Et de 200 !
(Mouahaha, je vous ai eus !)
Je te les ai laisse, je savais que sa te ferait plaisir, grand enfant, va!
j'ai dit qu'ils étaient pour moi
JOrAsKATtiTudE2
Posté le 14 juillet 2009 à 20:25:25
Et à propos des guillemets, je ne mets pas QUE ça, tu remarqueras que j'utilise aussi des tirets, mais quand j'écris "dis-je", "repondit-il" etc., j'interromps le dialogue, et c'est pour ça que ce n'est pas dans les guillemets. Or quand une autre personne parle, il faut des guillemets. C'est probablement pour ça que tu as l'impression que je ne mets que ça.
c'était un conseil que je pensais utile et je n'ai pas dis que tu ne mettais que des guillemets
Gné. J'aime bien ton style. Agréable à lire.
Sinon, ben... Mon avis est que, pour ton dernier chapitre, par exemple, on aurait pu remplacer les persos Felynes par des humains sans rien changer au texte ou aux dialogues. C'est censé être l'histoire d'un Felyne, le style de récit ne devrait-il pas être un peu différent?
Enfin, z'est mon affis, il n'enkache que moi, et che le partache!
Nan mais z'est dray pien, merci de le partacher. Je t'ai ajouter sur msn et j'aimerai que tu me corrige quelque truc a l'occasion, me faire des remarques avant que je poste, puisque jv.com n'a toujours pas decouvert la magie de "editer". Merci d'etre passe, en tout cas.
Elektro, si sa te dit d'integrer la fic, c'est pas de refus, j'en ai besoin, un perso felyne de preference. Je vais exploiter l'idee que littledoc m'a fournie a la page 2 ou 3.
Bump !
Bump
Encore une fic qui a bien avancé mais que je ne lirais pas aujourd'hui car je manque de temps
Et dont le prochain chapitre ne devrait pas trop tarder.
Nom:comme tu veux je manque d'inspiration
Arme:lame serpent vil(e)
Armure:je viens de commencer alors je sais presque rien désolé
Caractère:amical,solidaire
Race:humain
Camp:gentil
et j'oubliais comique mais se prend souvent des vents
ou l'amélioration de lame serpent vil
mais pas agito
Et un quadruple post pour monsieur! Qui dit mieux? Personne? Ah c'est dommage! Le monsieur repart donc avec une demande de ban pour flood, bravo monsieur!
No stress.
Je deconne. Comme tu le vois, j'en fais aussi.
Noctashiny tu t'appellera Syon, et ta lame serpent vile tu ne l'aura pas tout de suite, mais rapidement quand meme.
La suite (dont je suis moyennement satisfait) dans le post suivant.
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---------Chapitre III : Furbos----------
Nous nous mîmes donc en route tôt le lendemain, comme prévu. Le voyage vers Furbos dura deux jours et se déroula sans incident notoire. Plusieurs cris de wyverns se firent entendre, mais ce fut tout. C’était en fait la première fois que j’allais dans une ville humaine, même petite, et fut surpris. Non pas que je m’attendais à quelque chose en particulier, mais je fus surpris d’une façon que ne saurais vraiment expliquer, peut-être était-ce l’intense activité qui régnait ici, peut-être était-ce la population uniquement humaine et ce qui me semblait être en grande quantité.
« Ah, pas de chance! » me souffla Rey, qui était finalement devenu mon ami « On est tombé pendant la Yakion’rha, nia.
-La quoi, nia?
-La Yakion’rha; c’est une fête particulièrement importante dans le comté, qui rassemble des centaines de chasseurs chaque année. Cette fête, qui dure trois jours, célèbre le début de carrière des jeunes chasseurs et récompense les meilleurs de l’année passée. La Yakion’rha se déroule seulement dans quelques villages du comté, les "Points de Réunion", qui rassemblent chacun les chasseurs des villages avoisinants, nia. La population des Points de Réunion durant la Yakion’rah peut presque tripler, et c’est pourquoi c’est une formidable organisation économique, qui permet a beaucoup de commerçant de réaliser le plus gros de leur chiffre d’affaire. C’est pour ça que tu vois le village si animé. Ah, j’oubliais: la Yakion’rha est aussi l’occasion pour une centaine de personnes n’ayant rien à voir avec la chasse de faire la fête et de boire ou de voler les touristes, nia. » ajouta-il alors que nous dépassions trois personnes visiblement alcoolisées «Donc méfie-toi des groupes un peu agités, nia.» Je remerciai Rey pour son explication détaillée, et nous poursuivîmes notre chemin à travers la foule.
J’entendais Selgove s’extasier à la manière d’un grand enfant, et pendant que Kian m’interpellait régulièrement pour me montrer telle ou telle chose, je tournais pour ma part la tête en tout sens, afin de ne rien manquer du spectacle de cette marée humaine, et des spectacles de rue devant lesquels nous passions, tels des jongleurs, des magiciens, ou des cracheurs de feu. Sauf qu’en tant que félyne, le seul spectacle que je pouvais vraiment admirer était celui des jambes des humains, jambes qui me restreignaient considérablement le champ de vision. Selgove proposa de "porter les minous", offre que je déclinai gentiment, son odeur ne s’étant pas améliorée. Kian voulut quant à lui tenter l’expérience, et redescendit très vite, le teint livide: « Je n’aurais jamais penser que l’odeur pouvait être aussi horrible de près. Je ne referais plus jamais ça, tu m’entends? Plus jamais…» me dit-il, suffoqué.
Nous mîmes un quart d’heure pour arriver dans une auberge beaucoup mois luxueuse que celle que nous avions quittée, toujours guidés par Djen. Il demanda une réservation au nom de O’Syde, puis nous montâmes à l’étage poser nous affaires. Kian, que les deux jours de marche et l’agitation ambiante avaient épuisé, se jeta sur le lit et s’endormit presque aussitôt. Je quittai la chambre sans faire de bruit pour rendre visite à Djen et Rey, Selgove dormant, par le plus grand des hasards, dans une chambre à part. Ils m’informèrent que chercher Mjogard et sa clique dans cette foule revenait à chercher un grain de sable dans une botte de foin, et que l’on avait par conséquent quartier libre les deux prochains jours, avec pour seules consignes de ne pas se perdre ni de se faire tuer et d’être rentré pour dix heures du soir. Personne ne se faisait cependant d’illusion sur la chance que l’on avait de retrouver nos braconniers après les célébrations.
Rey, qui avait eut plusieurs fois l’occasion d’assister à la Yakion’rha, préféra rester à l’auberge, tandis que Djen me servit de guide tout en me portant. Et c’est ainsi que je découvris vraiment Furbos, ma première ville humaine, sur les épaules de mon compagnon. Djen me fit visiter des échoppes et des armureries. Il devait connu, ici, car il parvint à ma faire visiter l’arrière-boutique d’un armurier ainsi que son atelier, dans lequel je découvris avec stupeur des felynes qui y travaillaient, courant partout et s’interpellant. Pendant que Djen discutait avec l’artisan, je fis de même avec mes congénères qui prenaient leur pause et appris beaucoup de chose sur leur travail leur organisation, ainsi que sur des sujets plus vastes tels ce qui se passaient dans la ville en ce moment ou les divers emplois des félynes, beaucoup plus nombreux que je ne l’imaginais: en plus de travailler comme cuisinier, aide-artisan ou vendeur, j’appris donc que certains travaillaient dans les fermes des villages, et que d’autres bossaient pour la Guilde, à ramener les chasseurs vaincus à leur campement. Je pris également connaissance d’une rumeur comme quoi un félyne, dont le nom demeurait actuellement inconnu, était en train de lever une armée dans un but aussi obscur que son nom. Je reléguais cette information au fin fond de ma conscience, considérant ceci comme ce que c’était: une bête rumeur.
Nous quittâmes l’atelier trois quart d’heure plus tard, et Djen nous dirigea vers la Grand-place, où avaient lieu les cérémonies officielles. Nous regardâmes l’introduction au métier de trois jeunes chasseurs, Syon, Yakha et Faukeuh, qui consistait en fait en un petit discours sur les qualités de chacun. Un homme assez âgé énonçait les résultats obtenus à l’école d’entraînement locale, meilleur était le résultat, plus la foule applaudissait; tous les apprentis avait du subir un test sur le terrain, consistant à chasser un monstre donné. Le candidat faisait ensuite une démonstration muni de son arme favorite, puis, en fonction des trois épreuves citées ci-dessus, il était jugé apte ou non à devenir chasseur de monstre. Les trois bleus que nous avons regardés ont tous été reçu.
A force d’être porté, je finissais par avoir des fourmis dans les pattes, aussi demandai-je à mon porteur de me poser, pour trottiner laborieusement à travers cette foule compacte jusqu’à notre auberge. Pendant que nous traversions la grande salle, je vis Syon et compagnie faire la fête et s’amuser pour célébrer leur promotion. A mon léger étonnement, Kian dormait toujours quand je rentrai dans la chambre, en prenant soin de ne pas faire de bruit. Fatigué par ma journée, la tête pleine de bruits et d’images, je finis par m’endormir à mon tour.
Le lendemain matin se passa sans incidents notoires, mais l’après-midi fut nettement plus intéressante. Alors que j’allai faire un tour du côté des tavernes, endroit où l’on peut apprendre des choses, comment dire, "intéressantes", je tombai par hasard dans une de ces tavernes et surpris, par hasard également, les balbutiements d’un ivrogne certes, mais d’un ivrogne chasseur. Et ces balbutiements étaient effectivement intéressants:
«Et alors, vous m’croirez vous m’croirez pas, *hips* mais quand j’suis arrivé dans …euh… ah ouais, la clairière *hips* y’avait que des barraques calcinées. Mais att-att-attenzion, hein, pas des barraques d’hum- *hips*, d’humains, hein, mais les p’tites b’raques d’ces bestioles, là, les félynes. Toutes noires, les barraques *hips* ! Et ben, *hips*, bizarrement, j’ai pas vu les corps de ces boules de *hips*, boules de poils…
-T’étais p’t-être trop bourré pour ça ! » lança quelqu’un dans la salle, immédiatement salué par un retentissant « TA GUEEUU-LEUHHHH ! » de la part de l’ivrogne.
Je ne pus entendre que ces brèves paroles, car la suite fut coupée par l’apparition d’un garde, qui nous prévint que « Deux rathalos azurs et une rathian rose attaquent le village ! »
Sauf qu’avec le monde qu’il y avait actuellement dans ce dernier, si la foule cédait à la panique, ça allait pas le faire du tout. Mais les jeunes chasseurs, impatients de faire publiquement leurs preuves, allèrent au-devant des monstres sous le fier regard de papa-maman. Le quart au moins de la promotion s’était fait laminer avant que les plus expérimentés, et surtout les mieux armés, se décident à agir. J’étais monté sur un toit pour ne rien perdre du combat, et cette position en hauteur me permit d’apercevoir Djen, Selgove, Rey et Kian, qui s’était enfin réveillé, fendant la foule pour rejoindre le lieu du combat, à savoir la grand-place.
La rathian faisait des ravages avec ses charges meurtrières, et l’un des rathalos s’était envolé, sans doute dans le but d’attaquer une autre zone du village. Selgove, Djen, Rey et Kian décidèrent de le suivre –enfin plus Djen et Rey, parce que Selgove, lui, il ne décidait rien, il suivait–, et je suivis de même ces trois-là par les toits, curieux de voir Selgove combattre sans être moi-même mêlé au carnage, et curieux également de voir le style de combat de Djen et de Rey, que je n’avais jamais vu combattre. Je fus surpris lorsque je vis courir dans une rue parallèle à celle empruntée par mes amis les trois débutants dont j’avais vu l’introduction: Syon, Yakha et Faukeuh. Ils ne devaient pas encore savoir ce qui était arrivé à leurs petits camarades, pour foncer comme ça avec un si piètre équipement. Le rathalos que poursuivaient mes compagnons se posa finalement à l’extérieur du village, en plein milieu des enclos des aptonoths, et en avait déjà mangé un lorsque ses poursuivants arrivèrent. Un cri perçant, provenant du centre du village, se fit entendre, et je vis, étonné, le rathalos déployer ses larges ailes azures et prendre son envol –et la fuite, tant qu’a faire–, en emportant tout de même un malheureux herbivore entre ses griffes.
Je sautai du toit pour atterrir avec souplesse devant mes amis. Djen me devança en repondant à la question que j’allais formuler:
«C’est la période d’éclosion, chez les wyverns, c’est pour ça qu’ils attaquent les villages et emmènent de la viande avec eux. Et c’est aussi pour ça que Yakion’rah se déroule durant cette période, car les epreuves des nouveaux chasseurs ne nuisent pas à l’ecosysteme, et permettent de conserver un équilibre et d’éviter une surpopulation de wyvern. Mais ne t’inquiète pas, ce qui vient de se passer est tout à fait normal.
- Ah d’accord. Merci, nia.» lui répondis-je sobrement.
Syon et compagnie arrivèrent à ce moment précis, c’est-à-dire en retard, et repartirent, penauds, dans la direction par laquelle ils étaient venus. Nous repartîmes également vers la grand-place d’un pas tranquille. Kian, alors qu’il pu en profiter, n’avait rien écouté des cours dispensés par l’humain, préférant se désoler de ne pas avoir pu ”éclater ce maudit rathalos ”, alors qu’il n’était pas bien réveillé et m’avait, quelques semaines plus tôt, traité de fou quand je lui avais proposé d’attaquer un apcéros.
Tss, quel prétentieux…
La suite, deja, et, je suis toujours en retard