Et pour la plus grande joie de Soren, t'auras les têtes exactes des personnages en tête !

Informations =======> Têtes exactes des deux personnages :

Owain neutre, sans parenthèses :
Owain contrarié :
Owain sérieux : (Faute voulue dans le lien évidemment, c'est Owain. )
Owain riant :
Owain rougissant :
Owain rougissant, riant :
Owain rougissant, contrarié :
Owain rougissant, sérieux :

Linfan neutre, sans parenthèses :
Linfan contrariée :
Linfan riante :

Linfan rougissante, contrariée :
Linfan rougissante, riante :

La rougissante neutre n'existait pas.

Soutien C :

Owain (sérieux) : AH HA ! Je te trouve enfin, Linfan ! Ce n'est pas trop tôt !
Linfan (F) : Tu me cherchais ? Pourquoi es-tu aussi essouflé ?
Linfan (F) : Il est arrivé quelque chose ?
Owain (sérieux) : Et comment ! Au moment même où je t'ai vue, il s'est produit une chose incroyable !
Owain (sérieux) : Une force m'a parcouru le corps telle une décharge électrique giga astrale !
Linfan (F) : Euh, plaît-il ?
Owain (sérieux) : Ton visage a peut-être changé, mais notre alliance reste immuable à travers les âges !
Owain (sérieux) : Nous avons combattu à travers les siècles lors d'une multitude d'existences.
Linfan (F) (contrariée) : Peux-tu me préciser le fond de ta pensée ? J'ai vraiment du mal à te comprendre !
Owain (sérieux) : Toi et moi sommes alliés depuis des temps immémoriaux. Le destin nous a réunis.
Owain (sérieux) : Si nous joignons à nouveau nos forces, nul ne pourra s'opposer à nous !
Linfan (F) (riante  : Ah ha ha !
Owain (contrarié) : Euh... Qu'est-ce qui te fait rire à ce point ? 
Linfan (F) (riante) : Toi ! C'était splendide ! Ça vient de toi ou c'est l'oeuvre d'un auteur connu ?
Owain (contrarié) : C'est moi qui l'ai écr...
Owain (contrarié) : Euh non ! Je voulais dire que je le pense vraiment en fait !
Linfan (F) (riante) : Mais qu'est-ce qui te fait croire que nous étions alliés dans une autre vie ?
Owain : Mon sixième sens l'a révélé à mon troisième œil !
Linfan (F) (riante) : Ah ha ha ! Franchement, Owain, tu as un don ! Tu es très fort, c'est indéniable !
Owain (contrarié) : Mais non, tu ne comprends pas ! Je ne suis pas en train de...
Linfan (F) (riante) : Nous sommes des alliés unis par le destin, dis-tu ? Mais saurais-tu le prouver ?
Owain : Naturellement ! Vas-y, lance moi un défi !
Linfan (F) (riante): Aucune de mes incarnations ne s'allierait à quelqu'un qui ne sait pas cuisiner !
Owain (contrarié) : Cuisiner... ? Euh... Tu veux dire, cuisiner de la nourriture ? Qui se mange ?
Linfan (F) (riante) : Cuisiner un plat élaboré pour une personne est digne de louange.
Linfan (F) (riante) : C'est un geste qui montre que l'on tient à elle, et qui de plus, donne des forces.
Owain (sérieux) : Soit ! Puisque c'est ce que tu veux, j'irai aux fourneaux pour dissiper tes doutes !
Linfan (F) (riante) : J'ai vraiment hâte, Owain !

Soutien B :

Owain (sérieux) : Prépare ton palet, Linfan ! Tu vas déguster un plat digne des plus grands chefs !
Linfan (F) (riante) : Oh, ça a l'air apétissant !
Owain (sérieux) : Je ne te le fais pas dire ! Il me faut encore baptiser cette merveille de gastronomie !
Linfan (F) (riante) : * CRONCH CRONCH *

• CRONCH CRONCH *

Owain (désorienté) : Je... Je n'avais pas fini de présenter mon plat...
Linfan (F) (riante) : MIAM MIAM ! C'était à tomber par terre !
Owain : Héhé ! Ah oui ! C'est pas une recette pour les chiens ! Euh, c'est une image hein...
Owain : Alors, me reconnais-tu enfin comme ton allié indéfectible sur le champ de bataille ?
Linfan (F) (riante) : Eh bien, j'avoue que tu as gagné la première manche haut la main !
Owain (contrarié) : Ah, parce qu'il y a plusieurs manches ?
Linfan (F) (riante) : Cela va de soi ! Prononcer un serment qui nous unirait pour la vie n'est pas anodin !
Linfan (F) (riante) : Il nous faut un symbole fort pouvant témoigner de notre alliance sacrée.
Owain (contrarié) : Nous allons prononcer un serment qui nous unira toute notre existence ?
Linfan (F) (riante) : Hmm... Voyons voir... Quelque chose de puissant et intemporel... de précieux...
Linfan (F) (riante) : Ça y est, j'ai trouvé ! Il nous faut deux gigantesques diamants !
Owain (contrarié) : Euh, soit ! Je retournerai la terre pour dénicher ces pierres !
Linfan (F) (riante) : Je t'attendrai, Owain... !

Soutien A :

Owain : Linfan, ça y est ! Je les ai trouvés !
Linfan (F) : De quoi ?!
Owain (contrarié) : Les diamants ! Tu sais... ? Ceux qui témoigneront de nos liens sacrés...
Owain (désorienté) : Tu les avais demandés, tu te rappelles ?
Linfan (F) (riante) : Vraiment ? Aucun souvenir...
Linfan (F) (riante) : Bon, je te fais confiance ! J'ai un peu une mémoire de poisson rouge...
Owain : Sans blague !
Owain : Quoi qu'il en soit, regarde-moi ces deux merveilles de la nature !
Linfan (F) (riante) : Ça, alors ! Celui-ci est presque noir !
Owain (sérieux) : Celui-là, je l'ai volé à un démon reclus dans les profondeurs abyssales des ténèbres.
Owain (sérieux) : J'ai dû me battre contre une horde de monstres cracheurs de flamme et...
Linfan (F) (riante) : Oooh ! Mazette ! Et celui-ci est si joli en vert !
Owain (sérieux) : Ah, euh, oui, oui... Il est super !
Owain (sérieux) : Je l'ai trouvé qui sommeillait au fin fond de l'océan dans une cité engloutie !
Owain (sérieux) : Dans ces eaux infestées de requins, et de pieuvres géantes, j'ai dû me frayer un...
Linfan (F) (riante) : Il est d'une beauté étincelante !
Owain : Oui, il n'y a pas à dire... Alors, euh … es-tu prête à prononcer le serment ?
Linfan (F) (riante) : Bien sûr ! Ton abnégation ne fait pas l'ombre d'un doute !
Linfan (F) (riante) : Nous voici donc alliés indéfectibles pour les siècles à venir !
Linfan (F) (riante) : Et désolée pour la gêne occasionnée...
Owain (riant) : Ce n'est rien ! Que notre alliance apporte la paix et nous couvre de gloire !
Linfan (F) : Et... puisque nous sommes partenaires... qu'est-ce qu'on est censés faire... ?
Linfan (F) : Nous battre côte à côte, peut-être... ?
Owain (contrarié) : Euh... Eh bien, nous... Enfin...
Owain (contrarié) : J'avoue ne pas y avoir vraiment pensé...
Linfan (F) (riante) : Ah ha ha ! Tu es quand même un sacré numéro !
Linfan (F) (riante) : Tu fonces toujours tête baissée sans te poser des questions !
Owain (riant) : Peu importe ! Nous avons toute la vie pour réfléchir à quoi faire !
Owain (riant) : Allons plutôt fêter notre alliance !
Linfan (F) (riante) : Hi hi ! D'accord !

'tain j'ai le chic pour même quand c'est du copiage, faire des messages trop longs...

Next message, Soutien S !

Et pensez à consulter les images rougissantes pour le Soutien S.

+ Je ne ferais les autres que à partir du 30 Juillet, je pars en vacances au Maroc dès demain matin.
Et je devrais dormir.
Et fuck l'addiction à JVC.

Soutien S

Linfan (F) (contrariée)  : Oh, bonjour, Owain !
Owain : Tout va bien ? Tu as l'air contrariée.
Owain : Parle, ô toi, noble alliée choisie par le destin ! Vide ton sac !
Linfan (F) : Tu es sûr que c'est la bonne formulation ?
Linfan (F) : En fait, je voulais te parler des épreuves que je t'ai fait passer...
Owain : Oui les épreuves, je t'écoute.
Linfan (F) (contrariée) : En fait, mon but n'était pas de te faire cuisiner ou de te demander des diamants.
Linfan (F) (contrariée) : Je voulais juste savoir si j'étais importante à tes yeux.
Linfan (F) (contrariée) : Je regrette de ne pas avoir été honnête avec toi.
Owain (contrarié) : Cela faisait partie d'une démarche saine pour révéler la vérité. N'y pense plus !
Linfan (F) : Il reste encore une chose importante que j'aimerais recevoir de toi.
Liinfan (F) : Tu sauras peut-être deviner ce que c'est...
Owain : Hmm.. Une chose importante pour toi... Attends, c'est la troisième manche ?
Linfan (F) (riante) : C'est la dernière.
Owain (contrarié) : D'accord, j'ai besoin d'un instant pour me concentrer...
Owain (contrarié) : Hmmmmm...
Linfan (F) : Alors ? As-tu trouvé ce que je veux ?
Owain : Un poney ?!
Linfan (F) (contrariée) : Non, pas un poney...
Owain (sérieux) : Oh... Je croyais que les filles adoraient les poneys...
Owain (sérieux) : Parce que si c'était ce que tu voulais, j'irais te chercher un poney !
Owain (sérieux) : Ou autre chose... Je peux te trouver tout ce que tu veux !
Linfan (F) : Vraiment ?
Owain (rougissant) : Je serais prêt à tout pour la femme que j'aime !
Owain (rougissant) : …
Owain (rougissant)  Pardon, c'est sorti tout seul... Je ne pensais pas le dire à haute voix...
Linfan (F) (rougissante) : Owain !
Owain (rougissant) (sérieux) :Au point où on en est, autant te dire la vérité...
Owain (rougissant) (sérieux): J'ai inventé toute cette histoire d'alliés. Je voulais juste passer du temps avec toi !
Linfan (F) (souriante) (rougissante) : C'est exactement ce que je voulais entendre !
Owain (sérieux) : Ah bon ?
Linfan (F) (riante) : Je souhaitais connaître la nature de tes sentiments, et écouter ces paroles !
Linfnan (F) (rougissante) (contrariée) : Tu étais tellement obnubilé par mes requêtes que tu en as oublié l'essentiel !
Owain (rougissant) (contrarié) : Tu veux dire que...
Linfan (F) (riante) (rougissante) : Oui, gros nigaud ! Moi aussi je t'aime !
Linfan (F) (riante) (rougissante) : Je veux que tu sois mon partenaire sur le champ de bataille, mais aussi dans la vie.
Owain (rougissant) (riant) : Je te jure fidélité tant que je vivrai en temps de guerre comme de paix !
Linfan (F) (riante) (rougissante) : Et je te fais le même serment !

Ah oui, petit fail, désorienté = contrarié. Oublié de recorriger... Désolé !

Bon , je reserve les soutiens d'après jeux + Tiki pour Daraen Homme.

Je le ferais après le week-end.

Si ces applaudissements m'étaient destinés, merci !

Personne pour euh, éventuellement commenter le soutien que j'ai posté ?

[Gotha] Si tu fais Daraen X Tiki Pense à faire Linfan X Tiki (Mère/fille) par la même occasion si tu a le temps.

Sinon je ferais peut-être Tiki x Lucina ce soir (ou prochainement) si j'ai le temps.

Après manquera plus que Daraen(femme)/Tiki et on aura tous les soutiens de Tiki

Je pourrais peut-être m'en occuper aussi vu que ma soeur à une MU femme.
Je l'encouragerais...

Moi je fais Ricken et Tharja.

Ah oui, à l'avenir, si ça serait bien, recopiez tous mon mode de soutien pour donner un maximum d'informations.

Non pas que je sois prétentieux, loin de là, mais juste pour améliorer la chose.

Seo, pas possible, beaucoup trop long à faire autrement Si je dois encore mettre la gueule qu'ils font, on s'en sort plus.

Virion/Nowi :

Soutien C :

Nowi : Aïe ! Je me suis fait mal en tombant...
Virion : Oh ! Qu'ai-je entendu ? Une demoiselle en détresse a besoin d'assistance médicale ? Puis-je voir l'état de la blessure ?
Nowi : D'accord.
Virion : Un peu d'onguent, un pansement... Vous voilà hors de danger grâce à mes soins efficaces et rapides.
Nowi : Merci !
Virion : Inutile de me remercier, petite Nowi.
Nowi : « Petite » Nowi ? Vous m'appelez tout le temps comme ça... Ça fait un peu enfantin, vous ne trouvez pas ?
Virion : Ah ! Mes excuses si je vous ai offensée. J'aime donner des sobriquets... Cela vous déplaît-il ?
Nowi : Non, pas vraiment.
Virion : En ce cas, il me tarde de réparer cette erreur au plus vite. Un noble tel que moi se doit de respecter l'étiquette en toute circonstance. En particulier vis-à-vis de quelqu'un d'aussi distingué que vous !
Nowi : Pourquoi ?
Virion : Allons, vous avez plus de mille ans ! Vous viviez à l'époque de mes ancêtres. Vous êtes une déesse immortelle ! Il serait impensable de vous manquer de respect !
Nowi : Vous parlez de moi comme si j'étais très, très vieille...
Virion : Mais pas du tout ! Vous êtes jeune, jolie et pleine de vie !
Nowi : Hé hé hé ! Je suis jolie, moi ?
Virion : Que je sois foudroyé sur place si ce n'est pas la vérité !
Nowi : Vous parlez tellement bien. Vous êtes un coureur de jupons ?
Virion : Un... Un coureur de jupons ?! Où avez-vous appris un mot si vulgaire ?!
Nowi : Hein ? Mais tout le monde dit ça de vous, vous ne le saviez pas ?
Virion : Comment ! Mais c'est intolérable !

Soutien B :

Nowi : *gargouillis* J'ai faaaim ! Est-ce que ce n'est pas encore l'heure de manger ?!
Virion : La faim est une calamité ! Moi, Virion, vous apporte tout de suite un festin !
Nowi : Hein ? Virion ?! Par où êtes-vous parti ?! Virion ? Ah ! Vous êtes là !
Virion : Veuillez m'excuser de vous avoir fait attendre. Voici quelques légumes frais.
Nowi : Merci Virion, c'est très gentil mais... Je n'aime pas les légumes.
Virion : Mais où ai-je la tête ? Un régime végétarien ne sied guère à un dragon ! Je m'en vais de ce pas vous chercher une belle pièce de veau.
Nowi : Attendez ! Plutôt que d'aller chercher à manger... Voulez-vous jouer avec moi en attendant le repas ?
Virion : Bien sûr ! Quel jeu vous plairait ? Les échecs ? Le lansquenet ? La bassette ?
Nowi : Cache-dragon !
Virion : Ce nom ne m'est pas familier. De quoi s'agit-il ?
Nowi : Je me change en dragon et je vous poursuis en crachant du feu !
Virion : Gloups ! Mais c'est ma vie que je joue, là !
Nowi : Vous êtes prêt ? Je compte jusqu'à dix mille et pendant ce temps, vous vous cachez.
Virion : Dix mille ?! Mais vous avez conscience du temps que cela va prendre ?!
Nowi : C'est parti ! Uuun... deeeux... troiiis... quaaatre...
Virion : Mon existence défile au ralenti. Mourir à petit feu, c'est ce qu'il y a de pire. Je ne vais pas attendre la fin du compte à rebours pour fuir. La vie est trop courte.

Soutien A :

Nowi : Hé hé hé ! C'était rigolo, aujourd'hui ! J'adore jouer à cache-dragon.
Virion : Rigolo ?! Frôler la mort peut être une noble distraction en effet, mais...
Nowi : Hmm ? Qu'est-ce que vous dites, Virion ?
Virion : Oh, je me disais que j'avais fort apprécié notre jeu, aujourd'hui !
Nowi : C'est vrai ? Moi j'adore jouer. Mais personne ne veut jouer avec moi ! Allez savoir pourquoi...
Virion : Je crois en déceler la cause...
Nowi : Mais maintenant, j'ai un partenaire pour m'amuser. Je peux jouer encore et encore.
Virion : Encore... et encore ? Même si j'avais plusieurs vies, ça ne suffirait pas ! Pourtant, je ne puis me résoudre à effacer ce sourire de son visage...
Nowi : Virion ? Qu'est-ce que vous marmonnez encore ?
Virion : Moi ? Je me disais que pour rien au monde je ne voudrais arrêter de jouer avec vous.
Nowi : Je le savais ! Vous aimez jouer à cache-dragon autant que moi !
Virion : Euh...
Nowi : Vous auriez dû me le dire plus tôt. Regardez, il ne fait pas encore nuit ! Nous avons le temps pour une dernière partie ! Uuun... deeeux... troiiis...
Virion : Ah, misère... Je sens le souffle glacé de la mort sur mon visage. La fin est proche. Pitié, Nowi ! Je ne puis me résigner à ce triste sort !
Nowi : Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tout ce vacarme ? On ne s'entend plus !
Virion : Nowi, connaissez-vous d'autres jeux à part cache-dragon ? Il ne s'agit pas d'épuiser toute votre réserve de dracopierres, vous comprenez ?
Nowi : Ne vous inquiétez pas ! Puisque ce jeu vous plaît tant, je suis prête à faire ce sacrifice ! Où en étais-je ? Quatre... cinq...
Virion : C'est le genre d'attentions dont je me serais bien passé... Mais si elle est prête à faire des sacrifices pour moi, je dois en faire autant. Je serais son noble partenaire de jeu... même si cela signifie la mort !
Nowi : Seeept, huuuit, neeeuf...

Soutien S :

Nowi : …
Virion : Qu'y a-t-il, ma douce Nowi ? Vous n'avez pas envie de jouer à cache-dragon ?
Nowi : Non.
Virion : Je croyais que c'était votre jeu favori et que vous ne vous en lasseriez jamais ! Je suis prêt à y jouer si vous le souhaitez. Mon noble postérieur est presque entièrement remis de ses brûlures. Ou peut-être avez-vous songé à un autre jeu moins... risqué, peut-être ?
Nowi : Je veux me marier.
Virion : Jouer au papa et à la maman convient davantage aux enfants. Vous avez plus de mille ans. Mais soit. Voulez-vous que je sois votre garçon d'honneur ? Je fais d'excellents discours...
Nowi : Non, je veux me marier avec vous !
Virion : En ce cas, il nous faut un autre garçon d'honneur, Frederick, peut-être ? Non... Il ne vaut mieux pas. Nous aurions droit à un discours des plus ennuyants.
Nowi : Je ne veux pas jouer à me marier ! Je veux vraiment me marier avec vous !
Virion : Comment ? En vérité ?
Nowi : Oui ! Oui ! Oui!Oui !
Virion : Vous êtes sérieuse ?
Nowi : MAIS OUI ! N'avez-vous rien ressenti ces jours-ci, quand je vous ai chassé du matin au soir ? Vous êtes donc si insensible ?
Virion : Mais, ce n'était qu'un jeu... que j'ai trouvé somme toute fort angoissant.
Nowi : *sanglots* Alors, vous me détestez, Virion ?
Virion : Mais... Mais pas du tout !
Nowi : Alors ça veut dire que vous m'aimez ! Youpi ! Je ne vous sentais pas trop enthousiaste, mais ce n'était qu'une impression.
Virion : Euh...
Nowi : Vous m'avez plu dès notre première rencontre. Les autres sont si sérieux avec moi à cause de... mon grand âge... Mais vous, vous êtes drôle, bizarre et joyeux ! Je me sens bien avec vous !
Virion : Ma douce Nowi. Les moments que nous avons passés ensemble n'ont pas tous été désagréables. Votre confession m'a fait comprendre à quel point je tenais à vous. Marions-nous, ma belle Nowi ! Pour de vrai !
Nowi : Pour de vrai ?! Alors allons acheter un anneau ! C'est comme ça qu'on fait, n'est-ce-pas ?
Virion : Il nous faut un anneau magnifique qui sied à votre rang.
Nowi : Oooh ! J'ai hâte de le voir !

Virion/Libra

Soutien C :

Libra : La quantité de détritus qu'une armée en marche laisse derrière elle est incroyable ! C'est le moment de se retrousser les manches. Argh ! C'est bien plus lourd qu'il n'y paraît. Tiens... C'est soudainement plus léger ! Mais comment ?!
Virion : Ces bras minces et fragiles ne sont pas faits pour de telles tâches !
Libra : Est-ce bien toi, Virion ?
Virion : Pour vous servir. Laissez au gentilhomme que je suis le soin de porter ceci. Il me semble que par là-bas un oreiller plein de plumes attend vos bras délicats.
Libra : Oh. Oui, en effet. Merci, Virion.
Virion : Mais je vous en prie, Mademoiselle ! Une femme d'une telle beauté ne devrait pas se rabaisser à ces tâches ingrates.( )
Libra : …
Virion : Qu'y a-t-il, ma chère Libra ? Aurais-je commis quelque maladresse ?
Libra : Je suis un homme.
Virion : Ha ha ha ! Vous n'êtes pas seulement splendide, vous avez aussi de l'esprit ! Splendide, oui... Hmm... À part que... maintenant que je regarde de plus près... votre visage... Oups...
Libra : Peu importe. Cela arrive souvent. Désolé de t'avoir répondu sèchement.
Virion : Si vous avez mal pris la chose, je puis entièrement le comprendre... Ha ha ha ! Comment moi, Virion, ai-je pu commettre une telle erreur... ? Moi ! VIRION ! Oh, par tous les dieux...
Libra : Est-ce que tout va bien ?
Virion : O... Oui ! Seulement... vos yeux sont... si lumineux et doux... Tel le reflet de la lune dans... dans... quelque chose...
Libra : Et si nous retournions au travail ?

Soutien B :

Libra : Virion ? Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ? Ta joue est rouge et gonflée. Est-ce que quelqu'un t'a frappé ?
Virion : Ce n'est qu'une blessure de guerre que j'ai reçu lors d'une bataille amoureuse. Voyez-vous, j'épiais une jeune fille qui marchait sur la route, et je lui ai demandé... … si elle était bien une femme. Ha ha ! Vous auriez dû entendre le son de sa main sur mon visage ! On n'est jamais vraiment sûr à propose de ces choses-là, n'est-ce-pas ? Ha ha... !
Libra : C'est... malheureux.
Virion : Malédiction, Libra ! Je vis dans l'angoisse depuis que je vous ai pris pour une femme ! Dès que j'approche une jeune fille, je suis terrorisé à l'idée de refaire la même erreur ! Vous avez déchu le grand Virion de sa splendeur d'antan ! Honte sur vous !
Libra : Euh... Pardon ?
Virion : Lorsque j'observe votre peau douce et laiteuse, vos longs cheveux soyeux... Eh bien, je me dis que vous devez venir d'une noble lignée ou d'une riche famille ! Peut-être de l'une des plus grandes maisons ? Voire de la royauté ? Allez, dites-moi jeune fi... homme ! Ha ha ! Mais bon et noble... Monsieur ! Quelles sont donc vos origines ?
Libra : Désolé, Virion. Je ne suis pas issu d'une maison noble. Mes parents étaient des gens modestes qui m'ont négligé pendant mon enfance. Je n'ai pu échapper à leur cruauté que lorsque j'ai finalement trouvé la foi.
Virion : Extraordinaire ! Vous n'êtes point une rose qu'on aurait cultivée dans un jardin bien entretenu... Mais plutôt une jolie fleur sauvage issue d'une terre stérile ! En plus d'être magnifique
, la fleur est résistante et tenace !
Libra : Je t'en prie, Virion, de telles paroles me mettent mal à l'aise... Je ne suis qu'un humble serviteur des dieux.
Virion : Observer vos joues rougir lorsque je vous complimente est pour moi le plus beau... Hmm... Oui, bon... Ça m'a fait plaisir de vous revoir, mon bon MONSIEUR !
Libra : Virion, tu es vraiment un homme étrange...
Virion : Si seulement je ne pouvais posséder qu'un dixième de sa beauté... !

Soutien A :

Libra : Le mieux serait de m'y mettre immédiatement.
Virion : Eh, Libra ! Mais quelle énorme pile de bûches vous avez là !
Libra : En effet. Le temple à proximité n'a plus de bois pour se chauffer, alors j'ai pensé rendre service.
Virion : Mais cela doit user vos mains parfaites ! Laissez-moi donc vous aider !
Libra : Non merci, inutile. Je vais y arriver.
Virion : Non mais j'insiste ! En tant qu'ami ! Allons donc hacher ensemble ! *halètements* L... Libra... ? L... Libra ?! Arrêtons de couper... Je vous en supplie... Mes bras... je ne les sens plus...
Libra : Mais que dis-tu ? Nous avons à peine fait la moitié !
Virion : La... moitié ?! Je frappe à l'aide de cette hache infernale... depuis des heures... Ou des jours ? Je ne sais plus... Je suis si confus... Mon esprit divague... J'ai vu... des bûches empilées... et former... une véritable tour... jusqu'au ciel... Mais en regardant autour de moi... Je ne suis pourtant pas loin de la vérité ! Quelle armée de fous furieux... a donc rassemblé... toute cette masse de bois ?!
Libra : C'est moi.
Virion : V... Vous ?! Ra... Rassemblé TOUT ça ?! Tout seul ?! Mais... Mais... Comment ?
Libra : Eh bien, j'ai ramassé ce bois puis l'ai ramené ici. Rien de bien compliqué. As-tu fini de te reposer ? Ce tas-là devrait plutôt aller ici.
Virion : Bien, si vous insistez... GNNN ! C'est bien plus lourd... que ça en a l'air... Je... dois... tenir un... peu plus. Un tout petit peu... plus... GNNN ! OH, NON !
Libra : Virion, attention !
Virion : Ça y est ? Je suis mort ? Je me rappelle être tombé en arrière sous le poids de quelque chose de très lourd...
Libra : Non, tu n'es pas mort. Je t'ai rattrapé, tout va bien.
Virion : Libra ! Vous m'avez sauvé la vie !
Libra : Apparemment. Tu n'es pas blessé ?
Virion : Euh, non. Je pense que non.
Libra : Bien. Faisons donc une pause, d'accord ? J'ai eu tort de t'en demander autant.
Virion : Hmm... De là où je suis, étalé dans la boue, vous avez l'air ma foi fort différent... Très viril, en fait. Ces gros sourcils... Ces épaules énormes...
Libra : Pardon ? Tu disais ?
Virion : Qui, moi ? Oh, euh, rien. Vraiment. Je ne faisais que penser à voix haute. Vous êtes un bon compagnon, Libra. Et un vrai ami.
Libra : Moi aussi je te considère comme un vrai ami !

C
Severa : Hé là ! Gerome ! Attends !
Gerome : Oui ?
Severa : Je veux savoir pourquoi tu portes tout le temps ce stupide masque.
Gerome : Mon masque n'a rien de stupide. Et ce ne sont pas tes oignons.
Severa : Tu parles ! C'est moi qui suis obligée de le voir tout le temps ! Ça te fait ressembler à un mime ou à un bandit ou à un acrobate ou... ou je ne sais quoi. C'est vraiment trop bizarre, et tout le monde pense que tu devrais l'enlever.
Gerome : Je doute que tu parles au nom de tous.
Severa : Et alors ? Tu l'enlèves, ton stupide masque de bandit, oui ou non ?
Gerome : Tu ne devrais pas t'inquiéter autant des autres. Je garde le masque.
Severa : Hé, où tu crois aller comme ça ? Je n'en ai pas fini avec toi ! Ooooh ! Pour qui cet idiot d'acrobate se prend-il, pour s'en aller comme ça ?
B
Severa : Gerome !
Gerome : Encore toi ?
Severa : J'ai à te parler !
Gerome : Je n'enlèverai pas mon masque.
Severa : ÇA N'A RIEN A VOIR AVEC TON STUPIDE MASQUE ! ...... En fait, si. Pourquoi est-ce que tu le portes toujours ? Tu es défiguré à vie ? Ou juste vaniteux ? A moins que tu veuilles te cacher des gens du passé ? Personnellement, je pense que tu cherches juste à attirer l'attention et tu ne veux pas l'admettre.
Gerome : Je veux bien te répondre, si ça peut te faire partir. Écoute bien, je ne me répèterai pas... Durant les batailles, ce masque empêche les ennemis de voir mes émotions et mes sentiments. Cela me donne un avantage précieux dans les batailles décisives.
Severa : Mais ça ne réduit pas ton champ de vision ? Comme des œillères ?
Gerome : Bien sûr que si. C'est pour cela que j'ai entraîné tous mes autres sens. En fait, je pourrais me battre – et gagner – les yeux bandés.
Severa : Ça doit être pratique pour les bals masqués.
Gerome : Voilà, tu as ta réponse. Maintenant, laisse-moi tranquille.
Severa : Pffft ! Ce n'est pas tout et tu le sais très bien ! Qu'est-ce que tu caches ?!
Gerome : J'ai dit, laisse-moi tranquille !
Severa : Ouais, bien sûr, le masque cache tes émotions aux méchants et bla bla bla bla. Mais il y a bien une autre raison, même si tu ne le sais pas ! Et je vais la trouver, pour que tu enlèves ce maudit truc !
Gerome : J'en ai assez de tes balivernes.
Severa : Gerome ! Attends ! Reviens ici !
A
Severa : Gerome ?
Gerome : Je ne veux pas t'entendre parler de mon masque. Compris ? N'en parle pas. Ne le pointe pas du doigt. Ne le regarde même pas. Reste... juste là.
Severa : D'accord, d'accord ! Pffft. .... Bon, écoute. Tu m'as dit pourquoi tu le portais, et d'accord, ça se tient. Mais je suis sûre qu'il y a une autre raison. ... Une raison secrète.
Gerome : Si mon arme se casse, je peux me servir du masque comme arme de lancer. ... Satisfaite ?
Severa : Ha ha ha ha. Tu ne me feras pas lâcher prise aussi facilement ! Je sais que tu as une raison secrète, et je la découvrirai à tout prix ! Tu peux cacher ton visage, mais tu ne peux pas cacher tes vrais sentiments et tout ça !
Gerome : ... Si je te dis la vérité – la vérité vraie –, tu jures de me laisser tranquille ?
Severa : Je le jure !
Gerome : Tu dois aussi jurer de ne jamais en parler à personne, sous peine de mort.
Severa : Motus et bouche cousue !
Gerome : ... Quand j'étais petit, je rêvais souvent d'être un grand guerrier. Et dans mes rêves, j'avais toujours un masque, parce que... Parce que je pensais que ça a la classe.
Severa : C'est nuuuuuuul !
Gerome : Je n'ai pas fini ! ... J'ai commencé à porter des masques tout le temps, juste comme ça. Mais comme tu le sais, je n'aime pas me dévoiler plus que nécessaire. Et petit à petit, un caprice d'enfant est devenu un outil pour éloigner les autres.
Severa : Ah... Je me disais que c'était quelque chose comme ça !
Gerome : Alors tu avais raison.
Severa : Mais alors tu limites ton champ de vision juste pour qu'on te fiche la paix ? Allez, Gerome. Admets que c'est débile.
Gerome : J'ai accompli ma part du marché. Veille à respecter la tienne.
Severa : Hooo ! Il avait l'air furax. Enfin, au moins, je l'ai fait parler... C'est déjà pas mal, je trouve !
S
Gerome (démasqué) : ....
Severa : IIIIIIIII ! A l'aide ! Un intrus ! Sonnez l'alarme !
Gerome : Severa, c'est moi ! Gerome ! Je me lavais juste le visage.
Severa : Menteur ! Gerome ne se laisserait jamais surprendre sans son masque !
Gerome : Mais c'est moi, je te dis ! Tiens, je vais le prouver. [Il remet son masque] Tu vois ?
Severa : Gerome ! J-je n'avais pas idée... Ça faisait si longtemps... Minute ! Je viens de comprendre quelque chose.
Gerome : Quoi donc ?
Severa : Je sais pourquoi je tenais tellement à t'enlever ce stupide masque. C'est parce que je voulais voir ton beau minois !
Gerome : Oh, heu... Vraiment ?
Severa : Yep ! Oooh, j'avais failli oublier à quoi tu ressemblais ! Et ben ça alors... Tu as toujours été bien mignon, mais là ? Oh la la !
Gerome : Mais quand tu m'as vu tout à l'heure, tu t'es mise à hurler comme si j'étais un monstre !
Severa : J'étais juste surprise. Ne sois pas si sensible !
Gerome : Si je suis comme ça, c'est à cause de ta grande IN-sensibilité ! ... Tu ne réalises pas combien tes paroles peuvent me blesser.
Severa : Comment voudrais-tu que je le sache ?! C'est toi qui t'acharne à cacher tes émotions sous ce masque de bandit ! Tu ne peux pas faire ça et ensuite te mettre à pleurnicher parce que quelqu'un a heurté tes sentiments par erreur !
Gerome : Mais... tu ne vois pas combien je t'adore ?
Severa : Que-?
Gerome : Ta présence me torture ! Chaque fois que tu es près de moi, mon cœur est en émoi ! Quand tu es là, je ne sais plus qui je suis ! Je dois garder ce masque – surtout auprès de toi. Autrement, je ne pourrais pas fonctionner.
Severa : Oh, waow. C'est... assez incroyable.
Gerome : Quoi donc ?
Severa : Eh bien, ce que tu as dit ! Tout ! Parce qu'en fait, heu... je t'aime bien aussi...
Gerome : Tu ne sais rien sur moi.
Severa : C'est pour ça que je me suis tellement acharnée à te parler. Ça ne te crève pas les yeux ?
Gerome : ... Tu en es vraiment sûre ?
Severa : Si je suis sûre d'une chose, c'est bien de ça... Alors dorénavant, quand je suis là, enlève ce masque de bouffon. Compris ?
Gerome : Eh bien, j'imagine que je pourrais le faire. ... Pour certaines occasions. ... Peut-être.
Severa : Hé, mais tu rougis ? Tu as le nez tout rose !
Gerome : Qu-quoi ?! Non ! Je ne rougis pas ! ..... (Il est peut-être temps que je trouve un masque plus grand...)

Virion/Tharja :

Soutien C :

Tharja : …
Virion : …
Tharja : Tu es un chat ! Ouiii ! Un chat !
Virion : Miaaaou !
Tharja : Bien ! Et maintenant, tu vas sombrer dans un profond sommeil.
Virion : *ronflements*
Tharja : Je n'ai jamais vu quelqu'un de si sensible à l'hypnose.
Virion : *ronflements* Vous êtes... si belle... Voulez-vous... m'épous... zzzz... Zzzzz...
Tharja : Ça suffit. Réveille-toi !
Virion : Où... Où suis-je ? Oh, quel rêve saisissant. Je ne me suis jamais senti si reposé. Dommage que je me sois réveillé à l'instant où elle allait me dire oui. Nous aurions échangé un baiser et sous le clair de lune, nous...
Tharja : Ahem...
Virion : Oh, salutations ! Tharja, c'est cela ? Comment puis-je vous être utile en cette belle journée ?
Tharja : Utile ? Vous êtes... l'homme idéal !
Virion : Aha ha ha ! Oh, Madame, vous me flattez ! J'avoue que vous n'êtes pas la première à me déclarer cela. Mais, vous êtes la première à être d'une telle splendeur ! Serais-je encore en train de rêver ?
Tharja : Assez de flatteries. Au travail... Va construire un pont sur la rivière !
Virion : À vos ordres, Madame !
Tharja : Oh, il n'est qu'un jouet entre mes mains ! Il va m'être très utile, en effet. Hé hé hé !

Soutien B :

Tharja : Répare la maçonnerie de la caserne.
Virion : À vos ordres.
Tharja : Prépare un festin pour mille soldats.
Virion : À vos ordres.
Tharja : Hmm... Que vais-je bien pouvoir lui faire faire ensuite ?
Virion : Je suis votre dévoué serviteur.
Tharja : Hmm ? Qu'est-ce que tu as dit ?
Virion : J'ai dit : « Je suis votre dévoué serviteur. »
Tharja : Tu... Vous êtes conscient de ce que vous faîtes depuis le début ?
Virion : Oui, bien sûr.
Tharja : Mais c'est impossible. Le sujet de l'hypnose entre dans un état de transe. Il n'a ni conscience ni souvenir de ses actions.
Virion : De l'hypnose ? C'est ce que vous tentez de faire. Vous auriez dû me le dire plus tôt. L'hypnose et les malédictions ne marchent pas sur moi.
Tharja : Comment ?! Mais vous avez fait tout ce que je vous ai demandé sans hésitation ! Vous vous êtes joué de moi ? Vous vouliez me faire passer pour une sotte ?!
Virion : Pas du tout ! Moi, Virion, ai toujours du mal à dire non à une jolie demoiselle...
Tharja : Alors si je vous disais de vous sacrifier pour moi, vous le feriez ?
Virion : Si c'était nécessaire.
Tharja : Nécessaire. Qu'est-ce que ça signifie ? Vous éludez la question.
Virion : Jamais je ne pourrais mentir à une dame, même pour plaisanter. En temps voulu, vous vous apercevrez de la sincérité de Virion le galant.
Tharja : Tsss...

Soutien A :

Tharja : Vous êtes un idiot.
Virion : C'est une accusation un peu injuste, mais elle contient un brin de vérité... En présence d'une demoiselle, il ne me sied point d'apparaître si négligé...
Tharja : Je ne parle pas de votre habillement ! Je parle de ce que vous avez fait !
Virion : Si Madame pouvait me dire ce que j'ai donc fait, je pourrais lui expliquer le pourquoi.
Tharja : Lors du dernier combat, vous avez encaissé un coup qui m'était destiné !
Virion : Oui. Je n'avais guère le choix. Vous souvenez-vous de notre conversation ?
Tharja : Quand vous avez parlé de vous sacrifier si c'était nécessaire ?
Virion : C'est cela même.
Tharja : Pourquoi feriez-vous une chose si insensée ? Mon hypnose ne marche pas sur vous, vous l'avez dit. Alors pourquoi vous sacrifieriez-vous pour moi ?
Virion : Il n'y a pas longtemps, j'étais responsable de la vie de nombreuses personnes. Mais quand l'Empire de Valm a attaqué, je n'ai pu faire mon devoir. J'ai vu ceux qui avaient placé leur confiance en moi se faire massacrer. J'ai juré alors que je consacrerais le reste de ma vie à servir les autres. Ceux qui sont partis le sont à jamais, mais si je sauve d'autres vies en leur nom... Leur sacrifice n'aura pas été vain. Me suis-je fait comprendre ?
Tharja : Pas du tout.
Virion : Ha ! D'une franchise désarmante ! Ce que j'aime cette femme !
Tharja : Tsss... Vous êtes... comment dire ? Vous êtes...
Virion : Un gentilhomme aux manières irréprochables ?
Tharja : Un idiot qui a été blessé en prenant volontairement un coup à ma place !
Virion : Vous êtes dure. Mais terriblement charmante...
Tharja : Ça suffit. Taisez-vous et ne bougez pas pendant que je soigne vos plaies. À moins que vous ne préfériez que je vous fasse taire... définitivement.

Soutien S :

Virion : Ma douce Tharja. Je voudrais vous remercier de vos attentions de l'autre fois. Je vous apporte ceci afin de vous témoigner toute ma gratitude. Je me demande si vous me feriez l'honneur de l'accepter ?
Tharja : Un anneau... un bel anneau mais... Vous rendez-vous compte des conséquences ?
Virion : Bien sûr ! Je suis prêt à vous offrir ma vie, et resterai auprès de vous nuit et jour. Autrement, je pourrais manquer l'occasion quand elle viendra.
Tharja : Alors, si d'autres demandaient d'offrir votre vie en échange de la leur, le feriez-vous ? Est-ce que c'est une offre valable pour n'importe quel idiot du village ?
Virion : Je me suis posé la question récemment. Mais il n'y en a qu'une pour laquelle je sacrifierais ma vie, et c'est vous.
Tharja : Pourquoi ?
Virion : Quand l'amour fleurit dans le cœur d'un homme, doit-il s'expliquer ? Mais si en dépit de tout, je le devais, je dirais que j'ai succombé à votre gentillesse.
Tharja : Vous devez me confondre avec une autre.
Virion : Oh ? Pourtant le pont que j'ai construit à permis aux enfants de traverser en sécurité. La caserne réparée a réchauffé les soldats et mon festin les a calés, eux, si affamés. Vous auriez pu vous servir de moi pour n'importe quoi, vous avez fait ces choix. Qu'est-ce donc si ce n'est pas de la gentillesse ? Je serais honoré de donner ma vie pour une femme si extraordinaire !
Tharja : Je ne veux pas que vous m'offriez votre vie.
Virion : Me refuseriez-vous cet honneur ?!
Tharja : Pas d'inquiétude, j'ai un plan différent. Je veux que vous viviez, Virion. Promettez-le.
Virion : Mais ce n'est pas la voie d'un guerrier galant tel que moi !
Tharja : Néanmoins, tel est mon désir. Et si je vous ordonne de m'épouser, vous obéirez.
Virion : À vos ordres, Madame. Je jure de défendre votre vie. Mais je jure de ne jamais risquer la mienne en effectuant cette tâche ! Eh bien, ce sont les vœux de mariage les plus étranges que j'ai jamais entendus !

Virion/Daraen(femme) :

Soutien C :

Daraen : Donc, si les cavaliers se déploient en éventail... Tandis que les pégases surgissent par les flancs...
Virion : Bigre, je vous assure que je peux presque voir la fumée vous sortir par les oreilles... Que manigancez-vous donc ?
Daraen : J'envisage divers scénarios et stratégies à l'aide de ce tablier de jeu. Même après cent marches forcées, ces pièces obéissent encore ! Cela m'évite d'éreinter tout le monde avec des manœuvres à répétition...
Virion : Quel génie... Vous leur avez même sculpté des ennemis en miniature. Vous m'épatez. Et je n'ai pour habitude que d'être épaté par moi-même...
Daraen : Mais comme je dirige les deux camps, le procédé n'a que peu d'utilité... Comment se préparer à l'inattendu lorsque l'on sait déjà ce que fera l'adversaire ?
Virion : Alors, permettez-moi d'être votre adversaire ! Je frapperai avec la noblesse du lion, et défendrai avec la grâce du cygne !
Daraen : Les cygnes sont de bons... défenseurs... ? Euh, oublie ça... J'accepte ! Nous déplacerons nos unités tour à tour, jusqu'à la capture d'un des commandants. D'accord ?
Virion : Oh oui, complètement ! Oh, comme c'est excitant... ! Commencez, je vous prie.
Daraen : Un instant ! J'aimerais annuler mon dernier coup, si tu le permets.
Virion : Ha ha ! Si seulement les généraux ennemis étaient si coulants. Hélas... C'est la guerre. Échec et mat, Mademoiselle.
Daraen : Malédiction ! J'ai horreur de l'admettre, mais je suis bel et bien vaincue...
Virion : Ho ho ! Ne vous ai-je pas prévenue que je serais lion et cygne à la fois ?
Daraen : On aurait plutôt dit une poule mouillée avec la partie arrière d'un cheval ! Peut-être suis-je mauvaise perdante, mais ta stratégie ne m'a pas semblé très noble.
Virion : Ciel ! Vous n'êtes pas du genre à mâcher vos mots...
Daraen : Peu importe. Merci pour l'exercice, mais j'ai d'autres choses à faire, pour l'heure.
Virion : Mais je n'ai même pas eu le temps de jubiler !
Daraen : C'est la guerre, tu sais. Les perdants ne restent pas pour te voir jubiler.
Virion : Attendez ! Ne partez pas, Daraen ! Jouons encore une fois !

Soutien B :

Daraen : Hé, Virion ! Une petite partie ? J'ai trouvé comment te battre à coup sûr !
Virion : Oh, c'est exaltant ! J'adore les défis. Mais ne m'avez-vous pas raconté la même chose lors des vingt parties précédentes ? Oh. Attendez... Ne me dites pas que vous faites EXPRÈS de perdre ?! Je vois ! Tout cela n'est qu'une ruse pour passer plus de temps avec moi... Vous n'êtes pas la première à user de telles ruses pour me séduire, je dois avouer.
Daraen : Je ne suis pas intéressée par un homme qui porte un bavoir passé l'âge...
Virion : Ba... Bavoir ?! Prenez garde, espèce de sauvage ! Ceci est un FOULARD. C'est le nec plus ultra de la mode nobiliaire !
Daraen : Ça sonne vraiment chic...
Virion : Grr ! Je peux pardonner votre ignorance mais je ne souffrirai pas l'insolence ! Vous tournez en ridicule l'art délicat de la flatterie, et je ne peux l'accepter ! J'exige réparation immédiate sur le champ de bataille, Mademoiselle ! En garde !
Daraen : Montre-moi ce que tu as dans le ventre ! Tonnerre et damnation ! Comment se fait-il que je n'arrive toujours pas à te battre ?!
Virion : Il semble que mon foulard soit vengé...
Daraen : Je ne réponds pas de ton style de toilette, mais tu t'y connais en stratégie, Virion... Peut-être devrais-tu mener nos troupes à ma place, après tout.
Virion : Ce serait risqué, ma chère... J'ai peur que nous ne fassions pas long feu. Examinez donc le tablier de jeu en détail, et dites-moi : qui a le plus de troupes en vie ?
Daraen : Ah...
Virion : J'ai gagné, certes, mais à quel prix ? Sur un vrai champ de bataille, je ne pourrais même pas user de la moitié de ces coups. Mes propres hommes m'auraient empalé bien avant que l'ennemi ne m'atteigne. Non, notre armée a besoin d'un stratège qui répugne au moindre sacrifice. Nous avons besoin de vous, Daraen.
Daraen : Eh bien... Voilà qui était presque... aimable. Sensible, même. Tu te sens bien ? Tu passerais presque pour une personne normale...
Virion : J'ai toujours incarné à perfection la sensibilité... Et puis « normal », c'est juste un autre mot pour « ordinaire », alors non merci ! Toutefois, Mademoiselle voudra peut-être récompenser le vainqueur par un baiser ?
Daraen : Ha ha ha ! Bien essayé, Virion...

Soutien A :

Daraen : *soupir* J'ai perdu... Une fois de plus.
Virion : Votre gambit du chevalier wyverne, il y a sept tours de ça, vous a été fatal.
Daraen : Ah, je vois... Cela a exposé le flanc de mes troupes... Tu es vraiment doué, Virion. Je ne fais décidément pas le poids.
Virion : Sottises ! Vous gagnez presque une partie sur trois, à présent ! Votre rythme de progression est plutôt effarant.
Daraen : Je ne dois mon progrès qu'à ta grande patience. Merci pour ces heures d'entraînement. Je les trouve très stimulantes. D'ailleurs, les jours où je n'arrive pas à te battre, j'en perds le sommeil !
Virion : Hmm... Ce n'est pas la première fois qu'une femme n'arrive pas à dormir par ma faute... Mais je suis ravi de vous assister, même en tant que simple compagnon ludique. Quoi qu'il en soit, je suis heureux de vous aider à porter votre lourd fardeau.
Daraen : Je suis exténuée, en vérité. Parfois, il me semble que le sol va m'engloutir. Notre armée dépend de moi pour concevoir chaque mouvement et chaque tactique... Je manque d'expérience pour une telle tâche... C'est trop pour une seule femme.
Virion : Et pourtant, vous persévérez, là où une femme de moindre valeur aurait décampé. Vous avez réussi à gagner le respect de tous, vous savez ? Et qu'importe ce jeu, votre adresse sur le champ de bataille relève du génie. Je place volontiers ma vie entre vos mains, et ce n'est pas un maigre compliment.
Daraen : Juste ciel, Virion, je crois que...
Virion : Et si ces mielleuses paroles ne suffisent pas à vous plonger dans le sommeil... Alors je me ferai un plaisir de me coucher à vos côtés et de vous bercer de douces...
Daraen : N'y comptez pas.
Virion : Oh, quel dommage ! Mes berceuses sont véritablement plaisantes, vous savez...

Soutien S :

Virion : J'ai une proposition à vous faire, Daraen. Aujourd'hui, pour une fois, bousculons les habitudes et jouons avec d'autres règles.
Daraen : À quoi as-tu pensé ?
Virion : Au lieu de votre figurine de commandant, vous jouerez avec ceci.
Daraen : Un anneau... ? Quel drôle de variation me proposez-vous là ?
Virion : Je n'ai pas fini. Car si je gagne la partie, vous devrez accepter l'anneau en cadeau.
Daraen : Euh... Mais tu y perds dans les deux cas, si je comprends bien...
Virion : Non pas ! Car je demanderai quelque chose en échange... Votre main !
Daraen : Est-ce que c'est une blague... ?
Virion : Bien au contraire, Mademoiselle ! Je n'ai jamais été plus sincère et sérieux ! Qu'en dites-vous ? Vous mesurerez-vous aux gambits de Virion ?
Daraen : Je n'en sais trop rien. Que se passe-t-il si JE gagne... ?
Virion : Dans ce cas, je rétracterai mon offre et tirerai ma révérence, en vrai gentilhomme. Je compte ainsi démontrer la véhémence des sentiments que j'éprouve pour vous... Je ferai tout pour gagner votre cœur !
Daraen : Dans ce cas, je ne peux que refuser.
Virion : Mais... pourquoi ?
Daraen : Car si je gagne, tu serais prêt à reprendre l'anneau et à m'abandonner. Et cela, je ne le veux pas...
Virion : Voulez-vous donc dire... que vous souhaitez m'épouser, quoi qu'il advienne ? Mais alors, je suis gagnant dans tous les cas ! Euh, je voulais dire... Est-ce vraiment ce que vous désirez ?
Daraen : Tu as accepté de jouer avec moi tous les jours et as eu la patience de m'apprendre. Tu m'as aidée à devenir meilleure. Peut-être même meilleure que toi, au final... J'ai donc l'impression que tu ne refuserais pas d'avoir une femme meilleure que toi... Et ça me plaît !
Virion : Parbleu ! Mon petit doigt me dit que la hiérarchie conjugale est déjà déterminée ! Mais qu'importe ! Pour une si belle femme, je serai ravi d'endosser ce rôle. Je serais l'esclave de mon amour pour vous ! Veuillez maintenant accepter cet anneau !
Daraen : Merci, Virion. C'est le plus beau jour de ma vie ! Encore plus beau que la première fois que je t'ai battu à ce fichu jeu !

Scène étrange : Je vous aime ! Non, je suis fou de vous ! Non... Nous sommes des âmes sœurs ! Ah ! J'imagine déjà la volupté des sonnets que nous inspirerons !

Les gens, postez-en aussi

Il y est Vaike/MU (F)?