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Sujet : Si 3 modos postent je lis les 10 premièr

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yatcho yatcho
MP
Niveau 9
26 juillet 2014 à 18:07:04

:d) Partie 1

LE DOSSIER LACERTA
Entretien avec une Reptilienne.

(Tout de qui est dit par l'interviewer Ole K. est en italique)

z savoir (comme certains de vos scientifiques l'ont deviné) que votre espèce a évolué à une vitesse qui serait normalement complètement impossible en l'espace de 2 à 3 millions d'années. Une évolution normale est un processus beaucoup plus lent, mais vous ne l'avez pas compris. La création de votre race a été faite artificiellement, par génie génétique, non pas par nous, mais par une race extraterrestre.

Vous me demandez si je suis extraterrestre : je réponds non. Nous sommes nés terriens. Nous avions et nous avons toujours des colonies dans le système solaire, mais notre origine est cette planète-ci. C'est notre planète et non la vôtre - elle n'a jamais été la vôtre.

Q- Pouvez-vous me dire votre nom?

R- C'est très difficile car votre langue humaine est incapable de le prononcer correctement, et une mauvaise prononciation de notre nom est pour nous une offense. Notre langage est très différent du vôtre, néanmoins je vais essayer de le dire en l'adoucissant par l'usage de certaines de vos lettres (cela donne quelque chose comme "Ssshiaasshakha-sskkhhhshhh", avec une très forte prononciation des sons "sh" et "k"). Nous n'avons pas de prénom comme vous, mais un nom unique qui est en plusieurs parties et qui est caractérisé par la manière de le dire. Il n'est pas donné aux enfants (qui ont un nom d'enfant spécial). Il est conféré au moment de l'adolescence au cours d'une cérémonie spéciale, au moment où est vécue une "illumination" (comme vous diriez) ou prise de conscience religieuse ou scientifique. J'apprécierais que vous n'essayiez pas de prononcer mon vrai nom avec votre langue humaine. Je vous prie de m'appeler "Lacerta", c'est le nom que j'utilise généralement lorsque je suis parmi des Humains et que je parle avec eux.

Q- Quel âge avez-vous?

R- Nous ne mesurons pas le temps comme vous, en années astronomiques correspondants aux révolutions de la Terre autour du Soleil, parce que vous vivons généralement sous la surface de la planète. Notre mesure du temps est basée sur le retour périodique de certains cycles du champ magnétique terrestre. Selon cette mesure (et exprimé avec vos chiffres), mon âge actuel est de - laissez-moi calculer - 57.653 cycles. J'ai atteint ma phase adulte et ma prise de conscience il y a 16.337 cycles (c'est une date très importante pour nous). Selon votre temps humain, j'aurais à peu près 28 ans.

Q- Quelle est votre tâche ? Avez-vous un "travail", comme nous ?

R- En utilisant vos mots, je dirais que je suis une étudiante curieuse du comportement social de votre espèce. C'est pour cela que je suis ici et que je vous parle, et c'est pourquoi j'ai révélé ma nature réelle à E.F. et que je vous le révèle maintenant. C'est pour cela que je vous donne ces informations secrètes et que j'essaierai de répondre honnêtement à toutes les questions que vous avez écrites sur toutes ces feuilles de papier, là. Je verrai comment vous réagissez, et comment réagissent d'autres êtres de votre espèce.

Il y a tant de fous et de menteurs de votre espèce sur cette planète, qui affirment détenir la vérité sur les ovnis et les extraterrestres, etc. Certains d'entre vous croient à ces mensonges. Cela m'intéresse d'observer comment votre espèce va réagir si la vérité (que je vous dirai maintenant) est rendue publique. Je suis certaine que chacun d'entre vous va refuser de croire à ma parole. J'espère ne pas être dans l'erreur, car vous avez besoin de comprendre si vous voulez survivre dans les années qui viennent.

Q- J'ai lu votre témoignage complet (que vous avez donné à E.F.) sur tout cela, mais pouvez-vous me répondre brièvement maintenant. Les ovnis sont-ils de vrais objets volants pilotés par des extraterrestres, ou appartiennent-ils à votre espèce ?

R- Certains ovnis (comme vous les appelez) qui ont été observés nous appartiennent, mais pas tous. La plupart des objets volants "mystérieux" ne sont pas des appareils technologiques mais simplement une mauvaise interprétation de phénomènes naturels que vos scientifiques n'ont pas compris (comme des flamboiements de plasmas spontanés en haute atmosphère). Néanmoins, certains ovnis sont de vrais appareils appartenant soit à votre propre espèce (surtout à vos militaires) soit à d'autres races extraterrestres, et enfin à nous (mais une minorité parmi les ovnis observés nous appartiennent car nous sommes très précautionneux dans nos mouvements dans l'atmosphère, et nous utilisons certains moyens pour cacher nos vaisseaux).

Si vous lisez un rapport concernant l'observation d'un objet cylindrique en forme de cigare, d'un gris métallique brillant, d'une longueur allant de 20 à 260 mètres (il y en a de différents types) et produisant un bruit qui ressemble à un bourdonnement profond ; s'il y a cinq lumières rouges sur la surface métallique de ce cigare (une en haut, une autre au milieu, deux à l'extrémité), alors il y a de grandes chances qu'il s'agisse d'un de nos vaisseaux. Mais cela veut dire que ce vaisseau est partiellement en panne ou que l'un d'entre nous n'a pas pris assez de précautions.

Nous avons aussi une petite flotte de disques volants, mais les ovnis de ce type appartiennent généralement à une race extraterrestre. Les ovnis de forme triangulaire appartiennent généralement à vos propres militaires, mais ils les ont construits en utilisant une technologie extraterrestre. Si vous vouliez voir l'un de nos vaisseaux, il faudrait que vous alliez regarder le ciel de l'Arctique, de l'Antarctique et de l'Asie intérieure (surtout au-dessus des montagnes de cette zone).

Q- Avez-vous un symbole spécial ou quelque chose de ce genre permettant d'identifier votre race ?

R- Nous avons deux symboles majeurs pour représenter notre race. L'un (le plus ancien) est un serpent bleu avec quatre ailes blanches sur champ noir (ces couleurs ont une signification religieuse pour nous). Ce symbole était utilisé par certaines parties de ma société, mais maintenant il est devenu extrêmement rare. Vous-autres humains l'avez copié trop souvent dans vos anciens écrits.

L'autre symbole représente un être mystique que vous appelleriez un "dragon", représenté sous la forme d'un cercle contenant sept étoiles blanches. Ce symbole est plus courant de nos jours. Si vous voyez l'un de ces symboles sur un appareil cylindrique tel que celui que je vous ai décrit, ou sur une installation souterraine, cela signifie que cet appareil ou cet endroit nous appartiennent définitivement. (Et je vous conseille de vous en éloignez aussi vite que possible).

Q- Est-ce que les sept étoiles que vous mentionnez dans votre second symbole représentent les Pléiades?

R- Les Pléiades? Non. Ce sont des planètes et des lunes, c'est le symbole de nos sept anciennes colonies dans le système solaire. Les étoiles apparaissent sur un champ bleu, et le dragon en cercle symbolise la forme de la Terre. Les sept étoiles blanches étaient la Lune, Mars, Vénus et les quatre lunes de Jupiter et de Saturne que nous avions colonisées autrefois. Deux de ces colonies sont maintenant abandonnées, nous ne les utilisons plus. Il serait donc plus correct d'utiliser cinq étoiles.

Q- Vous ne m'avez pas permis de faire des photos, qui pourtant me seraient utiles pour apporter la preuve de votre existence réelle et de la véracité de cette histoire. Pouvez-vous vous décrire vous-même en détails?

R- Je sais que des photos seraient utiles dans ce sens. Mais d'un autre côté, vous-autres humains êtes des sceptiques invétérés (ce qui est très bien pour nous ainsi que pour les vrais extraterrestres qui agissent secrètement sur cette planète). Donc, même si vous possédiez ces photos, de nombreux êtres de votre espèce diraient que ce sont des faux, que je suis une femme humaine masquée ou quelque chose comme cela (ce qui serait pour moi une offense).

DeoxysAttaque DeoxysAttaque
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:09:34

Le first, horrible merde pas drôle, tu pensais être reconnu dans tout le forum, aimé de tous pour ton post de merde, mais au final, il est devenu tellement merdique qu'une faille spatio-temporel s'est ouvert autour de ton bide, et il est resté bloqué dans l'anti-matière.

Une recherche scientifique s'est crée à ce sujet, on a rien trouvé, sauf le fait que le first est une victime.Le monde entier se moque de toi, tes parents et tes amis ont honte, pendant que toi, tu pleure en position foetale sur ton lit d'hopital, t'as vraiment mal.

Ton first merdique te fais sentir puissant toutefois, tout le monde dis "OMG l'AUTEUR EN 100 :rire: ", tu ne sais pas qu'il se foutent de toi, t'es piégé dans ton désarroi.

R'es sorti des urgences, mais ton fail lui est toujours coincé quelque part.Tu pense que l'erreur est humaine, mais celle là est impardonnable, tu es un danger pour l'humanité, tes amis et ton cousin te conseillent le C+T.

3 ans sont passés, tu vis une vie normal, enfin, ce que tu crois, les gens ne t'ont pas oublié, le GIGN est à tes trousses dans le secret, ils ont engagés des assassins du désert qui t'espionneront jour et nuit, attendant le moment parfait pour tuer ce déchet.

Tu supporte plus, personne te fais salut, tu te souviens que ton père est en fait Indiana Jones, il garde ses cordes dans sa chambre, mais tu les trouve pas, même ton père t'as owned.

Plus de refuge, plus de famille, plus rien à manger, tu te dis que tu devrais te prostituer.

Tu suce des twixs pour 5€, tu pense que ta tactique va marcher, mais personne viens.

Ah si, un vieux de 90 ans passait dans le coin, tu lui demande si il veut de tes services, mais il est juste là pour te rouler dessus, petit déchet.

Des siècles sont passé, ta descendance est harcelé, elle te déteste pour ce que tu as fais.Entéré dans les égouts, ils decide de te chercher.

Ils finissent par te trouver, il essuient tes traces de sang partout sur ton corps, et ils le mettent dans la déchiqueteuse qu'ils ont amené.

Ton sang n'est plus de ce monde, tout tes enfants ont été victimisé et tué, tu as provoqué la WW3 et la WW4, on a fermé les égouts en ton honneur.

Organisation test[edit]
The organisation test was developed in French law and adopted by South African law in R v AMCA Services and Another. It is based upon the assumption that whether or not one is an employment does not rest on submission to orders; it depends on whether the person is part and parcel of the organisation.

In other words, one looks at the extent to which a person (the worker) is integrated into the organisation of the other person (the employer), or whether the person is performing work inside the organisation of another.

The work of an independent contractor, although done for the business, is not integrated into it; it is only accessory to it.[5]

If a person is incorporated into or related sufficiently to the organisation, that person will be regarded as an employee or a worker even though the employer might exercise little actual control over him.

One of the problems with this test is that it is not always possible to measure the extent of integration, or to determine what degree of integration is sufficient for someone to qualify as an employee.

The test was rejected by the Appellate Division in S v AMCA Services on the basis of its being too vague.

Multiple or dominant-impression test[edit]
The deficiencies of the control and organisation tests led the courts to approach the question in the same way that they approach so many other problems: The relationship is viewed as a whole; a conclusion is drawn from the entire picture.

In Ongevallekommissaris v Onderlinge Versekeringsgenootskap AV-BOB, although the court did not spell out exactly what may be included in the general picture, guidance may be derived from the English case of Ready Mixed Concrete v Minister of Pensions and National Insurance, in which the presiding officer set out three possible components:

The servant agrees that, in consideration of a wage or other remuneration, he will provide his own work and skill in the performance of some service for his master.
He agrees, expressly or impliedly, that in the performance of that service he will be subject to the other’s control in a sufficient degree to make that other master.
The other provisions of the contract are consistent with its being a contract of service.
When courts examine the "other provisions of the contract," they will consider all relevant aspects of the relationship. These include:

the form of the contract;
the right to supervision (in other words, whether the employer has the right to supervise the person);
the extent to which the worker depends on the employer in the performance of his duties;
whether the employee is not allowed to work for another;[6]
whether the worker is required to devote a specific amount of time to his work;
whether the worker is obliged to perform his duties personally;[7]
whether the worker is paid according to a fixed rate or by commission;
whether the worker provides his own tools and equipment; and
whether the employer has the right to discipline, suspend and dismiss the worker.[8]
The decisive difference between the control test and the dominant-impression test is that, in the latter, the existence or absence of control is only one of the factors to be taken into account.

In Smit v Workmen's Compensation Commissioner, the court had to decide whether Smit, who had been employed as an "agent" for an insurance company, was an employee or not. He had been

remunerated on a commission-basis;
forbidden to perform certain acts (such as pledging the company’s credit) without written authority;
forbidden from working for another company at the same time, but was not required to work full-time and could do other work at different times;
given the use of a company motor-car, but had to pay of out of his own pocket for fuel and servicing;
working closely with a manager, but there was a total absence of any right of supervision and control of Smit by the insurance company; and
able to obtain assistance from others in performing his duties.
The dominant-impression test was followed in this case, and Smit was held to not be an employee of the insurance company.

In Medical Association of SA v Minister of Health, several district surgeons challenged the decision of the provincial MEC for Health for the Free State to terminate their contracts summarily as part of the restructuring of the district health service. The multiple or dominant impression test was followed, and the court used the factors discussed in Smit to assist it in obtaining the dominant impression that part-time district surgeons were in fact employees of the State.

The court held that the dominant-impression tests entails that one should have regard to all those considerations or indica which would contribute towards a determination of whether the contract is one of service or of work, and react to the impression one gets upon a consideration of all such indica. The Labour Court based its decision on the following factors:

The doctors rendered "personal services."
The doctors were expected to be "at the beck and call" of the employer 24 hours a day, and to give preference to official duties over those in their private practices.
The employer was obliged to pay a "contractual salary" to the doctors even in the absence of any actual work being performed, as long as the doctors made themselves available to do the work.
Even though the doctors were professionals, the provincial administration did have some control over the way in which services were rendered.
The test has been subjected to severe criticism. Etienne Mureinik has said that it test

offers no guidance in answering the (legal) question whether the facts are of such a nature that the individual may be held to be servant within the meaning of the common law in difficult (penumbral) cases. Indeed, it is no test at all. To say that an employment contract is a contract which looks like one of employment sheds no light whatsoever on the legal nature of the relationship.

This criticism is based on the idea that it is not helpful to say a particular relationship exists because it looks like it does.

Productive capacity test[edit]
In other decisions, the courts appear to have resorted to what may be described as the "productive capacity" test.

This test was formulated in Martin Brassey’s article "The Nature of Employment" in the following terms:

The independent contractor “sells the job” whereas the employee “sells his hands” [... E]mployment is a relationship in which one person is obliged, by contract or otherwise, to place his or her capacity to work at the disposal of another [... A]n employee is to be distinguished from an independent contractor, who undertakes to deliver, not his or her capacity to produce, but the product of that capacity, the completed work.

sonicboum4 sonicboum4
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:10:26

Bien ta grotte profonde sombre en Antarctique entouré d'une couche de 45 mètres de neige et à 50 sous terre , servant aussi d'abri anti-nucléaire et chimique ainsi que d'abri en cas de fin du tmonde, en béton armé et tiges de titane recouverte d'une triple couche d'isolant sonore surpuissant et d'isolant thermique empêchant le moindre contact avec l'air pure extérieur, surveillé par 138 caméras et 56 gardes pour t'empêcher de découvrir le monde réel , étant également fermé par une porte blindée en alliage de titanium et bronze , recouverte d'une quadruple couche d'émail et de diamant , puis protégée elle même par 2 gros cadenas à détection et ouverture digitale ainsi que d'autres éléments permettant une étanchéité parfaite et contribuant donc à ton enfermement le tout férmée par 50 portes blindées dans un abri anti-atomique immergé à 20 milles lieux sous les mers d'une île inconnue qui longe la Nouvelle Zélande d'une planète similaire à la Terre se trouvant dans la galaxie HUDF JD2 qui est elle-même bloquée dans une faille spatio-temporelle d'une dimension parralèle d'un microcosmose d'une vomissure de panaché dans une bouteille de sauvetage lâché dans une mer souterraine caché aux creux d'une météorite coincée dans une étoilefilante éloignée de plusieurs galaxies dans une nébuleuse paumée de l'autre coté d'un Univers parallèle dont le temps s'écoule à l'envers et qui se retrouve piegé par un continium espace temps incohérent où 1 + 1 = 3 et où les pedobear ont pris le pouvoir et qui, tout les 32 du mois, annoncent par un rituel, un langage corporel et une danse du phallus que seul un pedobear pourrait comprendre qu'il faut récupérer la 2ème statuette magique de Gladeulfeur qui selon les tablettes de skellosse permettra au gnome unijambiste des forêts du nord dansant à la pleine lune au milieux de 12 statuettes enroulées dans du jambon d'ouvrir la porte de Zaralback et d'accomplir la prophétie qui laissera passer l'étoile filante mais c'est sans compter les 3 millions de devant cette porte qui onche onche tous en même temps sous les ordres de ower en écoutant le concert de Morsay qui dans cette dimension est en duo avec le Roi Heenok et qui c'était mis à rire quand on lui a annoncé que Windows c'est moins bien qu'un Mac dans cette salle de concert virtuelle qui se trouvait en réalité dans une faille paradoxale à l'intérieur même d'un lamasticot qui vient de se faire écrasé par une jeune gomme qui s'était engagé à l'armée malgré les avertissements de sa grand-mère qui lui disait tout le temps qu'il était fils unique et la télécommande magique qui permettrait de débloquer toute cette situation a été placé dans un coffre fort qui se trouve juste ici mais qui a été scellé par Chuck Norris lui même, apres ce coffre meme a été mis dans une cellule marine plaquée titane située au fin fond d'un océan de la 7ème dimension, elle-même ouverte par un trou noir poudreux dont l'origine est issue d'une collision de particules expérimentée par des scientifiques Suisse ; et dont les cloisons sont composées d'une triple couche de matériaux aussi durs que le mythril lié à une serrure en diamant l'ouverture dépend d'un système audio codé par interférences vocales seulement ouvrable par le son d'un animal rare d'Asie du Sud protégé par une quarantaine de gardes munis de magnum 47 ainsi que par une dizaine de tireurs d'élites placés à des points stratégiques choisis par les stratèges les plus expérimentés de la planète et garantissant ton enfermement entre les 5 alliages d'acier pur qui recouvrent toutes les parois de ton cachot surveillé par 175 caméras infra-rouges capable d'activer une explosion par mines nucléaires sur 40 km à la ronde en cas de tentative d'évasion et ce cachot a été engloutie il y a bien longtemps par un tsunami et c'est retrouvé dans un monde ou tout le monde cherche un anneau qui a été crée par un certain Sauron et sa serait un mec qui s'appelle Gollum qui la retrouvé et que Gollum ne serait pas sont vrai prenom car il a pratiquement tout oublier de son ancienne vie comme la saveur du pain, le bruissement des arbre et la caresse du vent et donc il a oublier sont propre nom et que l'endroit où ta grotte a atteri serait habité maintenant par une araigné géante et que il y a une tour orque a 500m de cette grotte qui est tout le temps surveillé par plusieur ourouk-aï?

artisanes et de légendes. La fiabilité des sources qui prétendent nous informer sur sa vie n'est donc pas d'emblée établie. Parmi ce que l'on considère acquis concernant la vie de Platon, on compte : son origine sociale aristocratique, certains de ses liens familiaux, et le fait qu'il fût l'élève de Socrate. On sait également qu'il quitta Athènes après la mort de son maître et fit plusieurs voyages, notamment à la cour de Denys en Sicile. On admet enfin qu'il revint à Athènes et y fonda une école, l'Académie, où il enseigna plusieurs années.

Jeunesse[modifier | modifier le code]
Platon est né à Athènes dans le dème de Collytos, en 428/427 av. J.-C. (Diogène Laërce le fait toutefois naître à Égine), deux ans après la mort de Périclèsp. 1. La date exacte demeure cependant incertaine : une tradition8 la fixe à la troisième année de la 88e olympiade, au 7 du mois thargélion.

Platon venait d'une famille aristocratique9. Sa généalogie est incertaine du côté de son père : Ariston prétendait en effet descendre de Codros, dernier roi légendaire d’Athènes ; elle est plus certaine concernant sa mère, Périctionè, qui descendait de Dropidèsp. 2, proche de Solonp. 3. Périctionè était également la cousine germaine de Critias et la sœur de Charmide, deux des Trente Tyrans d'Athènes en -404.

Platon a deux frères : Adimante et Glaucon, interlocuteurs de Socrate dans La République et sans doute plus âgés que lui, ainsi qu'une sœur, Pôtonê (mère de Speusippe, successeur de Platon à la tête de l’Académie9. La mère de Platon, veuve quelque temps après sa naissance, se remarie avec son oncle maternel, Pyrilampe. De leur union naît un fils, Antiphon, demi-frère de Platon, narrateur du Parménide. Selon les usages des grandes familles de son pays, Platon aurait du recevoir le nom de son grand-père Aristoclès, et il est possible que ce soit son véritable nom, « Platon » (Πλάτων) n’étant qu’un surnom.

Platon et sa famille[modifier | modifier le code]
Platon était en relation étroite avec le parti oligarchique que par ailleurs il honnissait, et il semble qu'il n'ait pas été insensible à la célébrité de sa famille, qu'il mentionne dans le Charmidep. 10 et dans le Timéep. 11. Il était le neveu de Charmide, et, d'après les auteurs anciens, le petit-neveu de Critias18, tous deux du Conseil des Trente Tyrans, régime oligarchique imposé par Sparte pendant neuf mois, à partir de -403, à la fin de la guerre du Péloponnèse19. On a voulu ainsi, par la parenté et le socratisme, expliquer le caractère des idées politiques de Platon. L'éducation qui, à Sparte, négligeait l'âme et ne s'occupait que du corps, la politique ambitieuse et avide de domination, la passion guerrière, l'immoralité des femmes, furent sévèrement jugées par Platonp. 12. Tout au long de son œuvre, il a dénoncé les excès de l'oligarchie, où les riches dominent les pauvres, et ceux de la démocratie, où les pauvres tentent de dominer les riches. C'est pourquoi Platon propose dans La République un régime original : la République, régime où la population est divisée en classes sociales strictement délimitées, ayant chacune des prérogatives propresp. 13.

Platon appartenait donc à une riche famille de propriétaires terriens, et il en profita largement. Il voyagea, acheta la bibliothèque de Philolaos de Crotone, organisa une chorégie (fête très coûteuse)p. 14,20. Vers -410, il devient l’élève d'Hermogène ; selon Aristote21, Platon fut l’élève de Cratyle avant de devenir celui de Socrate ; selon Diogène Laërce

Bonne chance :ok:

Pseudo supprimé
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:10:39

Au ier siècle de l'ère chrétienne Héron d'Alexandrie construit l'Éolipyle, sorte de jouet à vapeur fonctionnant comme une turbine à réaction. Il faut attendre d'autres inventeurs, comme Denis Papin, pour montrer que la vapeur sous pression pouvait actionner un piston dans un cylindre. En fait, au départ, la notion de travail associé à cette machine est totalement absente. Les travaux de Nicolas Léonard Sadi Carnot et la naissance de la thermodynamique permettent de formaliser ce concept. C'est précisément cette notion qui, attachée aux machines développées au moment de la révolution industrielle, avec en parallèle l'utilisation d'énergie fossile, fait basculer le système technique vers la civilisation thermo-industrielle.

La première machine fonctionnant à vapeur à être utilisée industriellement est celle du capitaine Thomas Savery en 1698. Elle sert à pomper l'eau d'exhaure dans les mines de Cornouailles. Bien que simpliste et gourmande en charbon, elle sauve de nombreuses mines de la ruine.

Mine à charbon de Crachet Picquery à Frameries

Moteur atmosphérique à vapeur de Newcomen
La première véritable machine à vapeur, celle dont toutes les machines alternatives descendent, est inventée et construite par un forgeron du Devon : Thomas Newcomen en 1712. Elle est conçue comme machine de pompage pour une mine de charbon située près de Dudley Castle, dans le Staffordshire. Très fiable, cette machine fonctionne au rythme lent de douze coups par minute, et consomme aussi beaucoup de charbon. En effet, pendant son fonctionnement on envoie dans le cylindre successivement de la vapeur, qui le réchauffe, puis de l'eau froide, qui le refroidit : le charbon sert surtout à réchauffer le métal du cylindre.

En 1764, frappé par la déperdition d'énergie de la machine de Newcomen, James Watt imagine de ne plus condenser la vapeur dans le cylindre, mais dans un condenseur séparé. Il en dépose le brevet en 1769. L'application industrielle commence à partir de 1775, après que James Watt se fut associé avec Matthew Boulton, propriétaire de la manufacture de Soho, près de Birmingham. Leur démarche de commercialisation est elle-même innovante : ils passent contrat avec un client équipé d'une machine Newcomen et financent le remplacement par une machine de Watt. Les deux associés se paient en prenant pour eux une part des économies de charbon réalisées par le client, grâce au bon rendement énergétique de la machine de Watt.

Machine à vapeur de Watt à Madrid, école d'ingénieurs.
Watt brevète plusieurs autres inventions comme la machine rotative et surtout la machine à double effet (1783) dans laquelle le cylindre reçoit la vapeur alternativement par le bas et par le haut, ainsi qu'un régulateur centrifuge ou à boules (1788) assurant une vitesse constante au moteur. La machine à vapeur est ainsi en mesure de remplacer les roues de moulin, pour l'entrainement des équipements industriels.

Le développement est rapide : 496 machines à vapeur Boulton et Watt sont en service en Grande-Bretagne en 1800. Les brevets de Watt tombent dans le domaine public vers 1800. Le développement de la machine à vapeur est l'une des raisons de la précocité britannique. En 1830 le Royaume-Uni possède 15 000 machines à vapeur, la France 3 000 et la Prusse 1 000. La France reste à la traine dans ce domaine : en 1880 elle ne possède que 500 000 chevaux-vapeur installés contre deux millions pour le Royaume-Uni et 1,7 million pour l'Allemagne.

Moyen de transport : le bateau[modifier | modifier le code]

L'USS Cayuga, un navire à vapeur, 1861.
La Révolution industrielle, particulièrement dans sa première phase, s'appuie sur la vapeur permettant de faire fonctionner des bateaux à vapeur et, un peu plus tard, des locomotives. Une autre énergie sera développée, plus marginalement, durant cette période : le gaz. Celui-ci sert notamment à éclairer les premières usines avant que ne soit généralisé l'usage de l'électricité, à la fin du xixe siècle.

L'adaptation de la machine à vapeur à des bateaux se révèle plus difficile que pour les chemins de fer : risque d'incendie avec les coques de bois, risque de panne – un bateau dont la machine tombe en panne est désemparé – faible autonomie due au mauvais rendement des machines à vapeur. Toutefois, le 15 juillet 1783, le « Pyroscaphe » est le premier bateau à vapeur – naviguant pendant un quart d'heure, sur la Saône – construit par Jouffroy d'Abbans. La navigation à vapeur débute donc sur les rivières, dans les ports pour les remorqueurs et sur des trajets courts, comme la traversée de la Manche. Le nombre et le niveau technique des bateaux à vapeur progressent rapidement : ainsi, dès 1830 les premiers steamers (bateaux à vapeur) mettent dix jours de moins sur le trajet New York-Londres que les voiliers les plus rapides. L'augmentation de la taille des navires divise les frais de transports par quatre entre 1820 et 1850 sur les liaisons internationales.

En 1869, l'ouverture du canal de Suez permet aux bateaux à vapeur de faire le trajet vers l'Inde en 60 jours, contre six mois auparavant. D'autre part, des dizaines de bateaux à vapeur sillonnent la Loire entre 1830 et 1850. Leur vitesse est impressionnante (de 4 à 15 nœuds en remontant, 9 nœuds en descendant) et donne lieu à des courses qui se terminent parfois dans un banc de sable… Mais vers 1850, le chemin de fer entraine leur disparition : en 1910 la Royal Navy britannique prend la décision de basculer vers une alimentation au fioul, et non au charbon, pour ses nouveaux bâtiments. Cette bascule se généralise dans le domaine du transport et instaure l'ère du pétrole pour le xxe siècle.

Canal vers 1850
Au cours de la première moitié du xviiie siècle, le développement de l'industrie charbonnière repose sur les transports par bateaux, soit sur les rivières navigables, soit par mer. Les routes ne permettent pas de transporter des chargements lourds, surtout après une pluie.

Francis Egerton, troisième duc de Bridgewater, peut voir dans son grand tour d'Europe le Canal du Midi, ouvert en 1681. Possédant des mines de charbon à Worsley, près de Manchester, il décide la construction d'un canal pour transporter le charbon de ses mines jusqu'à Manchester. Dirigée par James Brindley, la construction commence en 1759 et se termine en 1776, pour un coût de 350 000 £ – énorme pour l'époque. Ce canal rapporte un grand profit au duc et la prospérité à Manchester qui peut disposer d'un charbon bon marché, c'est aussi intéressant pour les machines à vapeur et l'industrie du coton qui commence à se développer.

Rapidement, un réseau de 4 800 km de canaux permet l'acheminement du charbon et d'autres produits un peu partout : par la route, un cheval transporte 120 kg, tandis que sur un canal, le même cheval tire 50 tonnes à la vitesse moyenne de 6,5 km/h. Des bateaux rapides tirés par deux chevaux (remplacés tous les 6,5 km) transportent des passagers à la vitesse moyenne de 16

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26 juillet 2014 à 18:11:18

Consultata la fonderia francese Gaget, Gauthier & Co., Bartholdi concluse che sarebbe stato conveniente realizzare il rivestimento della statua in fogli di rame battuto con la tecnica a sbalzo.[4] Uno dei vantaggi, nell'utilizzare tale tecnica era quello di alleggerire notevolmente il peso della statua, considerato il suo volume (il rame non doveva superare lo spessore di 24 mm). A seguito delle considerazioni innanzi enunciate si decise per un'altezza dell'opera pari a 46 m, doppia di quella della statua italiana del Colosso di San Carlo Borromeo (detto anche San Carlone) e del tedesco Hermannsdenkmal di Detmold, dedicato al condottiero dei Germani Cherusci Arminio, realizzati con la medesima tecnica.[5]
Bartholdi interessò al progetto in proposito uno dei suoi ex insegnanti, l'architetto francese Eugène Viollet-le-Duc, il quale progettò per la statua un sostegno in mattoni, al quale il rivestimento sarebbe stato ancorato.[6] Tuttavia Le Duc morì subito dopo senza lasciare istruzioni su come connettere sostegno e rivestimento.[7] La realizzazione del sostegno venne quindi affidata a Gustave Eiffel (il creatore dell'omonima torre), che abbandonò l'idea della struttura in mattone, optando per una a capriate in ferro.
Eiffel decise di non utilizzare una struttura rigida, che avrebbe indotto tensioni nel rivestimento conducendo la statua infine al collasso. Per consentire alla statua piccoli movimenti sotto i venti del porto di New York e la dilatazione metallica nelle calde estati, egli collegò la struttura di sostegno al rivestimento in modo non rigido, usando un'armatura, una struttura metallica che consisteva in una mescolanza di nastri metallici, note come selle, che vennero rivettate al rivestimento, fornendogli un buon sostegno. Con un procedimento d'intenso lavoro manuale, ogni sella doveva essere formata individualmente.[8] Per prevenire la corrosione galvanica dovuta al contatto di metalli diversi, Eiffel isolò il rivestimento con amianto impregnato di gommalacca.[9] Il cambiamento nella struttura del materiale dalla muratura al metallo permise a Bartholdi di modificare i suoi piani per l'assemblaggio della statua: egli pensava inizialmente di installare in loco il rivestimento non appena la struttura in mattoni fosse stata pronta, mentre così decise di costruire una torre in Francia, smontarla successivamente per il trasporto e riassemblarla negli Stati Uniti a Bedloe's Island.[10]
Il progetto di Eiffel rese la statua uno dei primi esempi di costruzione a facciata continua (Mur-rideau in francese), nella quale la struttura non è autoportante ma è sostenuta da un'altra che sta all'interno. Egli incluse due scale a chiocciola interne per rendere più facile l'accesso ai visitatori che potevano così recarsi sul punto di osservazione nella corona.[11] L'accesso invece alla piattaforma che circondava la torcia venne sì previsto, ma lo spazio limitato intorno al braccio consentì la costruzione di una sola scala lunga 12 m[12] Man mano che la struttura cresceva, Eiffel e Bartholdi coordinavano il loro lavoro accuratamente in modo che i segmenti del rivestimento si adattassero perfettamente alla struttura di sostegno.[13]
La statua fu donata dai francesi agli Stati Uniti d'America in 1883 casse trasportate a New York per mezzo di una piccola nave (che dovette effettuare numerosi viaggi) e ivi assemblata, in segno di amicizia tra i due popoli e in commemorazione della dichiarazione d'Indipendenza di un secolo prima (1776). La statua venne trasportata via mare naturalmente senza basamento. In mancanza di fondi per costruire quest'ultimo (oltre un milione di dollari dell'epoca) il New York Times lanciò una sottoscrizione pubblica. La gente rispose prontamente e la somma necessaria all'inizio del lavori fu depositata in pochi giorni.
La prima pietra della statua della Libertà viene posata su Bedloe's Island, a New York il 5 agosto 1884, fu completata entro il 1885 e inaugurata il 28 ottobre 1886, dieci anni dopo la ricorrenza per la quale era stata progettata. Nel 1886, durante l'inaugurazione, furono distribuite alcune miniature della statua, fabbricate dalla società francese Gaget, Gauthier & Co. A causa della difficoltà di pronuncia della parola Gaget, gli americani la trasformarono nella nota parola gadget.[senza fonte] Nel corso delle celebrazioni per l'inaugurazione, si formò spontaneamente la prima ticker-tape parade, evento divenuto tipico della cultura statunitense e legato particolarmente alla città di New York. Nel 1924 la statua divenne monumento nazionale insieme all'isola sulla quale è posta. Sul piedistallo vi è inciso un sonetto intitolato The New Colossus, scritto dalla poetessa statunitense Emma Lazarus, fatto che fu enfatizzato dalla stampa al fine di completare la raccolta dei fondi per finanziare il completamento dell'opera:
« Tenetevi, o antiche terre, la vostra vana pompa - grida essa [la statua] con le silenti labbra - Datemi i vostri stanchi, i vostri poveri, le vostre masse infreddolite desiderose di respirare liberi, i rifiuti miserabili delle vostre coste affollate. Mandatemi loro, i senzatetto, gli scossi dalle tempeste e io solleverò la mia fiaccola accanto alla porta dorata. »
Il sonetto non fu ispirato alla Lazarus dal concetto di libertà, ma dalla sua presa di coscienza, in seguito ad una sua visita coinvolgente nei miseri quartieri di quarantena degli immigrati, in attesa nel porto di New York.

CaptainIce CaptainIce
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26 juillet 2014 à 18:11:19

AU NOM D'UN SANDWICH A GUACAMOLE

Lea11ans Lea11ans
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26 juillet 2014 à 18:12:10

coucou maman :noel:

sonicboum4 sonicboum4
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26 juillet 2014 à 18:12:43

Le first, horrible merde pas drôle, tu pensais être reconnu dans tout le forum, aimé de tous pour ton post de merde, mais au final, il est devenu tellement merdique qu'une faille spatio-temporel s'est ouvert autour de ton bide, et il est resté bloqué dans l'anti-matière.

Une recherche scientifique s'est crée à ce sujet, on a rien trouvé, sauf le fait que le first est une victime.Le monde entier se moque de toi, tes parents et tes amis ont honte, pendant que toi, tu pleure en position foetale sur ton lit d'hopital, t'as vraiment mal.

Ton first merdique te fais sentir puissant toutefois, tout le monde dis "OMG l'AUTEUR EN 100 :rire: ", tu ne sais pas qu'il se foutent de toi, t'es piégé dans ton désarroi.

R'es sorti des urgences, mais ton fail lui est toujours coincé quelque part.Tu pense que l'erreur est humaine, mais celle là est impardonnable, tu es un danger pour l'humanité, tes amis et ton cousin te conseillent le C+T.

3 ans sont passés, tu vis une vie normal, enfin, ce que tu crois, les gens ne t'ont pas oublié, le GIGN est à tes trousses dans le secret, ils ont engagés des assassins du désert qui t'espionneront jour et nuit, attendant le moment parfait pour tuer ce déchet.

Tu supporte plus, personne te fais salut, tu te souviens que ton père est en fait Indiana Jones, il garde ses cordes dans sa chambre, mais tu les trouve pas, même ton père t'as owned.

Plus de refuge, plus de famille, plus rien à manger, tu te dis que tu devrais te prostituer.

Tu suce des twixs pour 5€, tu pense que ta tactique va marcher, mais personne viens.

Ah si, un vieux de 90 ans passait dans le coin, tu lui demande si il veut de tes services, mais il est juste là pour te rouler dessus, petit déchet.

Des siècles sont passé, ta descendance est harcelé, elle te déteste pour ce que tu as fais.Entéré dans les égouts, ils decide de te chercher.

Ils finissent par te trouver, il essuient tes traces de sang partout sur ton corps, et ils le mettent dans la déchiqueteuse qu'ils ont amené.

Ton sang n'est plus de ce monde, tout tes enfants ont été victimisé et tué, tu as provoqué la WW3 et la WW4, on a fermé les égouts en ton honneur.

Organisation test[edit]
The organisation test was developed in French law and adopted by South African law in R v AMCA Services and Another. It is based upon the assumption that whether or not one is an employment does not rest on submission to orders; it depends on whether the person is part and parcel of the organisation.

In other words, one looks at the extent to which a person (the worker) is integrated into the organisation of the other person (the employer), or whether the person is performing work inside the organisation of another.

The work of an independent contractor, although done for the business, is not integrated into it; it is only accessory to it.[5]

If a person is incorporated into or related sufficiently to the organisation, that person will be regarded as an employee or a worker even though the employer might exercise little actual control over him.

One of the problems with this test is that it is not always possible to measure the extent of integration, or to determine what degree of integration is sufficient for someone to qualify as an employee.

The test was rejected by the Appellate Division in S v AMCA Services on the basis of its being too vague.

Multiple or dominant-impression test[edit]
The deficiencies of the control and organisation tests led the courts to approach the question in the same way that they approach so many other problems: The relationship is viewed as a whole; a conclusion is drawn from the entire picture.

In Ongevallekommissaris v Onderlinge Versekeringsgenootskap AV-BOB, although the court did not spell out exactly what may be included in the general picture, guidance may be derived from the English case of Ready Mixed Concrete v Minister of Pensions and National Insurance, in which the presiding officer set out three possible components:

The servant agrees that, in consideration of a wage or other remuneration, he will provide his own work and skill in the performance of some service for his master.
He agrees, expressly or impliedly, that in the performance of that service he will be subject to the other’s control in a sufficient degree to make that other master.
The other provisions of the contract are consistent with its being a contract of service.
When courts examine the "other provisions of the contract," they will consider all relevant aspects of the relationship. These include:

the form of the contract;
the right to supervision (in other words, whether the employer has the right to supervise the person);
the extent to which the worker depends on the employer in the performance of his duties;
whether the employee is not allowed to work for another;[6]
whether the worker is required to devote a specific amount of time to his work;
whether the worker is obliged to perform his duties personally;[7]
whether the worker is paid according to a fixed rate or by commission;
whether the worker provides his own tools and equipment; and
whether the employer has the right to discipline, suspend and dismiss the worker.[8]
The decisive difference between the control test and the dominant-impression test is that, in the latter, the existence or absence of control is only one of the factors to be taken into account.

In Smit v Workmen's Compensation Commissioner, the court had to decide whether Smit, who had been employed as an "agent" for an insurance company, was an employee or not. He had been

remunerated on a commission-basis;
forbidden to perform certain acts (such as pledging the company’s credit) without written authority;
forbidden from working for another company at the same time, but was not required to work full-time and could do other work at different times;
given the use of a company motor-car, but had to pay of out of his own pocket for fuel and servicing;
working closely with a manager, but there was a total absence of any right of supervision and control of Smit by the insurance company; and
able to obtain assistance from others in performing his duties.
The dominant-impression test was followed in this case, and Smit was held to not be an employee of the insurance company.

In Medical Association of SA v Minister of Health, several district surgeons challenged the decision of the provincial MEC for Health for the Free State to terminate their contracts summarily as part of the restructuring of the district health service. The multiple or dominant impression test was followed, and the court used the factors discussed in Smit to assist it in obtaining the dominant impression that part-time district surgeons were in fact employees of the State.

The court held that the dominant-impression tests entails that one should have regard to all those considerations or indica which would contribute towards a determination of whether the contract is one of service or of work, and react to the impression one gets upon a consideration of all such indica. The Labour Court based its decision on the following factors:

The doctors rendered "personal services."
The doctors were expected to be "at the beck and call" of the employer 24 hours a day, and to give preference to official duties over those in their private practices.
The employer was obliged to pay a "contractual salary" to the doctors even in the absence of any actual work being performed, as long as the doctors made themselves available to do the work.
Even though the doctors were professionals, the provincial administration did have some control over the way in which services were rendered.
The test has been subjected to severe criticism. Etienne Mureinik has said that it test

offers no guidance in answering the (legal) question whether the facts are of such a nature that the individual may be held to be servant within the meaning of the common law in difficult (penumbral) cases. Indeed, it is no test at all. To say that an employment contract is a contract which looks like one of employment sheds no light whatsoever on the legal nature of the relationship.

This criticism is based on the idea that it is not helpful to say a particular relationship exists because it looks like it does.

Productive capacity test[edit]
In other decisions, the courts appear to have resorted to what may be described as the "productive capacity" test.

Canal vers 1850
Au cours de la première moitié du xviiie siècle, le développement de l'industrie charbonnière repose sur les transports par bateaux, soit sur les rivières navigables, soit par mer. Les routes ne permettent pas de transporter des chargements lourds, surtout après une pluie.

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26 juillet 2014 à 18:12:55

"Obama" redirects here. For other uses, see Obama (disambiguation).
This article is about the 44th president of the United States. For his father, see Barack Obama, Sr.
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Barack Obama
Barack Obama standing in front of a wooden writing desk and two flagpoles.
U.S. President Barack Obama in front of the Resolute desk in the Oval Office of the White House, December 6, 2012
44th President of the United States
Incumbent
Assumed office
January 20, 2009
Vice President Joe Biden
Preceded by George W. Bush
United States Senator
from Illinois
In office
January 3, 2005 – November 16, 2008
Preceded by Peter Fitzgerald
Succeeded by Roland Burris
Member of the Illinois Senate
from the 13th District
In office
January 8, 1997 – November 4, 2004
Preceded by Alice Palmer
Succeeded by Kwame Raoul
Personal details
Born Barack Hussein Obama II
August 4, 1961 (age 52)
Honolulu, Hawaii, U.S.
Nationality American
Political party Democratic
Spouse(s) Michelle LaVaughn Robinson (m. 1992)
Relations Stanley Armour Dunham (grandfather)
Madelyn Lee Payne (grandmother)
Maya Kassandra Soetoro-Ng (half-sister)
Children Malia Ann Obama (b. 1998)
Natasha Obama (b. 2001)
Parents Barack Hussein Obama, Sr.
Stanley Ann Dunham
Residence White House (official)
Chicago, Illinois (private)
Alma mater Occidental College
Columbia University (B.A.)
Harvard Law School (J.D.)
Profession Lawyer
Professor of constitutional law
Community organizer
Author
Politician
Religion Christianity
Awards Nobel Peace Prize
Signature Barack Obama
Website barackobama.com
This article is part of a series on
Barack Obama
Early life and career
Illinois Senate U.S. Senate Political positions
Public image Family
First term

2008 primaries Obama–Biden campaign
Transition 1st inauguration Electoral history
Presidency Timeline '09 '10 '11 '12
First 100 days Nobel Peace Prize
Second term

Re-election campaign (International reactions) 2nd inauguration Presidency Timeline '13 '14
Barack Hussein Obama II (Listeni/bəˈrɑːk huːˈseɪn oʊˈbɑːmə/; born August 4, 1961) is the 44th and current President of the United States, and the first African American to hold the office. Born in Honolulu, Hawaii, Obama is a graduate of Columbia University and Harvard Law School, where he served as president of the Harvard Law Review. He was a community organizer in Chicago before earning his law degree. He worked as a civil rights attorney and taught constitutional law at the University of Chicago Law School from 1992 to 2004. He served three terms representing the 13th District in the Illinois Senate from 1997 to 2004, running unsuccessfully for the United States House of Representatives in 2000.

In 2004, Obama received national attention during his campaign to represent Illinois in the United States Senate with his victory in the March Democratic Party primary, his keynote address at the Democratic National Convention in July, and his election to the Senate in November. He began his presidential campaign in 2007 and, after a close primary campaign against Hillary Rodham Clinton in 2008, he won sufficient delegates in the Democratic Party primaries to receive the presidential nomination. He then defeated Republican nominee John McCain in the general election, and was inaugurated as president on January 20, 2009. Nine months after his election, Obama was named the 2009 Nobel Peace Prize laureate.

During his first two years in office, Obama signed into law economic stimulus legislation in response to the Great Recession in the form of the American Recovery and Reinvestment Act of 2009 and the Tax Relief, Unemployment Insurance Reauthorization, and Job Creation Act of 2010. Other major domestic initiatives in his first term included the Patient Protection and Affordable Care Act, often referred to as "Obamacare"; the Dodd–Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act; and the Don't Ask, Don't Tell Repeal Act of 2010. In foreign policy, Obama ended U.S. military involvement in the Iraq War, increased U.S. troop levels in Afghanistan, signed the New START arms control treaty with Russia, ordered U.S. military involvement in Libya, and ordered the military operation that resulted in the death of Osama bin Laden. In November 2010, the Republicans regained control of the House of Representatives as the Democratic Party lost a total of 63 seats; and, after a lengthy debate over federal spending and whether or not to raise the nation's debt limit, Obama signed the Budget Control Act of 2011 and the American Taxpayer Relief Act of 2012.

Obama was re-elected president in November 2012, defeating Republican nominee Mitt Romney, and was sworn in for a second term on January 20, 2013. During his second term, Obama has promoted domestic policies related to gun control in response to the Sandy Hook Elementary School shooting, and has called for full equality for LGBT Americans, while his administration has filed briefs which urged the Supreme Court to strike down the Defense of Marriage Act of 1996 and California's Proposition 8 as unconstitutional. In foreign policy, Obama has continued the process of ending U.S. combat operations in Afghanistan.

Contents [hide]
1 Early life and career
1.1 Community organizer and Harvard Law School
1.2 University of Chicago Law School and civil rights attorney
2 Legislative career: 1997–2008
2.1 State Senator: 1997–2004
2.2 U.S. Senate campaign
2.3 U.S. Senator: 2005–2008
2.3.1 Legislation
2.3.2 Committees
3 Presidential campaigns
3.1 2008 presidential campaign
3.2 2012 presidential campaign
4 Presidency
4.1 First days
4.2 Domestic policy
4.2.1 White House advisory and oversight groups
4.2.2 Economic policy
4.2.3 Environmental policy
4.2.4 Health care reform
4.2.5 Energy policy
4.2.6 Gun control
4.2.7 2010 midterm elections
4.3 Foreign policy
4.3.1 Iraq
4.3.2 War in Afghanistan
4.3.3 Israel
4.3.4 War in Libya
4.3.5 Osama bin Laden
5 Cultural and political image
6 Family and personal life
6.1 Religious views
7 Legacy
7.1 Historical evaluations
7.2 Honors
7.3 Presidential library
8 Notes and references
8.1 Notes
8.2 References
8.3 Further reading

Blacoste2 Blacoste2
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:12:57

J'me me masturbe dans du yaourt

Collaboratif Collaboratif
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:13:34

Une cellule souche est une cellule indifférenciée, capable de s'autorenouveler, de se différencier en d'autres types cellulaires et de proliférer en culture. Les cellules souches sont issues soit de l'embryon, soit du fœtus, soit de tissus adultes avec ou sans transformation, elles peuvent aussi être obtenues par transfert de noyau. Grâce à ces propriétés, elles peuvent servir à régénérer ou recréer des tissus détruits : c'est la thérapie cellulaire.

Potentialité des cellules souches

Toutes les cellules souches ne disposent pas du même potentiel de différenciation. Ainsi, on trouve :

des cellules souches unipotentes, en mesure de ne fournir qu'un seul type cellulaire (foie, peau, cerveau etc.), mais capables d'autorégénération, ce qui les distingue des cellules précurseurs ;
des cellules souches multipotentes (cellules fœtales et adultes) capables de donner naissance à plusieurs types cellulaires, comme les cellules souches myéloïdes de la moelle osseuse qui sont à l'origine des cellules sanguines (érythrocytes, monocytes, granulocytes...) ;
des cellules souches pluripotentes (cellules souches embryonnaires ou cellules souches pluripotentes induites), issues d'un embryon de 5 à 7 jours ou obtenues artificiellement après transformation de cellules adultes, qui peuvent donner naissance à plus de 200 types cellulaires représentatifs de tous les tissus de l'organisme ;
des cellules souches totipotentes, cellules issues des premières divisions de l'œuf fécondé (jusqu'au 4e jour), capables de donner naissance à tous les types de cellules de l'organisme et les seules à permettre le développement complet d'un individu.
Rôle des cellules souches

Les cellules souches ont différentes fonctions dans les organismes.

À l'état fœtal ou dans les premières phases du développement embryonnaire, elles se multiplient pour générer peu à peu toutes les cellules du corps, qu'elles soient différenciées ou non.

Dans les tissus adultes, les cellules souches sont beaucoup plus rares et regroupées dans des régions particulières des organes. Elles contribuent au renouvellement naturel des tissus (un globule rouge vit en moyenne 120 jours et doit être remplacé, par exemple) ou à leur réparation en cas de lésion. Cependant, tous les organes n'en sont pas pourvus, comme le cœur et le pancréas.

Utilisation des cellules souches en médecine : la thérapie cellulaire

Du fait de leurs propriétés d'autorenouvellement et de régénération tissulaire, les scientifiques tentent d'exploiter les cellules souches pour des applications médicales et de développer des thérapies cellulaires.

Les cellules souches fœtales et embryonnaires, aux propriétés les plus intéressantes, sont délicates à utiliser, pour des raisons éthiques, même si elles sont utilisées pour des essais cliniques. Les cellules souches pluripotentes induites (Nobel de physique 2012), découvertes en 2006 chez la souris, s'avèrent plus risquées à l'utilisation, pour le risque plus important de provoquer des tumeurs. Les cellules souches multipotentes ont quant à elles un champ d'action plus limité.

Karnage2a Karnage2a
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26 juillet 2014 à 18:14:13

Petite grenouille verte
Pelophylax lessonae
Description de cette image, également commentée ci-après
Fig. 1 Petite grenouille verte ou Grenouille de Lessona

Classification selon ASW
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata
Classe Amphibia
Sous-classe Lissamphibia
Super-ordre Salientia
Ordre Anura
Sous-ordre Neobatrachia
Famille Ranidae
Genre Pelophylax
Nom binominal
Pelophylax lessonae
(Camerano, 1882)
Synonymes
Rana esculenta var. lessonae Camerano, 1882 "1881"
Rana lessonae Camerano, 1882 "1881"
Statut de conservation UICN
( LC )
LC : Préoccupation mineure
Pelophylax lessonae, la Petite grenouille verte ou Grenouille de Lessona, est une espèce d'amphibiens de la famille des Ranidae1. Elle fait partie du genre Pelophylax, des grenouilles vertes (avec la grenouille de Perez (P. perezi), la grenouille rieuse (P. ridibunda) ou la grenouille verte Pelophylax kl. esculenta et la grenouille de Graf). C'est la plus petite des grenouilles vertes d'Europe2.

Étymologie : cette espèce est nommée en l'honneur de Michele Lessona, médecin et célèbre zoologiste italien (1823-1894). Le nom de genre Pelophylax dérive du grec pelos « boue » et phylax « gardien », en raison de son attachement au marais.

Sommaire [masquer]
1 Description
2 Distribution et habitat
3 Mode de vie
4 Reproduction
5 Menaces
6 Publication originale
7 Liens externes
8 Notes et références
Description[modifier | modifier le code]

Fig. 2 Grenouille de Lessona, couleur de l'herbe verte

Fig. 3 Grenouille de Lessona mâle, en train de chanter. Les sacs vocaux sont d'un blanc pur
Cette petite grenouille mesure de 45 à 80 mm au maximum : en moyenne le mâle mesure de 45 à 55 mm et la femelle de 55 à 65 mm.

La pupille est ovale horizontale et l'iris est doré2. Le tympan est bien visible. Il n'y a pas de tache temporale sombre, comme chez les Grenouilles rousses et agiles. Les dents vomériennes, deux dents enchâssées dans le vomer (os impair) en avant du palais, sont plus ou moins rondes, bien écartées l'une de l'autre.

Le membre postérieur est assez court. La face postérieure des cuisses et l'aine sont tachées de jaune ou d'orangé. Les tubercules métatarsiens sont très saillants, de couleur blanc rosâtre, en forme de demi-cercle. La palmure est assez faible.

La peau dorsale est lisse ou pustuleuse et comporte deux replis latéro-dorsaux brun bronze. La face supérieure a la couleur verte de l'herbe, pour la plupart des individus. Quelques individus sont brunâtres, avec la tête et les flancs verts. Le dos est marqué de petites taches noirâtres irrégulières. Il est parfois traversé d'une bande vertébrale claire.

La grenouille de Lessona présente un dimorphisme sexuel marqué. À l'époque de reproduction, les mâles se colorent souvent de jaune citron alors que les femelles passent à un vert un peu plus jaune. Les mâles sont dotés de deux sacs vocaux peu pigmentés, apparaissant blanc pur une fois gonflés.

La grenouille de Lessona ressemble à la grenouille rieuse (Pelophylax ridibundus (Pallas, 1771)) et à la grenouille verte d'Europe (Rana kl. esculenta (Linné, 1758)). Pour cette raison, son identification est délicate mais on peut la distinguer de la grenouille rieuse par les critères suivants3 :

Critères distinctifs
Grenouille de Lessona Grenouille rieuse
taille la plus petite
m : 45-55 mm
f : 55-65 mm grande taille
sacs vocaux
(mâle) blanc pur gris
face postérieure
des cuisses jaunâtre, marron blanchâtre
jambes courtes
(le talon ne dépasse pas l’œil) longues
(le talon dépasse l’œil)
chant nuptial grésillement montant,
lancé par vagues très varié,
ricanements résonnants
La localisation est très importante puisqu'elle permet d’emblée d'exclure certaines espèces.

Distribution et habitat[modifier | modifier le code]

Fig. 4 Répartition eurasiatique
Répartition
Cette espèce se rencontre en Europe de la France au bassin de la Volga en Russie : en France, en Belgique, aux Pays-Bas, au Luxembourg, en Italie, en Suisse, en Allemagne, en Autriche, en Slovénie, en Croatie, en Serbie, en Pologne, en République tchèque, en Slovaquie, en Hongrie, en Roumanie, en Estonie, en Lettonie, en Lituanie, en Biélorussie, en Ukraine et dans l'ouest de la Russie.

En France, elle est présente dans une large moitié nord. Sa limite sud est une ligne allant de la Charente à la Savoie.

La Grenouille de Lessona (Pelophylax lessonae) s'hybride régulièrement avec la Grenouille rieuse (P. ridibundus) pour donner la Grenouille verte d'Europe (Pelophylax kl. esculentus). On peut trouver quelques populations pures de Grenouilles de Lessona en Belgique, en Lorraine et dans les Vosges du nord. Ailleurs, la Grenouille verte d'Europe est souvent plus commune que la Grenouille de Lessona2.

Habitat
Elle vit dans des mares et marais plutôt mésotrophes, ensoleillés et riches en végétaux et plutôt de faible profondeur, éventuellement en forêt (mares forestières ou de tourbières). Elle évite les mares urbaines, les grands lacs ou les rivières.

Mode de vie[modifier | modifier le code]
Fichier:PoolFrogCroacking.ogg

Fig. 5 Chants nuptiaux
La grenouille de Lessona est active de jour comme de nuit.

Chant
Le chant nuptial du mâle ressemble à un grésillement soutenu et modulé, "aouwack...aouwack...aouwack", produit par vagues successives (enregistrement fig.5).

Alimentation
La grenouille de Lessona chasse généralement à terre la nuit. Elle peut s'éloigner de 500 m de son point d'eau de reproduction. Elle se nourrit surtout d'insectes terrestres. Les invertébrés aquatiques, comme les Gerridae, Dytiscidae, représentent en général moins de la moitié des proies. La grenouille de Lessona est moins vorace que la Grenouille rieuse.

Hibernation
Elle hiberne de septembre-novembre à mars-mai.

Reproduction[modifier | modifier le code]

Fig. 6 Accouplement de grenouilles de Lessona. A la saison de reproduction, le mâle passe au jaune citron

Fig. 7 Métamorphose du têtard en imago de grenouille de Lessona
Après l'hibernation, la grenouille de Lessona commence à être active en mars. Elle effectue sa migration prénuptiale fin avril2. Les adultes des deux sexes sont fidèles à un point d'eau de reproduction.

Les mâles se regroupent en grand nombre dans un point d'eau et chantent en chœur le jour. Le mâle saisit une femelle sous les aisselles dans la position d'amplexus axillaire (fig. 6). Il fertilise les ovocytes au fur et à mesure que la femelle les expulse. La femelle pond de 800 à 2 000 oeufs par an, aux alentours de la seconde quinzaine de mai. Les amas d'oeufs sont déposés sur la végétation aquatique près de la surface.

L'éclosion a lieu au bout d'une à deux semaines. Le développement des têtards durent de 2 à 4 mois. Les métamorphoses en imagos ont lieu l'été, habituellement en juillet-août. Les têtards se nourrissent principalement d'algues (Cyanophyta, Chlorophyta). Les juvéniles mangent des mouches et leurs larves.

La maturité sexuelle est souvent acquise vers la fin du second été si bien que la reproduction commence vers l'âge de 2 à 3 ans. La longévité est de 6 à 12 ans.

Menaces[modifier | modifier le code]
Comme toutes les grenouilles et autres amphibiens, c'est une espèce en régression en raison de la disparition ou dégradation de ses habitats et de la fragmentation écopaysagère. Les adultes et têtards sont sensibles aux insecticides.

Cette espèce est protégée en Europe en tout temps et tous lieux, en vertu de l'annexe IVa de la Directive Faune-Flore-Habitat 92/43/CEE et de l'annexe II de la Convention de Berne, y compris au stade œuf ou têtard. Elle est inscrite en France au Livre rouge des espèces menacées de France

Publication originale[modifier | modifier le code]
Camerano, 1882 "1881" : Recherches sur les variations de la Rana esculenta et du Bufo viridis dans le Bassin de la Méditerranée. Comptes Rendus de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences, Paris, vol. 10, p. 680-690 (texte intégral).
Liens externes[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :

Petite grenouille verte, sur Wikimedia Commons Petite grenouille verte, sur Wikispecies
Référence Amphibian Species of the World : Pelophylax lessonae (Camerano, 1882) (en) (consulté le 2 juil. 2013)
Référence AmphibiaWeb : espèce Pelophylax lessonae (en) (consulté le 2 juil. 2013)
Référence INPN : Rana lessonae Camerano, 1882 (Syn. Pelophylax lessonae (Camerano, 1882)) (+ statut + description) (fr) (consulté le 15 juillet 2014)
Référence ITIS : Pelophylax lessonae (Camerano, 1882) (fr) (+ version anglaise (en)) (consulté le 2 juil. 2013)
Référence NCBI : Pelophylax lessonae (en) (consulté le 2 juil. 2013)
Référence UICN : espèce Pelophylax lessonae (Camerano, 1882) (en) (consulté le 2 juil. 2013)
Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ Amphibian Species of the World, consulté lors d'une mise à jour du lien externe
↑ a, b, c et d Duguet R. et Melki F. (ed.), Les Amphibiens de France, Belgique et Luxembourg, éditions Biotope, ACEMAV coll.,‎ 2003, 480 p.
↑ (fr) Nicholas Arnold et Denys Ovenden, Le guide herpéto : 228 amphibiens et reptiles d'Europe, Delachaux & Niestlé,‎ février 2010, 287 p. (ISBN 9782603016732)

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26 juillet 2014 à 18:14:39

Qu’est-ce qui est plus résistant que les pingouins de l’Antarctique, les chameaux du désert, les vers tubicoles des abysses et les blattes, qui supportent des conditions extrêmes ? Les tardigrades, selon la chaîne de télévision américaine Animal Planet, qui a diffusé une série d’émissions sur les créatures les plus résistantes de la Terre il y a quelques années. À cette occasion, les tardigrades ont supplanté tous ces organismes au titre de « survivants de l’extrême ». Dressons le portrait du champion.

Les tardigrades sont de minuscules animaux translucides qui vivent un peu partout sur la planète. Ils mesurent en moyenne un demi-millimètre (500 micromètres) de longueur. Avec un bon éclairage, on peut souvent les distinguer à l’œil nu. On les surnomme parfois « oursons d’eau », car leur morphologie évoque une sorte de panda.

La plupart des petits invertébrés remuent dans tous les sens. Les tardigrades, eux, se déplacent avec lenteur, escaladant posément de minuscules débris. Leur nom vient du latin tardigrada, qui signifie « marcheur lent ». Ils possèdent huit petites pattes boudinées, situées sous leur corps et ne dépassant pas sur les côtés, d’où leur démarche nonchalante et pataude.

Certaines espèces vivent dans les eaux douces ou salées. D’autres, dites terrestres, élisent domicile dans les endroits humides, au sein des mousses, des lichens, de l’humus des forêts, du sol ; en réalité, ces espèces ne sont que limnoterrestres, c’est-à-dire qu’elles vivent dans de minuscules poches d’eau interstitielle au sein de ces habitats. Tous les tardigrades sont donc des animaux aquatiques.

Les tardigrades comptaient autrefois parmi les micro-organismes modèles pour l’étude du développement – un rôle aujourd’hui dévolu au nématode Caenorhabditis elegans (un petit ver), notamment suite aux travaux du biologiste sud-africain Sydney Brenner, prix Nobel de médecine en 1974. Les deux animaux offrent les mêmes qualités : simplicité physiologique, cycle de reproduction rapide et schéma de développement caractéristique. Comme le nématode C. elegans, le tardigrade peut être eutélique, ce qui signifie que le nombre de ses cellules – plus d’un millier – reste constant tout au long de sa croissance ; celle-ci s’effectue alors par grossissement et non par division des cellules.

Le corps d’un tardigrade est composé de cinq parties : une tête bien définie, et quatre segments dotés chacun d’une paire de pattes griffues, la forme des griffes variant selon les espèces. La dernière paire de pattes est dirigée vers l’arrière, dans une configuration unique au sein du monde animal. Les tardigrades l’utilisent pour s’accrocher et pour accomplir des mouvements lents et acrobatiques, plutôt que pour marcher.

Leur anatomie et leur physiologie sont similaires à celles d’animaux plus gros. Ils ont un appareil et un canal digestifs complets. La bouche est suivie d’un pharynx, d’un œsophage, d’un estomac, d’un intestin et d’un cloaque. Les muscles sont bien développés. En revanche, ils ne disposent que d’une seule gonade.

Le cerveau des tardigrades est placé dorsalement et relié à un système nerveux ventral (celui des humains, situé dans la colonne vertébrale, est dorsal). Leur corps est empli d’un fluide en contact avec toutes les cellules, assurant une nutrition efficace et les échanges gazeux, sans recours à des appareils circulatoire et respiratoire.

Les taxinomistes classifient le monde vivant en trois domaines : les bactéries (organismes unicellulaires dépourvus de noyau), les eucaryotes (organismes dont les cellules ont un noyau) et les archées (organismes unicellulaires autrefois nommés archéobactéries en raison de similarités visuelles avec les bactéries, mais qui sont probablement plus proches des eucaryotes en termes d’évolution). Les eucaryotes sont divisés en quatre grands règnes : les protistes, les plantes, les champignons et les animaux. Le règne animal comprend environ 36 embranchements, ou phyla (le chiffre varie selon les experts), et les tardigrades forment l’un d’eux ; ils représentent donc une branche entière de l’arbre du vivant.

Le corps des tardigrades est recouvert d’une cuticule robuste mais souple, qu’ils rejettent en grandissant. C’est pourquoi ils sont placés dans la lignée évolutive des ecdysozoaires, définie par cette caractéristique. Ils y côtoient des animaux tels que les nématodes et les arthropodes (araignées,insectes, crustacés, etc.), qui effectuent aussi une ou plusieurs mues cuticulaires au cours de leur développement. L’été, on trouve un peu partout leurs dépouilles abandonnées sur les troncs d’arbre.

Les tardigrades se répartissent en deux ordres : les eutardigrades et les hétérotardigrades. En général, la cuticule des premiers est lisse, tandis que celle des seconds est divisée en plaques.

Des champions de la survie

Les tardigrades sont surtout connus pour leur aptitude à supporter des conditions extrêmes. En laboratoire, ils ont été soumis à des températures de 0,05 kelvin (–273,10° C, pratiquement le zéro absolu) pendant 20 heures, avant d’être réchauffés et réhydratés : ils sont alors revenus à la vie active. Ils ont été placés à –200° C durant 20 mois et ont survécu. Ils ont été exposés à une température de 150° C, bien supérieure au point d’ébullition de l’eau, et n’ont pas succombé pour autant. Ils ont supporté une pression de 75 000 atmosphères et des concentrations élevées de gaz asphyxiants (monoxyde et dioxyde de carbone, azote, dioxyde de soufre...). Ils ont même résisté au rayonnement ultraviolet présent dans l’espace.

Seules certaines espèces de tardigrades terrestres ont développé ces capacités de survie hors du commun. Leurs formes marines et d’eau douce n’en ont pas eu besoin, car leur environnement reste stable. En revanche, le microenvironnement humide des tardigrades terrestres se modifie régulièrement, par exemple en s’asséchant (on parle de dessication) plus ou moins vite en raison de variations climatiques, et est parfois soumis à des conditions météorologiques extrêmes. En outre, les mousses et les lichens dans lesquels les tardigrades élisent domicile peuvent être exposés, pour des périodes plus ou moins longues, aux rayons ultraviolets du Soleil. Cet habitat ne leur procure qu’une mince couche de protection, il est loin de les isoler totalement des agressions de l’environnement.

Alterner vie active et vie inactive

Leurs capacités de survie sont alors étonnantes : les froids intenses, par exemple, feraient éclater des cellules ordinaires, majoritairement constituées d’eau. En effet, l’eau se dilate lorsqu’elle approche du point de congélation, raison pour laquelle la glace flotte. À une température de 4 °C, elle atteint un volume suffisant pour faire éclater une grosse pierre qui en est imbibée, un récipient métallique qui en est rempli ou des cellules vivantes. Comment les tardigrades y survivent-ils ? Comment résistent-ils aux chaleurs intenses, qui devraient faire bouillir leur eau interne ? Et pourquoi les rayonnements spatiaux n’endommagent-ils pas irréversiblement leur adn ?

Nous sommes loin d’avoir toutes les réponses, mais nous avons tout de même des pistes. Les tardigrades terrestres ont la faculté d’alterner vie active et vie inactive. En période d’activité, ils se nourrissent, se battent, se reproduisent et se déplacent. En période d’inactivité, ils se placent dans des états dits d’anoxybiose ou de cryptobiose.

DeoxysAttaque DeoxysAttaque
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26 juillet 2014 à 18:14:40

e in Francia, smontarla successivamente per il trasporto e riassemblarla negli Stati Uniti a Bedloe's Island.[10]
Il progetto di Eiffel rese la statua uno dei primi esempi di costruzione a facciata continua (Mur-rideau in francese), nella quale la struttura non è autoportante ma è sostenuta da un'altra che sta all'interno. Egli incluse due scale a chiocciola interne per rendere più facile l'accesso ai visitatori che potevano così recarsi sul punto di osservazione nella corona.[11] L'accesso invece alla piattaforma che circondava la torcia venne sì previsto, ma lo spazio limitato intorno al braccio consentì la costruzione di una sola scala lunga 12 m[12] Man mano che la struttura cresceva, Eiffel e Bartholdi coordinavano il loro lavoro accuratamente in modo che i segmenti del rivestimento si adattassero perfettamente alla struttura di sostegno.[13]
La statua fu donata dai francesi agli Stati Uniti d'America in 1883 casse trasportate a New York per mezzo di una piccola nave (che dovette effettuare numerosi viaggi) e ivi assemblata, in segno di amicizia tra i due popoli e in commemorazione della dichiarazione d'Indipendenza di un secolo prima (1776). La statua venne trasportata via mare naturalmente senza basamento. In mancanza di fondi per costruire quest'ultimo (oltre un milione di dollari dell'epoca) il New York Times lanciò una sottoscrizione pubblica. La gente rispose prontamente e la somma necessaria all'inizio del lavori fu depositata in pochi giorni.
La prima pietra della statua della Libertà viene posata su Bedloe's Island, a New York il 5 agosto 1884, fu completata entro il 1885 e inaugurata il 28 ottobre 1886, dieci anni dopo la ricorrenza per la quale era stata progettata. Nel 1886, durante l'inaugurazione, furono distribuite alcune miniature della statua, fabbricate dalla società francese Gaget, Gauthier & Co. A causa della difficoltà di pronuncia della parola Gaget, gli americani la trasformarono nella nota parola gadget.[senza fonte] Nel corso delle celebrazioni per l'inaugurazione, si formò spontaneamente la prima ticker-tape parade, evento divenuto tipico della cultura statunitense e legato particolarmente alla città di New York. Nel 1924 la statua divenne monumento nazionale insieme all'isola sulla quale è posta. Sul piedistallo vi è inciso un sonetto intitolato The New Colossus, scritto dalla poetessa statunitense Emma Lazarus, fatto che fu enfatizzato dalla stampa al fine di completare la raccolta dei fondi per finanziare il completamento dell'opera:
« Tenetevi, o antiche terre, la vostra vana pompa - grida essa [la statua] con le silenti labbra - Datemi i vostri stanchi, i vostri poveri, le vostre masse infreddolite desiderose di respirare liberi, i rifiuti miserabili delle vostre coste affollate. Mandatemi loro, i senzatetto, gli scossi dalle tempeste e io solleverò la mia fiaccola accanto alla porta dorata. »
Il sonetto non fu ispirato alla Lazarus dal concetto di libertà, ma dalla sua presa di coscienza, in seguito ad una sua visita coinvolgente nei miseri quartieri di quarantena degli immigrati, in attesa nel porto di New York.
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CAPTAINICE Voir le profil de CAPTAINICE
Posté le 26 juillet 2014 à 18:11:19 Avertir un administrateur
AU NOM D'UN SANDWICH A GUACAMOLE
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Lea11ans Voir le profil de Lea11ans
Posté le 26 juillet 2014 à 18:12:10 Avertir un administrateur
coucou maman :noel:
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sonicboum4 Voir le profil de sonicboum4
Posté le 26 juillet 2014 à 18:12:43 Avertir un administrateur
Le first, horrible merde pas drôle, tu pensais être reconnu dans tout le forum, aimé de tous pour ton post de merde, mais au final, il est devenu tellement merdique qu'une faille spatio-temporel s'est ouvert autour de ton bide, et il est resté bloqué dans l'anti-matière.

Une recherche scientifique s'est crée à ce sujet, on a rien trouvé, sauf le fait que le first est une victime.Le monde entier se moque de toi, tes parents et tes amis ont honte, pendant que toi, tu pleure en position foetale sur ton lit d'hopital, t'as vraiment mal.

Ton first merdique te fais sentir puissant toutefois, tout le monde dis "OMG l'AUTEUR EN 100 :rire: ", tu ne sais pas qu'il se foutent de toi, t'es piégé dans ton désarroi.

R'es sorti des urgences, mais ton fail lui est toujours coincé quelque part.Tu pense que l'erreur est humaine, mais celle là est impardonnable, tu es un danger pour l'humanité, tes amis et ton cousin te conseillent le C+T.

3 ans sont passés, tu vis une vie normal, enfin, ce que tu crois, les gens ne t'ont pas oublié, le GIGN est à tes trousses dans le secret, ils ont engagés des assassins du désert qui t'espionneront jour et nuit, attendant le moment parfait pour tuer ce déchet.

Tu supporte plus, personne te fais salut, tu te souviens que ton père est en fait Indiana Jones, il garde ses cordes dans sa chambre, mais tu les trouve pas, même ton père t'as owned.

Plus de refuge, plus de famille, plus rien à manger, tu te dis que tu devrais te prostituer.

Tu suce des twixs pour 5€, tu pense que ta tactique va marcher, mais personne viens.

Ah si, un vieux de 90 ans passait dans le coin, tu lui demande si il veut de tes services, mais il est juste là pour te rouler dessus, petit déchet.

Des siècles sont passé, ta descendance est harcelé, elle te déteste pour ce que tu as fais.Entéré dans les égouts, ils decide de te chercher.

Ils finissent par te trouver, il essuient tes traces de sang partout sur ton corps, et ils le mettent dans la déchiqueteuse qu'ils ont amené.

Ton sang n'est plus de ce monde, tout tes enfants ont été victimisé et tué, tu as provoqué la WW3 et la WW4, on a fermé les égouts en ton honneur.

Organisation test[edit]
The organisation test was developed in French law and adopted by South African law in R v AMCA Services and Another. It is based upon the assumption that whether or not one is an employment does not rest on submission to orders; it depends on whether the person is part and parcel of the organisation.

In other words, one looks at the extent to which a person (the worker) is integrated into the organisation of the other person (the employer), or whether the person is performing work inside the organisation of another.

The work of an independent contractor, although done for the business, is not integrated into it; it is only accessory to it.[5]

If a person is incorporated into or related sufficiently to the organisation, that person will be regarded as an employee or a worker even though the employer might exercise little actual control over him.

One of the problems with this test is that it is not always possible to measure the extent of integration, or to determine what degree of integration is sufficient for some

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26 juillet 2014 à 18:14:49

Аўраам Лінкальн 12 лютага 1809 — 15 красавіка 186 амерыканскі дзяржаўны дзеяч,прэзідэнт ЗША (1861—1865) і першы ад Рэспубліканскай партыі, вызваліцель амерыканскіх рабоў, нацыянальны герой амерыканскага народа.

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26 juillet 2014 à 18:14:58

L’anoxybiose survient en réponse à un manque d’oxygène. Les tardigrades y sont très sensibles. Une asphyxie prolongée entraîne une panne du système d’osmorégulation, qui contrôle la quantité d’eau interne. Le tardigrade se met alors à gonfler comme un bonhomme Michelin et à flotter dans son environnement. Dans cet état, il survit au manque d’oxygène, pour des raisons encore à élucider. Cela dure quelques jours, jusqu’à ce que le taux d’oxygène redevienne normal et qu’il puisse reprendre sa vie active.

La cryptobiose est un état réversible au cours duquel l’activité métabolique est suspendue. Dans cet état, le tardigrade résiste à presque tout ; les spécimens soumis à des conditions environnementales extrêmes avaient d’ailleurs au préalable été placés en état de cryptobiose.

Cet état se décline en plusieurs formes, survenant lors de diverses agressions environnementales. L’une de ces formes est l’anhydrobiose – terme signifiant « la vie sans eau ». Elle apparaît en réponse à l’assèchement des poches d’eau interstitielle où vit le tardigrade. L’animal se déshydrate alors – très lentement, sinon il ne survit pas –, perdant jusqu’à 97 pour cent de son eau. En conséquence, il se ratatine et sa taille se réduit au tiers de ce qu’elle était auparavant. Il rentre ses pattes et sa tête et se met en boule, réduisant ainsi la surface exposée : il prend la forme d’un tonnelet. Lorsqu’il a perdu la quasi-totalité de son eau, son métabolisme s’arrête.

L’anhydrobiose est un état ordinaire qu’un tardigrade peut connaître de nombreuses fois par an. Réhydraté par la rosée, la pluie ou la neige fondante, il se transforme et reprend sa vie active en quelques minutes à quelques heures.

La cryobiose est un autre exemple de cryptobiose : comme lors de l’anhydrobiose, l’animal se déshydrate et se transforme provisoirement en tonnelet, mais cette fois pour survivre à des froids intenses.

Toute température inférieure au point de congélation du cytoplasme des cellules suspend la mobilité moléculaire, et donc le métabolisme. On s’attendrait à ce que des températures aussi basses entraînent aussi des dégâts structurels. Mais les tardigrades, nous l’avons vu, endurent les froids les plus intenses. Cela pourrait être dû à la synthèse d’agents protecteurs, comme on en trouve chez les insectes : ces molécules abaisseraient la température de congélation des tissus et ralentiraient le processus, ménageant ainsi une période de transition qui permettrait de passer à l’état de cryobiose. Le tardigrade finit par geler, mais ces agents modulent peut-être aussi la formation de la glace, empêchant la formation de gros cristaux qui risqueraient de déchirer les tissus. D’autres hypothèses suggèrent que l’animal présente une structure cellulaire particulière, qui lui permet de résister à la glace.

Autre forme de cryptobiose, l’osmobiose : c’est la réaction à un degré extrême de salinité, qui peut entraîner un gonflement fatal. Certains tardigrades supportent cette salinité, mais d’autres ne peuvent y résister qu’en formant un tonnelet imperméable aux sels.

En 2007, le tardigrade est devenu le premier animal pluricellulaire ayant survécu dans l’espace. En effet, des spécimens ont été embarqués sur la capsule russe foton-m3, dans le cadre de l’expérience européenne biopan 6. Pendant que la capsule était en orbite à 260 kilomètres de la Terre, les chercheurs ont déclenché l’ouverture de boîtiers contenant des tardigrades en état d’anhydrobiose, afin de les exposer directement au rayonnement solaire et au vide spatial. De retour sur Terre, les tonnelets ont été réhydratés. Quelques animaux se sont alors mis à bouger, à manger, à grossir, à muer et à se reproduire : ils avaient survécu.

Au cours de l’été 2011, dans le cadre du projet biokis, parrainé par l’Agence spatiale italienne, des tardigrades ont été embarqués à bord de la navette spatiale américaine Endeavour et ont été exposés à des rayonnemens ionisants. Les résultats sont en cours d’analyse.

Préserver l’adn

Les puissants rayonnements de l’espace devraient endommager irrémédiablement l’adn, pourtant certains tardigrades y survivent. Comment ? Une possibilité serait l’existence d’un système de réparation de l’adn très efficace, ou tout au moins particulièrement résistant, qui se déclencherait lorsque l’animal revient à un stade actif : ainsi, la bactérie Deinococcus radiodurans possède des protéines qui supportent de puissantes radiations et réparent ensuite l’adn, très endommagé par ces dernières. Selon Daiki Horikawa, de l’inserm, la résistance des tardigrades viendrait plutôt d’un système qui protège l’adn et empêche sa destruction.

En outre, la résistance active de certaines espèces aux fortes salinités suppose un métabolisme vigoureux : l’animal maintient une salinité acceptable dans son milieu interne en pompant des ions vers l’extérieur, ce qui requiert une dépense d’énergie faramineuse. Ainsi, les tardigrades semblent apporter deux types de réponse aux conditions environnementales extrêmes : la réponse passive qu’est l’état de dormance ou de cryptobiose, et l’hyperréactivité du processus de réparation de l’adn – qui reste à prouver – et de l’osmorégulation. En matière de stratégie d’adaptation évolutive, les tardigrades sont des virtuoses.

Grâce à leurs capacités de survie, ces animaux minuscules ont conquis la quasi-totalité de la planète : de l’Arctique à l’équateur, des zones intertidales (la partie du littoral alternativement couverte et découverte par la marée) jusqu’aux profondeurs des océans... On en a même découvert au sommet des grands arbres, où ils ont probablement été apportés par le vent. À l’état de tonnelets, on les distingue à peine des particules de poussière.

Comme les spores, le pollen et les graines, les tonnelets risquent d’atterrir dans des microenvironnements qui ne leur conviennent pas. Toutefois, quand ils échouent dans un lieu peu favorable, ils n’ont qu’à attendre un changement de saison ou quelques précipitations : dès que les conditions climatiques sont plus clémentes, la vie peut reprendre son cours.

Si les tardigrades de mousses, de lichens ou d’humus sont de grands voyageurs, c’est aussi parce que nombre d’entre eux sont parthénogénétiques, c’est-à-dire qu’ils peuvent se reproduire sans fécondation – ils produisent directement des œufs. Quelques-uns sont hermaphrodites – ils fabriquent à la fois des gamètes mâles et femelles, et sont capables de s’autoféconder. Un tardigrade isolé est alors en mesure de fonder une population là où il atterrit.

À ce jour, environ 1 100 espèces de tardigrades ont été décrites, mais toutes ne sont pas valables. Il existe des doublons ou des erreurs d’interprétation. En réalité, un millier d’espèces ont été correctement décrites et identifiées. Elles se répartissent en 300 formes marines, 100 d’eau douce et 600 espèces terrestres. Ces dernières sont plus faciles à repérer et suscitent l’intérêt de nombreux chercheurs depuis longtemps.

La recherche de nouvelles espèces est un domaine très actif. Mes étudiants en ont découvert et décrit quatre, et nous sommes en train de travailler à la confirmation d’une demi-douzaine d’autres. Nous sommes persuadés qu’il en reste un grand nombre à découvrir, notamment dans les milieux non terrestres.

Parfois, une découverte conduit à réviser la classification. C’est ce qui s’est produit en été 2010, dans le cadre de notre programme de Master, conçu pour enseigner la recherche en explorant l’embranchement des Tardigrades en Amérique du Nord. Rachel Schulte, une étudiante, examinait des échantillons collectés quelques années auparavant en Californie. Après une semaine de travail, elle m’apporta un spécimen. Il semblait appartenir à la famille des Echiniscidae et au genre Pseudechinsicus, mais quelques caractéristiques ne correspondaient pas : le tube buccal, par exemple, était souple et recourbé, alors qu’il aurait dû être rigide ; en outre, la cuticule était divisée en un nombre inhabituellement élevé de plaques.

Nous avons alors consulté la littérature. L’animal ressemblait à une espèce nommée Pseudechiniscus raneyi, découverte dans les années 1960. Elle avait été rangée parmi les Pseudechiniscae en se fondant sur la description de ce genre, établie en 1911 par Gustav Thulin. Mais en 1987, Reinhardt Kristensen, de l’Université de Copenhague, au Danemark, a redéfini la famille des Echiniscidae, en y ajoutant des genres ainsi qu’en corrigeant et en détaillant la description des genres existants. Or notre tardigrade ne correspondait plus au genre Pseudechinsicus – et ne ressemblait pas non plus aux nouveaux genres. R. Krinstensen n’avait probablement jamais vu de spécimen de Pseudechiniscus raneyi, espèce assez rare, sinon il aurait remarqué cette divergence.

Nous avons alors proposé un nouveau genre, nommé d’après l’un des traits caractéristiques les plus marquants de notre spécimen : la présence de nombreuses plaques cuticulaires. Nous ne pouvions pas changer le nom de l’espèce (le second terme dans le binôme latin), car nous n’en étions pas les découvreurs. Notre tardigrade serait donc un Multipseudechiniscus raneyi. L’article qui rend compte de nos travaux est en cours d’examen par une revue scientifique.

Les tardigrades ont donc encore beaucoup à nous apprendre. Outre leur exceptionnelle résistance, leur diversité reste un sujet d’étude et d’étonnement...

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26 juillet 2014 à 18:15:43

L’Hypertext Markup Language, généralement abrégé HTML, est le format de données conçu pour représenter les pages web. C’est un langage de balisage permettant d’écrire de l’hypertexte, d’où son nom. HTML permet également de structurer sémantiquement et de mettre en forme le contenu des pages, d’inclure des ressources multimédias dont des images, des formulaires de saisie, et des programmes informatiques. Il permet de créer des documents interopérables avec des équipements très variés de manière conforme aux exigences de l’accessibilité du web. Il est souvent utilisé conjointement avec des langages de programmation (JavaScript) et des formats de présentation (feuilles de style en cascade). HTML est initialement dérivé du Standard Generalized Markup Language (SGML). L’anglais Hypertext Markup Language se traduit littéralement en langage de balisage d’hypertexte1. On utilise généralement l’abréviation HTML, parfois même en répétant le mot « langage » comme dans « langage HTML ». Hypertext est parfois écrit HyperText pour marquer le T de l’abréviation HTML.Le public non averti parle parfois de HTM au lieu de HTML, HTM étant l’extension de nom de fichier tronquée à trois lettres, une limitation qu’on trouve sur d’anciens systèmes d’exploitation de Microsoft.Durant la première moitié des années 1990, avant l’apparition des technologies web comme JavaScript, les feuilles de style en cascade et le Document Object Model, l’évolution de HTML a dicté l’évolution du World Wide Web. Depuis 1997 et HTML 4, l’évolution de HTML a fortement ralenti ; 10 ans plus tard, HTML 4 reste utilisé dans les pages web. En 2008, la spécification du HTML 5 est à l’étude2.1989-1992 : Origine[modifier | modifier le code]HTML est une des trois inventions à la base du World Wide Web, avec le Hypertext Transfer Protocol (HTTP) et les adresses web. HTML a été inventé pour permettre d'écrire des documents hypertextuels liant les différentes ressources d’Internet avec des hyperliens. Aujourd’hui, ces documents sont appelés « page web ». En août 1991, lorsque Tim Berners-Lee annonce publiquement le web sur Usenet, il ne cite que le langage SGML, mais donne l’URL d’un document de suffixe .html. Dans son livre Weaving the web3, Tim Berners-Lee décrit la décision de baser HTML sur SGML comme étant aussi « diplomatique » que technique : techniquement, il trouvait SGML trop complexe, mais il voulait attirer la communauté hypertexte qui considérait que SGML était le langage le plus prometteur pour standardiser le format des documents hypertexte. En outre, SGML était déjà utilisé par son employeur, l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN). Les premiers éléments du langage HTML comprennent le titre du document, les hyperliens, la structuration du texte en titres, sous-titres, listes ou texte brut, et un mécanisme rudimentaire de recherche par index. La description de HTML est alors assez informelle et principalement définie par le support des divers navigateurs web contemporains. Dan Connolly a aidé à faire de HTML une véritable application de SGML4.1993 : Apports de NCSA Mosaic[modifier | modifier le code]L’état de HTML correspond alors à ce que l’on pourrait appeler HTML 1.0. Il n’existe cependant aucune spécification portant ce nom, notamment parce que le langage était alors en pleine évolution. Un effort de normalisation était cependant en cours5. À partir de fin 1993, le terme HTML+ est utilisé pour désigner la version future de HTML6. Malgré l’effort de normalisation ainsi initié, et jusqu’à la fin des années 1990, HTML est principalement défini par les implémentations des navigateurs. Avec le navigateur NCSA Mosaic, HTML connaît deux inventions majeures. D’abord l’invention de l’élément IMG permet d’intégrer des images (dans un premier temps, uniquement aux formats GIF et XBM) aux pages web (Mosaic 0.10). Ensuite l’invention des formulaires (Mosaic 2.0pre5) rend le web interactif en permettant aux visiteurs de saisir des données dans les pages et de les envoyer au serveur web. Cette invention permet notamment de passer des commandes, donc d’utiliser le web pour faire du commerce électronique.1994 : Apports de Netscape Navigator[modifier | modifier le code]Avec l’apparition de Netscape Navigator 0.9 le 13 octobre 1994, le support de nombreux éléments de présentation est ajouté : attributs de texte, clignotement, centrage, etc. Le développement de HTML prend alors deux voies divergentes. D’une part, les développeurs de navigateurs s’attachent à maximiser l’impact visuel des pages web en réponse aux demandes des utilisateurs7. D’autre part, les concepteurs du web proposent d’étendre les capacités de description sémantique (logos, notes de bas de page, etc.) et les domaines d’applications (formules mathématiques, tables) de HTML. En ceci, ils suivent les principes de SGML consistant à laisser la présentation à un langage de style. En l’occurrence, les feuilles de style en cascade (CSS) sont prévues pour HTML. Seul le support des tables est rapidement intégré aux navigateurs, notamment parce qu’il permet une très nette amélioration de la présentation. Outre la multiplication des éléments de présentation, les logiciels d’alors produisant et consommant du HTML conçoivent souvent les documents comme une suite de commandes de formatage plutôt que comme un marquage représentant la structure en arbre aujourd’hui appelée Document Object Model (DOM). Le manque de structure du HTML alors mis en œuvre est parfois dénoncé comme étant de la « soupe de balises », en anglais : tag soup.1995-1996 : HTML 2.0[modifier | modifier le code]En mars 1995, le World Wide Web Consortium (W3C) nouvellement fondé propose le résultat de ses recherches sur HTML+ : le brouillon HTML 3.0. Il comprend notamment le support des tables, des figures et des expressions mathématiques. Ce brouillon expire le 28 septembre 1995 sans donner de suites directes. Fin 1995, le RFC 1866 décrivant HTML 2.0 est finalisé. Le principal éditeur est Dan Connolly. Ce document décrit HTML tel qu’il existait avant juin 1994, donc sans les nombreuses additions de Netscape Navigator.1997 : HTML 3.2. et 4.0[modifier | modifier le code]Le 14 janvier 1997, le W3C publie la spécification HTML 3.2. Elle décrit la pratique courante observée début 19968, donc avec une partie des additions de Netscape Navigator et d’Internet Explorer. Ses plus importantes nouveautés sont la standardisation des tables et de nombreux éléments de présentation. HTML 3.2 précède de peu HTML 4.0 et contient des éléments en prévision du support des styles et des scripts. Le 18 décembre 1997, le W3C publie la spécification HTML 4.0 qui standardise de nombreuses extensions supportant les styles et les scripts, les cadres (frames) et les objets (inclusion généralisée de contenu). HTML 4.0 apporte également différentes améliorations pour l’accessibilité des contenus9 dont principalement la possibilité d’une séparation plus explicite entre structure et présentation du document, ou le support d’informations supplémentaires sur certains contenus complexes tels que les formulaires, les tableaux ou les sigles. HTML 4.0 introduit trois variantes du format, destinées à favoriser l’évolution vers un balisage plus signifiant, tout en tenant compte des limites temporaires des outils de production :la variante stricte (strict) exclut des éléments et attributs dits « de présentation », destinés à être remplacés par les styles CSS, ainsi que les éléments applet et frame qui sont remplacés par l’élément object réputé plus apte à l’interopérabilité et à l’accessibilité.la variante transitoire (transitional) étend la variante stricte en reprenant les éléments et attributs dépréciés de HTML 3.2, dont les éléments de présentation sont couramment utilisés par les éditeurs HTML de l’époque.la variante frameset normalise la technique des jeux de cadres composant une ressource unique à partir de plusieurs pages web assemblées par le navigateur.Ces variantes perdurent par la suite sans modifications notables en HTML 4.01 et dans le format de transition XHTML 1.0 issu de HTML. La dernière spécification de HTML est la 4.01 datant du 24 décembre 1999. Elle n’apporte que des corrections mineures à la version 4.0.La version 4 de HTML décrit 91 éléments. En suivant la spécification de HTML 4, les fonctionnalités implémentées par HTML peuvent être réparties ainsi :Structure générale d’un document HTML32
Au plus haut niveau, un document HTML est séparé entre un en-tête et un corps. L’en-tête contient les informations sur le document, notamment son titre et éventuellement des métadonnées. Le corps contient ce qui est affiché.HTML différencie des listes non ordonnées et des listes ordonnées, selon que l’ordre formel du contenu dans le code est en soi ou non une information. Des listes de définition existent également, mais sans que leur champ d’application ne soit exactement déterminé.La fonctionnalité première de HTML.
Inclusion d’images, d’applets et d’objets divers38
À l’origine HTML permettait seulement de donner des hyperliens sur les médias externes. L’invention d’éléments spécialisés pour le multimédia a permis l’inclusion automatique d’image, de musique, de vidéo, etc. dans les pages web.
Éléments de regroupement39 Ne conférant pas de signification au contenu qu’ils balisent, ces éléments génériques permettent d’appliquer des styles de présentation, de réaliser des traitements via des scripts ou tout autre opération nécessitant d’isoler une partie du contenu.
Style de la présentation40 Chaque élément, voire tout le document, peut se voir appliquer des styles. Les styles sont définis dans le document ou proviennent de feuilles de style en cascade (CSS) externes.Marquage de présentation du texte41
Développé avant la généralisation de CSS pour fournir rapidement des fonctionnalités aux graphistes. D’usage désormais officiellement déconseillé pour la plus grande partie.Cadres42 Aussi connu sous le nom de frames

[C]hibi [C]hibi
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:15:49

Écologie et comportement[modifier | modifier le code]
Les Grands Pingouins marchaient lentement, s'aidant parfois de leurs ailes pour avancer dans des terrains rocheux14. Quand ils couraient, ils étaient maladroits et faisaient de petits pas en ligne droite17. Ils avaient peu de prédateurs naturels, principalement de gros mammifères marins comme les orques, ou bien les pygargues à queue blanche17. Les ours polaires s'attaquaient parfois aux colonies de pingouins au moment de la ponte24. L'espèce n'avait pas une peur innée de l'homme, et comme le pingouin ne pouvait pas voler et qu'il était plutôt maladroit sur terre, il était particulièrement vulnérable. Ils furent massacrés pour leur chair et leurs plumes, puis plus tard pour fournir des spécimens aux musées et collections privées25. Les Grands Pingouins étaient surtout réactifs au bruit, mais étaient rarement effrayés par la vue de quelque chose26. Les pingouins utilisaient leur bec crochu pour se défendre lorsqu'ils étaient menacés17. On pense que ces oiseaux pouvaient vivre jusqu'à 20 ou 25 ans27. Durant l'hiver, le Grand Pingouin migrait plus au sud en couples ou en petits groupes, mais jamais en colonies telles que celles qui se regroupaient pour nicher28.
Le Grand Pingouin était généralement un excellent nageur, utilisant ses ailes pour se propulser sous l'eau14. Lorsqu'il nageait, il relevait la tête tout en orientant son cou vers le bas17. Cette espèce était beaucoup plus habile sous l'eau que sur terre, et pouvait réaliser diverses manœuvres en nageant28. Le Grand Pingouin était capable de plonger à des profondeurs pouvant atteindre au moins 76 m29, bien que les plongeons atteignaient plus communément 50 m de profondeur. Toutefois, afin de dépenser moins d'énergie, la plupart des plongées étaient moins profondes30. Il pouvait également retenir sa respiration durant 15 minutes, soit plus longtemps qu'un phoque28. Le Grand Pingouin était capable de nager rapidement pour prendre de la vitesse, puis surgir hors de l'eau pour accoster sur la rive28.
Alimentation[modifier | modifier le code]
Un Grand Pingouin adulte tenant sa tête en arrière, avalant un poisson dans son bec ouvert.

Grand Pingouin mangeant un poisson, par John Gould.
Cet oiseau se nourrissait principalement dans les eaux plus profondes que celles fréquentées par les autres Alcidae30, bien qu'après la période de reproduction, on pouvait les apercevoir à 500 km des terres30. On pense qu'il chassait en groupe, pour être plus efficace30. Leurs proies étaient surtout des poissons de 12 à 20 cm de long, pesant entre 40 et 50 g, et ils pouvaient parfois capturer des poissons mesurant jusqu'à la moitié de leur propre taille.
Sa capacité à plonger à de grandes profondeurs réduisait la compétition avec les autres espèces d'Alcidae. D'après des études basées sur les restes associés aux os de Grand Pingouin sur l'île Funk et sur des appréciations morphologiques et écologiques, il semblerait que le menhaden de l'Atlantique et le capelan aient été ses proies favorites31. Le lompe, le chaboisseau à épines courtes, la morue, certains crustacés et les Ammodytidae ont également pu entrer dans son alimentation29,30. Les jeunes se nourrissaient de plancton, et peut-être aussi de crustacés et de poissons régurgités par les adultes20,27.
Reproduction[modifier | modifier le code]
Grand œuf en forme de poire, de couleur blanche avec des petites taches brunes plus denses du côté le plus large.

Œuf, représenté par Adolphe Millot.
Les Grands Pingouins commençaient à former des couples dans la première moitié du mois de mai32. On pense que ces couples étaient formés pour la vie, bien que d'autres théories suggèrent que les Grands Pingouins auraient pu se reproduire en dehors des couples formés initialement, comme c'est le cas chez le Petit Pingouin17,27. Une fois le couple formé, ils nichaient à la base de rochers, au sein d'importantes colonies7,17. Avant la reproduction, les couples pratiquait une parade nuptiale, balançant la tête et montrant leur tache blanche et leur bouche jaune17. Les colonies étaient particulièrement denses : on estime la concentration à 1 nid par m² de terrain17. Des relations sociales se mettaient en place au sein des colonies17. Quand d'autres espèces d'Alcidae se mêlaient à de telles colonies, les Grands Pingouins prenaient l'ascendant du fait de leur taille17.
Plusieurs pingouins debout avec leurs petits sur une plage rocheuse, avec l'océan en fond et des falaises sur la droite.

Site de nidification avec œufs et oisillons, par John Gerrard Keulemans.
Le Grand Pingouin pondait seulement un œuf par an entre fin mai et début juin, mais pouvait pondre un œuf supplémentaire si le premier était perdu28,32. Les années où la nourriture manquait, le Grand Pingouin ne se reproduisait pas33. L'espèce pondait son unique œuf, dont le poids atteignait 400 grammes34, sur le sol nu à environ 100 m de la rive14,35. L'œuf avait une forme de poire et mesurait en moyenne 12,4 cm de long pour 7,6 cm au point le plus large36,24. L'œuf était blanc jaunâtre à ocre clair avec différents motifs de points et de lignes noires, marrons ou grises14,37. On pense que ces différences permettaient aux parents de reconnaître leurs œufs au sein de la colonie32. Le mâle et la femelle couvaient chacun leur tour l'œuf en position verticale pendant les 39 à 44 jours d'incubation jusqu'à ce qu'il éclose, généralement en juin, bien que l'on puisse encore trouver des œufs dans la colonie au mois d'août 24,32.
Les parents soignaient également les jeunes à tour de rôle. À la naissance, l'oisillon était couvert d'un duvet gris27. Il lui fallait seulement deux ou trois semaines pour atteindre la maturité suffisante pour quitter le nid et aller dans l'eau, généralement vers le milieu du mois de juillet24,32. Les parents continuaient à s'occuper des petits une fois que ceux-ci avaient quitté le nid, et il a parfois été vu des adultes nageant avec leur petit sur le dos32. Les Grands Pingouins atteignaient la maturité sexuelle à partir de l'âge de 4 à 7 ans33.

Nico06130 Nico06130
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:16:34

L’anoxybiose survient en réponse à un manque d’oxygène. Les tardigrades y sont très sensibles. Une asphyxie prolongée entraîne une panne du système d’osmorégulation, qui contrôle la quantité d’eau interne. Le tardigrade se met alors à gonfler comme un bonhomme Michelin et à flotter dans son environnement. Dans cet état, il survit au manque d’oxygène, pour des raisons encore à élucider. Cela dure quelques jours, jusqu’à ce que le taux d’oxygène redevienne normal et qu’il puisse reprendre sa vie active.

La cryptobiose est un état réversible au cours duquel l’activité métabolique est suspendue. Dans cet état, le tardigrade résiste à presque tout ; les spécimens soumis à des conditions environnementales extrêmes avaient d’ailleurs au préalable été placés en état de cryptobiose.

Cet état se décline en plusieurs formes, survenant lors de diverses agressions environnementales. L’une de ces formes est l’anhydrobiose – terme signifiant « la vie sans eau ». Elle apparaît en réponse à l’assèchement des poches d’eau interstitielle où vit le tardigrade. L’animal se déshydrate alors – très lentement, sinon il ne survit pas –, perdant jusqu’à 97 pour cent de son eau. En conséquence, il se ratatine et sa taille se réduit au tiers de ce qu’elle était auparavant. Il rentre ses pattes et sa tête et se met en boule, réduisant ainsi la surface exposée : il prend la forme d’un tonnelet. Lorsqu’il a perdu la quasi-totalité de son eau, son métabolisme s’arrête.

L’anhydrobiose est un état ordinaire qu’un tardigrade peut connaître de nombreuses fois par an. Réhydraté par la rosée, la pluie ou la neige fondante, il se transforme et reprend sa vie active en quelques minutes à quelques heures.

La cryobiose est un autre exemple de cryptobiose : comme lors de l’anhydrobiose, l’animal se déshydrate et se transforme provisoirement en tonnelet, mais cette fois pour survivre à des froids intenses.

Toute température inférieure au point de congélation du cytoplasme des cellules suspend la mobilité moléculaire, et donc le métabolisme. On s’attendrait à ce que des températures aussi basses entraînent aussi des dégâts structurels. Mais les tardigrades, nous l’avons vu, endurent les froids les plus intenses. Cela pourrait être dû à la synthèse d’agents protecteurs, comme on en trouve chez les insectes : ces molécules abaisseraient la température de congélation des tissus et ralentiraient le processus, ménageant ainsi une période de transition qui permettrait de passer à l’état de cryobiose. Le tardigrade finit par geler, mais ces agents modulent peut-être aussi la formation de la glace, empêchant la formation de gros cristaux qui risqueraient de déchirer les tissus. D’autres hypothèses suggèrent que l’animal présente une structure cellulaire particulière, qui lui permet de résister à la glace.

Autre forme de cryptobiose, l’osmobiose : c’est la réaction à un degré extrême de salinité, qui peut entraîner un gonflement fatal. Certains tardigrades supportent cette salinité, mais d’autres ne peuvent y résister qu’en formant un tonnelet imperméable aux sels.

En 2007, le tardigrade est devenu le premier animal pluricellulaire ayant survécu dans l’espace. En effet, des spécimens ont été embarqués sur la capsule russe foton-m3, dans le cadre de l’expérience européenne biopan 6. Pendant que la capsule était en orbite à 260 kilomètres de la Terre, les chercheurs ont déclenché l’ouverture de boîtiers contenant des tardigrades en état d’anhydrobiose, afin de les exposer directement au rayonnement solaire et au vide spatial. De retour sur Terre, les tonnelets ont été réhydratés. Quelques animaux se sont alors mis à bouger, à manger, à grossir, à muer et à se reproduire : ils avaient survécu.

Au cours de l’été 2011, dans le cadre du projet biokis, parrainé par l’Agence spatiale italienne, des tardigrades ont été embarqués à bord de la navette spatiale américaine Endeavour et ont été exposés à des rayonnemens ionisants. Les résultats sont en cours d’analyse.

Préserver l’adn

Les puissants rayonnements de l’espace devraient endommager irrémédiablement l’adn, pourtant certains tardigrades y survivent. Comment ? Une possibilité serait l’existence d’un système de réparation de l’adn très efficace, ou tout au moins particulièrement résistant, qui se déclencherait lorsque l’animal revient à un stade actif : ainsi, la bactérie Deinococcus radiodurans possède des protéines qui supportent de puissantes radiations et réparent ensuite l’adn, très endommagé par ces dernières. Selon Daiki Horikawa, de l’inserm, la résistance des tardigrades viendrait plutôt d’un système qui protège l’adn et empêche sa destruction.

En outre, la résistance active de certaines espèces aux fortes salinités suppose un métabolisme vigoureux : l’animal maintient une salinité acceptable dans son milieu interne en pompant des ions vers l’extérieur, ce qui requiert une dépense d’énergie faramineuse. Ainsi, les tardigrades semblent apporter deux types de réponse aux conditions environnementales extrêmes : la réponse passive qu’est l’état de dormance ou de cryptobiose, et l’hyperréactivité du processus de réparation de l’adn – qui reste à prouver – et de l’osmorégulation. En matière de stratégie d’adaptation évolutive, les tardigrades sont des virtuoses.

Grâce à leurs capacités de survie, ces animaux minuscules ont conquis la quasi-totalité de la planète : de l’Arctique à l’équateur, des zones intertidales (la partie du littoral alternativement couverte et découverte par la marée) jusqu’aux profondeurs des océans... On en a même découvert au sommet des grands arbres, où ils ont probablement été apportés par le vent. À l’état de tonnelets, on les distingue à peine des particules de poussière.

Comme les spores, le pollen et les graines, les tonnelets risquent d’atterrir dans des microenvironnements qui ne leur conviennent pas. Toutefois, quand ils échouent dans un lieu peu favorable, ils n’ont qu’à attendre un changement de saison ou quelques précipitations : dès que les conditions climatiques sont plus clémentes, la vie peut reprendre son cours.

Si les tardigrades de mousses, de lichens ou d’humus sont de grands voyageurs, c’est aussi parce que nombre d’entre eux sont parthénogénétiques, c’est-à-dire qu’ils peuvent se reproduire sans fécondation – ils produisent directement des œufs. Quelques-uns sont hermaphrodites – ils fabriquent à la fois des gamètes mâles et femelles, et sont capables de s’autoféconder. Un tardigrade isolé est alors en mesure de fonder une population là où il atterrit.

À ce jour, environ 1 100 espèces de tardigrades ont été décrites, mais toutes ne sont pas valables. Il existe des doublons ou des erreurs d’interprétation. En réalité, un millier d’espèces ont été correctement décrites et identifiées. Elles se répartissent en 300 formes marines, 100 d’eau douce et 600 espèces terrestres. Ces dernières sont plus faciles à repérer et suscitent l’intérêt de nombreux chercheurs depuis longtemps.

La recherche de nouvelles espèces est un domaine très actif. Mes étudiants en ont découvert et décrit quatre, et nous sommes en train de travailler à la confirmation d’une demi-douzaine d’autres. Nous sommes persuadés qu’il en reste un grand nombre à découvrir, notamment dans les milieux non terrestres.

Parfois, une découverte conduit à réviser la classification. C’est ce qui s’est produit en été 2010, dans le cadre de notre programme de Master, conçu pour enseigner la recherche en explorant l’embranchement des Tardigrades en Amérique du Nord. Rachel Schulte, une étudiante, examinait des échantillons collectés quelques années auparavant en Californie. Après une semaine de travail, elle m’apporta un spécimen. Il semblait appartenir à la famille des Echiniscidae et au genre Pseudechinsicus, mais quelques caractéristiques ne correspondaient pas : le tube buccal, par exemple, était souple et recourbé, alors qu’il aurait dû être rigide ; en outre, la cuticule était divisée en un nombre inhabituellement élevé de plaques.

Nous avons alors consulté la littérature. L’animal ressemblait à une espèce nommée Pseudechiniscus raneyi, découverte dans les années 1960. Elle avait été rangée parmi les Pseudechiniscae en se fondant sur la description de ce genre, établie en 1911 par Gustav Thulin. Mais en 1987, Reinhardt Kristensen, de l’Université de Copenhague, au Danemark, a redéfini la famille des Echiniscidae, en y ajoutant des genres ainsi qu’en corrigeant et en détaillant la description des genres existants. Or notre tardigrade ne correspondait plus au genre Pseudechinsicus – et ne ressemblait pas non plus aux nouveaux genres. R. Krinstensen n’avait probablement jamais vu de spécimen de Pseudechiniscus raneyi, espèce assez rare, sinon il aurait remarqué cette divergence.

Nous avons alors proposé un nouveau genre, nommé d’après l’un des traits caractéristiques les plus marquants de notre spécimen : la présence de nombreuses plaques cuticulaires. Nous ne pouvions pas changer le nom de l’espèce (le second terme dans le binôme latin), car nous n’en étions pas les découvreurs. Notre tardigrade serait donc un Multipseudechiniscus raneyi. L’article qui rend compte de nos travaux est en cours d’examen par une revue scientifique.

Les tardigrades ont donc encore beaucoup à nous apprendre. Outre leur exceptionnelle résistance, leur diversité reste un sujet d’étude et d’étonnement...

yas760 yas760
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:16:42

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