pas mal, continue !
Si elle est bien t´a story continue que l´on voille la suite
Sinon va voir ma partie ac Blackburn ^^
Wesley-Sneijder mais j´ai vu ton post que maintenant, je suivrais ta partie
J´annonce que je vais poster un chapitre cet aprem mais je n´en posterais pas d´autre, faute de temps cette semaine. Il se pourrait que je poste 2 chapitres mercredi
J´ai des doutes , tes anciennes stories étaient pourries celle-ci a l´air bien et sans faute
T´es sûr que c´est de toi ?
continue et ma mere est ateint d´une leucemie donc tu ma mit un coup au moral
pour répondre à mouchoir, oui c´est bien moi le mec qui avait fait une story sans savoir ce que c´était
Mais j´ai progréssé
Juge par toi-même:
Chapitre 7
Le vrai début
Je me lève la tête dans le cu* ce matin, j’ai vraiment pas envie de parler de quoi que ce soit à qui que ce soit. J’entre dans le camp d’entraînement du club pour assister au décrassage de ce stage avec les 21 joueurs qui m’ont accompagné en France pendant que la réserve fait du tennis ballon. Je me dirige vers la pelouse lorsqu’un bras m’accroche la manche.
« Mon nouveau pull Airness ! »
Et mon bras fit voler le bras qui s’était agrippé à mon pull.
Et c’est à ma grande surprise que je trouvai le président Randy Lerner amorphe et se tenant la tête par terre, à moitié affalé sur le mur. Il ne me laissa pas le temps de m’excuser :
« Il fallait que je vous parle, mais je pense que ça va attendre la fin du décrassage… »
Je ne restai pas plus longtemps devant le président allongé et m’empressai de rejoindre mon équipe sur le terrain.
Et comme prévu, tel un lycéen face à un petit nain de 6e, le président « m’attendait à la sortie ».
Un regard fixe, puis une invitation dans son bureau, aux côtés de tout le staff.
Il engagea la conversation :
« Nous sommes réunis aujourd’hui…
-Abrège l’abbé !
-Bon, ok… premier point de cette réunion, les transferts.
-Pour ma part, j’ai besoin d’un arrière droit en urgence et d’un millieu axial vraiment capable de se décaler sur l’aile droite.
-Je vous indique part ailleurs que cette saison, nous voulons un recrutement prestigieux pour redonner une belle image au club. Pour cela vous disposez d’un budget fort confortable de… 8M€
- Et tu peux m’expliquer comment je recrute un Ronaldo ou un Villa avec 8 millions ? Je capture un de leurs gosses ?
- Oh no ! Quand je dis prestigieux, c’est pas une star mais un joueur connu en Europe comme Sorensen ou Mellberg qui peuplent déjà notre arrière-garde.
-Bon, second point…
-Les finances. Elles sont pour l’instant très saines et c’est en gagnant que vous les améliorerez !
-Super, t’as pas plus passionnant John ?
- Troisième point, les supporters…
-Ah ceux-là, si j’en entend un qui insulte un joueur, un arbitre ou même un autre supporter, il ne passe pas la porte du stade.
-Je vois que c’est un problème qui vous prend à cœur.
-Ben on va dire qu’en tant que supporter parisien, j’en ai connu d’autre et vraiment c’est ce que je voudrais inculquer à mes joueurs, si tu respectes les autres, alors les autres te respecteront
-Très bien, je voudrais désormais vous demander de faire un rapport sur ce stage d’avant saison, les satisfactions et déceptions, les points à améliorer à l’entraînement etc.…
-Je ferais ce rapport, monsieur le président.
-Très bien, la réunion est terminée. Bonne journée. »
Pas de reproches par rapport à la bousculade de tout à l’heure, tout roule, me reste-il à rédiger ce rapport à la mord-moi-le-nœud pour plaire à Môssieur Lerner…
Gabriel Agbonlahor, LA révélation de ce stage. 4 buts pour 2 titularisations à la pointe de l’attaque, une présence impressionnante dans le jeu et une passe décisive. Il a une marge de progression exceptionnelle et semble un titulaire indiscutable devant.
Milan Baros, qui lui a tout simplement confirmé le talent qu’on lui connaît tous. 3 buts pour 4 matchs, il confirme qu’il sera le titulaire indiscutable et le leader d’attaque de la formation des Villans.
Stilian Petrov, dernier homme du trio offensif de l’équipe en tant que meneur de jeu, il a marqué 1 but sur ses 5 matchs mais une présence dantesque au millieu de terrain, un titulaire en puissance.
Zoltan Stieber, seulement 17 ans mais un talent fou. Même s’il n’a pas marqué, il a donné 2 passes décisives en autant de matchs. Malgré un talent évident au poste de meneur de jeu, il devrait rester dans l’ombre de Petrov.
Gareth Barry, millieu axial décalé sur gauche, car gaucher et latéral gauche de formation. Il a abattu un travail monstre et s’est retrouvé récompensé une fois par le titre d’homme du match.
Un titulaire également.
Gavin Mc Cann, le chien de garde de la formation en tant que millieu défensif. Face à St Etienne, il découragé Feindouno qui est sorti à la mi-temps dépité avec une note de 4/10.
Il a d’ailleurs inscrit un but, signe d’une envie exceptionnelle. Gavin est le type de joueur que les observateurs anglais aiment à voir évoluer, un abattage à la Gravesen, la nervosité en moins.
Olof Mellberg et Martin Laursen, les deux rocs de l’arrière, tous les deux un gabarit impressionnant et aucune erreur, la charnière type de l’équipe.
Thomas Sørensen, le gardien, qui a lui seul rassure une défense. Seulement 3 buts encaissés en 5 matchs et de nombreux arrêts déterminants. Avec l’absence de Taylor pour 2 mois, il est vraiment tranquillement installé dans les buts de l’équipe.
***************** Les déceptions ******************
Luke Moore, LA déception de cette tournée. Une inefficacité étonnante pour un joueur considéré comme un grand espoir du foot anglais, une présence dans le jeu sporadique, c’est trop peu pour être titulaire.
Steven Davis, malgré 4 matchs, il a été inexistant, incapable de se décaler sur l’aile droite comme l’indique le schéma tactique. C’est le secteur prioritaire pour les transferts cette saison.
Aaron Hugues, l’arrière droit gallois qui, comme son compère Delaney, n’a rien montré. Secteur à renforcer d’urgence.
Enfin, je pense qu’il faut absolument améliorer la finition et les coups de pieds arrêtés, autant offensifs que défensifs.
devant tant de ferveur, j´annonce que je vais poster dans 5-10 minutes
bon, je vois que je déchaine le forum...
Un comm est demandé sur le topic 471, un comm
bon, puisque y a personne qui répond, je garde le chapitre 8 pour samedi
vasy envoie ghis
pour ton message
J´adore t´a story, meme si je poste pas tous le temps, je la suit de très pret ^^
wesley je te suis aussi, bonne chance avec blacburn tu vas gagner
sinon je posterais samedi
mais retard oblige
...
allez balance la suite !! ! ca devient interessant !
tout d´abord, avant d´envoyer le chapitre 8 de mes aventures, je tiens à m´excuser du gros retard
Samedi, ma mère m´a fait la surprise de partir en avion à Paris, chez les parents de mon beau-père. Là-bas, pas d´ordi, pas internet, que dalle
Je suis rentré jeudi soir
Voici maintenant la suite de la story
Chapitre 8
Un petit tour au marché
Le stage terminé, je peux enfin m’atteler à ma tache favorite dans ce monde médiatique, le marché des transferts.
J’ai donné mes suggestions au niveau des recrues, Lerner m’a dit qu’il voulait de grands joueurs et les finances du club sont excellentes. Mon recrutement est tout trouvé :
Un latéral droit offensif (prestigieux si possible) et un millieu axial ou droit (prestigieux si possible).
Je me rends dans mon bureau, là même où j’ai donné rendez-vous à toute ma section de recrutement car je ne les connais toujours pas mine de rien...
Ils sont quatre, quatre recruteurs face à moi. La présentation débute :
Ian Storey-Moore, anglais, 61 ans.
Alan Miller, anglais, 42 ans
Ralf Minge, allemand, 45 ans
Laurent D’Jaffo, béninois, 41 ans.
Voici l’équipe que j’ai à ma disposition.
« Messieurs, vous êtes les fers de lance d’une nouvelle ère au club, vous avez sur les épaules une pression hors du commun. De votre sérieux dépendra la stabilité de l’équipe, de votre travail dépendra la réussite ou la défaillance de l’équipe. »
En quelques mots, j’ai réussi à déboussoler quatre mecs qui sont venus pensant recevoir des consignes. Ils restent tous là, immobiles, pétrifiés par la dureté de ces mots. Ne voyant aucune réaction de la part d’un des quatre froussards, je poursuis :
« Vous pouvez me détester, me haïr jusque dans les plus profondes entrailles de votre corps, je vous demande juste de faire votre boulot comme il se doit. »
Toujours aucune réaction chez les recruteurs. La colère me monte à la gorge et ma langue sort rapidement de son cocon buccal :
« Oh !! ! Vous m’écoutez, bande d’abrutis en péril !! ! »
La réponse, lancée en chœur par les quatre imbéciles face à moi, ne se fit pas attendre plus longtemps. Ils s’attendent sûrement à un autre discours dans le même genre que les deux précédents, ils auront juste droit à un « Les instructions de ce mercato sont sur le meuble derrière vous ».
Apparemment, les recruteurs ont bien compris le message que je leur ai communiqué car je n’attendrais que 2 jours pour une première piste sérieuse :
Paul Stalteri, le latéral canadien de Tottenham.
C’est la première piste à sonder.
Je me rends à Londres pour tâter le terrain en vue l‘acquisition de Stalteri, acquisition par ailleurs soutenue par mon président. Apparemment, les dirigeants londoniens sont prêts à lâcher le joueur contre un prix raisonnable. Les négociations débutent à 5M€, prix insensé pour moi. Les dirigeants ne sont pas farouches et nous descendons vite en dessous de 4M€.
J’apprends que d’autres clubs, dont le Celtic et la Lazio, sont également sur le coup. Les écossais ont offert à Tottenham 3M€. La décision est difficile :
Soit je formule une offre plus élevée que celle des écossais et Stalteri est à moi, soit je renonce à son transfert vu la précipitation. Finalement, un facteur va jouer un rôle important dans ma réflexion : Le président.
Il m’a chargé du dossier, me donnant entière confiance. Si je ne finalise pas l’affaire aujourd’hui, je risque de perdre toute la confiance de Lerner sur les dossiers des transferts.
« Alors j’offre 3,5M€ ! »
L’accord est signé, mon recruteur ayant déjà parlé à l’agent du joueur et obtenu une réponse positive sur l’intention d’arrivée du canadien, mon premier transfert n’est plus qu’une question de jours, questions administratives obliges.
Mes hommes, dispersés aux quatre coins de l’Europe, sont de plus en plus discrets, notamment Laurent D’Jaffo.
Alors que je m’apprête à le joindre au téléphone, mon ordi portable émet un de ces bruits aigus qui vous cassent les tympans pour vous dire que vous avez reçu un e-mail.
Je suis surpris de voir que D’Jaffo m’a écrit, mentionnant le mot « trouvaille » dans son titre. J’ouvre, intrigué et vois le message de mon recruteur :
Je vous présente un jeune joueur français qui évolue à Lille. Je l’ai suivi 2 semaines durant et ma conclusion est là : Ce joueur doit être transféré au club de toute urgence sous peine de le voir disparaître à tout jamais de notre liste de transfert « réalisables ». En effet, au cours de mon voyage dans le Nord, j’ai croisé Bruno Conti, recruteur de l’AS Roma qui était lui aussi venu observer ce joueur. Si nous ne nous dépêchons pas, les italiens nous le piqueront et nous n’aurons plus aucune chance de le faire venir. Je vous invite à venir me rejoindre à Lille au plus vite pour lancer le dossier Yohan Cabaye, 20 ans.
Yohan Cabaye !! ! Effectivement, à ce que j’entends ça et là, ce joueur est prometteur. J’aurais bien attendu un an pour voir son évolution au sein d’une équipe qui va jouer la LDC cette saison mais la concurrence de la Roma nous oblige à faire vite. Les italiens ont beaucoup plus de notoriété auprès d’un joueur comme Cabaye et aussi plus de moyens financiers, il faudra user de ruse pour sortir vainqueur de ce bras de fer à distance.
Le lendemain, je suis à Lille pour rencontrer les dirigeant du LOSC.
Seydoux me lâche volontiers le jeune millieu relayeur mais il me signale que la décision n’appartient pas qu’a lui :
« Ecoutez, monsieur Corréa, je pense que le jeune Yohan, vu son jeune âge, sera peut-être plus tenté par un départ vers l’Italie et un grand club comme la Roma.
-Ok, mais si on les prend de vitesse, nous pouvons acquérir Yohan sans résistance. Faîtes-nous signer le contrat maintenant et nous serons tous les deux contents.
Le président Seydoux fit une moue dubitative…
Je renchéris alors :
-On va dire 10% sur le prochain transfert.
-Bon, voici le contrat… »
C’est fou ce que les gens peuvent être coopératifs dés qu’entre en compte le facteur fric…
continue c´est bien
personne d´autre... ?
pas mal ! Continue !
J´ai tout lu d´une seule traite c´est SUPER
Continue vite !! !!!!!!!!!!!
je relance maintenant ma story pour d´autres commentaires.
PS: Si vous n´aimez pas, faîtes le savoir, ça m´aidera plus que si vous ne dites rien
aussi à tous les fidèles de cette story, oly71 Toninho21 Wesley et toous les autres, vous êtes super sympas.
PS2: Je propose à tous les fans de mes aventures de prendre mon MSN, il est indiqué sur mon profil
bis