Jet_lag J'ai dit " Vous vous couchez tot ! Apres Kyms c'est au tour de Ludovico d'allez dormir."
c'est juste que j'ai pas mit de ponctuation
m'voyez ?
ouai mais demain lever 6H50 j'ai compète d'aviron alors vaut mieux éviter de trainer
oui , tu as raison , c'est la même personne
saz dsl je sais pas qui c'est kyms merci d'avoir expliquer
Voila la mission qui m'a fait ch*er
Mais avant, mes stats!
Olivier est plutôt faible malgré sa jeunesse passé à travailler dans les champs. Il privilégiera la fuite au combat. Aussi il préfèrera s’infiltrer et sortir sans se faire voir.
Force:1.5
Résistance:2
Déviation :1.5
Vitesse :2.5
Escalade:1.5
Discrétion:1
+1700
LE MOULIN D'OR
Le bruit court que les Templier se servent d'un moulin pour faire passer leur argent. Vole les coffres sans te faire repérer.
3,2,1 les lumière s'éteignent...
LE MOULIN D’OR
Cela faisait une semaine que Olivier se préparais à cela : Un raid contre un petit moulin.
On avais reçus par le biais d’informateurs que de l’argent venant de templiers—Olivier mis du temps à comprendre ce qu’était un templier—transitait dans ce lieu et il devait le récupérer seul. Il avait déjà fait du repérage avec Manu, avec qui il était devenu proche. Il récupèrerait l’argent seul, mais si un problème survenait, Manu, Bartho et, à son grand déplaisir, Daniel, interviendraient. Leurs relations ne s’étaient pas améliorées.
Pour l’occasion il se servirait réellement de sa tenue. Bien sur il s’était déjà servit d’elle lors d’entraînements ,mais là c’était sa première sur le terrain.
Le moulin se situait en plein milieu d’un champ où des piles de foin avaient été entreposées depuis trois jour pour le faire sécher, et il était entouré de petite fermes. Ce bâtiment de neuf mètres offrait beaucoup de prises étant donné son mauvais entretien. La roue tournait dans un bruit de grincement Le ciel dégagé annonçait une journée chaude. Pourtant, ce n’était pas pour ça qu’Olivier transpirait.
Les assassins étaient montés sur un talus dominant la zone en restant cachés derrière de petits arbres et observaient le novice s’avancer vers la route menant à l’objectif. Olivier se disait que le mouvement de la roue signifiait que le meunier était certainement dedans. Mais le bruit devait être assez fort pour ne pas être entendu.
« {~-Mais si il s’approche de toi tu ne l’entendra pas non plus.~} » commenta Franck.
L’idée de l’apprenti était d’éloigner le meunier du moulin en faisant une diversion. Il comptait pour cela mettre le feu à une petite botte de foin puis fouiller la bâtisse. Dés qu’il trouva une cible convenable pour être brûlée, il voulut sortir son briquet d’amadou. Mais cet imbécile de fermier avait oublié de le mettre dans la poche de son nouveau gilet.
« -On fais comment maintenant ? demanda Olivier.
{~-Il y une petite église à 700 pas de-là. Tu pourrais y faire un tour.~}
{~-Tu veux que je m’en remette à Dieu ?! ~}demanda Olivier interloqué.
{~-Le pire c’est que tu ne fais même pas exprès…dit Franck dépité. Non, tu vole un cierge, tu reviens, et tu fout le feu !~}
{~-Enh… d’accord… J’y vais alors.~} »
En partant Franck lui intima de faire un signe au assassins, ce qu’il fit. Il se mit à courir en petite foulée, allure que l’ancien coursier pouvait tenir des heures. À l’approche du petit faubourg, il ralentit et prit une démarche naturelle. L’église était un petit bâtiment ne pouvant pas accueillir plus de trente personnes. Son clocher était ridicule. Le novice poussa l’épaisse porte de bois en rabattant sa capuche. Personnes n’était dans la pièces, et seul un énorme cierge de un pas de hauteur portait du feu. Alors que le simplet s’escrimait à le désolidariser de son socle, Franck lui fit remarquer que de petites bougies se trouvaient dans une boîte non-loin.
« -Merci, le remercia Olivier, ça va m’aider.
-Rare sont ceux qui comprennent à ce point la volonté du Seigneur, dit une voix dans son dos.
Olivier fit volte face et vit un prêtre en soutane qui le regardait avec un sourire bienveillant.
-Je… j’était en train de…
-Je comprend mon fils. Je vous laisse en communion avec notre Père éternel… Puisse-t-Il vous bénir vous et votre famille… »
Olivier resta coi et le regarda partir en silence.
« {~-Voilà ce qui arrive quand on parle tout seul… Bon encor c’est passé cette fois-ci, mais il faut vraiment que tu fasse attention… Allez prend moi ces bougies et cassons nous !~}
{~-Ma famille, dit le jeune homme, absent. Je n’ai jamais pensé à ce qu’elle ressentirait quand je suis partis… C’est la première fois que je pense à eux depuis si longtemps…~}
{~-Ok ok ok ok on en parlera plus tard,, mais là on a une mission à terminer, voire à commencer d’ailleurs… Bon je te promet qu’on aura une longue et ennuyante discussion à ce propos, mais il faut qu’on se dépêche ! s’alerta Franck.
{~-Hein…,dit le fils déserteur semblant sortir d’un rêve. Oui tu as raison.~}
Et il sortit.
{~-t’as pas oublié quelque chose là ?…~}
{~-Les bougies… J’y retourne…~}
La recrue prit une demi douzaine de bougie et se retourna.
{~- ET ELLE VONT S’ALLUMER TOUTE SEULES !!!~} l’engueula Franck
{~-C’est bon me crie pas dessus…~} »
Le retour fut plus long du fait de la présence des bougies. L’ancien coursier fut contraint de marcher pour qu’elles ne s’éteignent pas, ce qui faillit arriver plusieurs fois. Il arriva et vit au loin des hommes et des femmes travailler au champs. Ils risquaient de l’apercevoir, mais c’était un risque à prendre. Le pyromane prit une poignée se foin et la suspendit au dessus des six flammes conjuguées. La paille prit vite et il relâcha dans le tas. De la fumée blanche très opaque s’en échappa et il dut courir vers le moulin de manière à être hors de vue du meunier quand il sortirait. Se plaquant au mur de pierres rêches, il attendit. Enfin un homme imposant en sortit en hurlant. Olivier rentra dés qu’il fut sortit et chercha du regard où cet argent pourrait être.
La salle haute de plafond était certainement la cuisine. Un évier de pierre devant la fenêtre en témoignait. Derrière le chambrant de la porte de cette salle exiguë, Le voleur vit un escalier qui devait monter à la partie mécanique de la tour. Ici le bruits de grincement s’intensifiais. Il s’y précipita et vit dessous des vingtaine de sac de grain à moudre et de blé. Il se jeta dessus et les prit un par un en les jetant lorsque que le poids et le bruit à l’intérieur de celui-ci ne lui convenait pas. En dégageant deux sacs il vit un petit coffre brun avec des ferrures. C’était ce qu’il était venu chercher. Il le souleva et Franck lui ordonna de remettre vite fait les sacs en place pour que son forfait ne soit pas si vite découvert. Quand il eu finit, l’homme avisé résidant dans sa tête lui intima de décamper.
Olivier sortit dehors en regardant le meunier s’affairer autour du feu. Des hommes s’acharnaient avec lui à étouffer la menace. Un d’entre eux leva la tête et le regarda d’abord droit dans les yeux, puis le coffre, puis de nouveau lui. Il hurla pour prévenir ces compagnons qui levèrent leurs faces comme un seul.
{~-Cavale~}, lui souffla Franck.
La recrue commença à sprinter en direction opposé tandis que derrière lui il entendais les cris de rage des villageois en colère. Beaucoup des hommes avaient leurs fourches avec lesquelles ils travaillaient, et aussi accessoirement éteignaient les feux en face des moulins en train de se faire cambrioler. Avec l’expérience ils ont aussi appris que c’était très utile pour embrocher les indésirables.
Le coffre devenait lourds dans les bras du fuyard et il eu du mal à continuer à courir. L’énergie du désespoir l’animait. Soudain une boule argenté passa près de son torse et atterrit derrière lui. Il y eu une faible déflagration et l’air devint irrespirable : il lui brûlait la gorge et lui piquait les yeux. Il s’arrêta de courir et se mit à tousser comme un perdu tandis que derrière lui les poursuivants faisaient de même. Quelqu’un lui empoigna le col et le tira hors de la zone enfumée. Il tenait toujours le tribut des templiers. Il ouvrit les yeux avec peine et discerna le visage de Bartho. Daniel lui prit le coffre des bras et il se mirent à courir à l’orée du petit bois d’où ils l’observaient auparavant. Olivier se contenta de se faire guider.
Lorsque qu’il eu un peu reprit son souffle, lui et les assassins repartirent et aucune paroles ne fut prononcée. Honteux, Olivier ne parla même pas avec Franck.
Merci d'avoir lu
Frenchement bien !
Mais quesqu'une ferrures ??
dsl du double poste cétait pour jet
Dés qu’il trouva une cible convenable pour être brûlée, il voulut sortir son briquet d’amadou. Mais cet imbécile de fermier avait oublié de le mettre dans la poche de son nouveau gilet.
j'ai pas comprit ce passage là
ferrure : je crois que ça doit être des pieces de fer , un peu comme des dorures .
2 points 500 ducats
ok dac
Lenski c'est super ce que tu vient de fair !
sérieux ? même avec la musique ?
Je trouve que la musique était un peu risqué mais , avec mon rythme de lecture , ça colle à la perfection
Lenski Lorsqu'il trouva un tas de foin ni trop grand ni trop petit pour être brulé, il sortit... . Avant Olivier était fermier, J'ai fais ça pour éviter une répétition. et oui les ferrures sont des bandes de métal entourant le coffre pour le rendre plus solide.
le dernier c'était pour asgardien
ha ok , c'est ça que j'avais pas compris , tu aurais du dire l'assassin car j'ai cru qu'on parlait du gars du manoir
Dsl j’essaierai d'être plus clair. Sinon je trouve que tes texte me ressemblent vraiment: Moi aussi je comptais épargner des cibles en leurs disant de fuir
Bon à mon tour d'aller dormir. salut tout le monde
Salut a tous, juste pour dire que je vais changer de temps. En relisant vos textes je me suis aperçu que a la 3eme personne c'était plus facile et ça passait mieu.
Bon je retourne galèré avec ma mission
Bonne galère
Merci
heu je voudrai m'acheter des couteaux de lancer, mais je n'en voi pas chez le forcheron ni de sac chez le tailleur ... comment je fait ?? et surtou combien ça coute ?
La deuxième ta pas réussi ta mission donc rien nan je dec comme tu fait parler mon perso je met 500 ducat. bon je vais lire la première