh, comment tu t’appelles ?
-Leeve Hawker.
-Moi c’est Sam.
-Hum…
-Tu faisais quoi dans la vie, avant ?
-Assassin.
-Ha ! Ha ! Sérieusement ?
-…
-Moi j’étais ouvrier. Je travaillais dans les chemins de fer. Un jour j’ai perdu mon boulot et je me suis retrouvé à la rue. J’ai embarqué clandestinement pour un ferry pour l’Amérique, dans l’espoir de me refaire une vie, mais le capitaine m’a trouvé et a menacé de me jeter à l’eau. Je l’ai supplié et au final il m’a vendu à un esclavagiste qui m’a vendu au baron Francis il y a cinq mois.
Sam but une gorgée de soupe.
-Il aurait du me jeter à l’eau.
-…
Leeve touilla sa soupe avec un petit bout de bois. En fait, c’était plus de l’eau avec quelques petits morceaux de légume impossibles à identifier que de la soupe. Et le goût était infect mais bon, au moins ça nourrissait.
Enfin, ça coupait l’appétit plutôt.
-Allez, tout le monde au lit, hurla Cheydar après avoir craché par terre. Demain on se lève tôt !
-Il doit être vingt-et-une heure, lâcha Leeve. On ne va pas se coucher si tôt.
-Demain on se lève à trois ou quatre heure, lui souffla Sam. Je te conseille d’obéir. Histoire d’être le plus en forme pour travailler.
Leeve ouvrit les yeux. Sam était penché au-dessus de lui et le secouait.
-Réveilles-toi !
-Quoi… C’est déjà le matin ?
-Non, il fait encore nuit, mais Stanley a tenté de s’enfuir ! Ils sont tous partis à sa recherche sur l’île ! Tu sais ce que ça veut dire ?
-Je ne sais pas.
-Ca veut dire qu’il n’y a plus qu’un ou deux gars pour nous surveiller, et qu’on peut en profiter pour se barrer ! On est au moins cinquante, ils ne nous arrêteront pas avec leurs minuscules matraques !
Leeve se redressa et se frotta les yeux avant de sortir de la cabane. Tous les esclaves s’étaient rassemblé autours du feu de camp. Trois hommes aux ordres de Cheydar les fixaient, un peu à l’écart, en serrant leurs matraques.
Ils n’avaient pas l’air rassurés.
Les esclaves discutaient entre eux en jetant des regards féroces à leurs geôliers. Sam avait pris à parti plusieurs esclaves musclés et leur expliquait son plan en chuchotant. Leeve, les bras croisés, s’était assis sur un banc.
L’ambiance était lourde, tendue, oppressante. Il allait se passer quelque chose. Il ne savait pas encore quoi mais il allait se passer quelque chose.
Soudain, un cri retentit, entre les arbres.
-Non ! Lâchez-moi ! Pitié !
Dix hommes, dont Cheydar, surgirent d’entres les fourrées. Deux d’entre eux tenaient fermement Stanley par les bras et le traînait jusqu’au camp. L’esclave pleurait et se débattait.
-Je ne voulais pas m’enfuir ! Je vous jure ! Je ne le ferais plus !
Cheydar sortit son fouet et le fit claquer par terre. Il avait une expression enragée, signe qu’il était vraiment énervé.
-Ecartez-vous ! lança-t-il aux esclaves. Faites places bande de chien !
Le groupe d’esclave se dispersa, laissant la place quasiment vide. Ils formèrent un grand cercle autours du feu de camp où se trouvaient Cheydar, ses hommes et Stanley. Leeve, à l’aide de ses coudes, se fit une petite place pour observer la scène.
Les derniers esclaves, qui étaient endormis jusque là, se réveillèrent et sortirent des cabanes, pour voir ce qu’il se passait.
Cheydar saisit Stanley par l’épaule et le jeta au sol. Il appuya son pied contre sa poitrine, le bloquant par terre. Puis, il fit un signe à ses hommes.
-Apportez la chaise !
Deux hommes sortirent du cercle et en revinrent quelques minutes plus tard, une chaise en bois trouée au milieu dans les mains. Ils la posèrent devant le feu. Cheydar releva Stanley d’une main de fer et lui arracha son pagne avant de le clouer sur la chaise.
Un homme attacha les jambes et les bras de Stanley à la chaise. Ses testicules dépassaient du trou. Cheydar prit deux cailloux par terre et s’agenouilla derrière la chaise. Il tourna la tête vers les autres esclaves.
-Regardez-bien ce qui arrivent aux petits rebelles dans son genre !
Certains esclaves fermèrent les yeux ou détournèrent le regard. Stanley se débattit encore.
-Non, je vous en supplie !
Cheydar plaça les deux pierres de chaque côté des testicules de Stanley et inspira avant de les frapper l’une contre l’autre d’un coup sec et puissant. Du sang l’éclaboussa. Le hurlement de Stanley s’éleva dans la nuit.
Leeve se détourna, en silence, et retourna dans sa cabane, laissant derrière lui les esclaves horrifiés et fascinés par le spectacle macabre qui se déroulait sous leurs yeux, celui d’un autre esclaves tordu en deux sur une chaise, du sang dégoulinant d’entre les jambes, et celui de Cheydar, debout, couvert de gouttes de sang, deux pierres rouges dans les mains.
Il fallut encore longtemps pour que Stanley cesse de crier.
Voila, pour ceux qui voulaient une castration Maintenant que tout le monde est satisfait, je vais pouvoir vraiment rentrer dans l'intrigue.