c´est tres bien tu t´ameliore dans tes fic
Ange de la Mort est revenu, gloire à Sithis et à ses seize fils !
(jai oublier de le dire a la fin de mon message )
Alors alors alors... j´aime franchement vraiment bien, autant les je me forçais à la lire pendant les premiers chapitres, autant les suivants deviennent de mieux en mieux et convaincants.
Rien à dire sur les combats, ils sont stylisés et bien rythmés.
En plus, les personnages ont vraiment une identitée, un caractère reconnaissable, sont interessants et charismatiques pour la plupart.
J´attends de voir la suite ^^
Ah, et IMO c´est vraiment pas du tout dans mes intention de te faire de l´ombre ou quoi que ce soit, ta fic est différente de la mienne et je vois pas en quoi le fait que j´écrive en même temps que toi empecherait les gens de te lire, surtout que ta fic a vraiment des arguments pour elles. Bref te laisses pas perturber par le retour d´un type qui avait pas mis les pieds sur ce forum depuis un an XD
merci ange de la mort, je vais continuer a poster, en espérant que cela te plaira autant. je vais certainement poster la suite dans l´aprèm^^
la suite vers 8h30 tout a l´heure ^^. problème de réseau, veuillez m´en escusez
bonne lecture, les chap qui vont suivr seront surtout narratif^^
Chapitre onze
1ère partie
La Prophétie Frères ennemis
Nel’Kalaah n’en croyait pas ses yeux, des dizaines de personnes s’animaient dans cet immense espace. Des parchemins à perte de vu, l’odeur de l’encre et de la peau de bête emplissaient les lieux. Des érudits travaillaient sur des textes écrits dans une langue bizarre, que le temps lui-même avait oublié. S’kriar passa sa main dans le dos de l’argonien, et le poussa, comme pour l’inviter à descendre les marches. Nel’Kalaah avait le vertige, toute cette agitation lui remplissait les yeux. Il regarda un instant son ami. Puis il ouvrit la bouche, mais les mots avaient du mal à sortir :
-Cet endroit, qu’est que…. Quel est cet endroit ?
-Le refuge, tu connais la Confrérie Noire, grâce a se fameux prisonniers, il s’appelait Frean, mais son nom n’a plus aucune importance. Mais tu ne connais pas la Morag Tong, cet ordre nous est similaire, mais il vient de Morrowind.
-Nous ? Tu es de la Confrérie ? C’est pour cela que tu nous emmenais en Morrowind ?
-Oui, en effet. Mais si tu veux en savoir plus sur nos origines, va dans la grande bibliothèque. Des confrères t’aideront à trouver des réponses à tes questions.
Nel’Kalaah suivit un homme, complètement vêtu de noir, de la tête au pied. Il le suivit jusqu’au fond du ventre de la caverne, là, une immense vitrine laissait transparaître des centaines de livres. Ses yeux étaient levés vers les hauteurs de la vitrine, il ne vit pas que son accompagnateur c’était arrêtés, il lui rentra dedans. L’homme se retourna et l’attrapa à la gorge et lui murmura ces quelques mots :
-Touche moi encore une fois et je te brise, Jour ou pas.
Nel’Kalaah ne compris pas très bien le sens de ses paroles, mais il n’allait pas tardé à le savoir.
Dans le Néant grandissant, les étoiles commençaient à disparaître.
L’argonien s’arrêta à une table, il demanda que quelqu’un vienne lire à sa place. Ce qui semblait être le libraire rigola et se moqua de le Nel’Kalaah :
-Tous nos espoirs reposent sur lui, et il ne sait même pas lire, c’est pathétique.
Nel’Kalaah, ne savait pas lire, certe, mais il comprenait la signification des mots et le chant des lames. Il se leva tout doucement, et lui susurra à l’oreille :
-Encore heureux que tu ne saches pas te battre, et une douleur glacée surgit dans le corps du libraire, mais une blessure non fatale, mais extrêmement douloureuse. Le libraire s’effondra, ses jambes croulèrent sous la douleur. Après cet incident, l’argonien réitéra sa demande. Un homme vint près de lui, et lui fit le récit du livre. Nel’Kalaah n’en perdait pas une miette, ses oreilles avalaient les mots de l’homme comme un affamé dévorant du pain.
« Il y a très longtemps, un homme eut deux fils jumeaux, ils étaient absolument indissociable, ainsi, pour les différencier, il offrit à chacun un ruban d’une couleur différente, un ruban noir comme la nuit à Eyrass et un ruban claire comme le jour à Eyfrass. Dés leurs naissances, le destin s’abattit sur eux. A cette époque lointaine, le pays était ravagé par la guerre contre les Démons et Lui. Les chances de survit étaient nuls, car l’empereur avait été tué, laissant le trône vacant. Pourtant, un homme dont on oublia le nom, réussi à retrouver un fils perdu. Il réussi à le faire couronner, et ainsi refermer les mâchoires de l’Enfer, la Horde avait été vaincu, mais ce répit ne fut que de courte durée, car un homme perfide et cruel réussi par on ne sait quel stratagème, a tué les Neufs, les bannissant dans le Néant.
Son cœur était faible et corruptible. Il fut séduit par les propositions d’immortalité par le roi des Vers. Il accepta les yeux fermés. Sans demandé le prix a payé. De l’autre côté du pays, les Jumeaux furent choisit par une puissance encore inconnue, une divinité ni deadrique, ni divine, un être, une chose défiant l’imagination des hommes. Pourtant cette entité était vénérée par des assassins. Mais son jugement juste et précis, il avait vu en ces Jumeaux une choses que les Neufs n’avaient pas vus. La divinité déposa sur eux sa marque. Ils devinrent le Mauvais et le Juste, la Nuit et le Jour. Il espérait ainsi que son ennemis le roi des Vers ne pourrait contrôlés le monde….
bonne lecture
Chapitre onze
2ème partie
La Prophétie des Frères ennemis
La divinité envoya ses fidèles à la recherche de ses enfants de la providence. L’étrange guilde avait cessée toute activité, toute son attention se porta sur les Jumeaux. Un jour, une ombre réussit à retrouver les Deux, mais ils s’échappèrent en utilisant les Dons de leur nouveau père. Le bruit commença à courir que l’Empereur détruisait les sanctuaires deadriques, car un dieu avait échappé à son regard, le grand dieu Akatosh. L’Empereur le chercha pendant plus de cent ans, fouillant tout les plans qu’il connaissait. Mais le grand dieu demeura introuvable. Puis, une nuit, l’Empereur se rendit dans les catacombes du palais, ses pensées étaient noires et perfide, il n’avait plus aucune volonté, le roi des Vers contrôlait son esprit. Ainsi, pendant une nuit de pleine lune, il invoqua le roi, en psalmodiant des phrases dans un langage oublié, de accents et des syllabes a glacée le sang, il enchaînait les mots d’une manière incroyable. Les torches autour de lui prirent une couleur sans nom, venant du plus profond désespoir qui puisse exister, une masse noire commença à apparaître au milieu d’un cercle de sang, représentant une figure interdite, que les dieux eux même avaient peurs, une figure qui ne pouvait représentée quelque chose tellement la chose qui pouvait en sortir devait être impie, plus impie que Sithis lui-même.
La masse apparue, dans un tourbillon de cris et de souffrance. L’Empereur se félicita, la chaleur des torches se déroba, l’Empereur sentit sa chair partir, il sentit sa chair coulée le long de ses os, il sentit son sang quitté ses veines. Il regarda un instant la terrible chose qu’il venait d’invoquer, il tourna légèrement sa tête et vit une horreur sans nom, dont les mots ne pourrait décrire se qu’il venait de voir. Son cri déchira le lourd silence, son cri venait du désespoir le plus noir que l’on puisse trouver, il contenait toute l’horreur de sa vision. Son cri fut entendu dans toute la cité impériale, glaçant les esprits et les pensées de ce qui l’avait entendu. On dit que sa mort fut extrêmement longue et agonisante. On raconte que maintenant son esprit hante à tout jamais les catacombes, ne pouvant retrouvé la paix tellement ses émotions furent terribles.
Le jour suivant cette terrible nuit, un nouvel homme se présenta au trône, se disant le descendant de l’empereur déchu. L’homme avait volé le visage du déchu, les suspicions ne se firent même pas entendre. Ses premiers ordres furent de retrouver deux enfants, perdus dans l’immensité de Nirn, vagabondant. Mais d’autres avaient aussi pour ordre de les retrouver. Ces hommes étaient puissants. Après cinq ans de traque, les Deux furent retrouvés, ils erraient dans les Marais noires. Ils furent conduits jusqu’à un endroit inconnu du commun des mortels, un endroit lui aussi impie. Ils furent conduits dans le repère de la main noire elle-même. Pendant plus de deux cents ans, plus personnes n’entendit parler d’eux. Entre temps, le faux empereur n’était pas rester inactif, on raconte qu’un culte secret avait vu le jour, cherchant à faire revenir un des seigneurs deadra, le seigneur qui avait voulu détruire Cyrodiil, il y a des centaines années de cela. L’empereur voyant qu’un ordre nouveau allait arriver un jour ou l’autre, il décida de s’en faire un allier, après s’être assurer de sa totale obéissance, il commença à chercher un moyen de le faire revenir dans le plan de Tamriel. Les recherches concernant les Deux reprirent, même si elles n’avaient jamais vraiment été arrêtées. Il lui fallait les Deux pour les sacrifier à son nouvel allié.
Un jour, alors qu’une bataille entre la Horde, les serviteurs du deadra, et les forces combinées des Deux, et des peuples libres des pays bordant Tamriel, ils perdirent la vit. Après deux cents ans d’espoir, la liberté venait d’être anéantit….
Là il faut bien dire que ça atteint du haut niveau, encore bravo.
SoK, en plus t´as la reconnaissance de Notre Maître Revenu des Enfers...
bonne lecture
Chapitre onze
3ème partie
La Prophétie des Frères ennemis
Alors que les Deux venaient d’être abattus, que la puissance des peuples libres venait de s’effondrée, un miracle apparu. Ce miracle fut dû à Sithis en personne. Alors que les corps sans vie des deux jeunes hommes tombaient dans la poussière du combat. Leurs âmes s’envolèrent, elle partit en direction d’un combattant assez singulier, dont le nom marquera chaque moment qu’il traversera. Cet homme, voyant que leur espoir ne c’était pas envolé, battit en retraite avec des membres d’élite de la confrérie noire, ainsi qu’une autre guilde, peu connue en Cyrodiil, mais reconnue en Morrowind, elle avait les même priorité que la confrérie, car elles avaient le même pères.
Le combattant battit en retraite, emmenant avec lui les meilleures assassin et guerriers de Tamriel, il se retirèrent loin, vers les frontières de Morrowind, fuyant les armées du déchu. Ils coururent pendant cinq jours à travers tout Nirn. Arrivé dans le comté de Cheydinhal, ils se réfugièrent pendant encore cinq ans dans le sanctuaire.
Pendant ces cinq années de terreur, le combattant se mit à crier, sans raison en pleine nuit. Tout les soldats encor en vie, paniquèrent, voyant dans se cri, la colère de leur Père, ils paniquèrent. Ils sortirent dehors, la pâleur de la nuit les éblouies, ils n’étaient pas sortis depuis cinq ans. Ils cherchèrent des offrandes, se fut un mendiant argonien, et une légionnaire impériale qui furent choisit. Les hommes les amenèrent dans leur sanctuaire, et les sacrifièrent devant le combattant, qui criait toujours. Une fois les corps morts, il se tu, mais une chose spectrale sortit de son ventre, il se mit a crié encore, puis la chose se déplaça vers le corps fraîchement sacrifiés. Les corps inanimés, se relevèrent. Les yeux de l’argonien devinrent jaunes, et ceux de l’impériale noire.
Tout le monde sauta de joie. Le combattant les prit par le bras, et les amena jusqu´à une statue, là ils les laissa et Sithis en personne apparu, Il les replongea en enfance, et les endormis pendant deux cents ans. Pendant cette longue attente, les soldats qui avaient survécus se dispersèrent dans la noirceur de la nuit, tous leurs cœurs se remplirent de joie et de haine. Ils partirent aux quatre coins de Nirn, se mêlant à la population des contrées. Cependant, cinq d’entre eux, furent arrêtés dans leurs voyages, un dieu disparu pénétra dans leurs esprits, ce dieu était Akatosh, le dernier dieu vivant, Il leur ordonna de se rendre d’en la cité impériale, pour affaiblir les armées du deadra. Il transmit ses fantastiques pouvoirs au Cinq. Pour contrer cette puissance, les fanatiques du deadra créèrent une secte du nom de l’Aube Sanglante, en hommage à leurs anciens prédécesseurs. Ils devinrent ci puissant, que seul les troupes impériales avaient plus de puissances.
La secte nouvelle fit tout pour retrouver et tuer les anciens soldats, ils les traquèrent telles des chiens à travers tout Tamriel. Pendant ce temps, les Cinq furent envoyé en toute discrétion dans la grande ville, et collectèrent des informations sur la secte. Pendant encore une centaine d’années, les agents de l’ancienne confrérie se mirent dans l’ombre, ils prenaient le maximum d’information sur leur adversaire. Ils en savaient à la fin plus que le grand prêtre lui-même. Entre temps, l’ancien chef des armées se tenait près à faire sa mission, il était près a caché les enfants dans Cyrodiil, il allait les cachés jusqu’à ce que le temps viennent.
Le chef partit avec son étrange paquetage dans la nuit. Il déposa de manière totalement aléatoire, de façon a ce que même eux ne puissent pas les retrouvés….
désoler, mais il n´y aura pas de suite se soir.
voici la suite :
Chapitre onze
4ème partie
La Prophétie des Frères ennemis
Le combattant emmena l’argonien dans une petite colonie, sur la rive Ouest de la Niben, dans une colonie connue sous le nom de Bord de l’eau. Il s’approcha d’un jeune argonien, mais assez vieux pour être le père du Jour. Le combattant lui laissa l’enfant, lui disant qu’il devait faire attention à lui. Le jeune argonien protesta, il venait d’arriver du Marais Noir, il n’avait nullement l’intention se s’encombrer d’un fardeau, il luit dit aussi qu’il ne savait même pas le son nom, ni le sien, et qu’un cadeau venant d’un Khajiit était la chose la plus douteuse qui puisse arriver à un argonien. Le Khajiit sourit, il sortit sa claymore et l’approcha lentement du cou de l’argonien, il approcha sa bouche de l’oreille de l’argonien, et lui murmura que le nom de l’enfant était Nel’Kalaah, puis il reprit lentement son souffle, et il lui dit Son nom, les pupilles de l’argonien se dilatèrent, il bafouilla des choses incompréhensibles, il se prosterna devant lui. Le Khajiit eut un sourire de satisfaction, il lui dit une dernière chose, il lui demanda de lui raconter la Légende des Deux et de l’Aube Sanglante. L’argonien hocha la tête, et le questionna si il y avait autre chose qu’il devait savoir, le Khajiit lui répondit d’un signe négatif de la tête, juste qu’il devait éviter de l’approcher d’une arme.
Puis, le Khajiit repartit, avec encore sur son épaule, la jeune impériale, il ne savait pas où l’amener, il se résolut à l’emmener dans le dernier refuge de ce qui restait de la guide des voleurs. Il s’assit un instant sur une pierre, contemplant un moment la nuit, et ses étoiles qui scintillaient dans cet immense espace noir. Il reprit la fille sur ses épaules et partit en direction des montagnes Coloviennes, il avait une longue route. Il marcha tranquillement, mais en évitant la route le plus possible. Il se déplaçait uniquement la nuit, et se reposait le jour. L’enfant ne le gênait pas, elle avait été endormit jusqu’à ce qu’elle arrive à destination. Il arriva enfin dans les montagnes, au crépuscule il se glissa habilement entre les rochers. Il arriva finalement en pleine nuit, à la cache des voleurs. Il demanda à voir le Renard. Celui-ci se leva, et un long débat s’ensuivit. Le Khajiit finit par avoir raison, il laissa la jeune fille dans la tanière, mais elle devrai être prêtre à partir, l’aube de ses dix ans. Puis il partit, et personne n’entendit plus parler des Deux pendant dix ans. Le roi des Vers était fou de rage, il avait retourné Tamriel dans tout les sens, sans pouvoir mettre la main ni sur les Deux, ni sur les cinq Divins.
Chapitre douze
1ère partie
Attaqué
Nel’Kalaah n’en croyait pas ses oreilles quand il entendu le libraire prononcer son nom, il était la chose d’une divinité, ainsi qu’Amanda. Il regarda froidement S’kriar. Celui-ci, plutôt que d’affronter le regard noir et meurtrier de l’argonien, tourna la tête dans la direction opposée. La colère emplissait petit à petit son corps, il ne pouvait plus se retenir, il se leva, et frappa la claymore de S’kriar. Le Khajiit fut étonné, puis il hocha la tête, et sortit sa lourde arme. Tout les hommes et femmes présents se turent, un silence lourd et insupportable avait envahie la pièce, Les deux adversaires se regardèrent un moment. Nel’Kalaah fonça sur son adversaire, S’kriar l’évita sans mal, et lui mit un violente blessure au torse. L’argonien s’étala par terre, et toussa du sang, le Khajiit s’approcha prés de lui :
-Tu sais mon gars, je suis un peu ton père, et je m’en voudrais de te faire du mal.
-Mon père ? Répéta l’argonien désorienté.
-Oui, si tu as bien écouté, des choses spectrales sont sorties du ventre du chef…
-Et ce chef était un Khajiit armé d’une claymore, interrompit Nel’Kalaah. Alors cela veut dire qu’Amanda est ma sœur ?
-En quelque sorte oui.
S’kriar tendit sa main, Nel’Kalaah l’attrapa, et se releva, mais il tituba, et dû s’appuyer contre le mur. S’kriar hocha la tête, et une femme sortit de l’ombre commença a soigné le blessure de l’argonien. Puis, S’kriar redescendit en serrant dans ses mains, sa lourde arme. Cette arme est extraordinaire, on ne sait pas par qui elle fut forgée, ni comment, ni comment S’kriar l’obtenue, par contre, la chose que tout le monde s’est, c’est qu’elle ne peut être maniée que par lui, tout ceux qui avaient tentés de la soulevés, furent pris d’un violent coup de gel. S’kriar réfléchissait avec soin, se repassant cette défaite il y a fort longtemps, il se repassait en mémoire les causes de la défaite. Mais il n’eut pas le temps de réfléchir bien longtemps, une homme arriva dans le plus complet brouhaha possible et hurla :
-ALERTE, LES AGENTS DE L’AUBE VONT BIENTOT ARRIVER, UN TRAITRE NOUS AS DENNONCE.
Un mot ne pouvait décrire la colère qui s’empara du visage de S’kriar, il hurla de toute ses forces, le sol trembla, et le plafond chancela sous la terrible puissance de ce cri. Tous s’arrêtèrent de courir, Ils avaient tous compris ce que leur général leur demanda. Ils dégainèrent leurs armes, arcs, et autre armes d’assassin. Nel’Kalaah regarda le Khajiit qui venait d’empoigner son épée, et qui hurlait d’une manière atroce. Puis, le cri cessa, les portes du sanctuaire commencèrent à chanceler, puis tout doucement, les portes s’ouvrirent, laissant la place à une horde de moine soldat. Les flèches fusèrent dans la pièce, les cris avaient envahit les lieux. Les assassins se battaient d’une manière incroyable, ils étaient agiles, rapides et précis dans chacun de leurs mouvements, mais ils n’étaient pas des soldats de métier, ils se fatigueraient plus vite que leur adversaire. Seul S’kriar se tenait là, hurlant et fauchant ses ennemis. Un monticule de cadavre se tenait à ses pieds. Cela faisait maintenant dix minutes que la bataille faisait rage, et les soldats continuaient à entrer dans la pièce. S’kriar eut un bref moment d’absence, il s’égara dans ses pensées, il savait à présent pourquoi ils avaient perdus la bataille, c’est parce que ils avaient été surpris par la Horde, et là ils allaient perdre la bataille parce qu ils avaient été surpris. Une douleur le tira de ses pensées, une douleur froide. S’kriar se retourna et vit une flèche plantée dans son cœur. Nel4kallah, qui vit toute la scène hurla, et se battit avec encore plus d’ardeur. Sa rage l’envahit, à telle point, que son adrénaline le contrôlait à présent. Puis une chose se produisit dans ses pupilles, elles devinrent jaunes.
Cool. Je trouve le rythme un peu rapide, masi ça ne tient sasn doute qu´a moi.. Enfin eput-être pas. Ca me semble un peu superficiel, rentre plus à l´intérieur de l´histoire, donne des détails. On veut une vue à la trosième personne, pas aérienne ;- )
Bonne chance pour la suite.
euh SonOfKhaine, j´ai toujours été un peu nul en français, m´est j´ai pas trés bien compris la différence entre la vue aréienne, et la vue a la 3ème personne. Désoler de te poser cette question même si pour toi c´est logique.
super ENCORE UN TRES BON EPISODE
Bon ben... faute de spada, je recommence a lire ta fic.
Que dire si ce n´est que ça me change un peu de l´univers dementiel de spada. Mais j´aime toujours autant.
Continues !
merci watcha_68, mais avec la rentrée qui approche, et des choses personels à faire, les parutions, de ma fic vont être irrégulière. j´essayerai de posté aussi souvent que possible.
Voilà, et bonne nuit a tous
voilà la suite, bonne lecture a tous^^.
Chapitre douze
2ème partie
Bataille au sanctuaire
Nel’Kalaah ne pouvait plus se contrôlé. Ses muscles étaient tous en action, il contrôlait jusqu’à ses battements de cœur. Il fonça, tête baissée dans le carnage. Les moines soldats continuaient à arriver, et la mort de S’kriar mis à mal le moral des assassins. La présence du Jour regonfla les rangs et les esprits des hommes qui restaient. Une ardeur indescriptible envahit les lieux. Le combat repris en ardeur. Mais cela ne suffisait pas, les assassins allaient être submergés très vite. Nel’Kalaah se battait avec une ardeur et une dévotion incroyable. Il fauchait ses ennemis. Mais bientôt ils furent encerclés, acculés au mur. Dans un élan d’effort, ils combattirent. Nel4kallah se jeta dans la mêlée, il se jeta dans le sang, la mort et l’acier. Arrivée au contact, il trancha la tête de ses ennemis, qui avaient arrêtés de combattre par vantardise, le sang éclaboussa ses compatriotes. Ils foncèrent sur l’argonien. Ils n’allaient pas tardés à comprendre leur douleur. Un léger sourire se fit une place sur son visage. Il coupa un bras, puis une jambe, sectionnant les vies et brûlant des âmes. Son épée noire avalait le sang, elle avait soif, elle voulait des morts, et du sang. Nel’Kalaah fauchait ses ennemis. Sa vitesse était incroyablement élevée, ses ennemis semblaient immobiles. Il massacrait sans aucun remord les capes violettes. Le sang était jonché de mort et de sang. Les assassins voyant le Jour se battre, coururent à leur perte, ils foncèrent sur leur ennemis. Nel’Kalaah regarda autour de lui, ses yeux parcouraient le plafond, à la recherche de la moindre trappe. Il finit par en trouver une. Il commença à se tailler un chemin dans sa direction. Mais il donna un coup d’épée en trop. Après avoir pris la vie d’un énième ennemis, celui-ci s’écroula sur le sol, laissant apercevoir une forme noire. Nel’Kalaah ne se dégonfla pas, il fonça sur lui.
Il prit son épée à deux mains, il sauta, tout son être se concentrait dans sa lame, toute sa puissance et sa rage se trouvait dans l’argent noircit de sa lame. Il poussa un cri horrible. L’ombre se retourna, et para le coup de l’argonien. Nel’Kalaah fut arrêté en plein vol. Des étincelles avaient jaillies du contact entre les deux lames. Le choc fut si violent que les lames tremblèrent, comme choquées et apeurées par cette rage et cette violence inouïe. Les deux adversaires se regardèrent un moment, le regard profondément plongé dans les yeux de l’autre. Le combat commença, tout le monde avait cessé de se battre. Les coups de lames, et de morts se baladaient dans les airs, rendant une présence néfaste et lourde. Nel’Kalaah enchaînait ses coups avec une précision et une rapidité propre à son pouvoir. L’ombre, de son côté n’avait aucun mal à parer ses coups, il restait incroyablement calme, comme si il devinait à l’avance les coups de son ennemi. Le combat dura pendant dix minutes, il étalait toutes les compétences des deux combattants. Les coups étaient plus extraordinaire les uns que les autres. Le spectacle était d’une beauté mortel, d’une beauté envoûtante, un hymne à la mort. Mais il y a toujours une erreur, et se fut le Jour qui la fit. Alors qu’il sautait au-dessus de son adversaire, celui-ci en profita pour plonger sa lame dans l’épaule de l’argonien. Nel’Kalaah tomba au sol. L’ombre s’approcha lentement de l’argonien, son épée deadrique en avant. Et au moment où le coup fatal allait être porté, un cri bestial se fit entendre :
-FEUX DE DRAGON EST ETERNEL !! !!
Touts les visages se tournèrent, c’était un homme, avec une armure d’ébène, zébré d’or, et une étrange épée à son flanc. L’ombre laissa échappée un mot, un mot qui voulait absolument tout dire, un mot qui contenait le ton du malheur et du désespoir :
-Non. Tuez le !! !!
Touts les moines soldats restant chargèrent l’homme. Celui-ci dégaina son étrange épée, et attendit fermement. Ce fut un magnifique désordre. Tous chargèrent sur un seul homme. Les deux ou trois assassins encore vie eurent un sourire que l’argonien ne comprenait pas. Il attendait le coup fatal, mais l’ombre regardait fixement ce combattant, toutes ses pensées étaient rivées sur lui.
L’étrange soldat pria un dieu, puis mit son épée en avant, et chargea. Il coupait tête et membres, le massacre qu’il provoquait à lui tout seul agaçait d’une manière certaine l’ombre. Le sang giclait, arrosant le sol. Son épée était particulièrement tranchante, un simple contact avec elle semblait absorber la substance de ses ennemis. La Mort devait se régaler là-haut. Le soldat continuait de se battre avec maestria. Il avait un jeu d’épée offensif extrêmement agressif, il ne pensait pas une seule seconde à se protéger. Il enchaînait les morts, et les âmes. Puis, profitant de l’inattention de l’ombre, un assassin se glissa près de l’argonien, et lui fit boire un liquide qui soigna sa plaie. Nel’Kalaah hocha la tête, se releva doucement, ramassa son épée et la planta dans le dos de son ennemis. Un immense cri stoppa le combat qui se déroulait. Un nuage de poussière laissa place au corps de l’ombre, l’épée de Nel’Kalaah tomba au sol, laissant s’échapper un son métallique et aigu. Les moines soldats se retournèrent, et virent l’amas de poussières noires, ils paniquèrent et poussèrent le soldat, ils s’enfuyaient, ils sortaient du sanctuaire. Les cinq ou six survivant ne purent s’empêcher de crier victoire. Puis Nel’Kalaah coura vers l’endroit où il avait vu le corps du Khajiit tombé. Mais il n’y avait rien, pas le moindre corps de Khajiit, puis en devenant plus lucide, il n’y avait aucun corps tout court, malgré l’immense carnage, il n’y avait aucun corps de leurs ennemis. Il devait avoir pris les corps. L’argonien s’approcha du soldat puis il commença a articulé des morceau de phrases :
-Qui…Qui êtes vous ?
-Je suis ce qu’on appelait autrefois une Lame, un fervent serviteur de l’empereur.
-Mais il y a toujours un empereur, répondit Nel’Kalaah.
-C’est un usurpateur, un faux, il est indigne de ce titre.
-Alors comment se fait-il que vous vous dites protecteur de l’empereur ?
-Autrefois nous servions le vrai, puis un jour il c’est passer quelque chose d’étrange, la personnalité de l’empereur changea, et dans un élan de folie, il ordonna à des forces obscures de tous nous tués. Mon arrière- arrière grand père fut le seul survivant. Il inculqua à mes ancêtres la vertu de la défense de l’empereur, et me voici, la dernière Lame.
-Alors vous m’aidez en quelque sorte ?
-Oui, je serai ravi de vous servir, mon rem est Xion.
Xion était un de ses rougegarde dont le regard pouvait briser un homme.
Après avoir longuement discuté, les deux assassins restant se tournèrent vers eux. Ils commencèrent à leur fournirent le peu d’information qu’ils avaient. Ils devaient retrouvés la Nuit, pendant que les deux assassins tenteraient de retrouver les membres éparpillé à la surface de Nirn, et de retrouvé les cinq Divins. Tout le monde se regarda, puis ils partirent chacun dans leurs coins, s’armant du mieux qu’ils pouvaient.
Cool. Je vasi jouer au perfectionniste, masi j´ai l´habitude des forums avec une fonction édition.
Donc premier phrase, une faute, "contrôler" et pas "contrôlé".
Ensuite, une forumlation perfectible, pourquoi pas "Tous ses muscles étaient en action, il contrôlait jusqu´au battements de son coeur".
Après, phrase suivante, une virgule en trop, "il fonça tête baissée" rend mieux, c´est pas une faute mais c´st mieux comme ça, enfin je pense.
Pendant deux phrases c´est que du bon, ensuite il y a répétition de "ardeur", 3 fois en quatre phrases.
Ligne 6, deux fautes, Arrivé et pas Arrivée; puis arrêté au lieu de arrêtés, ça rend meiux, non ?
Après ça s´améliore, pis j´ai la flêmme de continuer comme ça.
SoK, qui aimerait bien que quelqu´un lui cherche la petite bête de temps à autres, ça aide pour le niveau...