Foot - FIFA : Vers une suppression des hymnes
Joseph Blatter, président de la FIFA, envisage de supprimer les hymnes nationaux joués au début des rencontres internationales. Il suggère également de faire jouer, à l´avenir, des matches de barrage, comme celui entre la Turquie et la Suisse, sur des terrains neutres, dans un endroit «où l´ordre pourra être assuré».
Interrogé sur les sifflements qui ont couvert l´hymne suisse avant le match retour entre les deux pays mercredi dernier à Istanbul, M. Blatter a répondu qu´il les considérait comme «profondément irrespectueux, et comme évidemment une diffamation de la fierté nationale».
«Je me demande en conséquence, si cela a encore un sens de jouer les hymnes nationaux respectifs», a-t-il ajouté, précisant qu´une réflexion à ce sujet était en cours à la FIFA. «Lorsqu´un nationalisme exacerbé s´ajoute à la passion et à l´émotion, cela devient explosif, et c´est pourquoi nous pensons supprimer les hymnes», a souligné M. Blatter. Lors du match aller, le 12 novembre à Berne, l´hymne turc avait aussi été sifflé par le public.
M. Blatter suggère également que «les joueurs se serrent la main à la fin d´une rencontre». «On ne peut pas accepter que les joueurs à la fin d´un match ne puissent pas se réjouir d´une victoire, et détalent comme des voleurs», s´est-il exclamé en référence au match Turquie-Suisse. (Avec AFP)
http://www.gamuz.com/ c´est tripant
les allemands ils sont content parcequ´ils ont reussi à faire 0-0?
"Nos jeunes en défense ont réussi à museler des attaquants de classe mondiale comme Thierry Henry ou David Trezeguet, c´est une très bonne expérience pour eux.» "
si il etait pas revenu de martinique et que ça avait pas été amical, je doute que ça se soit deroulé pareil
La france a joué un match amical.Moi je dis que il ont joué sans vraiment se donné à 100%
pour moi il etait à 60%
ça va ! allez les bleus and
vive la france tu as raison
Vous avez vu dans téléfoot robert pires veut revenir et j´espere qu´il va revenir on en a vraiment besoin de lui car il apporterait beaucoup de choses c´est sûr
Oui je suis d´accord mais reste que Domenech accepte !
aah merde j´ai loupé ça
allez Robert !! !
ce serait trop bon!!!!
il manque plus que lui
vous vous rendez compte, on a une des meilleurs attaque au monde :
Trezegoal, Henry, anelka, cisse
le milieu de terrain aussi un des meilleurs:
Pirès à gauche zizou au milieu wiltord à droite
makelele et viera juste deriere
la defence thuram, gallas
me dites pas que on a pas de quoi rivaliser au mondiale avec ça et qu´on a pas de quoi battre les plus grandes
Domenech sur le plateau de canal+ n´a pas pu voir ne pas voir Ismael et Micoud ce soir
tiens il y a le 1er "voir" à virer de ma phrase lol
LA FRANCE ÉVITE LE PIRE Tirage du 9 décembre
Le précédent de 2002 et le profil de leurs adversaires oblige les Bleus à une certaine prudence avant d´affronter la Suisse, la Corée du Sud et le Togo au premier tour de la Coupe du monde. Mais l´équipe de France sait qu´elle a eu un tirage très abordable. L´Argentine, l´Angleterre ou même le Brésil ont eu beaucoup moins de chance.
La Suisse se rapproche de la vérité
Moins de quatre ans après la catastrophe de 2002 et moins de deux mois après la quasi défaite des Bleus à Berne en éliminatoires (1-1), il faut saluer d´une élémentaire prudence le sort réservé à l´équipe de France pour le premier tour de la Coupe du monde allemande. La Suisse, la Corée du Sud et le Togo formeront avec elle un groupe G aussi difficile à palper que celui qui lui fut proposé en 2002 pour un échec historique. Avec le Danemark, elle avait alors affronté une vieille connaissance continentale, ce qu´est aussi la Suisse aujourd´hui. Avec le Togo, elle retrouvera encore une équipe africaine participant à sa première Coupe du monde, même si le Sénégal de 2002 semblait évoluer un ton au-dessus, dans des eaux qui sont celles aujourd´hui de la Côte-d´Ivoire. Enfin, la Corée du Sud est sur le papier l´adversaire le plus difficile à cerner. Demi-finaliste en 2002 avec un jeu allant à cent à l´heure, elle a perdu ses deux précédents matches contre la France, au cours de ce siècle (0-5 et 2-3) et ne semble pas posséder le même volume qu´à l´époque de Guus Hiddink. Mais le charme d´un Mondial est aussi de contredire ces impressions et vaporeux souvenirs.
«Quand je compare notre groupe à celui des autres, je me dis que ce n´est pas trop mal et que cela aurait pu être pire, a résumé Vikash Dhorasoo vendredi sur L´Equipe TV. Nous avons toutes nos chances. On connaît bien les Suisses, à mon sens la meilleure équipe du groupe avec nous et nous sommes capables de les battre. Les deux autres équipes sont à notre portée.» Vu son rang, ses ambitions et le manque d´expérience internationale durable de ses rivaux, la France aura, comme lors des deux précédents rendez-vous - mais c´était objectivement plus facile en 1998 -, une obligation de résultat. La Suisse, seule équipe à l´avoir déjà battue, ne l´a plus fait depuis 1992, ne l´a jamais réussi en compétition et disputera seulement sa deuxième Coupe du monde en quarante ans. En dix-sept mois, elle a échoué dans l´exercice à l´Euro 2004 (3-1) et cette année en éliminatoires de la Coupe du monde, au cours de deux matches qui ont cependant paru rapprocher les Helvètes de la vérité (0-0 et 1-1). Les Bleus ont frôlé un tirage qui aurait été beaucoup plus abordable avec l´Arabie Saoudite à la place de la Corée, et un affrontement qui aurait eu davantage de sel avec la Tunisie de Roger Lemerre. Les deux nations auront finalement l´Espagne et l´Ukraine pour adversaire. C´est d´ailleurs de ce groupe que sera issu l´opposant d´un huitième de finale théorique pour les Bleus.
France - Allemagne en demi ?
Le tirage de Leipzig en dit finalement moins sur les chances des Français d´aller loin que le déroulement du tournoi pour Domenech et ses hommes. Il débutera tard, le 13 juin, soit cinq jours après le match d´ouverture. Il mènera les Bleus dans trois stades différents, Stuttgart, Leipzig et Cologne, trois villes plutôt éloignées du camp de base vers lequel la FFF s´est orienté ces dernières heures, selon une fuite de la FIFA. Près de Hanovre, les Bleus seraient mieux placés pour un parcours long qui les mènerait notamment à Berlin en finale, le 9 juillet. Le classement à l´issue du premier tour aura un rôle capital si le Brésil assume son rôle de favori en terminant en tête du groupe H. Deuxièmes, les Bleus s´exposeraient à un quart de finale contre les Auriverde. Premiers, ils ne les croiseraient pas avant la finale. En filigrane, se profile aussi une possible demi-finale France - Allemagne à Dortmund le 4 juillet, cette revanche que la Croatie avait empêchée en 1998 mais que la France devra bien prendre un jour après les désillusions de 1982 et 1986.
Reste à savoir quelles têtes de série parviendront à marcher sur les traces du chemin idéal pour rendre crédibles ces scénarios balisés. Deux d´entre elles n´avaient pas passé le premier tour en 2002, et il est clair à ce petit jeu que l´Allemagne (Costa Rica, Pologne, Equateur) ou l´Angleterre (Suède, Paraguay, Trinidad-et-Tobago) possèdent plus de chances d´émerger que l´Argentine, l´Italie voire le Brésil. Comme en 2002, l´Argentine devra sortir d´un groupe extrêmement dense, avec les Pays-Bas, la Serbie-Montenegro et la Côte-d´Ivoire. L´Italie retrouvera sur sa route le stratège de la Juventus Pavel Nedved et sa République tchèque, demi-finaliste du dernier Euro, mais aussi les Etats-Unis quarts de finalistes en 2002 et le Ghana, où officiera l´explosif Michael Essien. Même le Brésil devra batailler tôt contre la Croatie, l´Australie de Guus Hiddink et le Japon de Zico. Le groupe le plus prévisible semble être le D, où le Mexique et le Portugal évoluent nettement au-dessus de l´Angola et de l´Iran... sauf si la préparation imparfaite des uns et l´émotion des autres brouillent les cartes comme en 2002. Le tirage des Bleus, en décembre 2001, était alors très jouable.
A RETENIR
LES ADVERSAIRES DES BLEUS ou
SUISSE
Sélectionnée par Köbi Kuhn depuis juin 2001, 36e au classement FIFA.
7 participations (1934, 1938, 1950, 1954, 1962, 1966, 1994), trois quarts de finale (1934, 1938, 1954)
2e du groupe 4 de la Zone Europe avec 18 points (4 victoires, 6 nuls, 0 défaite, 18 bp, 7 bc), victoire 2-0 à l´aller à Berne contre la Turquie en barrages, défaite 4-2 au retour à Istanbul.
35 matches contre la France, 12 victoires suisses, 8 nuls 15 défaites.
L´équipe de Köbi Kuhn est une mosaïque qui s´est assignée une mission : en finir avec l´image du "petit Suisse" véhiculée par des années de quasi absence de la scène internationale. Cette équipe, qui disputera seulement sa troisième Coupe du monde en quarante ans, est un carrefour entre une génération mature mais sans référence (Müller, Vogel, Wicky, Zuberbühler), et des joueurs qui ont fait leurs preuves chez les jeunes (Frei, Cabanas, Magnin, Senderos et Vonlanthen). Elle a prouvé son caractère en barrages contre la Turquie, notamment à l´aller (2-0), et son niveau de jeu face à la France. L´Euro 2004 a déjà offert une expérience internationale à ce beau monde.
COREE DU SUD
Dirigée par Dick Advocaat (PBS), depuis septembre 2005, 29e au classement FIFA.
6 participations (1954, 1986, 1990, 1994, 1998, 2002), quatrième en 2002
Vainqueur de la Coupe d´Asie (1956, 1960), vainqueur des Jeux asiatiques (1970, 1978, 1986)
2e du groupe A du tour final de la zone Asie (10 points, 3 victoires, 1 nul, 2 défaites, 9 bp, 5 bc)
2 matches, 2 défaites contre la France.
Des débuts hasardeux lors des premiers matches de qualification ont mis la Corée du Sud sur la mauvaise pente et placé le Portugais Humberto Coelho sur un siège éjectable. Le Néerlandais Jon Bonfrere a assuré la relève et remis les Coréens sur les bons rails. Mais un dernier tour poussif l´a tout de même contraint à jeter l´éponge. Dick Advocaat, troisième sélectionneur «orange» à prendre en main la destinée des guerriers Taeguk, aura la lourde tâche de faire aussi bien que son compatriote Guus Hiddink. Il avait permis à la République de Corée d´atteindre les demi-finales pour la première fois de son histoire, en 2002, après des victoires sur la Pologne, le Portugal, l´Espagne et l´Italie.
TOGO
Dirigée par Stephen Keshi (NGR) depuis avril 2004, 56e au classement FIFA.
Aucune participation à la Coupe du monde.
Aucun palmarès
: 1er du groupe 1 de la zone Afrique (23 points, 7 victoires, 2 nuls et 1 défaite, 20 bp, 8 bc)
Aucune rencontre contre la France.
La réussite d´Emmanuel Adebayor avec le Togo est inversement proportionnelle à celle qui le fuit à Monaco cette saison. Avec 11 buts à lui seul (meilleur buteur de la zone Afrique), Adebayor a incarné la réussite de l´équipe du sélectionneur nigérian Stephen Keshi en phase éliminatoire. Le Togo participera à son premier Mondial sur le territoire de son ancienne puissance coloniale. Il ne l´a pas volé, éliminant le Sénégal (archi-dominé 3-1) et la RD Congo au passage. Keshi sait ce qui l´attend : il était le capitaine du Nigeria huitième de finaliste en 1994.
Les Pays-Bas mitigés
Le tirage au sort de la Coupe du monde a fait des heureux mais également provoqué bien des soucis pour quelques équipes. A commencer par celles du groupe C, de loin le plus relevé. Le Néerlandais Phillip Cocu n´y va pas par quatre chemins. «C´est le pire des tirages que nous pouvions imaginer. L´Argentine figure parmi les candidats à la victoire finale. La Côte d´Ivoire est à mon avis la meilleure équipe d´Afrique. Et la Serbie-Monténégro est une équipe très difficile à battre, qui a d´ailleurs terminé en tête de son groupe qualificatif devant l´Espagne. Ce tirage aurait pu être beaucoup, beaucoup plus clément pour nous.» Son coéquipier en sélection, le gardien Edwin Van der Sar, ne partage pas le même avis, se déclarant «confiant malgré ce tirage délicat.» Le sélectionneur des «Oranje», Marco van Basten, juge le groupe «intéressant» et réitère son objectif personnel : «Le titre mondial». Johan Cruyff voit plus loin. «Les Pays-Bas ont hérité d´un beau groupe mais difficile. Si nous devions nous en sortir, nous aurions alors une grosse chance, car nous pourrions rencontrer en huitième de finale le Mexique ou l´Allemagne, que nous pourrions battre.»
Etrangement, c´est le sélectionneur de la Serbie-Montenegro, Ilija Petkovic, qui semble le plus serein. «Le groupe est le plus difficile du tournoi mais il nous motivera. Je suis plutôt optimiste, nous ne pouvons qu´aller de l´avant et tenter de surmonter ces difficultés à notre manière.» Goran Gavrancic, le défenseur serbo-montenegrin, abonde dans le même sens. «Il faut rester optimiste et nous préparer car le groupe est difficile. La force de nos adversaires nous motive et nous serons sereins.» Henri Michel, à la tête des Elephants de la Côte d´Ivoire, parle lui d´exploit. «C´était difficile de tomber sur un groupe plus dur. Il faut partir en se disant que si on se qualifie pour le deuxième tour, ce sera un exploit. On a tout à gagner.»
Vladimir Smicer, le milieu tchèque (groupe E) de Bordeaux, est, lui, sceptique quant à la suite de la compétition. «Il ne s´agit pas du tout d´un groupe facile, mais ce qui est pire encore c´est que si l´on ne termine pas premiers de ce groupe, on affrontera très probablement (en huitième de finale) le Brésil. Ceci rend ce groupe encore plus lourd à mes yeux. C´est le Ghana qui me paraît en ce moment être l´adversaire le plus difficile, j´ai un peu peur de cette équipe. L´Italie, on la connaît très bien. Nous avons déjà disputé face aux Italiens des matches équilibrés, ils ne devraient pas nous surprendre.» Le Parisien David Rozehnal est plus confiant. «Notre groupe n´est pas le pire. Nous irons en Allemagne sans pression puisqu´une partie de l´objectif est atteint : cela fait seize ans que la République tchèque n´a pas participé à une Coupe du monde.»
D´autres sont sereins, à l´image d´Oleg Blokhine, le sélectionneur ukrainien (groupe H). «C´est un tirage très favorable pour nous. Je pense que nous sommes capables d´atteindre les huitièmes de finale.» Le sélectionneur espagnol, Luis Aragones, est également confiant. «C´est un bon groupe et je suis globalement satisfait. Je suis content des adversaires. Ce qui me préoccupe plus, ce sont les huitièmes où nous tomberons probablement sur la France ou la Suisse et après en quarts peut-être le Brésil.»
Jurgen Klinsmann, à la tête de l´Allemagne (groupe A), est également optimiste. «Nous sommes très satisfaits. J´ai un bon pressentiment.» Sven-Goran Eriksson, le coach suédois de l´Angleterre (groupe B), est satisfait d´avoir «évité les Pays-Bas et l´Australie. Ce n´est pas un groupe facile, mais cela aurait pu être bien pire. Sur le papier nous sommes les favoris avec la Suède. Nous avons des matches difficiles, mais je suis heureux de ce groupe.» David Beckham s´inquiète surtout du niveau de ses troupes. «Nous devrons prouver que nous sommes l´un des favoris. Si nous travaillons dur et jouons à notre niveau, nous avons une réelle chance de gagner la Coupe du monde.» Pedro Pauleta, le buteur portugais (groupe D) du Paris-SG, voit également les choses d´un bon oeil. «Je suis content pour le Portugal. Nous tombons en effet dans un groupe qui ne semble pas insurmontable. Après l´Euro, le Portugal doit se qualifier pour les huitièmes de finale.»
pas mal arkanteas
Parreira : «De sacrés obstacles»
Le sélectionneur du Brésil a mis en garde ses compatriotes, vendredi, sur l´apparente facilité du groupe des champions du monde en titre pour le premier tour du Mondial. «Techniquement, on peut considérer ce groupe facile pour le Brésil mais il ne l´est pas, insiste Carlos Alberto Parreira. Ce sont des équipes expérimentées. Le Japon participe à sa sixième Coupe du monde. Les Japonais se sont beaucoup améliorés depuis que Zico les entraîne. Ils ont un 4-4-2 bien organisé avec beaucoup de flexibilité et beaucoup de vitesse. La Croatie a fait un beau parcours de qualification. C´est sans doute l´autre équipe la plus forte avec son mélange de jeu physique et technique. L´Australie a éliminé l´Uruguay avec deux bons matches, ses joueurs sont tous en Europe ou presque et ils sont forts physiquement. Ils ont donné du travail aux Allemands lors de la Coupe des Confédérations. Si on passe, et on va passer, on va rencontrer sans doute l´Italie ou la République tchèque enhuitième et puis en quarts de nouveau l´un ou l´autre. Ce sont des sacrés obstacles.»
Zico, légende parmi les légendes au Brésil, ne s´est pas apesanti sur ses émotions avant d´affronter la sélection de son pays d´origine. «Nous sommes dans un groupe très difficile avec le Brésil et la Croatie qui sont très forts. Mais si nous parvenons à sortir de ce groupe, cela nous donnera beaucoup de confiance en nous et nous pourrions aller loin.» Son homologue croate est plus ouvertement staisfait. «Je crois que nous pouvons être contents. Bien sûr, le Brésil est le grand favori, mais nous avons déjà montré lors d´une rencontre amicale cette année (match nul 1-1) que nous n´étions pas sans espoir face à eux, a déclaré Zlatko Kranjcar. Je crois que nous serons meilleurs que l´Australie tandis que le Japon semble possible à battre. Nos récents résultats nous autorisent à être optimistes dans la perspective du Mondial.»
pumastar
mouai les francai ont une bonne equipe mais de la a gagner la coupe du monde..?!
Pourquoi pas ? L´équipe a du talent et s´il jouent collectivement ça peut faire mal! En plus on peut dire que a france a une deis meilleures équipes de la compétition sur le papier
tt le monde