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Niveau 11
26 juillet 2014 à 18:23:30

Les onze différentes familles de Dampierre répertoriées en 1772 par La Chesnaye des Bois dans son dictionnaire3, sont décrites et classées dans l'ordre suivant :

Dampierre (de) : famille noble originaire de Bourgogne (éteinte). Elle reçut la seigneurie de Bourbon par le mariage vers 1216 de Guy II de Dampierre avec Mahaut de Bourbon (la terre de Bourbon passera ensuite par mariage en 1283 à la Maison de Bourgogne puis à la Maison de Clermont qui prendra plus tard le nom de Bourbon). Cette maison de Dampierre hérita également le comté de Flandre. Les armoiries de cette famille sont : « De gueules à deux léopards d'or, avec couronne de baron4 ». Dans son dictionnaire de 1772, La Chesnaye des Bois la décrit ainsi : « Terre & Seigneurie en Bourgogne, dont la grande Maison de Dampierre, éteinte, avoit pris le nom. Elle se divisa en deux branches, par les deux fils de Gui de Dampierre, qui avoit épousé Marguerite, héritière de la Maison de Bourbon.(...)5 »
Dampierre (de) : famille noble « éteinte3 », qui a donné un grand maître des arbalestriers, un amiral, et un grand panetier de France. Elle a eu pour auteur Jean de Châtillon, seigneur de Dampierre, mort en 1362, et a fini avec Waleran de Châtillon, seigneur de Dampierre, qui vivait encore en 1471.
Dampierre (de Cugnac de) : baronnie de Beauce, érigée en marquisat en 1616 en faveur d'Antoine de Cugnac IVe du nom.
Dampierre (de) : fief de Dampierre-en-Burly érigé en marquisat en 1720 faveur de Claude Henry Feydeau de Marville. Les Feydeau portent « d'azur au chevron d'or accompagné de trois coquilles du même. »
Dampierre (de Longaunai de) : famille noble originaire de Bretagne ; marquis de Longaunai et barons de Dampierre. Ses armoiries sont : « d'azur au sautoir d'argent. »
Dampierre (du Val de), une des 2 seules familles de Dampierre subsistantes1 : famille noble originaire de Champagne ; comtes de Dampierre et barons de Hans ; ses armoiries sont : « d'azur à là bande d'argent ». Dans son dictionnaire de 1772, La Chesnaye des Bois la décrit ainsi : « Seigneurie en Champagne érigée en Comté en faveur de Nicolas de Bossut, chevalier Baron de Rézocha, seigneur de Ham, etc. Sa fille aînée Anne de Bossut eut ce Comté en partage, & le porta à son mari Jacques du Val, seigneur de Mondreville, Voyez VAL. »
Dampierre (de) : autre famille noble de Franche-Comté dont les armoiries sont : « de gueules à deux clefs d'argent en sautoir et sur le haut entre deux une fleur de Lys d'or. »
Dampierre (de), une des 2 seules familles de Dampierre subsistantes1 : famille noble originaire de Picardie, citée au xive siècle dont la filiation est prouvée depuis 15251. Les armoiries de cette famille sont : « D'argent, à trois losanges de sable, posées deux et un6 ». (dont est issu Aymard, 2e marquis de Dampierre (1787-1845) fut fait pair de France par le roi Charles X en 1827.). Dans son dictionnaire de 1772, La Chesnaye des Bois la décrit ainsi : « Il y a encore Dampierre en Picardie, dont les armes font : d'argent à trois losanges de sable, 2 et 1. »
Dampierre (de Grandpré de) : comtes de Grandpré et de Dampierre. Les armoiries de cette famille sont : « Burelé d'or et de gueules de 10 pièces. »
Différents nobiliaires indiquent aussi ces quatre autres familles de Dampierre :

Dampierre (Picot de) : famille noble originaire de Champagne, anoblie en 1496 par une charge de secrétaire du roi2, marquis en 1645, éteinte en 1871. (dont est issu Auguste, marquis de Dampierre (1756-1793), général de la Révolution française. Les armoiries de cette famille sont : « D'or au chevron d'azur accompagné de trois falots de sable, allumés de gueules, au chef de même7. »
Dampierre (de) : famille noble du Poitou. Cette terre de Dampierre (aujourd'hui Dampierre-sur-Boutonne) a donné son nom à une maison célèbre qui s'éteignit en 1603 dans la personne de Catherine de Clermont, épouse en secondes noces d'Albert de Gondi, duc de Retz, maréchal de France2.
Dampierre (de Guiran de) : famille noble originaire de Normandie (près de Dieppe), barons de Dampierre en novembre 16735.
Dampierre (de) : seigneurs de Dampierre (terre du Hurepoix, aujourd'hui département des Yvelines). Les duc de Luynes firent l'acquisition de cette seigneurie au xvie siècle et y firent bâtir, sur les dessins de Mansard, un important château2.

komt1souciant komt1souciant
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:23:45

En mathématiques, un calcul est une opération ou un ensemble d'opérations effectuées sur des grandeurs1. Initialement ces grandeurs étaient des nombres mais le développement des outils mathématiques et de l'abstraction permet maintenant d'effectuer des calculs sur des objets plus complexes (fonctions, vecteurs, propositions). Par la suite, l'informatique a permis de faire couramment des calculs sur des donnés formelles variées et le calcul est devenu un objet d'étude dans la théorie de la calculabilité.L'addition est un exemple de calcul.Étymologie« Le mot calcul, symbole même de notre ère scientifique et technique, dérive du mot latin calculus qui signifie petit caillou »2. Ces petits cailloux sont à l'origine d'un des plus anciens systèmes comptables découvert à nos jours3. L'usage de cailloux pour symboliser des personnes, des animaux ou des mesures de grains et pour y effectuer des additions et des soustractions est fondamental dans l'évolution du calcul mathématique. Premier outil de calcul silencieux et symbolique, il est le précurseur de toute une famille d'aide au calcul que sont les abaques.Les os d'Ishango, également appelés bâtons d'Ishango, sont considérés comme le plus ancien outil de calcul jamais mis au jour, des vestiges archéologiques découverts dans l'ancien Congo belge et datés de peut-être 20 000 ans. Selon certains auteurs, il pourrait s'agir de la plus ancienne attestation de la pratique de l'arithmétique dans l'histoire de l'humanité. On les a considérés d'abord comme des bâtons de comptage mais certains scientifiques pensent qu'il s'agirait d'une compréhension bien plus avancée que le simple comptage. Cette thèse est rejetée par certains auteurs, dont Olivier Keller.Les premiers calculs ont porté sur des nombres entiers (nombre d'animaux dans un troupeau, nombre de soldats dans une armée, nombre de jours dans un calendrier, prix à payer lors d'une transaction ou un impôt). Le développement des systèmes de numération permet d'effectuer ensuite des calculs sur des nombres fractionnaires (représentant des longueurs ou des durées) comme à Sumer à la fin du IVe millénaire ou plus tard en Égypte4.Les anciens Grecs se sont surtout intéressés à la géométrie, considérée comme « la science grecque par excellence5». Celle-ci a été particulièrement développée par Euclide, dont les Éléments « ont été à la base de tout l'enseignement de la géométrie non seulement chez les Grecs, mais chez les Romains et les Arabes, puis chez les modernes6». Contrairement à des simplifications courantes, « la géométrie raisonne sur des figures intelligibles et procède avec une extrême défiance de tout ce qui rappelle l'expérience sensible7». « Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre » proclamait, selon la légende8,9,10, l'épigraphe du fronton de l'Académie de Platon. Elle permettra d'atteindre à des modèles d'une grande précision en astronomie, avec Héraclide du Pont, Aristarque de Samos, Ératosthène, Ptolémée, Hipparque, et bien d'autres.Article détaillé : Mathématiques de la Grèce antique.De même, l'arithmétique grecque dédaignait, conformément aux conseils de Platon, les problèmes réalistes et on « louait le grand Pythagore d'avoir su, le premier, s'élever au-dessus des besoins des marchands11». Toutefois, faute d'un système de notation symbolique appropriée, « l'arithmétique n'a pas su s'y élever à un niveau de généralité et de perfection aussi grand que la géométrie11».Les mathématiciens grecs travaillent sur des longueurs et étudient la notion de commensurabilité (existe-t-il une unité qui permette de mesurer deux longueurs ?) qui est à rapprocher de la notion actuelle de nombre rationnel. En cherchant à calculer la diagonale du carré de côté 1, c'est-à-dire racine carrée de deux, ils découvrent l'existence de nombres incommensurables12, (on dirait de nos jours nombres irrationnels) et inventent la notion de longueur constructible. Pendant plusieurs siècles, les calculs s'effectuent sur ces types de nombres.La recherche de solutions des équations du second degré mène à des calculs sur des nombres négatifs ou complexes, que d'Alembert dans son Encyclopédie, qualifie respectivement de racines fausses et de racines imaginaires et ne les accepte pas comme résultat d'un calcul final13. Quant à l'ensemble des nombres réels, il faut attendre la fin du xixe siècle pour qu'il soit clairement défini14.Parallèlement aux calculs sur des nombres (calcul numérique), se développent, chez les mathématiciens de langue arabe 15 (Ibn al-Banna, Al Khwarizmi), précurseurs du calcul algébrique des calculs sur des polynômes16.Les notations symboliques développées par François Viète et René Descartes introduisent ce type de calcul en Europe. Les notations symboliques libèrent les calculs du champ des nombres et on effectue en Europe des calculs sur des objets aussi divers que des fonctions (xviie siècle), ou des vecteurs (xixe siècle). Vers la fin du xixe siècle, l'école allemande crée les ensembles (corps commutatifs, anneaux sur lesquels se définissent des opérations qui n'ont qu'un lointain rapport avec l'addition et la multiplication classique, bien que la même notation leur soit attribuée (+ et ×). C'est la naissance des structures algébriques.Au xixe et xxe siècles, le développement de la logique mathématique offre un nouveau champ d'application : les propositions logiques. C'est le domaine du calcul des propositions.On retrouve dans le domaine des opérations une évolution similaire. Les quatre premières opérations sont, par ordre de complexité, l'addition, la soustraction, la multiplication et la division. Des règles de calculs sont établies pour ces quatre opérations qui vont des tables d'addition, ou de multiplication aux algorithmes de la multiplication ou de la division.L'extraction de racine (racine carrée, racine cubique, etc.) est d'un niveau de complexité supérieur. Le livre chinois Les Neuf Chapitres, commentés par Liu Hui (263), présente des algorithmes d'extractions de racines carrées qui s'apparentent à l'algorithme de division, l'opération s'y nomme d'ailleurs le plus souvent « diviser par extraction de racine carrée ».L'exponentiation (calcul de ab), classique pour b entier, est plus tardive pour b rationnel ou réel.Au fur et à mesure que les objets de calcul se diversifient, les opérations en font autant. À côté des opérations classiques d'addition, de soustraction et de multiplication par un réel, on trouve alors le produit matriciel, du produit vectoriel ou scalaire sur des vecteurs. On peut aussi faire le produit de polynômes, en faire une division euclidienne mais aussi les dériver. On peut aussi calculer la dérivée d'une fonction dérivable, intégrer une fonction intégrable, faire le produit de fonctions numériques ou composer des applications.Le calcul en mathématique regroupe alors toutes les branches des mathématiques, du calcul statistique (moyenne, variance, estimateur) au calcul intégral, au calcul infinitésimal ou au calcul formel.Sur les propositions logiques, les opérations sont les opérateurs logiques (et, ou, négation, etc.).La méthode la plus ancienne consistait à utiliser des « petits cailloux » (calculi), ou à compter sur les doigts. Cette dernière méthode a été perfectionnée chez les Romains comme le montre une encyclopédie rédigée par Martianus Capella, vers 420, dans laquelle l'allégorie de l'arithmétique fait son entrée en scène en comptant sur ses doigts à une vitesse telle que ceux-ci vibrent sans qu'on puisse en suivre le mouvement ; elle dit préférer les chiffres que l'on peut compter sur les doigts des deux mains, car les chiffres plus élevés exigent des mouvements complexes des bras21. Bède le Vénérable expose ces méthodes de calcul dans son De temporum ratione22. Celles-ci seront en usage durant une bonne partie du Moyen Âge23.On a aussi développé des auxiliaires mécaniques tels que le boulier ou l'abaque. Des méthodes de calculs complexes sont décrites très tôt à l'aide d'algorithmes qui libèrent l'utilisateur de la démarche de recherche pour ne lui laisser que les étapes du calcul à effectuer. C'est le cas par exemple des algorithmes figurant dans les mathématiques babyloniennes24 ou dans Les Neuf Chapitres sur l'art mathématique en Chine (263).Les choses ont changé avec l'apparition du calcul automatique.L'évolution des règles du calcul en mathématiques a permis la découverte de nouveaux algorithmes, qui décomposent simplement les instructions. Ces nouvelles méthodes sont fondamentales en informatique et en robotique, et sont très utilisées par les autres sciences telles que la physique ou la chimie.Un calcul est exact quand le résultat fourni ne diffère en rien du résultat cherché. Le calcul d'une somme, d'une différence ou d'un produit peut être effectué de manière exacte si les valeurs de départ sont exactes et si la taille du nombre n'excède pas la capacité de calcul. En revanche, il est fréquent que le calcul d'un quotient ou d'une racine ne puisse mener qu'à une valeur approchée. On parle alors de calcul approché. On cherche souvent à fournir, avec le résultat approché, une majoration de l'erreur commise. Par exemple, 7/3 est environ égal à 2,33 avec une erreur par défaut inférieure à 0,01, ou bien encore π est environ égal à 256/81. Ce calcul approché de π était connu des Égyptiens dès le xviie siècle av. J.-C. 17. Certains calculs d'aire et de volume ne peuvent s'effectuer qu'en valeur approchée.Le calcul approché apparaît très tôt dans l'histoire du calcul. Il est à l'origine de la création de tables numériques de valeurs approchées : table des sinus en Inde18 et chez les mathématiciens de langue arabe19, table de logarithmes en Europe au xviie siècle20. Il est un objet d'étude en Europe dès le xviie siècle avec le développement des fonctions en séries entières, et les recherches de valeurs approchées de zéro d'une fonction. Il reste très actuel et lié aux capacités de calcul des ordinateurs.

[RenaRyuugu] [RenaRyuugu]
MP
Niveau 9
26 juillet 2014 à 18:23:48

Pauvre auteur :hap:

+ Dédi :hap:

Pseudo supprimé
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:24:39

Les droites (d) et (d’) sont sécantes en A ;
B et M sont deux points de la droite (d), distincts de A ;
C et N sont deux points de la droite (d’), distincts de A ;
les droites (BC) et (MN) sont parallèles.
a) Par la symétrie de centre A, construire les points M’ et N’, symétriques respectifs des points M et N.
b) Que peut-on dire des droites (M’N’) et (BC) ? Expliquer.
c) Expliquer pourquoi AM’ = AM, AN’ = AN et MN = M’N’.
d) Expliquer pourquoi \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}} = \dfrac{\text{MN}}{\text{BC}}.

Solution :
a)
Le théorème de Thalés et sa réciproque - troisième : image 4

b) On sait que les points M’ et N’ sont les symétriques respectifs des points M et N par rapport au point A. Donc (M’N’) est la symétrique de (MN) par rapport à A.
Or, la symétrique d’une droite par rapport à un point est une droite parallèle.
On en déduit que les droites (MN) et (M’N’) sont parallèles.
De plus, on sait que les droites (MN) et (BC) sont parallèles.
Or, si deux droites sont parallèles, alors toute parallèle à l’une est parallèle à l’autre.
On en conclut que les droites (M’N’) et (BC) sont parallèles.

c) On sait que M’ est le symétrique de M par rapport à A, donc AM’ = AM.
On sait que N’ est le symétrique de N par rapport à A, donc AN’ = AN.
Les segments [MN] et [M’N’] sont symétriques par rapport à A. Or, la symétrie centrale conserve les longueurs, donc MN = M’N’.

d) Dans le triangle ABC, M’ est un point du côté [AB], N’ est un point du côté [AC] et les droites (M’N’) et (BC) sont parallèles, alors \dfrac{\text{AM'}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN'}}{\text{AC}} = \dfrac{\text{M'N'}}{\text{BC}}.
Or, on a montré que AM’ = AM, AN’ = AN et que M’N’ = MN, donc : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}} = \dfrac{\text{MN}}{\text{BC}}.

3. Conclusion
Les trois configurations de Thalès :
Le théorème de Thalés et sa réciproque - troisième : image 5

Théorème de Thalès :

Soient (d) et (d’) sont deux droites sécantes en A,
Soient B et M deux points de la droite (d), distincts de A,
Soient C et N deux points de la droite (d’), distincts de A.
Si les droites (BC) et (MN) sont parallèles, alors : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}} = \dfrac{\text{MN}}{\text{BC}}.

4. Exemple

Le théorème de Thalés et sa réciproque - troisième : image 6
Sur la figure ci-dessus, on donne :
AB = 12 cm, AN = 4cm, AC = 6 cm, MN = 3 cm.
Les droites (BC) et (MN) sont parallèles.
Calculer AM, puis BC.

Solution :
Les droites (BM) et (CN) sont sécantes en A, les droites (BC) et (MN) sont parallèles.
Donc, d’après le théorème de Thalès, on a : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}} = \dfrac{\text{MN}}{\text{BC}},
c’est-à-dire : \dfrac{\text{AM}}{12} = \dfrac{4}{6} = \dfrac{3}{\text{BC}}.

  • De \dfrac{\text{AM}}{12} = \dfrac{4}{6}, on déduit que : AM = \dfrac{4 \times 12}{6} = \dfrac{4 \times 6 \times 2}{6} = 8

Donc : AM = 8 cm

  • De \dfrac{4}{6} = \dfrac{3}{BC}, on déduit que : BC = \dfrac{6 \times 3}{4} = \dfrac{2 \times 3 \times 3}{2 \times 2} = \dfrac{9}{2} = 4,5

Donc : BC = 4,5 cm

II. Réciproque du théorème de Thalès

Le théorème de Thalés et sa réciproque - troisième : image 5
Données :
\dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}}
A, B, M et A, C, N sont alignés dans le même ordre.
Réciproque du théorème de Thalès :

Soient (d) et (d’) deux droites sécantes en A,
Soient B et M deux points de (d), distincts de A,
Soient C et N deux points de (d’), distincts de A.
Si \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}} et si les points A, B, M et les points A, C, N sont dans le même ordre,
alors les droites (BC) et (MN) sont parallèles.
Exemple :
Le théorème de Thalés et sa réciproque - troisième : image 7
Sur la figure ci-dessus, les points A, M, B et A, N, C sont alignés.
Montrer que les droites (MN) et (BC) sont parallèles.

Solution :
On a : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{9}{5,4} = \dfrac{90}{54} = \dfrac{5 \times 18}{3 \times 18} = \dfrac{5}{3} et \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}} = \dfrac{17,5}{10,5} = \dfrac{175}{105} = \dfrac{5 \times 35}{3 \times 35} = \dfrac{5}{3}.
Donc : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AN}}{\text{AC}}.
De plus, les droites (BM) et (CN) sont sécantes en A, les points C, A, N sont alignés dans le même ordre que les points B, A, M.
D’après la réciproque du théorème de Thalès, on en déduit que les droites (BC) et (MN) sont parallèles.

III. Construction de points
On peut aussi utiliser le théorème de Thalès pour placer des points.

1. Construction : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \text{k}
Exercice :
Placer deux points A et B.
Tracer à la règle non graduée et au compas le point M du segment [AB] qui vérifie \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{4}{7}.

Solution :
- On trace une demi-droite [Ax).
- On choisit une ouverture de compas et on trace sur [Ax) sept segments consécutifs de même longueur à partir du point A. On place M’ et B’ tel que AM’ = 4 et AB’ = 7.
- On trace (BB’), puis sa parallèle passant par M’. Elle coupe [AB] en M.
Le théorème de Thalés et sa réciproque - troisième : image 8

Justification :
Les droites (B’M’) et (BM) sont sécantes en A, les droites (BB’) et (MM’) sont parallèles.
Donc, d’après le théorème de Thalès : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{\text{AM'}}{\text{AB'}}.
Et comme \dfrac{\text{AM'}}{\text{AB'}} = \dfrac{4}{7} (par construction), alors on a : \dfrac{\text{AM}}{\text{AB}} = \dfrac{4}{7}.

2. Construction : \dfrac{\text{MA}}{\text{MB}} = \text{k}
Exercice :
Placer deux points A et B.
Tracer à la règle non graduée et au compas les points M de la droite (AB) tels que \dfrac{\text{MA}}{\text{MB}} = \dfrac{2}{5}.

Solution :
- On trace deux droites parallèles (d) et (d’) telles que (d) passe par A et (d’) passe par B.
- On choisit une ouverture de compas et on trace sur la droite (d) deux segments consécutifs de même longueur de part et d’autre du point A. Et on trace sur la droite (d’) cinq segments consécutifs de même longueur à partir du point B (on garde la même unité).
- On place G1 et G2 sur la droite (d) tels que AG1 = AG2 = 2 et H sur la droite (d’) tel que BH = 5.
- Les droites (HG1) et (HG2) coupent (AB) en M1 et M2.
Le théorème de Thalés et sa réciproque - troisième : image 9

Justification :
- Les droites (G2H) et (AB) sont sécantes en M2. Les droites (AG2) et (BH) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès, on a : \dfrac{\text{M}_2\text{G}_2}{\text{M}_2\text{H}} = \dfrac{\text{M}_2\text{A}}{\text{M}_2\text{B}} = \dfrac{\text{AG}_2}{\text{BH}}. Or, \dfrac{\text{AG}_2}{\text{BH}} = \dfrac{2}{5}, donc \dfrac{\text{M}_2\text{A}}{\text{M}_2\text{B}} = \dfrac{2}{5}.
- Les droites (AB) et (G1H) sont sécantes en M. Les droites (AG1) et (BH) sont parallèles.
Donc d’après le théorème de Thalès, on a : \dfrac{\text{M}_1\text{A}}{\text{M}_1\text{B}} = \dfrac{\text{M}_1\text{G}_1}{\text{M}_1\text{H}} = \dfrac{\text{AG}_1}{\text{BH}}. Or, \dfrac{\text{AG}_1}{\text{BH}} = \dfrac{2}{5}, donc \dfrac{\text{M}_1\text{A}}{\text{M}_1\text{B}} = \dfrac{2}{5}.

interactif
Fiche interactive :
Théorème de Thalès et sa réciproque

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Niveau 11
26 juillet 2014 à 18:24:48

Marine royale française était devenue quasi inexistante avant 1624.

Elle hérite de plusieurs traditions:

en Méditerranée celle de l'Ordre de Malte qui recrutait ses chevaliers dans les meilleures familles de la noblesse française pour former les officiers de la Flotte du Levant dont le principal port était d'abord à Fréjus, puis à Marseille et à Toulon;
dans la Manche avec la Normandie qui, depuis Guillaume le Conquérant, a toujours donné des marins intrépides et possédé des ports actifs;
dans l'Atlantique, la Marine du Duché de Bretagne qui constituera le noyau de la Flotte du Ponant. Le droit et les juridictions particulières de la Bretagne, dont sa force militaire marine, vont se conserver jusqu'à la Révolution qui sonnera la fin de l'indépendance administrative et territoriale de la Bretagne, bien que les couronnes françaises et bretonnes fussent réunies depuis 1532.

« D'une ancre d'or entrelacée d'un câble de même »
À la Révolution, la Marine nationale a succédé à la Marine royale, créée en 1624 par Richelieu. Sous le premier et le second empire, elle s'est appelée Marine impériale.

La Marine est encore aujourd'hui appelée familièrement « La Royale ». Cette expression était employée par les marins du commerce parce qu'ils devaient effectuer un temps de service au bénéfice de la Marine de guerre française par l'institution de l'Inscription maritime. L'implantation de l'ancien ministère de la Marine puis de l'État-major de la Marine de guerre française au 2, rue Royale à Paris, n'est sans doute pas étrangère à la popularisation de cette expression.

Le symbole de la Marine française, qui était depuis son origine « une ancre d'or », qui, à partir de 1830, est « entrelacée d'un câble » à simple enroulement « en forme de S inversé », figure sur les navires, les armes, les uniformes3, les courriers, affiches et documents officiels, la vaisselle, les couverts, équipements, bâtiments, armes, etc. de la Marine. Elle a été abandonnée et remplacée en 1990 par un logo figurant une étrave de navire de guerre blanche avec deux gerbes d'écumes bleu et rouge, et l'inscription « Marine nationale ». Le chef d'état-major de la Marine était l'amiral Bernard Louzeau.

Articles détaillés : Histoire de la marine française, Histoire de la marine française de l'Antiquité à la Renaissance, Histoire de la marine française de Richelieu à Louis XIV, Histoire de la marine française sous Louis XV et Louis XVI et Histoire de la marine française depuis 1789.
Missions[modifier | modifier le code]
Dissuasion[modifier | modifier le code]

SNLE L’Inflexible (S 615) de la classe Le Redoutable en surface.
L'objet de la dissuasion est :

de faire face à une agression majeure qui remet en cause l'existence de la France (en particulier son territoire et sa souveraineté) par une puissance étrangère hostile;
de faire face aux menaces que pourraient faire peser des puissances régionales sur les intérêts vitaux de la France par la menace d'une frappe nucléaire de riposte.
La dissuasion nucléaire est le cœur de la stratégie de la défense nationale. L'objectif de la doctrine nucléaire reste néanmoins celle du non-emploi. La capacité nucléaire française repose, en 2014, sur :

les missiles balistiques mer-sol qui équipent les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins de la classe Le Triomphant en remplacement des six de la classe Le Redoutable de la Force océanique stratégique (FOST);
les missiles aérodynamiques (ASMP-A) pour la composante aéroportée dont font partie les avions de l'armée de l'air et de l'aviation navale.
Articles détaillés : Force de dissuasion nucléaire française et Force océanique stratégique.
Action[modifier | modifier le code]
L'action opérationnelle rassemble les missions de prévention et de projection de puissance ou de forces.

Prévention[modifier | modifier le code]

La frégate La Fayette.
Le contrôle des espaces maritimes est fondé sur un pré-positionnement et une présence adaptés en :

Atlantique Nord ;
Méditerranée ;
océan Indien ;
DOM, COM et ZEE.
Pour défendre les intérêts de la France à travers le monde, des forces prépositionnées en permanence hors métropole, composées[Quand ?] de 25 navires (frégates de surveillance, de bâtiments de transport léger, de patrouilleurs), 12 avions et hélicoptères, des commandos sont déployés sur tous les océans. Ils assurent présence et vigilance auprès des foyers de tension (zones de crise) ou à titre permanent dans les territoires d'outre-mer.

Projection[modifier | modifier le code]

Le porte-avions Charles de Gaulle.
Si les actions de prévention n'ont pu empêcher le déclenchement d'une crise, il peut être nécessaire d'intervenir — le plus souvent dans un cadre interarmées et international. L'engagement peut varier de la simple présence, à la démonstration de force avec des actions de rétorsions usant d'armes modernes tirées à grande distance.

Les principaux acteurs de ces forces de projection sont articulés autour :

du groupe aéronaval ;
du groupe amphibie ;
du groupe de guerre des mines ;
d'un groupe d'action maritime (une ou plusieurs frégates).
La projection peut être de deux types :

projection de forces : action avec mise à terre de troupes ;
projection de puissance : action sans mise à terre de troupes.
L'action de l'État en mer[modifier | modifier le code]
La Marine nationale, avec d'autres administrations publiques (Affaires maritimes, Gendarmerie maritime, Douanes...), est une des composantes de l'action de l’État en mer (AEM). Il s'agit d'assurer la sauvegarde, la protection et la sécurité des approches maritimes du territoire national, maîtriser les risques liés à l’activité maritime (accidents de mer, pollution, souveraineté dans les DOM-TOM et dans les ZEE…) et lutter contre les activités illicites en mer (terrorisme, narcotrafic, piraterie, transports illicites de migrants…). L'action de l'État en mer consiste souvent en des missions de service public qui ne sont pas des activités spécifiquement militaires.

Elle représente 25 % des activités de la Marine.

Organisation[modifier | modifier le code]
Organisation générale[modifier | modifier le code]
L'organisation générale de la Marine nationale est fixée par le chapitre III du titre II du livre II de la troisième partie du code de la défense créé par les décrets no 2008-1218 et no 2008-1219 du 25 novembre 2008.

La Marine est constituée de formations réparties entre :

l'état-major de la Marine ;
les forces maritimes ;
les commandements maritimes à compétence territoriale ;
les services ;
les organismes de formation du personnel4.

SmithSwag SmithSwag
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:25:48

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Hyurikama Hyurikama
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:26:54

Les modos ont postés ? :rire:
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Farbas Farbas
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:26:54

Need modos! :-(

darkvlap12 darkvlap12
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:27:02

| https://www.jeuxvideo.com/forums/1-50-166998782-7-0-1-0-si-3-modos-postent-je-lis-les-10-premier.htm#message_167003155
| Ecrit par « SmithSwag », 26 juillet 2014 à 18:25:48
| « L'auteur qui va en chié , et t'as intérêt à faire la video sinon mass ddb :ok: »

Si les modos postent :ok:

komt1souciant komt1souciant
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26 juillet 2014 à 18:27:38

En mathématiques, un vecteur est un élément d'un espace vectoriel, ce qui permet d'effectuer des opérations d'addition et de multiplication par un scalaire. Un n-uplet peut constituer un exemple de vecteur, à condition qu'il appartienne à un ensemble muni des opérations adéquates. On représente fréquemment les vecteurs comme de simples n-uplets ou, graphiquement, dans le cas particulier des espaces à 1, 2 ou 3 dimensions, par des flèches.Les vecteurs sont des tenseurs d'ordre un. Les tenseurs d'ordre deux sont représentés par des matrices et les matrices d'une application linéaire transformant les vecteurs en forme linéaire constituent une forme particulière de vecteurs, appelées aussi bivecteurs.En mathématiques, rigoureusement axiomatisée, la notion de vecteur est le fondement de la branche des mathématiques appelée algèbre linéaire. En algèbre multilinéaire, un champ vectoriel est une fonction de ℝn dans ℝn. Un vecteur est une correspondance entre un élément de ℝn et son image dans ℝn ; c'est donc un déplacement dans un espace multidimensionnel. Résoudre une équation différentielle, c'est calculer les courbes auxquelles sont tangents les vecteurs, ceux-ci formant un champ de vecteurs. Le calcul du centre de masse ou barycentre fait aussi appel aux vecteurs ; les coordonnées définies à partir du centre de masse sont appelées coordonnées barycentriques.En physique, les vecteurs sont grandement utilisés, ils permettent de modéliser des grandeurs comme une force ou un champ électrique. On parle aussi de vecteur-vitesse.La notion est issue de la combinaison des notions de couple de points de la géométrie euclidienne (qui permettent de définir les distances, mais aussi la direction et le sens), et des possibilités de calcul offertes par l'algèbre.La notion de vecteur peut être définie en dimension deux (le plan), trois (l'espace euclidien usuel), et plus généralement des espaces de dimension quelconque.La civilisation grecque développe la géométrie à un niveau inégalé à cette époque. L'un des fleurons est le traité nommé les Éléments d'Euclide, datant du iiie siècle av. J.-C.. Il contient la formalisation, très rigoureuse pour l'époque, d'une géométrie, encore maintenant appelée euclidienne. On y trouve les définitions d'une droite, d'un plan ou de notre espace physique de dimension trois permettant de modéliser des volumes. Les propriétés des distances, des angles, des mesures de surfaces et de volumes sont étudiées. Les théorèmes fondateurs, comme ceux appelés Thalès ou Pythagore, sont explicités et démontrés.L'algèbre y est peu développée et contient essentiellement de l'arithmétique. Les nombres entiers et rationnels sont étudiés ainsi que quelques irrationnels, c'est-à-dire les nombres qui ne s'écrivent pas sous forme d'une fraction d'entiers2. Les nombres sont toujours strictement positifs.Il utilise les congruences, inaugurant une démarche consistant à définir des vecteurs sur des ensembles de nombres exotiques. Il peut ainsi résoudre des problèmes liés au calendrier et aux alignements de planètes avec une très grande précision4. La méthode utilisée ne sera connue qu'au xixe siècle en Occident, sous le nom de pivot de Gauss. Ce résultat est suffisamment étonnant pour que Libbrecht précise que :Nous ne devrions pas sous-estimer la percée révolutionnaire de Qin, en effet, depuis le théorème des restes chinois de Sun Zi, on passe sans intermédiaire à un algorithme plus avancé que la méthode de Gauss elle-même, et il n'y a pas la moindre indication d'une évolution graduelle5. »L'aspect géométrique n'échappe pas aux mathématiciens chinois. Le dernier chapitre, le Gou gu comporte un équivalent du théorème de Thalès et de Pythagore6.Convergence de l'algèbre et de la géométrie[modifier | modifier le code]Illustration extraite du traité de perspective De prospectiva pingendi de Piero della Francesca, un peintre de la renaissance italienne.
L'existence de lien entre ce que l'on appelle maintenant l'algèbre et la géométrie est ancienne. Les Babyloniens connaissaient déjà la propriété algébrique de la diagonale d'un carré de côté de longueur un, à savoir que son carré est égal à deux. Ils savaient de plus calculer cette valeur avec une remarquable précision7. Ce lien est aussi connu des Grecs et des Chinois.Il faut cependant attendre la civilisation arabe pour observer un progrès significatif. Leurs mathématiciens connaissaient les travaux des Grecs, particulièrement ceux d'Euclide8. trouver les racines d'un polynôme du troisième degré. Un système de coordonnées lui permet de visualiser ces racines comme les abscisses des intersections d'une parabole et d'une hyperbole10.Le système des coordonnées est repris en Europe. La volonté de maitriser la perspective pousse les peintres italiens à étudier les mathématiques. Filippo Brunelleschi (1377 - 1446) découvre les lois de la perspective, issues d'une projection centrale11. Ces résultats sont formalisés12 par Leon Battista Alberti (1404 - 1472). Les théoriciens de la perspective disposent de multiples talents. Ainsi Piero della Francesca (vers 1412 - 1492), auteur d'un traité sur la question13, est à la fois peintre et mathématicien. Giorgio Vasari (1511 - 1574) indique, à propos de ses talents de géomètre « il ne fut inférieur à personne de son époque et peut-être de tout temps14 ».La physique est le moteur suivant de la convergence entre géométrie et algèbre. En 1604, Galileo Galilei (1564 - 1642) établit15 la loi de la chute des corps. Les illustrations de ses notes montrent l'utilisation d'un repère. L'optique est la branche qui aboutit au progrès le plus marquant. Pierre de Fermat (1601 - 1665), qui connaissait les écrits de Galilée, et René Descartes (1596 - 1650) s'écrivent des lettres au sujet de la dioptrique (la manière dont la lumière se réfléchit sur un miroir) et à la réfraction (la déviation d'un rayon lumineux quand il change de milieu, par exemple en passant de l'air à l'eau)16. Ils arrivent à la conclusion qu'un repère est une méthode systématique permettant d'appréhender tous les problèmes de géométrie euclidienne. Ces résultats sont consignés dans un traité de Descartes17. Il écrit en introduction : « Comment le calcul d'arithmétique se rapporte aux opérations de géométrie ». Pour Descartes, calcul d'arithmétique signifie approximativement ce qui est maintenant appelé algèbre. Cette approche est particulièrement féconde pour l'étude d'une branche naissante des mathématiques : la géométrie analytique. Un exemple est donné par l'étude de la cycloïde. Cette courbe décrit la trajectoire d'un point de la surface d'une roue se déplaçant sans glissement sur un sol horizontal.Isaac Newton (1643 - 1727) développe18 la géométrie analytique et l'utilise en astronomie. Cette application est l'origine19 de l'utilisation du terme vecteur. En 1704, un dictionnaire technique anglais indique :Une ligne dessinée depuis une planète, se déplaçant autour d'un centre ou du foyer d'une ellipse, jusqu'à ce centre ou ce foyer, est appelé Vecteur par quelques auteurs de la Nouvelle Astronomie, car cette ligne semble porter la planète autour du centre20. »Ce terme apparait en français sous la plume de Pierre-Simon de Laplace (1749 - 1827) dans l'expression rayon vecteur21, encore dans un contexte astronomique. Il vient du latin vector provenant lui-même du verbe vehere qui veut dire transporter22. Pour les romains, le mot vector désignait aussi bien le passager que le conducteur d'un bateau ou d’un chariot. Les mots français véhicule, voiture, mais aussi invective proviennent de cette même racine latine. Son origine est plus ancienne, elle provient de l'indo-européen *VAG, ou *VAGH et signifie chariot.Ainsi, au xviie siècle, le contexte géométrique et algébrique du vecteur est présent. En revanche, aucune formalisation n'est proposée et le terme, s'il est utilisé, désigne encore une grandeur scalaire.La première formalisation des vecteurs est le fruit d'un travail de plusieurs mathématiciens durant la première moitié du xixe siècle. Bernard Bolzano (1781 - 1848) publie un livre élémentaire23 contenant une construction axiomatique de la géométrie analogue à celle d'Euclide, fondée sur des points, droites et plans. Il adjoint les opérations algébriques d'addition et de multiplication. La géométrie projective, héritière du travail sur la perspective des peintres de la renaissance italienne, conduit Jean-Victor Poncelet (1788 - 1867) et Michel Chasles (1793 - 1880) à affiner24,25 les travaux de Bolzano. August Ferdinand Möbius (1790 - 1868) apporte sa pierre à l'édifice en développant le système de coordonnées barycentriques26. Enfin, la formalisation encore actuellement enseignée, à partir des notions de bipoint et d'équipollence, est l'œuvre27 remarque que les nombres complexes représentent un plan euclidien. Il passe dix ans de sa vie28 à chercher un équivalent en dimension trois, et finit par trouver le corps des quaternions, de dimension quatre en 1843. Il propose deux nouvelles définitions pour les mots « vecteur » et « scalaire ». Un vecteur est pour lui un élément d'un sous-ensemble des quarternions, de dimension trois. Il écrit :Un vecteur est donc… une sorte de triplet naturel (suggéré par la géométrie) : et en conséquence nous verrons que les quaternions offrent une représentation symbolique simple sous forme trinomiale (i.x + j.y + k.z); ce qui ramène la conception et l'expression d'un tel vecteur à la forme la plus proche possible de celle obtenue avec les coordonnées cartésiennes et rectangulaires29. »En 1878, dans Éléments de dynamique William Kingdon Clifford reprendra en la simplifiant la notion de quaternions.

Pseudo supprimé
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:28:07

Je suis bête.

Pseudo supprimé
Niveau 6
26 juillet 2014 à 18:28:14

ma mère aime sucer des des bites géantes :diable:

BarouchSpinoza BarouchSpinoza
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Niveau 8
26 juillet 2014 à 18:28:26

Les modos ont un élan de générosité et de pitié envers ce jeune homme.

Auvigot Auvigot
MP
Niveau 9
26 juillet 2014 à 18:29:02

BAAAAAAAAAAAAAAAH :noel:

Holiest Holiest
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Niveau 9
26 juillet 2014 à 18:29:03

Holiest le meilleur.

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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:29:17

Je me branle en regardant des hentai de Pokémon et Naruto :noel:

misterkhu misterkhu
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26 juillet 2014 à 18:29:18

La quatrième croisade (1202-1204) est exclusivement maritime et à forts effectifs français[34], mais seules les villes italiennes sont à même de fournir la flotte de transport et c'est Venise qui est choisie par les chefs croisés ; certains pèlerins font cependant défection et embarquent à Marseille[36].
La cinquième croisade (1217-1221) se passe avec une très faible participation française, le royaume étant accaparé par la lutte contre les Albigeois, de même que la sixième (1228-1229), menée par l’empereur germanique Frédéric II.
Aigues-Mortes, premier port construit par le roi pour un usage militaire
Saint Louis, qui veut s’affranchir de la tutelle des marines italiennes, cherche un port sur les côtes méditerranéennes, ce qui est maintenant possible avec le rattachement du Languedoc au domaine royal. Narbonne étant jugée peu sûre, on choisit le site d’Aigues-Mortes, à l’ouest de la Camargue, pour y bâtir un port[37],[38]. Le lieu parait favorable car abrité au fond d’une lagune où débouche le petit Rhône par un grau. Le terrain est acheté par le roi en 1240 et les travaux débutent immédiatement. Aigues-Mortes communique avec la mer par un canal de six kilomètres qui aboutit au « Grau-du-Roi[37] ». La ville est dotée de deux ports, l’un intérieur pour les petits navires, l’autre extérieur, la Peyrade, organisé autour d’un respectable môle de pierre de 600 m. Les fortifications ne seront achevées qu'à la fin du xiiie siècle, sous Philippe III et Philippe IV, mais le site, à la fois port militaire et chantier naval, est utilisable rapidement[37].
Lors de la septième croisade (1248-1254), Saint Louis s’y embarque pour l'Égypte. Les navires ont été commandés aux Génois, Vénitiens et Marseillais à partir de 1242. Certains devis sont conservés dans les archives avec de nombreuses reconnaissances de dettes pour que les créanciers se fassent rembourser[39]. Pour la croisade de 1248, les sommes investies sont considérables. Le total des emprunts contractés par la cour de France auprès des financiers génois est de l’ordre de 26 638 livres tournois[39]. L’échec de cette croisade à Damiette et l'éprouvante captivité qui s'ensuit n'empêche pas Saint Louis de participer à une huitième croisade (1270). On estime à plusieurs centaines les bateaux achetés, construits ou nolisés par les Français pour les deux croisades : naves, busses, salandres, galées, barques diverses. En 1268, le roi a passé commande aux Vénitiens de quinze naves pour le transport de 10 000 hommes et 4 000 chevaux. Les plus connus de ces bateaux fort longs et très larges sont la Sainte-Marie, le Saint-Nicolas, le Rochefort et la Montjoye. C'est à Aigues-Mortes que Saint Louis appareille avec à ses côtés le premier titulaire de la charge d'amiral de France, Florent de Varennes, qui trouve la mort à ses côtés devant Tunis. C'est aussi lors de cette expédition qu'est utilisée pour la première fois une carte marine, présentée au roi par un Doria[39].
Côté français, on ne retrouve plus guère de politique navale en Méditerranée après la mort de Saint Louis lors de la huitième croisade (1270). En 1285, après les tragiques « Vêpres siciliennes », Philippe III tente une invasion de la Catalogne en représailles contre le roi d’Aragon qui vient d’arracher la couronne de Sicile à Charles d’Anjou, frère de Saint-Louis[40]. Le fait que l’expédition soit dirigée contre la Catalogne voisine plutôt que contre la Sicile montre le rapide déclin naval des Français qui ne sont déjà plus capables de se projeter sur une distance pourtant deux fois moindre que la Terre sainte. Les navires font la navette depuis Aigues-Mortes et Narbonne pour ravitailler l'armée d'invasion qui longe la côte catalane. Cette « Croisade d'Aragon » se termine le 4 septembre 1285 par un sanglant désastre près du port de Rosas : les 30 galères françaises et génoises de Philippe III sont écrasées par les 40 galères aragonaises arrivées de Palerme[40]. Cette défaite contraint l’armée de Philippe III, coupée du Languedoc, à prendre précipitamment le chemin du retour. On ne verra plus de grande concentration navale française en Méditerranée avant les guerres d’Italie deux siècles plus tard. « La France, malgré les croisades, tourne encore le dos à la mer » conclut sobrement Michel Vergé-Franceschi[41]. La rivalité franco-anglaise, qui prend naissance alors que se déroulent les dernières croisades, oblige pourtant les souverains français à manifester leur présence dans la Manche.

Les débuts de la rivalité franco-anglaise (xiie-xve siècles)
de 1212 à 1217, la tentative de Louis de France (fils de Philippe II et futur Louis VIII) d’annexer l’Angleterre ;
la très dure affaire des Flandres, en 1302-1304, point d'apogée d’une guerre commencée en 1294 au sujet de la Guyenne ;
le long épisode de la guerre de Cent Ans de 1337 à 1453, qui culmine sur mer de 1338 à 1417.
La tentative d'annexion de l'Angleterre

Philippe Auguste et sa flotte. Philippe II est le premier roi de France à armer une flotte, en 1213. Mais il incendie celle-ci après son échec en Flandre devant les Anglais.

Louis VIII s'emparant de Londres en 1216. Il est l'un des rares chefs de guerre à avoir réussi un débarquement en Angleterre.

La bataille des Cinq-îles en 1217. Ce combat assure définitivement l'indépendance de l'Angleterre et met un terme à la tentative de conquête française menée par Louis VIII.
En janvier 1213, Jean sans Terre, en conflit avec le Vatican, est excommunié par le pape Innocent III. Le souverain pontife se tourne alors vers le roi de France et lui demande d’organiser une expédition en Angleterre afin d’aller désaisir Jean de sa couronne pour l’attribuer « à quelqu’un qui en serait digne »[44]. Philippe II, qui se contente de la conquête de la Normandie n’y est guère favorable, mais son fils Louis, poussé par son épouse Blanche de Castille, accepte l’idée avec enthousiasme[45]. Philippe II fait donc masser une flotte de 1700 navires dans les différents ports de la Manche. Il ne s’agit pas réellement d’une flotte de guerre, mais d’une armada hétéroclite de transports de troupes de toute grandeur issue des barques de pêche et des nefs de commerce[46]. Au mois de mai, alors qu’on s’apprête à embarquer, arrive le légat du Pape porteur de l’acte de soumission de Jean sans Terre. L’expédition est annulée… Mais Philippe, qui s’apprête à partir en guerre contre le comte de Flandre allié du roi d’Angleterre, décide d’utiliser cette flotte contre les côtes flamandes. Elle arrive à Damme (Dam en flamand), près de Bruges, alors que l’armée de Philippe, victorieuse, s’empare de nombreuses villes. En fin de compte, les Français ont réussi à improviser avec succès une attaque combinée par terre et par mer. Menacé d’une défaite totale, le comte de Flandre appelle au secours Jean sans Terre. Ce dernier, qui ne s’est soumis au Pape que par peur d’un débarquement, estime vital d’intervenir pour lever l’hypothèque d’une invasion toujours possible si Philippe II est victorieux en Flandre[47]. Les Anglais rassemblent 500 navires, embarquent chevaliers et mercenaires, appareillent le 28 mai, et arrivent devant Damme le surlendemain[48]. En face, les navires français, trop nombreux, n’ont pu tous entrer dans le port : 400 d’entre-eux sont à l’ancre au large, une centaine ont été tirés sur la plage. Il aurait fallu que cette flotte vulnérable soit convenablement gardée, mais la quasi-totalité des équipages et des troupes, ne résistant pas à l’attrait des richesses de la région, a mis pied à terre pour se livrer au pillage. Les Anglais s’emparent sans mal de 300 des 400 bâtiments ancrés devant Damme et incendient les autres. Les équipages français, enfin alertés, regagnent en toute hâte les navires restés dans le port et engagent le combat. Leur résistance se durcissant, les Anglais débarquent de chaque côté du port pour prendre les Français en tenaille[49]. Philippe II, prévenu de l’attaque, lève aussitôt le siège de Gand, à deux pas de là, et se porte au secours de sa flotte. Le contingent anglais, écrasé, doit se rembarquer précipitamment[47].

La bataille de Damme (30-31 mai 1213) est autant une affaire terrestre que navale. Elle est plutôt indécise car les Anglais n’ont réussi qu’à capturer ou détruire moins de la moitié des navires français avant d’être refoulés. C’est la réaction de Philippe II qui détermine le sort de cette journée et en fait une victoire anglaise : tout se passe comme si le roi, vainqueur à terre, se trouvait contrarié par cette flotte qui semble l’encombrer dans son dos et pour laquelle il a dû lever le siège de Gand. Craignant peut-être un retour offensif des Anglais contre une concentration navale qui ne lui semble plus utile, il met le feu au reste de ses navires. « Les Français connaissent mal les voies de la mer » aurait à cette occasion soupiré Philippe II[50].

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