Bonjour hier je me suis fait spec ops the line sur 360. Bon jeu mais vraiment court. De bonnes idées pour l'epoque. Tempetes de sable vraiment tres belles pour de la 360. 15/20.
J'ai fini UNDER THE WAVES (15/20) en 9 ou 10h à peu près, il y a qq minutes et dans l'ensemble j'ai bien aimé les missions sous marines. C'est joli, c'est chill, complètement non violent et il porte un message environnemental intéressant quoi que trop peu développé sur la fin. Il y a une grande zone principale à explorer éventuellement pour trouver diverses améliorations, collectibles et objets de loot. Le fait de le faire dans ce contexte marin changeait un peu des habituelles corvées de complétistes, du coup j'en ai fait les 2/3 je dirai. Les voix françaises sont correctes même si j'ai eu un peu de mal à supporter celle du héros mais aucune effort n'a été fait sur la synchro labiale alors que le studio est français.
Par contre le dernier tiers du jeu, ça a fini par me soûler et m'endormir entre le gameplay ultra lent, toute la catastrophe de la grosse multinationale qui pollue mais on se rend finalement assez peu compte de l'ampleur alors qu'on est sensé être au cœur du truc et surtout le drama en fil rouge complètement superflu sur le deuil du héros, touchant certes, mais hors sujet quand même.
En plus de ça j'ai constaté encore pas mal de petits soucis technique : des animaux qui passaient à travers les décors, une boucle de dialogue qui recommençait à l'infini (à la fin également), des textures qui avaient du mal à apparaître en exploration et des coffres considérés fermés sur la carte alors que je les avaient ouverts.
Voilà, du coup, je referme cette parenthèse maritime pour revenir sur Ishin et Control.
LIKE A DRAGON ISHIN ! (17/20) terminé en 35h, avec à peu près 80% des histoires secondaires et une bonne partie des activités annexes.
C'était un vrai plaisir de retrouver des têtes connues des Yakuza dans le contexte de la fin de l'ère Edo, c'est à dire fin 19eme, fin des samouraïs et du shogunat. On se retrouve ici essentiellement à Kyo, futur Kyoto, dans une nouvelle histoire pleine de complots, de trahisons et de secrets. En dépit de quelques incohérences et abus de doubles identités, la narration m'a passionnée du début à la fin. Les personnages sont nombreux, toujours aussi charismatiques, et enfin, les dialogues sont sous titrés en français ! Un confort indéniable. La trame principale doit se boucler en 25h et j'ai passé 10h sur le contenu annexe, encore une fois très varié, avec des minis histoires, des mini jeux ou activités à foison. Elles ne se valent pas toutes, mais on a largement de quoi prolonger le plaisir dans ces décors qui changent de Kamurocho.
La ville justement, et quelques autres lieux supplémentaires, nous font vraiment voyager dans le temps. Si la technique de la franchise est toujours un peu faiblarde, artistiquement c'est réussi car tout est fait pour qu'on y croit grâce à des environnements vivants, des magasins et des pnj partout, de jour comme de nuit.
La jouabilité, c'est un peu son point faible à mon avis. C'est du Yakuza, c'est encore très raide, la caméra est capricieuse, et malgré 4 styles de combats, on se rend vite compte que l'un d'entre eux (katana + pistolet) est nettement plus efficace que les 3 autres. Il y a toute une dimension light rpg avec des compétences à débloquer, de l'équipement à forger et améliorer, des soutiens (des soldats qu'on recrute) avec des pouvoirs spéciaux à collectionner, mais franchement, c'est une usine à gaz, c'est hyper mal conçu. En faisant le minimum on arrive tout de même à avoir un Kiryu... enfin Ryoma... enfin Saito potable et surtout très bourrin en combat, et je n'ai pas connu trop de difficulté en normal.
En tout cas j'ai passé un très bon moment dessus et je vais devoir rester dans l'univers Yakuza puisque je vais enchaîner avec Like a Dragon Gaiden, et le boucler avant son retrait du gamepass dans 10 jours. Au détriment de Control que j'ai mis en stand by pour l'instant.
Comme premier jeu pour ce mois de novembre, Kingdom Hearts 2, bien plus plaisant que le 1er et surtout que l'affreux re chain. Je donne un 17/20 en étant généreux. J'ai beaucoup aimé que le jeu soit plus clair que le 1er, moins confus et moins d'aller retour. Le gameplay en combat était plus plaisant aussi. Par contre, certains ennemis étaient très frustrant, avec des combos lent mais suffisamment rapide pour enchaîner sora, donc ralenti le rythme pas mal. Aussi certains boss ont cette mécanique que je déteste, soit d'avoir de nombreuses phases où il est impossible d'attaquer, j'aime pas attendre comme un idiot qu'il soit possible d'attaquer, une fois de temps en temps pourquoi pas, mais 1 minutes à attendre pour 5 secondes de possibilité d'attaque je déteste. Et finalement, sans spoil, un bref et frustrant pic de difficulté à un moment qui fait rager un peu.
Désolé pour le double post, mais également l'introduction du jeux qui tire en longueur et qui manque un peu d'intérêt, surtout niveau gameplay.
Call of Duty: Black Ops 6 (15/20). Bon jeu dans l'ensemble mais rien de transcendant.J'ai quand même préférè l'episode 2019. On est dans la continuité des Call Of Duty. Scénario moyen, du fun dans certaines missions.Les parties semi-open world sont sympathiques et je salue l'effort des developpeurs de tenter de proposer quelque chose de nouveau.
Le quick resume est desactivé sur ce jeu donc hyper penible de se taper plusieurs menus à chaque fois. Je suis bien content d'avoir pu utiliser une carte d'un mois de Game pass qui trainait pour le faire.
LIKE A DRAGON GAIDEN (16/20) terminé en 35h avec la quasi totalité des quêtes annexes validées. Episode un peu spécial dans la mesure où il fait la jonction entre Yakuza 7 et 8, les rpg, je conseille d'avoir fait au moins les précédents Yakuza pour comprendre certains tenants.
L'histoire est ici plus courte, elle implique moins de personnages et on est cantonné à 2 lieux assez petits où l'on fait beaucoup d'allers retours : le déjà bien connu Sotenbori, et un autre plus petit, "le Château", où sont concentrés les jeux de casinos et le colisée. Cette histoire tient bien la route et permet de croiser plein de visages familiers. Les clins d'oeil sont nombreux, mais plusieurs passages se reposent trop sur l'introduction des activités annexes. Car comme tout jeu Yakuza, le contenu annexe est colossal, avec des minis jeux et quêtes dans tous les sens, même si ce sont toujours un peu les mêmes que d'habitude (jeux Sega, golf, fléchettes, pocket circuit, colisée, casinos, hôtesses, karaoké, billard...).
On retrouve également la formule beat them all, avec des combats de rue, 2 styles de combats pour le héros et quelques gadgets amusant quoique peu dans l'esprit Yakuza. Le système d'équipement est simple, tout comme l'aspect light rpg, mais efficace.
Parmi les nouvelles têtes charismatiques, certains antagonistes se détachent avec classe (Tsuruno, Nishitani et surtout Shishido), et donnent lieu à des combats épiques, notamment un dernier très réussi. Et comme toujours, c'est joli, superbement doublé, et la VOSTFR fait évidemment plaisir.
Bref, à défaut d'être original, efficace sera bien le qualificatif qui résume le mieux cet épisode, je pense.
Donc voilà, si tout se passe bien et qu'il n'y a plus de mauvaises suprises je vais pouvoir reprendre Control, et finir l'année avec Tchia et Far Cry 6.
TCHIA (15/20) terminé en 24h en ayant tout collecté. J'aurai aimé mettre plus parce que Tchia est un jeu qui a un charme fou, très chill, avec son cadre de Nouvelle Calédonie que ce soit visuellement, musicalement ou bien son background de mythes original. Avec des moyens limités, le studio a réussi à construire un open world très joli, aussi bien sur terre que sous l'eau, ainsi que des mécanismes d'incarnation d'objets et d'animaux aussi pratiques qu'amusant. Le tout sans rencontrer de bug ou de souci technique de mon côté en dehors de qq succès qui ne se sont pas activés, je me suis bien amusé.
Mais il faut savoir une chose essentielle : on passe les 3/4 de notre temps à visiter les fameux points d'intérêts de la carte pour ouvrir des coffres, activer des feux de camp et des ports, ramasser des fruits d'endurance, et nettoyer des bases ennemies, révélés après activation de l'équivalent des tours de guet d'un Assassin's Creed ou Far Cry. Si vous êtes allergiques aux open world d'Ubisoft, fuyez pauvres fous ! Sachant qu'en plus seuls les ports peuvent nous téléporter, j'ai trouvé qu'on faisait pas mal d'allers retours inutiles et fastidieux.
En effet il est dommage de constater que l'aventure, au demeurant bien plus sombre et violente qu'il n'y paraît, se plie en 6/7h et exploite très peu le pouvoir de Tchia. Il y a bien des courses et une chasse au trésor qui le fait, mais c'est trop peu. A cela s'ajoute une poignée de mini jeux de rythme et le déplacement en radeau façon Wind Waker.
Donc voilà en somme, Tchia très chouette pour son univers calédonien, beaucoup moins pour sa boucle de gameplay et sa mécanique sous exploitée.
Me reste Control et Far Cry 6, et je pense également placer 1 ou 2 jeux playstation (genre Uncharted), car je commence à être pas trop mal côté jeux dispo dans le gamepass je vais pouvoir attaquer mes jeux physiques.