Il aimait la vie,elle aimait la mort
qu´est ce qu´il ne ferait pas pour un morceau de Roquefort.
Ou de Brie, c´est identique,
Ne sommes nous pas
De la vie, de simples tiques ?
(ben, personne suit... )
Non,plutôt des épileptiques
prêt à tout pour manger du paté
comme notre maître Bové
qui j´osé sperais,aime le biophilisé
Maïs, que dis tu là...
Beau vé, provençal
N´est-il pas ?
Bèle argument par ma foie.
Les brulures du phénix.
Si je n´écris plus, c´est que mes mains engourdies,
Ne répondent plus aujourd´hui aux mots d´hier.
Des rigueurs de la roche, mes mains alourdies
Gardent les gravures, et raideurs des prières.
Le vent qui guidait ma plume n´est plus le même,
Il était doux, enthousiaste et libérateur.
Mais ces derniers mois et toutes ces erreurs
Sont de blessants sarcasmes à mes vieux poèmes
L’amour aujourd’hui ? Je ne sais que le railler.
Les douceurs de la vie s’effacent à mes yeux,
Seul l’ardeur du désir brille de quelque feu,
Et mon esprit n’aspire plus qu’à dérailler,
Ces cicatrices sur mon corps ont une histoire,
Elles ont pali avec le temps, mais certains soirs,
Elles me brûlent encore. Douleurs de l’enfer
Qui laissent dans ma chair, un amer goût de fer.
Je t’en ai peut-être parlé de cette enfance,
Cette errance et ce manque...et de chance et de sens.
Ces couteaux qui brillaient, d’un éclair dans le noir.
Tous ces espoirs, en lesquels je ne puis plus croire.
Souvenirs déjà, puisque depuis bien des mois,
Chaque brise, sourire, instant, étaient pour moi
Douceurs angéliques aux saveurs enivrantes,
Baume apaisant de lumières rafraîchissantes.
Et puis quoi ? Sur ce point je m’avoue ignorant.
J´ignore où, quand et comment cela s´est passé.
Mais en moi quelque chose, en mille, s’est cassée.
Mes mouvements sont raides, et mes os faiblissants.
Mes membres se déplient! Des voix aiguës s’écrient :
« Souffrez de milles maux ! Fuyez où vous voudrez !
De tout temps vous ne serez jamais à l’abri.»
Et la terre fertile est d’étoiles cendrées.
Il est neuf heures trente-cinq, quand minuit sonne.
Je les entends, toutes ces cloches qui résonnent,
Au coin d’une âme à l’agonie prédestinée.
Et dans sa mort, une naissance aux dons innés.
Dans ces souffrances, tout n’était que décadence.
Jusqu’au cri de révolte du dernier souffle,
Qui renie en un mot, une mort, une gifle,
Et acclame alors la divine renaissance.
Céleste départ, mais immonde cruauté,
Qui change le passé en ignobles barreaux.
Puisque c´est toi la victime, et moi le bourreau.
Je m´en vais loin de toi cueillir ma liberté,
Adieu.
Cécile.
Dans ces mots j´aperçois des douceurs de cécile,
Les fraicheurs enfantines aux tendres pudeurs,
Et l´audace fugace de sincères ardeurs,
Qui animent d´amour les coeurs les plus fragiles.
Souvent j´y vois aussi cette joie qui s´exile,
Dans des danses exquises de frêles candeurs.
Et dans ses yeux chaleureux, j´aime les rondeurs,
Qui font une femme aux charmes des plus fertiles.
Malheur à moi, car cette femme existe bien,
Mais les cieux ont placé mon coeur loin du sien.
L´espoir un jour s´en va, mais restent les regrets.
Mais nous nous connaissons, et peut être qu´un jour,
Sous un ciel étoilé dans des airs de velour,
Je te dévoilerai mes plus humbles secrets.
Zech qui renaît de ses cendres?!
c´est toujours un plaisir de te lire!
Merci beaucoup ^^
Un poeme qui m´est venu comme ca, j´ai pas cherché a faire excellent, juste suivre l´inspiration du moment
Titre : Blâme...
Je vous crâche ma haine au visage,
Vous qui, sans l´ombre d´un regret,
Nous reduisez en esclavage...
Ah ! Elle est belle votre égalité.
Il est pourtant aisé de vous pardonner,
Car vos âmes, a jamais, sont damnés,
Tandis que nous, pauvres miserables,
Ne sommes coupables de crimes immorales.
Alors, qui de nous deux, ô Maitre vénéré,
est il le plus à blamer ?
Lord Dalhousie (
http://www.latribunedelart.com/Expositions/Expositions_2007/Sargent_Ramsay.jpg )
J’étais blond, avais les yeux bleus, la veste blanche,
Vivais dans ce pays qui n’était pas le mien,
Et que j’aimais avec passion, au quotidien,
Sous les soleils écrasant des jours qui s´épanchent.
Si vous saviez, l’air hautain, la main sur la hanche :
Un art inconséquent de triste comédien.
La vérité c’est que j’étais seul, sans soutien.
Mon arrogance est une béquille qui flanche.
Ma peau rougie est étrangère à cette terre,
Mais au fond de moi s´est incrustée la poussière
De ce sol éternel, qui berça mon enfance.
Ils avaient du noir dans les yeux et sur les mains,
De l´or aussi au fond de leur coeur. Moi gamin,
Si j´avais pu être des leurs...quelle insolence!
De la Mancha.
Prions mes amis, ce jeune homme est fou,
Amoureux. Il va s’y rompre le cou."
Une fois de plus, les jaloux médisent.
Les inconscients ne voient pas mon sourire,
Ils oublient que l’amour nous fait frémir.
N´importe! Quand je la regarde, assise,
Et les larmes, d´aujourd´hui ou d’hier,
Je les sèche en un instant, suis heureux,
Et voici bien mon unique prière.
Toujours penser à elle, en mots de feu.
Ah, oui ! Elle est belle, a de l´esprit ! Mais
Il y a plus important: ces yeux, qui
M’ont quelques fois regardé. Je rimais,
Et voilà par ton regard je naquis.
…
Passage de déprime... Du coup j´ai fait un poème en anglais. J´ai aucune prétention, il est même probable que vous le trouviez mauvais, la poésie n´est pas nécessairement mon point fort. (A noter aussi que je n´ai pas cherché du tout à avoir une quelconque rythmique, j´ai écrit les lignes sans réelles contrainte sinon les (doubles) rimes.)
Quant à la structure/grammaire anglaise, j´ai essayé de ne pas faire d´erreurs, mais bon, c´est possible évidemment (notamment "This´ll make he better", dont je ne suis absolument pas sûr (quoique là, c´est une question d´existence ou non de l´expression sous cette forme)).
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To break a heart, don´t close your eyes...
And you´ll can hurt, it´s enough to ignore
In his face, just launch some ice
He´s the ace, but it´s the joker you´re looking for
You see the stars, he sees the black flames of Hell
You smile, you shine so far, he smiles, he doesn´t know why
Your look is bright, his is closed, dark, he doesn´t seem well
But you´re in an other place, so high, and nobody sees his lie
And you think he´s good, and he knows nobody knows
You hesitate to catch the star : you should, this´ll make he better
And you beam with all your body, and he´s crying, he´s taking a blow
But you´re right, laugh loudly, don´t look to his tears, and be the actor in your theatre.
Perverses promesses
Les murmur´ des jeun´ fées, malheur
Charment mon coeur qui croît, bonheur
Leurs mots colorés qu´elles soufflent à l´oreille,
N´est autre que l´espoir faisant un bruit d´abeille.
Encor´ faut-il rêver au poison d´un baiser!
Grâce, ces demoiselles, il faut pardonner.
Quelles sont merveilleuses, ces ensorceleuses!
Aux quatr´ vents, elles s´amourachent des amoureux
Les mots d´amour, seins nus, courbes délicieuses,
Et d´une main, elle arrachent les coeurs éperdus.
Les soirs d´automnes, elles errent devant chez moi,
Les pauvres fées confuses, elles peuvent bien rêver!
Que de bonheur si au lointain, elles peuvent aller,
Car de malheurs et de souffrances, j´ai soupé.
Les murmur´ des jeun´ fées, bonheur
Charment mon coeur qui croît, malheur
Imagine le chevauchant
Nos idées noires,
Mirobolant,
Il est le Gardien de notre Histoire.
Drainé vers le fond
Par ces impies,
Il se morfond.
Ce n´est fini pour lui.
Il part,
Il entre dans l´Histoire...
"Adieu, je m´en vais !
Je ne veux ni pleurs ni baisers.
Je vais retrouver
Ceux que j´ai aimés."
Vous connaissez de bons sites de poemes siouplait ?
J´aime bien et j´en ai parfois lu que j´appreciait mais concernant les noms des auteurs..etc et tout le tout le touintouin je suis parfaitement inculte ou presque
J´aime bien ta poésie Ereold, sauf le " be the actor in your theatre", qui est comme un cheveu sur la soupe
Mais c´est zoli, j´aime bien la langue anglaise en poésie en général, donc bon...
D´ailleurs Yohan, il t´arrive de faire de la poésie - prose ou vers - en anglais ou pas déjà?
Euh ouais, depuis mon arrivée sur le forum. J´ai même mon propre topic de poésie.
Bonjour toi, l´ange de mes cauchemars,
L´ombre dans le fond de la morgue,
La victime des ténèbres dont on ne se méfie pas dans la vallée,
On pourrait vivre comme Jack et Sally* si on le voulait
Là où tu pourras toujours me trouver,
On fêtera Halloween à Noël,
Et dans la nuit on souhaitera que cela ne se finisse jamais
On souhaitera que cela ne s´arrête jamais
Tu me manques
Où es-tu, et je suis tellement désolé
Je ne peux pas dormir, je ne peux pas rêver cette nuit
J´ai besoin de quelqu´un et toujours
Cette étrange obscurité malsaine
Vient en rampant et m´obsede tout le temps
Et pendant que je fixais, je comptais
Les toiles de toutes les araignées
Qui attrapent des choses et mangent leurs entrailles
Comme l´indécision de t´appeler
Et d´entendre ta voix de traître
Rentreras tu et arrêteras-tu cette douleur ce soir ?
Arrêter cette douleur ce soir
Ne perds pas ton temps avec moi tu es déjà
La voix dans ma tête
Tu me manques