Ben la franchement sypion, je te tire mon chapeau.
Mais j´aimerais savoir, à partir de quel moment les unités peuvent faire plus de 60 hommes? Parce que moi mes unités d´archers, etc... font 60, et les tiennes 120.
Ma plus belle défaite :
J´ai envoye une seule unite de paysans assieger la derniere ville anglaise, defendue par deux armees au complet.
Les anglais n´ont donc pas hesite a sortir, pour les massacrer. J´ai inflige quelques pertes a l´unite du general ennemi, mais pas au general en personne malheureusement. J´ai refuse de payer la rancon demandee et les anglais ont donc execute leurs captifs.
Tout ceci n´etait pas une folie, mais faisait parti d´un plan general
Les anglais et moi etions aussi bien vu du Pape, a 9/10. Pour avoir la benediction du pape, ils devaient se faire mal voir. En attaquant mes unites et en executant des catholiques, c´est effectivement ce qui est leur est arrive et je suis maintenant a 10/10 avec le Pape tandis qu´ils sont a 8/10
Pour ca chenoir il faut regler l´echelle des unites dans les options du jeu
Mais si on a pas une grosse config, ca fait mal aux performances
ne racontez que vos plus belle bataille (victoire ou défaite)! des histoire qui pourraient donner des idées à des producteurs d´holywood...
Alors ma plus belle défaite, mais malheureusement je n´ai pas de screen, c´était quand une unité de catapulte sans défense était en route vers un de mes groupes qui assiégait Hambourg.
Et malheureusement, je n´ai pu atteindre ce groupe à temps, et ma catapulte s´est fait attaquer par l´armée du roi teuton. 1200 hommes contre 20. Donc l´ennemi avance, et assez bizarrement décide de ne m´attaque qu´avec ses arbalétriers (qui étaient 300 quand meme).
Mais bon, comme les traits d´arbalète ne prennent pas feu et que les catapultes protègent bien mes servants de catapulte, j´ai tenu assez longtemps.
Toujours est il que j´ai commencé à bombarder l´ennemi de projectiles de catapulte enflammé, et que le tout premier projectile est tombé directement sur le groupe de gardes du corps du général, et plus précisemment sur le roi ennemi. Au final, quand j´ai plus eu de munition j´ai lancé mes catapultistes dans la mélée, et j´ai fini par avoir perdu 20 hommes en en ayant elevé 150 à l´ennemi, dont un roi.
Malheureusement, les allemands se sont pas genés pour executer les prisonniers, dommage car j´aurais bien aimé récupérer mon groupe, parce que 150 hommes tués pour 20 perdus franchement je dis chapeau.
Faut dire que l´ordi est pas toujours super intelligent aussi ^^.
Comment on fait pour regrouper les différentes unitées entres elles ?? ? dites moi plz
lol chenoir t´es en quelle difficulté, moi j´ai fait une bataille un peu pareil (je joue en h/h), je me fait attaquer une catapulte toute seule et 20 pertes pour moi/1perte pour l´ennemi alors...
En difficile. Mais je sais pas pourquoi ils m´ont pas attaqué alors j´en ai profité hein.
Ah, et sinon j´ai remporté une victoire terrible aujourd´hui (et une bonne mais moins bonne, donc j´en parlerai pas).
Je vous explique, j´ai exterminé les francais (traitre que je suis), et je suis en train de faire subir le meme sors aux germains. Et j´ai décidé d´assieger francfort avec une petite unité, comme ca, surtout parce que toutes mes autres unités étaient mobilisées.
Enfin bref, j´arrive avec 3 unités de chevaliers féodaux à pied et 3 unités de chevaliers féodaux à chevaux.
En face, ´ unités d´arbalétriers, 2 de milice civile, 3 de Kriegsfutter (les plus puissants fantassins à mon gout, comme par hasard chez les allemands), 1 de sergent lourds, et 4 unités de chevaliers féodaux à pied.
La situation était mal barrée étant donné que j´était grosso modo 3 fois moins nombreux que mes adversaires, et en sacré manque d´infanterie lourde comparée à eux. Mon seul avantage, léger, était la présence dans mon armée de 3 unités de cavalerie lourde.
Et mon ennemi a fait une erreur tactique fatale, il a séparé ses arbalétriers du reste de son infanterie.
J´ai donc lancé tous mes cavaliers en formation triangle sur ces derniers, j´ai rompu les rangs des tireurs qui sont rapidement partis en déroute, et j´ai placé mes cavaliers derrière le gros de l´infanterie ennemie.
Et j´ai ensuite envoyé mon infanterie lourde à l´assaut des chevaliers féodaux, et j´ai défoncé les rangs ennemis par l´arrière (sans sous-entendus ) avec ma cavalerie. Rapidement il ne restait que les Kriegsfutter, rapidement décimés par le restant de mon armée.
Le reste de l´armée ennemie en déroute s´est soit échappée de la carte, soit retranchée vers le centre-ville, talonnée par l´une de mes unités d´infanterie.
Ainsi s´achève l´une des plus belles victoires que j´ai eu pour le moment.
Le petit screen pour argumenter mes dires :
http://img471.imageshack.us/img471/8232/victoireultimesq5.png
Oups, désolé, j´ai mis un screen en bitmap et imageshack l´a redimensionné, c´est pas très lisible.
voila le screen en jpeg :
http://img475.imageshack.us/img475/1055/victoireultimeoi0.jpg
Belle lucidité au moment de combattre, il s´agissait de profiter de l´erreur tactique de l´adversaire...
Bravo! Belle victoire.
Ma meilleure victoire dans RTW nétait pas trés tacticque : 12 éléfants lourd contre 1100 soldats du sénat. Résultat : chez moi aucun mort, chez l´énemie 800 morts ( oui je sais c´est tout mais bon ils on pris la fuite et je n´est pas pu bien les poursuivre avec des éléphants ) sinon je voulait savoir si les éléphants était toujour aussi puissants dans MTW2
Petites précisions avant. Jouant avec de petite unité les armées ne sont pas bien impossante, de plus comme je ne suis qu´à une cinquantaine de tour les armées non en rien d´impressionnant. Ce n´est de toute façon pas un bataille digne d´un film hollywoodien que je vous propose. Elle a retenu mon attention car c´est la plus stressant que j´ai pu faire, mais elle reste tout de même moins impressionante que les affrontements avec 4000 hommes, c´est pourquoi je vais romancer un peu tout ça pour le rendre plus "cool"
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Il y a de ça un an une nouvelle caserne ainsi qu’une formation d’archer a été construite. Le jeune roi Henri, noble guerrier anglais, est curieux de voir les possibilités que les nouvelles unités maintenant à sa disposition pourraient lui offrir sur le champ de bataille. Il demande donc la création de guisarme ainsi que d’archer long.
Nous voici en hiver, la formation des troupes est achevé. Deux unités de guisarme et d’archer long, soit 240 hommes, sont prêtent à aller prouver ce dont elles sont capable à leur roi. Ce dernier a pris ses quartiers dans le château d’Angers, nos hommes vont donc le rejoindre au plus vite là-bas. Non loin des terres anglaise la colonne de soldats fait une légère incursion dans le royaume de France leur ennemi depuis deux décennies. Au loin les soldats anglais peuvent distinguer une importante force française se dirigeant droit sur Angers, ils ont été repéré, l’armée française par à leur poursuite pour qu’ils ne puissent prévenir du danger imminent.
Les forces anglaise sont prisent de court, impossible de fuir et de s’abriter à Angers, il va falloir combattre. Le capitaine anglais qui dirige l’expédition calme très vite ses ardeurs, face à eux c’est une armée de siége qui se profile, deux unités de vougiers, une de miliciens, trois d’arbalétriers et pour finir une de catapulte et de baliste. Ils ont le double de leur effectif, ses jeunes troupes dans un affrontement de front seraient submergées par le nombre, il lui faut donc user du terrain. Heureusement la chance est avec lui, une importante colline domine une cuvette par laquelle les français devront passer, les archers anglais vont donc se placer au sommet de la pente abrupte et les guisarmes derrière pour ne pas gêner les tires.
Au pas de course les vougiers et miliciens viennent prendre position au pied de la colline, mais ne charge pas, avec une telle pente arrivée au sommet les guisarmes les repousseraient sans trop de mal. Le général français compte donc sur sa puissance de tire, la catapulte se braque sur les anglais, et les arbalétriers viennent prendre place derrière les vougiers. Mais déjà les arcs anglais font pleuvoir une averse de flèche sur les français, malgré leurs boucliers les hommes tombe un à un. Quand aux arbalétriers ils sont en fait d’une incroyable inefficacité, devoir tirer par-dessus leur troupe, de plus sur des unités en hauteur les obligent à tirer en cloche ce qui n’est pas des plus évident avec une arbalète. Ainsi les carreaux français rate leurs cibles, blessant que peu les forces anglaises, et ricochant sur les casques des guisarmes les plus chanceux. A l’inverse la pesanteur rend les flèches anglaises véloces et terriblement meurtrières. Sans est trop pour l’une des unités de miliciens qui avec leur petites targes ne sont pas à l’abri des traits assassin. La troupe française fuit sous le feu anglais.
Le général français réagit en enflammant les boulets près à fondrent sur les anglais. Les catapultes se tendent. Les deux boulets explosent loin derrière, de même que pour les arbalétriers tirer sur une telle position n’est pas aisé. Au pied de la colline l’infanterie ne tient plus, malmené par les archers anglais elle commence à avancer. C’est là que le capitaine anglais décide de faire embrasser les flèches. Les traits flamboyant viennent embrasser la marche française rompant ainsi toute envie de trop s’approcher, vougiers et miliciens restant reprennent donc leur position. Les tires anglais les harcèlent à nouveau.
Toute l’infanterie anglaise se crispe soudain, de nouveaux boulets enflammés arrivent. L’un deux perce de part en part une unité de guisarme laissant une traîné de feu jonché de corps calcinés et broyés. Il est facile de deviner les visages livides sous les casques des soldats y ayant échappé de peu. Déjà impressionné par les forces adversaires, les anglais redoutent ces catapultes, ils ont pu sentir les flammes lécher leurs armures, quelque un font un pas en arrière. Mais le capitaine relance ses troupes, toute mouvement de panique enhardira l’infanterie française qui pourrait charger, et le danger vient d’eux, les boulets ne seront pas tous si précis. La tension dans les jeunes rangs anglais était palpable depuis le début du combat, mais il vient de montrer d’un cran. Et que dire des archers ? Le froid rend la cordes dure et coupante, les doigts saignent mais ne doivent cesser de s’activer, le bras doit être sûr, il faut tuer à chaque coup, une volet de flèche sans effet serait une marque de faiblesse encourageant la charge française. A nouveau le grondement des boulets se fait entendre, de jeunes vies viennent de nous quitter.
Les rangs anglais s’éclaircissent sous les coups de butoir de la catapulte. Mais le capitaine ne cesse de remonter le moral de ses troupes, ils ne doivent pas céder. Le bilan français est bien plus préoccupant, les vougiers et miliciens ont perdu la moitié de leurs hommes, et leur agitation trahit un moral en berne et non plus l’envie de foncer tête baisser. C’est le moment !
Nos deux unités de guisarme avance à peine gêner par les tires d’arbalète. Ils entament là pente. Les français tendent leurs piques et bloquent leurs boucliers. Un hurlement rauque parcours les rangs anglais, la charge est lancée, les hommes courent à toute allure grisée par l’air frais qui fouette leur visage. Jamais il n’avait courus aussi vite, la descente les entraîne toujours plus vite, et une fois au contact leur charge est d’autant plus puissant. Juste avant de les rejoindre une nouvelle pluie de flèches enflammées vient troubler les formations françaises. Les coups anglais emplis de rage se fracassent sur les boucliers, le contact est si brutal que les vougiers français n’ont pas la force de maîtriser leur bouclier, certains laissent une ouverture qui leur sera fatal, d’autre le voit éclaté sous la puissance anglaise. La milice est balayée, les survivants fuient sans demandé leur reste. Les deux unités de vougiers encore sous le choc de l’assaut se laisse encercler, il n’en faudra pas plus pour que leur moral s’effondre et qu’ils prennent exemple sur la milice. Pendant ce temps les archers anglais donnent une leçon de combat à distance aux arbalétriers français, puis s’est les guisarmes maintenant débarrassée de l’infanterie qui les invitent à un cours de corps à corps. Les archers dévalent à leur tour la pente et enflamme leurs flèches une dernière fois, il est temps de se venger des catapultes. Elles prennent très vite feu, et forment bientôt un magnifique brassier, les suivants abandonnent eux aussi le terrain.
L’armée française est en déroute.
Le combat maintenant fini les anglais repartent pour Angers, leur effectif divisé par deux ils entrent fièrement dans le château. Leur valeur n’est plus à démontrer, les acclamations de la population en atteste, et bien plus encore les remerciements du roi en personne.
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J´ai du avoir aussi peur que les soldats pendant le combat. J´avais l´avantage du terrain, mais avec l´infanterie prête à charger, la pluie constante de carreaux mes hommes n´en menaient pas large. Ainsi à chaque tire de catapulte j´avais peur qu´une explosion fasse de gros dégats et face fuir mes troupes. Une seule unité qui flanche et sans été fini de moi. Voilà pourquoi cette bataille m´a beaucoup plus, elle s´est joué sur le terrain et le morale de mes troupes, bien que fraîchement sorti de leur formation, ils ont sû avoir la discipline nécessaie pour ne pas rompre les rangs et tenir tête à l´adversaire.
bravo, bien que moin impressionant ke d´autres, cette bataille et si bien et joliment raconter que j´en suis tou emue (vive vendredi que je me l´achete, ba oui, jai deja tous les autres...donc celui la, c´est obliger!).
J´aimerai ajouté que c´est réèlement sa qui me plai dans les total war: vaincre, meme quand tous semble perdu!
Houlala le nombre de faute qui ont réussi à se faufiler, je me fais peur.
Oui mais y´a tellement de mots aussi ^^
Très joli récit ou tout cas
donc ta pa regarder mon message...
en même temps, si tu avais regardé, tu serai mort d´une crise cardiac en voyant mes erreurs...
desoler de ce hs (et aussi de mes fotes d´ortographe! )
j´avais une ville à défendre contre 400 ennemi a peu pres, Moi j´avais qu´un groupe de cavalerie 20 ou 40 chevaux.
Tout d´abord j´ai empecher les noob d´ennemi de défoncer la porte, alors ce que j´ai fait c´est j´ai rush les unité qui poussé le belier et tuer les homme avec l´echelle et voila, une petite divertion histoire qui les tour de mes rampart tire des fleches sur les troupes ennemis
Beau récit et belle bataille Kirua, cela dit je n´aurais pas hésité à mettre les guisarmiers en première ligne, les archers peuvent tirer par dessus sans problème; de même je n´aurais pas lancé l´assaut mais attendu la charge des vouguiers fatigués par le harcèlement des archers et la contre-pente.
Enfin y a que le résultat qui compte cela dit...
Oui les archers tirent au dessus des guisarmiers, mais pour cela il faut utiliser une trajectoire en cloche, et c´est pas très précis. Alors qu´en étant face aux vougiers les flèches vont direct au but et font bien plus de dégat. J´ai déjà fait le test avec et sans unité devant les archers, et il y a pas photo, un tir direct est bien plus meurtrier.
Pour la charge je pense que ça aurait été mieux d´attendre. Mais mine de rien entre les tirs d´arbalètes et la catapulte, mes quatre unités avaient perdu la moitié de leur effectif. Et comme je l´ai dit pendant tout le combat j´avais peur que mes unités fuient, ca devenait critique, alors j´ai préféré prendre les devants.