J'essayerais de poster aussi cet après-midi, sinon ce soir.

Bon, j'ai fini le chapitre 1, mais je vais le poster parti par parti (PArdon si il y a des fautes d'orthographes, grammaire etc...)

Partit 2/4

Mon client se met à la barre, son cœur bats vite. Il me regarde en essayant de me dire « Je suis innocent ! »

Claire : Nom et profession, s'il vous plaît.

Arty : Arty Stic, conservateur de musée.

Claire : Qu'avez vous fait le jour du meurtre ?

Arty : Quand je suis rentrer au musée, je me suis fait abordé par monsieur Costa.

Thimothé : Un instant ! Pour quelles raisons ? Il paraît que vous commenciez a moins vous entendre avec votre supérieur.

Arty : Vous savez pourquoi, maître ?

Thimothé : Non, mais je pense que vous allez nous l'expliquer.

Arty : Il m'harcèle pour avoir de l'argent..

Thimothé : Comment ?!

Son cœur bat à un rythmes régulier, il ne ment pas...

Arty : il me demande de l'argent, et il dit qu'il me virera si je refuse.

Juge : Quel odieux chantage !

Claire : C'est pour cela que vous l'avez tué ?

Arty : Non...Même si je suis à moitié content qu'il soit partit...

Jay ne suffisait pas, il fallait que mon client soit aussi un psychopathe.

Arty : Ensuite...Rien de notable pendant plusieurs heures jusqu'à qu'il me demande de monter quelque chose dans son bureau.

Thimothé : Un instant ! C'est quoi ?

Arty : Une œuvre de l'un des artistes du musée : un jeune débutant plein de talents nommé Adamo Dernism.

Claire : Ce ne serai pas cette œuvre ?

Elle sortit une photo, il y avait un mannequin qu'on peut voir dans les films d'art martiaux, il était criblé de poignard ! Il semble assez léger pour être porté seul.

Jay : J'aime bien cette œuvre...

Thimothé : Et pourquoi vous ?

Arty : vous comprenez mieux pourquoi on se fout sur la gueule maintenant ?

Claire : continuez, s'il vous plaît.

Arty : Le bureau est en haut d'un escalier, à gauche. Une fois en haut, je l'ai posé dans un coin est je suis redescendu, la porte est toujours ouvert. Je suis redescendu et je suis rester à rien faire jusqu'à la fermeture, soit dix-neuf heures trente.

Sa respiration...Elle s'est emballé un moment.

Thimothé : Vous êtes sur de SEULEMENT l'avoir mis dans le coin.

Arty : mmh !

Juge : Vous avez une preuve, monsieur Atsumaki ?

Thimothé : euhh..

Jay : Regarde bien la photo...

Il me tendit celle avec le mannequin, j’observais le moindre détail. Il semblait bien être posé contre le murs, les lame est planté. Leurs pommeau avait plusieurs couleur : Jaune, vert, avec des pierres comme un rubis, un émeraudes, un saphir... Un saphir ?!

Thimothé : Oui, (il se tourne vers Arty). Monsieur Stic, avez-vous déjà vu (je sors l'arme du crime), Ce poignard !

Arty : (sursaut de surprise) Que, qu’est-ce que c'est ?

Thimothé : L'arme du crime...Et il y a vos empreintes. Qu'avais vous fait en vrai ?

Arty : J'ai...J'ai fait tomber le mannequin.

Thimothé :...Et alors.

Arty : l'un des couteau est tombé...Celui avec un saphir, l'arme du crime.

Brouhaha dans la salle.

Juge : (en donnant des coups de marteau) Silence ! Monsieur Atsumaki, avez vous d'autre question.

Thimothé : Euh...

Jay : Je me demande qui a financer les travaux du bâtiment, je sais pas si les enquêteur on bien faire leurs rapport, mais il a été fait en environ, deux mois.

Thimothé : Comment tu sais ça ?

Jay : (sourire) Le savoir, c'est le pouvoir.

Thimothé (à l'accusé) : Euh...Vous savez qui à financer le bâtiment ?

« Un instant ! »

Claire : Il s'agit de monsieur Aimé Scene. Il a financé une grande partie du bâtiment.

Juge : Un problème, monsieur Atsumaki ?

Thimothé : Je voudrai lui poser quelques question.

Juge : Fort bien ! Appelez monsieur Scene au tribunal.

Joli début n425^^. Si je peux te donner un conseil, quand tu finis une partie, n'hésites pas à commencer la suivante avec les dernières phrases de la précédente ou bien avec un léger résumé, ça évite de perdre les lecteurs, surtout quand on sera plusieurs à écrire les procès en même temps.

Sinon darki, tu pouvais pas me faire plus plaisir ! un crime dans un manoir, c'est un cadeau de Noël avant l'heure ! Je m'y mettrai dès ce soir ou dès demain^^.

Voilà je fais mon inscription officielle sur ce nouveau topic !

Nom de l'avocat : Lila Venture (34 ans)

Sexe : Femme

Description physique : Très belle femme d'1M70. Yeux violets et cheveux bruns aux reflets violets, longs, avec une frange de côté qui couvre le front. Toujours habillée très classe.

Don : La température de son corps évolue en fonction des sentiments de ses interlocuteurs. Plus jeune, elle a multiplié les allées à l'infirmerie du tribunal, mais avec le temps elle a appris à comprendre et à utiliser son don.

Assistant : Ethan Nohl (22 ans), un jeune diplômé que Lila a pris sous son aile pour assurer sa formation.

Je suis restée dans la même logique que baldr22, et ai donc vieilli mon personnage de 12 ans également !
Je posterai une petite introduction sous peu !

N425, c'est un très bon début, et j'aime beaucoup le personnage de Jay LaHeinne !! Il est carrément top ! Bonne continuation

Merci pour vos commentaires (Non, se n'est pas une larmes qui coule de mon œil)

Pour la petite anecdote: Jay Laheinne est un "Sosie" d'un personnage récurrents de toutes mes fiction (et même de mes travaux de création en français x) )J'ai seulement modifié son caractère pour faire plus comique (Ce que j'ai pas l'habitude dans mes fic). Le point communs qu'ils ont est que tout les deux adore le rouge est son de vrai "monochrome humain" (Je sais pas combien de fois je l'ai mis mais se terme est dans toutes mes fictions x) ).

La suite surement ce soir .

Je me doutais que ça te plairait comme sujet xD

En fait on a tous utilisé un magister pour améliorer nos anciens persos XD (bon faut que j'arrête de jouer à fire emblem moi).
Et c'est vrai que Jay est un perso au background...particulier dirons-nous et je pense qu'il va nous réserver pas mal de suprises !

Alors maintenant que tu as fait ta fiche lelene, j'ai plus qu'à te présenter ton affaire ! (Purée c'est la première fois que je fais ça !)
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A l'aube, on a retrouvé le corps du grand champion de golf Leon Deserts (45 ans) flottant dans le plus grand lac du terrain de golf le plus prisé par les champions. L'autopsie révèle 3 impacts de balles sur son ventre et qu'elles sont toutes restées dans son corps (la graisse accumulée a fait rempart), aucune des balles n'ayant touché un organe vital, la victime a pu vivre encore une bonne heure avant de succomber à ses blessures, cependant son obésité et ses blessures l'auraient empêché de se tenir debout.
A 3 jours de la finale du tournoi de golf, la tension était palpable entre les 2 finalistes qui ne s'entendaient vraiment pas.

Accusée : Adversaire de Leon Deserts, Cat Lake (21 ans), jeune prodige du golf. Elle s'est retrouvée accusée du meurtre après qu'on ait retrouvé ses empreintes sur l'arme qui a tiré les 3 coups. Son animosité envers le champion ne l'aidant pas à l'innocenter.

Témoins :
- Martine Solvague (30 ans) : Caddie de Leon depuis 10 ans.
- Vincent Alcol (60 ans) : Propriétaire du club de golf
- Iren Erin : Commentatrice du tournoi.

Preuves :
- Rapport d'autopsie précisant que les 3 balles ont été retrouvées dans la graisse du ventre de la victime et qu'elle a pu vivre encore une heure sans tenir debout. Heure du crime : 4 heures du matin, soit 3 heures avant de trouver le corps.
- Pistolet retrouvé dans le lac avec les empreintes de l'accusée intactes dessus.
- Une photo de Leon jeune auprès d'une équipe de jeunes joueurs de golf. (installée sur un meuble dans la chambre d'hôtel de la victime)
- Le journal intime de l'accusée retrouvé dans sa chambre dans lequel elle écrit tout le mal qu'elle pense de la victime.

Procureur/Inspecteur : libre à toi !

Tu peux bien sûr rajouter autant de témoins et/ou de preuves que tu le souhaites et commencer ton procès quand tu le souhaites également^^.

Ouais on a tous passé la promotion ! ( ouais t'es pas le seul à avoir passé du temps sur Fire Emblem xD)

n425 , j'aime beaucoup ton début et tes personnages. j'espère que la suite sera du même acabit !

Merci Ace !! Ca faisait bien longtemps ! Je sens que je vais m'amuser comme une folle à écrire ce nouveau procès ! Voilà une petite intro, bonne lecture !

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Lila : Non Ethan, tu ne peux pas te permettre de dire ce genre de choses dans un tribunal !

Ethan : Maaaaaais...

Lila : Il n'y a pas de mais qui tienne ! On te rira à la figure si tu n'as pas une plaidoirie un peu plus solide que ça ! Tu dois être crédible si tu veux qu'on te respecte.

Ethan : Vous avez raison...

Il baissa les yeux, pensif. Je devinai qu'il était déçu, déçu de ne pas y arriver. Il était encore jeune et inexpérimenté. Mais j'étais confiante. Ce garçon a un énorme potentiel, et il fera un très grand avocat. Mais d'ici là, je me porte garante de sa formation. J'insisterai jusqu'à ce qu'il imprime tout ce que je lui dis.

Lila : Bon. Qu'est-ce que tu dirais d'aller manger un morceau ?

Ethan : Oui, ce serait avec plaisir.

Lila : Bien, alors allons-y !

Je le laissai sortir devant moi, fermai mon cabinet et nous nous dirigeâmes vers la brasserie où nous avions pris l'habitude d'aller pour la pause déjeuner. Depuis maintenant 2 mois qu'Ethan travaillait avec moi, je rentrai moins souvent chez moi le midi, et passai le plus de temps possible avec lui, de façon à ce que nous établissions une vraie relation de confiance. C'est comme ça qu'avait procédé mon mentor à l'époque où j'étais comme Ethan. Ca avait plutôt bien fonctionné, alors pourquoi ne pas essayer à mon tour ? Une fois arrivés à la brasserie, le patron nous accueillit comme chaque jour et nous invita à nous installer à notre table habituelle. Il nous apporta les cartes, mais mon apprenti ne prit pas une éternité pour se décider.

Ethan : Du steeeeeak pour moi !

Lila : Fidèle à toi-même hein ?

Ethan : J'aime la viande ! La viande c'est la vie !

Lila : Jeune carnivore ! Tu vois, quand tu plaides, c'est pareil, tu dois avoir du mordant !

Ethan : Et si j'imaginais... Que la partie adverse est un bon morceau de viande bien saignant ???

Lila : Haha, tant que tu ne commences pas à la dévorer, ça peut se tenter...

Patron : Vous avez choisi ?

Ethan : Un steak saignant s’il vous plaît !!

Lila : Et pour moi une assiette de pâtes à la carbonara.

Patron : C’est bien noté ! Et une carafe d’eau comme d’habitude ?

Lila : S’il vous plaît.

Il reprit les cartes, et envoya la commande en cuisine. Ethan souriait niaisement à l’idée de bientôt manger son morceau de viande. Il me rappelait quelqu’un, un ami de longue date, que je n’avais pas croisé depuis un moment. Depuis qu’Ethan était là, je me remémorais ma jeunesse, l’époque où j’avais son âge… C’était il y a maintenant douze ans. Ma vie n’était pas du tout la même qu’aujourd’hui. Elle n’était pas douce et paisible en ce temps-là. J’ai beaucoup souffert, et j’ai même failli perdre la vie à de nombreuses reprises. J’ai fui, et j’ai craint chaque seconde pour ma vie et pour celle des êtres chers à mon cœur. Même si je ne voudrais revivre cette période de mon existence pour rien au monde, je n’oublie pas que j’ai rencontré des gens formidables, qui m’ont épaulée et qui sont devenus des piliers qui me permettent d’avancer chaque jour. Non la vie n’a pas toujours été clémente avec moi, mais toutes ces épreuves m’ont forgée, et j’ai entamé la seconde partie de mon existence dans la sérénité, et la volonté de vivre ma vie, comme si chaque jour devait en être le dernier.
Le patron me sortit de mes pensées lorsqu’il nous apporta nos assiettes. Nous le remerciâmes et commençâmes à manger. Ethan s’est littéralement jeté sur son steak pour n’en faire qu’une bouchée. Puis lorsqu’il l’eut fini, il dégusta ses frites. A croire qu’un morceau de viande faisait de lui une toute autre personne. Entre deux bouchées, il entama la conversation.

Ethan : Dites-moi, je me suis toujours demandé, comment est-ce possible de devenir avocat à 18 ans ??

Lila : Ca m’a valu de nombreuses heures de travail. J’ai potassé tous les bouquins de droit que j’ai trouvés alors que je n’étais encore qu’au lycée. Et puis j’ai tenté ma chance, en m’adressant aux bonnes personnes. Ceci étant, à 22 ans, tu n’es pas à plaindre.

Ethan : C’est vrai, mais 18 ans, quand même…

Lila : J’ai eu de la chance, et j’étais déterminée tu sais. Mais quelque part, je ne souhaite cela à personne.

Ethan : Comment ça ?

Lila : Je n’ai pas choisi cette voix uniquement par plaisir. Les circonstances faisaient aussi que pour moi, c’était un devoir. J’ai grandi trop vite, je n’ai pas profité de ma jeunesse. J’ai perdu des années à ne penser qu’au travail, et je ne pensais plus à moi. Ne reproduis pas cette erreur Ethan. Il y a un temps pour tout : travailler, mais aussi s’amuser.

Ethan : Prendre le temps de déguster un morceau de viande, ça compte ?

Lila : Sûrement, mais dans ton cas, on ne peut pas appeler ça de la dégustation !

Il rit malicieusement tandis que je souris. Ethan était une bouffée d’air frais dans mon quotidien d’avocate. Son arrivée m’avait tirée de ma solitude. Avant lui, je m’étais refusée à prendre un nouvel assistant, et pour cause… J’avais du mal à oublier le précédent. Ou plutôt, je ne pouvais me résoudre à l’oublier. Mais lorsque j’ai croisé le regard d’Ethan, j’ai vu en lui qu’il avait quelque chose de spécial, et j’ai accepté de le prendre sous mon aile. Je ne le regrette vraiment pas.
Quand nous eûmes tous deux fini nos assiettes, j’allais lui proposer de prendre un dessert quand mon téléphone sonna.

Lila : Lila Venture, j’écoute ? … Hin hin … Vraiment ? … Tout de suite ? … Très bien, j’arrive. BIP

Ethan : ?

Lila : Mon cher Ethan, il est temps pour toi d’aller sur le terrain ! J’ai une affaire. Nous sommes attendus au centre de détention !

Je pus lire dans son regard une once de panique, mêlée à de l’excitation. En ce qui me concernait, je n’aurais su dire pourquoi… Mais j’avais la sensation que cette affaire allait me tirer de ma monotonie, qu’elle allait me rappeler des souvenirs… J’avais hâte.

Ethan qui ne pense qu'à manger.
J'aime bien.

Voila un duo sympathique .

Bon, voici la troisième partie :

résumé rapide: Thimothé et Jay, avocats et ancien médecin, son confronter à une affaire de meurtre du directeur d'un musée, l'accusé est le conservateur. après la déposition de celui-ci, on apprend que la victime lui demandé de l'argent. Les empreintes sur l'arme du crime sont dû à un couteau qu'il a tenu avant de le reposer. Un artiste est demandé à la barre.

Partie 3/4:

Quelques minutes plus tard, un type en vêtements encore plus chic que mon client, Des lunettes noires de star, des cheveux coiffé à la perfection. Il était jeune, une vingtaine d'années.

Juge : Nom et profession.

Aimé : Aimé Scene, sans emploi, avec plusieurs millions d'euro, j'en vous pas l’intérêt.

Claire : Vous avez financé une grande partie du bâtiment ?

Aimé : Oui, on peux dire quatre-vingt pour cent. Je suis fan d'art (rire jaune de « Ho ho ho »). Que diriez vous de venir dîner avec moi ce soir, vous êtes forte jolie.

Claire : (Rougit) Et bien...

Jay : Alors, vous n'avez plus vos problème intestinaux

Aimé : Qui vous...Oh Non ! Docteur Laheinne ?

Jay : Non, j'ai arrêtez la médecine (regard demi-triste).

Claire se mit à rire au problème gastrique du témoins.

Thimothé : Tu le connais.

Jay, Ouaip, y'a quelques années, j'ai du le traiter. (Murmure) au moins, tu es sur qu'on ne te voleras pas ta proie

Qu'est-ce qu'il entend ? Et pourquoi il sourit en jetant des regard pour me montrer Claire ?

Thimothé : Bref, vous êtes allez au musée hier ?

Aimé : Ouais, Costa m'a invité pour parler de la fête d'inauguration.

Juge : commencer votre témoignage.

Aimé : Je suis venue vers quatorze heure, Costa voulait me parler de quelque chose.

Thimothé : Et c'était quoi ?

Aimé :...Il voulait me demander de l'argent.

Thimothé : Quoi ?!

Claire : Et alors ?

Aimé : J'ai refusé, j'avais cru apercevoir une larme sur son œil...

Thimtohé : Que ferai-t-il avec cette argent ?

Aimé : j'en sait rien.

Juge : ensuite ?

Aimé : Il m'a expliquer que, concernant la fête, Il y aurai un buffet. Quelques personnes ayant contribué au œuvre ou au financement serai là. L'une des œuvre majeur serai « Défouloir », De Adamo Dernism, le « Futur Picasso » d'après la critique..

Thimothé : Est-que se serai (Je lui montre la photo du mannequin avec les lame) Celle-ci ?

Aimé : Ouaip. Ensuite, vers seize heures, je suis repartit, je devais aller voir une amie.

Thimothé : C'est exactement ce que vous avez fait ?

Aimé : Ouaip...J'ai demandé la direction des toilettes avant de partir, il fallait monter à l'étage et partir à droite.

Thimothé : C'est fort intéressante...(Je tilta) Cette facture vous dit quelques choses ?

Aimé : Nope..Mais je peux vous dire que c'est l'écriture de la victime.

Thimothé : Ok...Votre honneur, peut on appeler à la barre se monsieur Dernism ?

Juge : Euh...Bien sur... Appelez monsieur Adamo Dernism !

Oh lala...j'ai fait pas mal de fautes...Je mérite d'être sacrifié devant la tombe de Victor Hugo, Voltaire, et toute les autres dieux littéraire...

Pense à te relire, ne te presse pas.

Finalement j'ai pris un peu de retard, je pense le poster durant la nuit ou demain.

Super intro Lila ! j'ai vraiment l'impression qu'on prend tous un nouveau départ sur ce topic^^. Et non, je ne demanderai pas ce qui est arrivé à Ben (bien que je meure de le savoir).
Sinon n425, c'est toujours aussi agréable à lire, et oui, attention aux fautes, mais ça, on en fait tous, surtout quand on sait qu'on peut pas rééditer sur ce forum.

Voila la fin de l'affaire... Il est assez long.

PArtie 4/4

Quelques minutes plus tard, il arriva. Il avait de long cheveux noires, des yeux verts dédaigneux, C'est vêtement étaient bizarres, on dirait une veste avec plusieurs poches où des outils sortaient. Il avait une boite à outil à ses pieds.

Juge : Vous êtes monsieur Dernism ?

Adamo : Bien sur. Vous voulez m'interroger sur la mort de monsieur Tuh ?

Claire : Oui, expliquez nous se que vous avez fait..

Thimothé : Un instant ! Pourquoi vous avez tout ses outils avec vous ?

Adamo : L'art n'attend pas, je porte mes outils partout où je vais.

Jay : J'aime bien vos gants.

Il avait des gants rouges.

Adamo : Oh ! Merci, je l'ai est acheté dans un magasin pas loin de chez moi, je ne salis pas mes œuvres avec mes doigt comme..

Juge : Vous continuerai votre discutions vestimentaire plus tard, nous vous écoutons.

Adamo : Je suis venu vers dix-neuf heures, j'avais besoin de demander quelques chose au directeur..

Thimothé : Qui est ?

Adamo : Rien du tout.

Son souffle a accéléré.

Thimothé : Laissez-moi deviner, C'est une question d'argent ?

Adamo : Qu-quoi ?

Thimothé : Il vous en a demandé ?

Adamo : Non...

Son souffle avait accéléré, mais à ma dernière question, il est revenu normal.

Jay : Je crois que tu t'es foiré à un cheveu..

Thimothé : Alors...Vous lui avez demandé de l'argent !

Adamo:(son souffle s’accélère) Non !

Thimothé : Alors, vous devez connaître (il sort la facture) ceci (sourire, en croisant les bras) ?

Adamo : Comment, savez vous que c'est à...La gaffe !

Jay : Il a perdu son sang froid...Et il nous a tout dit.

Juge : Pourquoi avoir besoin d'argent ?

Adamo : Tout simplement, ça fait deux semaines qu'il possède « Défouloir » , il ne m'a rien donné depuis.

Thimothé : Et combien vous doit-t-il ?

Adamo : douze mille euros.

Pour un truc comme ça ?!

Juge : Que c'est-t-il passé après ?

Adamo : Vers dix-neuf heures vingt-sept, je suis parti aux toilettes, En sortant, je n'ai pas revu monsieur Tuh.

Thimothé : Et par où son les toilettes ?

Claire : Quel est l’intérêt de la question ?

Adamo : Simple, après les escaliers, je suis allé à gauche, je ne vois...

Thimothé : OBJECTION !!

Jay : Pas besoin d' hurler, t'es cordes vocales vont sortir de ta bouche si ça continue...

Thimothé : Vous avez mentit !

Adamo : Moi ? Jamais. Je suis allé à gauche, je m'en rappelle, les glaces était en...

Thimothé : Les toilettes sont à droites !!

Brouhaha dans la salle, calmé par le juge.

Juge : alors, que faisiez vous à gauche ?

Claire : On m'a informé qu'il n'y avait qu'une pièce à gauche des escaliers..

Thimothé : Le bureau, où plutôt...La salle du crime.

Adamo : Mais...C'est faux !

Jay : Monsieur Adamo ?

Adamo : Oui ?

Jay : Savez-vous (il sort la clé) ce qu'est la matière sur le panneton ?

Adamo : On dirai de la pâte à modeler, pourquoi ?

Son souffle s'est accéléré, j'ai eu de la chance de le voir.

Jay : Qu'avez vous dans vos poches ?

Juge : Quel en est l'utilité ?

Jay ne répondit pas. C'est pas comme si le juge pouvait le faire évacuer de la salle.

Adamo : Euh...Un cutter, un ciseau, un stylo...Et un paquet de chewing-gum.

Jay : Je peux le voir.

Adamo avait de la peine à respirer...

Thimothé : Montrez le nous !

Claire : Si vos avez envie de manger un chewing-gum, attendez la fin...

Adamo sortit doucement son chewing-gum …

Juge : De la pâte à modeler ?!

Un énorme tintamarre se fait entendre dans la salle.

Jay : Il est exactement de la même couleur que le bout trouvez sur la clé...

Thimothé : Monsieur Adamo, avez vous tuez Costa Tuh hier ?

Claire : Arrêtez, c'est ridicule...

Adamo :...hé hé hé

Se rire était flippant, il rit plusieurs secondes.

Adamo : Si c’était moi, avez vous la preuve ? Pourquoi ne voyons pas mes empreintes ?

Jay (à Moi): rappelle toi ce que je lui est posé comme question...

Il avait posé quoi déjà....Les gants !

Thimothé : Tout simplement, car vous portez des gants !

Juge : Monsieur Atsumaki, avait vous une hypothèse de ce qui s'est passé ?

Thimothé : Euh...oui !

Jay : Vas-y, c'est facile.

C'est pas toi qui a tout le monde qui te regarde..

Thimothé : Monsieur Adamo est partit à l'heure dites dans le bureau, la porte y est toujours ouverte, il s'empara d'un couteau au hasard de son œuvre...

Adamo : Bon début...Mais tout mes couteaux ont était planté dans le mannequin profondément..

Thimothé : Oui...Sauf celui-ci( montre l'arme du crime) qui était tombé et donc, devait moins être enfoncé...

Adamo : Flûte !

Thimothé : De plus, avec vos gants, il n'y avait aucune empreintes. Vous l'avez gardé avec vous jusqu'à l'arrivé de monsieur Costa pour le tuer.

Claire : Et pour la facture ?

Thimothé : Mademoiselle, avez vous douze mille euros sur vous ?

Claire : Ben...Non.

Thimothé : Il y a peu de personnes en ont. C'est pour cela que Costa les demandé à tout le monde. Adamo a barré le nom de la personne qui devait payé la facture, une sorte de roue de secours.

Claire : Et comment la clé est resté avec la victime, alors que la porte était bloqué.

Thimothé : Monsieur Adamo, qu'avais vous dans votre boite à outil ?

Adamo : gloups...Du bois..

Thimothé : Mon raisonnement est juste : Il a fait un double des clef grâce à la pâte a modeler, le bois et ses outils. Rien de bien dure pour le « Futur Picasso »..

Adamo :..Mince !!

Claire : Et pourquoi la sécurité ne l'a pas vu ?.

???: Le système électronique n'était pas encore activé. Quand au garde de nuit, il a dut s'endormir, comme tout le temps.

C'était mon client qui avait sortit l'explication...

Juge : Adamo Dernism, vous êtes coupable du crime du meurtre de Costa Tuh. Nous vous arrêtons !

Claire : Et pour le message ?

Adamo : (rire effrayant), On n'arnaque pas la Vanité. !

Il se fit amener.

Thimothé : Quoi ?

Jay : il avait sûrement un problème mentale. Au moins, on est sur d'une chose :

Juge : Oui, l’accusé, Monsieur Arty Stic est... Non coupable !

Quelques minutes plus tard, dans la salle d'attente.

Arty : Merci jeune homme.

Thimothé : Je n'ai fais que mon job.

Arty : Je vous offrirai des places VIP quand le musée sera ouvert...

Nous nous serrâmes la main, puis nous partîmes vers la sortit.

???:Bien joué...

C'était Claire, je me mit à rougir.

Thimothé : Euh..Vous aussi.

Claire : Non, j'ai été mauvaise, j'ai raté mon premier procès...

Thimothé : Non, vous avez été...Superbe.

Jay : Alors, tu dragues ?

Jay venait de revenir des toilettes.

Claire : Euh..(elle se mit à rougir), Bon, en espérant nous revoir, la prochaine fois je ne vous ferrez pas de cadeaux !

Nous rentrâmes chez nous, un petit appartement, en bazar.

19H46
Appartement de Thimothé et Jay.

Jay : Je vais commander des pizzas pour fêter cette événement .

Le téléphone sonne.

Thimothé : Oui ?

Claire : C'est...C'est terrible !

Thimothé : Comment avez vous eu notre numéro ?

Claire : Je suis au centre de détention, le coupable, Adamo Dernism...

Thimothé : Quoi ?!

Claire : Il est mort.

Mon cœur s’arrêta de battre...

Claire : Il est mort dans sa cellule, empoisonné par un produit inconnu. Il y a écrit quelque chose sur son corps.

J'avais mis en haut-parleur, Jay entendit la conversation...

Claire : « On n'imite pas la Vanité »..

Jay : Je sens qu'aujourd'hui n'est que le commencement...

Après l'appel, le repas et durant la nuit je ne pensais qu'a une chose :

La Vanité..

Fin...

Allez , c'est parti :

Mon tuteur me disait toujours qu'un procès c'était comme une partie d'échecs. Il ne suffisait pas d'avoir un coup d'avance sur lé défense , le bon procureur étant celui qui s'est assuré de sa victoire avant même que le procès commence.

Malgré toute l'estime que j'avais pour lui , je n'ai jamais adhéré à cette vision des choses. Un procès n'est pas un jeu , et il n'y a pas de vainqueurs. Nous existons pour rendre la justice et non pour satisfaire notre ego en écrasant la partie adverse. Je l'ai compris au fur et à mesure des procès que j'ai menés , au fil des rencontres que j'ai faites et qui ont forgés la personne que je suis aujourd'hui. Et aussi les épreuves que j'ai enduré ...

Je me souviens de ma première affaire comme si c'était hier. Comme quoi , 7 ans pouvaient passer en l'espace d'un battement de cils.

7 ans auparavant :

Il est en retard. Mon tuteur est en retard et je suis là à faire les 400 pas dans la salle d'attente du tribunal, manquant de sommeil à cause de cette nuit passée à potasser le dossier de l'affaire. Il avait beau m'avoir confié une lettre d'excuses à l'attention du juge pour excuser un éventuel retard, je ne me sentais pas moins stressée . Et si ...

La voix du greffier me tire de mes pensées. Ainsi le procès était sur le point de débuter et aucun signe d'Armand Thor , ce qui n'était pas pour me rassurer. D'un pas chancelant sous l'effet du stress , je pénètre dans la salle d'audience et m'installe au banc de l'accusation. D'un air absent je me mets à regarder l'avocat qui vient lui aussi de pénétrer dans la salle. Je ne le connais que de réputation , et le voir ainsi en vrai me surprend quelque peu. Qui aurait dit que Lucas Binet , l'avocat génialement cinglé , était aussi mignon ?

D'un geste de la tête , je chasse ces idées parasites. ce n'était pas le moment de penser à n'importe quoi.

" Le procès pour le meurtre de Bernard Niat est ouvert. Les parties sont-elles prêtes ?"

D'un grand sourire , Lucas répond :

" On ne peut plus prête votre Honneur ! "

Puis je vois le juge se tourner vers moi. l'air de surprise qu'il arbore n'est pas pour me rassurer.

" Excusez moi , mais monsieur Thor ne devait-il pas assurer l'accusation aujourd'hui ? "

D'une petite voix je réponds :

" Effectivement votre Honneur , je ne suis que son assistante. Il m'a chargé de vous remettre ceci si jamais il venait à être en retard comme c'est le cas ce matin. "

D'un geste je tends de ma poche la lettre qu'il m'a remise la veille au greffier qui se charge de l'apporter au juge grisonnant. Après lecture ce dernier répond.

"Mhh je vois. S'il est tellement confiant en votre capacité alors je crois en sa capacité de jugement. Vous sentez-vous de taille pour assurer l'accusation mademoiselle ... ? "

" Dorabl. Helena Dorabl. Et tout à fait votre honneur ! "

Le propos aurait semblé courageux si je ne l'avais pas prononcé d'une voix tremblotante sous l'effet du stress. Armand avait tout planifié depuis la veille , et moi je me retrouve là , sans soutien pour mon premier procès. Mais au fond de moi , je me réjouis. L'occasion de faire ses preuves est trop belle.

" Bien , dans ce cas ne perdons pas de temps. Votre exposé introductif je vous prie ."

Les choses sérieuses commencent. Ce n'est pas le moment de flancher. D'une voix faussement assurée , je me lance.

" L'homme est un animal sauvage , bien plus que tous ceux qu'on pourrait trouver dans un zoo. Et le meurtre de Bernard Niat prouve sans aucun doute ce fait. L'accusation est en mesure de prouver la culpabilité de Noémie Rabelle, l'accusée ici présente à la barre. "

En face de moi , je vois l'avocat qui sourit. Je ne sais pas ce qu'il prépare , mais foi d'Héléna je ne vais pas me laisser marcher sur les pieds.

" Vous pouvez appeler votre premier témoin à la barre."

Il est trop tard pour faire marche arrière maintenant. Et je n'en ai pas l'attention ...

" L'accusation appelle à la barre ..."

La veille , 8h45 :

" ... Yvan Quêteur. J'appelle de la part d'Armand Thor , il veux vous voir de toute urgence à cette adresse."

Le coup de fil vient me réveiller. A tâtons , je cherche de quoi noter l'adresse que mon interlocuteur vient de me donner. Si vraiment il appelait de la part d'Armand , alors la journée s'annonçait longue. En vitesse , j'enfile de quoi m'habiller. faire attendre mon mentor est la pire idée qu'il soit. Heureusement , l'adresse n'est qu'à deux pâtés de maisons. Une marche rapide devrait suffire ...

[à suivre]

Pas mal

Belle fin d'affaire n425, bien qu'un peu rapide, mais tout se tient ! Félicitations !
Quant à Darkideas, très bon début, je sens qu'Armand Thor promet d'être un sacré numéro !
Pour ma part voici le début de l'enquête !

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Précédemment :

Lila : Lila Venture, j’écoute ? … Hin hin … Vraiment ? … Tout de suite ? … Très bien, j’arrive. BIP

Ethan : ?

Lila : Mon cher Ethan, il est temps pour toi d’aller sur le terrain ! J’ai une affaire. Nous sommes attendus au centre de détention !

Je pus lire dans son regard une once de panique, mêlée à de l’excitation. En ce qui me concernait, je n’aurais su dire pourquoi… Mais j’avais la sensation que cette affaire allait me tirer de ma monotonie, qu’elle allait me rappeler des souvenirs… J’avais hâte.

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[Centre de détention - 14h05]

Alors que nous allions rentrer dans le centre de détention, Ethan s'arrêta. Je me retournai vers lui et le vis hésiter.

Lila : Qu'est-ce qu'il se passe Ethan ?

Ethan : C'est que... Je ne sais pas si je dois...

Lila : Si tu dois quoi, Ethan ?

Il baissa les yeux et rougit. Il avait l'air très gêné. On aurait dit un petit garçon, qui ne sait pas s'il a le droit de jouer avec son nouveau joujou, de peur de l'abîmer.

Ethan : J'ai peur de vous ralentir, de vous déranger plus qu'autre chose.

Je soupirai.

Lila : Ethan, tu es là pour apprendre, tu ne me gêneras pas. Je suis sûre que tu me seras d'une grande d'aide.

Il parut rassuré, mais pas entièrement convaincu non plus. Finalement, nous entrâmes.

??? : C'est vous l'avocate ?

Lila : Je suppose que ce doit être moi, en effet.

??? : Je suis l'inspectrice chargée de l'affaire, Alexandra Gent. C'est le procureur qui m'envoie vous donner le rapport d'autopsie, et les preuves présentes dans le dossier.

Lila : Merci à vous mademoiselle.

Il doit être bien sûr de lui le procureur, pour me donner toutes les preuves de l'affaire... J'ai bien ma petite idée sur son identité. Voyons voir... La victime se nomme Leon Deserts et a été retrouvée dans le lac du terrain de golf "Birdy". Il a reçu trois balles dans le ventre, mais elles ne l'ont pas tué sur le coup. Bien évidemment, les empreintes de ma cliente sont présentes sur l'arme du crime, et intactes. Et... cerise sur le gâteau, son journal intime est bourré d'insultes à l'égard de la victime.

Lila : Bien, ça me paraît bien mal engagé !

Je donnai le dossier à Ethan pour qu'il jette un coup d'oeil. Plus il lisait, plus son visage se décomposait.

Alexandra Gent : Bon j'ai pas que ça à faire, votre cliente vous attend, bon courage !

Personne ne pouvait rater le rictus qu'elle portait sur ses lèvres lorsqu'elle prononça la fin de sa phrase. Elle était certaine de la culpabilité de ma cliente, et était confiante quant aux compétences du procureur chargé de l'affaire. Finalement, je m'approchai du parloir où une jeune femme m'attendait.

Lila : Vous êtes mademoiselle Lake ?

Cat : C'est bien moi, je suppose que vous êtes mon avocat ?

Lila : En effet, Lila Venture, enchantée. Bon et si vous m'expliquiez un peu ce qui se passe.

Cat : Je suis accusée d'avoir tué Leon Deserts, contre qui je devais jouer la finale du championnat dans deux jours...

Lila : De ce que j'ai pu lire, vous ne le portiez pas dans votre coeur. Pourquoi ?

Cat : Ce type était une enflure, personne ne l'aimait. Il passait son temps à se faire mousser et à prendre les gens de haut. Je vais vous dire une chose, la célébrité il aimait ça ! Ca lui était carrément monté à la tête.

Lila : Et c'est tout ?

Cat : C'est bien suffisant !

J'ai senti le rouge me monter aux joues, non pas parce que j'étais gênée, non, mais bien parce que j'ai eu un petit coup de chaud. Elle me mentait, ou du moins elle ne me disait pas tout.

Lila : Vous auriez été jusque parler d'une personne qui a la grosse tête, comme il y en a tellement, dans votre propre journal intime ? Pourtant, le journal intime, comme son nom l'indique, c'est personnel, ça nous concerne, ça nous touche.

Elle me regarda dans les yeux, avant de détourner les siens. J'avais raison, il y avait bien autre chose, et je suis prête à parier qu'elle connaissait la victime autrement que par la compétition...

Cat : Je suis foutue, ma carrière est finie... Je vais finir ma vie en prison...

Lila : Votre cas est bien mal embarqué, mais je vais vous sortir d'ici.

Cat : Pourquoi vous feriez ça ?

Lila : Déjà, parce que c'est mon boulot. Mais au delà de ça, parce que je sais que vous êtes innocente.

Cat : ! ... Vraiment ?

Lila : Vous êtes jeune, une golfeuse pleine de talent, prête à tout gagner. Personne ne me fera avaler que vous avez pris le risque de tuer un vieux snob proche de la retraite contre qui vous n'auriez sans doute pas eu de mal à gagner. Vous ne me dites pas tout, mais je découvrirai la vérité.

Cat : Merci...

Lila : Ne me remerciez pas. Bon, je suppose que l'audience débute demain.

Cat : C'est ça.

Lila : Bien, cela nous laisse le temps de mener notre enquête. On se voit demain au tribunal mademoiselle Lake. En route Ethan.

Je saluai ma cliente de la main, et sortis du centre suivie de près par Ethan. Je ne l'avais pas entendu depuis que je lui avais donné le dossier de l'affaire pour qu'il le lise.

Lila : Alors Ethan, tes premières impressions ?

Ethan : Eh bien... Je ne sais pas trop quoi penser... Toutes les preuves semblent être contre elle, et son journal intime semble contenir le mobile.

Lila : Mais ?

Ethan : ... Mais vous semblez convaincue de son innocence... Pourquoi ?

Lila : Je vais te dire une chose Ethan, et retiens bien ça. La règle primordiale pour un avocat, c'est de croire en l’innocence de son client. Si tu n'es pas capable de faire

confiance à la personne que tu dois défendre, dans ce cas ce métier n'est pas fait pour toi.

Ethan : Mais comment en être sûr ?

Lila : Ca se sent. Dans le cas de Cat Lake, ça se lit dans ses yeux. Cette gamine est innocente, et on va devoir le prouver, Ethan.

Ethan : Entendu. Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

Lila : On va enquêter sur la scène de crime, direction le terrain de golf "Birdy".

Et nous étions repartis. J'étais plus motivée que jamais. Cette affaire s'annonçait passionnante, et ça me plaisait. J'allais avoir du mal à prouver l'innocence de ma cliente, mais j'y arriverai.

Intéressant...

J'aime beaucoup, vous avez gardé la même façon d'écrire que sur l'ancien topic.
Pour ma part, je retarde encore, parce que je ne sais pas vraiment si le mieux est de l'écrire à la première ou à la troisième personne. Et bien d'autres petits soucis de ce genre.