Stahl/Nowi
Soutien C :
Stahl : Hmm ? J'entends un oiseau chanter... Et il est très proche.
Nowi : Bonjour, Stahl ! Vous tombez à point ! Vous avez toujours ce médicament sur vous ? Donnez-m'en, s'il vous plaît !
Stahl : Pour quoi faire ?
Nowi : Ce petit oiseau s'est cassé une aile, et je veux l'aider !
Stahl : C'est pour les maux d'estomac. Je ne suis pas sûr que ça marche dans son cas.
Nowi : En effet. Que faire ? Hmm... Ah ! Je sais ! Un bâton de guérison devrait faire l'affaire !
Stahl : Nowi, je sais que tu veux juste aider, mais les bâtons de soin sont très précieux. On ne peut pas les utiliser pour un simple oiseau... même s'il est très mignon.
Nowi : Alors quoi ? On va laisser mourir ce pauvre oiseau pour soigner les bobos de Chrom ?!
Stahl : De Chrom ou de moi. Ou de n'importe qui, à vrai dire.
Nowi : *sanglots* Vous n'avez pas de cœur ! Je vous déteste ! OUUUIIINNN !!!
Stahl : Bon sang... Peut-être a-t-elle raison. Cette guerre me change en brute sans cœur. Nowi, attends. Je suis désolé... Tu as raison. Allons chercher Lissa pour sauver cette petite créature.
Nowi : *renifle* Vraiment ? Vous êtes d'accord ? Oh... Merci, Stahl...
Soutien B :
Stahl : Nowi ? J'ai apporté quelques bandages.
Nowi : Merci, Stahl. L'oiseau se sent beaucoup mieux maintenant !
Stahl : Je ne suis pas surpris. Tu t'es bien occupée de lui.
Nowi : Et si nous lui donnions un nom ? Pourquoi ne pas l'appeler Janaff ?
Stahl : Euh...
Nowi : On dirait un vrai nom d'oiseau ! Je l'ai trouvé moi-même, vous savez.
Stahl : Je ne pense pas que ça soit une bonne idée de lui donner un nom... Cela sera d'autant plus difficile quand tu devras t'en séparer.
Nowi : Mais nous n'allons pas nous séparer ! Janaff et moi sommes amis pour la vie !
Stahl : Tu sais bien que ce n'est pas possible... D'abord, comment comptes-tu veiller sur lui pendant les batailles ? Et avec quoi comptes-tu le nourrir alors que nous devons déjà nous rationner ?
Nowi : Je trouverai un moyen ! Alors, est-ce que je peux le garder ? Allez, dites oui ! Euh... S'il vous plaît ?
Stahl : D'accord, d'accord... Calme-toi... J'en parlerais à Chrom. Peut-être que nous pourrons nous partager la tâche.
Nowi : Fantastique !
Soutien A :
Stahl : Janaff semble être en forme aujourd'hui !
Nowi : Oui, nous revenons d'un vol autour du camp ! Hé hé ! C'était vraiment amusant !
Stahl : Je suis content que tu aies trouvé un ami. Peut-être que maintenant... Hmm ? D'où vient cette ombre ?
Nowi : Oh, ça alors ! Regardez cette nuée d'oiseaux !
Stahl : Janaff semble très enthousiaste, Nowi. Je pense qu'il veut les rejoindre.
Nowi : Impossible ! Nous sommes ensemble pour la vie !
Stahl : La nuée tourne autour de nous comme s'ils attendaient quelque chose... Nowi, je crois que la famille de Janaff est venue le chercher.
Nowi : Non ! Je suis sa famille maintenant ! Je vais me changer en dragon et chasser ces oiseaux !
Stahl : Tu ne peux pas faire ça, Nowi.
Nowi : Mais...
Stahl : Qu'est-ce que Janaff voudrait, selon toi ? À part plus de vers, je veux dire. Tu veux vraiment le séparer de sa famille et de ses amis ?
Nowi : Non... C'est vrai... V... Vous avez raison... même si c'est complètement nul. Je suis désolé, Janaff. Je n'aurais pas dû vous retenir contre votre gré. Snif ! Vous pouvez... snif... partir... snif... si c'est ce que vous souhaitez vraiment...
Stahl : Oh, regarde la vitesse à laquelle il a rejoint la volée ! Il est si heureux qu'il fait des vrilles dans l'air. Adieu, Janaff !
Nowi : Snif... au revoir, Janaff. J'espère que vous vous amuserez bien avec tous vos amis...
Stahl : Il est parti.
Nowi : … Au revoir, Janaff ! Au revoir !
Stahl : Tu as bien agi, Nowi.
Nowi : Au revoir ! Au revoir... Snif ! *sanglots* JAAAANAAAAAFFFF !
Stahl : Allons, Nowi ! Ne te mets pas dans cet état !
Soutien S :
Stahl : Nowi ?
Nowi : Hé hé ! Stahl.
Stahl : Qu'est-ce qui se passe ? Tu as l'air toute contente.
Nowi : La nuit dernière, j'ai rêvé que je volais avec Janaff ! Il m'a dit qu'il visitait mes rêves pour me dire qu'il allait bien.
Stahl : Hé, c'est magnifique ! Il a vraiment dû s'en faire pour toi.
Nowi : Au fait, pourquoi est-ce que vous êtes venu ? Vous vouliez quelque chose ?
Stahl : Hmm, oui, à vrai dire... Je pensais... Je pensais beaucoup à toi ces derniers temps. Depuis que tu as libéré Janaff. Je n'ai jamais vu quelqu'un se sacrifier autant pour le bonheur d'un autre... Cela m'a fait réaliser à quel point tu comptais... pour moi. Alors, je t'ai apporté cette alliance. Si tu veux bien l'accepter.
Nowi : Est-ce que ça veut dire que vous voulez vous marier avec moi ?
Stahl : Oh, tu connais cette coutume. Tant mieux ! Je n'avais pas envie de l'expliquer... Alors, oui, Nowi. Je veux t'épouser.
Nowi : Je suppose que ça fait de nous une grande famille, hein ?
Stahl : Oui, toi, moi et tous les oiseaux que nous pouvons adopter.
Nowi : Non ! Je veux avoir des dizaines d'enfants !
Stahl : Euh... des dizaines ?!
Nowi : Oh, d'accord, peut-être qu'une seule dizaine suffira. Quoi qu'il en soit, je peux avoir l'alliance ?
Stahl : Euh... oui, bien sûr.
Ah d'accord tu lui as demandé au moins ?
Je lui avais dit mais je vois pas pourquoi ça lui poserait problème. Il peut aussi avoir accès à ces informations. C'est pas comme si je copiais-coller les soutiens qu'il avait posté quelque part.
Ok.
(C'est mon premier passage sur ce topic )
Je peux faire ça en soutien :
_ Daraen (Homme) X Noire
_ Daraen (Femme) X Noire
_ Gerome X Noire
_ Yarne X Noire
_ Severa X Noire
_ Lucina X Yarne
_ Brady X Yarne
_ Severa X Yarne
_ Linfan (Homme) X Yarne
_ Linfan (Femme) X Yarne
_ Laurent X Yarne
Non, je n'adore pas Yarne et Noire, qu'est-ce-qui vous fait dire ça ?
Sumia / Sully.
Soutien C
Sumia ( toute seule. ) : Là...Alors,on ne se sent pas mieux sans ses vilains noeuds ?
Qui c'est le gentil pégase ? Hein ? Mais ! C'est toi le gentil pégase !
Sully : Tu parles encore à ce pégase ?
Sumia : Oh...Bonjour,Sully.
Sully : Tu gâtes tellement cette bête,il doit croire être mort et au paradis des pégases.
Sumia : Il a l'air si heureux,n'est-ce pas ?
Sully : Il ta mainte fois sauvé la vie en combat.
Je suppose qu'il l'a bien mérité.
Sumia : Tu aimes aussi beaucoup ton cheval,Sully,n'est-ce pas ?
Sully : ça oui ! J'en suis très fière ! Il est futé et courageux ! Que demander de plus ?
Sumia : Hi hi ! On dirait une mère qui parle de son petit.
Sully : Je t'arrête tout de suite.
Je ne suis pas du genre maternel.
Sumia : Quand bien même,c'est évident que vous vous aimez beaucoup,tout les deux.
Lorsque tu fais son éloge,il s'ébroue
plus joyeusement !
Sully : Oh ! Tu as remarqué ? Les autre ne voient en lui qu'un bête de guerre...
Sumia : C'est si agréable de pouvoir partager ces choses avec quelqu'un...Hmm...Je me demandais si tu te joindrais a moi pour...parler de nos animaux ?
Je veux dire, si ça ne te dérange pas !
Je sais que tu es très occupée !
Et puis...Je ne voudrais pas t'importuner.
Sully : Pff ! M'inportuner ? Je pourrais parler de chevaux jusqu'au grand sommeil !
Sumia : Oh,fantastique ! Laisse-moi juste préparer un de thé et...
Sully : Bouge pas petite ! Tu viens de brosser ton pégase de haut en bas,repose toi un peu.
Pour une fois c'est moi qui vais m'occuper du thé...
Sumia : Oh ! Merci !
Sully : Je reviens tout de suite !
(sully pars )
Sumia : Hi hi ! Je n'ai pas vu Sully si excitée pour quoi que ce soit !
Soutien B
Sully : J'ai ajouté un peu d'extrait de myrtille et un soupçon de moutarde.Tu aimes ?
Sumia : C'est DÉLICIEUX ! Merci , Sully.
Ce thé vient d'une marchante ambulante.
C'est un mélange rare.
Sully : Ah ! Les marchands de thé sont aussi rares que leurs mélanges en ces temps sombres.
Sumia : Mais c'est en ces temps sombres qu'on a le plus besoin de thé.
Enfin,c'est ce que la marchande m'a dit,
et je crois qu'elle na pas tort.
Sully : Sûrement ! mais oublions la guerre un instant et parlons d'autre chose.
Sumia : Oh,oui ! Ce serait si agréable !
Alors...Hmm...De quoi veux-tu parler ?
Peut-être d'autre chose que des chevaux ?
On pourrait peut-être aborder des sujets...
de filles ?
Sully : Oooooh ! On dirait que Sumia veut avouer un amour interdit !
Sumia : S...Sully ! Chhhhuuuuut §
Quelqu'un pourrait t'entendre !
Sully : Ah ah ah ! J'ai vu clair dans ton jeu du premier coup ! Allons je suis une femme moi aussi.Je sais ce que c'est...
Et à quoi servent les amis si ce n'est à confesser ses passions secrètes ?!
Sumia : Bon,d'accord...Mais toi la première !
Sully : M...Moi ?! Mais je...Enfin,je...
Oh Sumia ! Ce n'est pas juste !
Sumia : Hi hi ! Je t'ai rarement vue si embarrassée.
Sully : Pas du tout.Seulement ma vie amoureuse fait moins de vagues qu'on lac gelé.
Sumia : Pour es-tu si timide si soudainement ?
Tu ne l'étais pas autant lorsque nous parlions de nos animaux.
Sully : Oui,mais ce sont des animaux je pourrais parler de chevaux toute la journée...
L'amour, c'est tellement...Tu sais ?
Mièvre...
Sumia : Tu préférais que l'on parle encore de chevaux ?
Sully : Et comment !
Soutien A
Sully : Eh bien... Quand ils sont côte a côte,
on voit à peine les différences !
Si ce n'était pas les ailes , les pégases et les cheveux serait exactement pareil.
Sumia : Ils mangent même la même chose !
Ils sont peut-être cousins ?
Sully : Mais je me demande comment les pégases ont fini par avoir des ailes...
Sumia : Je me suis , toujours demandée comment les chevaux avaient perdu les leurs.
Sully : Ah ! Je n'y avais jamais pensé ainsi !
En tout cas,ils sont bien étranges.
Bien qu'on pourrait en dire autant des...dragons ou... des gens...
Sumia : Je pense que chaque créature est étrange et merveilleuse a sa manière !
...Sauf les vaches.
Je n'ai jamais trop aimé les vaches.
Sully : Quand j'étais petite,on m'a dit que les dieux avaient créé toutes les créatures.
J'ai alors demandé qui avait créé les dieux.
Ah ! ça leur avait cloué le bec.
Sumia : Oh je déteste ce genre de questions...
Elles me rappellent combien nous si peu sur tant de choses.
Sully : Oui je sais ce que tu ressens.
On invente ces histoires et ces légendes pour expliquer ce qu'on ne comprend pas...
Mais c'est explications ont encore moins de sens que ce qu'elles veulent expliquer !
Sumia : Et c'est ainsi qu'on finit en guerre pour idées.Car personne ne sait qui a raison.
Sully : Je suppose qu'on ne peut éviter la guerre quand il existe déjà tant de versions de la vérité.
Sumia : J'aimerai croire qu'un jour nous vivrons dans un monde qui ne connaît pas la guerre.
Sully : Tu sais,je pense que ce jour approche,et peut être plus tôt que tu ne le crois.
Sumia : Nous aurions plus de temps pour boire du thé !
Sully : Et parler de chevaux !
Sumia : Hi hi ! Oui bien sûr.
Punaise j'ai galérer pour faire ce soutien j'avais que la relation C et j'ai pas toucher a ces deux persos donc c'était l'enfer de les faire combattre même dans les escarmouches les plus facile.
Stahl/Tharja :
Soutien C :
Stahl : Hé, Tharja ! Attrape !
Tharja : Une figue... ? Qu'est-ce que tu veux que je fasse avec une figue ?!
Stahl : Je me suis simplement dit que tu aurais faim. Tu as à peine touché ton déjeuner et tu es un peu maigrichonne... Une bonne figue bien juteuse, j'ai pensé que ça te ferait du bien.
Tharja : Tu m'espionnais pendant le repas ?!
Stahl : Pas du tout ! Je ne t'espionnais pas ! Et la cantine est un endroit public, non ? Enfin, voilà... J'ai remarqué que tu ne raffolais pas des haricots...
Tharja : Bon, d'accord. Tu m'as démasquée... C'est très gentil de ta part.
Stahl : En fait, j'en ai tout un sac avec moi. Si tu veux, je pourrais les laisser...
Tharja : Une seule me suffira.
Stahl : Ha ha ! Une seule ? Tu as peur de grossir ? Hmm... Enfin, bref... Bon, n'hésite pas à venir me voir si je peux faire quelque chose d'autre pour toi.
Tharja : Cette gentillesse spontanée est des plus suspicieuses...
Stahl : Pardon ? Quoi ? Je n'ai pas bien entendu ce que...
Tharja : Je n'ai rien dit ! … Sais-tu qu'il est de coutume de s'échanger des mèches de cheveux entre amis ? Peut-être voudrais-tu bien m'en offrir une... ou deux ?
Stahl : Hein ? Oh, euh... Oui, bien sûr... Si c'est une coutume, alors...
Tharja : Merci. C'est admirablement aimable... Hin hin hin !
Soutien B :
Stahl : Bonjour, Tharja... Dis-moi, j'ai repensé à cette coutume d'offrir des mèches... Eh bien, j'ai demandé un peu autour de moi, et personne n'en a jamais entendu parler.
Tharja : Tu parles de cette histoire ridicule d'échange de mèches entre amis ?
Stahl : Euh... ridicule ?
Tharja : Ah ! Je suis un mage noir. Tu sais ce que font les mages noirs avec les cheveux ?
Stahl : Euuuh... Quoi ?! Ne me dis pas que tu m'as... jeté un sort ?!
Tharja : Oh, ne t'énerve pas. Ce n'est pas bien méchant, vraiment. Cette malédiction te force juste à me dire la vérité, et rien que la vérité... Et dans le cas où tu me mentirais, tu mourrais dans d'atroces souffrances.
Stahl : Hein ?! C'est vraiment pas gentil du tout, ça... !
Tharja : Alors, pourquoi es-tu si gentil avec moi ? Réponds ! Et ne me mens pas, sinon...
Stahl : Gloups... Je voulais... Enfin, j'étais... J'étais inquiet... J'avais peur que tu...
Tharja : Que je sois une espionne plégienne ? C'est ce que je pensais... Mais tu devrais savoir que je hais ce lâche de Gangrel. C'est indigne d'un roi de sacrifier son royaume pour ses sombres desseins. Son accession au trône n'était qu'une mascarade.
Stahl : Non, ce n'est pas ce que...
Tharja : Je suis loyale envers Chrom, et ce, depuis le début. Enfin, évidemment, aucun d'entre vous n'a l'air de me croire quand je le dis.
Stahl : Tharja... Ce n'est pas ce que je voulais dire quand je disais que j'étais inquiet.
Tharja : Oh, voilà qui est intéressant... Alors, que voulais-tu dire, exactement ?
Stahl : C'est que... tu sembles toujours être seule, sans amis... Je pensais que tu aimerais peut-être un peu de compagnie.
Tharja : Si je voulais des amis, je les invoquerais depuis les profondeurs des ténèbres !
Stahl : Ouhlaaa ! D... D'accord ! J'ai compris ! Je vais te laisser tranquille... J'y vais !
Tharja : Attends... Tu n'es pas obligé de partir... Je suis surprise que tu sois vraiment celui que tu prétends être. C'est tout...
Soutien A :
Stahl : Salut, Tharja. Qu'est-ce que tu fabriques avec cette grosse boule de cristal ?
Tharja : Je fais de la divination.
Stahl : Euh... D'accord... C'est comme... lancer une malédiction ?
Tharja : La divination est l'art de prédire l'avenir. En ce moment, j'essaie de voir qui gagnera notre prochaine bataille.
Stahl : Noooon ! Ne fais pas ça !
Tharja : Pardon ?
Stahl : Connaître l'issue de la bataille ne nous apportera que des ennuis ! Si tu nous vois victorieux, nous pourrions devenir trop confiants et perdre. Mais si tu nous vois vaincus, notre moral en prendrait un coup et saperait nos efforts ! Tu comprends ? Quoi que tu vois, rien de bon ne peut s'ensuivre !
Tharja : Hmm... C'est une façon de voir les choses. Mais je pensais que ça te motiverait...
Stahl : Non ! La seule motivation dont j'ai besoin, c'est le festin qui suit la bataille.
Tharja : Et quelle motivation, en effet...
Stahl : Mais ne t'inquiètes pas ! Tu es mon amie très chère ! Je préférerais mourir plutôt que de laisser quelque chose t'arriver !
Tharja : Pardon ?
Stahl : Oh ! Je t'ai appelé « amie très chère » ? Désolé ! Je ne sais pas ce qui m'a pris ! Tu es une amie et une alliée vaillante ! C'est tout ! Rien de plus !
Tharja : Comme c'est étrange.
Stahl : Hé, c'est toi qui m'as jeté ce sort de vérité à la noix ! Je ne peux rien y faire si tout ce que je raconte est parfumé à l'eau de rose !
Tharja : Hmm... Ah oui... J'avais oublié...
Stahl : C'est étrange tout de même. Être obligé de dire la vérité, c'est plutôt relaxant, en fait.
Tharja : C'est la première fois qu'une de mes victimes me remercie. … Enfin, si tu veux toujours que nous soyons amis, ce n'est pas un mal, je suppose.
Stahl : Vraiment ! Tu es sérieuse ? Mon cœur bandit de joie, comme si j'avais vu dix douzaines de chiots tout mignons ! … Euh... Tu pourrais enlever ce sort, maintenant, non ?
Soutien S :
Stahl : Ha ! Hya ! Hiiiiya ! Non. Ce n'est pas encore ça...
Tharja : Tu y arriveras un jour.
Stahl : Oui, mais quand ? Je dois m'améliorer si je veux servir Chrom et les autres. Et je n'ai aucune chance de te plaire si je ne deviens pas fort et puissant.
Tharja : Me plaire... ?
Stahl : Oui. Je veux dire, tu es toujours forte, coriace et... terrifiante. Mais pas moi ! Je ne suis qu'un type nonchalant qui vie sa vie tranquillement. Et si je ne deviens pas plus fort, je... Tu sais... Je n'ai aucune chance.
Tharja : Réduire en miettes un mannequin de paille ne changera pas mon opinion sur toi.
Stahl : Peut-être... Mais ça ne peut pas non plus faire de mal, si ?
Tharja : Tu n'y es pas... Ta nonchalance et ta modestie SONT tes forces. Elles sont aussi... étrangement charmantes.
Stahl : Quoi ? Vraiment ? Charmantes ?
Tharja : Oui, je le pense... Les dieux seuls savent pourquoi, d'ailleurs.
Stahl : Oh, Tharja ! Épouse-moi !
Tharja : C'est une espèce de plaisanterie ?
Stahl : Je t'aime ! Mon désir ardent brûle mon cœur comme dix mille soleils ! Tu es si jolie que j'en ai du mal à respirer ! *halètement* Regarde, je t'ai même trouvé un anneau. Allez, s'il te plaît !
Tharja : Pour quelqu'un de si humble et modéré, tu caches bien ton jeu... Très bien. J'accepte.
Stahl : Vraiment ?! WOUHOUUUUU ! Tharja, c'est le plus beau jour de touuute maaa vie ! Et tu sais que c'est la vérité, car je mourrais d'une mort affreuse si je te mentais !
Tharja : Hmm... En fait, j'ai annulé ce sort il y a déjà un moment.
Stahl : Tu as annule ce... Attends... quoi ?!
Tharja : Eh oui. Tu aurais pu me mentir pendant tout ce temps.
Stahl : Vraiment ? C'est la vérité vraie... ? … Je crois que les papillons qui m'habitaient sont maintenant tous morts de honte...
Soren, c'est bon pour mes soutiens ou pas ??
Oui, j'étais en train de checker si on les avait ou pas. On les a pas donc tu peux les poster quand tu veux, ça remplira bien la liste. On va peut-être réussir à les finir un jour si d'autres gens en plus s'investissent.
Je sors les premiers dès que je peux.
Ce soir je poste :
Miriel / Sully
Et peut être
Maribelle-Ricken
Non, je n'adore pas Yarne et Noire, qu'est-ce-qui vous fait dire ça ?
Moi j'adore Noire et je le cache pas.
Daraen (Homme) X Noire
Soutien C
Noire : *soupir*
Daraen : Qu'est-ce qui ne va pas, Noire ?
Noire : Hiii ! Oh. Daraen ! Ce n'est rien... rien du tout... Je suis juste un peu fatiguée, j'imagine.
Daraen : Alors tu devrais te reposer en faisant une sieste. Il n'y a rien de prévu aujourd'hui.
Noire : Vraiment ? Oui, je vais peut-être faire ça, mais...
Daraen : Allons, mets de côté tes inquiétudes. Tu t'en fais toujours beaucoup trop, Noire. Tu vas finir par t'épuiser.
Noire : Mais ce n'est pas très honnête de se reposer quand les autres travaillent ! Je vais retarder tout le monde...
Daraen : Fais ce que tu dois faire, mais promets-moi de prendre soin de toi.
Noire : Oui... Je suis désolée que vous m'ayez vue dans cet état.
Soutien B
Noire : *soupir*
Daraen : Qu'est-ce qui ne va pas, Noire ? Encore fatiguée ?
Noire : Non, ce n'est pas ça. Je suis fatiguée, mais...
Daraen : Oui ?
Noire : Je réfléchissais à des moyens de devenir plus robuste. Dernièrement, j'ai observé les autres filles en essayant de voir nos différences.
Daraen : Est-ce que tu en as trouvées ?
Noire : Elles ont l'air en meilleure santé, et d'apparence plus solide.
Daraen : Vu comme ça... Et donc tu serais plus... fragile ?
Noire : Fragile ? Ha ! Je n'ai que la peau sur les os ! Une brise et je m'envole ! Elles ont aussi tellement d'énergie, c'est comme de regarder le soleil... Moi je me sens comme un insecte, à côté d'elles. Oh, qu'est-ce que vous pensez que je devrais faire, Daraen ?!
Daraen : Je pense que tu as tendance à t'inquiéter outre-mesure. Et ton anxiété agit sur ton organisme, d'une façon ou d'une autre...
Noire : COMMENT ?! VOUS OSEZ DIRE QUE JE SUIS DÉCRÉPIE ?!
Daraen : N... Non, Noire ! Jamais ! Je ne dirais jamais quelque chose comme ça !
Noire : ALORS PARLEZ, MORTEL ! QUE DEVRAIS-JE FAIRE ?!
Daraen : On dit que l'habit fait la personne. Pourquoi ne pas commencer par là ?
Noire : Oh ! Alors vous pensez que je devrais m'habiller de façon plus festive... ?
Daraen : Oui, c'est ça, de façon plus "festive". Ça pourrait te donner un peu plus d'énergie...
Noire : Hum... je vais y réfléchir.
Soutien A
Noire : *soupir*
Daraen : Encore en train de soupirer ?
Noire : Oh. Bonjour...
Daraen : Tes problèmes ne sont pas réglés ?
Noire : Je voulais suivre votre conseil, mais je ne sais pas ce qui constitue un vêtement festif.
Daraen : Ah. Même si tu savais, je ne savais pas où est-ce que tu pourrais en trouver... Je veux dire, nous sommes en guerre, après tout...
Noire : Est-ce qu'il n'y a pas un moyen de devenir plus féminine ?! Je veux briller comme les autres, même pour un seul jour...
Daraen : S'inquiéter ne te mènera nulle part. L'angoisse est ton plus grand ennemi. Pourquoi ne pas te détendre un peu ? Va t'amuser quelque part !
Noire : Oui, je devrais me faire plaisir et faire... Hmm, faire quoi exactement... ?
Daraen : Pourquoi ne pas t'acheter des friandises en ville ?
Noire : Je ne veux pas être la seule à profiter d'un tel luxe. Pas en cette période.
Daraen : Ah, mais profite un peu de la vie, bon sang. Je ne pense pas que tu puisses te sentir coupable d'acheter un petit gâteau !
Noire : Vraiment ?
Daraen : Oui, et si tu ne veux pas manger toute seule, je t'accompagne.
Noire : Cela ne vous dérange pas ?
Daraen : De manger un gâteau ? Certainement pas ! La prochaine fois que nous sortirons en ville, nous irons à la pâtisserie, d'accord ?
Noire : D'accord !
Soutien S
Daraen : Tout va bien, Noire ? Tu as l'air abattue.
Noire : Hiii ! Oh. Daraen. Non, pas plus que d'habitude. Je veux juste être plus... vibrante. Comme les autres filles... Mais il n'y a rien à faire ! J'ai l'impression de ne pas avoir fait le moindre progrès.
Daraen : Hmm, eh bien... Tu... as essayé l'amour ?
Noire : Euh... non.
Daraen : On dit qu'il n'y a pas plus éblouissante qu'une femme amoureuse. Essaye ! Mais... tu dois d'abord rencontrer quelqu'un de spécial...
Noire : Quoi ? Oh, eh bien je crois que j'ai quelqu'un en tête, en fait. Quelqu'un qui m'écoute toujours et m'offre ses conseils... *marmonnement*
Daraen : Désolé, je n'ai pas saisi la dernière phrase.
Noire : *marmonnement* Vous voulez vraiment savoir ?
Daraen : Hein ? Euh, oui.
Noire : Alors... écoutez attentivement.
Daraen : Hmm ?
Noire : C'est... C'est vous, Daraen. C'est vous que j'aime.
Daraen : Quoi ?!
Noire : JE VOUS DIS QUE C'EST VOUS QUE J'AIME, IMBÉCILE D'HUMAIN !
Daraen : Aaah ! Désolée ! Je t'ai entendue ! J'étais juste surpris ! Est-ce que tu pensais réellement ce que tu as dit ? Ou est-ce que c'était juste pour être plus... éclatante ?
Noire : Non, je le pense réellement ! J'ai des sentiments pour vous depuis le début !
Daraen : Oh, vraiment ?
Noire : OUI, VRAIMENT, MISÉRABLE CRÉATURE !
Daraen : ... Hé... Ha ha. Haaa ha ha ha !
Noire : Qu'est-ce qu'il y a de tellement drôle ?!
Daraen : Ha ha ha ! Ha ha... Je suis désolé. J'essaie juste d'imaginer quelqu'un de plus éclatant que toi, Noire. Ne change rien, tu es bien comme tu es. Délicate et douce, toujours plus inquiète pour les autres que pour toi-même... Même quand tu deviens folle, c'est mignon. J'aime tout en toi.
Noire : Vous pensez vraiment ce que vous dites ?!
Daraen : Je ne plaisante jamais avec ces choses-là, Noire ! J'espère que tu arrêteras de faire des efforts pour être quelqu’un d'autre... et que tu réaliseras que tu es déjà une personne formidable.
Noire : D'accord... et... merci !
Scène confession : Notre amour me procure une force dont je ne me serais jamais crue capable. Il ne faut pas me laisser seule, jamais.
Daraen (Femme) X Noire
Soutien C
Noire : Daraen.
Daraen : Bonjour, Noire. Que puis-je faire pour t'aider ?
Noire : Oh, rien du tout. Je voulais juste vous regarder de près.
Daraen : Euh, d'accord, si tu veux... Qu'espères-tu donc observer ?
Noire : C'est que... vous êtes si merveilleuse et extraordinaire ! *soupir* J'aimerais que ce soit VOUS, ma mère.
Daraen : Noire, voyons ! Tharja est une jeune femme bien comme il faut. Je suis sûre qu'elle a été... euh, qu'elle sera une bonne mère.
Noire : Je ne sais pas. Je n'ai pas l'impression qu'elle soit un modèle de bonté maternelle.
Daraen : Peut-être ne devrais-tu pas placer la barre trop haut... Si tu ne t'attends pas à la perfection, ta mère te paraîtra bien plus acceptable.
Noire : Peut-être. Mais je pense quand même que vous seriez bien meilleure, et de LOIN ! Donc, je voulais savoir... Est-ce que ça vous dérangerait si je vous appelais "maman" ?
Daraen : Ahem... Euh... Je ne...
Noire : Vous allez dire non, n'est-ce pas ?
Daraen : Je pense que cela serait... étrange. Les gens se feraient de fausses idées.
Noire : Snif !
Daraen : Oh, par pitié, ne me regarde pas avec cet air de chien battu ! Ecoute, tu ne peux pas me dire "maman", mais tu peux me tenir compagnie...
Noire : Vraiment ? Ça alors, merci-merci-merci ! Comptez sur moi !
Daraen : Il me semble que cette histoire va être plus compliquée qu'elle n'y paraît...
Soutien B
Noire : Bonjour, Daraen. Ça vous dérange si je vous tiens à nouveau compagnie ?
Daraen : Je suppose que non. Mais me révéleras-tu enfin ce que cette histoire de "maman" veut dire ?
Noire : C'est simple : vous êtes si forte, et si gentille, et si charismatique... Vous êtes une meneuse née, aussi bien sur le champ de bataille qu'en dehors. Vous avez une douce aura maternelle qui enveloppe tous ceux qui s'approchent. Et votre présence calme et magistrale donne aux autres un sentiment de sécurité. Vous êtes comme une mère pour l'armée toute entière, Daraen !
Daraen : Sapristi ! Je crois que l'on ne m'a jamais fait un compliment si exagéré. Mais je suis encore si jeune, Noire. Je n'ai pas la moitié du mérite que tu m'accordes.
Noire : Vous vous dites jeune, mais comment pouvez-vous le savoir à coup sûr ? Vous avez complètement perdu la mémoire, non ? Qui sait quand vous êtes née ?
Daraen : Hmm. Et bien, j'imagine que je pourrais être une vieille bique sans le soupçonner. Si c'est le cas, je vieillis plutôt bien.
Noire : Mais, au passage, votre âge n'a pas d'importance. Enfin, pas pour moi... Je pense quand même que vous feriez une mère parfaite.
Daraen : Noire, qu'est-il arrivé à Tharja dans le futur ? Noire : Elle est morte. Comme toutes les autres mères. Sans exceptions.
Daraen : Bonté divine...
Noire : Les pères sont souvent morts en premier, vu qu'ils étaient en première ligne au combat. Ensuite, les Ombres se mirent à éliminer celles et ceux qui restaient, un par un.
Daraen : Je comprends... C'est pour cela que tu cherches une nouvelle maman.
Noire : Oui, sans doute. En tout cas, merci de m'avoir écoutée, Daraen. Je... je dois y aller, maintenant.
Daraen : Oh, Noire...
Soutien A
Noire : Daraen. Vous êtes réveillée !
Daraen : Hein ? Noire ? Je dormais ? Mais... Où suis-je ?
Noire : Vous êtes dans la tente des guérisseurs. Vous vous êtes écroulée subitement. Ils disent que votre sang est pauvre, je crois.
Daraen : C'est toi qui m'a trouvée et amenée ici ?
Noire : Oui. Je ne vous ai pas quittée depuis que vous êtes arrivée ici. J'ai moi-même souvent séjourné dans cette tente, alors je sais comment ça se passe.
Daraen : Merci de t'être occupée de moi.
Noire : Oh, ce n'est pas la peine de me remercier. Ce fut un honneur.
Daraen : J'ai beaucoup travaillé ces derniers temps. C'est peut-être la fatigue qui me rattrape. Mais il va falloir que je trouve une solution ! Je ne peux pas me permettre d'être malade.
Noire : Oh, misère, je suis désolée ! Tout cela est ma faute ! C'est moi qui vous ai poussée à vous fatiguer jusqu'à l'épuisement total !
Daraen : Euh, en fait, cela n'avait rien à voir avec ce...
Noire : Si, c'est ma faute ! N'essayez pas de nier l'évidence ! C'est parce que j'ai dit que vous étiez comme une mère pour nous, n'est-ce pas ? Vous devez prendre soin de vous, Daraen ! Il le faut ! Ne vous mettez pas toutes les charges sur le dos.
Daraen : ...
Noire : Et si vous avez besoin de soutien, vous pouvez venir me voir, vous savez.
Daraen : Tu as vraiment une belle âme, Noire. Cela me soulage de savoir que tu es là pour prendre soin de moi.
Noire : Hi hi ! De même pour moi !
Daraen : C'est étrange d'imaginer mes camarades comme autant de mes enfants déjà grands. Mais c'est vraiment agréable de savoir que tant de gens se font du soucis pour moi.
Noire : Vous êtes très chère à tout le monde ici... ! Enfin, surtout pour moi... !
J'en profite pour dire à Soren que je peux aussi faire Daraen (Homme) X Yarne et Daraen (Femme) X Yarne.
Pour les enfants je ferai
Gerome X Linfan
KjelleX Laurent.
Brady X Cynthia.
Stahl/Maribelle :
Soutien C :
Stahl : Maribelle, euh, au sujet de ce service que je t'ai demandé l'autre fois...
Maribelle : Zzzz... Oh, partez... Je ne veux plus vous voir... Franchement, mon cher Chrom, c'est le cadet de... Zzzzz...
Stahl : Euh, Maribelle ?
Maribelle : Ah ! Qu'est-ce ?! Où... où suis-je ? C'est vous, Stahl ?
Stahl : Tu étudies trop, Maribelle ! Tu devrais faire une pause ! Tu n'arrives même plus à garder les yeux ouverts.
Maribelle : Pour parler sans ambages, Monsieur, mon repos ne... *bâille* Oh, pardonnez-moi ! Je voulais donc dire, mon repos ne vous regarde en rien, et je me porte très bien.
Stahl : Ce n'est pas vrai ! Je viens de te surprendre à dormir debout ! Tu as des vertiges ? De la fièvre ? Des frissons, peut-être ?
Maribelle : Je vais bien, vous dis-je ! J'ai eu... un brin d'indigestion tantôt, mais ce n'est rien.
Stahl : Tu devrais essayer mon remontant spécial ! Ça fait des miracles pour l'estomac.
Maribelle : Bien, si vous insistez... Merci. Ce... Cela devrait me donner la force... de continuer pendant quelques jours...
Stahl : Mais il faut que tu dormes régulièrement, aussi !
Maribelle : Oui, oui... Je sais bienzzZz... Zzz...
Stahl : Euh... Maribelle ? Maribelle ?
Soutien B :
Maribelle : Ah, Stahl. Je tenais à vous remercier pour votre prévenance, l'autre jour. Votre remontant a fait des merveilles.
Stahl : Je me réjouis d'avoir pu être utile.
Maribelle : Et en fait, je me demandais si vous en aviez encore une dose ou deux à m'offrir.
Stahl : Tu te prépares à une autre nuit blanche ? Parce que si c'est ça...
Maribelle : Si vous refusez de m'en donner, dites-le et épargnez-moi vos états d'âme !
Stahl : Ouah ! Voi... Voilà ! Tu peux en avoir autant que tu veux !
Maribelle : Ahem... Merci. C'est très gentil de votre part.
Stahl : Je sais que cela ne me regarde pas, mais... prends soin de toi, Maribelle.
Maribelle : Oh, très bien... J'imagine que je vous dois une explication, en quelque sorte. Depuis fort longtemps, je rêve d'entrer dans la magistrature royale. Mais maintenant que je sais tout ce qu'il faut lire et apprendre, je désespère !
Stahl : Waouh ! Cela semble être un sacré défi ! J'admire ton courage et ta détermination. Est-ce qu'il y a, euh... un moyen pour moi de t'aider à réaliser ce rêve ?
Maribelle : J'imagine que je pourrais vous trouver une tâche. Mais que vous en importe ?
Stahl : Parce qu'il se trouve que je n'ai aucun rêve, et souhaite vivre le tien par procuration... ? Non, sérieusement, nous sommes amis ! Je veux simplement t'aider, c'est tout.
Maribelle : Eh bien, il se trouve que je suis à la recherche de certains documents légaux...
Stahl : Je m'en occuperai avec plaisir !
Maribelle : Parfait ! En contrepartie, je vous aiderai à découvrir votre propre rêve !
Stahl : Oh, ne t'inquiète pas pour ça. Je n'ai pas besoin...
Maribelle : Vous avez partagé votre remontant, et allez m'aider dans mes études ! En tant que femme de haut rang, il m'incombe de vous rendre la pareille.
Stahl : Mais... euh... tes rêves me suffisent !
Maribelle : Vous dites que nous sommes amis, n'est-ce-pas ? Que font les amis l'un pour l'autre ?
Stahl : *soupir* Ils s'aident...
Soutien A :
Stahl : J'ai trouvé les documents que tu cherchais.
Maribelle : Excellent ! Je vous remercie vivement pour votre gracieuse aide. Au fait, j'ai esquissé une liste hypothétique de vos rêves.
Stahl : Oh. Je pensais que tu aurais... oublié.
Maribelle : Bien sûr que non ! Allez, sans réfléchir, dites-moi ce qui vous plairait le plus... Préféreriez-vous gravir les échelons dans l'armée ou reprendre l'officine familiale ?
Stahl : Hmm... Les deux propositions me semblent attrayantes.
Maribelle : Allons, Monsieur ! Un honnête homme se doit d'avoir une opinion sur ces choses !
Stahl : Eh bien, j'y ai beaucoup pensé. Beaucoup trop, même, à vrai dire. Et je n'ai aucune idée de quoi ce monde sera fait lorsque la guerre sera terminée. C'est pour ça que je préfère m'occuper du bonheur de mes amis avant de me décider. Ça n'a jamais été mon fort de m'occuper de moi-même. La seule chose qui me tient motivé, c'est d'aider quelqu'un d'autre.
Maribelle : Dans ce cas, je ne peux rien faire pour vous.
Stahl : Hein ? Je m'attendais à ce que tu me dises de me ressaisir, ou bien...
Maribelle : Si vous n'aviez pas longuement réfléchi, j'aurais été furieuse. Mais vous avez déjà choisi votre voie. Vous souhaitez faire le bonheur de vos amis. Et je suis sûre que vous ferez de votre mieux pour y arriver. Voilà votre rêve, Stahl ! Et il demande du courage et du zèle !
Stahl : Hé, je ne suis peut-être pas fait pour les grandes causes mais j'aime aider les autres.
Maribelle : Cela me paraît un peu trop humble à mon goût, mais votre sincérité est indiscutable.
Stahl : Merci... En tout cas, pour le moment mon devoir est de t'aider, ainsi que Chrom. Que puis-je faire d'autre pour toi ? Tu as d'autres documents à trouver ?
Maribelle : Je pense que cela peut attendre un peu. Que diriez-vous d'une petite pause autour d'une délicieuse tasse de thé parfumé ? Cela fait si longtemps que je n'ai pas eu l'occasion de bavarder !
Stahl : Avec plaisir !
Soutien S :
Stahl : Maribelle, tu cherchais ce livre, n'est-ce-pas ?
Maribelle : Oh, mais oui. Comment l'avez-vous deviné ?
Stahl : J'ai passé beaucoup de temps à tes côtés. Cela devient une seconde nature. Par exemple, je parie que tu rêves d'une tasse de thé, en ce moment.
Maribelle : C'est vrai que maintenant que vous le dites, je ne refuserais pas une petite pause. Vous êtes devenu un spécialiste dans l'art de prévoir chacun de mes besoins ! Depuis que vous avez commencé à m'aider, j'ai pu dire adieu aux nuits blanches. Stahl, je crois vraiment que vous avez un don particulier pour aider vos prochains !
Stahl : Cela me fait plaisir d'aider les gens. Mais il y a une personne qu'il me plaît d'aider plus que quiconque... Il s'agit de toi, Maribelle.
Maribelle : Ciel, Stahl ! Est-ce là un anneau ?
Stahl : Je suis parfaitement épris de toi, Maribelle ! Que ce soit porter des livres ou bien... … copier des parchemins, chaque tâche que je remplis pour toi comble mon cœur ! C'est pour cela que je souhaite devenir ton mari !
Maribelle : Êtes-vous sûr ? Cela implique un dur labeur.
Stahl : Dur labeur ? Pff ! Chaque tâche à ton service me remplirait de plaisir !
Maribelle : Eh bien, Stahl, vous savez vraiment faire perdre la tête à une demoiselle ! Je serais ravie de porter votre anneau.
Stahl : Alors, à partir d'aujourd'hui, tes rêves seront aussi les miens !
Gerome X Noire
Soutien C
Noire : Pfiou ! Je suis éreintée...
Gerome : ...
Noire : Euh... Bonjour ?
Gerome : ...
Noire : Gerome ? C'est toi ?
Gerome : Oui.
Noire : Waaah ! Combien de temps comptais-tu rester là à... m'observer ? Tu n'as pas vu ce que je faisais, j'espère ? ... Et qu'est-ce que tu veux, d'abord ?!
Gerome : Je ne veux rien.
Noire : D'accord... Alors dans ce cas pourquoi...
Gerome : Souhaites-tu que je m'en aille ?
Noire : Je ne sais pas... Non, je ne crois pas. J'ai fini maintenant, donc ce n'est plus très important de toute façon.
Gerome : Parce que si je te dérange, je peux me cacher un peu plus loin. Là-bas, par exemple ?
Noire : Non, sérieusement... Ça va aller, tu n'as pas besoin de... Oh. Il est parti. Bon sang... C'est vraiment bizarre... Mais... Quelqu'un l'aurait-il envoyé pour m'espionner ?! Si c'est le cas... Oh non !
Soutien B
Noire : Oh ! Bonjour Gerome.
Gerome : ...
Noire : Hmm... Tu es sûr que tu ne veux pas me demander quelque chose ? Parce que tu passes beaucoup de temps à juste faire... du vol stationnaire.
Gerome : Je ne veux rien.
Noire : Hmmm... D'accord. Donc, tu es juste là sans aucune raison particulière. C'est bien ça ?
Gerome : ...
Noire : Je vois... Ce n'est pas du tout inquiétant... Ni suspect, même...
Gerome : ...
Noire : Bon, qu'est-ce que tu veux à la fin ?!
Gerome : Hmm ?
Noire : COLÈRE ET FUREUR ! AS-TU ÉTÉ ENVOYÉ POUR M'OBSERVER ? PARLE ! PARLE AVANT QUE JE NE T'ARRACHE LA LANGUE !
Gerome : M... M... Mais...
Noire : MOUAAAA HA HA HA HA !
Gerome : Dé... Désolé ! Je voulais juste aider ! Je me faisais du souci pour toi !
Noire : ... Du souci ?!
Gerome : Oui ! Tu travailles bien trop dur, et je me faisais du souci pour ta santé.
Noire : Et c'est pour ça que tu planais au dessus de moi tel un vautour affamé ?
Gerome : Ce n'est un secret pour personne que tu n'es pas la plus robuste. Je craignais que tu ne t'épuises et sois incapable de suivre l'armée. Je suis désolé de t'avoir mise mal à l'aise. Ce n'était pas mon intention.
Noire : Hmm... Bon, je suppose que tu ne voulais que mon bien...
Gerome : Je te laisserai tranquille à partir de maintenant.
Noire : ... Aïe, c'est pas vrai ! J'ai ENCORE tout gâché !
Soutien A
Noire : Et hop... Ngh... Aaargh ! Cette caisse... pèse... une tonne...
Gerome : Noire ?!
Noire : Ça va... Tout est sous contrôle... Tout est... Oh oh... Waaaaaaaaaaah ! Hein ? Tiens, je suis toujours debout... Pourtant j'étais en train de tomber... !
Gerome : Tout va bien, Noire ?!
Noire : Gerome ? Tu m'as sauvée ? Oh; waouh. Tu m'as sauvée, pas vrai ?! Oooh... C'est... Je...
Gerome : Attention !
Noire : Oups ! Désolée ! Je crois que j'ai encore la tête qui tourne...
Gerome : Tu ne dois pas forcer autant, Noire. Tu t'écroules littéralement d'épuisement !
Noire : Oui, mais je ne pensais pas que ce serait si difficile de déplacer quelques caisses ! Désolée que tu aies dû venir me sauver...
Gerome : C'est quand tu te crois seule que tu forces le plus.
Noire : Oui, peut-être... Bon, j'essaierai de faire plus attention, ça te va ?
Gerome : La prochaine fois, demande de l'aide ! Personne ne veut que tu te blesses !
Noire : Je sais, je sais ! Pff... Désolée.
Gerome : C'est moi qui suis désolé de te parler si durement. Je ne veux que ton bien.
Noire : Oh, ce n'est rien... Et je dois m'excuser de t'avoir dit que tu étais inquiétant. Je le pensais sur le moment, mais plus maintenant.
Gerome : J'imagine que je devais avoir l'air étrange, à rester planté là...
Noire : Bien ! Je suis contente que ce soit réglé ! Maintenant, je dois déplacer ces caisses ! Tu peux rester m'aider, si tu veux... et t'assurer que je n'en fasse pas trop...
Gerome : Volontiers.
Noire : Hi hi ! Merci, Gerome !
Soutien S
Noire : Oh... Hé, bonjour ! On se voit beaucoup ces derniers temps, non ?
Gerome : *tousse* Je me demandais juste si je... pouvais t'aider à quelque chose.
Noire : Gerome, tu es trop gentil... En fait... tu es TROP gentil ! Qu'as-tu derrière la tête, hein ?!
Gerome : Rien !
Noire : Tu en es bien sûr ? Tu ne crois pas plutôt que... tu es en train de tomber amoureux de moi ?
Gerome : C'est grotesque !
Noire : Vraiment ? Bon... Dans ce cas oublie ce que je t'ai dit, d'accord ? Si j'ai besoin d'aide, je demanderai à un autre. Ce n'est pas juste que ce soit...
Gerome : Attends !
Noire : Hein ?
Gerome : ...
Noire : ... J'attends...
Gerome : Tu attends quoi ?
Noire : Bon sang, mais quelle poule mouillée !
Gerome : Je ne suis PAS une poule mouillée !
Noire : Tu te rends compte de ce que je suis en train de faire, non ? Je dégage le terrain ! Tout ce que tu as à faire c'est aller tout droit ! Est-ce VRAIMENT si difficile de dire à une fille que tu l'aimes ?!
Gerome : Euh... Eh bien, c'est à dire...
Noire : Allez, Gerome ! Un peu de courage ! Dis-moi juste ce que tu penses de moi !
Gerome : ... Tu vois, parfois, quand deux personnes... Et ensuite... Et puis... *marmonne* ... Je t'aime.
Noire : Vraiment ? Tu es sérieux ? Hi hi ! Bon sang, que c'est embarrassant...
Gerome : Mais c'est toi qui me l'a fait avouer !
Noire : C'est si soudain ! Tu veux bien me laisser le temps d'y réfléchir ?
Gerome : ... Tu te moques de moi ?!
Noire : Pas du tout ! Je suis bouleversée, à vrai dire. Et surprise... Et honorée. Et je suis aussi ravie que tu aies enfin pu t'exprimer ! Donc... Hmm... Tu voudras toujours me donner un coup de main ?
Gerome : Bien sûr. Je ne veux pas que d'autres caisses te tombent dessus. Mais je ne me cacherai plus dans l'ombre ! Je resterai à tes côtés !
Noire : Ce serait un agréable revirement.
Yarne X Noire
Soutien C
Yarne : Ah pff ! N-NOIRE ! Ah pff ! Il faut que t... tu m'aides !
Noire : Hiii ! Y-Yarne, qu'est-ce qui se passe ? On dirait que tu as vu un fantôme !
Yarne : Longue histoire ! Pas le temps ! Trop compliqué ! Cache-moi, vite !
Noire : Il y a une couverture dans le coin. Cache-toi dessous si tu veux.
Yarne : Quoi, c'est tout ? Pas de questions ? Tu vas m'aider ?
Noire : C'est toi qui m'as dit que c'était trop compliqué et que tu n'avais pas le temps. Mais si tu veux me le dire, je t'écouterai volont...
Yarne : Merci, Noire. Je te dois une fière chandelle !
Noire : De rien, mais puisque tu proposais de m'en dire plus, je...
Yarne : Chuuut ! J'entends quelqu'un qui arrive !
Soutien B
Yarne : Hé, Noire ! Je t'ai apporté une friandise, aujourd'hui.
Noire : Oh, une tarte aux fruits ? Ça a l'air délicieux ! Tu as dû avoir du mal à la trouver, vu la situation. C'est pour quelle occasion ?
Yarne : C'est pour te remercier de m'avoir caché.
Noire : Oh, ce n'était pas nécessaire, j'ai juste posé une couverture sur toi.
Yarne : Tu m'as sauvé la vie ce jour-là, alors laisse-moi te rembourser.
Noire : Dans ce cas, alors j'accepte, merci. Veux-tu la partager avec moi ? Je vais chercher quelque chose à boire... Oh attends ! Nous avons des exercices de simulation de combat aujourd'hui ! Je n'aurai jamais le temps de savourer cette tarte appétissante.
Yarne : Hein... Des exercices ? Mais... Moi, j'ai déjà fini le mien ! Comme dirait mère, rien ne sert de courir, il faut partir lapin ! Hé hé...
Noire : Vraiment ? Et bien, dans ce cas...
Yarne : Mangeons et oublions un peu ces exercices.
Noire : On dit que le sucre aide l'organisme à récupérer de la fatigue physique.
Yarne : Euh... Oui...
Soutien A
Yarne : Hé, Noire ! J'ai apporté un gâteau, tu veux partager avec moi ?
Noire : J'aimerais bien, mais je dois me préparer pour le combat.
Yarne : Tu participes à la prochaine bataille ?
Noire : Oui.
Yarne : Ah. Je vois.
Noire : J'ai fait beaucoup d'erreurs, alors les autres ne me font pas confiance en combat...
Yarne : Est-ce que tu n'as pas peur ?!
Noire : Bien sûr que j'ai peur ! Même maintenant, mes mains tremblent...
Yarne : Alors pourquoi te forcer ? Est-ce que ça ne serait pas plus simple de rester ici et...
Noire : Oui, mais je ne veux pas me laisser aller, je veux faire ce qu'il faut. Mais si tu ne veux pas te battre, Yarne, personne ne t'oblige. Je ne te jugerai pas. Je ne veux pas y aller non plus.
Yarne : Alors pourquoi y aller ?!
Noire : Nous devons gagner cette guerre et il est temps pour moi d'y participer ! Oh oui, j'ai peur, mais... mais j'y vais.
Yarne : Noire... Elle est toute petite... Et elle tremble de peur ! Quel peureux je fais. Je me cache pendant qu'elle se bat pour un avenir meilleur. Et puis tant pis ! Fini la couardise ! Je vais me porter volontaire pour cette bataille ! Hé, Noire ! Attends ! Je viens aussi !
Soutien S
Noire : Encore une bataille ? Je tremble déjà... Mais si je peux aider en quoi que ce soit, je dois rassembler mon courage !
Yarne : Hé, Noire !
Noire : Yarne ?
Yarne : Je viens avec toi. Je vais me battre, aujourd'hui.
Noire : Tu te portes souvent volontaire en ce moment. Que se passe-t-il ?
Yarne : Rien. Rien du tout, c'est simplement que... te voir t'équiper et partir à la bataille m'a poussé à m'y mettre aussi. Je ne me cacherai plus dans ta tente parce que j'ai peur de me battre ! Je n'éviterai plus l'entraînement avec des mensonges et des tartes ! Même si la tarte était vraiment bonne... Je ne serai plus une poule mouillée. Ça suffit !
Noire : ...
Yarne : Et c'est pourquoi je me battrai avec toi !
Noire : J'en suis contente, Yarne.
Yarne : J'ai honte que tu m'aies vu être si lâche. Cela a dû être pénible pour toi. Pourquoi tu n'as pas réagi comme à ton habitude ? Tu sais ? Avec des menaces et des malédictions, "feu et fureur" et tout ça...
Noire : Hé hé ! Mais c'était inutile ! Si je m'étais enflammée, tu aurais fui. La culpabilité a eu un effet bien plus avantageux !
Yarne : Alors, quand tu étais prise de peur et de tremblements... Ce n'était qu'un jeu ? Oh, tu me connais trop bien ! Tu fais vraiment attention à moi... Et je pense que... je t'aime. J'ai toujours voulu te le dire, mais j'étais trop... enfin, tu sais.
Noire : Yarne...
Yarne : C'est peut-être fou, mais... tu voudrais être ma petite-amie, quand la guerre sera finie ?
Noire : Oh, Yarne. J'ai toujours espéré que tu dirais ça. C'est la vraie raison pour laquelle je ne me suis jamais mise en colère contre toi. Je t'aime aussi, mais je devais m'assurer que tu fasses les bons choix.
Yarne : Merci, Noire.
Noire : Hé hé, ne me remercie pas parce que je t'aime.
Yarne : Non ! Je veux dire, merci pour me donne une raison de plus de me battre ! La guerre sera moins terrible maintenant que nous veillons l'un sur l'autre. Sortons d'ici et allons nous battre !
Noire : Je resterai à tes côtés !
Severa X Noire
Soutien C
Noire : Hmmm, Severa ? Je dois... euh... tu vois... Est-ce que ça t'embêterait de... euh...
Severa : Tu ne crois pas qu'il est temps que tu y ailles toute seule ?!
Noire : Oh, allez, s'il te plaaaît... !
Severa : Oh, c'est pas vrai ! La barbe ! Bon... C'est d'accord...
Noire : Je... Je suis désolée... Mais j'ai vraiment peur, tu comprends...
Severa : Mais sérieusement ! Tu es une grande personne, que je sache ! Ça me sidère qu'à ton âge, tu aies encore peur du noir... Et soit dit en passant, avec le nom que tu portes, ça en devient presque triste.
Noire : Je sais ! Noire a peur du noir ! Ha ha ! Très drôle ! Je suis DÉSOLÉE, d'accord ?
Severa : Oh, ça suffit ! Arrête d'être désolée, c'est fatiguant... Allons-y.
Noire : Merci, Severa. Tu es toujours si gentille avec moi.
Severa : Hmm, tes critères d'appréciation de la gentillesse sont plutôt souples. Pourquoi toujours m'importune moi, et pas quelqu'un d'autre, de temps en temps ?
Noire : Oh, je serais bien trop gênée !
Severa : Ah ? Et avec moi, tu ne l'es pas ?
Noire : Eh bien... Tu ne te moques pas de moi...
Severa : Oui... Je ne me moque que des gens prétentieux, pour leur rabattre leur caquet. Me moquer de toi, ce serait comme voler une sucette à un enfant... endormi. Ce serait trop facile, et donc plus drôle du tout...
Noire : Hein... ? C'est ça, la raison ?
Severa : Si c'était le cas, ça changerait quoi ? Au final, je serais toujours là obligée de te protéger du croque-mitaine...
Noire : Pardon... ?
Severa : Oh... Ce n'est rien. On se connaît depuis longtemps. Je dois te supporter, c'est tout. Hmm... ça ne me semblait pas aussi rude dans ma tête...
Noire : Ne t'inquiète pas. Je ne l'ai pas mal pris. Je vois ce que tu veux dire...
Soutien B
Noire : Gnnh... J... J'ai mal...
Severa : Noire ?! Ça va ?
Noire : S... Severa... ? Je... Gnnh !
Severa : Que t'arrive-t-il ? Tu es blessée ?!
Noire : Je faisais... du thé médicinal... Un mélange d'herbes... Je les ai fait bouillir... J'ai bu le thé... Et maintenant j'ai des nœuds dans le ventre !
Severa : J'ignorais que tu savais préparer des médicaments...
Noire : Justement, je ne sais pas ! Gnnh... J'ai juste pris toutes les plantes que j'ai trouvées, et je les ai utilisées.
Severa : Tu as fait QUOI ?! Par tous les dieux, mais tu es complètement folle ! Quelle idée ! Tu ne crois pas que tu as l'estomac assez fragile comme ça... ?
Noire : Justement... Je pensais que ce thé ferait du bien... gnnh... à mon estomac...
Severa : C'est tout bonnement absurde !
Noire : Je me suis dit que si mon corps était plus fort, je serais moins chétive. Et que... je ne serais plus une grosse poule mouillée... Et alors... je n'aurai plus à t'embêter tout le temps. Gnnh...
Severa : Et ta solution, c'est de te retourner volontairement l'estomac ?!
Noire : Tu as raison, c'était stupide. Je suis désolée.
Severa : Arrête d'être désolée... Bon, allonge-toi un peu et repose-toi, d'accord ?
Noire : D'accord.
Severa : Je vais t'amener de l'eau et te trouver des médicaments... Des vrais ! Ne bouge pas d'ici en attendant.
Noire : Oui, c'est compris...
Severa : Bien...
Noire : ...
Severa : Par tous les dieux, il y a de quoi s'occuper, avec elle ! Mais pourquoi est-ce toujours à MOI de m'en occuper ?!
Soutien A
Noire : Severa, je suis vraiment, vraiment désolée ! C'était un accident ! Je le jure !
Severa : Mais ARRÊTE d'être désolée ! Tu as juste renversé un peu de ragoût... Rien de grave.
Noire : Mais il était délicieux... C'est gâché ! *sanglots* Snif... Je te cause toujours des ennuis.
Severa : Et à chaque fois, je te dis que ce n'est pas grave, et que tu n'as pas à être désolée ! Tu n'en as pas renversé beaucoup... On a même pu se resservir amplement !
Noire : C'est vrai... Tu es si gentille...
Severa : Cela dit...
Noire : Hmm ?
Severa : Même dan tes meilleurs moments, tu n'es pas une personne très équilibrée... Mais là, tu es encore plus pathétique que d'habitude !
Noire : Euh... Qu'entends-tu par là ?
Severa : On dirait qu'à chaque fois que je suis avec toi, tes petites erreurs... se transforment en véritables catastrophes ! Et je ne sais pas si c'est ma faute, ou alors la tienne ! Mais c'est ce qui se passe, non ?
Noire : Euh, je...
Severa : Tu as besoin d'une escorte pour aller au petit coin... Tu t'empoisonnes toi-même... Tu RENVERSES le seul plat décent qu'on ait mangé depuis des lustres... Je ne sais pas, je me demande... Pourquoi ça continue d'arriver... Pourquoi ?!
Noire : Je me suis aussi posée la question...
Severa : Oh ?
Noire : Tu vois, je ne le fais pas exprès, bien sûr... Mais peut-être que je me repose sur toi, parce que je me sens en sécurité avec toi ! Enfin, ce n'est qu'une théorie... Elle vaut ce qu'elle vaut.
Severa : Tu as poussé l'analyse, je vois !
Noire : Enfin... En tout cas, je suis désolée, Severa.
Severa : Arrête de... Pff. Ce n'est pas grave.
Noire : Mais je suis un tel poids pour toi ! Je te donne beaucoup de travail...
Severa : Hmm, possible, mais j'imagine que l'inverse est également vrai.
Noire : Comment ça ?
Severa : En général, les gens ne font pas appel à moi... Peut-être à cause de mon caractère quelque peu... irritable. Alors, c'est plutôt... agréable. Que tu me fasses ainsi confiance. Et d’ailleurs, qui te protégerait de toi-même, si je n'étais pas là ?
Noire : Oh... Merci, Severa !
Severa : Bon, bon. Mais ne pousse pas le bouchon trop loin. La modération a du bon.
Noire : Hi hi ! C'est d'accord !
Merci d'en écrire autant Erline.