Bonjour à tous ^^
J'ai moi même fait un petit poème aux rimes croisés, et je l'espère en Alexandrin (j'ai un doute sur deux trois vers..) que je viens de poster sur le blog d'une fille
Princesse, ange dramatique aux somptueux yeux saphirs,
Tes longues ailes d'argent me recouvre de grâce.
Ta beauté, nuit et jour m'obsède ; je t'admire
Et mon esprit, à ta vue dont jamais je n'me lasse,
Se demande si pour toi je ne pourrai point mourir.
Catacombes, ô demeures de mes douleurs éparses,
Que tu panses malgré toi d'un voluptueux regard
Ne sont rien à côté de mon exil en cette masse,
Demeurant à tes pieds tel l'homme devant l'art.
Je ne sais si c'est l'amour qui me fait t'adorer,
Mais nul crayon ne représentera, nulle mine,
Ce sentiment qui m'envoûte et me rend aliéné
Dès que je saisit au gré du vent ce doux nom ;
Maryline.
Grhyll =} J'avoue que je te rejoins niveau point de vue en ce qui concerne cela, mais certains des posteurs doivent bien lire les derniers poèmes (moi le premier)...
Puis ce genre de topic est utile aux lecteurs avides de poèmes aussi diversifiés...
Premier vers une syllabe en trop surement le E de "ange dramatique"
Deuxième vers un en trop, je sais pas lequelle, y a plein de "e" finals à comptés là.
Cinquième deux syllabes en trop.
Une en trop pour le six.
Pareil pour le sept.
Deux en trop pour le huit.
Un en trop pour 11
Un en trop pour le douze.
Recouvrent*
saisis*
Merci xD
J'ai jamais été très bon dans le décompte des syllabes :P
Bah on va dire que ce ne sont pas des alexandrins alors
La strophe :
"Elle est au bout des mots
La dernière Strophe
Dans mon coeur
A jamais oubliée"
voilà un "truc", je pense pas qu'on puisse appeller ça de la poésie.. mais bon , c'est de l'expérimentation..vers libres quoi..
Chaque jour j'prends une claque
Quand j'entends parler de ce qui se passe en irak
Pourquoi ce pays..
..subit-il la loi des Etats-Unis?
Imaginez que votre quartier
Se retrouve bombardé
Pour amener ce qu'ils appellent "La paix"
Vos frères , vos soeurs
Sont comme vos pères , mort de peur
Imaginez qu'un homme sur vos maisons
Largue des bombes
Alors qu'il a le cerveau plus défaillant qu'une blonde
Et qu'en plus il vous donne des leçons
Pourtant c'est votre pays , votre gloire
17 ans que vous y broyez du noir
Tout ça à cause d'un gars
Qui ne sait pas gouverner un état
Il dit vouloir sauver le monde
Mais se contente de larguer des bombes
Au journal ils sont nommés "terroristes"
Mais ne sont-ils pas juste des hommes qui resistes?
Ouvrez les yeux , soyez réalistes
Bush est loin d'être un utopiste
Je dédie ce poème
A tous ceux qui l'aiment
A tous les peuples oprimés
Rêvant d'une autre destiné
Joliment fait Nico
Ces odeurs, ces mots, tout celà
Je ne peux que m'en souvenir
Et souffrir que tu ne sois plus là
Pour me les offrir
Larmes aux yeux, qui ne peuvent couler
Soirée où certain ont tout fait pour me réconforter
Soirée où j'ai pensé au passé
Soirée que je ne pourrais oublier
Je vous remercie, par ce poème
Pour vous dire tout ce que je ressens
Pour vous dire que je vous dois tant
Désolé d'avoir été à la traine
Malgré vos efforts et vos tentatives
Je suis toujours en haut des arbres, sur la cîme
Hésitant entre sauter et mourir
Ou rester la haut jusqu'à la prochaine tempête
Mes pensées ne me font que souffrir
Sans pour autant m'aider dans ce dilemme
La prochaine fois j'utiliserai ma tête
Plutôt que dire sans réfléchir : " je t'aime "
J'aurais aimé t'avoir pour complice
Rire de tes blagues pleines de malice
Admiré tes longs cheveux blond
N'écouter plus que tes sons
De tes pas comme de ta voix
De tes rires comme de tes joies
Me rapprocher doucement de toi
Que tu me prennes dans tes bras
J'aurais voulu t'embrasser tant de fois
Ne plus jamais te lâcher, t'avoir pour moi
D'autres souffrent, ont des problèmes plus graves
D'autres n'en peuvent plus, pourtant je désespère
Comme si j'étais le seul sur terre
Toutes ces pensées me souillent et me lavent
Elles n'habitent et me frappent
M'enferment pour toujours dans des trappes
Jettent la clé pour toujours et m'oublient là
Et pendant cela, je ne pense qu'à toi
J'aurais voulut te tenir la main, chose futile
Et à mes yeux Ô combien utile
J'écris toutes ces phrases, ces mots
Pour te prouver que je souffres de tant de maux
Tout ça à l'intérieur, j'en voulais trop
Mais t'as choisi de continuer en solo
Je vais sans doute commencer à me répéter
Si ce n'est déjà fait, alors je vais m'arrêter
Et sans aucun doute, ne jamais t'oublier
Considère moi comme je suis, un simple taré.
Yohan > Ostra passe rarement par ici, et personne ne s'en plaint (surtout pas moi!)
j'ai bien aimé ta poésie d'il y a quelques pages...
Gokaden se fait trop rare... j'aime bien lire ses adorables âneries moi!!
Don Quichotte? tu boudes? pas encore récidivé?
Attenderiez-vous une invitation de votre dulcinée?
Hé bien de celle-là il vous faudra vous contenter
puisque j'ai pas l'intention de faire plus de simagrés!!
KisWahiLli un peu de variété lexicale serait la bienvenue, mais sinon c'est mimi, c'est dans l'air du temps
Un écrit courbé mangeait à la main
La boucle du « e » dansait
A l'ombre de la rondeur du «o »
Les lacets se faisaient incrédules,
Les marques se nouaient durement,
A la manière froide d'un bruit d'encre.
Ondulant sous les mes yeux, la rengaine floue
Illisible mais charmante
Eclairait à l'obsidienne.
Amers souvenirs
Délices d'ombrelles
--
Oui je sais c'est étrange
Sous la
Pluie
Pluie
Pluie
Noire d'encre.
Un écrit courbé mangeait à la main
La boucle du « e » dansait
A l'ombre de la rondeur du «o »
Les lacets se faisaient incrédules,
Les marques se nouaient durement,
A la manière froide d'un bruit d'encre.
Ondulant sous les mes yeux, la rengaine floue
Illisible mais charmante
Eclairait à l'obsidienne.
Amers souvenirs
Délices d'ombrelles
Sous la
Pluie
Pluie
Pluie
Noire d'encre.
-
Je reposte j'ai amputé mon poeme sur mon précédent post
Encore un qui risque que de faire tâche
A Travers Toi
Ô Déesse ! Beauté ! Amoureuse de l'érotisme !
Belle fleur firmamentale,
Rose reflet dans l'abyssale,
Grande admiratrice et fiévreuse du narcissisme !
Ne regrettes-tu pas un temps jadis
Ou l'amour était la clé de nos orgasmes ?
Autour, nos roses, la chaleur de l'estivale brise,
Un parfum floral, et le paysage du fantasme.
Divinité terrestre, heureuse et immortelle,
Privée de plaies, de peines et de querelles.
Fleur d'or arrosée des larmes du Suprême,
Ange égarée, vie et bonheur d'emblème.
Te souviens-tu, grande maîtresse des innocents,
De nos longues marches clandestines vers l'inconnu ?
Là où demeurent nos rires et nos chants,
Là où avec nous la nuit se nue ?
Enfant penseuse, unique au gout et au toucher,
Espiègle amante, cœur tendre des lointains prés,
Parfait portrait de la demoiselle idéale,
Vaillante gardienne, forte aux paroles idéales.
Te souviens-tu ma bien aimée,
De nos promesses entourées de nos baisers ?
Scellées, par nos voix : « Pour la vie »
Dénuées, par nos liens, des mortels bris ?
Azure du ciel, vitale des oiseaux,
Je replonge dans le gouffre noir où mon ombre m'attend,
Mon esprit s'effrite, et retrouve le néant,
Enfer où naviguent les âmes perdues sur un radeau.
Ne suis-je plus le prince qui t'accueillait dans l'Eden ?
L'homme souillé qui apaisait tes peines ?
N'es-tu plus la reine qui enchantait mon pauvre cœur ?
La princesse qui couvrait mes douleurs ?
Je t'aime telle l'étendue nocturne.
Ô timide brune ! Ô romantique taciturne !
Tu me parais, à l'honneur de mes rêves,
Près de moi, pour plaisir qu'enfin je me lève.
Ô ma mystérieuse ! Ô ma malicieuse !
Réponds à mes infâmes disgrâces d'antan !
Négliges ta solitude, et redonnes-moi tes pensées curieuses.
Guéris toi et moi de nos blessures, et nos morales souffrants.
A travers Toi, encore je me vois,
A travers moi, toujours je te vois...
Tant que les étoiles étioleront les cieux
Ton corps sera miens sous le soleil de minuit
Tant que des embrassades embraseront tes yeux
Ton coeur me sera clos aux ombres du midi
Tant ton corps
Tant ton coeur
Tant ton corps
Tant ton coeur
Que ne puis-je hurler? Que ne puis-je avouer?
Que ne puis-je hurler? Que ne puis-je avouer?
Tant que que tes beaux iris hisseront les journées
Ta flamme éblouira les brasiers de l'aurore
Tant que tes seins ceindront mon monde détourné
Ton âme éclatera en un tonnerre d'or.
Tant ta flamme
Tant ton âme
Tant ta flamme
Tant ton âme
Que ne puis-je hurler? Que ne puis-je avouer?
Que ne puis-je hurler? Que ne puis-je avouer?
Les poésies du damné :
Dans le Bus des ténèbres tout le monde disparait
sans laisser plus de traces
que des pas dans la glace
dans la Maison des Miroirs
memes les ombres supplient qu'on les tue
de peur de voir ce qu'il y'a en face.
Le monde est le cauchemar
d'un champignon qui reve d'étoiles et d'ordures,
Nos reves sont des livres en feu
Mais nos chemises sont raidies par la glace
Nous pissons contre des vitrines vides
Où un mannequin solitaire nous regarde,
Nous sommes des machines de viande
Déjà pretes pour l'abattoir,
Mais le soir, quand le soleil décline
sur l'horizon en feu,
Nous barbotons comme des gosses
Dans la lumière et nous essayons
De percer les secrets de notre condition,
Parfois il nous arrive meme de saisir
La nuance entre la vérité et le mensonge.
En intro je dirai juste que je me considère comme un héritier des surréalistes (je vous recommande Paul Eluard au passage)
Les putains chemisées
Dévisage les portraits béants
Des tristes gens, le sort du géant
Et de leurs mains palpitent
Entre eux s’agitent
Tournent leurs dos
Aux visages usés
Aux désemparés
Aux déshérités
La foule avance, danse dans la fange
Du sang conquérant leurs phalanges
C'est le topic des poètes définitivement disparus?
Bah, t'es peut-être un héritier des surréalistes, mais moi ma grand-mére à couché avec André Breton qui lui a écrit un roman, alors je vais pas me rabaisser à lire quelqu'un avec un plus petit égo que moi
A Négatum: Je ne fais que revendiquer mes influences. N'y voit de prise de tête (égo), c'est vraiment pas mon genre!
Petit nacho va..!
ô Combien est-il ?
Attendant ton choix nu comme des vers !
Combien de présomptueux ont subit ta colère ?
Cette pluie glaciale n'était pas la dernière
Puisqu'il en restait des milliers derrières.
O grand chef, brandissons ton étendard disparut
Le maître Moustache traîne les gens comme charrue
Depuis qu'il a comprit ce que les autres négliges
Depuis qu'il connaît le seul Homme qui dirige.
Maintenant que ton souvenir est impérissable
Je me dois d'être tourner vers toi
Tu es mon dieu mon sang mon roi
sur mes doigts ta Moustache est palpable.
par Moustache.
Les éclairs d'argent strillent
Les yeux des enfants
Et les marches d'antan
Les sources des icônes
Enserrent
Les faibles errent
Et toi qui danse