bonne et lnogue lecture
Chapitre treize
1ère partie
Jusqu’à Chorrol
En repartant, Nel’Kalaah ne peut s’empêcher de regarder l’endroit où S’kriar était tombé. Il remarqua qu’une pointe de flèche en argent était coincée entre les dalles déformées. Il s’accroupit et ramassa la pointe, il la regarda attentivement. Puis, une main vint se poser sur son épaule :
-Allé, il faut partir.
Nel’Kalaah ne dit aucun mot et se releva. Il tourna une ultime fois la tête vers la flèche, puis suivit Xion. Une fois dehors, les assassins tendirent à Nel’Kalaah un magnifique cheval noir, il monta dessus. Puis Xion tourna sa tête vers lui :
-Par dans les montagnes Coloviennes, essaye de trouver le repaire du Renard Gris.
-Mais cette histoire c’est passée il y a 200 ans, cela m’étonnerait qu’il y soit toujours.
-C’est notre seul piste pour l’instant, notre seul espoir. Il faut que nous retrouvions ta sœur.
L’argonien pris les rennes et tourna son cheval. Avant qu’il ne soit hors de porté de voix, Xion lui hurla une chose :
-Vit en homme libre…
L’argonien l’entendit, et lui répondit :
-…Meurs en brave !
Un sourire fit son apparition sur le visage de la Lame.
Nel’Kalaah galopa en direction de Chorrol. Il contourna d’abord Cheydinhal, puis pris la route descendant à la Cité Impériale. On pouvait voir au loin l’immense et majestueuse tour d’or blanc qui scindait le ciel en deux. Le ciel était dégagé, pur, sans aucun nuage, les étoiles brillaient dans le ciel. Nel’Kalaah ne pus s’empêcher de regarder le spectacle. Mais son esprit qui admirait, et analysait cette chose si parfaite à ses yeux, remarque qu’à l’Est, les étoiles semblaient mortes, leurs lumières étaient blafardes et sans aucune vie. L’argonien avait l’impression qu’une partie du ciel était avalé par une chose. Un bruit le tira de sa réflexion. Un bruit de craquement de bois, un bruit sec et soudain. Sa réaction ne se fit pas attendre, il tira son épée, et stoppa son cheval. Une flèche vint s’abattre dans la cuisse avant droite de son cheval. Ce dernier cabra, et désarçonna son cavalier. Nel’Kalaah tomba au sol, la tête la première. Son épée roula loin de lui, et deux hommes, qui avaient l’airs de tout sauf de combattants loyaux, s’avancèrent vers lui. L’argonien attrapa la flèche de son cheval et courut en direction de ses adversaires. L’un était un Khajiit armé d’une hache de fer et d’un bouclier de cuivre avec une armure en fourrure, l’autre était un orc, armé d’une lourde claymore en acier, et était protégé par une imposante armure dwemer. Le choix de la cible de Nel’Kalaah fut simple et rapide, il courut vers le Khajiit et lui enfonça la flèche dans la carotide. L’orc frappa un immense coup, il réussi a détacher un bout de chair du dos de l’argonien. Une vive douleur lui arracha une expression de mort. Puis il prit la hache du Khajiit, il se retourna vers son adversaire. Une flèche lui frôla le visage. Il tourna la tête et vit l’archer encocher une nouvelle flèche. Le bruit de la fission de l’air le sauva, la claymore refrappa de nouveau dans la direction de Nel’Kalaah. Il se décala, et jeta la hache. Elle roula dans les airs, elle finit par atteindre l’archer qui se préparait à tirer. La mort de celui-ci, relâcha tous ses muscles, et la flèche partis. Elle siffla dans l’air, elle se planta dans le plastron de l’orc, mais la résistance de l’armure avait grandement atténué la puissance de l’impact. L’orc regarda l’argonien avec une expression de mort et de haine. Il retira la flèche et chargea Nel’Kalaah. Il était sans défense. Puis l’orc arrêta subitement sa course haineuse. La douleur se lisait sur son visage, et des gouttes de sang perlèrent le long de sa bouche.
Nel’Kalaah resta un moment bouche bée, puis il s’approcha lentement de l’orc. Il entendit le bruit du métal qui ressortait de la chair. Il détourna son regard du corps maintenant sans vie. Il fit un léger pas de décalage, et regarda la forme derrière son ennemi. Une cape rouge lui recouvrait tout le corps, et une capuche lui couvrait le visage. Mais des mèches blondes échappées de l’étreinte de la capuche, laissaient apercevoir la chevelure de son sauveur. Des yeux d’un bleu purs rayonnaient dans le noir de la capuche. Nel’Kalaah s’approcha prudemment de lui. Puis il murmura :
-Ta…Tana ?
Il n’y eut aucune réponse. L’argonien reprit de plus belle.
-C’est… C’est toi ?
-Oui.
Une joie immense emplie le cœur de Nel’Kalaah.
-Mais… Mais que fais tu ici ?
-Tu m’as sauvée la vie, je sauve la tienne.
Nel’Kalaah ne pus s’empêcher de sourire. Il la sera dans ses bras. Une larme sortit de ses yeux.
Puis Tana se dirigea vers le cheval, et regarda sa blessure. Elle était que superficielle. Elle découpa dans la cuirasse de fourrure une bande rigide, et fit un garrot au cheval, puis Nel’Kalaah l’aida à relever le cheval. L’argonien, conscient de ce que venait de faire Tana, demanda si elle voulait venir avec lui. Les yeux de Tana devinrent pétillants. Il n’y avait besoin d’aucune réponse. Ensuite, Tana repassa les rennes au dessus de l’encolure du cheval. Puis, ils marchèrent tranquillement, Nel’Kalaah était étonné de la voir ici, il lui posa plusieurs questions :
-Mais ? Que fait tu ici ?
-Après que nous avons été attaqués, tu m’as demandé de partir à Skingrad. Et bien en fait, j’ai fait demi-tour et puis après un ou deux kilomètres, je me suis dit que ne pouvais pas te laissé tous seul, alors je me suis retournée, et je t’ai suivis discrètement. Puis je t’ai vus te cacher en dessous du ponton, et t’ai vus rentré dans le château. A partir de là, plus question de te suivre. J’ai attendu devant les portes, puis un Khajiit arriva, et sans aucune sommation, il sortit son épée, et décapita le garde en faction. L’effet fut immédiat, touts les gardes du coin rappliquèrent. On aurait que cela lui plaisait de tuer touts ces gardes innocent. Puis il me demanda si tu était rentré, je hochai la tête, et il rentra comme si de rien n’était. Avant de partir, il m’a demandé de t’attendre dans la maison que tu vois là-bas, quand je te verrais passé, je devrais te rejoindre. Les bandits ne faisaient pas partit du plan, mais on s’en ai plutôt bien sortir.
Nel’Kalaah baissa la tête :
-Il est mort.
-Qui sa ?
-Le Khajiit, après m’avoir aidé dans le château je l’ai suivis à travers un réseau de galeries, pour finir dans la nature, puis j’ai continué a le suivre jusque dans une grotte faisant office de refuge. Après trois ou quatre heures passés dedans, des hommes appartenant à l’Aube Sanglante ont fait irruption. Le refuge, bien qu’il y avait de nombreux assassins, fut détruit. Pendant un élan de furie et de tuerie, S’kriar, le Khajiit, pris une flèche en plein cœur. Fou de rage, je commence à rentrer dans le tas. Puis un ombre est apparue, elle semblais invincible, et quand elle allait m’achevée, un homme d’une puissance redoutable, réussi a détourner son attention, et je réussis a la tuer. Puis, avec les deux assassins restant, et Xion, mon sauveur providentiel, on ressortit dehors, je pris un cheval.
Après avoir longuement discutés, les deux amis arrivèrent devant la Cité Impériale. L’aube venait de se lever, et la rosée commençait à tomber en ce moi de Hautzénith. Tana ne pus s’empêcher de regarder l’immense pont qui enjambait la Niben. Des dizaines de bateaux se rendaient ou repartaient des quais. Puis la main reptilienne de Nel’Kalaah vint se poser sur l’épaule de Tana. Il fit un léger geste de la tête, ils étaient arrivés au carrefour juste avant l’embranchement de devant la cité impériale. Ils tournèrent. Pendant encore deux trois heures ils marchèrent sur la route. Puis des bruits se firent entendre derrière un rocher.
Nel’Kalaah se mit en garde, Tana prit délicatement ses dagues. Puis cinq bandits surgirent. Ne s’attendant absolument pas à un tel nombre, ils sursautèrent. Puis, les bandits les chargèrent. Un étrange bruit apparu dans les airs, puis le bruit de la chair percée. Une flèche s’était plantée dans la tête d’un des bandits. Profitant de ce moment de surprise, les deux compagnons montèrent au contact. Tana était agile et rapide, elle avait gardée sont style de combat hérité de l’arène, elle se faufilait à travers l’acier et la mort. Son style était basé sur l’esquive et la contre attaque. Nel’Kalaah avait lui aussi gardé le même style, mais son style était plus bourrin et sauge, il frappait comme un sauvage. Tana évita un coup de hache, et planta une de ses dagues dans le ventre d’un bandit. Elle tourna sur elle-même, elle arracha la dague du ventre, et planta son autre dague dans la tête du dernier bandit. Nel’Kalaah venait de couper la tête d’un autre, et une nouvelle flèche perça l’air et alla se ficher dans la jambe du dernier bandit. Celui-ci tomba à genoux, et l’argonien, lui planta son épée dans l’abdomen. Ils étaient à mis chemin de Chorrol. Nel’Kalaah, qui était loin d’être dupe, il gardait son épée à la main. Puis un homme montra le bout de son visage, un superbe arc en ébène à la main, il s’approcha doucement du couple d’ami, puis il enleva le capuchon qui lui couvrait le visage :
-Bonjour, je m’appelle Teck, je suis dunmer, mon arc est vôtre, je serais ravit de vous assister pour tuer le Félon, je suis moi aussi un descendant de Lame. Mais j’ai du vivre, caché dans l’ombre, se sera un honneur d’accomplir le devoir de mon ancêtre.
Tana et Nel’Kalaah hochèrent la tête, un nouveau membres les avait rejoints. Avant de reprendre leur chemin, Teck ramassa ses flèches.
Ils arrivèrent à Chorrol vers midi, l’imposante muraille qui reflétait le soleil gardait encore des traces de l’attaque. Tana n’en revenait pas, des dizaines de soldats impériaux se tenaient devant les portes. Le groupe passa rapidement son chemin. Après encore deux heures de marche, ils arrivaient à la fin de la route pavée, et devant eux, les hautes montagnes Coloviennes. Epuisés de leur journée, ils décidèrent de s’arrêtés. Tana fit un feu, et Teck alla chasser. Nel’Kalaah s’éloigna un peu du camp improvisé.
Le ciel était de nouveau clair, et d’inquiétantes zones d´ombres, dénués d´étoiles, tantôt chaudes et luminescentes, splendides voiles diaphanes, embrasés projetant dans le ciel de fabuleux abraxas aux ailes turquoises, de pâles phalènes cendrées ou de magnifique alcyons à l´envergure d´émeraude, apparaissaient dans les yeux émerveillés de Nel’Kalaah
Dans le Néant grandissant, la lumière des étoiles mourait, laissant plané une idée de mort.
génial continu
Consistant, intéressant, travaillé, imaginitafi, bref superbe. Certaines phrases un poil longues et un peu lourdes (moins d´une par paragraphe), mais franchement c´est superbe.
C´est beau. Ta fic est digne d´entrer aux côtés de l´Assassin sasn Nom, du Traître Nécromancien et de Chroniques d´un Vampire.
SoK, ému d´assister à l´ascension d´un nouveau demi-dieu
voilà la suite, bonne lecture
Chapitre treize
2ème partie
Drame
La délicieuse odeur de chevreuil grillé caressa les narines écailleuses de l’argonien. Il contempla encore un instant le ciel, et se releva. Il s’approcha du feu. Tana découpait soigneusement les quartiers de viandes cuites, et remettait le reste sur le feu. Teck était mystérieux, il avait remis sa capuche et c’était assis en tailleur sur un rocher, l’arc posé sur ses jambes et quelques flèches dans son carquois. La lumière et la chaleur dispensée par le feu ne lui arrivaient que par petite quantité. Le peu de lumière lui éclairait le bas du visage et le rougeoiement des flammes se mélangeait à la couleur de sa peau bleu pâle. Nel’Kalaah eut un frisson en regardant se spectacle, puis il regarda Tana. Elle était out le contraire de lui, elle était belle et douce, son armure de cuir noir lui collait à la peau, moulant ses formes que l’argonien avalait. Ses cheveux étaient d’un blond intense, et ses yeux d’un bleu pur et luisants. Chacun de ses gestes étaient gracieux et rapide. Nel’Kalaah ne se lassait pas de la regarder. Après ce moment d’égarement, Tana lui tendit un morceau de viande cuite à point. Elle lui tendit une de ses dagues, et il commença à manger. Puis, sans aucun bruit perceptible, Teck se leva et alla les rejoindre. Après avoir mangés, ils allèrent se coucher. Teck retourna sur son rochet, et baissa la tête, une flèche était encochée dans la corde de l’arc.
Au petit matin, l’air froid venu des montagnes se faufila entre les vêtements chauds des amis. Ils se réveillèrent, fourbus. Les quelques braises encore fumantes produisaient une fumée grise et étouffée. Tana grelottait, elle s’approcha de Nel’Kalaah, bien que son armure soit esthétique et utile, elle ne lui couvrait pas la totalité du corps, elle laissait le haut du corps à l’air libre, l’intérieur de l’entrejambes, les avant-bras et les tibias. Nel’Kalaah, bien que portant qu’une simple armure de cuir noir complètement troué et déchiré de partout, l’offrit à Tana. Puis, Teck se leva à son tour. Il enleva doucement sa capuche avec ses deux mains, puis descendit de son rocher. On dirait que le silence et le tir à l’arc sont les seules choses qu’il sache faire, mais un compagnon sachant tirer à l’arc était plus que le bienvenu, surtout dans un moment pareille. Nel’Kalaah, pour sa part n’aimait guère le combat à distance, ou toute forme de magie, quelque qu’elle soit. Mais il devait reconnaître que cela était utile. C’est donc frigorifiés et brisés que le groupe partit à l’assaut de la montagne. Teck, avant de partir, pris soin de dispersées les braises.
Après avoir fini la viande froide de la veille, ils empruntèrent un petit chemin, rocailleux et tordu. La pente était abrupte. Plusieurs fois Tana et Nel’Kalaah glissèrent, mais toujours sans conséquences. Après avoir escaladé la montagne pendant deux longues heures, Ils n’en pouvaient plus. Teck remarqua un promontoire un peu plus loin, a environ deux cent mètres. Tana n’en pouvait plus, et l’altitude raréfiant l’oxygène présent, cela rendait le reprise de son souffle encore plus difficile, de plus les morsures du froid gelaient les muscles. Le malheur se produit. Les doigt engourdit de Tana lâchèrent, elle dévala la pente. Elle finit sa course sur un rocher donné par le miracle, il était tout seul, là, au milieu de nulle part. L’argonien regarda Teck, pas besoin de mot, ils dévalèrent eux aussi la pente, en faisant attention, ils rejoignirent très vite Tana. Une méchante plaie avait vu le jour au dessus de son crâne, et le sang chaud se mélangea à la glaciale chaleur de la neige, le contraste du sang et de la neige se voyait très bien. Quand les deux hommes arrivèrent sur le rocher de Tana, c’est la première chose qu’ils virent, Nel’Kalaah ne pus s’empêcher de maudire :
-Immaculé saloperie.
Le dunmer eut un léger sourire suite à la remarque de l’argonien. Puis le sérieux revint vite, Teck prit le pouls de Tana, elle était toujours en vie, elle était juste assommée. Nel’Kalaah regarda un instant autour de lui, puis il sentit une chose froide sur ses oreilles, il leva les yeux, de la neige, il neigeait. Cela ne pouvait pas plus mal tombé, il faisait froid, il neigeait, et Tana était assommée. Teck pris sa cape et recouvrit le corps inerte de Tana. Ils se serrèrent les uns contre les autres. Nel’Kalaah paraissait anormalement serein pour ce genre de situation, il souriait béatement en regardant le ciel, se qui énerva Teck :
-Pourquoi tu souris comme ça ?
-Ca toujours été mon rêve.
-Quel rêve ?
-De mourir prés du ciel, de mourir prés de se qui me fascine, de mourir si prés de cette beauté infinie et mystérieuse.
-Tu délires, c’est de la folie.
Le froid emporta petit à petit les âmes des compagnons, elles se mêlèrent à la fraîcheur de l’air, dansant avec les flocons de neiges, embrassant les figures parfaites et géométriques de cette blancheur pur et radieuse.
Se fut le froid qui les endormit, et se fut la chaleur qui les réveilla. Teck fut le premier à ouvrir ses yeux, les chaînes entravaient ses poignets, il comprit vite qu’ils étaient prisonniers, des formes s’agitaient loin, la lumière du feu les faisaient dansées sur le mur. Les formes s’approchèrent de lui, il referma vite les yeux :
-D’après toi, ils vont se réveillés dans combien de temps ? Dit la première voix.
-Bientôt, ça fait maintenant quatre heures qu’ils sont ici, et après le bourreau va gentiment s’amuser avec eux.
-Oui, il aime bien s’amuser.
Les voix se turent, et les deux hommes repartirent. Teck ouvra une paupière, puis la deuxième. Il regarda à sa droite, personne, il tourna la tête de l’autre côté, croyant que ses amis seraient de ce côté, mais son cœur se mit à battre très vite quand il vu un squelette avec des os brisés et encore attaché avec ses menottes. Il se ressaisit vite, les chaînes étaient rouillées, et le moindre contact avec son sang lui donnerait une maladie mortelle. Ses poignets étaient fins, mais pas assez pour qu’ils puissent glissés à travers le cercle de fer de son entrave, et la marge offerte par ses liens était considérablement faibles. A l’aide de son pied il attrapa un os, et le frappa violemment sur le sol, de façon à obtenir une pointe. Il était très agile et souple, il réussi à faire passer la pointe dans ses mains, puis, il fit un bruit assez fort pour être entendu. Un homme couru jusqu´à lui et se pencha. Teck ouvrit les lui planta l’os dans la gorge. L’homme n’eut pas le temps de crier. Teck ramassa les clés, et fit la même chose qu’il avait fait pour l’os, il se délivra très vite et se releva.
Il avançait avec beaucoup de prudence, il prit l’épée du mort et continua sa route. Un homme, une lance à la main, se tenait prés du feu, il tournait le dos au dunmer. Teck avança sans bruit, et l’égorgea. Le sang qui gicla dans le feu le fit crépité. Teck abandonna son épée, et ramassa la lance. Il continua sa route. Il arriva jusque dans une immense pièce. Des dizaines de personne chahutaient. Il passa vite sa route. Il continua à avancer toujours tout droit. Il finit par arriver a ce qui semblait être la prison des bandits. Il y avait quatre hommes en faction. Au mieux Teck pourrait en tuer deux d’un coup, puis les autres viendraient sur lui, il fallait qu’il trouve autre chose. Pas question de se déguiser, les hommes se connaissaient trop bien entre eux. Il chercha vainement une idée, mais rien, pas même le début de stratégie lui venait à l’esprit. Quand soudain, il y une idée. Il retourna vers l’endroit où il était attaché, poussa le cadavre, et le cacha, puis il fit semblant de s’être réveiller en bougeant au maximum ses chaînes. Un homme cagoulé arriva et rigola, il se dirigea ensuite vers Teck, et lui enleva ses chaînes, que Teck avait pris soin de remettre correctement. Le bourreau l’emmena dans une salle qui sentait la peur et le sang, la haine et la soumission. Il vit Tana attacher, gisant au milieu de son sang. La rage et la colère l’emportèrent, il planta le morceau d’os du premier bandit. Le bourreau était robuste de constitution, un simple morceau d’os ne suffisait à le tuer. Il empoigna le dunmer, et le jeta contre les grilles d’une cellule. Son épaule se déboîta. La Mort allait le frapper. Puis, une forme familière vint se loger dans son œil, une forme reptilienne. L’épée noire de Nel’Kalaah transperça son corps de toute la longueur de sa lame. Il l’enfonça jusqu´à la garde. Le bourreau voulut crier, mais Teck reprit le bout d’os, et lui trancha la gorge. Le sang l’éclaboussa. Puis, le corps sans vie de l’homme tomba au sol. Quand Nel’Kalaah vit le corps de son amie dans cette position humiliante, il ne pus s’empêcher de pleurer. Teck se releva, et enleva le sang qu’il avait sur lui grâce à un des nombreux bouts de tissus présents. Teck se tourna de nouveau vers Tana et repris son pouls. Elle vivait encore, mais faiblement, elle s’accrochait à la vie. Teck la prit sur ses épaules, et Nel’Kalaah lui donna son arc. Teck s’interrogea :
-Comment tu as réussis à te libérer, et retrouver ton arme ?
-Quand on est resté sur ce rocher, tu t’es endormit de fatigue, mais moi j’ai réussis à rester éveillé plus longtemps, puis j’ai entendu des bruits. Je me suis caché en dessous du rocher, en priant que mes doigts ne me lâche pas. J’ai réussis à tenir, et ses brutes sont partis. Je n’ai pas eut ensuite de mal à suivre leurs traces de pas dans la neiges. Je suis entré et j’ai attendus que la sentinelle soit appeler par ses besoins naturels. Je suis rentré, et je me suis dirigé aléatoirement, et une chance pour toi, je suis arrivé au bon moment.
-Oui, en effet, ravi de te revoir. Il faut qu’on sorte d’ici et qu’ont prennent Tana.
Ils se dirigèrent vers Tana, et la prirent. Puis, le plus discrètement possible, ils essayèrent de trouver la sortie. Après avoir déambulé dans les couloirs pendant plus de cinq heures, ils finirent par retrouver la sortie, mais la sentinelle était revenue. Teck banda son arc, et la flèche finit dans la t^te de l’homme. Le bruit du métal rentrant en contact avec la flèche fit sourire le dunmer. Puis ils ressortirent aussi vite que possible. Ils étaient sur un promontoire rocheux extrêmement étroit, le moindre faux pas et c’était la mort assurée. Ils marchèrent en suivant les traces de pas des bandits. Après encore deux heures de marches, ils finirent par arriver sur une petite vallée où les rayons du soleil se mélangeaient à la neige fine et légère. Ils continuèrent à avancer doucement et tranquillement pour éviter de trop secouer Tana. Ils finirent par s’installer un camp provisoire près d’un sapin robuste et jeune. Nel’Kalaah fit un feu, et Teck repartis chassé. Nel’Kalaah arracha un morceau de son reste de combinaison, ramassa un peu de neige, et la mit dedans, il mit ensuite le tout au dessus du feu, et attendit que l’eau devienne chaude. Il nettoya ensuite le visage angélique de Tana, il la débarrassait du sang séché, de la terre accrochée ases bras, des bout de métal plantés dans ses jambes. Il lui fit une toilette complète. Puis il s’adossa contre le pin, en attendant le retour de son ami. Bien que l’environnement emblait endormit et calme, l’argonien gardait son épée dans sa main.
Teck arriva après une bonne heure. Il ramenait un oiseau, ainsi que deux petit rongeurs. Ils préparèrent le repas en déplument l’oiseau et en éviscérant les rongeurs. La neige à cet endroit avait pris une teinte rouge, et la pureté de la neige avait été comme souillée par le sang. Nel’Kalaah ne pouvant laisser une telle trace, envoya la neige dans le petit cours d’eau qui passait à proximité. Ils firent cuirent la viande. La douceur du feu, et l’odeur de la viande ramenèrent doucement Tana dans le monde des vivants. Les yeux de ses camarades furent remplis d’une joie indescriptible.
un petit up, et je vous invite a aller lire la fic de TESCBahamut
J´ai trouvé UNE faute ! ^^
"ils préparèrent le repas en déplumAnt l´oiseau", et pas "déplument".
SoK, content XD
P.S : Ca doit être dur, non ? Tant de talent et si peu de lecteurs... Franchement là je suis conquis, j´aurais jamais dit ça avant mais t´est sans doute meilleur que "Angie" au niveau du style. Pour les idées je sais pas mais le style il y a pas photo. Et pourtant je suis quasiment le seul à t´encourager... Ne t´arrête pas, s´il te plaît, ne t´arrête pas.
C´est une Fic bien agréable à lire
meme plus continue comme sa
merci infiniment a tous, je vous promet de ne pas m´arrêter, les quelques com que je réussi a avoir me vont droit au coeur, et merci de soutien permanent SoK, et bien sur merci autre autre, mais avc la rentrée approchant, je doit dire que la fic va souvent se retrouvé dans les tréfond du fofo. bon voilà. merci, avec un peu de chance je posterai la suite demain, d´apeu près même longueur
bon film a tous
voilà la suite. bonne lecture a tous. et pensez à aller lire la fic de TESBahamut. je c´est je suis chiant avec sa, mais, elle est bien écrite.
Chapitre treize
3ème partie
Perdus
Ils se retinrent de la serrée dans leurs bras, de peur de lui causer encore plus de mal, mais ils étaient énormément content. Ils finirent de faire cuire la viande. La délicieuse odeur était vraiment alléchante et faisait mourir de faim les trois compagnons. Elle ne serait pas cuite avant au moins deux bonnes heures. Teck partit faire un tour pour explorer les environs. Sa démarche souple et rapide, simple et silencieuse étonnait l’argonien. Sa longue cape rouge frôlait la neige, et l’usure était l’amie de cette cape. En effet en bas de cette dernière les trous et autres signes se faisaient légion. Son arc à la main, il partit, bien que la couleur ne soit pas ce qu’il y avait de mieux pour se camoufler, le dunmer disparut rapidement aux yeux des deux anciens gladiateurs. Tana était encore mal au point, elle demanda de l’eau à Nel’Kalaah. Il hocha la tête, et refit bouillir de la neige. Tana était fasciné par ce dévouement sans faille, elle le respectait énormément, et ferait tout pour l’aider. Elle adorait la manière dont ce conduisait l’argonien quand elle était présente. Nel’Kalaah lui tendit le cuir bouillant, plein du liquide de vie. Elle souriait, puis en bus une gorgée. Elle observait intensément le visage écailleux de Nel’Kalaah.
Son regard était intense, se dérangea un peu l’argonien, mais il se laissa faire. Les yeux de Tana parcouraient tout son visage, Les écailles qui le recouvraient étaient noires et rouges, comme si cet argonien était vieux et malade, ses yeux étaient oranges, et la large pupille qui fendait en deux les yeux des argoniens était totalement rétractée à cause de la blancheur de la neige, une cicatrice traversait l’œil gauche de l’argonien, à cet endroit, les écailles étaient plus douce, et reflétaient la lumière chaude du soleil. Les longues épines qui remontaient, puis descendaient le long de son visage, donnait un aspect de vieillesse extrême. Puis elle descendit son regard, qui finit par se poser sur ces mains. Elles étaient pleines de coupures et d’entailles, le froid avait formé des crevasses dans ces mains. Elle continua à descendre, elle voulait en faire un portrait complet, mais un bruit horrible et strident la tira de son enquête.
Nel’Kalaah lâcha la viande, et dégaina son épée noire. Le feu crépita quand la chair presque à point se mélangea aux braises. Tana tourna la tête, et pris une dague, cachée dans une doublure de son armure de cuir. Elle tourna la tête ensuite vers on ami. Celui-ci était accroupit, lame légèrement en avant. Il lui fit un signe de la tête, puis il monta à l’arbre. Tana continua à regarder autour d’elle, pas le moindre signe de Teck. Puis, une forme émergea de la neige, puis encore une autre, bientôt se fut presque une petite troupe qui se massait devant le camp de fortune des trois amis. Nel’Kalaah guettait les environs pour essayer d’apercevoir Teck. Le cœur de Tana en bas, s’emballait, les hommes s’approchaient d’eux, sans s’arrêtés. Tana les regarda de plus prés, c’étaient des sortes de zombies. Mais pas les mêmes que l’on trouvait dans les ruines Ayléide, ceux là étaient mous et sans aucun esprit de faim, mais il avançaient lentement, comme attirés par la chair et le sang. Ils avançaient doucement vers Tana. Nel’Kalaah descendit de son arbre et faucha ses immondices. Tana, essayait quand même d’en tué un ou deux. Puis une flèche fusa, puis une autre, et coup sur coup, elles touchèrent juste. Teck était de retour. Il bandait son arc, puis reprenait flèche. Les zombis tombaient par dizaines. Mais ils étaient beaucoup trop nombreux, car déjà d’autres arrivaient. Après avoir tué les derniers de ce qui semblait être le premier groupe. Teck courut vers Tana et Nel’Kalaah :
-Sa va ?
-Une bande de chose vient de nous attaquer, et tu demandes si on va bien ? Eh bien non, il y en avait pas beaucoup, lui répondit l’argonien. Teck esquissa un léger sourire.
- Bon, on ne va pas rester quand même ? Demanda Tana.
-Oui, en effet, des dizaines de milliers de ces saloperies viennent vers nous.
-Dizaines de milliers ? Mais où est que l’on est là ? Demanda Nel’Kalaah.
-Je ne sais pas, j’ai exploré les alentours, et bien je peux vous dire que c’est une véritable cuvette.
Le bruit des choses décomposées commençait à se faire entendre.
-Bon, il faut qu’on parte.
Tana s’accrocha à l’épaule de l’argonien, qui avait encore sa lame ensanglantée dans la main.
Teck courait, tout en tirant des flèches, il tirait incroyablement bien, chaque trait faisait mouche. Mais les flèches sont des ressources limitées, En voulant en prendre une autre, le vide dans le carquois. Il s’énerva. Il demanda à Tana une dague, elle lui tendit la seule qu’elle avait. Ils continuaient à courir, toujours poursuivit par la Horde. Puis, le sol commença à chauffer sou leurs pieds. Teck regarda. Le sol devenait rouge sans, et une odeur de putréfaction s’en dégageait. Ils continuèrent à marcher. Puis, le sol commença à coller sous leurs semelles. La chaleur extérieure commençait à monter. Nel’Kalaah tourna la tête, Teck avait disparut. Il regarda Tana un cours instant. Elle souriait. L’argonien ne pus s’empêcher de sourire lui aussi. Puis, il s’aperçut que sa substance commençait à disparaître, une partie de son bras partait en poussière, quand il retourna la tête vers Tana, celle si avait disparut. Il s’effaça lentement.
Dans le Néant grandissant, la Horde commençait à avancer.
Tana se réveilla dans un monde chaud et étrange, mais ce n’était pas l’Oblivion, c’était encore un autre plan. Elle se toucha un peu tout le corps pour savoir si elle était entière. Puis, elle remarqua qu’elle avait toujours son armure. Elle se releva ferment et s’aida de la paroi pour s’aider à marcher. La main contre les rocher, elle avançait prudemment, faisant attention où elle mettait ses pieds. Elle ramassa un morceau de bois qui traînait sur le sol. Elle continua à avancer. Pendant trois heures elle déambulait dans ce monde infernal, chaud, mais peuplé d’arbres. C’était un monde étrange, l’odeur de putréfaction était omniprésente, le ciel était noir, un noir plus dur encore que le plus profond désespoir. Elle continua à avancer, doucement, puis au tournant d’un rocher, une tour se dressa devant elle. Des cris à déchirer le sommeil d’un mort émanaient de cette sombre tour. Sa hauteur était vertigineuse, et d’immenses pics se dressaient partout. Elle sentit le sol se désagrégé sous ses pieds. Elle couru vers atour, et poussa la porte faite d’un matériaux inconnu.
A l’intérieur, l’odeur était encore plus insupportable qu’à l’extérieur, et la chaleur donnait à cette odeur une puissance écœurante. Tana eut des spasmes, elle vomit le peu de chose qui lui restait dans l’estomac. Puis, elle se ressaisit, et continua sa route. Une sorte de zombi se tenait là. Grâce à son armure, Tana réussie à passer inaperçue. Elle grimpa dans la tour, en faisant le plus de pose possible. Après plus de six heures passée dans cette maudite tour, elle finit par arriver dans une vaste salle, sans aucune forme de vie, du moins de ce qu’elle voyait. Elle avança prudemment, puis elle arriva devant une vaste table où était entreposé un bazar d’armes et d’armures. Elle fouilla le tas et finit par dénicher quatre superbes, et magnifiques dagues deadriques. Elle en mit deux dans ses étuis, une dans son dos, et la dernière dans la doublure de son armure. Elle continua à avancer, elle finit par arriver à ce qui semblait être la dernière salle de la tour, et l’odeur qui en sortait était encore pire que dans toute la tour. Bien qu’elle s’était habituée à l’odeur, un profond dégoût apparut dans son esprit. Elle avança puis vit des formes, ce n’était pas des humains, mais ces formes ressemblaient à des humanoïdes. Il devait y en avoir cinq ou six. Elle évalua le risque de se faire tuer, elle prit en compte ses récentes blessures, elle se sentait capable de la faire.
Elle attrapa la dague dans son dos, et la lança. Elle atterrit dans la gorge d’un premier, une immense de gerbe de sang d’une couleur sans nom s’échappa de son corps. Les autres poussèrent des cris. Ces cris étaient impossibles à décrire tellement ils étaient étranges et lugubres, aigus et désespérant, touchant au plus profond l’âme de Tana. Puis, elle se leva, et couru en direction des humanoïdes. Ses ennemis chargèrent sans préavis. Tana sortis ses deux dagues, tourna ses bras, une dague rentra en plongeant dans la gorge d’un premier, entraîné par la force du bras, il fut projeté, le sang s’écoula abondamment de sa blessure. La seconde dague rentra dans le cœur d’un autre. Les deux autres restant, reculèrent. Le sang, entraîné par la force centrifuge, formait des arcs de cercles autour de celle que l’on appelait la Faucheuse. Puis, les dagues traversèrent le rideau de sang, et vinrent se plantées dans les têtes des deux restants, elle récupéra ses trois dagues, et les rangea à nouveau. Elle regardait le combat qu’elle venait de faire, le sang tapissait les murs et le sol. Puis, elle regarda autour d’elle, une immense porte se tenait devant elle. Elle entra.
up
Wouhaaa, ça c´est de la suite !
Je sais que je ne post plus beaucoup de commentaire mais sache que je suis encore la et que je continue a lire. C´est juste que j´ai pas envie de répéter a chaque fois "c´est tres bien continue". donc des que j´aurais quelque chose de constructif a dire, je le dirais, mais si tu vois pas de commentaire, prend ça pour un "c´est tres bien continue" (vive le copier coller ^_^)
SonOfKhaine Posté le 19 août 2007 à 18:59:50 Trés bien, voire même encore un peu plus. Franchement, pas grand chose à dire à part que c´est bien.
Ah, Watcha, ça fait du bien de croiser un vieux routard (tu m´as sans doute croisé sous le nom du DunmerVampire, mon heure de gloire...), il est vrai que l´Assassin sans Nom est un chef d´oeuvre méconnu du jeune public, je te remercie de leur faire partager l´anthologie des fics de ce fofo.
SoK, qui se demande quand il trouvera le temps de se remettre à sa dernière fic, le Mécréant et l´Inquisiteur...
Désoler si j´ai mis du temps a répondre a ce message, mais pendant un moment je n´ai fait que sauter les coms et je passais directement a la fic. Donc oui, je me souviens de toi quand tu étais le DunmerVampire, mais je n´ai jamais lu tes fics je crois.
juste pour vous dire que j´ai une pêche d´enfer (sa c´est la partie dont out le monde s´en fout), et que j´ai une put*in d´inspiration, l suite vers le début de l´aprèm (ca, se doit être la partie sui interesse un peu plus)
Wha ! Super cool la suite. Et encore plus cool, le fait qu´on va bientôt avoir sa petite soeur ^^
Quand à toi, Watcha, ben ça m´étonne assez moyennement, j´ai pas toujours été trés heureux avec mes fics (pis selon la période où tu étais actif, c´était plus ou moins merdique, mes débuts puaient vraiment comme pas possible ^^).
SoK, D-S 4ever !
euh, meridia, c´est bien la prissece de la vie, enfin la Tisseuse?
voilà la suite, un peu moins longue, veuillez m´en escusez, mais je révise un peu beaucoup ^^.
Chapitre quatorze
1ère partie
Rencontre avec un Deadra
Tana entrouvrit la lourde et immense porte faite d’un matériau inconnu. Elle passa d’abord la tête, ses mèches blondes se mêlèrent à la rougeur de la porte, elles semblaient comme être aspirées, comme si la porte mangeait toutes les choses vivantes qui la touchaient. Puis, elle passa le reste de son corps. Ses lanières de cuirs frottaient contre la porte, celle-ci produisit un son étrange, un son envoûtant et hypnotique. Heureusement pour elle, elle avait déjà glissée sa tête dans l’autre pièce. Elle remarqua que des dizaines de milliers de bras, de jambes et de têtes dépassaient des murs, et une complainte de mort était présente dans les lieux. Tana commençait elle aussi à disparaître, sa jambe commençait à être avalée, mais cette vision d’horreur, rompit l’effet hypnotique. Elle retira sa jambe. Puis, en faisant extrêmement attention où elle marchait, elle regardait cette étrange décoration. Il est difficile de décrire ce que ressentait son esprit à se moment là, un mélange puissant mélange de dégoût, de colère et de pitié. Elle continua à avancer. Elle semblait être dans une sorte de pièce rituelle. Des dagues, et des ornements sacrificiels étaient un peu partout disséminés dans l’immense pièce. Puis, elle entendue un bruit à sa droite. Elle pensa un moment se plaquer contre le mur, mais elle ne le fit pas, elle se contenta de s’accroupir, une dague à la main. Puis, une immense ombre passa devant elle, les marques de pas qu’elle laissait dans le sol, semblait corrompre pour l’éternité, une couleur noire se dégageait de ses pas, ne faisant que confirmé ce que Tana ressentait, une peur immense, mêlée à un désespoir profond. Elle tourna la tête, la forme avait disparue, puis elle se remit en route, elle sentit ses jambes s’immobiliser, puis ses bras, elle tourna la tête.
La forme se tenait, là, les doigts dans une position étrange, le regard tourné vers Tana. Puis, elle ressentit à nouveau ses membres rembougés. La forme s’approcha d’elle, sa voix était sourde et grave :
-Jeune mortelle que fait tu ici, comment oses tu rentrée dans mon royaume ?
-Votre royaume ? Je n’en savait rien, mes amis et moi avons été emmenés ici, lui répondit Tana avec une voix chancelante.
-Hum, tu sembles ignorée qui je suis.
Tana hocha la tête.
-Je suis Meridia, la princesse deadrique de la vie, on me surnommait la Tisseuse.
-Enchantée de faire vote connaissance princesse Meridia.
-Bien, cela faisait longtemps qu’un mortel n’était pas venu, si vous m’aidée, je ferais en sorte de retrouvée et de libérée vos amis.
-D’accord fit Tana, que dois-je faire ?
-Tu dois tuer tout un village. Il se trouve au nord de ma propriété, vient donne moi la main.
Tana hésita un petit moment, et lui tendit la main.
Elle était déboussolée, la téléportation lui avait fait perdre tout repère temporelle et cardinal. Puis après dix minutes, elle finit par se ressaisir, puis tourna son visage vers la princesse deadrique. Sans aucun mot, la Deadra pointa son doigt vers un petit village, mais celui-ci avait out d’un village normal. Le ciel au dessus de ce dernier était bleu, avec quelque nuage. Il devait y avoir cinq ou six maisons, toutes tournées vers l’intérieur. Les murs étaient en pierres, et le toit en chaume, cela permis à Tana de se souvenir que dans un lointain passé elle avait une famille. Elle s’égara un instant hors du temps et de la vie.
Elle se souvenait, une famille heureuse, son père était, là, entrain de déposer la viande dans l’âtre de la cheminée pour la faire cuire. Elle arriva encore à se souvenir de cette odeur. Sa mère se trouvait dans un coin, tricotant un pull pour son petit frère, sa mère était sur une chaise, souriant en le regardant. Elle, elle était derrière sa mère, lui brossant les cheveux. L’ambiance était chaleureuse. Puis son père les appela pour venir manger. Tana mit la table. C’était une enfant adorable. Puis, sa mère servit le repas, et là, tout bascula. Des bandits firent irruption dans la maison, et une flèche se planta dans la tête de sa mère, et une hacha déchira le vente de son père. Son frère fut jeté dans le feu, et Tana reçut un coup de masse sur la tête. Quand elle se releva, l’odeur de la chair humaine cuite et brûlée emplissait les lieux. Quand elle vit tout ce sang autour d’elle, elle s’enfuit, et fut ramassée par un homme, avec plein d’enfant dans une cage.
La main de la Meridia la ramena dans nôtre monde. Une légère larme s’écoula de sa joue poussiéreuse et ensanglantée. Elle commença à marcher en direction du petit village. Bien, qu’apparemment la distance séparant Tana du village ne semblait par énorme, une centaine de mètre tout au plus, elle avait l’impression que plus elle marchait, plus le village s’éloignait. Elle marcha ainsi pendant deux heures, sans courir, ni se reposer. Elle finit par arriver au village, le ciel au dessus d’elle était noir, et la lumière des étoiles arrosait les frêles habitations. Elle s’avança tranquillement, elle ouvrit la première porte, mais là, le spectacle qui l’attendait fut d’une douleur atroce. Une petite fille, un petit garçon avec sa mère et son père. Tana lâcha sa dague, et des larmes s’échappèrent de ses yeux. Le bruit du métal raisonna dans l’unique pièce, mais ne réveilla pas les habitant. Touts ses souvenirs revinrent en même temps que ses yeux contemplaient la scène qui se déroulait. Elle s’approcha de la petite fille. Elle était blonde, ses yeux étaient bleus, et ses mains douces, et son visage angélique. Elle recula vivement. Elle trébucha et s’assomma. Quand elle se réveilla, la petite fille brossait les cheveux de sa mère, cette dernière tricotait un pull pour le petit garçon, et le père faisait cuire de la viande. Puis, la petite fille mis la table, et des hommes armés firent irruption, ils tuèrent toute la famille sauf la petite fille. Tana était, là, au milieu de ce rêve, sans pouvoir faire quelque chose, elle donnait des coups de dagues, mais elles traversaient les corps fantomatiques des bandits. Puis, elle s’évanouie. Elle se réveilla au côté de la Deadra.
Tana ne savait absolument pas ce qui c’était passé. Mais elle se réveilla dans la même pièce où elle avait rencontré la Deadra. Elle se releva doucement, en évitant toujours de se tenir contre le mur. Puis, Meridia arriva, elle aida la Faucheuse à se relever. Puis, sa voix déchira à nouveau le silence :
-Je suis ravie que tu n’es pas obéie à mes ordres, maintenant que tu as passé ton test, tu vas pouvoir réellement commencé ma volonté. Je vais te renvoyer en Cyrodiil et tu devras te rendre à mon sanctuaire, tu devras y faire une offrande constituée d’un morceau de chose mort-vivant.
Sur ces mots, Tana se retrouvas projeté près d’un endroit en ruine.
Elle se releva promptement, et regarda autour d’elle. Le ciel était clair, et le soleil éclairait l’air environnant. Une odeur de mousse fraîche planait dans le airs, et le contraste chaud des rayons solaires avec la fraîcheur ambiante du sol laissait planer un calme totale. Tana était ravie de voir à nouveau le soleil, et les quelques nuages qui planaient dans le ciel rendaient cette vision magique et enchanteresse. Tana ressentait les embruns des rayons sur sa peau, le vent soufflait, s’infiltrant dans l’être de Tana, elle se sentait comme possédée par les forces telluriques en provenance de la Terre. Elle se sentait reposée et détendue pour la première fois depuis on évasion. Elle se ressaisit vite et se mit en marche vers la cité la plus proche. Quand elle traversa la forêt, elle ne pouvait s’empêcher de tout sentir, de tout toucher. Elle était heureuse, mais une voix vint perturbée ce bonheur. C’était la voix de la Deadra. Tana suivit les indications à la lettre, elle finit par arriver devant le sanctuaire délabré de la Deadra. Elle se mit vite au travail, elle remit les bancs en place, elle coupa et enleva les lierres et les ronces qui avaient envahit la sculpture de Meridia, cela lui prit une bonne après midi, puis, une fois ce travail effectué, la voix lui reparla. Elle devait se rendre dans une grotte.
franchement tu es en train de prendre la meme route que ange de la mort donc vraiment félicitation et merci pour les quelques minutes de bonheurs que tu nous fait lire !! et continue comme sa
Bravo, bravo je suis trop content de lire ta fic
Ps: merci pour la pub ^^
Mais non non, non, non !
A te lire je sais pas exactement de uqi tu veux parler, masi je pense qu´il s´agit de Méridia, la Maîtresse des Energies Eternelles (la vie et la mort quoi). Les dagues, lames, ornements sacrificiels et le surnum de la tisseuse (et aussi de l´Androgyne), c´est Méphala, Princesse Daedra du Meurtre, divinité tutélaire de la Morag Tong (et de la Confrérie Noire sosu le nom de la Mère de la Nuit), c´est aussi l´Anticipation de Vivec et l´un des Deadra bienveillants de la culture Dunmer.
A part ça c´est sympa, comme d´hab ;- )
Sok, que la vengeance de Méphala s´abatte sur toi ! ^^