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Sujet : Si 3 modos postent je lis les 10 premièr

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Poliakonche Poliakonche
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:16:46

Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain français, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé , considéré comme l’un des plus important écrivain romantique de langue française. Sa vie et son œuvre ont fait de lui un personnage emblématique que la 3ème république a honoré à sa mort le 22 mai 1885 par des funérailles nationales qui ont accompagné le transfert de sa dépouille au Panthéon le 31 mai 1885.

En résumé :

Fils d’un général d’Empire souvent absent, Victor Hugo est surtout élevé par sa mère. Alors qu’il est encore élève au lycée Louis Le Grand, il se fait connaître en publiant son 1ere recueil de poèmes : « Odes » et obtient, pour celui-ci, une pension de Louis XVIII. Chef de fil d’un groupe de jeunes écrivains, il publie en 1827 sa 1ère pièce de théâtre en vers : « Cromwell », puis « Orientales » et « Hernani ». Il s’impose comme porte- parole du romantisme aux côtés de Gérard de Nerval et de Gautier. En 1831 il publie son 1er roman historique : « Notre Dame de Paris » et en 1838 son chef d’œuvre romantique : « Ruy Blas ». En 1841 il est élu à l’Académie française. En 1843, la mort de faille Léopoldine le déchire et le pousse à réviser son action. Il entame une carrière politique. Elu à l’assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l’entoure : la peine de mort, la misère, l’ordre moral et religieux. C’est en 1862 qu’Hugo termine « Les Misérables », immense succès populaire à l’époque. Fervent opposant au coup d’état du 2 décembre 1851, il doit prendre le chemin de l’exil jusqu’en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit « Les Châtiments » et « Les contemplations ». De retour en France, à plus de 60 ans, il entame la rédaction de : « La Légende des Siècles ». Poète romantique, dramaturge en rupture avec les codes classiques et auteur de romans mythiques, Victor Hugo a connu la gloire populaire et la reconnaissance de ses pairs.

Le poète :
Victor Hugo occupe une très grande place dans l’histoire des lettres françaises. Il est à la fois poète lyrique avec des recueils comme « Odes et Ballades » (1826) , « Les feuilles d’automne » (1832) ou encore « Les Contemplations » (1856), célèbres pour l’évocation de sa fille morte : Léopoldine. Il est aussi un poète engagé contre Napoléon III dans « Les Châtiments » (1853) ou poète épique avec «La Légende des Siècles (1859 et 1877)

Le romancier :
En tant que romancier, il connaît également un grand succès populaire avec « Notre Dame de Paris (1831) ou encore avec « Les Misérables » (1862). Hugo établit une théorie du drame romantique qu’il développe dans sa préface de « Cromwell » en 1827 et qu’il illustre principalement avec « Hernani » en 1830 et avec « Ruy Blas » en 1838.

L’Auteur engagé et l’homme politique :
Son œuvre multiple comprend également des discours politiques à la Chambre des pairs, notamment sur la peine de mort, l’école ou l’Europe, des récits de voyages ,(Le Rhin, 1842 ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance abondante. Ses multiples prises de position le condamneront à l’exil durant vingt ans.

Un homme moderne et novateur:
V. Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre ; il a été admiré par ses contemporains et l’est encore, mais il a été aussi contesté par certains auteurs modernes pour ses surabondances présentes dans ses textes. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l’engagement de l’écrivain dans la vie politique et sociale, grâce a ses multiples prises de position qui le condamneront à l’exil pendant les vingt ans de Second Empire.

Enjoy :hap: :hap: :hap: :hap:

Vykt0R41 Vykt0R41
MP
Niveau 53
26 juillet 2014 à 18:17:25

Comment il va en chier :hap:

Pom pom pom... :hap:

Nico06130 Nico06130
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:17:54

Dédicace a Nico06130

0pseudo 0pseudo
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:17:56

Révélateurs.
- Bases chimiques - Compositions -

De prime abord, le mot "chimie" semblerait uniquement reservé à ces ingénieurs enfermés dans leur laboratoire, entre pipettes graduées et éprouvettes, manipulant d'inombrables substances et formules aussi mystérieuses que sans interet pour nous, ignorants en la matière, juste emerveillés par la magie de l'image photographique apparaissant dans ces différents bains dont la compositions nous est totalement inconnue.

Pourtant, l'acte de plonger un film ou une feuille de papier photo dans ces liquides, se trouve être déjà un interêt pour la chimie, le même qu'ont ces ingénieurs en blouse blanche avec une certaine sensibilité émotionnelle en plus.

Pour moi-même, la chimie en général, reste quelque chose de tout à fait abstrait et que seules plusieurs années d'études permettent d'en saisir le language codé...

En Photographie argentique, traditionnelle, artisanale, le réèl plaisir se trouve dans ce lien qui peut exister entre notre esprit nourri d'émotions, de souvenirs et la matière qui fait notre vie de tous les jours.
En effet, satisfaire notre besoin d'émotion, d'éxpression personnelle par une manipulation de matière simple, nous ramène à quelque chose d'authentique dont les outils de la technologie moderne nous privent de plus en plus tant ils nous assistent.
De ce fait, le laboratoire photographique en noir et blanc dégage et continuera de dégager pour longtemps encore, cette image de "temple de la magie" lorsque nous nous trouvons devant ces fioles, ces papiers, dans cette atmosphère particulière de ce local où l'émotion naît d'un jeu subtil entre nous-même, la lumière et la manipulation de substances étranges.

Aux origines de la Photographie, les révélateurs, ces liquides qui rendent visible l'image latente, étaient seulement constitués d'une ou deux substances chimiques très lentes ou très rapides. Les balbutiements en la matière rendaient l'étape de la révélation souvent laborieuse et difficile à maitriser...

En quelques années, de nouvelles formules vont voir le jour et offrir ainsi même en doses prêtes à l'emploi, les révélateurs modernes que nous connaissons encore aujourd'hui, à base de substances très diverses.

Bon nombre d'ouvrage sur la chimie photographique éxistent. Ils sont souvent longs et assez compliqués mais fort interessants. Je propose ici d'étudier en détail mais simplement, les composants essentiels et les plus souvents utilisés dans nos révélateurs modernes, leur rôle et le résultat obtenu suivant leur combinaison, leur dosage. Ainsi, il devient plus aisé de comprendre le processus du développement, ce qui se passe sur notre film enfermé dans la cuve étanche, durant ces quelques minutes souvent angoissantes.

Le traitement complet d'un négatif se compose de deux phases capitales qui sont dans un premier temps la révélation de l'image latente enregistrée sur le film, et dans un deuxième temps, le fixage dont le rôle est de débarasser le négatif des sels argentiques n'ayant pas servit à la constitution de cette image métalique. Je ne vais pas entrer ici dans les détails de ces étapes du développement.

La révélation de ce négatif est donc l'étape la plus importante du développement car c'est elle qui donne littéralement matérialisation à l'image négative, source de notre future épreuve papier. (Un mauvais tirage est souvent le résultat d'un négatif mal développé.)

Nos révélateurs d'aujourd'hui renferment PRESQUE tous les même bases chimiques. La seule différence réside dans le dosage de ces éléments, ayant chacun un rôle bien précis dans l'obtention d'un négatif plus ou moins contrasté, plus ou moins fin, etc...

Dark_Lambda Dark_Lambda
MP
Niveau 8
26 juillet 2014 à 18:18:36

Suite a ces pavés, j'en profite pour annoncer mon homosexualité.

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kalimo456 kalimo456
MP
Niveau 5
26 juillet 2014 à 18:18:46

Cette généalogie ne présente que les certitudes. Pour les hypothèses concernant les origines de la dynastie, voir l'article Robertiens.

Ne sont mentionnés dans cette généalogie que les Capétiens légitimes, c’est-à-dire les enfants nés d’un mariage reconnu par l’Église. Les descendants illégitimes des différents princes capétiens, ainsi que les branches dont ils sont les auteurs, peuvent être retrouvés dans les généalogies par branche.

Liste des branches :

les Valois
rameau d'Orléans
rameau d'Angoulême
rameau d'Anjou
rameau de Berry
rameau de Bourgogne-Valois
rameau de Bourgogne-Brabant
rameau de Bourgogne-Nevers
rameau d'Alençon
les Évreux-Navarre
les Bourbons
rameau des comtes de Montpensier
rameau des comtes de la Marche
rameau des comtes de Vendôme
dynastie de Bourbon
rameau des rois d'Espagne
rameau des rois des Deux-Siciles
rameau des ducs de Parme
rameau d'Orléans
rameau des princes de Condé
rameau des ducs de Montpensier
rameau des seigneurs de Carency
les Artois
les Anjou-Sicile
rameau d'Anjou-Hongrie
rameau d'Anjou-Naples
rameau d'Anjou-Tarente
rameau d'Anjou-Durazzo
les Dreux
rameau de Beu
rameau de Bossart
rameau de Bretagne
rameau de Machecoul
les Courtenay
rameau de Champigneules
rameau de la Ferté Loupière
rameau d'Autry
rameau de Tanlay
les Vermandois
les Bourgogne
rameau de Montagu
rameau du Dauphiné
rameau du Portugal
Arbre généalogique[modifier | modifier le code]
Lambert (Landbertus)


├─>Landrada
│ X Sigramn
│ │
│ ├─>Saint Chrodegand
│ │
│ └─>Ne
│ │
│ └─>Ingramn
│ │
│ └─>Ermengarde (778 † 818)
│ X Louis le Pieux

└─>Robert Ier, comte de Hesbaye et peut-être de Worms, mort avant 764.

├─>Cancor, comte

└─>Thurimbert (v.740,†ap. 770), comte de Hesbaye.

└─>Robert II, comte de Hesbaye.

└─>Robert III († 834), comte de Worms et d'Oberrheingau.
X Waldrade, sœur d'Eudes d'Orléans

├─>Robert le Fort († 866), marquis de Neustrie.
│ │
│ ├─>Eudes, comte de Paris, puis roi des Francs († 898)
│ │ X Théodrade
│ │ │
│ │ └──> Guy
│ │
│ └─>Robert Ier, marquis de Neustrie puis roi des Francs († 923)
│ X 1) Ne
│ X 2) Béatrice de Vermandois
│ │
│ ├1>Adèle
│ │ X Herbert II de Vermandois
│ │
│ ├2>Emma (894 † 934)
│ │ X Raoul de Bourgogne, duc de Bourgogne, roi des Francs
│ │
│ └2>Hugues le Grand (898 † 956), duc des Francs
│ X 1) Ne du Maine
│ X 2) Eadhild de Wessex
│ X 3) Hedwige de Saxe
│ │
│ ├3>Béatrice
│ │ X Frédéric Ier de Lorraine
│ │
│ ├3>Hugues Capet (941-996), roi des Francs
│ │ x Adélaïde d'Aquitaine
│ │ │
│ │ ├─>Hedwige (969-ap.1013)
│ │ │ x 1) Regnier IV de Hainaut
│ │ │ x 2) Hugues III comte de Dasbourg
│ │ │
│ │ ├─>Gisèle de France (970-1000)
│ │ │ x Hugues Ier, comte de Ponthieu
│ │ │
│ │ ├─>Robert II de France (972-1031), roi des Francs
│ │ │ x 1) Rozala d'Italie
│ │ │ x 2) Berthe de Bourgogne
│ │ │ x 3) Constance d'Arles
│ │ │ │
│ │ │ ├2>un enfant mort-né (999-999)
│ │ │ │
│ │ │ ├3>Alix de France (1003-ap. 1063)
│ │ │ │ x Renaud Ier de Nevers
│ │ │ │
│ │ │ ├3>Hugues II (1007-1026), roi des Francs associé
│ │ │ │
│ │ │ ├─>Henri Ier de France (1008-1060), roi des Francs
│ │ │ │ x Anne de Kiev
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Philippe Ier de France (1052-1108), roi des Francs
│ │ │ │ │ x 1) Berthe de Hollande
│ │ │ │ │ x 2) Bertrade de Montfort
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ ├1>Constance de France (1078-1125)
│ │ │ │ │ │ x 1) Hugues Ier de Champagne, puis de Bohémond Ier d'Antioche
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ ├1>Louis VI de France (1081-1137)
│ │ │ │ │ │ x Adèle de Savoie (v. 1100-1154)
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ ├─>Philippe (1116-1131), roi de France associé
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ ├─>Louis VII de France (1120-1180)
│ │ │ │ │ │ │ x 1) Aliénor d'Aquitaine
│ │ │ │ │ │ │ x 2) Constance de Castille
│ │ │ │ │ │ │ x 3) Adèle de Champagne
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├1>Marie (1145-1198)
│ │ │ │ │ │ │ │ x Henri Ier de Champagne
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├1>Alix (1150-1195)
│ │ │ │ │ │ │ │ x Thibaut V de Blois
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├2>Marguerite (1158-1197)
│ │ │ │ │ │ │ │ x 1) Henri Court-Mantel d'Angleterre
│ │ │ │ │ │ │ │ x 2) Béla III de Hongrie
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├2>Adèle (1160-1221)
│ │ │ │ │ │ │ │ x Guillaume II de Ponthieu
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├3>Philippe II de France (1165-1223)
│ │ │ │ │ │ │ │ x 1) Isabelle de Hainaut
│ │ │ │ │ │ │ │ x 2) Ingeburge de Danemark
│ │ │ │ │ │ │ │ x 3) Agnès de Méranie

Newsma Newsma
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:19:02

টকুযাওয়ার সময়ে বিস্তৃর্ণ বাগান তৈরি বিশেষ গুরুত্ব পায়। ধনীদের অবসরে বিনোদনের মাধ্যম হয়ে ওঠে আজালিয়া এবং ম্যাপলের মত গাছ পালন করা। বামনকৃত গাছ পাত্রে পালন করাও জনপ্রিয় ছিল। মোটামুটি ১৮০০ সালের দিকে জাপানীরা তুলনামূলকভাবে কম গভীর পাত্রে ক্ষুদ্র গাছ পরিচর্যা করার সাথে সাথে চৈনিক ‘পেনজাই’ শব্দের উচ্চারণ পরিবর্তন করে ফেলে।

টকিয়োর রাজশিক প্রাসাদে থাকা অনেক পুরানো জীবিত একটি বনশাইকে জাপানের জাতীয় সম্পদ হিসেবে বিবেচনা করা হয়।

বনসাই এর উপ

komt1souciant komt1souciant
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:19:21

Solubilité aqueuse[modifier | modifier le code]Le CO2 se dissout dans l’eau et y forme de l’acide carbonique H2CO3 :CO2 (aq) + H2O(l) \begin{smallmatrix}\rightleftharpoons\end{smallmat
rix}
H2CO3 (aq), avec Kh = [H2CO3] / [CO2] ≈ 1,70×10-3 à 25 °C.Il est également liposoluble.L’acide carbonique n’est que modérément stable et il se décompose facilement en H2O et CO2. En revanche, lorsque le dioxyde de carbone se dissout dans une solution aqueuse basique (soude, potasse…), la base déprotone l’acide carbonique pour former un ion hydrogénocarbonate (HCO3–), aussi appelé ion bicarbonate, puis un ion carbonate (CO32–). De cette façon, la solubilité du CO2 est considérablement augmentée.Par exemple, une solution aqueuse saturée de carbonate de potassium (K2CO3) a une concentration de 112 % (en masse) en carbonate à 20 °C.C'est ainsi que le calcaire se dissout dans l'eau, dans la plage de pH dans laquelle l'hydrogénocarbonate acide est stable, en produisant une solution d'hydrogénocarbonate(s) (de calcium et de magnésium…). Il est donc susceptible de précipiter lorsque le CO2 dissous est dégazé, comme dans la formation des stalagmites et des stalactites. Ainsi, en présence de CO2, le calcaire a une solubilité suivant celle des gaz (qui diminue avec la température) et non de celle des solides (qui augmente avec la température).Dans certaines conditions (haute pression + basse température) le CO2 peut être piégé dans des cages d'eau dites clathrates27,28,29. C'est un des moyens possibles de séparation industrielle du CO2 contenu dans un gaz30 en pré- ou post-combustion31. C'est aussi un des moyens envisagés de séquestration de CO2 industrielle32 ou de stockage géologique étudié, éventuellement corrélativement à la dessalinisation d'eau de mer33,34 (il peut théoriquement même être substitué au Méthane d'hydrate de méthane)35. Une thèse a porté sur la mesure et modélisation des conditions de dissociation d’hydrates de gaz stabilisés en vue de l’application au captage du CO2 36.Le dioxyde de carbone n'est normalement présent dans l'atmosphère terrestre qu'à l'état de traces. Il est mesuré via un indice, nommé "Annual Greenhouse Gas Index" (AGGI) depuis 1979 par un réseau d'une centaine de stations sur terre et en mer, disposées de l'Arctique au pôle Sud.Depuis la révolution industrielle, en raison de la combustion constante de très grandes quantité de carbone fossile, alors que la régression des incendies, des forêts et des superficies végétalisées se poursuit, le taux de CO2 dans l'air augmente régulièrement (actuellement : 395 parties par million (ppm) en volume ou 591 ppm en masse48. Ceci correspond à une masse totale de CO2 atmosphérique d'environ 3,16×1015 kg (environ 3 000 gigatonnes). L'année 1990 (qui correspond à un surplus d'environ 2,1 watts/m² par rapport à 1980) est l'année de référence retenue pour le protocole de Kyoto (elle a donc un « indice AGGI » de 1)49,50. Un groupe de recherche spécifique sur le cycle du carbone et les gaz a effet de serre a été mis en place 51À un instant « t », la teneur en CO2 diffère dans chaque hémisphère, avec dans chaque hémisphère des variations saisonnière régulières (cf motif « en dents de scie » sur le graphique de droite, montrant une baisse du CO2 en saison de végétation et une augmentation en hiver). Il existe aussi des variations régionales en particulier au niveau de la couche limite atmosphérique, c'est-à-dire dans les couches proches du sol.Les taux de CO2 sont généralement plus élevés dans les zones urbaines et dans les habitations (jusqu'à 10 fois le niveau de fond).Peu après la formation de la terre (bien avant l'apparition de la vie), alors que le soleil était presque deux fois moins « chaud », la pression initiale de CO2 était environ 100 000 fois plus élevée qu'aujourd’hui (30 à 60 atmosphères de CO2 (soit 3 000 000 à 6 000 000 pascals), soit 100 000 fois la quantité actuelle de CO2 il y a environ 4,5 milliards d'années)52.Puis la vie et la photosynthèse sont apparues, prélevant le CO2 de l'atmosphère et de l'eau pour le transformer en roches carbonatées et en charbon, pétrole et gaz naturel, en grande partie enfouis dans les profondeurs de la terre52. Le taux de CO2 a néanmoins encore connu quelques pics de bien moindre importance (20 fois plus élevée qu'aujourd'hui il y a environ un demi milliard d'années, mais le soleil était alors moins chaud qu'aujourd'hui (le rayonnement solaire croît avec le temps ; il a augmenté d'environ 40 % dans les 4 derniers milliards d'années)52. Le taux de CO2 a encore chuté de 4-5 fois durant le Jurassique, puis a diminué lentement, sauf, de manière accélérée durant un épisode géologiquement bref, dit « évènement Azolla » (il y a environ 49 millions d'années)53,54.Le volcanisme émet aussi du CO2 (jusqu'à 40 % des gaz émis par certains volcans lors des éruptions subaériennes sont du dioxyde de carbone55) et certaines sources chaudes en émettent aussi (par exemple sur le site italien de Bossoleto près de Rapolano Terme où dans une dépression en forme de cuvette d'environ 100 m de diamètre, par nuit calme, le taux de CO2 peut grimper de 75 % en quelques heures, assez pour tuer les insectes et petits animaux. Mais la masse de gaz se réchauffe rapidement quand le site est ensoleillé et est alors dispersée par les courants de convection de l'air durant la journée 56. Localement des concentrations élevées de CO2, produites par la perturbation de l'eau d'un lac profond saturé en CO2 peuvent aussi tuer (exemple : 37 morts lors d'une éruption de CO2 à partir du lac Monoun au Cameroun en 1984 et 1700 victimes autour du lac Nyos (Cameroun également) en 1986 57.Les émissions de CO2 par les activités humaines sont actuellement plus de 130 fois supérieures à la quantité émise par les volcans, d'un montant de près de 27 milliards de tonnes par an en 200758. En 2012, la Chine est le premier émetteur mondial de dioxyde de carbone avec 27 % du total, et les États-Unis, en deuxième position, produit 14 % du total mondial59.↑ a, b et c DIOXYDE DE CARBONE [archive], fiche de sécurité du Programme International sur la Sécurité des Substances Chimiques [archive], consultée le 9 mai 2009Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 » [archive], sur www.chem.qmul.ac.uk.a, b, c, d, e, f et g « Carbon dioxide » [archive], sur Hazardous Substances Data Bank (consulté le 8 mars 2010)Bernard M. é Busnot F. (1996). Usuel de chimie générale et minérale. Ed. Dunod, Paris, p.229.a, b et c (en) Robert H. Perry et Donald W. Green, Perry's Chemical Engineers' Handbook, USA, McGraw-Hill,‎ 1997, 7e éd., 2400 p. (ISBN 0-07-049841-5), p. 2-50↑ (en) W. M Haynes, Handbook of chemistry and physics, CRC,‎ 2010-2011, 91e éd., 2610 p. (ISBN 9781439820773), p. 14-40(en) Irvin Glassman, Richard A. Yetter, Combustion, Elsevier,‎ 2008, 4e éd., 773 p. (ISBN 978-0-12-088573-2), p. 6(en) Carl L. Yaws, Handbook of Thermodynamic Diagrams, vol. 1, 2 et 3, Huston, Texas, Gulf Pub. Co.,‎ 1996 (ISBN 0-88415-857-8, 978-0-88415-858-5 et 978-0-88415-859-2)(en) David R. Lide, Handbook of chemistry and physics, CRC,‎ 2008, 89e éd., 2736 p. (ISBN 978-1-4200-6679-1), p. 10-205a et b « Carbon Dioxide » [archive], sur www.reciprocalnet.org (consulté le 12 décembre 2009)
a, b et c Entrée du numéro CAS « 124-38-9 » dans la base de données de produits chimiques GESTIS de la IFA (organisme allemand responsable de la sécurité et de la santé au travail) (allemand, anglais), accès le 6 décembre 2008 (JavaScript nécessaire)« Dioxyde de carbone [archive] » dans la base de données de produits chimiques Reptox de la CSST (organisme québécois responsable de la sécurité et de la santé au travail), consulté le 25 avril 2009

alone-bg alone-bg
MP
Niveau 16
26 juillet 2014 à 18:19:28

Omg le pauvre. :rire: :rire:
Dedi à alone stp. :ok:

darkvlap12 darkvlap12
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:19:49

Toujours aucune trace de la modération

Stum Stum
MP
Niveau 21
26 juillet 2014 à 18:20:16

Vidéo de 27heures incoming :rire:

Poliakonche Poliakonche
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:20:18

Comme tous les prédateurs, le loup développe des techniques de chasse pour subvenir à ses besoins alimentaires. Les comportements prédatoires sont innés et apparaissent très tôt chez les louveteaux (dès 21 jours) : le mouvement d’une proie déclenche l’orientation, l’approche et l’attaque. Mais l’expérience et l’apprentissage auprès des adultes restent indispensables.

L’apprentissage se fait surtout par observation des adultes et est facilité par la vie en meute. Le jeu est primordial : les louveteaux s’attrapent et se mordent naturellement au museau, à la gorge, à l’épaule… zones qui seront les cibles principales des morsures sur les proies.

La première étape lors de la chasse est le repérage de la proie. Il est effectué à l’odeur (le plus fréquent), par surprise (proie trouvée par hasard) ou par suivi des traces de la proie. Lorsqu’elle est localisée, le loup tente de s’en approcher au plus près sans se faire repérer. Il se déplace furtivement, tous les sens en alerte, les oreilles et le museau pointés en avant, pattes fléchies et corps proche du sol, à contre-vent. :hap:

Une fois que le loup est repéré, il y a confrontation proie/prédateur et la proie peut réagir de 3 façons différentes :
- elle fait front : ce cas est assez rare (proies de grande taille) mais efficace car le loup stoppe rapidement son attaque en général ;
- elle fuit : cas le plus fréquent et cette réaction déclenche immédiatement la poursuite ;
- elle reste immobile : l’immobilité de la proie semble avoir un effet inhibiteur du comportement de chasse du loup.

Si la proie fuit, le loup se lance immédiatement dans la poursuite. Le démarrage est crucial (phase "d’approche précipitée") : si la proie réussit à distancer rapidement le loup, il a peu de chances de la rattraper alors que s’il arrive à se rapprocher d’elle, il sera en mesure d’attaquer.

La poursuite s’effectue ensuite sur plusieurs centaines de mètres. Si les loups sont distancés, ils abandonnent rapidement. Les poursuites sont généralement rapides et de courte distance. Dès que le loup abandonne, la proie s’arrête pour l’observer afin d’économiser ses forces en cas de besoin d’une nouvelle fuite si une nouvelle attaque est lancée.

Le loup chassant en fuite, les attaques se font plutôt sur l’arrière-train. Pour les grosses proies comme l’élan ou le bison, la chasse présentant des risques importants, les loups peuvent blesser l’animal puis l’attaquer de nouveau lorsqu’il est affaibli.

La mise à mort est l’étape suivante. Elle est généralement rapide pour les petites proies. Le loup court à côté de la proie et lui inflige des morsures à la gorge ou à la nuque. La morsure violente provoque dans certains cas un arrêt cardiaque (un choc violent peut perturber le rythme cardiaque) ou brise la trachée ou la nuque.

Pour les proies plus grosses comme le cerf ou le sanglier adulte, plus dangereuses, les loups les déséquilibrent en s’agrippant à différentes parties du corps ou en les harcelant jusqu’à épuisement. Une fois l’animal à terre, la mise à mort est rapide. Dans certains cas, un individu s’agrippe au museau de la proie : des études sur les rats ont montré que lors d’une telle prise le cerveau sécrète une substance qui calme l’animal.

Les stratégies de chasse des loups varient en fonction des proies prédatées, du climat, de la topographie… Certains loups sont même capables d’utiliser des éléments de leur environnement en conduisant les proies vers des clôtures, des barres rocheuses, des rivières…
Bien que les loups ne chassent en général que le nombre de proies qui leur est nécessaire pour survivre, il est possible d’observer dans certaines conditions un phénomène de surchasse appelé "surplus killing" ou "over-killing". C’est notamment le cas des hivers très enneigés pendant lesquels les ongulés ont du mal à s’échapper, leurs pattes s’enfonçant dans la neige. La majorité des cas de surplus killing sont cependant observés sur des troupeaux domestiques. Ils s’expliquent par le comportement de chasse inné du loup qui tue chaque fois que c’est possible, son taux de réussite étant très faible, de l’ordre de 10 à 15%. Lorsqu’il se met en chasse, il en résulte toute une série de comportements jusqu’à la mise à mort. Une fois que la proie est tuée et que le mouvement cesse autour de lui, le loup commence à la manger et le comportement de chasse s’arrête. Les troupeaux domestiques, contrairement à la plupart des espèces sauvages, se regroupent pour fuir en cas d’attaque au lieu de se disperser. Alors que la harde de cerfs s’éclate lors de l’attaque, les moutons fuient ensemble dans un mouvement de panique ; il y a donc continuité de mouvement et le comportement prédatoire du loup peut continuer à être stimulé. Ce phénomène peut aussi s’observer sur des proies sauvages grégaires comme le renne ou le caribou. On observe le même type de comportement lorsqu’un renard entre dans un poulailler. :ok: :hap:

En montagne, ces pertes peuvent encore être aggravées par la topographie escarpée qui est alors un facteur d’augmentation du nombre de victimes pendant une attaque. De plus, il peut arriver qu’une meute revienne se nourrir sur la même carcasse. Si les loups sont dérangés pendant la consommation de la proie ou si la carcasse est manipulée ou déplacée, ils ne reviendront pas et devront attaquer à nouveau pour manger. :oui:

Dans certains cas un loup ou une meute peut se spécialiser sur une proie. Cette spécialisation est liée à plusieurs facteurs : le nombre d’individus de la meute, le chevauchement des habitats respectifs proie/prédateur, l’abondance et l’accessibilité des proies, la probabilité de rencontres avec la proie, la densité ou la biomasse relative d’une proie potentielle, la probabilité de succès de la chasse, le risque de blessure, la profitabilité de la proie, les conditions environnementales. :hap:

-remslider- -remslider-
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26 juillet 2014 à 18:21:29

Bonjour clare ture zeru daston poufi loloko moi un destin carrelage nanopo luteru

Farbas Farbas
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:21:53

J'ai envie de mettre le penis de Farbas dans ma bouche.

Maki300 Maki300
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:22:09

CASANOVAS HEIMFAHRT

In seinem dreiundfünfzigsten Lebensjahre, als Casanova längst nicht mehr von der Abenteuerlust der Jugend, sondern von der Ruhelosigkeit nahenden Alters durch die Welt gejagt wurde, fühlte er in seiner Seele das Heimweh nach seiner Vaterstadt Venedig so heftig anwachsen, daß er sie, gleich einem Vogel, der aus luftigen Höhen zum Sterben allmählich nach abwärts steigt, in eng und immer enger werdenden Kreisen zu umziehen begann. Öfter schon in den letzten zehn Jahren seiner Verbannung hatte er an den hohen Rat Gesuche gerichtet, man möge ihm die Heimkehr gestatten; doch hatten ihm früher bei der Abfassung solcher Satzschriften, in denen er Meister war, Trotz und Eigensinn, manchmal auch ein grimmiges Vergnügen an der Arbeit selbst die Feder geführt, so schien sich seit einiger Zeit in seinen fast demütig flehenden Worten ein schmerzliches Sehnen und echte Reue immer unverkennbarer auszusprechen. Er glaubte um so sicherer auf Erhörung rechnen zu dürfen, als die Sünden seiner früheren Jahre, unter denen übrigens nicht Zuchtlosigkeit, Händelsucht und Betrügereien meist lustiger Natur, sondern Freigeisterei den Venezianer Ratsherren die unverzeihlichste dünkte, allmählich in Vergessenheit zu geraten begannen und die Geschichte seiner wunderbaren Flucht aus den Bleikammern von Venedig, die er unzählige Male an regierenden Höfen, in adeligen Schlössern, an bürgerlichen Tischen und in übelberüchtigten Häusern zum besten gegeben hatte, jede andere Nachrede, die sich an seinen Namen knüpfte, zu übertönen anfing; und eben wieder, in Briefen nach Mantua, wo er sich seit zwei Monaten aufhielt, hatten hochmögende Herren dem an innerm wie an äußerm Glanz langsam verlöschenden Abenteurer Hoffnung gemacht, daß sich sein Schicksal binnen kurzem günstig entscheiden würde.

Da seine Geldmittel recht spärlich geworden waren, hatte Casanova beschlossen, in dem bescheidenen, aber anständigen Gasthof, den er schon in glücklicheren Jahren einmal bewohnt hatte, das Eintreffen der Begnadigung abzuwarten, und er vertrieb sich indes die Zeit – ungeistigerer Zerstreuungen nicht zu gedenken, auf die gänzlich zu verzichten er nicht imstande war – hauptsächlich mit Abfassung einer Streitschrift gegen den Lästerer Voltaire, durch deren Veröffentlichung er seine Stellung und sein Ansehen in Venedig gleich nach seiner Wiederkehr bei allen Gutgesinnten in unzerstörbarer Weise zu befestigen gedachte.

Eines Morgens auf einem Spaziergang außerhalb der Stadt, während er für einen vernichtenden, gegen den gottlosen Franzosen gerichteten Satz die letzte Abrundung zu finden sich mühte, befiel ihn plötzlich eine außerordentliche, fast körperlich peinvolle Unruhe; das Leben, das er in leidiger Gewöhnung nun schon durch drei Monate führte: die Morgenwanderu

Pseudo supprimé
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:22:11

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+ Dedi a Dovabirds

+ J'aime les beats :noel:

CroquetteDeChat CroquetteDeChat
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Niveau 11
26 juillet 2014 à 18:22:12

│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├─>Marie Gabrielle (+1629)
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ └─>Antoinette
│ │ │ │ │ │ │ X Alexandre de Touzin
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ ├─>André, seigneur de Rubempré
│ │ │ │ │ │ │ X 1) Anne de Busserade
│ │ │ │ │ │ │ X 2) Anne de Roncherolles
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├─>Jean (+jeune)
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├─>Charles, seigneur de Rubempré (+1595)
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├─>Louis, seigneur de Rubempré (1574-1598)
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├─>Marguerite, dame de Rubempré
│ │ │ │ │ │ │ │ X Jean de Monchy, seigneur de Montcavrel
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├─>Madeleine
│ │ │ │ │ │ │ │ X Jean, seigneur de Gonnelieu
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ ├─>Jeanne Marie, abbesse
│ │ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ │ └─>Marguerite, nonne
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ ├─>Jean (+1571), abbé de Cuisey
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ ├─>Jacques, moine
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ ├─>Catherine (+1530)
│ │ │ │ │ │ │ X Jean d'Estrées, seigneur de Cœuvres
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ ├─>Jeanne, abbesse
│ │ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ │ └─>Madeleine (+ 1588), abbesse
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ └i>Louis de Vendôme (+1510), évêque d'Avranches
│ │ │ │ │
│ │ │ │ └i>Jean de Vendôme, seigneur de Preaux (1420-1496)
│ │ │ │ X 1) Jeanne d'Illiers
│ │ │ │ X 2) Gillette Perdrielle
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Jean, prêtre
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>François (+1540), prêtre
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Jacques
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Mathurine
│ │ │ │ │ X Pierre de Montigny, seigneur de la Boisse
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Louise
│ │ │ │ │ X Jean, seigneur des Loges
│ │ │ │ │
│ │ │ │ └─>Marie
│ │ │ │ X 1) seigneur de La Velette en Limousin
│ │ │ │ X 2) Jacques de Gaudebert, seigneur des Forges
│ │ │ │
Maison de Bourbon-Carency
│ │ │ ├─>Jean (1378-1457), seigneur de Carency
│ │ │ │ X 1) Catherine d'Artois (1397-1420)
│ │ │ │ X 2) Jeanne de Vendomois
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Louis(1417-1457)
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Jean (1418-)
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Jeanne (1419-)
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Catherine (1421-)
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Pierre (1424-1481), seigneur de Carency
│ │ │ │ │ X Philipotte de Plaines
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Jacques (1425-1494), seigneur de Carency
│ │ │ │ │ X Antoinette de la Tour (+1450)
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ ├─>Charles, prince de Carency (1444-1504)
│ │ │ │ │ │ X 1) Didere de Vergy
│ │ │ │ │ │ X 2) Antoinette de Chabannes (+1490)
│ │ │ │ │ │ X 3) Catherine de Tourzel
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ ├3>Bertrand, prince de Carency (1494-1515)
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ ├3>Jean (1500-1520), prince de Carency
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ ├3>Louise, princesse de Carency
│ │ │ │ │ │ X François de Perusse des Cars (+1550)
│ │ │ │ │ │
│ │ │ │ │ └3>Jean (1446-), seigneur de Rochefort
│ │ │ │ │ X Jeanne de Lille
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Eleonore (1426-)
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├2>Andriette (1427-)
│ │ │ │ │
Maison de Bourbon-Duisant
│ │ │ │ └2>Philippe, seigneur de Duisant (1429-1492)
│ │ │ │ X Catherine de Lalaing (+1475)
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Antoine, seigneur de Duisant
│ │ │ │ │ X Jeanne de Habart
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Pierre
│ │ │ │ │
│ │ │ │ ├─>Philippe II, seigneur de Duisant (+1530)
│ │ │ │ │
│ │ │ │ └─>Jeanne de Bourbon Duisant
│ │ │ │ X François Rolin, seigneur d'Aymerie
│ │ │ │
│ │ │ ├─>Marie, dame de Bréthencourt (1386-)
│ │ │ │ X Jean de Baynes, seigneur des Croix
│ │ │ │
│ │ │ └─>Charlotte (1388-1422)
│ │ │ │ X Janus de Chypre (1378-1432)
│ │ │ │
│ │ │ └i>Jean, batard de la Marche-1435
│ │ │
Maison de Bourbon-Preaux
│ │ └─>Jacques Ier, seigneur de Preaux (1346-1417)
│ │ X Marguerite de Preaux (+1417)
│ │ │
│ │ ├─>Louis, seigneur de Preaux (1389-1415)
│ │ │
│ │ ├─>Pierre, seigneur de Preaux (1390-1422)
│ │ │Elizabeth de Montagu (1397-1429)
│ │ │
│ │ ├─>Jacques II, seigneur de Preaux, baron de Thury (1391-1429)
│ │ │ X Jeanne de Montagu
│ │ │
│ │ ├─>Charles, seigneur de Combles
│ │ │
│ │ ├─>Jean (1394-)
│ │ │
│ │ └─>Marie, dame de Preaux (1387-1442)
│ │
│ └─>Béatrice (1320-1383)
│ │ X 1) Jean de Luxembourg (+1346), roi de Bohême
│ │ X 2) Eudes II de Grancey (+1389)
│ │
│ ├i>Jean, batard de Bourbon (+1375)
│ │ X 2) Laure de Bordeaux
│ │ X 3) Agnes de Chaleu
│ │ │
│ │ └─>Gérard de Bourbon
│ │
│ ├i>Jeannette
│ │ X Guichard de Chastellux
│ │
│ └i>Guy de Bourbon, seigneur de Cluys
│ X 2) Jeanne de Chastel-Perron
│ │
│ └─>Gérard de Bourbon, seigneur de Clessy
│ X 1) Jeanne de Chastillon
│ X 2) Alix de Bourbon-Montperoux
│ │
│ └─>Isabelle, Dame de Clessy
│ X 1) Bernard de Montaigu-Listenois
│ X 2) Guillaume de Mello, seigneur d'Epoisses

├─>Blanche (1281-1304)
│ X Robert VII comte d'Auvergne (+1325)

├─>Jean (1283-1316), baron de Charolais
│ X Jeanne d'Argies
│ │
│ ├─>Béatrice (1310-1364), dame de Charolais
│ │ X Jean Ier d'Armagnac (+1373)
│ │
│ └─>Jeanne (1312-1383)
│ X Jean Ier comte d'Auvergne (+1386)

├─>Pierre (1287-ap.1330) prêtre

├─>Marie(1285-1372), prieure de Poissy

└─>Marguerite (1289-1309)
X Jean Ier (1267-1330), margrave de Namur

Poliakonche Poliakonche
MP
Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:22:51

Napoléon Bonaparte s’est révélé un stratège et un tacticien hors pair. Son œuvre de théoricien est moins connue, car, praticien et acteur avant tout, ce qui, allié à la brièveté de sa carrière, le temps lui a manqué pour consigner et codifier ses pensées dans un ouvrage écrit. En revanche, il a laissé une correspondance volumineuse ainsi qu’une masse de directives et d’ordres dont l’étude révèle qu’il agissait en fonction d’une réflexion et d’un discernement totalement maîtrisés.

En stratégie et en tactique, a-t-il écrit, il n’y a pas de « si », il n’y a que des « car ». Il a affirmé et répété n’avoir jamais eu de révélations géniales. Ce qu’il a ordonné spontanément était toujours le résultat d’une profonde méditation. Tous les cas, toutes les possibilités, il les avait étudiés.
Avant que de formuler brièvement les points principaux de la stratégie et de la tactique napoléonienne, l’examen s’attache à la formation de l’homme, ainsi qu’au mode d’acquisition de ses connaissances. Puis, enfin, un essai tout aussi bref aura trait à la pérennité de la pensée militaire de Napoléon.
I – La formation
Napoléon est né le 15 août 1769 et a été élevé au collège d’Autun, puis à l’école militaire de Brienne, de 1779 à 1784, l’équivalent d’un prytanée, d’un lycée militaire, pour emprunter une terminologie moderne. Ensuite, il entre à l’Ecole militaire de Paris dont il sort dans un rang médiocre, lieutenant d’artillerie.

Il est marqué par les idées de son époque.

Les Français ont le souvenir des dernières années du vieux roi Louis XIV, assombries par les défaites et la perte de la dernière armée de métier. Aussi, dans un suprême sursaut, le vieux roi, pour reformer une armée et sauver le pays de l’invasion, fit fondre sa vaisselle d’or et d’argent et proclama la levée des milices. Il s’agissait d’une vieille loi coutumière féodale qui avait été mise en ouvre pour la dernière fois au XIIIème siècle. Chaque foyer devait au service du roi un milicien formé. C’est ainsi qu’entre en campagne, sous le commandement du Maréchal de Villars, une armée improvisée, entièrement nationale, sans un seul mercenaire. Cette armée obtient une victoire totale à Denain, dans le nord de la France, le 24 juillet 1712, contre les Anglo-Autrichiens du Prince Eugène. Louis XIV s’empresse de signer la paix.

Les Français n’oublieront pas cette armée nationale qui a sauvé le pays.

La guerre de Sept ans n’est qu’une longue série de défaites sur terre comme sur mer, en Europe comme aux Indes.

L’humiliation due à la défaite de Rossbach en 1757, annonce le désastreux traité de Paris de 1763 et marque profondément les esprits.

L’opinion publique française, les salons intellectuels, les « Thing-tanks » de l’époque, est violemment frappée par la défaite, s’interroge sur les causes et réfléchit aux remèdes.

La guerre d’Indépendance américaine, de 1775 à 1781, permet aux Français d’expérimenter un nouvel armement et d’innover en matière de méthodes de combat.

Le théoricien de ce renouveau militaire français est le comte de Guibert qui consigna sa pensée dans son ouvrage « L’essai général de tactique ». Il a été le maître à penser du jeune élève-officier Bonaparte qui annota fiévreusement « L’essai général de tactique ».

Point à remarquer, la majorité des maréchaux de Napoléon a participé à la campagne d’Amérique, à commencer par Berthier, chef d’état-major de la Grande Armée et ancien aide de camp de Washington, et par Rochambeau, ancien commandant en chef des armées françaises dans le Nouveau monde.

Napoléon et ses seconds parlaient la même langue, tactique et stratégique.

II - Stratégie et tactique selon Napoléon

La stratégie et la tactique sont elles une science ? Répondent-elles à des lois ? Ou un art, répondant à la subjectivité de l’homme ? Si stratégie et tactique ne sont pas une science, au moins érigent-elles des grands principes.
L’offensive est seule susceptible d’aboutir à une victoire complète.
La victoire signifie l’anéantissement des armées adverses en tant qu’institution organisée.
La défensive n’est adoptée qu’en cas d’impossibilité majeure de passer à l’offensive.
La défensive est une posture opérationnelle passagère préparant une attaque. Aucune défensive ne peut être passive. Bien au contraire, la défensive est basée sur des séries d’attaques limitées.
La guerre est un art simple et tout d’exécution parce que toutes les situations ont été réfléchies et longuement méditées. A la guerre, il n’y a ni hasard ni improvisation.
La victoire est obtenue par une série d’opérations affaiblissant l’adversaire et le conduisant à une bataille finale d’anéantissement ou toutes ses forces restantes sont engagées. En revanche, de notre côté, il y a toujours maintien d’une ressource militaire disponible.
La victoire dans une bataille s’obtient par l’exploitation d’un événement. Cet événement est la rupture du centre de gravité sur lequel repose le dispositif adverse.
Quoi que l’on fasse, le plan d’une bataille se résout en fixant le dispositif adverse et en le débordant. Toute autre démarche est vouée à l’échec.
Si l’événement ne se produit pas par lui-même, par une erreur de l’adversaire, il faut le créer.
Lors de l’attaque créant ou exploitant l’événement, dans le secteur de cette attaque, il doit y avoir absolument supériorité numérique, qualitative et de feu de nos troupes.
L’un des principes de base est l’économie des forces, ce qui se résout par un affaiblissement de notre dispositif au profit de la force attaquante, puis de l’aile marchante opérant le débordement.
Une attaque bien conduite surprend l’adversaire et reste une affaire d’infanterie.
S’il faut créer l’événement et percer le dispositif adverse, l’engagement débute par une convergence brutale de feux d’artillerie. Suit une charge puissante de cavalerie lourde. Ensuite intervient l’infanterie en colonne d’assaut, soutenue par la cavalerie et l’artillerie.
La victoire totale signifie, par ailleurs, la transformation de la retraite ennemie en déroute et l’exploitation à outrance par la cavalerie légère.
Toute troupe doit s’éclairer par un rideau de cavalerie légère et d’infanterie légère.
Les éclaireurs, bien entendu nous éclairent, mais chassent aussi les éclaireurs adverses.
Une retraite s’opère par échelons successifs, toujours prêts à contre-attaquer.

III – La pérennité de la pensée stratégique et tactique de Napoléon
Les pensées et les idées seront intégralement reprises par Clauzewitz dans son ouvrage « De la guerre ».

Foch, commandant en chef sur le front ouest durant la Première Guerre mondiale, reprend en 1918, la stratégie napoléonienne, fixer et déborder, créer l’événement. Il sera aussi célèbre pas sa reprise de la pensée de Napoléon en répétant : de quoi s’agit-il ? La réponse est « créer l’événement ». Alors se pose la question suivante : comment et où ? Cherchez !

L’enseignement napoléonien est encore valable en stratégie de contre-insurrection. La phrase de Napoléon, affirmant qu’il fait la guerre à des armées, pas à des peuples, reste valable.

Voilà :hap:

misterkhu misterkhu
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:23:04

L’article sur l'Histoire de la marine française de l'Antiquité à la Renaissance couvre la période allant du ve siècle av. J.-C. aux années 1600. Sous l’Antiquité, le territoire qui sera plus tard la France et que les Anciens appellent la Gaule voit se former sur ses côtes deux expériences de puissances navales : celle de Massalia, venue de Grèce vers -600 et celle, plus endogène, des Vénètes sur la côte atlantique[1]. Expériences d’autant plus intéressantes que la Gaule, dès cette époque, se définit surtout pas sa richesse agricole et que le littoral, parcourus de courants et vents difficiles, manquant d’abris en eaux profondes, est loin d’être favorable à la navigation. Ces deux thalassocraties, néanmoins, sont réduites par Jules César au ie siècle av. J.-C., lorsque la Gaule est conquise et que la Méditerranée, pacifiée, devient un lac romain pour cinq-cents ans[1].

Avec la disparition de l’Empire romain et l’apparition de l’islam la Méditerranée redevient un espace de confrontation. Cette confrontation lance, pour la première fois de leur histoire, ceux que l’on appelle encore les « Francs » de l’autre côté de la Méditerranée avec les croisades, régulièrement menées par mer aux xiie et xiiie siècles. Cette expérience permet à la jeune monarchie capétienne de fonder son premier port sur les côtes méditerranéennes à Aigues-Mortes et de louer, puis faire construire ses premiers navires[2]. L’expérience des croisades, cependant, est sans lendemain car se sont surtout les villes italiennes (Venise, Gênes) qui profitent des nouveaux courants d’échanges avec l'Orient et c’est l’Espagne qui domine militairement la Méditerranée occidentale à partir du xiiie ‑ xive siècle avec la conquête de la Sicile et de l’Italie du sud. Au Nord, les invasions normandes sont une des causes de la dislocation de l’Empire carolingien, mais elles donnent naissance à la première province maritime du royaume au Moyen Âge : la Normandie[1]. Province riche et dynamique qui organise une invasion de l’Angleterre en 1066 et enjeu, aux xiie et xiiie siècles d’une longue lutte entre les Capétiens et les Plantagenêts. Ces luttes donnent même l’occasion à la couronne française de tenter une conquête de l’Angleterre en 1217. Les guerres en Flandre obligent les Capétiens à développer leur premier arsenal de marine en Normandie, au Clos aux galées, et la Guerre de Cent Ans, qui oppose la France et l’Angleterre aux xive et xve siècles, est marquée par une intense activité navale[1].

La mer, cependant, reste lointaine est plutôt marginale pour les rois de France, malgré l’intégration progressive de la côte atlantique et méditerranéenne à leur autorité[2]. Au début du xve siècle, le Portugal contourne l’Afrique et arrive en Inde. L’Espagne, en 1492, touche l’espace caraïbe puis se lance à la conquête du « Nouveau Monde ». Les rois de France préfèrent se lancer à la conquête de… l’Italie avant de débuter au xvie siècle leur longue confrontation continentale contre les Habsbourg d’Espagne et d’Autriche. Des pêcheurs, des navigateurs et des commerçants français sont pourtant présents sur les côtes de Terre-Neuve ou du Brésil, mais cela reste des entreprises individuelles peu ou pas soutenues par l’État, malgré la tentative de François Ier – le plus « naval » des rois de France de cette époque – de rattraper le retard[3]. Les conflits avec l’Espagne et l’Angleterre au xvie siècle donnent pourtant lieu à de nombreuses confrontations navales, mais les rois de France se contentent de former des flottes de guerres provisoires qui sont dissoutes après la paix (ou après une trêve) et s’en remettent volontiers à la course, qui ne leur coûte rien, mais n’apporte rien non plus de solide sur le plan politique (et territorial). Pour qu’il y ait réellement un marine française il faudrait qu’elle soit permanente, ce qu’elle n’est pas. Il n’y a donc qu’une « marine quasar »[4] qui fonctionne par pulsation brutale et qui disparait presque aussi vite que ce qu’elle est apparue même si elle est parfois capable de fournir de grosses concentrations en navires et en hommes[5].

Alors que l’Espagne, géant naval du xvie siècle, est pourvue d’une solide marine et d’une tout aussi solide administration navale, alors que l’Angleterre se dote, au milieu du siècle, des bases de ce qui sera plus tard la Royal Navy, les rois de France, tout à leurs tropismes continentaux et à leurs problèmes intérieurs, ne franchissent pas cette étape. La charge d’Amiral de France est d’abord et avant tout un enjeu des luttes d'influences autour du roi et avec les guerres de religions, à partir des années 1560, les amiraux combattent essentiellement à terre[2]. Les Protestants créent même une Amirauté rebelle. Pourtant, l’apport Huguenot est important sur le plan naval car les régions littorales les plus touchées par la Réforme (la Normandie, l'Aunis, le Poitou, la Saintonge) font preuve d’un réel dynamisme[6]. La plupart des marins normands sont protestants et La Rochelle s’affirme comme une grande cité maritime, quasi indépendante à la fin du xvie siècle, mais cela accentue encore les affrontements avec l’autorité royale. À l’avènement d’Henri IV, le littoral français est dans l’ensemble à l’abandon et le roi n’a qu’un seul bâtiment de guerre alors qu’au même moment l’Angleterre résiste à l’Invincible Armada[2]. C'est au siècle suivant, avec Richelieu et Colbert, que la France se dotera d'une marine permanente, avec l'administration, les arsenaux et les budgets adéquats.

KiwiBird KiwiBird
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Niveau 10
26 juillet 2014 à 18:23:07

Bien ta grotte profonde sombre en Antarctique entouré d'une couche de 45 mètres de neige et à 50 sous terre , servant aussi d'abri anti-nucléaire et chimique ainsi que d'abri en cas de fin du monde, en béton armé et tiges de titane recouverte d'une triple couche d'isolant sonore surpuissant et d'isolant thermique empêchant le moindre contact avec l'air pure extérieur, surveillé par 138 caméras et 56 gardes pour t'empêcher de découvrir le monde réel , étant également fermé par une porte blindée en alliage de titanium et bronze , recouverte d'une quadruple couche d'émail et de diamant , puis protégée elle même par 2 gros cadenas à détection et ouverture digitale ainsi que d'autres éléments permettant une étanchéité parfaite et contribuant donc à ton enfermement le tout férmée par 50 portes blindées dans un bunker anti-bactérioatomique climatisé dans l'espace intersidéral, pouvant être comparé à une immense grotte de l'Antarctique glaciaire, composé d'une quadruple couche de béton armé étanche et d'une double couche de diamant purifié rarissime, protégé par une énorme porte pressurisée en platine synthétique contenant un triple vitrage à l'azote liquide, humainement impossible à ouvrir, entourée elle-même d'un alliage de titane et de bronze entouré d'une quintuple couche d'isolant thermique permettant une étancheité parfaite, invulnérable aux trous noirs, aux chocs planétaires, aux gazs toxiques les plus mortels ainsi qu'aux chaleurs les plus élevées et insupportables de notre galaxie Surveillé par 63 gardes du corps équipés de M16 et de plusieurs 357 magnums et 54 tireurs d'élites surentrainés par les meilleurs stratèges et instructeurs du monde, t'empêchant la moindre tentative d'évasion, le moindre contact avec l'air pur et également l'accès à 3 gros cadenas à reconnaisance vocale et d'empreintes digitales d'un ours polaire du Sahara, désormais chassé et disparu, pouvant également se déplacer à la vitesse de la lumière grâce à des réacteurs à fusion turbo-chimiquo-nucléo-électriques coincées dans une faille provenant d'un hap immergé à 20 milles lieux sous les mers d'une île inconnue qui longe la Nouvelle Zélande d'une planète similaire à la Terre se trouvant dans la galaxie HUDF JD2 qui est elle-même bloquée dans une faille spatio-temporelle d'une dimension parralèle d'un microcosmose d'une vomissure de panaché dans une bouteille de sauvetage lâché dans une mer souterraine caché aux creux d'une météorite coincée dans une étoilefilante éloignée de plusieurs galaxies dans une nébuleuse paumée de l'autre coté d'un Univers parallèle dont le temps s'écoule à l'envers et qui se retrouve piegé par un continium espace temps incohérent où 1 + 1 = 3 et où les pedobear ont pris le pouvoir et qui, tout les 32 du mois, annoncent par un rituel, un langage corporel et une danse du phallus que seul un pedobear pourrait comprendre qu'il faut récupérer la 2ème statuette magique de Gladeulfeur qui selon les tablettes de skellosse permettra au gnome unijambiste des forêts du nord dansant à la pleine lune au milieux de 12 statuettes enroulées dans du jambon d'ouvrir la porte de Zaralback et d'accomplir la prophétie qui laissera passer l'étoile filante mais c'est sans compter les 3 millions de hap devant cette porte qui Onchent tous en même temps sous les ordres de HomerSimpson en écoutant le concert de Morsay qui dans cette dimension est en duo avec le Roi Heenok et qui s'était mis à rire quand on lui a annoncé que Windows c'est mieux qu'un Mac ?

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