Vous pariez combien qu´il revient en se plaignant, en plus ?
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C’est l’histoire d’un enfant, qui vit dans ses rêves,
des rêves de couleurs, des rêves de bonheur.
C’est l’histoire d’un homme, qui vit dans le labeur,
une course sans couleurs, une course fatigante.
C’est l’histoire d’un rêve, un rêve d’enfant.
Et dans ce rêve là, dans ce monde merveilleux,
l’enfant joue dans les prés, l’enfant fait ce qu’il veut.
Il vagabonde, il chante, il est toujours riant.
C’est l’histoire d’un labeur, un labeur, une course.
Et dans cette course là, dans ce circuit sans lois,
l’homme avance et marche, l’homme fait ce qu’il doit.
Il avance, en silence, toujours dans la course.
Pendant que l’un rêve, l’autre vit.
Pendant que l’un court, l’autre vagabonde.
Mais si la vie était un rêve ?
Mais si l’illusion était la vie ?
Quoiqu’il en soit l’enfant, lui, rit.
Alors que l’homme, lui, court.
L’enfant lui, dort d’un sommeil heureux,
et un jour il se réveillera, comme un bébé naissant.
Alors il deviendra l’homme,
il entrera dans la course et fera comme les autres.
Et vous ? Êtes-vous l’enfant ou l’homme ?
Rêvez-vous ou vivez-vous ?
Attention, si vous vous réveillez,
il sera trop tard, vous serez l’homme.
Et n’oubliez pas que, l’enfant, lui rit.
Alors que l’homme, lui, court.
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Voila. Vous en pensez quoi?
perso j´ai bien bien aimé!
bon j´ai jeté ça sur le papier entre une annale de physique et une annale de maths...hum hum
L´Homme Moderne
Réveil dés potron-minet
J´entends mon réveil sonner
Petit-Déjeuner à la volée
Séance d´essayage
Parfaire mon mirage
Mais où sont ces clefs?
Descente éclair d´escalier
Traversée en coup de vent de palier
Course effrénée dans les tubes
Vision fugitive de champs de pubs
Place exiguë dans le métro
Un slogan mérité: jamais trop!
Sourire à une inconnue
Où l´ai-je déjà vu?
Annonce de l´arrêt,imprévue
Victoire!Elle semble déçue
Semi-fond jusqu´au bureau
Boucler vite le boulot
Déjeuner entre collégues
Revue des émissions de la veille
Discussions politiques
Cascade de critiques
Long défilé de problème
A fortiori toujours les mêmes
Puis:T´as lu la page people?
Et:T´as vu la nouvelle?
Reprise de service
Regarder par la vitre
Attente de la fin du devoir
En rêvant de gloire
Heure de la libération
Retour sans passion
Soirée télévision
Pour clore une autre journée
Sans réelle distinction
Qui finissent par former mon éternité
La bête de nuit sortira demain
Pour une longue soirée sans fin
A moi de modifier mon regard
Pour trouver le bonheur dans ct´histoire
Ciel ! Voilà que les douces étoiles disparaissent
Et ceci, sans soucis aucun de discrétion
Comme des mouches tournant près d’un ardent lampion
Il semble qu’elles s’éteignent, une à une, dans mon ivresse
Les constellations, planètes et leurs sattelites
Ephémères aux cieux, cœur à prendre, mais dans tes yeux
S’agitent
Remarquez l´acrostiche et les Alexandrins et vous m´excuserez certainement le classicisme de ce poème.
N´étant qu´un je le crains, petit nouveau par là,
Je vous en prie comprenez moi parce que voilà,
J´ai mis du temps a me decider à poster...
Mais je suis certain que vous saurez m´accepter
Je suis arrivé et, je me suis demandé,
Pourquoi vous n´aviez pas encore associé
Vos deux passions qui sont, bien entendu liées,
J´espere que vous aurez, ainsi pu deviner
De quoi je veux en fait, ici vous parlez.
Jeux videos et poesie sont séparés,
Alors que les deux surement vous appreciez...
Et sur ce je vous dis adieu, et meditez
Sur ce sujet que mon post viens de proposer.
Poème en alexandrin sur la misère, donc engagé, c´est de forme très classique car c´est ce que je préfère dans la poésie^^
Entends le, citoyen, gémir à ta frontière
Ce râle épais, grinçant, qui vient de la misère.
Voila ton vrai cauchemar, pour qui tu étais rêve,
Car c’est en quatre vers que son sommeil s’achève
Tu n’entends donc pas, les sanglots de tous ses fils ?
Sans doute préfères-tu y enfoncer la vis,
Pour clouer leur désir, d’atteindre tes plaisirs ;
Ou leur couper la main, plutôt que la saisir
Dieu entendra-t-il, le pardon de tous tes crimes ?
Sans doute faudrait-il, y ajouter la rime,
Briller encore une fois, juste avant la relève
Car c’est au fond des vers que notre vie s’achève
remplacez le dernier vers par "Car c´est parmi les vers que notre vie s´achève"
Au cœur de cette île, au beau milieu des flots bleu,
J’ai pris possession de ton corps et de ton âme,
Quand nous nous aimions dans un tumulte furieux.
Du vert Petén tu es la synthèse ma femme.
O son de l’Afrique ! O sang de la vieille Espagne !
Sous le soleil de feu, sous son regard divin,
Nos âmes ont fusionné le temps d’un matin,
Au cœur de cette île qui jamais ne fut bagne.
Tes boucles noires dansaient sur ma face claire,
Et j’ai plongé dans l’iris de tes yeux de jais.
Dans ces deux sphères flottaient le sang de la terre,
Ta vie, mais aussi la mienne en un même objet.
Nos âmes vagabondaient dans l’air du matin,
Unies par nos suantes chairs d’êtres mortels.
Oublions nos destins ! O que nous sommes frêles !
Quand les heures s’enfuient s’agrippant à nos mains.
Mais dans l’harmonie de nos deux corps réunis,
Dans la symphonie de nos âmes fusionnées,
Résonnait le tambour de l’invincible vie,
Le temps de ce matin qui fut éternité.
Quelques quatrains écrits il y a quelques temps.
bien à vous
Death-grinder
Alors ça c´est un poème fait dans l´espoir de plaire à une fille qui me torture encore l´esprit... Ca n´a pas marché mais j´espère au moins l´avoir touché avec ça (en plus y a une acrostiche bon hein ok).
PS = "S&M" sont nos initiales ^^
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Où que soient les saisons, où que tourne le ciel
Sous le froid de la pluie, dans l´ombre de la brume
Dans le creux d´une vague, sous le flot de l´écume
Des racines me retiennent et ont cloué mes ailes
Seul dans l´obscurité, mes sentiments se meurent
Rien n´existera plus, ma perte est éternelle
Mais au fond de moi, ma passion est immortelle
Vivante et pleurante, à la recherche du bonheur
Quand disparaît l´amour, quand le désir s´en va
Il reste des vestiges, des souvenirs à rendre
De la poussière et des ruines, des pierres et des cendres
La lumière s´éteint et jamais ne reviendra
Je suis une utopie, et toi tu es mon rêve
Un souffle une pensée qui a toujours existé
Pourtant jamais nos chemins ne se sont croisés
Mon coeur jouit des émotions que tu soulèves
Donne moi ta main, je te jure de l´aggriper
Fais moi juste un signe, un simple mot suffira
Confie moi tes secrets, laisse moi entendre ta voix
Accroché à tes lèvres à jamais je serai
Tu es une porte, une sortie et un espoir
Laisse-moi juste le temps de retrouver ma route
Comprendre, percevoir et m´expliquer ma déroute
Rien qu´un petit instant, ne pas te décevoir...
Mais quel est donc ce sentiment au fond de moi ?
Quelle est cette passion qui une nouvelle fois me tord ?
Quelle est cette folie qui de tes yeux me dévore ?
Mais quelle est cette voix qui me dit que c´est bien toi ?
J´ai toujours fréquenté ces âmes et ces êtres
Toujours de leurs éclairs mon coeur était frappé
Toujours le tonnerre le jour me foudroyait
J´ai toujours souffert du bonheur de naître
La douleur au fond de ces yeux pourtant j´ignore
La souffrance dans ce feu lentement disparaît
Et la joie merveilleuse pour une fois apparaît
Où ta voix frémissante brille de parfaits accords
Sentir un vent de chaleur émanant de toi
Oubliant mes malheurs, rétablissant ma joie
Liant mon coeur à toi, brûlant mon désarroi
Etablissant des règles, établissant des lois
Niant mon desespoir, plaçant en toi ma foi
Esperant que l´espoir, se rapproche de moi
Que de folies pour S&M
Des syphonies des rhapsodies
Des poésies pour une vie
Que de folies pour dire je t´aime
´Tain vous avez les mêmes initiales que Smith and Wesson, que Sourd et Muet et que Sado Maso (à un & près) La classe
Et que le neuvième album de Metallica me rappelle aimablement Google Vous déchirez grave
Ah ça...
Sado-Maso et l´album de Metallica, deux passions de ma vie. Nan moi je dis c´est un signe hein...
Faut juste trouver le lien entre ces quatre trucs... Smith and Wesson je le sens pas comme un bon présage Les autres ça peut aller, ça dépend du contexte
En même temps Wesson et moi on n´a pas les mêmes initiales
Et merde !D Je m´a gourgé Bah, le W n´est jamais qu´un M à l´envers. Tu seras donc tué d´une balle dans la tête alors que tu faisais le poirier
Avec un fouet en écoutant "No leaf Clover"
Si tu penses que tout est éternel
Que le bonheur est voué à survivre
L’espace d’une vie entière
Si tu crois que l’amitié
Ne devient pas un souvenir
Qui rappelle l’instant
Où ses chaînes se brisèrent
On t’a menti
On t’a dit que rien n’importait plus
Que toi, qu’eux, que vos rires
On t’a trahi
L’amitié fait souffrir
Et notre âme s’est tue
Car tous les instants heureux
Renforcent la peine qui surgira
Et plus ils seront nombreux
Et plus tu en perdras
La peine qui surgira
Fera plus mal
Fera plus mal…
Et le poison se répandra dans tes veines
Et leur rire te rappellera l’instant
Ou dans le passé, pour un court instant
Vous vous êtes aimés si bien
Que tu les pleures maintenant
Si tu te dis que c’est bien peu
De croire que tout persiste
Même les blessures les plus profondes
Que le sang qui coule se cicatrise
Et que ce temps qui nous rend vieux
Assassine le souvenir d’actes immondes
Tu t’es menti
On t’a menti
Leur âme est blanche, ils sont ensemble
Ils t’ont laissé dans un gouffre de solitude
Avec des souvenirs, des habitudes
Pointe le fusil sur ta tempe
Monde irréel aux louanges improbables
Dimension imparfaite a l´unique exception
Beauté venimeuse à l´esprit pur depuis sa conception
Tout droit tiré de la plus belle des fables
Pensée unique, centrée sur elle
Elle, qui ne quitte mon esprit
J´ai beau hurler, oui ! Je crie !
Mais son image reste figée, belle.
Au dernier souffle, au dernier battement
De mon cœur, son aile effleurera mon âme
Ultime baiser, avant la mort de ma flamme
Et la, mon mutisme sera ma peine au dernier jugement
Le brulant Halo d´un soleil éclaire
Les décombres d´un esprit déchu
À l´âme noire, aux pensées inconnues
Dont l´ombre vous étouffe, vous serre.
La faible lumière lentement s´éteint
Laissant mon cœur a l´agonie
La main planant, le couvrant, de son malheur rit
Ne donnant plus aucun espoir, laissant mes efforts vaint
Le spectre de la mort plane lentement
Offrant l´ultime baiser par dessous la rose
Ne lui donnant ni raison, ni cause
Emporte l´esprit et s´éclipse tel un coup de vent.
Son doux regard se posa sur ma pensée
ne comprenant mes intentions amoureuses
éteignit la flamme jadis brulante ,fièvreuse
d´un geste blessant , d´un air revulsé
La flamme fut ravivée, par le pardon non demandé
cependant accordé a la sublime creature
mon coeur se mit a battre, instoppable, a vive allure
je me remis a penser, d´elle rêver.
Encore une fois la boucle recommence
Indubitable, invariable, au changement inconcevable
tel un rêve émanant d´une fable
éphémére, mais apprecié, ce doux moment de romance.
L´epine émanant de tes levres
Transpersa en son centre mon ame
tel le glaive , coupant de sa lame
promettant une mort doucereuse,lente,telle la fievre
la volupté de ton corps telle la légendaire
rose noire, beauté fatale au coeur de l´homme
promettant un effondrement,laissant mon ame difforme
tranchante de ses epines, telles une dague de fer
mon coeur aimant fut abbatu
tel un coup de foudre fouettant l´air
tel le rasoir du brisé verre
et mon ame se noyant jamais ne sera secourue
Amer savoir, celui qu´on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd´hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d´horreur dans un désert d´ennui !
Faut-il partir ? rester ? Si tu peux rester, reste ;
Pars, s´il le faut. L´un court, et l´autre se tapit
Pour tromper l´ennemi vigilant et funeste,
Le Temps ! Il est, hélas ! des coureurs sans répit,
Comme le Juif errant et comme les apôtres,
A qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau,
Pour fuir ce rétiaire infâme ; il en est d´autres
Qui savent le tuer sans quitter leur berceau.
Lorsque enfin il mettra le pied sur notre échine,
Nous pourrons espérer et crier : En avant !
De même qu´autrefois nous partions pour la Chine,
Les yeux fixés au large et les cheveux au vent,
Nous nous embarquerons sur la mer des Ténèbres
Avec le cœur joyeux d´un jeune passager.
Entendez-vous ces voix charmantes et funèbres,
Qui chantent : "Par ici vous qui voulez manger
Le Lotus parfumé ! c´est ici qu´on vendange
Les fruits miraculeux dont votre cœur a faim ;
Venez vous enivrer de la douceur étrange
De cette après-midi qui n´a jamais de fin !"
A l´accent familier nous devinons le spectre ;
Nos Pylades là-bas tendent leurs bras vers nous.
"Pour rafraîchir ton cœur nage vers ton Electre !"
Dit celle dont jadis nous baisions les genoux.
ouahhhhhhhhh comment j´ai trop pété un plomb quand j´ai vu Sergei ici!!!
ensuite j´ai cherché... et j´ai vu que c´était pas celui que je pensais que c´était...
gars tu devrais songer à changer de pseudo ici (même si tu l´aimes bien), car celui-là est on ne peut plus populaire (c´était celui du premier modo du forum et il était très respecté en général ici, alors forcément tu fais faire des stupeurs à tout le monde avec ce pseudo-là)