Oui

Dit moi un qui n'a pas été fait.
J'ai peut-être Sully/Gregor, Gregor/MU(F), Gregor/Palne...

Merci les mecs pour avoir ttrouvé le courage et le temps d'écrire ces soutiens, c'est vraiment super d'avoir fait tout ça et croyait moi je vais aider !

MU(F)/Gregor et Gregor/ Palne n'ont pas été fait.

Ok je les faits!

Tiki/Anna a été fait ?

Sinon je peux le faire.

Gregor/Daraen (Femme):

Soutien C

Gregor: Tiens, Daraen. Bois donc ça.
Daraen: Hum? Qu'est-ce que c'est?
Gregor: Un remède spécial que je prends lors des longs trajets. Il sent un peu le vieux puits moisi, mais il te fera que du bien.
Daraen: Un remède? Mais je me sens bien...
Gregor: Vraiment? T'en es bien sûre? Pas d'mal de gorge? Pas de toux?
Daraen: Maintenant que tu en parles, ma gorge me fait un peu mal, c'est vrai...
Gregor: Oui, je t'ai entendue respirer pendant le combat, on aurait dit un vieil âne mourant...
Daraen: Tu as entendu ça dans toute l'agitation du combat? Ton ouïe doit être très fine.
Gregor: Pour un mercenaire comme moi, la santé c'est capital. Un soldat doit rester fort.
Daraen: Oui, tu as raison. Je ne fais pas assez attention à ma santé...Aurais-tu des conseils à me donner pour ne pas tomber malade?
Gregor: J'ai trois règles! Faut s'gargariser, s'laver les mains, et prendre sa température!
Daraen: Oh, d'accord. Cela a l'air assez simple...Tu as d'autres astuces?
Gregor: Y a bien autre chose, mais c'est un secret...
Daraen: Oh, je ne veux surtout pas..
Gregor: Il faut dormir ensemble dans la même couche pour se tenir chaud la nuit!
Daraen: Je...Je te demande pardon?!
Gregor: Le corps refroidit vite la nuit. Avec le froid, les p'tits muscles sont tout endoloris!
Daraen: Euh, ça ira! Je me contenterai de quelques couvertures supplémentaires!

Soutien B

Daraen: Oh, Gregor...Je voulais te remercier pour ton remède, il m'a fait un bien fou. Par contre, il m'a fait faire des rêves bien étranges...
Gregor: T'as pas rêvé d'moi, par hasard?
Daraen: Euh...
Gregor: Ha ha! J'le savais! Tu rougis! Ho ho! T'as rêvé qu'on dormait ensemble, non?
Daraen: Mais non, on n'était pas dans un lit! On volait dans les airs... Puis on s'est posé...sur le soleil, je crois. J'ai posé ma tête sur tes genoux... Bah, c'était un horrible cauchemar!
Gregor: Je suis pas surpris. J'fais cet effet à plein d'gens. Ils me voient et ils rêvent de moi.
Daraen: Peut-être, mais ça fait plusieurs nuit que je n'arrive pas à fermer l'œil! Tu te rends compte! Regarde, mes yeux sont complètement injectés de sang.
Gregor: Tu sais, ce genre de rêves marque souvent le début d'une belle histoire d'amour...
Daraen: Ce n'est VRAIMENT PAS le moment de plaisanter! Alors même que nous parlons, des frissons me parcourent le dos...
Gregor: Des frissons, tu dis? Laisse-moi un peu regarder tes yeux, Daraen.
Daraen: Euh, non! Ne t'approche pas de moi!
Gregor: T'es étrange, toi, tu sais. Tu veux pas te calmer un peu?
Daraen:...
Gregor: Des yeux injectés de sang, des frissons, d'horribles rêves...Tu t'serais pas faite piquer par un insecte récemment?
Daraen: A vrai dire, oui. Un gros mille-pattes m'a piquée à la cheville l'autre jour...
Gregor: J'm'en doutais! Cette satanée bestiole t'a refilé une saleté. Il faut tout de suite qu'tu t'fasses soigner! Ta vie est en grand danger, là!
Daraen: V...Vraiment? C'est si grave?!

Soutien A

Gregor: Ah, Daraen. Ca va mieux?
Daraen: Oui, et c'est grâce à toi. Je me sens déjà beaucoup mieux. Nos guérisseurs ont dit que si tu n'étais pas intervenu, je n'aurais pas survécu. Je te dois la vie, Gregor.
Gregor: Ha! Parfois les vieux fous ne disent pas que des âneries... T'es bien futée, mais un vétéran comme moi peut encore t'apprendre des choses. Ecoute tes aînés et tu finiras peut-être un jour aussi rusée que moi.
Daraen: Désolée. A partir de maintenant, je ferais plus attention à ce que tu dis.
Gregor: Oh, c'est déjà de l'histoire ancienne! Mais...
Daraen: Quoi? Y-a-t-il un souci?
Gregor: Tu fais toujours ces rêves? Ceux où on vole et où tu poses ta tête sur mes genoux?
Daraen: Oh, non. Plus maintenant, heureusement!
Gregor: Tant mieux. Sinon j'aurais dû te demander de payer pour profiter du spectacle.
Daraen: Devoir payer pour...rêver de toi?! En voilà une drôle d'idée!
Gregor: Bon, tu rêves plus d'moi, alors on va plus y penser. On a qu'à dire que c'était qu'un échantillon gratuit. Pas d'maladie, pas d'cauchemar. Pas d'cauchemar, pas d'apparitions. Pas d'apparitions, pas d'paiement. Pas d'paiement...pas d'paiement.
Daraen: Je vais faire vraiment très attention à ma santé dorénavant, tu peux en être sûr!
Gregor: Eh bien, quelle motivation! J'te fais confiance!

Soutien S

Gregor: Eh bien, t'en fais une tête. T'as encore fait des cauchemars avec moi?
Daraen: A vrai dire, cela fait un moment que je ne rêves plus de toi...malheureusement.
Gregor: Mais c'est une bonne nouvelle, ça! Tu devrais bondir de joie, non? Attends... T'as dit "malheureusement"? Ca t'manque de rêver de moi?
Daraen: Oh, bon sang! Est-ce que j'ai vraiment dit ça tout haut?!
Gregor: T'es rouge comme une tomate! C'est qu'j'te manque vraiment, alors!
Darane: Eh bien, pour être franche...Oui. Tu hantes mes rêves quand je ne le veux pas, mais quand enfin je le voudrais... Pouf! Tu disparais complètement!
Gregor: J'suis désolé. Pour me faire pardonner, j't'offre cette babiole.
Daraen: Une babiole? Mais Gregor, c'est un...
Gregor: Un anneau magique qui te permettra de me voir en rêve autant que tu veux. La seule condition, c'est qu'le sort pourra jamais être brisé. Alors? Qu'es-ce que t'en dis? T'es prête à passer ta vie avec moi?
Daraen: C'est une demande en mariage? Tu es sérieux?
Gregor: Ne pose pas la question si tu connais déjà la réponse. Je ne plaisante JAMAIS avec l'amour!
Daraen: Gregor, je sais que c'est dyr pour toi, mais je veux être sûre d'avoir bien compris. Tu me demandes de t'épouser?
Gregor: Si tu veux pas de l'anneau, t'en fais pas. T'as qu'à le jeter aux oubliettes comme le cœur brisé d'ce vieux Gregor.
Daraen: N...Non! Je le veux! Je l'accepte avec joie! Et de tout mon cœur!
Gregor: Alors je te promets les plus beaux rêves, toutes les nuits de ta vie!

Scène étrange

Ecoute bien! J'te promets de t'apporter pleins de moments heureux...tant qu'on sera tout les deux vivants!

Suikazan Oui, il a déjà été fait.

Les soutiens ave yarne ont été fait ?

faroria Pour voir les soutiens déjà postés, cherche là-dedans: https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-13-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_133996

PS: N'oublie pas de compter les soutiens postés après la liste

Je me réserve yarne palne et yarne ricken.

N'oublie pas de préciser que ce sont des soutiens Mère/fils et Père/fils.
C'est toujours plus précis même si on le devine en lisant le soutien.

Merci ddu conseil.

Virion/Lissa :

Soutien C :

Virion : Te voilà fin prêt, mon brave volatile ! Vole vers ta destinée !
Lissa : Virion ?
Virion : Horreur ! Vous m'avez surpris en plein acte.
Lissa : Dans l'acte de quoi, au juste ? De tripoter des pigeons ?
Virion : Ha ha ha ! Non, Dame Lissa. En tout cas, pas aujourd'hui...
Lissa : Alors qu'est-ce que tu fabriquais ?
Virion : J'ai attaché un petit mot à la patte de ce digne messager.
Lissa : Oh, c'est un pigeon voyageur ! Mais je ne comprends pas ce qui te gêne...
Virion : Nous n'appartenons pas à la même patrie. De sorte que je ne suis qu'un invité. Selon le protocole, je ne puis envoyer de correspondance sans une autorisation.
Lissa : Je vois mal Chrom s'énerver pour si peu.
Virion : Oh, je n'en doute pas. Mais certains ne sont pas aussi tolérants que votre frère. Je n'ai pas encore gagné la confiance de tout le monde.
Lissa : Alors va demander une autorisation à Chrom ! Si tu es honnête, personne n'aura de raison de te soupçonner. Euh, rassure-moi, tu... Bon, on a perdu assez de temps comme ça ! Je vais consulter mon frangin !
Virion : Dame Lissa, attendez ! Vous ne devriez pas... Cette histoire ne va pas bien se finir...

Soutien B :

Lissa : Hé, Virion, c'est bon, j'ai parlé à Chrom. Tu peux envoyer tous les pigeons que tu veux.
Virion : Il n'a même pas cherché à savoir ce que contenaient mes lettres... ? Fascinant ! J'admire la tolérance de Chrom. Mais sa naïveté en est presque troublante.
Lissa : Pff ! Tu n'as rien compris, toi ! J'ai inventé une petite histoire pour te couvrir. J'ai dit à Chrom que tu envoyais des lettres à tes géniteurs chez toi.
Virion : Vous devriez châtier un peu votre langage. Ces termes sont d'une vulgarité ! Et que feriez-vous si j'étais véritablement en train de révéler des secrets à l'ennemi ? Vos histoires invraisemblables finiront par vous jouer des tours...
Lissa : Es-tu en train de me dire que tu es un espion ? Tu n'en as pas l'air en tout cas.
Virion : Ha ha ha ! C'en est trop ! Chrom et vous êtes vraiment...
Lissa : Quoi ? Qu'est-ce qui te fait rire comme ça ?
Virion : Mes excuses, Mademoiselle. Tant d'innocence me laisse pantois.
Lissa : Fais gaffe, toi ! Je ne suis pas une gamine ! Je ne me laisse pas marcher sur les pieds !
Virion : Ne vous méprenez pas, Mademoiselle ! J'ai une profonde admiration pour vous. Je vous envie même. Un homme de ma caste doit se méfier de tout le monde. Les enfants ont la chance de pouvoir échapper à ces basses intrigues.
Lissa : Tu es conscient que mon rang de princesse est vingt fois supérieur au tien, pas vrai ?
Virion : Je... J'ai omis ce détail... Il n'empêche que la royauté vous préserve de bien des mots qui affligent l'humanité. En tant que noble d'une lignée bien plus modeste, je puis vous l'affirmer ! Coincé entre la masse de gueux en bas et les maisons royales en haut... Ô destin cruel ! Les nobles de mon rang n'ont donc pas droit au répit ?
Lissa : Je ne vois toujours pas pourquoi ce serait plus dur pour toi que pour mon frère.
Virion : C'est-à-dire que c'est... nuancé, vous comprenez ? Pour le commun des mortels, diriger une armée est certainement un grand fardeau. Mais un expert vous dira que... euh...
Lissa : Tu n'as pas la moindre idée de ce que tu racontes !
Virion : NON ! JE L'AVOUE ! AH, VOUS ÊTES HEUREUSE À PRÉSENT, N'EST-CE-PAS ? Je... Bien, de quoi parlions-nous ?
Lissa : De ton abruti de pigeon ! Même espion, tu ne serais un danger pour personne ! Surtout si tes lettres sont aussi brouillonnes que tes explications ! Bon, allez, je veux bien faire un effort... Que disent tes stupides lettres ?
Virion : Je crains qu'il ne s'agisse d'informations confidentielles, Dame Lissa.
Lissa : Mais alors pourquoi tout ce numéro ?!
Virion : Ha ha ! Les femmes aiment qu'on entretienne le mystère. Cette conversation m'aura été néanmoins fort agréable...
Lissa : Pourquoi ? Parce que tu auras réussi à me cacher le contenu de tes lettres ?
Virion : Non ! Il est agréable de penser que vous m'accordiez votre confiance ! C'est le plus beau cadeau qu'on puisse recevoir de la part d'une femme. Bien, ce fut un plaisir. Je vous remercie pour cette discussion.
Lissa : Tu ne sais que dire des bêtises, toi !

Soutien A :

Virion : Hmm, il devrait déjà être revenu à l'heure qu'il est...
Lissa : Tu attends ton pigeon voyageur, Virion ?
Virion : Quelle idée saugrenue ! Bien sûr que non, Mademoiselle. Je baignais dans une profonde réflexion en observant les pâles reflets du crépuscule.
Lissa : Donc, j'imagine que tu ne veux pas que je te rende ça ?
Virion : Mon brave volatile !
Lissa : Il est entré par ma fenêtre. L'orage a sûrement effrayé ce petit oiseau. Ou peut-être qu'il m'apprécie. Puisque tu n'en veux pas, je peux peut-être le garder...
Virion : Non, il a besoin d'être rassuré. Pour cela, rien de tel qu'un environnement familier. Le mieux serait que je le récupère. Sois gentille et rends-le au brave Virion !
Lissa : Et merci, c'est pour les chiens ?
Virion : Voilà ! Il a l'air déjà plus calme. Oh, mais j'aperçois une réponse attachée à sa patte.
Lissa : Que dit la réponse ?
Virion : Mmm, je vous laisse m'éclaircir sur ce point !
Lissa : Qu'est-ce que tu insinues ?
Virion : L'oiseau est entré par votre fenêtre, très chère. N'allez pas me faire croire que vous n'avez pas jeté un œil à la correspondance ?
Lissa : Je n'ai pas lu cette correspondance ! Je le jure !
Virion : Vous le faites exprès ?! Comment ça, vous ne l'avez pas lue ? C'était la meilleure façon d'en apprendre son contenu ! Et si je m'employais à ourdir un complot ?
Lissa : Pour ça, il faudrait que tu sois un peu plus intelligent !
Virion : Mais comment pouvez-vous en être aussi certaine ?
Lissa : Parce que... tu es Virion, et... j'ai confiance en toi. Si j'apprends le contenu de ces lettres, ça doit venir de toi. C'est personnel. Je ne vais pas m'en servir pour satisfaire ma curiosité.
Virion : Ça pour un comportement étrange ! Intriguant, mais étrange...
Lissa : Qu'y a-t-il d'étrange là-dedans ?
Virion : Que vous m'accordiez votre confiance. C'est fort précieux chez une femme. Mais c'est aussi quelque chose que j'ai eu du mal à gérer ces derniers temps... Quoique je commence à en apprécier la saveur.
Lissa : Où est-ce que tu veux en venir ?
Virion : Eh bien, il se pourrait qu'un jour, je ne sois plus en mesure de m'en passer. Quand ce jour viendra, je vous dévoilerai probablement le contenu de mes lettres.
Lissa : UN JOUR ?! QUEL JOUR ?! Un pigeon doit s'entendre à merveille avec une poule mouillée ! Alors je vous laisse entre vous ! Tu sais où me trouver ! Non mais !

Soutien S :

Lissa : Il paraît que tu me cherches, Virion ?
Virion : Ah, vous voilà, très chère. Oui, je souhaitais vous parler. Ce sera bref. J'attends juste... Ah, le voilà ! Ha ha ! Parfait.
Lissa : C'est votre pigeon voyageur ! On dirait qu'il porte une fleur !
Virion : Très juste ! D'une variété assez répandue sur mes terres.
Lissa : Elle est très belle. Je ne pense pas en avoir déjà vue de ce genre.
Virion : Il ne reste plus qu'à le prendre par la tige et à souffler sur ses pétales...
Lissa : Oh ! Ça a la forme d'une bague !
Virion : En effet. Dans le langage des fleurs, cela signifie que l'on se voue un amour éternel. C'est un cadeau plutôt courant pendant les mariages.
Lissa : Un amour éternel... C'est magnifique !
Virion : Cette bague est pour vous, Mademoiselle.
Lissa : Vraiment ?
Virion : Naturellement. Et ceci également.
Lissa : Mais... Virion, c'est une vraie bague, cette fois !
Virion : La délicieuse confiance dont vous me gratifiez vaut bien un modeste présent.
Lissa : C'est... C'est donc une demande en mariage ?
Virion : Si vous êtes prête à vous rabaisser à ma hauteur. Mais dans le cas contraire, je...
Lissa : Non ! Je n'ai pas d'objection. C'est juste que...
Virion : Oui... ?
Lissa : Je peux savoir ce que disaient ces stupides lettres ?!
Virion : Ah, oui. Les lettres...
Lissa : Tu avais promis de me le dévoiler en temps voulu...
Virion : Je vois. Très bien, voici. Lisez la lettre.
Lissa : « Cher Virion, votre lettre me comble de joie. J'espère que la fleur arrivera intacte. » « Votre père et moi-même avons hâte de la rencontrer dès que possible. » NAAAN, tu écrivais bien à tes parents, comme je l'ai dit à Chrom !
Virion : Aussi surprenant que cela puisse paraître.
Lissa : Quel idiot ! Tu m'as roulée dans la farine avec tes histoires d'espion et de complots !
Virion : Je n'ai fait que souligner le caractère invraisemblable de vos histoires. Nuance ! Je n'ai jamais dit qu'elles étaient inexactes !
Lissa : C'est pas croyable ! Mais alors pourquoi tout ce mystère ?
Virion : Eh bien, c'était fort embarrassant, vous comprenez. Un fier aristocrate engagé dans une guerre sans merci écrivant à sa mère...
Lissa : Non, c'est galant ! Quelle meilleure raison de se battre que l'amour maternel ? J'en étais venue à souhaiter que l'histoire que j'avais racontée à Chrom soit vraie... Et c'était le cas. J'accepte donc ta bague.
Virion : Allez-vous la porter ?
Lissa : Oui, Virion. En signe de ma confiance envers toi. Et de notre alliance.

Soutiens à venir

Ricken/Cordelia
Ricken/Miriel

Tiki / Nah a été fait ?

Oui. Les seuls de Tiki qui ont pas été fait sont Tiki/Daraen(femme), Tiki/Daraen(homme), Tiki/Linfan(femme)

Ricken/Cordelia :

Soutien C :

Cordelia : Ricken, ça va ? Tu as mal à tes petites gambettes à force d'avoir trop marché ?
Ricken : Hé, je ne suis pas un enfant, tu sais ?!
Cordelia : Toutes mes excuses. Je n'avais pas l'intention de te traiter comme un enfant. En revanche, je m'inquiète pour toi... J'ai peur que tu en fasses trop. Il n'y a pas de honte à dire qu'on a besoin de repos. On a le droit d'être fatigué !
Ricken : Mais toi, tu ne l'es jamais ! Tu ne t'arrêtes jamais ! Tu ne te plains jamais ! Je ne sais pas comment tu fais, pour en faire toujours autant, sans t'arrêter.
Cordelia : C'est sûr qu'il faudrait beaucoup plus que cette petite marche pour m'abattre !
Ricken : Pareil pour moi !
Cordelia : Hmm, mais alors, pourquoi tes jambes tremblent comme de la gelée ?
Ricken : N'importe quoi ! Elles ne tremblent pas ! Qu'est-ce que tu racontes ?!
Cordelia : Tu tiens à peine debout ! Si l'ennemi nous attaquait, là, tu n'aurais aucune chance ! Bon, quand on repartira, je voudrais que tu nous suives dans l'une des charrettes. Tu pourras même faire une petite siestounette, si tu veux !
Ricken : Mais... non ! Je n'ai pas besoin de faire une « siestounette » ! Je suis pas un bébé !
Cordelia : Quand tu te sentiras mieux, j'aurai besoin que tu m'aides pour quelques corvées. Mais, en l'état, pour l'instant, tu es inutile. Alors va dormir ! C'est un ordre !
Ricken : Bon... d'accooord... Pff !
Cordelia : Eh bien... Il ne me facilite vraiment pas la tâche !

Soutien B :

Ricken : Cordelia ? Je tenais à te remercier pour tes conseils de l'autre fois... J'avoue que j'étais bien fatigué après toute cette marche...
Cordelia : Tu te sens mieux, à présent ?
Ricken : Ah oui, ça va beaucoup mieux ! Je ne sais pas pourquoi j'ai été aussi têtu... Toi, on ne peut pas dire que tu ne t'inquiètes pas pour les autres...
Cordelia : Oh, c'est un peu le rôle que j'essaie d'avoir dans ce groupe... À une époque, j'en faisais trop et ça ne m'a apporté que des problèmes. C'est Chrom qui m'a aidée, et qui m'a évité de me faire du mal en me surmenant. Sans lui, je ne sais pas ce que j'aurais fait...
Ricken : Alors toi aussi, tu as été jeune et stupide, à un moment ?!
Cordelia : Comme tout le monde. Mais je suis plus âgée et plus sensée à présent... C'est donc à mon tour d'aider les autres.
Ricken : D'accord ! Moi aussi, maintenant que je suis plus âgé et plus sensé... … je vais aider les autres ! Pour commencer, je vais rappeler à tout le monde qu'il ne faut pas être trop têtu !
Cordelia : À tout le monde ? Y compris moi ?
Ricken : Bon, bon... D'accord... Peut-être pas à tout le monde...

Soutien A :

Cordelia : Ricken, tu es plutôt occupé ces derniers temps, non ?
Ricken : Euh, oui, je travaille super dur !
Cordelia : Tu es vraiment devenu un jeune homme sur lequel on peut compter ! Je suis assez impressionnée, je l'avoue.
Ricken : Oh... C'est la première fois que tu me décris comme un « homme »...
Cordelia : Et ça t'embête ?
Ricken : Non, sauf si c'était une façon de parler et pas un vrai compliment...
Cordelia : Rien ne t'échappe. Bien, je saurai désormais que tu es un homme ingénieux. Je vais donc arrêter de te complimenter à tort et à travers.
Ricken : Pff ! J'en étais sûr...
Cordelia : Ne sois pas vexé, Ricken. Tu as fait beaucoup de chemin en très peu de temps. Tu es en avance par rapport à beaucoup de gens bien plus âgés que toi.
Ricken : J'aimerais seulement qu'on me considère comme l'homme que je suis ! Je sais, je suis plus jeune que la plupart des gens ici... et plus petit... Mais bon...
Cordelia : Avec le temps, tu gagneras le respect des autres, Ricken. Si tu en fais trop d'un coup, on risque de te retrouver évanoui dans une charrette !
Ricken : Oui, je sais...
Cordelia : Mais, si tu es déterminé à t'améliorer, tu as déjà fait la moitié du travail.
Ricken : Vraiment ! Super !
Cordelia : Si tu t'appliques, tu seras peut-être même plus fort que moi, un jour !
Ricken : Pff ! Tu n'es vraiment pas douée pour faire des compliments sincères...

Soutien S :

Ricken : Bonjour, Cordelia... Tu as un moment pour discuter ?
Cordelia : Bien sûr, Ricken. Que t'arrive-t-il ?
Ricken : Je me demandais ce que tu pensais de moi, en tant que personne ? Est-ce que tu penses toujours que je suis un jeune garçon bête et insouciant ?
Cordelia : Pourquoi une telle question... ?
Ricken : Euh, eh bien, je me demandais si tu accepterais ce cadeau...
Cordelia : Un anneau... ?
Ricken : Il porte les armoiries de ma famille. C'est l'objet le plus précieux que nous ayons.
Cordelia : Et tu veux me le donner, à moi ?
Ricken : Oui... Je sais bien que tu en pinces pour Chrom... Enfin, tout le monde le sait ! Mais je t'aime bien plus qu'il ne pourrait jamais t'aimer ! Alors je me demandais... si tu voudrais bien m'épouser ?
Cordelia : Je... Je ne m'attendais pas du tout à ça... Je ne sais pas quoi dire...
Ricken : Je sais que tu me vois comme un enfant. Mais je suis un homme ! Un vrai ! Et je veux que tu me voies comme l'homme qui est tombé amoureux de toi.
Cordelia : Tu es pourtant encore jeune, Ricken. Mais d'un autre côté, quand je pense à l'avenir...
Ricken : Oui... ?
Cordelia : Je sais que tu deviendras un homme exceptionnel. Tu pourrais être mon égal, mon partenaire. Un allié précieux dans ma vie, en somme.
Ricken : Tu veux dire que tu... ?
Cordelia : Oui, Ricken. J'accepte cet anneau.
Ricken : Youhou ! On va se marier ! Super ! J'ai tellement hâte !
Cordelia : Moi aussi, mais nous devons être patients, tu n'as pas encore l'âge pour te marier...
Ricken : Oh, je le sais bien. Et en attendant, je ferai tout pour devenir l'homme que tu mérites. Et puis, tu seras là pour t'assurer que je le devienne, pas vrai ?
Cordelia : Bien sûr... Même si je me demande si j'ai encore quoi que ce soit à t'apprendre. Tu m'as déjà rendu tellement fière, Ricken. Notre avenir s'annonce radieux !

Mon premier soutien !

Yarne / Ricken C

Y : ...
R : Euh,Yarne ? Pourquoi est ce que tu me dévisage ainsi ?
Y : J'essaie de lire sur votre visage si vous faites des infidélités à me mère.
R : Qu...Quoi !? Des infidélités ? Mais je ne ferais jamais une chose pareille ! J'ai été fidèle à Plane depuis le jour où je lui au fait ma demande en mariage !
Y : D'accord... Tant que c'est la vérité ...
R : Qu'est ce qui te fait croire que je ne suis pas fidèle ? Tu as entendu des histoires ?
Y : Pas du tout, c'est juste une idée qui m'est venue à l'esprit l'autre jour. Voyez vous, j'ai réfléchi, et je me suis demandé ce qu'il adviendrait de moi... Si vous en veniez à penser que mère ne ferait plus votre bonheur.
R : Euh... Je ne sais pas...
Y : Je partais du principe qu'il me suffisait que vous restiez tout deux en vie. Vous finiriez par me concevoir, et bam, mon existence serait assurée. Mais en fait, tout cela serait bouleversé si vous quittiez ma mère  avant ma conception.
À l'instant précis où vous feriez ce choix, catastrophe ! Mon existence serait effacée ! Rien que d'y penser, j'en ai des frisssons dans le dos. Brrrrrr...
R : Oh... je commence à comprendre ta détresse...
Y : Alors je vais faire TRÈS attention à ce que vous rentriez dans le rang, Monsieur !
R : Euh.... Attends une minute !
Y : Pas d'inquiétude ! Je ferais une exception pour les badinages pendant les batailles. Mais à condition que les fréquentations SE LIMITENT au champ de batailles ! Bon, il faut que j'y aille. Mais n'oublez pas de vous tenir coi !
R : (seul ) Oh, ce n'est pas possible ...!

Ricken / Yarne B

Y : Ah, Bonjour, père.
R : Que se passe t'il Yarne ? Tu en fais une tête ...
Y : Treize fois hier, et huit fois avant hier. Savez vous de quoi je veux parler ?
R : Euh ... Du nombre de sorts que j'ai lancé sur l'ennemi ?
Y : NON ! Il s'agit du nombre de fois où vous avez parlé à une AUTRE femme que mère. Et moi qui vous ai cru lorsque vous disiez que vous seriez fidèle ! Vous n'avez aucune retenue, et au final, je vais disparaître ! RAAAAAAH !
R : Yarne, je disais juste bonjour, et échangeais des politesses. C'est tout.
Y : Il me semble avoir entendu bien plus que ça ! Les Tagüels ont l'ouïe très développée.
R : Oh,crois moi, tu n'as pas besoin de me le rappeler... Mais tu dois comprendre qu'il est inévitable que je papote avec mes camarades... Les hommes ET les femmes..
En pleine bataille, c'est souvent vitale de bien connaître ses compagnons d'arme. Je veux dire... Que dirais tu si quelqu'un t'interdisait de parler à Lucina ?
Y : Euh, j'imagine que ce serait un problème.
R : Je suis content de savoir que tu le vois ainsi. Mais j'aimerais que tu me croies quand je te dis que je n'ai pas l'intention d'être infidèle.
Y : Bien sûr, vous me dites cela maintenant... Peut être même y croyez vous...
Mais qu'en est il du futur ? Comment être sûr que vous ne changeriez pas d'avis ?
Vous m'avez un jour promis que vous alliez rentrer à la maison et n'êtes jamais revenu !
R : ...
Y : Euh oubliez ce que je viens de dire. Cela importe peu... J'arrêterai de vous épier. Mais si vous manquez à votre parole à nouveau, je ne le vous pardonnerai jamais !
R : ( seul ) Je comprends, maintenant. Dans le futur, je meurs, et je laisse derrière moi une promesse non tenue...

Ricken / Yarne A

R : Ah, te voilà, Yarne. Je te cherchais.
Y : Que voulez vous ? Je vous ai dit que je ne vous espoinnerai plus.
R : Ce n'est pas pour ça que je viens te voir. J'aimerais te demander pardon. Dans le futur, je t'ai promis que je serais de retour... et je t'ai déçu... je suis désolé.
Y : Mais qu'importe que VOUS vous excusiez ?! Ce n'est pas VOUS qui m'avez abandonné !
C'était un autre vous, dans une autre époque !
R : Oui... je comprends bien. En fait, tu n'es pas vraiment mon fils non plus....
Y :...
R : Ce n'est pas seulement une autre époque. Mais aussi une autre VERSION du temps.
Et pourtant, je considère que tu fais parti de la famille !
J'espère pouvoir te donner ce que ton père dans le futur n'a pas pu.
C'est ce que tu veux, pas vrai ?
Y : Euh ... je crois bien, oui.
Je sais que c'est étrange, mais je ne peux m'empêcher de vous voir comme mon père. C'est pour cela que vous voir parler à d'autres femmes m'a fait paniquer.
Je ne supportais pas l'idée que vous quittiez ma mère pour devenir le père d'un autre.
J'aurais le sentiment de perdre mon père une nouvelle fois.
R : Yarne, euh... Tu veux bien que je te fasse une promesse ?
Je jure sur tout ce qui m'est cher de ne pas mourir, et de ne pas quitter ta mère.
Tout les deux, je vous aime plus que tout au monde, et je ne vous ferez jamais de mal.
Y : je... je ne sais pas quoi dire.... hormis.... que je vous remercie.
Car cette fois, je suis sûr que vous tiendrez votre promesse.
R : Super !
Y : Ouf ! Je peux enfin me décontracter et arrêter d'avoir peur de disparaître ! Oh, je suis si heureux d'avoir trouvé en vous un père jeune et formidable !
R : Aïe ! Ya... Yarne ! Arrête de me pincher les choues !

Vous progressez vite