Ah ok
La fin mercredi j'ai cru comprendre ?
Ok alors le premier qui écrit sur Bachar al-assad je pirate son compte. :pp:
Bachar al-assad ?
Bon allez c'est parti
On est d'accord, pas obligé que ce soit le même thème qu'ACIII ?
Bah oui, liberté, Bachar al-assad, c'est logique non?
Comme j'ai rien à faire (pour une fois ) je vais tout de suite écrire et le posterai ma nouvelle juste après
Ambiance http://www.youtube.com/watch?v=TptR3r0xXfc
LIBERTY
June, 24th, 1901, 8h00 PM
Aujourd'hui, c'est mon anniversaire. Je fête mes 30 ans. Seul. Je regarde l'immensité du paysage américain depuis les barreaux de la fenêtre de ma cellule. L'extérieur...il me semble s'être passé une éternité depuis que je l'ai quitté. Depuis...que je l'ai quittée...elle... Qu'est-elle devenue ? M'a-t-elle oublié ? Cela fait 360 jours que je ne l'ai pas revue...360 jours que je suis enfermé ici, à attendre... 360 jours que le Diable en personne me sourit de toutes ses dents... Mais c'en est fini dans très peu de temps... Le soleil se couche et réveille ainsi la Lune. Si belle, mais pourtant si simple. Jamais je n'oublierai...jamais je ne pardonnerai l'Homme et la vie. Car je suis innocent... "Ils disent tous ça" avait dit le Juge...
May, 19th, 1900, 11h23 PM
Je le voyais au milieu du cimetière.
"-Johnny...ne fais pas ça je t'en pris...ne tire pas... suppliais-je.
-Ça sert à rien !! Elle est morte Russel !! Morte !! Elle pourrit à six pieds sous terre !! criait-il.
-Hey, mon ami...pose ce flingue, tu n'y es pour rien, elle non plus... Souviens toi...tout ces moments qu'on a passé ensembles...ne gâche pas tout...pose ce foutu flingue par terre et recule de trois pas...je t'en prie...
-NAN !! Si t'avais pas ba*sé avec elle on en serait pas là !! C'EST DE TA FAUTE !!!
-Ce n'est pas moi qui l'ai fait !! Tu finiras par le comprendre !! Joe et le reste du groupe l'ont fait !! Moi je les en empêchais ! A ton avis d'où vient cette putain de cicatrice sur mon bras ?? Lâche ce bordel de foutu revolver !!
-Je t'aime Russel...je t'aime... Mais tu t'es foutu dma gueule...tu vas le payer...ce flingue, c'est le tien...celui d'avant...tu te souviens..? Tu me l'avais offert... Bonnie...je t'aime...
-John NON !!"
Un coup de feu se fit entendre, il résonna dans toute la vallée... Qui vait tiré sur qui...j'avis l'impression de mourir... Je vis alors son corps s'écrouler au sol... Il avait tiré... Son crane à moitié ouvert formait diverses ruisseaux de sang...tous avançaient lentement vers la tombe de sa femme... A genoux, je pleurais le sort de deux malheureux individus...
Voilà les réels faits. Pourtant les personnes s'occupant de mon jugement ne l'ont pas cru. Enfermé 1 an.
Mes pensées sont alors distraites par un soldat qui passe un plateau comportant du pain et de l'eau par une trappe dans la porte. Je croque dans le pain...répugnant, je le lance par la fenêtre. Je bois l'eau, et me couche.
(changement de musique)
http://www.youtube.com/watch?v=oIO_ZbZZAPY&feature=related
Lendemain, 12h18 AM
Je sors enfin de cette maudite prison. Ma simple chemise et mon jean usé me redonnent déjà le sourire. Mais le meilleur est de ressortir dehors... Sentir le vent caresser son visage... "Life's good right ?" me dit un homme d'une classe riche. Je lui adresse un signe de tête, en gardant ce sourire de jeune époux sur mon visage.
Je m'approche des écuries et y retrouve mon cheval. Il hennit et gratte le sol de ses sabots ferrés... Quelle joie... Je retrouve ainsi mon compagnon de route... Je le chevauche, je n'ai pas perdu la main ! Je commence à le faire galoper jusqu'à chez moi... Et toute la journée, je me rapproche de ma femme, ma belle et tendre femme... Mon cheval n'en peut plus, mais il doit continuer, je lui murmure des encouragements à l'oreille, cela ne sert sûrement à rien, mais je suis certain qu'il apprécie m'entendre à nouveau lui parler. Ahh liberté chérie...tu m'as manquée... Et nous avançons au rythme du vent, accompagné par la joie de Dieu, nous sommes libres, forts et vaillants ! Nous ne redoutons rien !! Je crie !! Je rigole !! "YIIIHHAAAA !"
http://www.youtube.com/watch?v=b0mYh4yycaY
Même jour, 7h56 PM
Et je vois au loin la cabane. J'arrête mon cheval, il ne tient plus debout, "Bon boulot Tommi !". Je cours vers ma maison, j'en ai les larmes aux yeux !
Et tandis que je cours, je vois. Je vois le potager asséché. Je vois la maison salie. L'herbe haute. Mes outils de travail éparpillés... Elle n'a pas pu s'occuper du jardin voilà tout !
Mais il m'est impossible de comprendre et de m'avouer ce qui se passe réellement. Je rentre. Personne ici, et la porte est déjà ouverte. Du sang, pleins le sol. Du sang sec. Mes larmes de joie se transforment en larmes de tristesse et de désespoir. Mon corps s'effondre de lui-même sur le plancher. Aucun corps, mais un lettre au milieu du sang. Ne pouvant la prendre, au risque de la déchirer étant donné que le bas est encré dans la sécheresse du sang, je m'allonge et lis la note.
"Mon cher Russel,
Toutes mes condoléances. Ta femme vient de mourir après avoir été violée par moi, Jack et Dennis. On n'a pas apprécié que t'aies vendu la mèche à John, ou Johnny comme tu l'appelais. Bref, ta femme est morte et je t'emmerde. J’espère que le restant de tes jours est sur le point de s'achever. Adieu mon p'tit enfoiré.
PS : son corps est dans une fosse au Mexique"
Après avoir lu ça une bonne dizaine de fois, je ris.
"-C'est une plaisanterie !! C'est une foutu plaisanterie ahahah... Ma chérie où es-tu ? Allez montre toi !! Ahahah"
Je ris nerveusement, mais mon rire se métamorphose bien vite en sanglots. Je pleure à présent.
"-Dites-moi que c'est une foutue blague...bordel...UNE PLAISANTERIE !!!".
Je prends la note, un stylo et écris au dos.
"Voilà ma définition de la liberté : La Liberté est un sentiment ressenti par un homme qui la découvre ou par un homme qui en a été privé un certain temps. Celle-ci se caractérise par un mélange de joie, d'excitation, d'enthousiasme et d'appréhension. C'EST la liberté. Etre libre de pouvoir faire ce que l'on a envie. Mais nous avons vu ici que la liberté peut corrompre le coeur du plus honnête des Hommes. Elle peut faire voir l'envergure d'une situation improbable et le dépaysement de l'inconnu. Elle donne lieu à toute sorte d'atrocité. Si quelqu'un commet un meurtre, c'est parce qu'il se sent dans la liberté de pouvoir le faire, bien qu'après, il puisse risquer des suites. La liberté a fait naître grand nombre de conflit. Une guerre de territoires par exemple, se caractérise par la liberté du peuple et de ses oppresseurs qui se sentent libres de prendre le territoire. La liberté est mauvaise et se joue des Hommes.
Si ces mots vous semblent incohérents, ou pire, incompréhensibles, il ne vous aura servi à rien de lire ceci, vous pouvez donc vous arrêter. Si vous avez compris le sens de mon explication, je suis heureux de constater qu'il y a encore, et peut être toujours, des Humains se rendant compte de la stupidité de leur espèce, du monde et de leur vie. Des Humains compatissants et...humains tout simplement. Nous sommes UNE race. Une race se doit de tout faire pour survivre, quitte à éliminer certains membres D'AUTRES races. Mais en aucun cas une race doit s’entre tuer. C'est ce que l'homme fait. A-t-on déjà vu deux bêtes sauvages se tuer par plaisir ou par une tout autre raison ? Je crois que la réponse est non. A ceux qui liront ceci, n'oubliez jamais que je suis comme vous. Et que même dans l'au-delà, je garde un oeil sur cette note.
Russel Gardens."
(coup de feu)
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Qu'en pensez vous ?
PS : je sais que c'est court mais je suis pas super inspiré en ce moment
Au contraire, la longueur me semble parfaite
C'est un bon texte, bien écrit. Je ne peux que te féliciter
C’était un jour d’été comme les autres. Un jour où le soleil frappait. Un jour où les fleurs s’épanouissait. Un jour comme chaque jour où Jim se réveilla à 7 heures tapantes. Un jour comme chaque jour où Jim s’habilla de son habituel costume gris accompagné d’une élégante cravate noire. Un jour comme les autre où Jim ouvrit ce tiroir près de sa sinistre porte noire qui lui servait d’entrée. Un jour comme les autres où il sortit une arme à feu , un 9 mm et un appareil photo instantané qui accrocha autours de son cou . Jim sortit dehors , cachant soigneusement son pistolet derrière son pantalon et marcha le long du couloir.
Il sortit de l’immeuble froid qui contenait son appartement et se mit à marcher au milieu de la route de la
5 ème avenue , comme à son habitude.
Tout en marchant fièrement il regarda autours de lui et comme toujours ils voyaient de faible personne se faire volé , se faire agresser physiquement ou sexuellement. D'innombrable tags étant la preuve de la stupidité de cette société. Comme à son habitude Jim prenait en photo ces scènes de la vie quotidienne.
Il prit la grand-mère de 80 ans entrain de se faire voler son sac , la jeune fille d’une dizaine d’année se faire accoster par un étrange homme cachant derrière son dos courbé , des cordons. Les photos sortirent de l’appareil .
Jim les observa avec pitié mais ces gens devait payer de leur naïveté , de leur espoir enfantin.
Il les observa encore une dernière fois et les jeta en l’air . Il continua alors à marcher seul, droit devant lui . La rue était rempli de vandales , de jeunes personnes recherchant de l’adrénaline , et de Jim.
Il continua à prendre des photos de chaos , d’amour , de joies et de peine…
Il continua sans gêne à les lancer en l’aire .
Petit à petit , les photos prises traçaient le long chemin qu’empruntait quotidiennement Jim.
Tout cela ne le désolait point. Non. Tout ceci , l’humanité l’avait cherché en poussant leur imagination du monde parfait jusqu’à arriver à cette conclusion enfantine et stupide. La liberté pour tous…
Jim s’arrêta devant vous et moi . Il nous fixa , eu même un rictus sarcastique.
- Regardez ….Regardez ce que vous demandez.
Il nous montra à vous et moi une photo d’une femme à terre , la tête trouée par une balle qui était ressortit et gisait dans une marre de sang.
- Un jour quelqu’un à dit que la liberté de quelqu’un s’arrête quand commence celle des autres….Ce n’est plus de la liberté mais du contrôle.
Ceux qui disent que la liberté doit posséder des lois sont des menteurs ! La liberté existe mais vous avez vus le résultat.
Jim sortit son arme et nous pointa.
Son petit 9 mm comportait sur sa crosse une petit croix rouge ….
- On a voulu laisser le choix à l’humanité , voilà le résultat…
La liberté apporte peut-être bonheur à certain mais aussi malheur….
Elle entraîne notre civilisation à une déshumanisation
Tout cela car vous avez crus que le libre arbitre du peuple les sauverais….
Jim rechargea et tira sur vous et moi sans aucune émotions sur son visage.
La liberté n’es pas la meilleur solution pour nous. C’est ce qu’ILS pensent , EUX.
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Voilà .
Bon ce n'est pas mon meilleur texte, je n'étais pas très inspiré par le thème.
a choisir, je prefere le texte de altair à celui d'elyya, mais c'est vrai que les deux sont bons. Mais le sujet est pas facile
On m'ordonnait de me mettre au sol, de me saisir d'une pioche, d'entrer dans la galerie et d'avançer le long d'un espèce de long couloir sombre, emplie d'une chaleur pesante. De petite lampe à huile éclairaient de temps à autre les poutres en bois, abîmées et poussiereuses, dévorées par les termites.
On me présentait en vitesse les piètres couchettes en paille qui devait me servir de lit. Ces petit dortoirs, à l'odeur de charnier et d'excréments, cette "nourriture" d'une texture et d'un goût ignoble, que l'on nous sert une fois par jours, ces autres condamnés, à l'air épuisés... Et ces gardes vétus d'un tissu de sang, nourris à la propagande d'un Empire de dépravé. "Tu serviras la couronne jusqu'a ta mort", m'avait on dit à la fin de mon court jugement.
Extraire du fer pour les baïonette de "soldats" anglais, d'une bande de tueurs ne dégagant rien d'autre que l'odeur de la mort. Quelle belle avenir. Il ne m'aura fallut "qu'une" vingtaine d'années pour me rendre compte que l'enfer existe bel et bien. Car l'enfer est sur terre, et pas décrit comme dans les livres et les sornettes d'un réverant aveuglé par des siècles de mensonges.
J'allais connaître l'enfer durant le reste de ma misérable vie, enfermé dans une mine pleine de criminels et de fou.
"Tu mourras le front en sueur et les mains en sang !", me criait un de ses soldats alcooliques, prit dans un sentiment de supériorité face à un pauvre prisonnier munit d'une simple pioche éméchée. Mais je l'avais compris bien avant que cet idiot ne me sermonne. Ma vie deviendrait un calvaire jusqu'a ma mort. J'espèrai qu'un de ces cinglés m'aurait tranché la gorge avec un surin avant que je ne meurt d'épuisement.
La chaleur était insuportable. Mon sang bouillait et mes vêtements de lins me collaient à la peau. Mes mains et mes pieds étaient écorchés. Je maigrissait à vue d'oeil, et priait pour que Dieu me rapelle à lui.
J'avais été condamné pour "haute trahison" par la juridiction britannique, pour avoir donné des renseignements aux révolutionnaires et leur avoir loué un endroit pour cacher un régiment de soldats. Cet acte normalement passible de mort m'avait valut la "chance" de travailler en forçat pour les anglais. Dans des conditions épouvantables, bien entendu. Je m'étais battu pour la liberté. Battu pour un idéal. Mais je n'ai récolté que le malheur et l'enfermement.
La liberté n'existe pas, finalement. Et pour personne. Que l'on soit enfermé ou dehors, nous ne sommes pas libres, et ne le seront jamais. Celui qui gambade, fougueux, à l'extérieur, n'est pas plus libre qu'un prisonnier. Car il dépent de personnes qui lui sont "supérieurs". Qui le font vivre. Un prisonnier ou un forçat et coincé entre quatres murs. A la merci de gardes violents. Nous sommes tous prisonniers de quelque chose ou de quelqu'un. Et se battre pour la "liberté" est absurde.
Mais malheuresement, mes yeux ne s'ouvrent qu'aujourd'hui. Et je meurs ...
Voila, court et pas super, mais en manque d'inspirtation malgrès un sujet plutôt large
M'okay, les fautes de CM2 dès les premières lignes de mon texte
Misère ...
Ils étaient 10000 à se battre, à mourir, à être affamé dans les champs de batailles, dans les guerres et dans les camps. Et tout ça pour quoi? Pour la liberté? Mais est-ce qu'êtres libres changeraient leurs vies, est-ce que leurs veux seraient exaucés? Non. Mais les discours des généraux avaient suffit à leur faire croire que leur monde changerait, et que le bonheur les envahirait.
Ils étaient 100 à commander, à entraîner, à former dans les camps et seulement les camps. Ils restaient à leurs places, tel un capitaine qui meurt avec son bateau. Mais pourquoi travaillaient-ils? Pour la liberté? Allait-elle les bénir? Ou allait-elle leur exauçait le souhait qu'ils soient en famille après la guerre? Non. Mais les discours du gouvernement avaient suffit à leur faire croire que leur monde changerait, et que le bonheur les envahirait.
Ils étaient 10 à boire, à chanter, à travailler pour rédiger une déclaration. Mais pourquoi l'écrivait t-il? Pour la liberté? Allaient-ils devenir plus riches? Allaient-ils avoir plus de pouvoir? Oui. Et qu'importe s'il perdait la guerre. Eux, ils pourraient quitter le pays en moins d'une semaine. Et le discours du "bon" président avait suffit à les rassurer, ils seraient plus riches et plus puissants.
Il était seul, à boire son café, à s’entraîner à lire des discours déjà écrits, à gouverner. Mais pourquoi gouvernait-il? Pour la liberté? Allait-il avoir la place la plus importante du pays? Allait-il pouvoir finir sa vie dans le luxe? Oui. Et qu'importe que la guerre se termine ou non, il pouvait se faire inviter dans tous les pays du monde. Et sa future récompense avait suffit à convaincre tous ses subalternes de se battre à sa place.
Ce ne sont pas ceux qui travaillent durement qui sont les plus récompensés ou qui profiteront de la liberté, mais ceux qui ont piqué la plus bonne chaise.
Putain, cela faisait quelque chose comme trois heures que je
me débattais comme un damné dans cette satanée jungle,
arrachant les ronces, mordant les lianes.
J'avais totalement perdu le contrôle de moi-même.
Je tachais alors avec toute ma raison d'homme de me
ressaisir, car je savais que je me trouvais dans une
situation très dangereuse vous voyez. Enfin bref, après
quelques instants la colère était retombée. Les idées
redevenaient à peu près claires, et la situation m'apparut
comme cela: je ne voyais pas le bout de cet enfer et il
allait très certainement m'anéantir, de plus, je me vidais
dangereusement pour rien parce que je ne savais même pas où
j'étais et où j'allais.
Je pris alors la décision de grimper un arbre afin d'avoir
une vision assez précise de l'endroit où je me trouvais et de
la marche à suivre. Ici-bas on n'y voyait pas plus loin que
les gouttes noires de son front. Je choisis d'entreprendre
l'ascension d'un de ces arbres millénaires, dominant les
leurs de par leur taille colossale.
Au bout de quelques heures, exténué, j'avais enfin atteint une hauteur suffisante
et, appréhendant l'arrivée de la lune et des prédateurs
qu'elle excite, j'entreprenais de dormir sur cet arbre-mère,
dont les bras par milliers formaient autour de moi sans doute
la meilleure protection qu'un homme puisse trouver dans cet
endroit sauvage. Je me rendis compte qu'après le crash de
l'hélicoptère, je n'avais même pas progressé d'un km. Je
pouvais voir son épave, comme une mouche fumante à laquelle
on aurait arraché les ailes. Il n'était absolument pas
question de continuer à pousser comme un aliéné dans cette folie de jungle écrasante qui tournoyait de part et d'autre.
En fait, j'avais une bien meilleure idée. Une rare qui m'était venue d'un seul coup, toute complète.
J'allais construire une sorte de parachute qui me poserait tout en douceur dans l'espèce de rivière la que je voyais d'assez loin. Et oui, c'était ça mon idée de génie pour sortir de là,
sauter dans le vide en parachute dans une rivière en plein
milieu de la jungle, peu importe que le courant m'eut
emporté, que des crocodiles m'eut déchiquetés. Vous l'aurez
compris, ma tête étaient à ce moment-là sérieusement touchée,
ce four oppressant et hostile avait alimenté en moi un désir
inconnu, le fantasme aquatique. Cette fine
silhouette verte et bleue à l'horizon me faisait des avances subtiles. Chaque petite cellule de mon corps hurlait à l'agonie, au grand plongeon ! Bref je mourrais de soif, et je délirais en plus.
La tête me tournait affreusement et je finis par m'endormir
d'un coup sec.
La nuit avait passé les hiboux avaient roucoulés tout ça bref la jungle quoi, et je me réveillais petit à petit par couches de prise de conscience. Bordel de merde mais comment j'étais arrivé là. Hier matin j'étais encore dans ma chambre et là... J'étais ici, sur quelques petits troncs en suspension dans les airs au dessus d'une jungle. J'en revenais pas.
C'était le matin, et je pouvais voir que la jungle du bas était recouverte d'une brume épaisse et sûrement très humide. A vrai dire je ne voyais même plus la jungle, c'était terrible, j'étais entre deux ciels.
Voila fini pour aujourd'hui, ça intéresse quelqu'un d'avoir la suite ? Je pense faire rencontrer à cet homme un indien habitué à la jungle.
Snuffy_is_back ---> Tu ne t'es pas inscrit au premier tour ...
Et ?
Est-ce possible de m'inscrire maintenant ?
Non, c'est le principe du jeu. Personne lis jamais les règles ou quoi ?
J'allais dire la même chose que Benji... C'est pas compliqué de lire les règles. Puis franchement, c'est l'intêret du jeu quoi ...
A ce momment la je perd, je prend un autre pseudo et je me réinscris au tour suivant