Désolé, mais j'abandonne le concours, je suis en manque d'inspiration et dès que j'ai une idée, je n'arrive pas à la développer ! Encore désolé Portal
HS: je viens de découvrir ce topic et ça a l'air super
Mais je suis malheureusement en voyage et je ne peux donc pas participer
Il y aura-t-il une prochaine édition ? ( afin que je puisse voir jusqu'où je peux aller)
Bien sur
Le jeu coule ou ?
"blaksadd
Posté le 4 juillet 2012 à 23:36:00
Bah je suis rester sur le bar Abstergo pas mal de temps quand même, je me rappelle de tout ce joli monde, Spyko, Trichelieu, des ezios différents, et j'en passet et j'en passe et surtout Bryan avec qui je garde de superbe souvenir, d'ailleurs je l'ai en ami sur fb, et je rage de pas avoir plus de nouvelle Je lui en demandait du bar parfois."
Envoie-moi un message sur FB.
Sinon, on peut toujours écrire ?
Ah mais il faut s'inscrire, j'aime pas quand il faut s'inscrire, les obligations c'est pas trop mon truc.
Je suis en ce moment en train d'écrire ma petite (en fait un peu longue ^^) fic, j'ai jusqu'à quand exactement pour la poster ?
Salut tout le monde
Ayant un énorme problème de connexion, je suis plus en mesure de continuer le concours (en plus, je pars en voyage mercredi)
Donc voilà, je m'excuse et j'espère pouvoir revenir vite !
Je commence l'écriture de ma fic
On a jusque quand
Bien que le canon de son arme soit braqué sur ma tempe et malgré ma mort imminente, je me sens serein. Je sais que contrairement à lui, je ne vais pas mourir coupable…
Un jour pourtant comme tous les autres se déroulait au camp de Majdanek lorsque tout commença. Les juifs arrivaient toujours par centaines, voués pour là plupart à une mort certaine que je ne pouvais empêcher. Voir tous ces gens marcher vers la mort me dégoutait… Mais avais-je le choix ? Nous sommes le 13 juillet 1944. D’après les informations qui circulent, 45 000 juifs auraient finis en chambre à gaz. Depuis mon statut de médecin de camp, moi, Jan Nowak, j’avais certainement vu défiler tous ces gens vers la mort. J’eus beau tenter de raisonner le commandant de camp, Arthur Liebehenschel, je ne parvins jamais à épargner la vie du moindre blessé, du moindre malade.
C’est en ce jour que la jeune fille fit irruption dans mon local, dans ma vie. Elle devait avoir une dizaine d’années, tout au plus. Drora… Elle me raconta son histoire, de la mort de son père handicapé à celle de sa mère en chambre à gaz, passant par celle de son grand frère qui s’était malheureusement cassé la jambe. Toutes ces horreurs… Tous ces meurtres… Et malgré cela, l’espoir persistait en cette jeune fille. « Drora signifie liberté » m’avait-elle confié. « C’est mon destin d’être libre » avait-elle ajouté.
Liberté… Existe-il vraiment une liberté ? Non. J’avais longuement médité sur la question. Que l’on soit juif, soldat, médecin, général, dictateur, innocent ou même extérieur à cette guerre, la liberté n’existe pas. Nous sommes tous confinés sur cette terre qui nous fait office de prison. Quoi que l’on veuille, quoi que l’on fasse, quoi que l’on ait fait, nous resterons à jamais prisonnier. Prisonnier de quoi ? , direz-vous. Eh bien… prisonniers de nous. La liberté n’est qu’un terme inapte à fonctionner, un terme fictif. Nombres sont ceux qui croient en la liberté… Tous autant qu’ils sont, ils se leurrent.
Je ne pouvais me résoudre à conduire cette jeune fille à la mort, si bien que dès que les gardes eurent le dos tourné, je la fis passer sous le treillis faisant office de barrière. « Cours, ne t’arrête jamais. Rejoins le village le plus proche. Dis que tu es la fille adoptive du docteur Lautner. Quand tu le rencontreras, remet-lui ceci, il comprendra ». J’avais tendu à Drora une lettre expliquant à mon confrère ce qu’il fallait faire de la petite. Je l’avais signée de mon nom et datée du 13 juillet 44. Ce fut ma dernière erreur.
16 juillet 1944. Une patrouille est rentrée au camp, demandant à s’adresser au commandant. Une heure plus tard, il me rendait visite. Drora était à ses côtés. Je compris à l’instant ce qui allait m’arriver, ce qui était déjà arrivé au docteur Lautner par ma faute. Il me fit sortir du local et me fit signe de m’agenouiller. Il tira. Drora s’écroula, son sang éclaboussa mon visage. Il prit un sourire carnassier, comme si il y avait trouvé du plaisir, ce qui ne m’étonnerait nullement. Drora…
Le commandant pointa le canon de son arme sur ma tempe. Soudain, mon esprit s’éclaircit. La liberté existe. J’ai été idiot de le nier. Comment acquérir cette liberté ? C’est bien simple… par la mort. Drora a réussi, elle est devenue libre. Une détonation retentit. Je ressentis une horrible douleur lorsque la balle pénètra ma peau, puis mon crâne. C’est ça, le prix de la liberté.
Le 17 juillet 1944, le camp de Majdanek fermait ses portes.
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Voilà ma nouvelle
Je tiens à préciser que Jan Nowak, le commandant Liebehenschel et le camp de Majdanek ont réellement existés. Drora est un personnage fictif, tout comme l’histoire qui tourne autour. Le camp de Majdanek a réellement fermé ses portes le 17 juillet 1944.
J’espère que ça vous a plu
Bon, bah je m'y mets.
Je suis un prisonnier, pas un prisonnier comme un autre. Un prisonnier de naissance. Oui, je suis né ici. Ma mère, prisonnière de guerre à accouché en prison. Et étant donné que je suis son enfant, ayant ses idéaux, je subis avec, dans cette petite pièce insalubre où nous passons toutes nos journées. Je n'ai pas de jouets, pas de livres, pas d'amis, aucune occupation. Peut-être une enfait, écouter ma mère parler des étoiles. Je ne peux les voir, étant donné qu'il n'y a pas de fenêtre dans cette sombre cellule. Ma maman m'en parle comme d'un chose magnifique, que les gens ne prennent même plus la peine de regarder, trop absorbés par leurs petites affaires. Pourtant moi je veux les voire, leur liberté me fait envie.
-"Tu les verra, c'est certain! Me dit-elle en souriant à chaque fois que je lui demande."
Et chaque soir, je me couche sur ma petite paillasse, le ventre vide, en espérant que demain je pourrais sortir.
Il m'arrive de rêver de pouvoir appercevoir les étoiles flotter dans le ciel...un ciel qui serrait d'une couleur "bleu marine", couleur qui ne m'évoque rien, comme le vert. Du rouge j'en ai déja vu sur mon genoux quant je m'écorche, et mes cheveux on la couleur du soleil. Pourtant, de plus en plus, il virent fatalement au gris. Couleur que je déteste, et dont mon monde est fait.
Un matin, je me réveil, ou plutôt on me réveil, ma mère me secoue. Et quant j'ouvre enfin les yeux, elle me susure à l'oreille :
-"Ce soir, tu verra les étoiles, car nous allons être libérés!"
Je bondis comme un cabri fou hors de ma couche, et me mets à danser, de joie, d'allégresse. Nous allons être libérés, contre la libération d'autres prisonniers, des prisonniers ennemis. À midi tapante, il nous font sortir de cellule, et nous chargent dans une diligence fermé, privé de fenêtre. Je ne peux pas appercevoir l'extèrieur, mais je me ressaisis, bientôt je le pourrais!
Notre caravane avance depuis des heures, enfin je pense, car cela faisait longtemps. Soudain, un fracas résonne, j'entends un hennissement qui m'est inconnu. Puis des bruits assourdissant retentissent, je ne sais pas ce que c'est, mais ma maman panique, et je fais de même. Puis notre convoi se renverse, et le bois se brise. Je tombe sur le dos, et apperçois ce que l'on appel le "ciel". Sa couleur est magnifique, mais il s'assombrit de plus en plus. Je comprend que la nuit tombe. Je n'entends plus rien et tente de me relever. Je hurle de douleur. Quelque chose c'est enfoncé dans mon ventre, me clouant au sol. La douleur fait désormais place à l'alégresse. Mes yeux commrnce à se fermer. Non! Je dois tenir, pour voir les étoiles. Je ne bouge pas, attends, résiste à la fouleur et à la sensation d'être happé. Le ciel est sombre. Un point lumineux apparait. Mes yeux se ferment, définitivement.
"On se rend compte rend compte de la richesse de la liberté seulement quand on la perdu, ou qu'on en est privé"
Encore une fois, MisterAZ, j'aime beaucoup
Félicitations
Si c'est encore possible, je posterais demain.
Merci dark. Je lis tout les textes demain.
Altaïr ton texte est magnifique, un très bon scénario, et une très bonne réflexion sur la liberté.
Dark Franchement, super, j'adore quant sa fini en mode desespoir, et on voit que t'a fait des recherches sur le sujet. Pareil que Altaïr, j'aime bien ta façon de voir la libertée.
Ellya Tu écris vraiment bien, ton style est un peu bizarre je dirai, mais on s'y habitue vite, et ton immagination te fait vraiment gagner des points. Tu uyilise très bien les répétition, et tout le taratouin (dsl, je suis nul en Français) tu donne un rythme à ton récit, ce qui fait qu'on peut le lire jusqu'au bout avec facilitée.
On vote aujourd'hui ( Jeudi)
Vers 18h..
M'enfin,si vous etes d'accord.
19h30 comme la dernière fois serait pas mal.
1H30 en plus me seront utiles.