QUOI Y A UN 'BLEM ?!!!!!
En même temps, le dernier Magerlan en date est un clochard alcoolique donc bon...
Jack Magerlan est un super héros doppé par la pomme d'eden
Jack Magerlan est un orphelin qui n'a aucun lien avec les Magerlan, son père adoptif était un Magerlan mais c'était un scientifique raté et anonyme
Spoil
Dimitri n'est pas non plus un Lenski "normal"
Enfant adopté spotted
Résistance (partie 3) :
Le parking était ravagé. L’explosion avait retournée et carbonisée toutes les voitures. Un nuage de fumée noire s’élevait de l’endroit où se trouvait la bombe. Le vacarme allait attirer du monde. Des soldats nazis seraient là dans quelques minutes.
Un homme sortit tranquillement d’un bâtiment, d’un air calme. Sa démarche était assurée et maîtrisée.
Il pénétra dans le nuage de fumée.
Il ne restait plus de la voiture qu’un tas de débris métalliques et un pneu calciné. Et un corps.
Peter, allongé au sol, à quelques mètres de la voiture, avait les yeux fermés. Il était couvert de sang et de poussière, ainsi que de gravats. Ses vêtements étaient déchirés.
L’homme s’approcha et s’agenouilla à côté de lui. Peter ouvrit lentement les yeux et sourit.
-Bien joué grand-frère
-J’avais préparé mon coup, qu’est-ce que tu crois ?
Il n’y avait aucune méchanceté dans le ton des deux hommes. Ils parlaient comme deux frères qui venaient de se faire une bonne blague, tout simplement. Peter se redressa sur un coude et gémit. Il devait avoir des côtes cassées.
-Je ne pensais pas que tu te tirerais aussi bien de l’explosion, dit Franz, dont le visage était caché dans l’ombre.
-Ha ! Ha ! Aïe Avoue, t’as essayé de me tuer pas vrai ?
-Eh bien, je pensais que tu aurais au moins un bras ou une jambe en moins après ça. Enfin bon, dans la famille Malroy, on est plutôt costaud.
-Tu as gagné la partie pour cette fois
-Comme toujours petit frère.
Peter laissa retomber sa tête sur le sol. Il était fatigué. Il avait envie de dormir.
Franz se pencha au-dessus de lui et écarta les pans de sa veste en lambeau. Il en tira un ensemble de feuilles constituant des documents top-secret. Franz Malroy les parcouru des yeux avant de sourire et de ricaner.
-Merci Peter.
Franz se releva.
-Au fait, ne traînes pas trop par ici. Des soldats vont arriver d’un instant à l’autre. S’ils t’attrapent, ils t’exécuteront ou te tortureront un peu avant. Enfin, je ne m’en fais pas pour toi petit frère, tu t’es tiré de situations autrement plus délicates.
-Comme ?
-Argentine, quand tu as du échapper à mes hommes, dans la jungle, pendant une tempête, avec une flèche dans le ventre, ou Moscou, quand tu as du te libérer de tes chaîne, enfermé dans une cave soviétique surveillée par cinq molosses affamés avec une bombe prête à exploser à deux mètres de toi et des Templiers tout autours de la pièce.
-Ne me rappelles pas de mauvais souvenirs Tu m’en a fais bavé, en U.R.S.S.
-C’est le jeu Peter.
Franz regarda sa montre alors que des bruits de pas se faisaient entendre.
-Bon, j’aimerais poursuivre cette conversation avec toi mais je dois y aller, petit frère. Fais attention à toi.
-De même, frérot.
Peter vit Franz disparaître dans le nuage de fumée.
Il fit un bilan de sa situation.
Il se trouvait au milieu d’une base nazie, blessé et épuisé, quasiment incapable de marcher, totalement désarmé. Il venait de liquider une dizaine de soldat et les renforts arrivaient, nombreux, armés jusqu’aux dents et déterminés à le tuer.
Bah, comme l’avait dit son frère, il avait connu pire.
1942, Allemagne
John prit sa cigarette du bout des doigts et la jeta sur la moquette tapissant le sol de la voiture de Clyde. Il écrasa son mégot d’un coup sec avant de tourner la tête vers son interlocuteur. Clyde resta silencieux.
-Tu veux que je devienne un Assassin ?
-Oui.
-Qu’est-ce que j’ais à y gagner ?
-Honnêtement pas grand-chose. Mais vous tu lutteras pour une cause juste.
-Alors va te faire foutre. Ca ne m’intéresse pas. Laisse-moi picoler tranquille et fous moi la paix.
Clyde verrouilla les portières de la voiture tout en inspirant une bouffée de sa cigarette. John le regarda d’un air énigmatique. L’ambiance devint oppressante, tout d’un coup. Les deux hommes se fixaient.
-Ouvre la portière.
-Nous n’avons pas fini de discuter.
-Tu veux mourir ?
-J’ai dit : nous n’avons pas fini de discuter. Alors restes assis.
John tapota le tableau de bord.
-Vous êtes Américain non ? fit Clyde.
-Allemand, répondit John en s’enfonçant dans son siège. Allemand d’origine Autrichienne. Ma mère était Américaine et elle a épousé mon père qui était Autrichien. Quand j’ai eu treize ans, on est parti en Allemagne. Mon père voulait faire fortune. Le con. Il a commencé à trafiquer avec des types louches, armés. Un jour il a fait une connerie, il devait être bourré. Il buvait beaucoup, mon père. Ils l’ont descendu en pleine rue d’une balle dans la tête. La police les couvrait. L’enquête a été bâclée, ils ont décrétés que les gars avaient changés de pays et ont rangé le dossier.
-Ton père était un Magerlan ?
-Ma mère. Janet Magerlan. Elle a été infirmière pendant la guerre 14-18, sur le champ de bataille. J’ai gardé son nom parce qu’il sonnait mieux. Voila.
-Etait-elle
-Une Assassin ? J’sais pas.
-Elle est morte ?
-Maladie du cœur. J’ai pas envie d’en parler.
-Je vois. John, il faut que tu saches que Janet Magerlan s’appelait en réalité Lise Magerlan, qu’elle était Française et qu’elle travaillait pour la confrérie des Assassins de France. Elle a du prendre la nationalité Américaine et un autre prénom pour faire la guerre. Elle a quitté la confrérie il y a longtemps, sûrement quand elle a rencontré ton père. Et elle a repris son nom de Magerlan mais gardé le prénom de Janet.
-C’était une
-Une Assassin. Une fameuse Assassin. Elle a participé aux assassinats de nombreux généraux Allemands et a été très active pendant la guerre.
-Et alors ? Vous croyez que ça va me convaincre de rejoindre vos rangs ?
-Peut-être, il faut essayer.
-J’ai du mal à comprendre. Je suis un paumé, alcoolique, habillé comme un clodo. Pourquoi voulez-vous que je devienne Assassin ?
John ricana.
-Vous devez vraiment être dans la merde pour recruter des gars comme moi.
Clyde inspira avant de fixer le tableau de bord d’un air ennuyé.
-Ecoute, John Depuis des millénaires, tes ancêtres sont des Assassins. Tous, ou presque tous, ont relevé la confrérie des Assassins quand elle allait mal. Presque tous ont accomplis des actes exceptionnels, face aux Templiers. Et tous sont considérés comme des légendes, dans notre ordre, particulièrement ton plus lointain ancêtre connu, j’ai nommé le grand Arcus Magerlan.
-Je me casse. Je vais me soûler un bon coup pour oublier tes conneries.
-John, attend.
-Quoi ?
-Je ne peux te forcer à nous rejoindre mais tu sais lire ?
-Pour qui tu me prends ? J’ai peut-être pas l’air d’un intello mais je sais lire et écrire.
-Alors prend ça.
Clyde sortit un livre de sa veste. Un vieux livre poussiéreux, épais comme une encyclopédie et débordant de feuillets et de documents en tous genres. Clyde le tendit à John qui le prit et l’examina. Celui-ci fronça les sourcils.
-Qu’est-ce que c’est ?
-Ce bouquin est assez précieux pour te permettre de vivre dans le luxe pendant mille ans si tu le vends. Il est encore plus recherché et convoité que n’importe quel objet du monde et réduirait la Joconde a une simple vieillerie sans valeur. Jette un œil dedans. Lis tout, si possible. Et ensuite, fais ton choix. Vend-le ou viens me voir.
Clyde jeta à John une petite carte sur laquelle figurait son numéro de téléphone et son adresse.
-Je serais là-bas toute la semaine. Tu sauras où me trouver.
John regarda la voiture de Clyde s’éloigner dans la nuit.
La pauvreté c'est caca
Une semaine plus tard .
-Et maintenant , « Le capitaine » va vous montrer ses talents !
Dietrich entra en scène en faisant un bond depuis le dos d'un éléphant . Il fit une roulade au sol et tira sur un vieux casque de l'armée autrichienne qui tomba de l’épouvantail sur lequel il avait été posé .
-Vétéran de la récente guerre , seul sa capacité à tirer et à survivre lui ont sauvé la vie !
Grâce à un système de poulie ils firent monter une sorte de petite roue de moulin sur laquelle avait été pendus plusieurs casques . Dietrich prit son revolver , visa et trancha les ficelles en tirant dessus .
-Aujourd'hui que la paix est revenue , il utilise son arme pour faire rêver les enfants comme leurs parents !
Des servants prirent un long bâton sur lequel il accrochèrent un casque tandis que des servantes venaient attacher les pieds de Dietrich . Il fut soulevé la tête en bas et on le fit tourner à toute vitesse tandis que l'on déplaçait le bâton qui maintenait sa cible .
-Et surtout que cela serve de leçon à ceux qui nous en voudraient ! L'armée prussienne compte suffisamment de tireurs d'élite pour vous renvoyer chez vous !
Dietrich cessa de tourner . Il eut une légère envie de vomir mais il parvint à se contrôler , il calcula à quel point il pouvait être déséquilibré et le fait qu'il se balançait légèrement . Il visa et tira en plein dans le casque qui tomba au milieu de la piste .
-Mesdames et messieurs , « Le capitaine » pour vous , ce soir !
On ramena Dietrich au sol et on l'aida à retourner dans la loge des artistes .
-Je me sens mal , commenta Dietrich en approchant un pot de lui .
-C'est le minimum pour impressionner les clients , lança une jeune femme .
-Merci de ce commentaire utile Alison .
-Alison a vraiment un art pour dire les vérités connues de tous .
-Problème , Meryl ? Demanda Alison .
Alison était une grande flemme blonde aux yeux bleus , le stéréotype de la guerrière nordique . C'est elle qui s'occupait des fauves et qui avait pour rôle de gérer la caisse du cirque . Meryl , quand à elle , était différente . Brune avec un œil vert et un œil bleu , elle était une excellente lanceuse de couteau au moins aussi précise que Dietrich à distance . Les deux femmes savaient s'entendre et avaient accueilli Dietrich de façon cordiale sans plus . Malgré tout cela , il avait réussi à s'intégrer dans le cirque même s'il sentait bien que certains se méfiaient de lui .
-Trop distrait ...
-Anselme .
Dietrich sentit quelque chose de froid contre son cou mais il fit tout pour garder son calme . Anselme était un dresseur de serpents hors norme d'une discrétion incroyable aussi Dietrich craignait qu'un jour celui-ci en veuille à sa vie . Le pistolet du soldat était orienté derrière lui mais il comprit aussitôt son erreur .
-Tu es capable de comprendre et d'analyser le désordre et le mouvement autour de toi mais percevoir quelque chose d'immobile semble bien plus difficile pour tes yeux .
Anselme , grand homme blond et fin , était à côté de Dietrich , l'un de ses serpents n'attendant qu'un signe pour étouffer le tireur d'élite ou lui enfoncer ses crocs dans la nuque . Bien que les deux hommes savaient qu'une fraction de seconde suffirait pour produire deux cadavres dans la pièce , ils ne bougèrent pas de leur place tandis que le serpent retournait s'enrouler autour de son dresseur .
-Je suis un homme d'action , Anselme . Offre moi une plaine bien dégagée et un fusil et tu verras de quoi je suis capable .
-Sauf que les guerres n'offrent pas que des pleines bien dégagées
-En parlant de cela , des nouvelles de la France ?
-Je crois qu'ils veulent monter l'opinion contre nous . La guerre nous attend mais peut être pas la victoire . Ils ont une excellente armée , eux aussi .
-Qu'en penses-tu , toi ?
-Pas grand chose . Je ne comprend rien de la guerre . Des armées qui marchent l'une vers l'autre pour régler les problèmes d’ego de quelques dirigeants . je trouve cela . dénué de sens .
-La guerre occupe les hommes , voyons .
-Et ceux qui ne sont pas des soldats ?
-Je les plains .
-C'est tellement plus simple d'être du bon côté du fusil .
-Ça c'est bien dit ! Tu aurais du voir les autrichiens fuir comme des poules pendant qu'on tirait tout ce qu'on pouvait !
-Mes parents étaient autrichiens , répondit Anselme sans montrer le moindre sentiment .
-Ha Heu .
-Ouais .
[Chargement d'une mémoire]
-Quoi ?! Mahoney ! Je veux une explication !
-Mais Je ne sais pas moi ! Foutez-moi la paix à la fin !
[France , 1759]
-Vladimir ! Tu dois m'écouter ! Hurla une femme d'apparence noble .
-Non . Je . écoutes , ma femme a accouché hier . Je reviens plus tard !
-J'ai donné vie à ce garçon hier aussi ! C'est ton fils ! Prends tes responsabilités !
-Je n'ai jamais voulu de lui !
-Désires-tu que toute la France soit au courant de ce bâtard ?!
-Non ! S'il te plaît ne .
-Alors prends-le , marquis de Lenski !
-Comtesse Lane . Vous devriez plus craindre pour mon honneur que le votre .
-Très bien . J'irais demander au Roi lui-même de prendre une décision .
-Non ! Je . Je vais le prendre .
La comtesse masqua un léger sourire en coin . Elle tendit l'enfant qu'elle portait au marquis qui l'observa avec un air inquiet .
-Comment s'appelle-t-il ? Demanda le marquis .
-Je l'ai appelé Dimitri .
-Dimitri . Dimitri Lane ?
-Dimitri Lenski , rectifia la comtesse avant de disparaître dans la nuit .
Onch onch bonjours
Je sais que ça fait un moment, mais je me souviens que je devais corriger une mission de rock and troll (désolé si ce n'est pas ton pseudo exacte).
Je voulais juste savoir s'il avait été posté et que je dois m'en charger, ou si quelqu'un l'a déjà fait pendant mon absence ?
Mercio
Je ne connais pas rock and troll C'qui ?
C'moi
Homm je n'ai pas encore posté, car je suis en voyage la plupart des vacances
Mais je le posterai dès que j'ai du temps
Okay pas de problème.
Je ne serais pas là en aout par contre, alors si tu la poste pendant lors de mes vacances, un autre MJ se chargera de te corriger.
Bilbo ---> C'est mon seul apprenti, alors que j'ai été maitre principal du jeu lors de l'ancien JDR pendant de longs mois
Commentaire sur mon dernier texte ? ~ ~
Dimitri est un enfant adopté
Comme ton commentaire brise tous mes espoirs
J'ai lu un grand nombres de vos textes et je les trouves M.A.G.N.I.F.I.Q.U.E
Franchement Bravo
Sa me donne envi de m'y mettre
Bah c'est cool si on t'inspire
même s'il y a pas grand monde ces temps-ci
Ouais il y a personne
fFlamme : d'ailleurs tu n'as pas noté mes nouveaux textes
Beaucoup de personnes sont partis en vacances