Comme plein d’enfants nés dans les années 90, Benjamin a eu l’idée saugrenue de travailler dans la presse jeux vidéo, sans savoir que le destin le prendrait au mot. Précurseur du motion-gaming sur PS1, tournant la manette dans les virages de Gran Turismo, Benjamin se rend vite compte qu’il préfère vite les jeux d’aventure, d’action et de rôle de chez Nintendo, avant de craquer pour les hits de la PlayStation 2 jusqu’à devenir monomaniaque des J-RPG et sombrer dans les MMO à l’adolescence.
Passé par toutes les consoles de salon et par toutes les formations universitaires, Benjamin ajoute une corde à son arc de la passion pour le jeu vidéo en suivant un cursus de psychologie (Maîtrise) et de sociologie (Master), soit-disant pour lui permettre de mieux décortiquer, par l’écriture, le jeu vidéo et l’observer à travers un prisme différent. Parce que le jeu vidéo n’occupe pas assez de place dans sa vie, Benjamin est aussi friand de culture, au sens large.
Toujours curieux d’une anecdote sur le cinéma, à l’idée de découvrir une nouvelle série ou un anime. S’il n’a pas une manette entre les mains, c’est un livre ou un magazine qu’il tient. D’ailleurs, c’est dans ce domaine que Benjamin a fait sa formation. En plus d’un mémoire analytique sur le film Shutter Island, Benjamin fait ses gammes de rédacteur et journaliste jeux vidéo dans la presse papier où il propose des reportages, des billets édito, des critiques de jeux et des articles à l’angle original. Une fois son cursus terminé, Benjamin a rapidement, l’opportunité d’intégrer les rangs de JV puis l’équipe de rédaction où il continue de mettre à profit sa formation et son attrait pour les jeux vidéo et la culture.
Passé par un peu toutes les consoles depuis l’enfance et curieux en matière de jeux vidéo, Benjamin est en quelque sorte le couteau suisse de la rédaction. Un éclectisme que l’on retrouve également dans le domaine de la culture, lorsqu’il faut s’intéresser et parler d’un film, d’une série, d’un manga ou d’un anime ! Ayant suivi l'évolution des licences emblématiques de Nintendo, comme Zelda et Pokémon, et craqué dès le plus jeune âge sur les RPG, Benjamin jure avant tout par les aventures en solo. Les jeux multijoueurs ? Très peu pour lui, même s’il s’est longtemps perdu dans les MMO et qu’une rechute n’est jamais très loin. S’il y des genres pour lesquels on peut compter sur lui, c’est bien les jeux d’action/aventure, les RPG (A-RPG, J-RPG, Tactical-RPG…), les Souls-like, les metroidvania et les titres avec une forte dimension narrative et qui mettent l’accent sur leurs personnages. Quoi qu’il en soit, à partir du moment où un titre lui fait de l'œil, Benjamin ne le lâche plus, ce qui le pousse à s’intéresser aux nombreux petits jeux indépendants. Plutôt curieux en matière de jeux vidéo, il touche à tout et se dit chaque mois qu’il devrait craquer pour un abonnement au Game Pass !
Mon jeu préféré de tous les temps : Kingdom Hearts II
J’étais déjà tombé sous le charme de Kingdom Hearts, que j’avais échangé contre un Dragon Ball Budokai Tenkaichi, et je me souviens d’avoir été fasciné par son histoire et son gameplay.
Un jeu de mon enfance : The Legend of Zelda : The Wind Waker
J’ai beau avoir grandi avec une poignée de jeux Zelda sur les consoles portables de Nintendo, je n’oublierai jamais ce vent de liberté que je ressentais le dimanche en allumant ma GameCube.
Un souvenir autour du jeu vidéo : Golden Sun
Je me souviendrais toujours d’un détour au centre commercial où j'arpentais le rayon jeu vidéo jusqu’à me retrouver face à la boîte de Golden Sun. J’ai dévoré la notice sur le chemin du retour !
Une licence/saga de jeux vidéo : Final Fantasy
Final Fantasy rivalise dans mon coeur avec Kingdom Hearts depuis toujours. J’ai toujours été fasciné par la richesse de ses univers, ses histoires, ses personnages et ses systèmes de jeu.
Une console fétiche : La PS2
Même si j’ai passé une immense partie de mon enfance sur les consoles Nintendo, ça restera la PS2 : Final Fantasy X, Kingdom Hearts I et II, Dragon Quest VIII… Que dire de plus !
Un jeu multi : Mario Party
C’est sûrement le jeu « canapé » par excellence et il reste toujours le moyen idéal de découvrir la vraie nature de ses amis et d’accepter l’injustice.
Un plaisir coupable : FIFA / EA Sports FC
Mes potes du lycée et les années de fac m’ont transmis le virus du jeu de foot, et même du football tout court. Depuis, je garde toujours un oeil sur le championnat anglais !
Un héros de jeux vidéo : Zack (FF7)
Aussi insupportable que charmeur, je pense que l’histoire et l’état d’esprit de Zack en font l’un des personnages qui m’a le plus marqué. Comment ne pas verser une larme à la fin de Crisis Core ?!
Une héroïne de jeux vidéo : Kainé (NieR)
Plus le temps passe et plus je me dis que j’adore les personnages de tragédie, je n’avais jamais été autant bouleversé par une héroïne qu’en découvrant les récits autour de Kainé.
Un boss de jeu vidéo : Yozora (Kingdom Hearts 3)
Pour avoir traversé bon nombre de Souls-like, je crois que rien ne m’a paru aussi difficile que certains boss cachés de Kingdom Hearts. Yozora était vraiment la cerise sur le gâteau du DLC de KH3 !
Un film : A Ghost Story
Je pense qu’on a rarement vu un film de fantômes qui, à partir d’une représentation si simple, parvient à dégager une histoire si poétique sur l’amour, le deuil et la solitude.
Une série : Better Call Saul
On a longtemps pensé qu’il était impossible de détrôner Breaking Bad, et pourtant ! À tout point de vue, je trouve que Better Call Saul est encore plus maîtrisé que son aîné : un classique
Un manga : Berserk
J’ai plongé dans l’univers de Berserk à la fin de mes études, j’ai vite relativisé la souffrance de la rédaction du mémoire en découvrant la tragédie de Guts. Rien n’arrive à la cheville de Miura !
Un anime : Cowboy Bebop
Rares sont les animes qui vieillissent aussi bien que Cowboy Bebop. C’est toujours aussi fou de constater à quel point l’animation, la musique, l’écriture et les personnages sont exceptionnels.
Une plateforme de streaming (SVOD) : Netflix
Bien qu’il y ait de bonnes initiatives chez les concurrents, je pense que la variété du catalogue de Netflix et certains de ses programmes justifient l’abonnement. En plus de ça, Netflix mise sur les animes !