Tu vois! Les lecteurs viennent le soir La journée on travaillent.
Pas avec la grève
Et ouais
La description des combats est magnifique
Comment tu fais pour pondre un aussi bon texte aussi facilement ?
Si tu déciderais d'écrire un livre, ça serait bien ( Mais pense à changer le titre si tu fais ça )
C'est très bon, très bien décrit et raconté
Désolé, j'ai la flemme de te faire un gros commentaire mais sache que tu as gagné un lecteur
La suite cet aprem
Chapitre 12 :
La flèche s’enfonça dans la poitrine d’Aeta sans rencontrer de résistance. La pointe d’acier ressortit dans le dos de la jeune femme, entre ses deux omoplates, couverte de sang.
La Nordique eut un hoquet de douleur, puis, tomba à genoux.
Elle lâcha son arme et resta figée. Un des soldats s’approcha, épée levée, et abattit sa lame. La hache d’Igrim vint se planter entre ses deux jambes, avant qu’il n’ait pu toucher Aeta, et remonta vers le haut, explosant os et organes.
La lame de la hache déchira le visage du garde et ressortit par le haut du crâne dans une gerbe de sang et de cervelle.
L’homme s’écroula dans ses propres entrailles.
Igrim lança son bouclier vers un autre soldat, trop proche à son goût. Le bouclier percuta le torse du pauvre homme et lui arracha carrément le tronc. Igrim ne s’en occupait pas.
Il avait aussi laissé tomber sa hache et tenait maintenant sa sœur dans ses bras.
Deux Résistants s’approchèrent à pas rapides. Ils étaient couverts de sang. L’un d’eux, un autre Nordique, posa sa main sur l’épaule d’Igrim.
-Donnes-nous Aeta, nous allons l’évacuer au Q.G !
Igrim releva la tête. Ses yeux étaient humides et son visage tordue par l’angoisse. Il ne relâcha pas tout de suite son étreinte sur sa sœur. Puis, finalement, Erold arriva, ses lames dégoulinantes de liquide rouge.
-Fais-le, sinon elle va mourir.
Igrim ferma les yeux, les essuya avec le dos de sa main et les rouvrit. Il tendit le corps inerte de sa sœur aux deux Résistants qui s’empressèrent de partir avec, la portant avec de grandes précautions.
Un soldat, en hurlant, fonça vers eux en brandissant une lance.
Erold surgit derrière lui et croisa rapidement ses lames. Le soldat tomba en avant, privé de tête, le corps secoué de spasmes.
L’Impérial se tourna vers le chant de bataille. Il ne restait plus un seul ennemi en vie.
La neige avait pris une couleur rouge, imbibée de sang, et une lourde odeur de mort flottait dans l’air, comme un souvenir du carnage qui avait eu lieu quelques secondes plus tôt. Les mouches viendraient bientôt envahir l’endroit, suivies par les loups affamés.
Erold rangea ses lames d’un geste sec.
Les pertes avaient été lourdes chez les Résistants. Il n’en restait plus que onze, en comptant Aeta, les deux qui l’avaient emmenée au Q.G, Igrim et lui-même. Des gardes étaient parvenues à monter la pente qui les séparait des archers.
Les Bosmers et les soldats s’étaient entretués là-haut.
Erold passa ses deux mains poisseuses de sang sur son visage. Il ne comprenait pas, lui qui avait tant tué, pourquoi les morts lui faisaient encore un tel effet.
Quelques mètres plus loin, Igrim s’était relevé, malgré sa profonde blessure à la cuisse que lui avait infligée un ennemi.
Les Résistants survivants hochèrent la tête quand il leur donna un ordre. Puis, ils s’enfoncèrent dans la forêt et disparurent du champ de vision d’Erold.
Le Nordique s’approcha de son compagnon. Il avait ramassé sa hache et la tenait maintenant à une main, l’autre étant posée sur sa cuisse.
Les deux hommes se fixèrent pendant un long moment avant qu’Igrim n’hoche la tête.
-Merci.
-J’ai payé ma dette.
-Très bien. Adieu.
-Adieu.
Le Nordique se détourna et s’enfonça à son tour entre les arbres. La neige commença à tomber. Le bref échange avait laissé un goût amer dans la bouche d’Erold. L’Impérial regarda autours de lui.
Ca y-est, les mouches avaient commencée leur festin.
L’Impérial remit en place son ample manteau et s’éloigna dans la forêt, dans la direction opposée de celle qu’avait prise Igrim.
Cité Impériale…
-Les hommes qui suivaient le Bréton et la Bosmer sont morts, chuchota un des serviteurs de Zéros à l’oreille de son maître.
Zéros serra les poings.
-Comment ?
-Ils… Ils sont morts.
-J’ai bien compris, imbécile heureux que tu es ! Mais comment ?! Le mage que j’avais engagé était un des plus puissants invocateurs que je connaisse et le Dunmer était un membre haut-placé de la Confrérie Noire ! Un expert !
-Je…
-Tais-toi !
Zéros ferma les yeux et soupira. Engager le mage et le Dunmer lui avait coûté cher. Il pensait que seuls eux étaient capables de pister ses cibles. Et voila qu’on lui apprenait qu’ils étaient morts.
Zéros secoua la tête avec dépit et fit un geste de la main, sans un regard pour son serviteur.
L’homme comprit qu’il devait se retirer. Il fit une rapide courbette et sortit de la chambre de Zéros. Celui-ci bouillait de rage.
-On se moque de moi… Ils croient que je ne suis pas sérieux…
Le Prophète Lumineux se leva d’un bond de la chaise dans laquelle il était assis et alla vers sa fenêtre. Il serra les dents et fronça les sourcils.
-Serviteur !
La porte s’ouvrit et le même homme que tout à l’heure entra dans la pièce.
-Seigneur Zéros.
-Contactez les Chiens d’Argent.
-Qu…
-Silence ! Qu’on m’amène leur chef.
-Vous n’y pensez pas seig…
-Depuis quand te crois-tu capable de me contredire ?! Souhaites-tu que je te fasse écarteler sur la place publique ?!
-Non seigneur…
-Alors va !
L’homme se courba une nouvelle fois et sortit de la pièce.
J'adore ! Si tu continue sur ta lancée, je pense que les lecteurs vont affluer
Qui sont ces terribles chiens d'argent?Pas de bon toutous assurément.
Plutôt des molosses.
à quand un combat contre un lapin?(histoire de justifier le titre)
Sûrement jamais.
Même pas un lapin mutant?
Sweet cette nuit ?
Non, ce soir ou demain J'en ai déjà écrit la moitié sur Word
Je me demande quel est le lien entre Peil et Gregor.Pauvre Lise
Sinon bonne suite.
Et oui, sa mort à été on ne peut plus atroce.
Allez, un p'tit com' s'il-vous-plait