snif! c´est beau ce que tu dis!
Jte le pique hein :p
z´êtes trop romantal et sentimentique les gars!
Aka prépare son comeback ...
Mon Corps et mon esprit ont bien souvent chavirés
Emportés par les terribles flots rugissants ;
De la vie ; Et mon âme et mon cœur ballottés,
Au grès des Personnes et des saisons.
Que ma chair fut mordue et brûlée !
Par le souffle cruel et violent
D’une Tempête exotique et funeste
Qui insuffle et prodigue, la douleur grossièrement.
Christophe !
Ma raison n’est plus maîtresse à bord,
Et Désormais l’équipage se mutine sanglantement !
Le Navire Voguant autrefois vers des terres lointaines emplis d’or
(Promettant plénitude, Certitude et joie des enfants)
Semble dériver vers des horizons plus obscurs,
Et nous mène à notre perte !
- Je te le dis !
Que mes parois crâniennes me semblent soudainement trop étroites
Pour accueillir et supporter subitement,
Le flot d’une pensée incohérente et fiévreuse,
Une mer sauvage d’idée et de sentiments.
Tourmentant mon cerveau de milles passions malheureuses !
XIII
Voyant
Je ne suis pas voyant car j’ai l’horizon borné. Je ne parviens plus à discerner la beauté d’une fleur fanée.
Je n’entend plus désormais cette habituel symphonie, raffinée et mélodieuse mais le fracas étourdissant d’un orchestre grossier.
Je ne peins plus la laideur de ses couleurs flamboyantes
J’ai la douloureuse sensation d’un exil en quelque terre, d’ombre et de ronces, répugnante.
Oh Cruelle illusion !
Je ne sais si le corps est le cachot de l’âme et si l’esprit dicte le corps, tel un maître et son esclave, lorsque je rêve d’étendues majestueuses, d’espaces et de vibrations infinies.
Car je suis triste de n’être qu’un homme, prisonnier de moi-même et l’absurdité de cette condition n’est qu’un autre fardeau qui m’accable.
J’ai perdu l’odeur et la saveur d’antan et je ne suis plus voyant car j’ai l’horizon borné.
Lawl j´me suis pas fait jeté^^
j´ai refais un autre poëme en suivant vos conseil (Que je ne posterai pas) je lui ai remis et tout colle entre nous.
Merci à vous.
Avez-vous déja courru après les cigales,
Lorsque l´or éclabousse les champs de maïs?
Toujours entrainé plus loin sous la voute pâle,
Par dela les sentiers qui mènent aux abysses.
A la recherche de l´indivisible orchestre!
Dont chacun des membres se tait lorsque l´on frôle
Des doigts, son inviolable domaine champestre.
Les cigales clament leur hymne à tour de rôle!
Ls choeurs craquellent dans le brasier du couchant.
A peine eût-on sentie cette ardente douceur,
Que cesse la chanson, et reprend au levant:
La même mélodie empreinte de fureur.
Voyageant ainsi aux quatres points cardinaux,
Refermant ls mains sur des courants d´air déserts.
Les nobles artistes toujours chantent en écho,
Déçu, l´on s´endort sous la coupole stéllaire.
Voila comment l´homme mène sa propre vie,
L´espérance l´envoie sur des chemins sans fins,
Leurré par l´ombre d´un espoir qui lui suffit,
Jamais il ne croque les épis jeunes sains.
j´adore cette poésie Death-grinder et ça fait vraiment plaisir de te revoir poster ici
je t´es vu sur ce forum
et ne suis plus le même homme
le grand amour ne m´a jamais croiser
j´vis a moitier depuis que je suis né
bébé t´es belle a en crever
te remcontrer me comblerais
ta un mec et tu l´aime ? ok
mais MSN c´est pas grand chose
je me noie dans t´es yeux bleutées
je suis l´abeille et toi la rose
l´idée d´me parler t´a bloquer
alors je t´offre ces quelques proses
je ferais tout pour te gater
juste un flurt (fleurte ? ) que je te propose
aucun rapport avec l´IRL (je l´ais fait vite fait pour aider un forumeur du 15-18 )
Aucun des deux Raf :
flyrt
merci Red,
ca fait effectivment longtemps que je ne poste plus, plus de temps, plus trop de lecteurs, et puisj ´écris très très peu.
en ce moment je racle le fond des tirroirs, m´enfin ca reste inédit.
J’ai la tête pleine de mots vides de sens,
Quand la dernière des blanches lueurs vacille.
Le monde entier entre en moi et me noue la panse.
J’ai la nausée, mes yeux roulent comme des billes.
Je sens le monde me transpercer l’estomac,
Me tordre les neurones jusqu’à l’agonie.
Trop multiple : me noie et me mène au coma.
J’étouffe de son immensité, je m’oublie.
Perdu dans les limbes, j’erre cherchant le secours
D’une entité pouvant m’enseigner la bonne voie.
Je pense et m’agite, je virevolte et cours.
Isolé de l’ (im)monde, entendrais-je sa voix ?
Je reste sourd à tes appels O étrangère !
(Pour peu que tes clameurs apportent les réponses.)
Où pourrait se cacher une onde libertaire ?
«Dans le vaste univers ! Débusque et ne renonce. »
Quelle est cette brise qui me susurre ces mots ?
«J’ai perdu mon âme au fond de ces brumes,
Je m’en suis enivré et j’en subis les maux :
On m’appelait AMOUR, l’on m’oublie et m’enfume.
Les secrets sont au bout de tes mains.
Concentre-toi, cherche au plus profond de moi.
Ne perd pas ton âme dans l’occulté malsain,
Laisse-moi t’investir, réveiller ton émoi. »
Le pendu
Au bout d´une corde pendait un salaud ,
Il s´appelait arnaud.
Son acte le destine au trépas
Même une corde ne le méritait pas.
Ma colère il aura provoquait,
Mon poing aura saigné.
Sa bêtise aura fait couler le sang à flots
Car oui cet homme est un beau salaud.
L´absence d´un tabouret,
Sous ses pieds apeurés,
Son heureuse mort aura déclenchée.
Mais s´il y a à apporté miséricorde,
C´est bien envers cette pauvre corde.
Elle à qui on a confié
La lourde épreuve de le toucher
Lorsque la mort l´aura frappée.
Ingrat je suis
Car c´est grâce à cette corde que la vie l´a fuit.
Ô toi ficelle je te dis donc merci.
Quant à toi infâme bandit
Que le paradis te soit interdit.
Je souhaite à tout jamais l´enfer
Pour ton âme de fer.
Je te maudis salaud
Et de cela je n´en ferait jamais assez trop.
Que te soit banni les divin cieux,
Et que te brûle les enfers du feu.
Adieu
Mon esprit s´est évadé, s´est envolé, a divagué
Il s´est transporté, et vers d´autres cieux m´a emporté
Je suis monté si haut que la chute est douloureuse
Une ascension éclair, pour une désillusion malheureuse
Comme sur les montagnes russes, tout s´est enchaîné
Montée, looping, et descente en enfer
En toute conscience, tu m´as laissé m´enflammer
Et j´ai finalement sombré, pour terminer plus bas que terre
Tu es comme une autre, comme un dessin sur un tableau
Qu´on aurait effacé, puis redessiné différemment
Tu as changé, et tu m´as fait tomber de haut
Je m´étais attaché, mais à celle que tu étais avant
Désormais tu es une inconnue, semblable à une image
Tes traits mes sont familiers, mais je ne les reconnais plus
J´ai l´impression que je t´ai connue, mais tu es désormais un mirage
Je ne voulais pas te quitter, mais maintenant me voilà perdu.
Un petit texte fortement influencé par une chanson qui n´a cessé de me casser les oreilles tout au long d´un trajet en voiture. D´où la connotation R&B...Si elle peut faire sourire... that´s the deal
Baby, come on over !
There’s always a reason
If it doesn’t take you further
So erase it and life goes on
Baby, come on over !
There’s always an end
If you can’t bear it any longer
So take the next given hand
Baby, come on over !
You always have your own style
Ready for a new disaster
Or a pure paradise awhile
Baby, come on over !
I guessed you’re smiling
If you’re not yet, I’ll warn there
I might dare to sing without wincing!
Baby, come on over !
Sure you would get sick
Nothing can be more dire
Even the fantomette’s trick !
C´est plus un mini-rap qu´une poésie, mais voilà :
Moi je suis un noob, quoi que je fasse, sur ma chaise
A Quake 4, à Half-Life, à BF ou à CS
Mes balles sont en plastique, et elles ne font pas mal
Quand je tire à côté, je me retrouve à l´hôpital
J´ai essayé de trouver, mon jeu où je pourrais
Enfin fraguer sans compter et sans me faire killer
Mais pour l´instant force est de croire qu´il n´existe pas
Et je suis condamné à jouer et à baisser les bras
Pourquoi d´ailleurs je devrais jouer à un jeu
Où je me fais tuer à un contre 22 ?
Quand t´en as marre, cherche pas à continuer
Je te conseille d´arrêter
Ce sera mieux pour pas te faire chier
Tu te prends des HS ? T´en a marre de CS ?
Tu ne veux plus du tout être tué sans cesse ?
Je suis un noob, moi aussi je te comprends
Qui cherche encore sa voie et qui se fait péter les dents
Tu cherches encore à t´entraîner pour ne plus être un low
Tu ne vas plus en online, tu te lâches sur le solo
Y´a des bots qui sont censés t´apprendre à jouer
Mais si tu te fais killer, alors cherche pas à fraguer
Voilà ce qu´il faut faire face à la réalité
Tu ranges ton CD dans la boîte et tu revends le tout sur EBay
T´as mal choisi, tu croyais avoir trouvé le jeu pour toi
Mais on t´a dit dégage, et t´as bien fait de faire ça
Essaie de changer, pas faire que des FPS
Y´a les jeux de foot, de course ou encore les RTS
Mais si tu vois que t´es en en difficulté
Cherche pas et faut zapper
Ce sera mieux, tu seras soigné
Tu te prends des HS ? T´en a marre de CS ?
Tu ne veux plus du tout être tué sans cesse ?
Je suis un noob, moi aussi je te comprends
Qui cherche encore sa voie et qui se fait péter les dents
Histoire d´enfoncer le clou, tu finis par renoncer
Et tu regardes les vidéos des pros qui arrivent à tout défoncer
T´es dégoûté, t´en pouvais plus, voilà ce que font les forts
Ils s´éclatent sur ce jeu tout en dégoûtant les autres
T´as de la chance, tu les a pas rencontrés
Imagine qu´ailleurs tu seras récompensé
Désormais maintenant tu as le choix
Soit changer de jeu, ou continuer dans cette voie
Mais crois-moi si tu en restes là
Ce sera certainement mieux pour toi
Si tu sais que t´y arriveras jamais
Vaut mieux tout effacer
Et sur un autre jeu tout recommencer
Tu te prends des HS ? T´en a marre de CS ?
Tu ne veux plus du tout être tué sans cesse ?
Je suis un noob, moi aussi je te comprends
Qui cherche encore sa voie et qui se fait péter les dents
Tu te prends des HS ? T´en a marre de CS ?
Tu ne veux plus du tout être tué sans cesse ?
Je suis un noob, moi aussi je te comprends
Qui cherche encore sa voie et qui se fait péter les dents
Si t´es un noob comme moi, cherche pas : arrête, arrête, arrête quoi !
Hahahahaha...
Je plie sous le poids de ma douleur
Ma douleur de Vie et de désir d´éternité
J´ignore ce qu´est ma Vie, quelle est sa valeur
Et je souffre de mon temps qui va un jour s´arrêter
Moi, le Grand Moi, vais un jour disparaître
Et cette certitude me terrifie
Je donnerais beaucoup pour renaître
Et demarrer une nouvelle Vie
Une Vie libérée de la peur
Une Vie dans l´oubli de cette douleur
Mais surtout une Vie où je saurais ce qui m´attends
A cette fin de mon temps
Car rien n´est pire que de vivre dans l´angoisse de sa propre mort
Car on en oublie de vivre
Qu´est-ce que j´aimerais oublier mon sort
Sans avoir à être ivre
La Vie est douloureuse quand on ne veut pas la quitter
Mais elle vaut le coup
Et même si je n´obtient pas l´éternité
Je suis quand même heureux d´être en Vie
La Vie n´est pas que souffrance
Sinon on ne vivrais pas...
J’ai pris la carte et tracé une droite
De toi à moi d’une main maladroite
Cinq pouces nous séparent, je vois
Et une équinoxe me dis-je à mi-voix
On a tracé des mots, une passerelle
Entre nous, peignant une aquarelle
De nos vies et envies entremêlées
Faisant fi de savoir la route scellée
Une demi-lieue, un destin capricieux
Je suis là à désirer être sous tes cieux
Ou juste lire ce que te dicte ton cœur
Les rondeurs d’une complainte en chœur
Ce soir, un parterre de mille pensées
M’assaillent et dans ma tête font danser
La lumière de ton sourire en rêves
L’ombre de ton absence qui m’achève
Sans prétention, suite à une foule d´émotions.
Chat
Chat qui veille dans la nuit.
Chat qui tourne en dérision.
Chat qui veille, chat qui luit
Loin du sommeil,
Il sourit.
Chat qui veille dans la nuit.
Félin moqueur de mes écueils.
Malin matou !
Chat qui tourne en dérision,
Mes espoirs et décisions.
Chat qui guette,
Chat qui fuit.
Gardien dans la nuit !
Un poème pour Lion Céréale : Lion, plaisir éphémère.
Je t´ai vu dans les rayons de Carrefour.
Et ça à tout de suite était le coup de foudre.
Tout les soirs, j´étais impatient du matin.
Dès que mon réveil sonnait
J´attendais mon petit déjeuner
Et c´était goulument que je te dégustais
Mais un jour, ton goût irrésisstible s´en est allé
Je redoutais maintenant l´heure fatidique du petit-déjeuner
Et c´était avec une grimace que je m´éfrocais de te manger
Tu étais devenu routinier
Beaucoup trop pour que je puisse de nouveau t´aimer
Chez Carrefour, je te fuyais
Et mon dernier paquet, je l´ai jeté...
harry potter
grâce aux pommes de terres
je pense à toi
toi et ta si douce voix
de petit chaton en chaleur
Oh viens c´est bientôt le crépuscule
toi et moi on va cueillir des renoncules
et jusqu´à plus soif s´enculer
jusqu´à ce que sonne la fin de l´été.
Oui, c´est quand même de la... poèsie.