nempeche on la plus revu il a deserter jeuxvideo.com sérieux c´étais un sacré ecrivain se gars la ! et la ... miracle ANGE DE LA MORT TU ES REVENU
Ange de la mort aurais été fière de toi ange de la mort nous attendons ton retour !
oui, bon, si tuarrêter de pourir mon tipic, merci
désole
vivement la suite !!
désoler d´être un peu en retard ^^. voici la suite, bonne lecture.
Chapitre dix
1ère partie
Infiltration au château
Nel’Kalaah partit vers le château avec une idée bien précise en tête. Il voulait voir le comte, et le mendiant ne l’avait que trop aidé. Il avait toutes les informations dont il avait besoin pour se faufiler dans le château. Mais en gravissant la petite colline sur lequel était posée la forteresse, il repensa à son infiltration. Le comte avait certainement un garde du corps. Il fit demi-tour et retourna vers le mendiant. Celui-ci était encore groggy et paraissait se satisfaire du sol comme matelas. Il souriait bêtement en voyant ce mendiant allongé sur le sol avec des résidus de verre et de bière autour de lui. Puis, il se reprit au sérieux. Il se retourna vers la couche du mendiant et s’y reposa.
Le son des souris courant dans l’herbe réveilla l’argonien. Son estomac criait famine. Aussi vif que l’éclair, il en attrapa une, et l’englouti aussi sec. Il avait l’habitude, les repas de l’arène était mauvais et très souvent insuffisant, alors il mangeait des souris. Mais le goût des souris de l’arène était différent de celle-ci. Bref, après un rapide petit déjeuner, il se dirigea vers se qui semblait être un magasin de vêtement. Il y entra et demanda des habits noirs. L’impériale, fort surprise, lui donna se qu’il désirait. Nel’Kalaah enfila sa tenue et lui demanda le prix, 400 septims. Il regarda la marchante, et lui dit qu’il ne lui restait plus que 250 septims. Il du consentir a laisser ses jambières et son heaume pour finir de payer.
Quand il ressortit, les gardes couraient partout en criant qu’un étranger argonien était recherché. Nel’Kalaah ne perdit pas son sang froid, il jeta un rapide coup d’œil, et estima la distance qui le séparait du ruisseau, il pouvait y arriver. Il courut et sauta dans l’eau. Un garde qui passait par là, le vit plonger à l’eau et ameuta toute la garde. Ils arrivaient de partout, tirant des flèches dans l’eau. Ils ne voyaient pas qu’une ombre se glissait vers le petit ponton, juste à deux brasses d’eux. Mais là encore, un archer le vit se déplacer, ils se déplacèrent tous vers la nouvelle direction. Les flèches fusaient dans l’eau et Nel’Kalaah ne du sa survit qu’à un petit poisson innocent qui passait par là. Il l’attrapa, et sortit son épée avec beaucoup de prudence, puis il lui ouvrit le ventre. Du sang s’échappa, laissant croire aux gardes qu’ils avaient faits mouche. Fiers de leur exploit, ils ne cherchèrent même pas à retrouver le corps, pensant qu’il serait emporté par le courant.
Nel’Kalaah resta accroché à se ponton toute la journée, pensant à se rêve, essayant de le décrypter, de percer ses secrets.
Puis, la nuit repris doucement la place du jour, et les étoiles commencèrent à illuminées le ciel de leurs éclats blanchâtre. Nel’Kalaah s’égara un moment dans ses pensées. Les rayons des étoiles qui rentraient dans l’eau, donnaient un bal de couleur au multi reflet, aux couleurs chatoyantes pour les yeux de l’argonien, et une larme sortit des ses yeux pour finir dans l’eau. Il ressortit de l’eau, et se dirigea vers le château.
Par chance, pendant un moment d’inattention, un garde tourna sa tête. Nel’Kalaah sortit son épée, et la lui planta dans le ventre. Le bruit des os de la colonne craquants sous le fer de son épée, donna une mélodie triste. Il continua sa route et emprunta le chemin de garde sur les remparts. Il vit un garde monté la garde (pas de commentaires sur cette phrase merci) devant une porte. Il devait s’ennuyer car son attention ne se porta même pas sur de petits yeux orange, brisant ainsi la pénombre. L’argonien sortit son épée, et la lança sur le garde, le cœur battant vint s’embrocher sur la lame noire. Il la récupéra et entra dans le château.
bon, voici la suite, en espérant avoir un peu plus de com. bonne lecture
Chapitre dix
2ème partie
Infiltration
Il entra sans faire de bruit. Il était visiblement dans les souterrains. Les quelques torches, plantées avec parcimonies, n’éclairaient que faiblement l’étroit couloir. Son ombre se mêlait aux danses des flammes. Il gravit les escaliers, et poussa la porte. Il entra dans pièce. L’odeur des bougies fraîchement éteinte imprégnait la pièce. Il regarda autour de lui, une immense table avec des assiettes et des verres. Touts étaient en bazar. Son effort dans l’eau lui avait coûté pas mal de ressources. Il s’approcha discrètement des restes et grignota du pain, du fromage et des légumes. Puis, pour étancher sa soif, il prit un peu de vin. Soudain des bruits le tirèrent de sa collation. Des bruits métalliques et des rires grossiers. Il s’agissait visiblement de gardes qui avaient apparemment eux aussi une petite faim. Nel’Kalaah se dépêcha de se cacher. Les gardes arrivèrent. Par chance, un d’eux ferma la porte, laissant son copain seul. L’argonien s’approcha. Sa lame pénétra dans la gorge molle du garde, une gerbe de sang jaillit, arrosant le garde restant. Ce dernier n’eu pas le temps de crié. Une lame siffla dans l’air, coupant l’air comme elle allait coupée le corps de sa cible. Elle manqua de se peu sa cible, mais trancha la carotide du garde. Il n’eu pas la force de crié. Ses forces disparaissaient. L’argonien regarda un cours instant le garde, qui agonisait devant ses yeux. Il le regardait se vider de son sang. Le garde gémissait. Puis, il mourut, dans la salle noire, la mort avait frappée. Les gardes étaient morts dans la glaciale chaleur du marbre et de la pierre.
Après cet exploit, Nel’Kalaah sortit de la pièce et se dirigea vers là où les gardes étaient arrivés. Il poussa légèrement la pote, laissant un fin liserait d’air s’échappé de la pièces voisine. Il regarda, Aucun gardes en vue. Il ouvrit discrètement la porte en entier et se faufila derrière une colonne. Il était à présent dans la pièce principale. Il devait y avoir cinq ou six gardes dans les escaliers et devant la porte du comte. Il regarda autour de lui, c’était la seule issue possible, la seule porte. Il se déplaça sur la colonne d’à côté. Il commençait à avancer vers le premier garde, quand un bruit venant des portes se fit entendre. Une bataille avait lieu dehors. Le bruit du métal et la danse des lames appela les gardes en faction. L’argonien n’en croyait pas ses yeux, tous les gardes avaient quittés leurs postes. Il n’attendit pas longtemps, dés que le dernier eut disparut derrière le mur, il prit les escaliers. Il ouvrit la porte. Mais une question lui venait à l’esprit : d’où venait ce bruit, qui serait assez fou pour attaquer des gardes en pleine ville ? Un léger sourire s’esquissa sur le visage de l’argonien. Puis il continua sa route. Il faisait attention a toujours resté dans l’ombre. Cela faisait maintenant une heure qu’il était dans l château, et le déploiement de toutes ses forces commençait à rendre douloureux ses mouvements. Il arriva enfin devant la porte de la chambre du comte. Mais deux gardes montaient la garde. Il n’avait pas prévus cela. Il regarda autour de lui, mais cette fois aucun bruit pour l’aider, alors il décida dans crée un. Il ramassa une cruche sur une étagère à côté de lui, et la brisa sur le sol. Il choisit juste avant l’endroit le plus convenable, un endroit où il pourrait passé tout en évitant les gardes. Il la brisa dans un coin de tournant. L’effet fut immédiat, les gardes accoururent. Ils se précipitèrent vers la source du bruit. L’argonien en profita pour se faufiler à leur insu. Il était enfin dans la chambre du comte. Il ouvrit la porte tout doucement, les gardes revenaient, il se dépêcha de rentrer, et quand ils furent de retours à leur poste, l’argonien était déjà à l’intérieur.
Il jeta un rapide coup d’œil autour de lui. Puis il s’avança vers le comte. Il dégaina doucement sa lame, et s’approcha vers le comte. Il déposa doucement sa lame sur la gorge du dormeur. La froideur de la lame réveilla le comte. Il ouvrit ses yeux et vit ceux de l’argonien et voulu crier, mais Nel’Kalaah pressa légèrement la lame sur le cou du comte. Celui-ci compris et referma sa boucha. La peur se lisait dans le regard du comte, et cela se comprenait, l’argonien avait soif de sang, sa vie de gladiateur l’avait transformé en une espèce de vampire assoiffé de mort. Puis il commença à parler au comte :
-J’ai besoin de vous, j’ai besoin que vous me donniez des renseignements. Si jamais vous tentez d’élever la voix, je me ferais une joie de vous couper les cordes vocales d’une manière sanglante et brutale.
Le comte hocha la tête en signe de compréhension.
-Qu’est que vous voulez savoir ?
-Dites moi où se trouve le repère de la confrérie.
-Le repère de la confrérie ? Et qui vous dit que je le sais ?
Nel’Kalaah poussa un peu plus sa lame.
-Disons qu’à l’arène, nous avons le droit de parler aux mis à morts, et ceux ci sont particulièrement loquaces quand la mort approche. Une fois, par le plus grand des hasards, un prisonnier fut mis avec nous pour manque de place, et il savait de quoi il parlait quand il déblatérait avec certitude sur la confrérie noire. A vrai dire c’était un ancien membre. Il avait été prit sur le fait, il c’était arrangé pour ce débarrassé de ses affaires, il n’avait donc aucun lien direct avec la confrérie.
-Et qu’est ce que je viens faire là dedans moi ? Demanda le comte apeuré.
-Il nous dit que le comte connaissait bien les secrets de la confr……
Nel’Kalaah n’eut pas le temps de finir sa phrase, des bruits de morts venant du couloir se firent entendre.
un petit chef d´oeuvre !!
merci alex
Toujours aussi bien
désoler de poster aussi tard, mais ya la série sur la six, lol, voilà la suite ^^
Chapitre dix
3ème partie
Un air de déjà vu
Nel’Kalaah desserra l’étreinte de la lame du cou du comte, il était tout les deux étonnés. Un bruit de combat faisait rage derrière la porte de la chambre. D’abord il y eut les cris, puis le bruit du métal qui s’entrechoque, et enfin le bruit que tous les mortels redoutent, celui de la mort. Il y eut ensuite un long silence, plus aucun bruit. Nel4kalla h avait cessé toute respiration. Le comte c’était caché sous son bureau. L’argonien se mit en garde, parer à toute attaque éventuelle. Puis, la porte s’ouvrit tout doucement, une épée verte passa le seuil, puis le corps de son propriétaire. Nel’Kalaah baissa sa garde, il n’en croyait pas ses yeux. Les yeux écarquillés, une larme se glissa le long de sa peau écailleuse. Une joie immense s’empara de lui. Il était vivant, le cœur de l’argonien s’emballa. Puis, il s’approcha de lui. Mais l’inconnu lui donna un coup d’épée. Se revers tira Nel’Kalaah de ses pensées. La colère pouvait se lire sur son visage. Il tira son épée, et un fantastique duel commença. Ce combat il l’avait redouté toute sa vie, il y avait pensée durant toutes ses années de captivités. Ce combattant qu’il redoutait tant il était à présent en face de lui.
Le combat commença. Ils s’élancèrent, tels des bêtes enragées. Les lames s’entrechoquèrent avec une violence inouïe, les lames tremblèrent sous la violence du choc, le métal de chaque lame fut profondément bouleversé par cette fureur. Mais son adversaire avait une puissance de choc supérieur à la sienne. La lourde claymore venait de faire plier les poignets de Nel’Kalaah. Sa lame lui échappa des mains. Puis, son adversaire retira sa lame pour prendre de l’élan, et revint à la charge, le puissant coup vertical, ne coupa que de l’air, l’argonien avait baissé sa tête juste avant. En se relevant, il reçu un coup de poing qui le fit valser sur le lit du comte. Il tenta tant bien que mal de se relever, et eut juste le temps de rouler sur le côté. La claymore le frôle et trancha en deux le lit. L’argonien se précipita sur son arme. Les pas de son adversaire s’entendait juste derrière lui. Il réussi à la saisir in extremis, se retourna et para le coup de son adversaire. Le choc fut violent, les bras de Nel’Kalaah plièrent face au terribles coup de son adversaire. L’argonien regarda un moment dans les yeux de son adversaire, ils était rouges et reflétaient la mort et le désespoir. Un vampire, son adversaire était un vampire. L’angoisse envahit son corps. Puis, le vampire attrapa Nel’Kalaah à l’encolure et le jeta violemment contre un mur. L’argonien était totalement sonné. Son esprit complètement ailleurs. Le noir de la pièce entourait son corps fatigué. Puis, le bruit des pas le tira de son coma. Il ouvrit les yeux et vit la claymore arrivée en plein sur lui. Il n’avait pas la force d’esquiver, il se résolut à mourir. Et juste avant que l’épée ne le tu, elle s’arrêta, comme figée. L’argonien ne voulait pas le croire. Puis, la claymore recula, et son adversaire la rangea, et lui tendit sa main. Nel’Kalaah était complètement déboussoler, mais il attrapa la main. Il fut tiré, et pouvait à présent de nouveau voir les yeux de son adversaire, ils étaient normaux, des yeux de Khajiit. Puis, il approcha sa bouche de son oreille :
-L’Immortel hein ? Heureusement que ce n’est qu’un titre.
-S’kriar ? C’est toi ? C’est bien ta voix ?
Désoler darkness, mais j´ai arreter de lire ta fic, je me refait la fic assassin sans nom, et sa suite quand elle parait. Mais tu peux comprendre puisque tu adores toi aussi.
oui bien sur je comprend, cette fic est tout simplement génial, je vais quand même continuer a poster pour mon plasir^^. comme ca si un jour par hasard tu te balada sur le forum . non sans déconner, je vais continuer a poster ma fic pour me faire plaisir, voilà c´est tout.
Nan mais de toute façon je la lirai la suite donc continues de poster , c´est juste que pour le moment, y´a spada qui attends.
voici la suite, moins garnie, mais de longueur respectable, voilà bonne lecture
Chapitre dix
3ème partie
Un air de déjà vu (suite et fin)
Des larmes de joies coulaient sur les joues de l’argonien. Un immense sourire emplissait tout son visage. Il était plus heureux qu’aucun autre jour. Puis S’kriar lui parla :
-Ravi de voir que tu vas bien, Immortel, un peu plus et tu allais rejoindre les cieux.
-Mais, tu es mort devant mes yeux ! Lui répondit l’argonien, je t’ai vus mourir, percé de flèches, comment tu as faits pour survivre ?
-Tu te rappelles le combat contre les vampires, dans les égouts ?
-Oui, fit Nel’Kalaah, je m’en rappelle, mais qu’elle est le rapport avec ta survie ?
-Un vampire réussit à me toucher, quand vous êtes montés, j’ai combattu ces êtres abjects, mais l’une d’elle m’a touché. J’ai contracté la maladie des vampires, c’est ce qui m’a sauvé contre les flèches.
-Mais tu en est toujours un ! J’ai vu tes yeux dans un fragment de lumière, ils étaient rouges et reflétaient la mort !
-En effet, j’en suis toujours un, mais pas complètement, quand on m’administra le remède, j’étais resté assez longtemps pour qu’il ne fasse pas effet, mais pas assez longtemps pour me transformer en vampire, on va dire que je me situais dans un état intermédiaire. Je suis très chanceux, je profite des avantages tout en n’ayant pas les désavantages. Tout à l’heure, quand tu as regardé mes yeux, j’utilisais la magie pour te repérer dans le noir.
-D’accord, et Amanda va bien ? Et Tena ?
-Je ne sais pas, cela fait trois ans maintenant que nous la cherchons.
-Nous ? S’interrogea l’argonien, qui est ce Nous ?
-Il va falloir te fournir des explications sur ta véritable nature et ton véritable but.
-Ma véritable nature ? Plus tu parles, moins je comprends.
-Il y a de quoi, même Eux, ont eut du mal à digérer cette foutu prophétie.
-Arrête de parler tu m’embrouilles, et tu as dit que tu cherchais Amanda.
-En effet, elle a disparut voilà trois ans, elle a quittée le refuge.
Nel’Kalaah parla encore avec S’kriar pendant dix bonnes minutes, puis le cri des gardes se fit entendre dans l’étroit couloir. S’kriar prit Nel’Kalaah par la main et l’emmena vers le fond de la salle. Il tira sur nue bougie, et les dalles se mirent a bougées. S’kriar dévisagea un instant le comte qui était toujours accroupit en dessous de son bureau, il mit juste son doigt devant la bouche, le comte, à moitié en larmes hocha la tête, et se remit sur son lit, voyant l’immense coupure faite, il se mit dessus, le Khajiit esquissa un sourire, puis il referma les dalles de la même manière dont il les avaient ouvertes. Ils coururent dans le passage pendant cinq minutes, même si les gardes ne risquaient pas de les suivre, ils mettaient le plus de distance entre eux et les gardes. Une fois arrivés dehors, ils reprirent leurs souffles, et se dirigèrent vers une grotte, plus loin dans la campagne. Derrière un vieux fort en ruine. Quand Nel’Kalaah demanda comment s’appelait ce fort, S’kriar eut un léger frisson, et lui répondit que par respect il n’en portait pas. L’argonien n’avait absolument pas compris, mais la réponse lui suffisait. Après un quart d’heure de marche, ils arrivèrent à leur destination.
Le Khajiit frappa à la porte, aucun son ne sortit, puis il parla dans une étrange langue, et la porte s’ouvrit comme par en enchantement. A l’intérieur, les torches illuminaient la seule et unique pièce de manière grandiose. S’kriar se tourna vers l’argonien :
-Voici le refuge
J´ai pas pu tout lire en détail, mais tu t´es énormément amélioré, bravo.
T´en as, de la chance, d´être en activité en même temps que Notre Maître Revenu des Enfers. Mais bon, j´ai aussi connu ça dans mes débuts, c´est pas toujours évident de voir qu´il y a un type meilleur que toi juste à côté. en tout cas continue, c´est superbe.
oui, en effet, avoir la fic de ange de la mort a coté c´est assez stressant car sa fic est largement meilleure que la mienne, mais je vais continuer a poster, merci de tes compliment