Les poneys ne font pas de tonfa
http://www.youtube.com/watch?v=A6ehAZilQec
De part ton aveuglement dans ta pseudo-supériorité face à eux.
Si si ils en font très bien.
Pas besoin d'être quelqu'un pour faire quelque chose qu'un vulgaire robot peut faire.
Ma "pseudo-supériorité" ? Je ne passe pas mon temps en boîte de nuit à boire et à fumer...
Faire des tonfa ce n'est pas mieux.
Je peux te rétorquer que mon "aveuglement" ne naît que d'une égalité mal comprise de ta part, et de préjugés chrétiens et républicains à deux francs.
Pourquoi ? C'est un sport qui n'est pas malsain et qui est éléguant.
Et en quoi passer une soirée en boîte serait malsain et inélégant.
Ces deux notions sont complètement subjectives.
Pour ma part je trouve le mépris de leurs loisirs largement plus malsain que leur loisir, quant à l'élégance, ni l'un ni l'autre ne le sont de mon point de vue.
Enfin ton aveuglement vient du simple fait que tu préjuges, que tu considères tes goûts comme absolus ou tout du moins supérieurs à ceux des autres sans la moindre justification de cette supériorité et divers trucs du genre. Bref tout un tas d'arguments qui te met au mieux au même niveau que ceux que tu critiques.
D'un point de vue psychologue du dimanche on dirait même presque que tu les jalouses.
Le terme de psychologie s'applique exactement au sens de ton propos : ton discours, féminin, se ramasse dans des considérations psychologiques.
C'est l'attitude la plus répandue : tu places le problème de mon côté, en pratiquant la stratégie de la maladie. Pourtant, je suis sain, et ce n'est pas de mon côté qu'est la maladie.
Je reviendrai sur le forum pour préciser ce que je veux dire. Je dois aller faire de la musculation.
Bof, je place le problème des deux côtés, mais il est vain de les critiquer car il n'y a nulle raison de les critiquer.
Ils sont libres, ils font ce qu'ils veulent, ils ne nous imposent strictement rien et surtout ils ne viennent pas nous déranger.
De là de quoi pourrait-on les condamner ?
De ne pas obéir au doigt et à l'œil à notre volonté propre et se plier à nos goûts ? Tu surestimerais ta valeur dans ce cas.
Sinon eux ne sont pas malades, si tu ne l'es pas non plus c'est qu'il n'y a pas de maladie, et donc que tu te plains d'une maladie imaginaire (et donc que d'un certain côté tu es malade).
En fait je ne pourrai pas écrire un message développé. Tant pis... Je me contenterai de remarques simples.
Tu sais comme moi que la stupidité de quelqu'un est invérifiable, hormis bien sûr les cas de maladies mentales, ou autres... on se comprend.
Je ne peux pas prouver qu'untel est stupide stricto sensu. Je peux cependant donner de bonnes raisons.
Ils sont libres, certes, mais ils sont coupables. L'ignorance et la prédominance du jeu dans nos sociétés s'inscrit à mon sens dans un projet politique. J'écrirai un message plus développé à ce sujet demain, ou après-demain. Ces foutues fêtes qui ne signifient rien obligent aux relations de convenance, qui me font perdre mon temps.
J’ai dû pleurer durant quatre jours sans presque m’arrêter pour arriver à situer et admettre ma souffrance. La tristesse = la bonté. Y a-t-il d’autres sources aux pleurs ? Quand on pleure de rire au sens d’éclater de rire, n’y aurait-il pas dans cette expression la définition exacte de cet état « d’éclater de rire » c’est çà dire de rire et d’être triste ? (la Tragédie). Peu importe cette dernière observation j’ai juste la conviction que les pleurs sont une forme de notre bonté. J’en suis donc arrivé là (et le chemin n’est peut-être pas fini) et je trouve que c’est une étape essentielle pour moi de réaliser, grâce à certaines personnes du forum philo, ceci :
J’ai toujours été bon dans un environnement mauvais. L’enfant qui ne parle pas et qui subit le mal absolu des autres. Alors pleurer parce que la bonté n’est pas admise, pleurer parce que l’être véritable ne peut s’épanouir et préfère vivre triste que de vivre comme un mauvais. Je préfère, par respect envers la sagesse et la bonté, refuser le passage enfant -> adulte parce que je ne veux pas devenir un adulte mauvais. Sans l’épanouissement de cet enfant, je ne peux pas devenir un adulte bon. Je suis devenu un adulte mauvais __ avec un bon fond quelque part. Ce bon fond qui devient naïveté, errance, espoir déchu. Tuer les parents au sens d’oublier les lamentables lares et de montrer qu’au fond, c’est l’enfant qui a raison.
Alors maintenant, on fait quoi de cette bonté dont personne ne veut ? Même ici elle sera rejetée par la plupart des gens ordinaires. Vais-je répandre l’amour comme un hippie ; certainement pas, je ne veux pas rechuter dans les illusions. J’aimerais continuer de me dire « tu as raison d’être bon. » tout en vivant cette bonté, mais pas dans l’erreur, l’illusion. Il faudrait que je parvienne à avoir si honte de moi que ma tristesse ne soit pas inutile, et que je m’améliore toujours plus, que j’évolue encore, et se sera la l’épanouissement de ma bonté : faire honneur à la sagesse non pas en copulant dans la fiente mais en l’élevant au rang de comportement absolu. Epanouir la bonté que l’on possède tous est la meilleure voit d’épanouissement mais encore faut-il travailler sans relâche et remplir son vide, mettre un contenu à la bonté pour pouvoir continuer l’épanouissement personnel parmi les autres.
Je suis désolé de raconter ma vie mais c’est ici que je trouve mes solutions, même si je suis ridicule, colérique, surfait… C’est grâce à ce forum si j’arrive à mettre ma vraie valeur au centre de mon univers, c'est-à-dire à assumer d’être un être bon. Je refuse de virer définitivement dans la méchanceté gratuite et la stupidité. Il y a encore du travail à faire, je sais. A bientôt !
Ton désir de projeter sur un parti ou deux si l'on prend en compte E&R aussi insipides et ineptes - au même titres que les autres partis probablement - tous tes fantasmes arriérés atteste manifestement du manque de cohérence qui règne dans ta cervelle, et surtout de ta profonde déconnexion avec le monde réelle.
Traiter les femmes de prostituées est une insulte caractérisée mon cher.
Surtout quand on sait que les plus débauchés sexuellement sont les hommes.
Le front national n'a rien à voir là dedans.
Le terme de prostituée n'est pas une insulte. Le terme est avant tout figuré. La prostituée est la femme du plaisir. Et jusqu'à ce qu'elle devienne mère, la femme est femme de plaisir. C'est tout.
Quant à la proposition selon laquelle les hommes seraient plus débauchés que les femmes, c'est aujourd'hui complètement faux.
Mais oui, je suis un bobo islamophile pro-immigrationniste abhorrant les preux patriotes de ton espèce.
Je conçois aisément que schématiser aussi niaisement des opinions diverses te permette d'éviter tout effort intellectuel, auxquels tu parais visiblement allergique, mais sache tout de même que je suis très loin de tes accusations manichéennes et simplistes. Néanmoins, même si effectivement je te concède que les "bobos" que tu blâmes sont effectivement pour beaucoup déconnectés de la réalité, je ne doute pas un seul instant qu'il le sont moins qu'un aigris faussement présomptueux.
J'aimerai savoir à qui tu t'adressais, Msieur-bulle, quand tu as posté après EdgarPwned. En lisant la suite je vois bien que je ne devais pas le prendre pour moi, mais bon, comme il y a un léger rapport entre ces posts qui se suivent, je me suis senti visé et vraiment vexé Pour...Rien ?
Edgar.
Premièrement, je ne suis pas aigri. Deuxièmement, qu'est-ce que tu attends pour me faire part de tes idées, et de critiquer le fond des miennes ? Au lieu de verser dans le jugement de valeur, exprimes-toi sur le fond.
Je dois y aller... Je me contenterai de te dire que caricaturer le front national et critiquer E&R, c'est déjà mal parti... Le FN et E&R sont les seuls mouvements politiques dissidents.
Donc fait gaffe aux termes que tu utilises, en tant que tel c'est une insulte.
Parler de l'évolution de la femme en tant que mère/femme/employée (ta "vierge" correspond à l'enfant, donc un stade à part) il n'y a aucune insulte.
Par contre en parallèle tu ne peux mettre que le père/homme/employé (figure paternelle autoritaire, l'homme par son corps, et l'homme en tant que membre de la société) car il n'y a AUCUNE figure historique de la femme (donc il est complètement stupide de mettre les figures psychologiques en parallèle puisqu'elles sont en parallèle d'autre chose). Ou plus exactement, les figures historiques de la femmes sont les même que celles de l'homme (à l'exception que la domination de la femme, par absence d'éducation, éducation partielle ou rendue difficile, par pression sociale, par refus de donner du crédit et autre ont empêché la femme de percer).
Sinon même aujourd'hui l'homme est plus débauché sexuellement que la femme.
Pour une raison simple, la libido d'un homme augmente plus tôt que celle de la femme, et l'homme devenant mature plus tard on arrive au fait que l'homme est beaucoup plus immature quand il commence à être pris de ses pulsions sexuelles.
Et il y a aussi les restes des pressions sociales qui font qu'il y a plus de prudes parmi la gent féminine que la gent masculine, adjoint au féminisme qui tend à vouloir masculiniser la femme (et neutralise la pulsion sexuelle d'une certaine façon, même si j'en conviens pas complètement, d'où l'augmentation de l'âge du premier enfant).
Le premier point est scientifiquement prouvé (avec les différences individuelles qui font que de tels résultats ne sont à prendre que globalement sur une population et inapplicable sur des individus particuliers). Le second est socialement prouvé mais effectivement si la première partie tend à disparaitre de plus en plus la seconde la remplace.