j'ai laissé pas mal de zones d'ombres à propos de Dimitri
Entre 1783 et la mort du roi , entre la mort du roi et la fin de la chouannerie
Quel vocabulaire ludo
Il faudrait que j'éclaircisse ces zones d'ombre
Surtout la question = ou a été transféré le qg des assassins royalistes aprés traflagar ?
( N.B : le navire de Dimitri qui servait également de quartier général mobile a été coulé durant la bataille )
Dimitri est en Espagne ? Pas à la même année si ?
Et c'est qui Lucas déjà ? ( je m'y perd avec tout tes Assassins, seniro, junior, Lenski, Rosiers, etc... )
Flamme Il etait epuisé + la chaleur ! Bref, Une mission le plus vite possible Merci
Dimitri est en Espagne durant la même année
en fait il est commandant anglais sous les ordres de wellingtonch
Lucas c'est un assassin napoléonien
dans le commandement anglais*
sinon ça fait bizarre
Le Chardon Pourpre (partie 2) :
1809, Normandie…
Un mois passa. Le Q.G du Chardon Pourpre s’agrandit encore. Leeve avait fait venir des dizaines de charpentiers qui avaient bâtis, pour le compte des Assassins, plusieurs maisons autours du camp, ce qui lui donnait l’air d’un véritable village doté d’une forteresse, en son centre.
De nombreux paysans étaient venus s’installer là. Leeve les payait pour travailler aux champs, faire tourner la forge, la scierie, etc…
Sam avait même eu l’idée de construire une petite auberge et une taverne pour accueillir les voyageurs et permettre aux habitants du camp et aux Assassins de se détendre.
Des remparts étaient en court de construction mais ils mettraient du temps à être terminés.
Sam et ses hommes, entre temps, avaient coulés de nombreux navires pirates et avaient gagnés une solide réputation. Ils faisaient fuir les bandits rien qu’en hissant le drapeau du Chardon Pourpre.
Cependant, comme l’avait ordonné leur mentor, ils épargnaient toujours quelques hommes des équipages qu’ils massacraient. Ceux-ci, terrifiés, racontaient leurs aventures dans divers ports, contribuant à faire grandir la réputation de la confrérie.
En même temps que la crainte des pirates grandissait, le respect des villageois aussi. Les pêcheurs du coin, bien heureux d’être débarrassés des pirates, s’étaient engagés à travailler pour Leeve.
Ce dernier leur fournissait bateaux, matériel et protection et, en échange, les pêcheurs devaient approvisionner le camp en poissons et lui verser une partie de leur bénéfice.
Les habitants des villes voisines aussi avaient entendus parler de la confrérie. En particulier les marchands.
Ceux-ci avaient appris la nouvelle avec joie, comme quoi les pirates avaient fuis. En effet, depuis de plusieurs années, le commerce maritime était catastrophique dans la région, à cause des dits pirates.
L’aura de la confrérie du Chardon Pourpre s’étendit jusqu’à toucher les terres. Les nouvelles recrues affluaient. L’argent abondait. Le camp grandissait et s’améliorait.
Un jour, Leeve reçut une lettre du dirigeant de la plus grande ville du coin, une cité de tailles moyenne mais très riche et vivant principalement du minage et de la vente de pierres précieuses, qui s’exportaient partout en Europe.
Le maire de la ville remerciait chaleureusement Leeve d’avoir réglé le problème des pirates, ce qui avait permis à la ville de retrouver un second souffle et de s’enrichir de nouveau.
Le maire souhaitait bâtir une alliance entre sa cité et la confrérie des Assassins. Leeve l’invita à venir en discuter dans son Q.G. Le maire vint le lendemain et fut accueillis dans la tour principale du camp.
Leeve et lui se réunirent à une table, dans le bureau du mentor.
-Alors comme ça, vous voulez que nous nous allions, vous et moi ? dit Leeve, un verre de vin à la main.
-C’est effectivement ce que je souhaiterais. J’aimerais que nous commercions ensemble. Cela nous enrichirait tous les deux.
-Je veux bien commercer avec vous. La pêche nous rapporte beaucoup d’argent, ainsi que la forge d’arme, armes que nous vendons dans toute la région et qui sont réputées pour leur qualité.
-Je souhaiterais justement équiper mes hommes de vos armes. Et agrandir les rangs de mes gardes avec vos Assassins. Bien entendu, en échange je réduirais les prix de nos produits pour vous et nous partagerions les bénéfices.
-Hum… Pourquoi vous donnerais-je des Assassins si je peux tout simplement envoyer mes troupes protéger votre ville ?
-Vous feriez ça ?
-Bien sûr. A quelques conditions : Je veux, comme vous l’avez dit, bénéficier d’une réduction sur vos produits. Je veux aussi que vous informiez les autres villes alentours de notre puissance. Je veux que notre réputation soit connue jusqu’au Sud de la France.
-Bien entendu.
-Et je veux aussi entreprendre de construire des routes, tout autour du camp. Aussi, il serait appréciable que vous nous aidiez pour les travaux.
-D’accord.
-En échange de quoi, ma confrérie s’engage à protéger la ville de toute attaque et à vous appuyer dans vos problèmes.
-Mettons cela par écrit alors.
Le lendemain, l’alliance de la confrérie avec la ville fut officialisée. Plusieurs autres maires contactèrent Leeve par la suite, pour les même raisons.
Le camp s’agrandit encore, les remparts furent érigés et un port vit le jour, sur la côte, permettant aux produits des Assassins de s’exporter partout. Des taxes furent instaurées pour tout navire étranger accostant dans la région.
Une solide alliance commerciale, politique, économique et militaire s’installa entre les villes de la région et la confrérie du Chardon Pourpre. Celle-ci était maintenant si renommée dans le coin que la confrérie Française, à Paris, en entendit parler.
Le nouveau mentor contacta Leeve pour lui demander des explications. Celui-ci lui répondit simplement que son seul souhait était d’aider la confrérie Française et de faire rayonner l’aura des Assassins dans le monde entier.
Leeve proposa à la confrérie Française de s’allier, par écrit, et de s’apporter des soutiens sans faille. La confrérie Française hésita mais finit par accepter.
Maintenant que le Chardon Pourpre avait officiellement l’appuie de la Confrérie des Assassins Républicains, il fut très simple d’étendre son influence dans toute l’Europe. Des contrats furent signés, avec l’Espagne, l’Allemagne, l’Angleterre.
Doucement, se disait Leeve. Pas de précipitation. Mais tout allait extrêmement vite.
Les Assassins du Chardon Pourpre, très compétents, menèrent nombre de campagnes contre les Templiers. En un temps record, ils parvinrent à nettoyer toute la Normandie de Templiers, brûlèrent leurs bases, volèrent leurs plans et leurs armes et capturèrent tous les chefs qui furent envoyés jusqu’au Q.G, à Paris.
La confrérie du Chardon Pourpre ne cessait d’étendre son influence et de gagner en prestige. Les agents de Leeve étaient partout dans le monde. L’effectif total de la guilde était maintenant d’environs 400 hommes, dont plus de 200 maîtres. Des nouvelles recrues apparaissaient chaque jour.
Mais Leeve n’avait jamais perdu de vue son objectif premier : Retrouver le traître qui avait vendu Eva, Pierre, Edouard et les autres.
Tout ce qu’il avait fait jusque là n’avait pour seul but que de réunir assez de moyens pour retrouver ce chien. Cette ordure qu’il avait juré de tuer de ses mains.
Il avait d’ailleurs envoyé des espions dans toute la France et dans chaque continent pour trouver une piste, en vain…
Jusqu’à un certain jour.
France, Q.G des Templiers…
-Maître, que faites-vous ?
Le chef Templier enfila son manteau et mit un chapeau sur sa tête. Il se dirigea vers la sortie de son bureau.
-Maître…
-Qu’on me prépare un cheval et des hommes. Et vite.
-Où allez-vous ?
Le chef Templier sortit précipitamment de la pièce. Il lança un dernier regard derrière lui, paniqué.
-En Espagne, lâcha-t-il.
Allez hop, tout le monde en Espagne C'est la fête \ /
ça va se finir en orgie générale tout ça
Le Chardon Pourpre (partie 3) :
1809, Normandie…
Un Assassin entra dans le bureau de Leeve. Il tenait une lettre. Leeve lui prit et lui fit signe de le laisser seul. Ensuite, il ouvrit la lettre et la parcouru des yeux.
« Mentor, nous avons retrouvé la trace de Napoléon, en Espagne. Traître sûrement avec lui. Napoléon projette de s’allier avec les généraux des Templiers espagnols et français, pour renforcer son armée. Va sans doute tenter d’en finir avec la confrérie Française. Sera en Espagne dans treize jours, au Fort Sainte Laurentia pour réunion. Que devons-nous faire ? »
Leeve referma la lettre et sortit un papier de son bureau sur lequel il écrit quelques mots.
« Attendre. Le Chardon Pourpre va bientôt frapper. Restez à proximité de Bonaparte pour m’informer de ses déplacements. Il tombera dans treize jours. Templiers aussi. »
Leeve plia le papier et s’apprêta à appeler un de ses hommes quant il entendit un bruit derrière lui. Il se retourna à une vitesse étonnante. Un poignard était apparu dans sa main, comme par magie.
La fenêtre du bureau était ouverte et un homme venait d’entrer. Il était vêtu de haillons et était blessé. Ses cheveux blonds lui tombaient sur le front et il portait une barbe de plusieurs jours. Ses yeux étaient fatigués mais encore vifs.
Il dégageait une aura de puissance contenue.
-A qui ais-je affaire ?
-Marcus Edmond. Etes-vous Leeve Hawker ?
-En personne.
-Pouvons-nous parler ?
Leeve s’écarta pour laisser Marcus s’asseoir.
-Je vous écoute.
Leeve s’assit en face de son interlocuteur. Il n’avait pas besoin de voir ses muscles fins, son corps taillé à la serpe et sa démarche parfaitement maîtrisée pour deviner qu’il parlait à un être d’exception. Le simple fait qu’il ait réussi à s’infiltrer dans un camp rempli d’Assassin et qu’il ait escaladé une tour de quinze mètres de haut couvert de blessure le prouvait.
Marcus s’enfonça dans son siège, les mains plaquées sur son ventre. Il semblait souffrir.
-Marcus Edmond en personne, fit Leeve. Vous devriez être…
-Mort ?
-Mort.
-Un faux cadavre. Si tout le monde me croit décédé, c’est que j’ai bien fais mon travail depuis dix ans.
-Je dois d’abord saluer votre audace. Venir se présenter dans mon bureau, au milieu d’un camp d’Assassins, blessé, épuisé, sans doute affamé et surtout complètement désarmé… Je doute qu’on puisse appeler cela du courage.
-Nous avons un but commun.
-Lequel ?
-Deux, en fait. Ramener la paix dans le monde et faire tomber l’ordre des Templiers en France. Pour le premier objectif que j’ai énoncé, nos deux méthodes sont différentes. Vous voulez donner la liberté totale aux gens, vous prônez l’anarchie, tandis que nous, nous luttons pour le contrôle et l’ordre. Pour le deuxième objectif, je pense que nous sommes d’accord quant à la méthode à employer : Il faut tuer le chef des Templiers.
Leeve prit son menton entre deux doigts.
-Vous êtes un Templier et… vous voulez la fin de votre ordre ?
-Pas la fin. Je veux un nouvel ordre. Celui-ci s’est amolli, affaibli. Comment ne pas s’affaiblir avec un tel chef à sa tête ?
-Autrement dit, vous voulez prendre sa place.
Marcus sourit faiblement.
-N’est-ce pas votre but de prendre le contrôle de l’ordre des Assassins ?
-Non. Tout ce que j’ai fait, c’est dans l’unique objectif de me venger.
-De qui ?
-Ca ne vous regarde pas.
-Je me souviens qu’une mission d’assassinat à mal tournée il y a un ou deux ans. Elle visait Napoléon. Une petite troupe d’Assassin a fait le voyage jusqu’à la Russie pour tuer Bonaparte mais un traître les a vendus et ils se sont fait massacrer. Seul un Assassin à survécu. Il avait le même nom que vous.
-Oui, je recherche le traître.
-Et si je vous disais que je sais où se trouve ce traître ?
-Je le sais déjà. Je viens de l’apprendre.
Marcus gémit à cause d’une de ses blessures. Il soupira et fixa Leeve dans les yeux.
-Qu’allez-vous faire ?
-Agir. Ce qu’aurait du faire la confrérie depuis longtemps. Je crois bien que mon ordre aussi s’est amolli.
-Vous allez lever une armée juste pour traquer un homme ?
-Je compte mettre fin à la vie de Napoléon une bonne fois pour toute et capturer le traître, par la même occasion. Puis, le tuer.
-Nous savons tous deux que Napoléon et ses généraux se réuniront en Espagne, dans deux semaines. Votre fameux traître y sera, c’est une certitude. Je ne connais pas son nom mais je suis assez informé pour savoir qu’il sera présent. Il y a quand même quelque chose que vous ignorez.
-Quoi donc ?
Marcus leva deux doigts.
-Un : Le chef des Templiers Français s’est enfui de France il y a quelques jours pour aller se réfugier chez Napoléon. Il veut s’éloigner de moi. Il sait très bien que j’en veux à sa vie. Deux : L’As de Pique a signé un contrat avec Napoléon. Il fait maintenant parti de ses généraux. Ca y est, vous avez compris ? Dans treize jours, Napoléon, le traître qui vous a vendu, le chef des Templiers et l’As de Pique se trouveront au même endroit.
Leeve resta silencieux un instant.
Les trois personnes que recherchaient le plus la confrérie Française seraient réunis, et en prime, la personne que Leeve traquait serait présente elle-aussi. Marcus, silencieux, avait les mains plaquées sur son ventre.
-J’ai besoin des Assassins, dit-il. Pour tuer le chef des Templiers. Je ne peux pas m’infiltrer seul dans une forteresse.
Leeve ferma les yeux.
-Vous êtes salement blessés, fit-il calmement. Ce serait un jeu d’enfant pour moi de vous capturer.
-…
-Je vais vous aider. Laissez-moi faire. Mes Assassins vont vous soigner. Tâchez de vite vous rétablir car j’aurais besoin de vous.
Leeve ouvrit les yeux. Une lueur déterminée brillait dans ses yeux.
-Je m’occupe de tout.
Voila, j'avais écris ces trois chaps à l'avance et il faut que je m'en débarrasse
Ouis tout le monde est en espagne !!! c'est la fête
- - /
Leeve , as de pique , dimitri
Dimitri est pas la même année, si ? Je me rappelle plus comment il a tué Napoléon déjà... Il l'a empoisonné et s'est empoisonné à son tour ?
Bah il y reste jusqu'à la victoire
Normandie ma terre natale
Non je rigole
il part se reposer en angleterre avant de revenir pour waterloonch
Je vais attendre combien de temps pour avoir ma mission Ohh ! :/...
Désolé de ma longue absence (1 semaine maxi) j'aitais en vacances avec seulement un iPad pour écrire (pas terrible n'est ce pas ?) bref. Je suis de retour pourrais je avoir une mission s'il voulait ?
Au passage bilbo magnifique aventure
Flamme Pas la peine de me donner une mission, je pars en vacance Samedi et je rentrerai le suivant
Donc bonne vacances d'avance à tous et bon jeu.
Bonne vacance captain.
Salut
Bon je vais etre clair, c'est pas parce que je ne post quasiment plus que j'ai arreté le jeu
C'est clair