Moi ça me botte un peu de multi. A oui et bonjour tout le monde

ha bon

Bah moi ça fait depuis ac2 que je fais du jdr

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27597-3197-48-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm#message_7296

allez ludo , boulot

pk tu me demande sa lenski ??

bah parce que tu es bon , c'est tout donc si c'est vraiment tes premiers écrits , je suis jaloux vu que moi j'ai commencé à écrire en cinquième

ah

Mais les tien aussi d'histoires je les adore elle sont géniale !

Mission 3-A fait un long voyage :
Février 1780
Une lettre cachetée doit être transmise en urgence et le moyen le plus rapide de le faire et de prendre la mer. Seulement, durant le voyage, le bateau est attaqué par des pirates. La fuite ou le combat sont les seuls solutions en pleine mer.

Je contemplais l’aube du haut de la tour du repaire des assassins. Mon départ pour Athènes avait lieu à midi. Je pris donc la matinée pour dire adieu aux enfants des rues, et à mon maitre. Suite à mon combat contre l’archevêque et à l’annonce que m’avait fait le maitre, je m’étais empresser d’écrire une lettre à Carline pour l’informer de ma nouvelle position.
Le maitre me fit un cadeau avant de partir. Une dague qu’il tenait à m’offrir.
« Cette dague m’a sauvé la vie maint et maint foi, puisse-t-elle faire de même avec toi Asgardien. Me dit-il les larmes aux yeux.
_Merci maitre, j’en prendrai soin.
_Il reste encore une mission que je voudrais que tu face pour moi. Il me tendit une lettre. Tu dois faire transmettre cette lettre au mentor de Grèce. Elle seul doit savoir ce que le templier t’a dit, c’est très important.
_Très bien.
_A présent vas mon fils, et que la bonne fortune t’accompagne. »

Je partis donc pour Athènes. La mère était agitée, ce qui retarda le temps de voyage d’une journée. Rester sur le pont était insupportable, le vent soufflait à s’envoler. Je me mis dans un coin du bateau, et examina plus en détail la dague que j’avais reçu. Elle était magnifique. Sa lame était noir et courbée, des écritures en ancien grecque était inscrite en or dessus. La nuit fut très agitée, certaine vague tombèrent sur le bateau. Le capitaine hurlait des phrases que je ne comprenais pas. Il pleuvait à torrent, le bruit sourd des éclairs faisait froid dans le dos, et les vague s’abattaient sur nous comme une armée d’ennemi. Je n’arrivais pas à dormir, la tempête s’arrêta enfin au lever du jour. Tout le monde s’arrêta et regarda le soleil percé les nuages. Sentir le soleil sur sa peau faisait beaucoup de bien après une telle nuit. Mais le plaisir fut de courte durée, Au loin on pouvait voir un bateau au pavillon noir arrivé vers nous.
« Pirates ! Pirates à tribord ! Criait le guetteur. »
La panique envahie le bateau, les familles couraient pour ce cacher. Les enfants pleuraient. Tout le monde criaient, jusqu’aux deux bruit sourd venant des pirates. Je tournis ma tête en leur direction. Deux boulets de canon explosèrent le mas centrale, ce qui fit tomber le deuxième. Nous étions piégés. Les pirates arrivèrent à distance. Le capitaine de notre navire ordonna d’ouvrir le feu. Il faisait une très grosse erreur.
« Capitaine ! Capitaine avec tout le respect que je vous dois, cesser le feu ! Lui demandais-je.
_Je ne me laisserai pas écrasé par une bande de pirates !
_Mais nous somme coincé ! Nous n’avons pas d’échappatoire, laisser les prendre ce qu’ils veulent et ils partiront.
_Jamais ! Jamais je ne… »
Une balle lui transperça la tête, son sang me giclât au visage. Les pirates avaient réussi à passer. Leur capitaine qui venait de tiré lança :
« Nous avons pris le contrôle de ce vaisseau. Prenez les femmes pour vous amuser les amis ! Pilliez ce bateaux et faites le rejoindre les abymes. Dit-il en souriant. »
La colère montait en moi. Je saisis ma dague et m’élança sur le premier homme. Il tenta de paré mon coup, mais je lui tranchai la main et transperça sa gorge. Le deuxième frappa vers mes jambes, je vis un bon en avant pour l’évité et projeta l’homme à terre. Le capitaine me stoppa net. Il m’avait attrapé par le coup, m’étranglai. C’était un homme incroyablement grand, une musculature énorme. Il était Vêtu de rouge et portait un grand chapeau de pirate. Son visage était rempli de cicatrices et il n’avait pas d’œil droit. Ses dents étaient noir et son halène puait l’œuf pourrie. Sa main serrait mon coup si fort, c’était presque du surhumain. Je vis alors une croix de templier à son coup. Je compris que c’était le bateau dont l’archevêque parlait.
« C’est vous, qui êtes envoyer de Rome… pour tuer les assassins. Dis-je avec stupeur.
_Comment sais-tu cela ? Peut importer, oui c’est moi. Et à en juger par ton accoutrement tu dois en être un. Ricanait-il.
_Pourquoi prendre le contrôle de la Grèce, pourquoi maintenant ? !
_Ecoute petit je ne suis pas un templier moi, je suis pirate. Ceux qui m’engage on leur raison et c’est eu que ça regarde. Il serait de plus en plus fort et se rapprochait du bord du bateau.
_Tu obéis aux ordres, tu n’as jamais pensé à agir selon les valeurs humaines ?
_La seul valeur qui compte chez les pirates c’est le fric, et les templiers paies très bien. »
Je dégagea ma main et lui trancha la gorge. Dans les dernières secondes de sa vie, il pointa son arme vers ma jambe et tira. Je tombais a la mer, les pirates se penchèrent pour voir si j’étais vivant mais rien à la surface. Ils détruisirent le bateau en laissant les hommes et les enfants à bord. Je le vis ce désintégré. Les cris des enfants resteront à jamais dans ma mémoire. Ma vision se troublait, je perdais beaucoup de sang. Je voyais les cotes d’Athènes au loin. Mais plus rien, je fermais les yeux…

La suite dans l’anecdote 

2 point 400 argent

désolé Lens je pourrait lire à partir de 17 heure la j'ai sport.

Nom : *
Prénom : Asgardien

Nationalité : Grecque
Langue : Grecque et français

Age : 20 ans
Sexe : Homme

Physique : Mesure 1m83 pour 68kg, asse fin et musclé. Les cheveux noir mi- long et épais, les yeux bleu persans.
Morale : Il a été trouvé dans une rue de France par des Rome, puis revendu a des esclavagistes en Grèce. Il a sauvé un enfant du fouet puis c’est enfui a 12 ans, et a juré de toujours faire primer la justice avant tous. Jeune homme toujours a la recherche de sensation forte, il aime beaucoup l’escalade et le lancer de lame.

Histoire : Après c’être enfuit de ce centre d’esclavage où il a passé son enfance dans la souffrance et l’épuisement, il vécut dans la rue pendant deux mois, et fut récupérer par un assassin qui entrepris de le former. Personne ne connaissait cependant son prénom et lui-même ne le savait pas, il ne connaissait que l’esclavage. Les enfants des rues l’ont donc surnommé Asgadien, pour avoir sauvé cet enfant. A 17 ans Asgardien rencontra Carline, une espagnole venue en pour l’occasion. Au fur de leur discutions il tomba amoureux d’elle, mais elle dut repartir et ne la vit plus jamais, mais lui écrivait tous les jours par courrier. Et enfin 18 ans, jusque-là il n’était que élevé pas les assassin mais ne pouvait pas apprendre leurs savoir. Il commença donc son entrainement et il trouva un intérêt particulier aux armes de distance et a l’escalade. Quand il s’agissait de corps à corps il préférait la lame ou les couteaux il ne prenait jamais l’épée, il n’appréciait pas. Il est donc aujourd’hui un assassin, et compte bien faire honneur à son crédo

Force : 2/10
Résistance : 2/10
Déviation : 2/10
Vitesse : 2/10
Escalade : 2/10
Discrétion : 2/10
Feu de Prométhée : 0/10 (double attaque qui poignarde un garde avec une dague et tue a distance 1 à 3 gardes avec des couteaux de lancer)

Armes : dague, lame secrète.

+1500 f

quelqu'un pourait me corrigé svp ?

déjà fait , non ?

bein non tu ma juste donné mes points et mon argent

je parle des faute enfaite

ludo s'en chargera

Va mourir Lens tu te démerde )

Anecdote 1
Mars 1780 (2 semaine après la destruction du navire)

Je me réveillais dans une chambre splendide, La tapisserie paraissait neuve. Les rideaux étaient grands et majestueux. Tous paraissaient riches et élégant. Un parfum de rose flottait dans l’aire. Les draps dans lesquels j’étais, étaient doux et somptueux. Une femme assise sur une chaise à mon chevet dormait. Je ne distinguais pas son visage, mais elle me paraissait magnifique. Je voulu me lever, mais au moment où ma jambe droite toucha le sol, une douleur affreuse me pris. La douleur était telle qu’un son sorti de ma bouche et réveilla la femme. Je découvris donc enfin son visage et j’en fus stupéfait. C’était elle, Carline. Elle avait fait tous ce chemin de Madrid à Athènes pour moi.
« Asgardien tu dois rester coucher. Tu es encore faible, mon amour. Dit-elle
_Carline… Comment… Comment se fait-il que tu sois à Athènes ?
_Les assassins ont répondu à la lettre que je t’avais envoyée, je suis venu le plus vite possible. Elle m’embrassa. »

Une femme entra, elle demanda à Carline de partir. Elle me regardait, me fixait. Elle était mince, rousse, Et d’une assurance extrême.

_Sais-tu où tu es ? Qui je suis ? Et pourquoi je t’ai demandé ? Me dit-elle.
_Je suis dans un repaire d’assassin, où je ne le sais pas. Vous devez être le mentor à en juger par votre assurance. Et pourquoi je suis ici, sa je ne le sais pas.
_Nous somme à Athènes. Tout d’abord merci pour la lettre que tu transportais avec toi, elle nous d’une grande utilité pour repousser les pirates. Mais je ne vais pas t’embêter avec de telle chose alors que ta bien aimée est ici. Reprend des force, elle repart demain pour Madrid, profite bien d’elle parce qu’après ton véritable entrainement commencera. »
Elle me salua puis sortis. Je me mis sur mes jambes pour aller voir la ville départ ma fenêtre. J’avais une vue magnifique sur le Parthénon, il était si grand. Je passa l’après-midi a marché malgré ma douleur dans la ville avec Carline. Nous discutâmes pendant des heures de tous et rien. Le plaisir de l’avoir avec moi était sans égale. Le soir les serviteurs des assassins nous avaient préparés un repas en tête à tête elle et moi. Elle me racontait tellement de chose, elle était heureuse de me revoir. Une foi le dîner terminer, elle m’embrassa et m’entraina au lit.

Le lendemain matin, ma jambe ne souffrait plus. C’était magique. C’était comme si la nuit magnifique que je venais de passer avait chassé la blessure. Je contemplais la ville, elle me prit dans ses bras. Je savais que je ne la reverrai surement pas avant longtemps. Je lui coupa une mèche de cheveux et l’accrochât à ma dague. J’ai ensuite déchiré un morceau de ma cape et le lui attacha a sa cuisse nu.
« Nous serons toujours ensemble. Lui dis-je. »
Elle partit pendant que je la regardais depuis le port. Son bateau s’éloignait petit à petit du rivage. Plus le bateau disparaissait plus ma blessure se ravivait. Un homme vint vers moi, et me tendit un maquet.
« Vous êtes bien Asgardien, l’homme qui vient de Venzolaska ? Dit-il
_oui que veux-tu ? »
Il me donna le paquet et parti. Ma douleur était trop grande pour ouvrir. Je me rendis chez le médecin le plus proche et pris 3 remèdes. Je n’en bus qu’un seul, ma jambe allait un peu mieux. Je pris la direction du repaire en ouvrant le paquet. Ce que j’y vus me laissa sans voix. Un doigt envelopper dans un tissu blanc, et un papier avec pour seul écriture :
MILO.

Je pris le doigt avec moi et couru sur le port pour retrouver l’homme qui m’avait donné ce paquet. Milo avait été enlevé, je devais l’aider. Je vis enfin l’homme marché vers des gardes. Je le pris en filature. Il acquiesça au garde, surement pour leurs dires qu’il m’avait remis la lettre. Un des gardes me repéra, ils tentèrent d’agir mais ma lame était déjà sous leurs gorges. Je pris l’homme par le col et le plaqua contre le mur.
« Pourquoi ce courrier ? Pourquoi ? Criai-je.
_Pandore. »
Il frappa dans ma jambe, ce qui me fit tomber. Il avait pris la fuite. Mais où était Milo ?

Donc j'ai 1500 f et je prend trois remèdes a 100 f au cours de cette histoire, Il me reste 1200 f

voila

asgardien Ton texte est très bon, mais il y a quelque fautes d'orthographe:

que tu face-fasse; la face c'est le visage
Mère-mer; tu parle de l'eau
coup-cou; la partie du corps
maquet-paquet; faute d'inattention

Sinon ton texte est très bon, il mérite la note de lenski
Si ça peut t'aider, à ton service

Dsl du double post. Mon assassin est à montpellier et pourquoi pas pour un multi mais si tu a suivi un peu l'histoire du jeu, tu verra que ça n'a pas trop bien marché mais moi ça me tente

Merci Jet

Et pour le multi j'aimerai attendre la fin de ma prochaine mission pour partir en france Sinon c'est quand que tu poste la tienne ?

ludo

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27597-3197-48-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm#message_7296