Salo
Si tu veux un argument ben t'as plus d'idée donc prend un truc que t'ai sûr de maîtriser
je fais juste un récapitulatif des personnages et comment ils sont perçus pour voir sur quels points je dois appuyer ou pas
Bon, en attendant j'ai pas mal d'histoires en court en ce moment
-Leeve Hawker et sa confrérie
-Le traître
-L'As de Pique
-Marcus
-La bête du gévaudan ( ha, ha, avouez vous l'aviez oubliés celle-là )
-Le livre des Magerlan
Va falloir que je les finisses toutes là Surtout que j'ai envie de passer à un nouvel Assassin ( dans une époque encore inédite sur le topic ) mais faut que Leeve meurt et j'ai encore des projets pour lui
époque déjà utilisé :
époque romaine
Grand guerre du Nord ( Suéde-Russie)
Première guerre anglo-marathe Napoléon
angleterre victorienne
époque moderne
et époque des cqela
et du roi arthur
Il te reste encore beaucoup de choix
Maintenant tu peux rajouter l'époque de JFK (doute sur les dates, pas envie de dire des conneries) vu que je fait Guevara qui vit en même temps.
en fait
epoque victorienne 2012
c'est plus simple
tiens , je viens de trouver huit pages word sur un lenski durant les 2 gm
et un paragraphe durant la guerre anglo-zoulou
Quand est-ce que j'ai écrit ça et que je l'ai mit sur ma clé usb ?
Lenski : T'as déjà fait les GM ? Merde, je voulais justement faire un Assassin à cette époque
Le Chardon Pourpre (partie 1) :
1809, Normandie...
Leeve regarda autours de lui. Il se trouvait dans un magnifique bureau, au sommet de la tour principale. Une large fenêtre donnait sur la mer. Le symbole du Chardon Pourpre était affiché sur les murs.
Leeve s’assit dans son fauteuil.
Cela faisait neuf mois que le camp avait été créé. Jusqu’à maintenant, la confrérie du « Chardon Pourpre » était restée secrète. Leeve avait envoyé ses meilleurs hommes vers les terres, pour recruter.
Ils étaient revenus avec dix hommes supplémentaires, ce qui amenait les effectifs de la confrérie à dix-neuf membres, en le comptant.
Leeve observa encore la pièce dans laquelle il se trouvait, auparavant la salle dans laquelle la nourriture était entreposée. Les Assassins l’avaient réaménagé en bureau pour leur maître, une semaine plus tôt.
Leeve n’avait été autorisé à y entrer que la veille.
Un livre de compte de la confrérie était ouvert sur le bureau. L’Indien ouvrit un tiroir où étaient rangés une dague et le livre des Magerlan. Il le sortit et en caressa la couverture.
-J’ai suivit ton enseignement, Arcus. J’ai pris les choses en main.
Ensuite, Leeve se pencha sur le livre de compte. Il n’était pas encore bien rempli mais, actuellement, sa guilde était plutôt riche. Sous la couverture de diverses entreprises, ils vendaient des armes ainsi que du bois et de la pierre aux villes voisines.
L’un des Assassins de Leeve était très doué dans la peinture, aussi il vendait ses tableaux à un bon prix.
Leeve avait voulu garder sa confrérie secrète, pour le moment, et ne pas en révéler l’existence aux autres confréries officielles. Il voulait attendre que ses hommes soient prêts car au moment où il révélerait son existence à ses alliés, il la révèlerait aussi à ses ennemis.
Et ceux-ci ne manqueraient pas de venir lui rendre visite.
Leeve avait des projets.
En temps que mentor du Chardon Pourpre, il souhaitait bâtir de nouveaux bâtiments dans le camp. Un observatoire, un laboratoire pour élaborer de nouvelles armes mais aussi une seconde écurie, plus grande.
La première commençait à être petite.
Il voulait aussi construire des routes, autours de son camp. Et pourquoi ne pas bâtir un petit port, sur la côte, dont les revenus reviendraient à la confrérie ? Ce n’était pas un problème de fabriquer des petits navires de pêche ainsi que des outils pour cela.
Enfin, son dernier projet, et le plus fou, était de prendre le contrôle de la ville la plus proche, une assez grande cité. En douceur, bien entendu. En s’alliant avec les commerçants et les dirigeants de la ville.
Ainsi, il bénéficierait d’un camp officiel pour ses Assassins mais aussi d’une grande ville où il pourrait entreposer plus de matériel et y chercher de la main d’œuvre. Les recrues ne manqueraient plus, ainsi que l’argent, car ce que toucherait la ville en vendant ses produits irait à la confrérie.
De plus, une population entièrement dévouée à la cause des Assassins serait un « plus » non négligeable.
Leeve s’y voyait déjà.
Il améliorerait les défenses de la cité, bâtirait de multiples routes vers le Q.G des Assassins, recruterait des hommes par centaine, installerait des casernes et des tour de garde, améliorerait le commerce de la ville…
Avec tout l’argent qu’il gagnerait, il pourrait vraiment fabriquer un port, ce qui n’était pour l’instant qu’un projet, et pourrait se lancer dans la pêche et les voyage.
Il pourrait se lancer à l’assaut des océans, chasser les pirates et les bandits qui infestaient la baie… Non, mieux, les forcer à travailler pour la confrérie, fédérer tous ces brigands, leur donner plus d’armes mais les tenir sous ses ordres.
Cela lui ferait : Plus d’homme, plus de navire, plus d’argent.
Avec le nombre de bateau qu’il aurait, il pourrait créer un port privé, près du premier, réservé aux Assassins. Il enverrait, quand il le voudrait, des navires aux quatre coins du monde en direction des autres confréries.
Il agrandirait le camp et en ferait une petite ville, avec des paysans, des commerçants, des artistes… Il s’allierait aux autres cités voisines et bâtirait une grande fédération sous le drapeau du Chardon Pourpre…
Un rêve. Pour l’instant. Leeve savait que c’était réalisable mais il faudrait du temps, de l’argent, un poids militaire et aussi beaucoup d’audace.
En fait, il ne parviendrait pas à ça tout seul. Il lui fallait l’appuie d’autres Confréries. D’abord celle de France, puis celle du Royaume-Unis, ensuite celle des Etats-Unis, d’Espagne, d’Allemagne, de Russie, du Portugal, de la Grèce…
-Maître ?
-Entrez.
Sam pénétra dans le bureau, fièrement vêtu de sa tunique blanche. Il salua son maître avec respect.
-Que se passe-t-il ?
-Nous avons cinq nouvelles recrues, trois pêcheurs, un ancien voleur et un marchand ruiné. Ils se sont présentés ensemble devant notre Q.G, il y a quelques minutes. Que faisons-nous ?
-Elliot les formera. Donnes leur des tuniques et des épées courtes. Qu’à donner les négociations avec le village d’en bas ?
-Ils accepteraient de travailler dans le port que nous construirions si nous les protégions des pirates et que nous améliorerions leur condition de vie.
-Bien, dit leur que nous enverront des troupes pour s’occuper des bandits. Si nous faisons cela, nous aurons leur appui. C’est un minuscule bourg d’une trentaine d’habitants mais ça sera toujours trente personne de plus à notre cause.
-Nous devrons couler les bateaux des pirates ?
-Coules les premiers que tu croiseras mais épargnes quelques hommes et ramènes les ici. Deux ou trois par bateau.
-Très bien.
-Tu as carte blanche quant à la méthode employée.
Sam ressortit du bureau. Leeve sourit.
Son plan se mettait en marche.
Nom: Valentino
Prénom: Zefiro
Age: 17 ans
Voilà j'ai refait le passé de mon assassin vu que j'aimais pas trop l'autre et j'ai aussi rajouté une capacité spéciale.
Le pays de l'assassin: Grèce
Les langues: Grec,Italien
Le sexe: Homme
La description:
Physique:
1m75,67kg, Zefiro n'est pas très musclé et n'a pas beaucoup d'endurance mais compense cette faiblesse par sa grande agilité et sa dextérité au maniement des couteaux.Il a des cheveux noir jais et des yeux bleu acier.
Morale:
Il déteste la monotonie et ne tiens pas en place. Zefiro n'est pas très sociable et est assez maladroit en matière de relation humaine.
Passé :
Ma sœur m'a raconté que nos parents nous avaient abandonné car ils n'avaient plus assez d'argent pour nous nourrir depuis nous vivons dans la rue.Elle avait 13 ans, moi 10 et survivre dans la rue a cet age là n'était vraiment pas simple.Ma sœur passait son temps à maudire et à injurier nos parents mais cela ne lui rapportait rien d'autre que les regards suspicieux des passants alors pour survivre nous mendions ou volions quand l’aumône n'était plus assez.
Nous vécûmes 2 ans comme cela mais plus aucun passant ne s’arrêtait pour nous donner de l'argent alors ma sœur essaya de trouver un métier mais personne ne voulait d'une pouilleuse comme elle. C'était sans espoir, les jours passaient et nos ventres criaient toujours famine mais un soir un homme arriva, il avait à peu près 50 ans et la moitié de ses dents étaient parti quand à l'autre moitié ils étaient brunâtres.Il voulait parler seul à seul avec ma sœur alors elle me fit signe de rester en retrait . L'homme lui caressa la joue et lui montra du doigt la ruelle d’à coté alors ils y allèrent.
Une heure plus tard, elle revenait me voir les mains pleines d'argents et quand je lui demandât d’où cela venait elle baissa les yeux et me répondit que le plus important était qu'elle en avait mais je n'était pas dupe : elle avait vendu son corps.Alors je fis semblant de ne pas avoir compris pour ne pas l’embarrasser.
Une année s'écoula et nous vivions de mieux en mieux grâce à ma sœur qui disparaissait des nuits entières pour son 'travail' pour revenir en pleurs à cause des mauvais traitements qu'elle avait subie pas ces 'clients'.
Je la suppliai d’arrêter mais elle avait tellement peur de ces hommes qu'elle s'y refusait.Mais peu après l'inéluctable se produisit, elle disparut un jour puis deux puis trois alors je compris qu'il lui était arrivé malheur, je me mis à la chercher dans tout les recoins de la ville pour finalement la trouver dans les bas-quartiers.Elle gisait sur le sol, les yeux ouverts et son corps recouvert de bleus et d’ecchymoses.Ma sœur avait été lynché à mort et il ne restait d'elle qu'un corps sans vie. Je la pleura un jour et une nuit entière puis quand j'eus fini ma seule idée en tête était de la venger.Je questionna toute personne susceptible d'avoir assisté à sa mort et finit par trouver un ivrogne qui avait vu le tueur.
L'assassin de ma sœur n'était autre qu'un homme d'église. Je retrouvât sa trace à la sortie des prêtres de l'église orthodoxe, il discutait et riait avec ses confrères comme si de rien n'était.Mon sang ne fit qu'un tour, je le suivit de rue en rue, me dissimulant dans la foule, vola un couteau sur l'étal d'un boucher puis quand je le vit s'engager dans un rue sans passant je saisi ma chance : je le prit par la tunique, le tira en arrière et l'égorgea.
Mais je m’aperçus alors que quelqu'un m'avait vu alors je couru comme jamais pour finalement arriver... dans un cul de sac.Je voulu rebrousser chemin mais l'homme me coupait toute retraite, il avançât vers moi et leva sa main.Je fermât les yeux croyant que ma dernière avait sonné mais l'homme ne fit que poser sa main sur mon épaule et me murmura à l'oreille « rejoins-nous ».Éberlué je rouvris mes yeux et le détailla de plus près, il portait un manteau blanc et une capuche lui couvrait le visage. Il m’annonçât que l'homme que je venais de tuer était le descendant d'un dangereux templier nommé Cyril de Rodes qui était recherché pour avoir tué de nombreuses jeunes filles.
L'assassin m'avoua avoir été impressionné par le meurtre que je venais de commettre et me demanda de rejoindre la confrérie pour lutter contre les templiers.Depuis je m’entraîne à devenir un véritable assassins en suivant leur entraînement et en effectuant des petites missions.
Capacité spéciale :
Instinct de survie: Développe la visée et le maniement des couteaux quand Zefiro est blessé ou en danger de mort imminente.
j'ai écrit sur les gm mais pas posté
par contre c'est bizarre je me souviens pas l'avoir écrit
Lenskonce : Alzeimher apparait de plus en plus tôt, décidément
surtout que c'est pas exactement mon style d'écrire
enfin bref
Bon, enfin bref, la fin de toute l'intrigue de Leeve devrait arriver d'ici une dizaine de chap. Le dénouement approche.
En même temps, ça se sent depuis quelques chaps.
Donc tu vas faire la gm ?
je viens de réaliser un truc
L'as de pique est en espagne , Dimitri est en Espagne , Lucas est en Espagne
et moi je vais me faire foutre si j'ai tout suivis connard
J'ai quand même deux perso principaux en Ezpagne.