Il apparaît quand mon elvis-mosswine?

Ayéééé!

hé bah enfiiinnnn. Le topic revit

revivre est un bien grand mot. je vais juste bientôt poster un chapitre, il y aura du monde pendant quoi, une semaine? et après mon topic retournera bien au chaud en page 4 du forum.

Tu vas pas me sortir que tu vas juste poster un chapitre pour le fun puis que tu vas laisser tomber ?Ce serait bête quand même

Nan, je dis juste que mon topic est plus inactif qu'une pierre, parce que pour descendre en page 4 d'un forum MORT...

C'est à l'auteur de faire vivre son topic! Enfin ,c'est mon avis...

...et tu le partaches? certes.

Mais toi-même viens rarement sur ton topic qui pourtant ne coule pas!

...t'es sûr? Je poste une liste des persos et des chapitres presque à chaque page!

une liste des chapitres...

Une dernière petite vérification, et il devrait arriver demain!

Et beh ...

Et pour confirmer mes dires, voici...
LE PROCHAIN CHAPITRE!

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----------Chapitre V----------

Le lendemain de notre départ de Furbos, nous croisâmes de nouveau notre ami le rathalos azur, déjà rencontré lors de l’attaque de la ville susmentionnée. Kian aurait sauté au plafond d’excitation, si plafond il y avait eu. Djen dégaina tranquillement son arme, une épée courte en forme de hache dont je ne connaissais pas le nom. Raymond bougea légèrement, tout en marmonnant des trucs bizarres et ses mains sortirent de sous sa cape, armées de trois couteaux à lancer chacune. Le rathalos nous chargea.

Nous jetâmes tous de par et d’autre de sa trajectoire, seul Selgove restait debout, et en plein milieu du chemin.
« Bouge, imbécile ! » lui cria Djen.
Selgove ne bougea pas. Bien campé sur ses positions, il dégaina son immense lame dont je ne connaissais toujours pas le nom –et pour le moment, ce nom m’importait peu–, et se mit simplement en garde. Le monstre, lancé à pleine vitesse, le heurta de plein fouet. Je vis L’impressionnante musculature de notre cher gorille tressaillir sous l’effort. Sonné, le rathalos ne réagit pas tout de suite, ce qui laissa à Selgove de porter à la tête du monstre un coup latéral qui aurait abattu un mur. La tête partit sur le côté, le cou puis le corps suivirent, ce qui donnait l’impression d’une danse grotesque.

Puis la bête revint à elle, écumante de rage, soufflant de la fumée brulante par sa gueule et ses naseaux. Raymond s’était relevé, et d’un mouvement souple, il expédia deux de ses couteaux dans la tête déjà bien amochée du wyvern, deux autres dans son cou, et les deux derniers dans son flanc. Un petit mouvement, et les mains du voleur étaient de nouveau garnies de six couteaux bien affutés.

Quelques secondes plus tard, le rathalos devenait étrange, mais ne bougeait presque plus.
« Il est paralysé, mais ce n’est que temporaire. » m’expliqua Raymond sans même se retourner. « Ce sont les couteaux que j’ai lancé qui l’ont mis dans état. Habituellement, seuls deux, trois, voir quatre couteaux maximum suffisent pour paralyser un rathalos, mais vu comment il a réagit au coup pourtant titanesque de Selgove, j’ai préféré ne pas prendre de risque.» continua-t-il, alors que Djen, Rey, Kian et Selgove fonçaient sur l’ennemi. « Il est coriace!» acheva-t-il en lançant deux couteaux sur la tête de la bête. Les couteaux frôlèrent le visage de Djen, qui ne s’en formalisa pas outre mesure, et se plantèrent sous l’œil droit et à la base de la mâchoire. Ils libérèrent une brume violette que je reconnaissais bien. Le rathalos azur était empoisonné.

Malheureusement pour nous, il ne semblait pas l’avoir remarqué, et nous chargea de nouveau comme si de rien n’était. D’un bond souple, Djen sauta sur son dos, mais le wyvern s’effondra sous lui. Le poison faisait son effet. Affaiblie, mais pas encore morte, la bête se releva, Djen agrippé tant bien que mal à son dos. Il frappa plusieurs fois le monstre, qui se cabra et rugit, expulsant son cavalier. Il se releva, et se mit en garde juste à temps pour parer une boule de feu. Il se releva, et courut vers le rathalos, alors même que celui-ci courait vers lui. Djen se jeta entre les pattes du wyvern, hache levée, et lui fit une profonde entaille jusqu’à la moitié de la queue, en libérant, pour couronner le tout, un nuage de poison dans la plaie béante. La bestiole n’allait pas vivre longtemps ; ses blessures physiques, ajoutées au poison de Raymond et à celui de Djen, auraient tôt fait de l’achever, même si le combat s’arrêtait maintenant. Pourtant, il ne s’arrêta pas.

Kian ne voulant pas être en reste, fit ce qu’il faisait de mieux, et se mit en devoir de déchiqueter les yeux de la bête. Folle de rage et aveugle, elle s’encastra à pleine vitesse dans un malheureux rocher qui n’avait rien demandé à personne, et ne bougea plus. Kian sautait de joie en criant qu’il avait battu un rathalos, yaouh. Nous nous relevâmes tous, puis nous approchâmes lentement de la bête affalée. Nous n’allâmes pas loin.

En voyant la queue s’agiter faiblement, nous stoppâmes net. La queue s’agita de nouveau, et Kian cessa de danser. Il se retourna à son tour, pour voir le rathalos se relever lentement. Ce dernier poussa un cri d’une puissance et d’une rage inouïe, puis s’éclata la tête dans le sol d’au moins cinquante centimètres. Un homme hurla « Couché!». Lorsque la poussière se fut dissipée, nous vîmes avec stupéfaction la silhouette d’un homme.

Il était vêtu d’un long manteau brun, d’un chapeau aux bords légèrement relevés, et d’une chemise rouge rentrée dans un pantalon noir, dont le tissu paraissait rêche. Il portait une barbe assez courte, bien que visible, et avait des yeux bleus clairs au regard indéchiffrable. J’estimai qu’il devait avoir la quarantaine. Il avait à la main un fusarbalète qui ressemblait à un fusil à canon long. Etrange accoutrement en vérité, d’autant qu’il ne portait pas la moindre pièce d’armure.
« Salut. Moi c’est Chuck, Chuck No’Risse. »

Il jeta un coup d’œil à notre groupe, et son regard s’arrêta sur Raymond. Il lui demanda alors: « As-tu nié ton nom ?
– Oui, mais où allons-nous si l’on nie nos noms? répondit-il.
– Ouais, on peut pas piper les dés par dépit!
– Y’a des cas qu’on croit cuit où quiconque est cocu!
– Un poulet dans l’palais est pas là pour êt’poli! » conclut Chuck. « Salut à toi, confrère Partisan!
– Et qu’est-ce que quelqu’un d’aussi important que vous, ô Maître de Jour, viens faire dans ce coin, si ce n’est pas trop indiscret?
– Je suis ici dans le cadre de l’opération Poulet Vagabond; et si tu ne sais pas ce que c’est, c’est que tu n’as pas à le savoir.» Et toc.
Djen, qui avait décidé de revenir à des choses plus importantes –comprendre: qui le concernaient–, questionna le nouvel arrivant, apparemment haut placé au sein de la Guilde des Voleurs, sur le sujet qui nous préoccupait actuellement :
– Dites-moi, euh…Chuck No’Risse, pouvez-vous nous fournir des informations sur Mjogard, sa localisation, principalement?
–Ah ! Mjogard ! Alors vous êtes au courant, pour l’opération ! Fallait le dire tout de suite !
–Ben non.
–…
–…
–…
–…
– Comment ça, non ? Vous êtes pas au courant ?
– T’es long à la détente, toi… » marmonnai-je. Cela me valu un regard que j’interprétais comme étant censé être noir, puisqu’il était plus inexpressif qu’autre chose.
– Non, nous ne sommes pas au courant » reprit notre cher voleur « Mais nous avons déjà eut maille à part… maille à faire… maille à… Des problèmes avec lui. »
Il me désigna, désigna Kian, puis reprit, d’une voix étrange, presque triste :
« Ce félyne, Zeck, et son ami mélinx, Kian, on vu ravagé leur village par les larbins de Mjogard, leurs amis massacrés, et leurs nyühas –en gros, les maisons félynes– incendiées.
– Ouais, ‘fin là t’exagères un peu quand même, nia. On est pas restés pour "voir nos amis massacrés, notre village ravagé et tout et tout". On s’est juste tirés en vitesse avant que l’un de ces bouchers ne nous repère, nia. » corrigea Kian.
« Quoiqu’il en soit, » conclut sieur No’Risse « vous allez tous m’accompagner à notre campement. Les coups un tant soit peu tordus sont vivement déconseillés, parce que n’oubliez pas que vous serez au milieu de voleurs, et ce n’est pas au vieux conga qu’on apprend à faire la grimace! »

Sur ces mots, nous partîmes, cinq cents, et en arrivant au port… Non pardon, je m’égare! Donc, disais-je: sur ces mots, nous partîmes, Chuck en tête, Raymond à l’arrière, et le reste au milieu. Dingue, non?
Je m’approchai de Kian, et lui dis: « Je ne sais pas ce que t’en penses, mais j’ai l’impression tenace qu’on a sauté à pattes-jointes dans une merde indicible, nia. J’ai l’impression permanente qu’un problème va nous tomber dessus d’une minute à l’autre, nia.»
Kian me jeta un regard en biais, puis tourna la tête vers moi pour me répondre.

Et le monde explosa.

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persos:

- Selgove (Selgove, humain) => ? (GS)/ ?
- Littledocteur (l'Affranchi, humain) => couteaux à lancer/ cape de voyage
- Lefandelabrume (Kian, mélinx) => griffes / rien
- NakVerrion (Rey, félyne, guerrier) => patte-de-chat / armure gland
- Gaga69 (Mjogard, humain) => gradios / full ioprey, casque bullfango
- juju35235 (Juji, humain) => titernia / full âme rathalos
- Noctashiny (Syon, humain) => lame serpent vile / full kutku
- cousine de Nocta (Syane, félyne, cuistot) => louche / tenue de cuistot
- JoRAskATTiTuDE2 (Jorask, humain) => eclipse dorée / full dragon X (sauf la tête)
- Smaug70 (Smaug, humain) => lame wyvern sang (katana) / full âme rathalos
- Dark-Angel69 (Darky, humain) => trancheur de démon / full caenataur
-DoWN_DeaTH (Boule, mosswine) => coupe à la Elvis

Il a osé.

Osé quoi? le mosswine? ou poster la fic?

Non, la fin!

Bah oui, justement, tu m'avais dis que ça surprenait, donc je l'ai laissée!

Et grace à Elektro, voici le lien de DL pour la fic complète!
http://www.mediafire.com/file/0inm2mmyzty/Prologue+[Les Chroniques d'Un Félyne].doc

Bonne suite, un peut courte masi bonne

je suis pas tout seul à une heure pareille!