j'avoue que ce film me donne bien envie
J'ai vraiment hâte
Pour donner encore plus envie à The Go :
" C'est dans un noir et blanc splendide que se déroule ce film impressionnant et implacable. On le situe quelque part dans la lignée du Losey des Damnés, ou de La Nuit du chasseur de Laughton, à cause de la figure maléfique du prédicateur. D'un Clouzot. D'un Bergman naturellement, tant planent la hantise du péché et une sexualité mortifère. Mais Le Ruban blanc assène un ton particulier, avec ses bourreaux aux yeux bleus et tignasses blondes. "
Le Monde.
il y a une avant première lundi dans mon cinéma
Avant première jeudi dans mon cinéma
demain ?
tu le verras avant moi
Losey, Bergman, Laughton
j'en peux plus
Et ouais, demain, critique en avant première garantie vers 23h
j'espère qu'il mérite sa palme (à côté de un prophète)
Pareil ^^
Il est temps je pense ^^
Hier j'étais trop songeur pour poster une critique, je n'étais pas décidé quand à la note, à mon avis final, j'étais confus tout simplement, mais dans le bon sens du terme.
En ayant pris le temps de réfléchir plus en profondeur au film, d'en discuter surtout, sa beauté et sa force ne m'en sont apparues que grandies.
Le problème est ici que je ne peux parler de ces choses sans spoiler, donc je ne le ferai pas, j'en reparlerai quand tous ceux qui veulent le voir l'auront fait.
Pour parler de la technique, la photo et la mise en scène sont simplement à pleurer, un régal de tous les instants, le son est discret mais toujours bien utilisé, les acteurs épatants, le scénario assez génial, tout est là ^^
Le rythme du film, s'il pourra en ennuyer certains, m'a beaucoup plu, j'ai trouvé que pour la durée assez conséquente du film, il n'y a presque aucun moment où il ne se passe quelque chose d'intéressant. Il me sera malheureusement difficile d'en dire plus ici sans spoiler encore une fois.
Je me permets de revenir sur la mise en scène, bluffante, Haneke variant habilement un maximum de techniques et de mouvements, par exemples les travellings sur les personnages sont magnifiques. Tout ça me donne en tout cas très envie de voir d'autres films du réalisateur.
En tout cas, j'ai préféré le film à Un prohète, pas de déception, je trouve donc logique les deux nominations. Assurément un des très grands films de cette année, en tout cas pour ma part.
9/10
"travellings", le mot qu'il me fallait
J'essaierai de le voir
T'attarde pas trop sur ça non plus ^^
Mais je les ai vraiment apprécié, jamais très longs, mais toujours beaux.
Même s'il est tout seul, un beau travelling est une raison suffisante pour que je vois un film
Je comptais le voir de toute façon
Ah ok, l'obsession des travellings
A l'arrache je dirais qu'il doit y en avoir 4 ou 5 et qu'aucun n'atteint la minute, mais ils sont beaux, et surtout ne sont pas les seuls passages avec des techniques intéressantes ^^
Le travelling latéral, lent et régulier dans un film en noir et blanc, c'est mon pêché mignon, je peux pas y résister
disque
sinon je le vois toujours lundi, j'ai hâte, j'espère que je vais adorer
mais ta critique est super encourageante blazco
Disque > EWS c'est un peu une leçon de travellings et tu n'as pas aimé.
Tu ne les as même pas relevés.
Haneke pourtant c'est plutôt du plan fixe en plan séquence, avec une composition chirurgicale des plans. Mais si en plus il arrive à mettre quelques travellings bien sentis
les plans fixes de caché