Sully/Libra :
Soutien C :
Libra : Des traces de sabots ? Ici ? Hmm... Elles sont vraiment très espacées...
Sully : Tu cherches quelque chose, Libra ? Je t'aide, si tu veux.
Libra : Merci, Sully. C'est très gentil. En fait, tu m'as même déjà aidé ! Car on dirait bien que ces traces de sabots sont les tiennes !
Sully : Euh, soyons précis, ce sont celles de mon cheval. Bref, on dirait que tu as du temps à perdre. Tu veux qu'on discute un peu ?
Libra : Pourquoi pas... Je n'ai pas grand-chose à raconter, mais serai ravi de t'écouter.
Sully : Avec tous ces nouveaux qui sont arrivés, le campement est en effervescence. Ça devient difficile d'avoir un moment d'intimité ! Je suppose que pour une femme comme toi, ce doit être d'autant plus dur...
Libra : … Je suis un homme.
Sully : Oh... Euh... Hé hé. Oui, évidemment. Eh bien, c'est... Hmm... C'est embarrassant, j'avoue.
Libra : Ne t'inquiète pas. Je suis habitué. Mais ta question est tout de même intrigante... Ne peux-tu pas apporter une perspective féminine, toi qui es une femme ?
Sully : Hmm, oui, bien sûr... Je suis une femme. Mais pas très féminine, tu vois... Hmm, je ne m'exprime pas très bien. Bref. Peu importe. Je demanderai à quelqu'un d'autre ! Merci quand même.
Libra : Pas de problème.
Soutien B :
Sully : Aurais-tu un moment, Libra ?
Libra : Oui, bien sûr. De quoi veux-tu parler ?
Sully : En fait, je voulais m'excuser pour...
Libra : C'est à propos de l'autre fois... ? Allons, Sully, tu t'es déjà...
Sully : Non, non, je voulais m'excuser d'avance pour ce que je vais te demander.
Libra : Hmm, ce n'est pas bon signe...
Sully : J'espère que ma question ne te dérangera pas. En tout cas, je voulais savoir... Qu'est-ce que ça te fait, d'être aussi beau, de manière aussi... féminine, je veux dire ?
Libra : Oh. Ce n'est pas vraiment la question que j'attendais. Eh bien... Rien de spécial. Je n'y pense pas vraiment, à vrai dire. Après tout, je ne peux pas changer mon apparence, n'est-ce-pas ? Il est vrai que le fait d'être aussi souvent pris pour une femme peut me poser problème. Quand je vais aux bains... ou dans les tavernes... Enfin... partout, en fait. Pourquoi cette question ?
Sully : Comme tu le sais, je ne suis pas très féminine... Je demande aux gens de me traiter comme si j'étais un homme... Et la seule chose qui m'intéresse, c'est de m'améliorer en tant que chevalier. Mais après t'avoir parlé, l'autre fois, je me suis dit... Je ne sais pas... Il est peut-être temps pour moi d'accepter davantage ce que je suis... qui je suis...
Libra : Je ne sais pas si je serais de bon conseil à ce sujet, Sully. N'importe qui d'autre sur le campement pourrait t'aider mieux que moi.
Sully : Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Libra : En tant que prêtre, je dois incarner l'espoir. Comme une lumière dans l'obscurité. Je me dois de toujours garder le sourire, de traiter chacun avec chaleur et respect. Du moins, c'est le genre de personne que j'aspire à devenir.
Sully : C'est exactement le genre de personne que tu es déjà, Libra.
Libra : Je ne sais pas... J'ai l'impression que je suis juste doué pour jouer la comédie. J'ai l'impression de porter un masque constamment.
Sully : Libra...
Libra : Désolé. Je ne voulais pas te déranger avec mes états d'âme. N'y pensons plus...
Soutien A :
Sully : Libra... As-tu un rêve dans la vie ? Un grand objectif que tu rêves d'atteindre ?
Libra : Hmm... Je suppose que j'aimerais à nouveau voir le monde en paix.
Sully : Ha ! Je savais que tu dirais quelque chose d'aussi désintéressé. Tu sais, il n'y aurait pas de mal à ce que tu veuilles quelque chose pour toi-même.
Libra : Voir les gens heureux autour de moi m'apporterait un grand bonheur.
Sully : Oui, oui, je n'en doute pas. Mais parfois, il faut savoir penser un peu à soi. On dirait que tu te refuses à éprouver du plaisir ou de la joie... Et parfois, je me demande pourquoi.
Libra : Et moi, je me demande pourquoi tu t'inquiètes autant pour moi...
Sully : Peut-être que j'aime me mêler de tout. Mais peut-être... Je sais pas... Peut-être que je t'aime bien, aussi.
Libra : Ah ?
Sully : Toi et moi, on est un peu comme des âmes sœurs, finalement. Même si... … je suis le pire des garçons manqués, et toi le plus efféminé des hommes !
Libra : Hmm... C'est vrai que tout nous oppose, mais que nous partageons beaucoup. Je me sens également proche de toi.
Sully : Alors, qu'en dis-tu ? Si on était partenaires, toi et moi ? Sur le long terme, j'entends...
Libra : J'en serais honoré.
Soutien S :
Libra : As-tu un moment à m'accorder, Sully ?
Sully : Ah... Libra... Euh... Oui, bien sûr !
Libra : Tu te sens bien ? Tu as l'air un peu nerveuse, je trouve.
Sully : Non, non, ça va... Mais je repensais à ce que je t'ai dit la dernière fois. Et je me sentais un peu gênée, rétrospectivement. À m'entendre, on aurait dit que je te faisais une déclaration d'amour.
Libra : Alors... ce n'en était pas une ?
Sully : Mais pas du tout !
Libra : Ah... Alors, c'est moi qui suis gêné à présent. Je crois que j'ai mal interprété tes mots... Je n'aurais peut-être pas dû m'empresser de t'amener ceci...
Sully : Oh, je rêve... Tu m'as acheté une bague... Une alliance... ?
Libra : Je suis terriblement désolé. J'étais aux anges quand tu as dit que tu nous voyais comme des âmes sœurs, et... Peu importe. Je vais me débarrasser de cet anneau. N'y pensons plus.
Sully : Non, attends ! Ce serait du gâchis ! Je veux dire... Il est si beau et... Hmm. J'accepte, Libra.
Libra : Je n'aimerais pas que tu acceptes un tel présent par pitié... C'est un objet modeste, mais il symbolise beaucoup de choses... Je ne voudrais pas te l'imposer...
Sully : Ne t'inquiète pas pour ça. J'ai bien compris sa signification.
Libra : Mais...
Sully : Je ne fais pas ça par pitié... mais parce que je t'aime. Et, par conséquent, je veux passer le reste de ma vie avec toi.
Libra : Je suis à toi, dans ce cas !
Sully/Gregor :
Soutien C :
Sully : Hé, Gregor !
Gregor : Beh alors ? Les jeunes, ça doit respecter les anciens, j'te ferais remarquer. Y faut m'appeler « monsieur », tu vois ? Je suis vieux, non ? Faut qu'tu sois polie.
Sully : C'est ça... Bon, écoute, il paraît que tu es un as à l'épée. C'est vrai ?
Gregor : Bah oui, y'a plein de braves qui pourraient t'le confirmer... Enfin, y pourraient... … s'ils étaient pas morts en m'affrontant ! HA HA ! J'adore cette blague...
Sully : Fantastique. Alors que dis-tu de faire un duel avec moi ?
Gregor : Hmm... Combien tu m'paierais, pour ça ?
Sully : Tu veux que je te paie pour de l'entraînement ? On est alliés, tête d'enclume ! Tu devrais m'aider gratuitement !
Gregor : J'suis un mercenaire, ma p'tite ! Faut bien qu'je mange, pas vrai ?
Sully : C'est TOI que je vais manger ! … Bon... D'accord... Mais si je te paie, alors j'ai le droit de poser une condition.
Gregor : Hmhm... laquelle ?
Sully : Tu clames être un combattant hors pair, mais comment puis-je en être sûre ? Si au premier signe de danger, tu te roules en boule au sol, c'est de l'argent gâché ! Alors, voici le marché : je ne paierai que si tu parviens à m'apprendre quelque chose.
Gregor : Elle est belle ET dure en affaire, la brave dame ! Tu veux une garantie, quoi ? Eh ben, j'accepte, mais seulement si moi aussi j'peux poser une condition... Le perdant d'vra exaucer une requête du vainqueur ! Même si elle est humiliante ! Alors, marché conclu ? Sauf si t'es une poule mouillée, en vrai ?
Sully : Marché conclu ! J'en ai assez des hommes comme toi qui sous-estiment les femmes !
Gregor : Ah ! Mais non ! Pas du tout ! Je sous-estime personne, moi. Surtout pas une femme bien musclée et aguerrie comme toi.
Sully : Ça devrait être intéressant...
Soutien B :
Sully : Bonjour, Gregor.
Gregor : …
Sully : Oh, c'est pas vrai... Bonjour, MONSIEUR Gregor.
Gregor : Bonjour, Sully ! Bah dis donc, ça fait un bail qu'on s'est pas vus, toi et moi.
Sully : Je veux un autre duel avec toi. Un vrai. Et pas de retenue, cette fois ! Je me suis entraînée dure depuis notre dernière rencontre. Je suis prête !
Gregor : Tu t'es entraînée dur ? Ho ho ! J'vais avoir du fil à retordre, ça veut dire !
Sully : On a tellement débattu des termes du duel l'autre fois, que j'en ai perdu le combat. Et puis tu devais me donner une punition humiliante, mais tu ne l'as pas fait ! Me faire t'appeler « monsieur », ça ne me motive pas assez. Je veux plus ! Allez, debout ! Lève-toi et viens te battre pour ton honneur !
Gregor : Bah, on est tous seuls, ici... On a pas à s'battre... pour l'honneur en plus... ! C'est p'têt' plutôt le moment de s'dire des p'tits mots doux... Qu'est-ce que t'en dis ? Enfin, si c'est avec l'épée qu'tu veux parler, d'accord. J'parle aussi cette langue. Mais alors, quand tu perdras, j'te ferai faire un truc vraiment vraiment humiliant...
Sully : C'est parti !
Soutien A :
Sully : Gregor.
Gregor : Bonjour, Sullinou !
Sully : Arrête de m'appeler comme ça.
Gregor : Ha ha ha ! T'aimes pas « Sullinou » ? Mais ça t'va bien ! C'est mignon !
Sully : Ça n'a rien de mignon, vieux bouc rongé par les puces !
Gregor : Oh, chuis blessé, là ! C'est normal, en tant que compagnons d'arme... … faut qu'on s'trouve des p'tits noms ! En plus, ça montre l'amitié, le respect... « Sullinou, mon alliée brave et fidèle » ! Allons, j'suis ton ami, Sullinou... Y a pas de quoi rougir.
Sully : Je... Je ne rougis pas.
Gregor : Ha ! Mais, j'vois bien que c'est pas le surnom qui t'fait rougir ! Tu connais la vraie raison, non, Sullinou ? T'es secrètement amoureuse de moi !
Sully : Répète ça encore une fois et je t'enfonce mon épée si profondément dans le...
Gregor : Ho ho ! J'aime les femmes qui ont du caractère. J'devrais te taquiner plus !
Sully : Et moi, peut-être que je devrais faire de toi un paillasson !
Gregor : Ah, Sullinou ! Tu sors ton épée et tu m'défies en duel, c'est ça ?
Sully : Tu as insulté pour mon honneur pour la dernière fois !
Gregor : Et si tu perds ?
Sully : Alors tu pourras faire ce que tu veux de cet honneur et de ma vie.
Gregor : C'est bon, j'accepte tes termes, Sullinou. J'suis prêt quand tu veux.
Soutien S :
Sully : Gregor ? Je voulais te demander quelque chose au sujet de notre dernier duel.
Gregor : Tu veux contester les résultats, p'têt' ? J'trouve qu'y a rien à ajouter, moi.
Sully : Non. J'accepte que tu sois meilleur que moi... Du moins pour le moment. Mais je ne peux pas accepter la punition que tu m'as donnée après ta victoire ! J'ai perdu le duel, cependant tu refuses de réclamer ton prix ! Allons, dis-moi ce que tu veux, que je puisse enfin dormir la nuit !
Gregor : Ça m'intéresse plus trop, d'me battre contre une femme comme toi.
Sully : QUOI ?! Mais qu'est-ce que tu veux dire ?!
Gregor : On a combattu plusieurs fois. J'ai gagné à chaque fois. Ça m'suffit.
Sully : Je sais que tu as gagné ! Alors si tu refuses seulement parce que je suis une femme...
Gregor : Pas parce que t'es une femme... Mais parce que c'est toi.
Sully : Qu'est-ce que c'est encore que ces salades ?!
Gregor : J'peux pas combattre une femme alors que bon... je l'aime comme un fou, quoi ! Alors, au lieu de sortir mon épée, j't'ai acheté un p'tit cadeau...
Sully : C'est un... anneau ?
Gregor : J'veux t'épouser. Tu veux bien ?
Sully : Je ne comprends pas... Pourquoi moi ?
Gregor : Parce que t'es encore une femme remarquable ! T'es forte, brave, et puis fière aussi ! Ça fait longtemps que j't'admire de loin, Sullinou.
Sully : …
Gregor : J'sais que j'suis vieux, balafré et plus en très bon état. J'comprendrai si tu refuses. Mais refuse pas à cause des duels ! Mon pauvre cœur tiendrait pas le choc.
Sully : Je ne dirais pas « non » à cause de ça. Je ne dirais pas du tout, à vrai dire...
Gregor : Euh... J'suis perdu, là. Tu veux dire... Que c'est un oui ?
Sully : J'ai beaucoup appris de toi, Gregor. Sur le combat et les épées, c'est sûr... Mais aussi sur l'honneur et le respect. Je crois qu'on ferait une sacrée bonne équipe tous les deux, si on se mariait.
Gregor : Oh, j'suis tellement heureux ! Regarde-moi ! J'en danse de joie !
Mais c'est que t'arrêtes pas en plus ...
Henry/Frederick
Soutien C
F: HENRY ! VOUS M'ENTENDEZ ?
H:Oh, bonjour, Frederick... tout va bien ?
F : Vous n'étiez pas présent à la séance d'entraînement, aujourd'hui !
H : La séance d'entraînement ? Ca ne me dit rien du tout !
F : Pourtant, je suis sûr que Chrom l'a rappelé à tout le monde, hier...
H: Ah, mais oui ! La SEANCE d'entraînement. Ca ne revient maintenant.
F : Votre absence n'était donc pas due à une blessure ou à une maladie ?
H : Ah, si seulement j'étais atreint d'une terrible maladie ! Mais je me porte comme un charme...
F: Ravi de l'apprendre. Toutefois, votre attitude me déçoit grandement.Notre survie dépend de notre préparation au combat, et vous le savez.
H : Oh, ne t'inquiète pas. Je ne suis pas du genre à mourir facilement !
F : Qu'est-ce qui vous met à l'abri des périls de la guerre, contrairement aux autres ?
H: Oh, plein de petites choses. Tu vois ce que je veux dire... ?
F : Non, je ne vois pas ! Il est primordial pour un soldat de s'entraîner ! Vous ne faites pas exception !
H : Ca va, j'ai compris, je vais y faire un tour, alors...
F : Hen... Henry ? Où allez-vous ? Je n'ai pas encore terminé !
H : Je vais au terrain d'entraînement ! Tu m'accompagnes ?
F : Moi ?
H : Hi hi hi ! Non, je plaisantais !
F : Au sujet d'aller s'entraîner ou le fait de m'inviter ?
H : Bah... L'un ou l'autre, je ne sais plus... Bon, à la prochaine !
F : Henry; attendez ! Vous allez vous entraîner, oui ou non ? Votre vie en dépend ! *seul* Quel jeune homme exaspérant !
Soutien B
F : HIYAAAH ! GAAH !
H: Tu ne ménages pas tes efforts; on dirait !
F : Ah, bonjour, Henry ! Vous venez enfin vous entraîner ?
H : Oh, non ! Je regarde, c'est tout.
F : Cette attitude ne sied à aucun veilleur. Venez, nous nous entraînerons ensemble.
H : Pourquoi passer autant de temps à s'entraîner ? Ca a l'air crevant !
F : Je me prépare à toute éventualité sur le champ de bataille. Je veux mourir sans regrets, pas en me disant qu'il eût fallu m'entraîner davantage.
H : Moi je veux mourir dans une mare de sang ! Ou... du choléra...
F : Assez discuté ! Prenez un bouclier en bois, et montrez-moi ce dont vous êtes capable.
H : Inutile. Je ne vais pas mourir, de toute façon. Mais essaye toujours !
F : Halte ! Vous ne vous échapperez pas aujourd'hui ! Je vous ai à l'œil !
H : Hé, du calme ! Tu me broies le bras ! Oooh, regarde-moi ces couleurs !
F : Assez perdu de temps ! Allons-y ! En garde ! HIYAAH ! GAAH !
H : Qu'est-ce qui m'a pris de venir ici... ?
F : Que dites-vous ?
H : Oh, rien. Autant me joindre à l'entrainement. Ca ne peut pas faire de mal...
Soutien A
F : Ah, Henry. Vous venez à nouveau vous entraîner avec moi ?
H : Oui, je m'ennuyais, alors je me suis dit... Pourquoi pas ?
F : Vous feignez l'indifférence, mais vous n'avez manqué aucune séance, récemment.
H : Oui, je sais, c'est étrange. Je crois que ça commence à me plaire... en quelque sorte.
F : Ecoutez-moi bien, Henry. J'ai quelque chose à vous dire...
H : Oui ?
F : *sanglots* Quand vous dites ce genre de choses, cela me rend si heureux !
H : Euh, Frederick, doucement ! Les calins, c'est bien, mais je suis fragile, moi ! Hé, mais... tu pleures ?
F : Oui, des larmes de joie, mon ami ! Car vous êtes enfin un soldat motivé et engagé !
H : Mais je l'ai toujours été !
F : Continuez comme ça, et chaque soldat ici vous respectera et louera votre valeur !
H : Tu penses vraiment que les gens font attention à ce que je fais ? J'ai des doutes. Que penses-tu qu'ils disent de moi, ces temps-ci, par exemple ?
F : Pour ce qui est de Chrom, je suis sûr qu'il sirait que vous êtes son second le plus fiable et le plus dévoué ! Vous êtes notre perspective d'avenir, le meilleur espoir de cette armée !
H : Hi hi hi ! Attention, trop de compliment tue le compliment ! Mais je ne m'entraîne pas pour me faire bien voir, tu sais.
F : Dans ce cas, pourquoi ?
H : Et bien, parce que plus je m'entraîne, et plus je sais faire de choses ! Et j'aime savoir plein de choses, et être bon dans plein de domaines.
F : Et c'est une motivation suffisante pour vous soumettre à une telle torture ?
H : Ce n'est pas de la torture ! C'est plutôt agréable, en fait ! Je peux maintenant surprendre l'ennemi plus facilement... Et les sorts que je jette fonctionnent mieux, j'ai l'impression.
F : Je vois. Je suis content que ça vous plaise autant. Pour moi, c'est plutôt... difficile.
H : Je ne comprend pas les gens qui se plaignent tout le temps de l'entraînement... Je ne vois pas ce que ça a de si difficile, à vrai dire...
F : Avec assez d'entraînement, vous apprendrez la valeur de l'effort et du sacrifice. Allons ! Entraînons-nous ensemble pour devenir plus forts !
H : Hé hé, d'accord, je n'ai rien de spécial à faire aujourd'hui de toute façon !
Il est sympa celui:ci On voit bien qu'Henry est un psychopathe sado-maso et que Frederick est vraiment saoûlant.
Daraen(femme)/Vaike :
Soutien C :
Daraen : Vaike ? Mais qu'est-ce que tu fais ici ?
Vaike : Hein ? Moi ? Rien ! Ha ha ha ! Absolument rien du tout ! Oh, regarde ! De jolies fleurs ! Oh ! Ce qu'elles sont beeeelles... Quelle est ta fleur préférée, Daraen... ?
Daraen : Tu me caches quelque chose, Vaike...
Vaike : Pas du tout. Je regardais les fleurs, c'est tout. Elles sont jolies, non ?
Daraen : Tu mens. Tu épies les gens qui se baignent à la cascade !
Vaike : Oups !
Daraen : « Oups » ?! Retourne au camp tout de suite !
Vaike : Tu n'es pas un homme, tu ne peux pas comprendre ! Parfois un homme doit voir... ce qui doit être vu. ET point.
Daraen : Non, je ne comprends pas...
Vaike : Oh, madame est irréprochable, peut-être ? À m'interrompre juste au moment où... Oh, et puis tant pis. J'arrête de regarder les... fleurs... pour aujourd'hui. Hmm ? Hein ? Tu vois ce que je vois ?
Daraen : C'est le cheval de Sully ? Il nous regarde avec un air furieux. C'est comme si...
Vaike : Il charge ! Il charge ! Aaaah ! Cours, Daraen, cours ! Vite !
Daraen : Mais... Mais je n'ai rien fait, moi ! Aaaaah !
Soutien B :
Vaike : Hé hé. C'est mon jour de chance ! Le cheval de Sully est à des lieues d'ici et...
Daraen : Ton jour de chance, hein... ?
Vaike : Malédiction ! Encore toi ! Oh, un trèfle à quatre feuilles. C'est mon jour de chance !
Daraen : Ce mensonge aurait pu marcher si tu avais vraiment trouvé un trèfle à quatre feuilles... Tu espionnais encore les bains, hein ? N'essaie pas de me rouler, cette fois.
Vaike : C'est faux ! Et de toute façon, qu'est-ce que tu fais dans les buissons, toi ?
Daraen : Je ramassais des baies pour le thé. Comme si ça te regardait... Mais parle moins fort, aussi ! Si le destrier infernal de Sully se réveille...
Vaike : Pourquoi ça te préoccupe ? C'est après moi qu'il en a.
Daraen : Il en a aussi après moi, depuis que je t'ai pris en flagrant délit d'espionnage... Je suis devenue son ennemie jurée. Dès que je suis dans les parages, il ne me lâche plus d'une semelle !
Vaike : Ho ho ! Alors la bête a aussi l’œil sur toi, Madame l'irréprochable ? Mouah ha ha ! On est tous les deux dans la même galère, en fait.
Daraen : Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle, là-dedans. Quoi qu'il en soit, nous ne devrions pas traîner ici, la bête risque de se réveiller. Et si nous rentrions ensemble ? Qu'en dis-tu, Vaike ?
Vaike : Est-ce que j'ai vraiment le choix... ? Et moi qui croyais que c'était mon jour de chance. Tiens, au fait, la bête a disparu... !
Daraen : V... Vaike... ne te retourne pas... Il est juste derrière toi...
Vaike : Hein ? Derrière moi ?! AAAAAAAAAAAAAAAAAH ! COOOOURS ! Daraen, COOOUUURS !
Daraen : Mais pourquoi est-ce qu'il en a après moooiii ?!
Soutien A :
Daraen : Tout va bien ? Tu en fais une tête !
Vaike : Ah, Daraen... Je réfléchissais et je me disais que je t'ai causé beaucoup d'ennuis. Je suis désolé.
Daraen : Tiens, ça ne te ressemble pas d'être si... regardant.
Vaike : Eh bien, j'étais en train de me baigner sous la cascade et... Des filles sont apparues de nulle part, en riant et en me montrant du doigt. Je n'avais rien sur le dos et mes vêtements étaient de l'autre côté du bassin ! Elles ont pris leur revanche pour toutes les fois où je les ai accidentellement surprises.
Daraen : Je vois.
Vaike : Ce satané cheval était là aussi, et il avait l'air de bien rire... Quelle humiliation !
Daraen : Tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même. On pourrait même dire que c'est... Oh, quel est le mot déjà ? Ah, oui, l'ironie du sort ! J'espère que cette leçon t'a servi ?
Vaike : Oh oui ! Je m'en rappellerai éternellement !
Daraen : Bien. Quand tu repenseras à l'incident, tu seras content qu'il soit arrivé. Mais inutile de ressasser tout ça. Les Veilleurs ont besoin de Vaike. De sa passion, de sa volonté de vaincre contre vents et marées !
Vaike : Hé hé,. C'est vrai ! Tu es une véritable amie, Daraen !
Daraen : Tu me considères comme une amie ?
Vaike : Oui. Tu es dans mon cercle de confiance. Et tout le monde n'a pas cette chance ! Ça veut dire que nous sommes amis et que nous pouvons nous rendre service...
Daraen : Nous rendre service ? Eh bien, oui, s'il y a quelque chose que...
Vaike : Préciséement. J'ai arrêté de les espionner mais ces filles méritent une bonne leçon... Personne ne se manque impunément du champion ! Tu es stratège, alors planifie ma vengeance, d'accord ?
Daraen : Est-ce que tu crois vraiment que je vais faire ça à mes sœurs d'armes ?!
Soutien S :
Vaike : Où est-ce qu'il a bien pu passer ? Si je ne le trouve pas très vite...
Daraen : Quel est le problème, Vaike ? Tu as perdu quelque chose ?
Vaike : Ouah ! Daraen ! Tu n'es jamais très loin, pas vrai ?! Oui, j'ai perdu quelque chose... C'est un sachet de... d'herbes ! Oui, c'est ça...
Daraen : Dis-moi ce que tu as vraiment perdu et peut-être que je t'aiderai...
Vaike : C'est euh... comment dire ? C'est un objet rond avec un trou au milieu. Et ça brille.
Daraen : Hmm... D'autres caractéristiques, peut-être... ? Vaike ? Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es livide !
Vaike : Ne regarde pas... De... Derrière toi !
Daraen : Oh non... Alors ça veut dire que... AAAAAAH ! ENCORE CE CHEVAL ! LE DESTRIER DE L'ENFER ! AU SECOURS ! SAUVEZ-MOI DE... Tiens ? Il ne charge pas... Il frotte même sa tête contre moi ! On dirait qu'il veut me donner quelque chose !
Vaike : Mais c'est...
Daraen : Un anneau, oui. Un joli anneau brillant... C'est ça que tu cherchais ?
Vaike : Oui.
Daraen : Tu as de la chance de l'avoir retrouvé ! Mais à qui allais-tu l'offrir ? Je ne savais pas que tu avais quelqu'un d'important dans ta vie ! Tu aurais pu m'en parler.
Vaike : En fait... c'est pour toi.
Daraen : Moi ?!
Vaike : Oui.
Daraen : Oh !
Vaike : Je me suis rendu compte que ma vie était vraiment plus amusante avec toi. Se cacher dans les fourrés, fuir ce cheval furieux, plaisanter... Je ne me suis pas autant amusé depuis que je suis bambin ! Alors je me suis dit que je ne devais pas laisser passer ma chance !
Daraen : Je ne sais pas quoi te dire, Vaike. Je suis à la fois bouleversée et... ravie. Quand j'ai vu l'anneau et que j'ai cru que tu avais quelqu'un... Ma gorge s'est serrée. Parce que j'ai appris à t'apprécier... Je suis tellement heureuse que cet anneau soit pour moi, au final !
Vaike : Alors, tu es d'accord ? Tu veux bien m'épouser ?! YAHOOOU ! Daraen, je vais embrasser ce cheval pour le remercier !
Daraen : Mais... Tu ne veux pas m'embrasser moi, d'abord ?
Scène étrange : C'est bien la première fois que j'admets que quelqu'un est meilleur que moi ! Est-ce... de l'amour ? Quel choc !
Il est bien marrant celui là. On voit à quel point Vaike est un voyeur.
Prochain que je fais : Vaike/Tharja.
D'ailleurs, le soutien Vaike/Daraen (M) est exactement pareil, a 1 ou 2 phrases près
Vaike/Tharja :
Soutien C :
Daraen : … ?
Tharja : *soupir* Ah, Daraen...
Vaike : Qu'est-ce que tu fais, Tharja ?
Tharja : Rien qui te regarde.
Vaike : Tu te trompes. Quand un mage noir s'intéresse de trop près à un compagnon... Ça devient mon affaire.
Tharja : Je n'ai pas l'intention de causer du tort à Daraen si ça te préoccupe. Je le trouve seulement fascinant.
Vaike : Ho ho ! Daraen est sacrément beau, c'est vrai.
Tharja : C'est bien la façon de penser d'un homme. Obsédé par l'apparence. Pour moi, Daraen se situe sur un tout autre plan. J'aspire à une attache spirituelle, une fusion des esprits, une âme-sœur.
Vaike : Peut-être qu'on pourrait faire ça toi et moi, fusionner nos esprits ! On m'a dit que j'étais une forte tête.
Tharja : Est-ce que tu comprends ce que ça implique ?
Vaike : Bien sûr. Nos esprits se rencontrent... On se complète. Moi, ça me plaît.
Tharja : … Tu as autant de chances de te lier à mon esprit qu'une amibe.
Vaike : Quoi ?! Qu'a donc Daraen que je n'aie pas ? Je vais le découvrir, foi de Vaike !
Soutien B :
Tharja : J'ai passé un bon moment avec Daraen aujourd'hui... Hé hé hé !
Vaike : Yo, Tharja !
Tharja : Et moi qui étais de bonne humeur... Qu'est-ce que tu veux ? Tu m'espionnes encore ?
Vaike : Non ! Plus maintenant. T'es pas quelqu'un de si mauvais au fond. Je voulais être sûr que t’envoûtes pas Daraen.
Tharja : Si je te surprends encore en train de m'espionner, je te lance une malédiction.
Vaike : Non mais oh ! Je suis pas venu pour me faire menacer !
Tharja : Ce n'est pas une menace. C'est une promesse. N'est-ce-pas ce que tu veux ?
Vaike : Mais... ça va pas la tête ?!
Tharja : Rien ne crée une relation plus intime que d'être maudit par quelqu'un. Le sort établit un lien entre le mage et sa victime, une résonance des esprits. Tu étais si impatient de te lier à moi sur le plan spirituel... N'est-ce-pas l'occasion tant attendue ?
Vaike : Je comprends pas grand-chose à ce que tu racontes ! Mais créer un lien intime avec une jolie fille comme toi, ça doit être marrant.
Tharja : Ne te méprends pas... même si nos esprits peuvent entrer en contact... Il n'y a aucune chance qu'une amibe comme toi puisse comprendre mon âme.
Vaike : En gros, ça veut dire que tu me prends pour un imbécile, hein ?
Tharja : Les preuves t'accablent !
Vaike : Ah ouais ? Eh ben, attends que je lui mette la main dessus, moi, à ce Lépreuve...
Soutien A :
Vaike : Tiens ! En voilà une surprise.
Tharja : Toi ?! N'est-ce-pas l'heure du repas ? Qu'est-ce que tu fais ici ?
Vaike : Et toi, alors, hein ? Tu ne vas pas manger ? Qu'est-ce que tu fais ici, alors ?
Tharja : Cela ne te regarde pas.
Vaike : Sois pas si réticente. Moi, je sais ce que tu fais ici. Tu penses à la bataille d'aujourd'hui ? À tes camarades blessés ? Te blâme pas pour ça. Tu as fait tout ce que tu pouvais.
Tharja : J'aurais pu faire plus.
Vaike : Tu devrais pas tant penser aux morts. Y'a plein de gens qui sont en vie autour de toi ! Tu ferais bien de manger un peu. Tiens, je t'ai rapporté des fruits.
Tharja : Pourquoi... as-tu des fruits sur toi ?
Vaike : Hein ?
Tharja : Tu n'es pas venu ici par hasard. Tu savais que j'étais perturbée et tu m'as suivie !
Vaike : Bah, de toute façon, c'est une bonne chose finalement.
Tharja : Peut-être que tu avais raison...
Vaike : Raison sur quoi ?
Tharja : Je pensais que tu serais incapable de te lier à mon esprit. J'avais peut-être tort.
Vaike : Ah bon ? J'ai bien entendu, là ? Sans blague...
Soutien S :
Tharja : Une aile de chauve-souris... une queue de cochon... et puis...
Vaike : J'espère que c'est pas la recette du dîner ! Mouah ha ha ha ! Non, sérieusement, c'est quoi ?
Tharja : Je concocte un breuvage pour un sortilège.
Vaike : Tiens donc ! Et quel genre de sortilège ?
Tharja : Tu ne le sauras pas.
Vaike : Pourquoi pas ? Tu as l'intention de le lancer sur moi peut-être ?
Tharja : …
Vaike : Quoi ? J'ai mis dans le mille ?! Dis-moi que c'est pas vrai !
Tharja : La malédiction que j'avais prévue... Elle t'est destinée à présent.
Vaike : Quoi ! Jamais !
Tharja : Tu as ébranlé mon âme, Vaike. Cette potion me permettra de ravir ton cœur.
Vaike : Ah, c'est ce genre de potion ? Bah, c'est bien inutile ! Avant que tu me fasses avaler ça, j'ai quelque chose à t'offrir.
Tharja : C'est... un anneau.
Vaike : Tu vois ? T'as pas besoin de sorts ou de magie pour ça, mon cœur est déjà à toi !
Tharja : Très bien... J'accepte ton... offrande.
Vaike : Ha ha ha ! J'en suis ravi.
Vaike/Cordelia :
Soutien C :
Vaike : Chrom ! Hééééé ! CHROOOOOOOM ! Allez... où te caches-tu ?!
Cordelia : Vaike ?
Vaike : Ah ah... ! Trouvé !
Cordelia : Non mais ! J'ai l'air de Chrom, peut-être ?! Et je te prierais de le laisser tranquille...
Vaike : Le laisser tranquille ? Alors que nous sommes les grands rivaux du destin ?!
Cordelia : Le destin n'a rien à voir là-dedans, et Chrom n'a pas besoin de rival. Arrête donc de l'enquiquiner et laisse-le se concentrer sur la guerre.
Vaike : L'enquiquiner ?! Ha ! Il ADORE nos duels ! La preuve, il n'en a refusé aucun.
Cordelia : C'est seulement parce que tu le provoques sans arrêt jusqu'à ce qu'il cède... Écoute, Vaike, si tu tiens vraiment à Chrom, laisse-le respirer un peu.
Vaike : Oh... Je vois... Chrom n'a rien à voir là-dedans... c'est toi que ça dérange !
Cordelia : *soupir* Bon, puisque c'est un duel que tu veux, tu vas l'avoir !
Vaike : Contre... TOI ? Mouah ha ha !
Cordelia : Exact. Si tu veux te mesurer à Chrom, tu devras passer par moi.
Vaike : J'ai compris ! Tu veux m'affaiblir pour réduire mes chances contre Chrom... Mais je suis capable de vous battre tous les deux, même les mains liées ! Eh bien, soit ! Prépare-toi à affronter Vaike le Terrible !
Soutien B :
Vaike : Pff... ! J'avais presque battu Chrom cette fois... J'étais vraiment à deux doigts !
Cordelia : Qu'importe le nombre de défaites, tu n'abandonnes jamais... C'est... admirable. Mais pourquoi t'obstiner à utiliser une hache ? Chrom a l'avantage avec son épée.
Vaike : Ha ! Cette histoire de triangle des armes, ça ne rime à rien ! Si je commence à réfléchir sur le champ de bataille, je perds tous mes moyens ! Je préfère m'en tenir à ce qui me réussit : la force brute et la tête vide !
Cordelia : Tu veux vraiment battre Chrom ?
Vaike : À ton avis ?!
Cordelia : Je t'ai regardé te battre. Ce n'est ni le talent ni la force qui te font défaut... Mais dans ton entêtement tu n'as même pas pris la peine d'apprendre les bases.
Vaike : Quoi ?! Moi, je connais pas les bases ?!
Cordelia : Faire tournoyer sa hache dans tous les sens n'est pas la seule façon de se battre. Si tu le souhaites, je peux te montrer quelques techniques...
Vaike : Tu crois vraiment pouvoir m'aider à battre Chrom... ?
Cordelia : Je peux te fournir les outils. Mais ce sera à toi de t'en servir judicieusement.
Vaike : Eh bien, je n'ai rien à perdre... Allons-y !
Cordelia : Je préfère te prévenir cependant, je ne suis pas tendre avec mes élèves...
Vaike : Ha ! Mais tu n'as jamais eu un élève comme moi !
Soutien A :
Cordelia : Pfiou... On va faire une pause, d'accord ?
Vaike : *halète* Dé... Déjà... ? J'ai encore... de l'énergie... à revendre...
Cordelia : Ahem... Bien sûr... Je n'en doute pas un seul instant... Mais le temps de récupération fait partie de l'entraînement. Alors, faisons une pause.
Vaike : *respire bruyamment* Bon... si tu... insistes... Je vais... m'asseoir... un peu... Waaaah... Je suis exténué...
Cordelia : Je dois avouer, Vaike, que je suis très impressionnée. Je n'aurais jamais cru que tu ferais tant de progrès si rapidement.
Vaike : Et moi donc ! Je n'avais jamais trouvé la patience d'apprendre les bases. Mais je m'amuse avec toi, et j'apprends ce que je n'aurais jamais appris seul. Hmm... Je commence à me demander si ma technique était si optimale...
Cordelia : Eh bien, eh bien... ! Ça ne te ressemble pas de dire ça.
Vaike : Il en faut dans le ventre pour admettre qu'on avait tort... ou du moins y réfléchir.
Cordelia : Je suis dans tous les cas très satisfaite de tes progrès.
Vaike : Hmm... Il y a un truc qui me chiffonne...
Cordelia : Et qu'est-ce donc ?
Vaike : Eh bien, tu sais que Chrom et moi sommes les grands rivaux du destin ? Tu te rends compte qu'avec cet entraînement, je pourrais le blesser ?
Cordelia : Oui, mais en te rendant plus fort, je rends aussi Chrom plus fort. Ce n'est qu'en affrontant de meilleurs adversaires qu'on finit par se surpasser.
Vaike : Tu dois sûrement avoir raison.
Cordelia : Tous les Veilleurs doivent être au maximum de leurs capacités, toi y compris. Ainsi notre entraînement profite en fait au groupe tout entier.
Vaike : Waouh ! Il y en a là-dedans ! Pour sûr, tu n'as rien à envier à Daraen !
Cordelia : Si nous avons tous l'air si intelligents, c'est parce que toi tu utilises rarement ta tête...
Vaike : Héééé... ! Qu'est-ce que...
Cordelia : Tu as repris ton souffle, on dirait ! Reprenons l'entraînement, veux-tu ?
Vaike : Oui, Madame !
Cordelia : Et rappelle-toi, c'est du sérieux ! Je ne te ferai pas de cadeaux !
Vaike : Vas-y à fond, n'aie pas peur ! Je dois vraiment battre Chrom !
Soutien S :
Vaike : Oh oh oh ! Tu as vu ça ?! J'ai gagné un duel contre Chrom ! Bon, il a gagné après, donc techniquement c'est une égalité... Mais quand même !
Cordelia : J'ai vu. C'était un duel épique.
Vaike : Contre une épée, c'était pas simple... mais je m'étais juré qu'un jour je gagnerais ! Et puis... battre Chrom était le seul moyen de percer les défenses de ton cœur !
Cordelia : De... De quoi parles-tu ?!
Vaike : Il est peut-être temps d'arrêter de te fixer sur Chrom. Il y en a d'autres ici.
Cordelia : Je... Je ne vois pas du tout de quoi tu parles ! Et de plus...
Vaike : Et quand je parle d' « autres », je parle bien évidemment de moi ! Pourquoi ne pas enlever ces œillères et regarder un peu de ce côté ?
Cordelia : Je... Je ne suis pas sûre d'avoir bien saisi.
Vaike : Tu es passionnée et je suis passionné ! À nous deux, on ferait des étincelles, ça c'est sûr ! Alors... j'aimerais t'offrir ceci...
Cordelia : Un anneau... ? Vaike, es-tu en train de me demander en mariage ?
Vaike : Je l'ai déjà fait faire sur mesure, tu sais ? Il y a déjà un moment de ça... J'espérais un jour pouvoir détrôner Chrom dans ton cœur. Et je l'espère toujours... Alors qu'en dis-tu ? Est-ce que j'ai une chance ?
Cordelia : Je... Eh bien... C'est à dire... Oui.
Vaike : Vraiment ? Tu veux bien m'épouser ?! Waouh ! C'est vraiment le plus beau jour de toute ma vie !
Cordelia : J'en serais réellement honorée.
Soutiens à venir
Vaike/Miriel
Vaike/Maribelle
Ya quelqu'un qui a mis Emmeryn/MU (en rang S) ?
Vaike/Miriel :
Soutien C :
Vaike : GNAAAH ! HOP ! WAAAAH !
Miriel : Ahem. Aurais-tu la gentillesse de mettre fin à ces bramements ? J'essaie de lire, mais tes perpétuels rauquements noient mes pensées.
Vaike : Ha ha ! Il faut tout donner quand on s'entraîne, sinon ça sert à rien.
Miriel : Mmh... Je présume que cela a du sens. La vive expiration du contenu des poumons donne vigueur aux muscles périphériques.
Vaike : J'ai des muscles terri-sphériques ?!
Miriel : Et les attaques en pivot utilisent la force centrifuge pour générer de la vitesse. Fascinant ! Je suppose que tu as optimisé ta méthode à l'aide de calculs complexes ?
Vaike : Pff, les chèvres cracheront du feu avant que je comprenne un poil de ce que tu racontes.
Miriel : Mais tu as bien dû analyser la dynamique des forces pour achever une telle maîtrise ?
Vaike : J'ai pas besoin de tout ton charabia ! Ma technique, c'est de l'instinct.
Miriel : Époustouflant ! Tu as atteint une technique optimisée sans employer ton raisonnement. Peut-être que je devrais poursuivre l'étude de cet « instinct » que tu as mentionné.
Vaike : La guerre n'a rien de rationnel, ma p'tite dame. Observe-moi la prochaine fois.
Miriel : Certainement.
Soutien B :
Miriel : Ah, Vaike.
Vaike : Salut ! Alors, tu m'as regardé combattre ?
Miriel : Tout à fait ! Tes cris de guerre semblent augmenter l'efficacité de tes coups. Soudain, l'ennemi en vint à baisser sa garde, t'offrant ainsi un avantage. Je ne m'étais pas rendu compte de l'impact psychologique qu'avaient les cris.
Vaike : Bon, super. Mais on parle de MOI, un peu ?
Miriel : J'ai observé tes mouvements en détails, mais pas du point de vue de l'ennemi. Dans un cas pareil, le recours à l'analogie peut rendre de grands services. Imaginons ! Donc, si nous partons du principe que tu es la Terre, et l'ennemi le Soleil...
Vaike : Ouah, minute ! Je préfère être le Soleil !
Miriel : Le Soleil ne tourne pas autour de la Terre. C'est la Terre qui gravite. Tout du moins, c'est ce qui était écrit dans les livres de maman... Cela reste à prouver.
Vaike : T'es sûre que c'est pas ta tête qui tourne ? Le sol m'a bien l'air immobile.
Miriel : Hélas, ce mouvement est imperceptible, ce qui rend la théorie problématique.
Vaike : Bref, admettons. Le sol tourne... Comme quand je balance ma hache ?
Miriel : Oui. C'est ce qui engendre la force centrifuge dont nous parlions l'autre fois. Je suis contente d'avoir eu cette discussion. Cela m'a aidée à éclaircir mes pensées. Acceptes-tu que nous poursuivions cette accointance ? Dans l'intérêt de la science...
Vaike : Tu veux dire, comme amis ? Pourquoi pas... Nous avons tant de choses en commun !
Soutien A :
Vaike : Ma p'tite dame, t'as plus de méninges dans le gros orteil que moi dans ma caboche... Alors, pourquoi moi ? Tes copains grosses têtes s'y connaissent en force sans trifuje.
Miriel : Certes, mais toi, tu possèdes quelque chose que je n'ai pas : l'instinct. Je tire de nombreux enseignements de nos entretiens. C'est très enrichissant.
Vaike : Eh bien, je pense que moi aussi, ça me plaît bien. Même si je comprends que la moitié. Au fait, ton gros cerveau, il pense à quoi aujourd'hui ?
Miriel : Aux liens.
Vaike : Hein ?
Miriel : Il n'y a rien de plus complexe et digne d'analyse que le cœur humain. De même pour les liens d'amitié qui se nouent, spontanément, entre connaissances. D'où viennent donc ces liens ? Comment nous modèlent-ils et nous transforment-ils ?
Vaike : Euh, c'est à moi que tu demandes ? Je dirais que ça se fait tout seul... C'est comme... quand tu te bats au côté de quelqu'un, tu commences à mieux l'aimer ! Et nous deux, tiens ! On commence à mieux s'apprécier, hein ? Je te vois comme une amie, et toi, pareil pour moi... Non ?
Miriel : Indiscutablement, j'apprécie ta coopération comme sujet d'observation...
Vaike : D'accord, mais... C'est pas ce que je voulais dire. Pour quelqu'un de si savant, t'es pas toujours très fine... Hé, j'ai une idée ! Et si on sortait un peu, tous les deux ?
Miriel : Sortir ? Où ? Pour faire quoi ?
Vaike : On pourrait se promener en ville, aller faire un tour à la taverne, bavarder un peu... C'est comme ça qu'on crée des liens. C'est bien ce qui t'intéresse, non ?
Miriel : Cela m'échappe. Se promener en ville est sensé avoir un impact sur nos relations ? Enfin, je suis toujours partante pour une expérimentation. Ton instinct a peut-être encore des choses à m'apprendre.
Vaike : Alors, ça marche ? Tu veux bien ?
Miriel : Oui. D'ailleurs, cette histoire de taverne m'intéresse...
Soutien S :
Vaike : Salut Miriel.
Miriel : Ah Vaike, cher ami ! Bonjour, mon ami.
Vaike : Euh, pas la peine de m'appeler « ami » à tout bout de champ. Je suis au courant. Ce qui est bien avec les amis, c'est qu'on peut adopter un ton décontracté, ensemble.
Miriel : Ah, je vois. Je dois avouer que la familiarité ne me vient pas naturellement...
Vaike : Mais tu rougis ? Ne me dis pas que tu deviens timide, tout d'un coup !
Miriel : Timide, moi ? Mais non ! Je n'ai pas... Bon, d'accord, peut-être... un petit peu...
Vaike : Tout va bien ? Je t'ai jamais vue aussi peu bavarde.
Miriel : Euh, oui... C'est juste que... Depuis notre visite à la taverne, j'ai perdu l'appétit. J'ai d'abord mis en cause le pâté de buse, mais en fait, il s'agit de tout autre chose. Quand je pense à toi, je ressens... comme une contraction... Ici, dans mon thorax. Est-ce là l'amitié ?
Vaike : Euh... En fait, ce que tu ressens est le signe de quelque chose de bien plus sérieux.
Miriel : Misère ! C'est une maladie, je le savais ! Est-ce funeste ? Y a-t-il un remède ? J’espère que tu réalises à quel point il est frustrant de t'avoir toi comme consultant !
Vaike : Euh, tu aurais pu formuler cela un peu plus gracieusement. C'est pas grave... Ce que tu ressens, c'est de l'amour ! Tu es tombée amoureuse de moi !
Miriel : Bonté divine ! C'est fascinant ! Je pensais étudier l'amitié, et me voilà en mesure d'observer l'amour en personne. C'est une occasion à ne pas manquer ! Tu veux bien m'aider dans mes recherches ?
Vaike : Eh bien, Miriel, en toute honnêteté... Je t'aime bien, aussi. Je t'aime... beaucoup. Si ces recherches nous permettent de passer plus de temps ensemble, j'en suis ! Que penses-tu d'une... union ?
Miriel : Tu proposes une relation conjugale ? Une alliance matrimoniale ? Bref, un mariage ? Eh bien, je suppose que cela serait une fascinante expérience !
Vaike : Je vais simplement supposer que cela veut dire oui ! Qu'est-ce qu'on attend ? Allons trouver une alliance !
Miriel : Ah, l'alliance. Est-ce un talisman qui évoque les liens de la passion ? Ou bien un symbole des droits qu'a l'époux sur sa femme et ses possessions ?
Vaike : Oh, c'est juste un anneau ! Ça veut dire que je promets d'être un bon mari, de t'aimer et te respecter, bla bla bla. C'est pour faire officiel !
Miriel : Un contrat sous pli cacheté, fait devant témoins, ne serait-il pas plus approprié ?
Vaike : Argh ! C'est juste une tradition, tu veux ? Pour se marier, il faut une alliance !
Miriel : Comme c'est étrange...
Vaike/Maribelle :
Soutien C :
Maribelle : Quel malheur...
Vaike : Oh oh. On broie du noir par ici ? Trop de soucis ? Je ne supporte pas de voir une demoiselle froncer à ce point les sourcils !
Maribelle : Bonjour, Vaike...
Vaike : Ouh là ! Pas de cinglante répartie ? Toi qui d'habitude me lances toujours une pique ? Tu as donc VRAIMENT des ennuis !
Maribelle : ...
Vaike : Allez, Maribelle, dis-moi tout.
Maribelle : Vaike ? Suis-je... une snob ?
Vaike : Euh... Je m'attendais pas à cette question-là. D'ailleurs, ça serait pas un peu trop tard pour y penser ?
Maribelle : Ah ! Je le savais ! Je suis bien une snob ! J'ai beaucoup réfléchi à mon comportement ces derniers temps... Et vous savez quoi ? Je suis une snob ! Ma fierté, ma vanité, et mon ego démesuré sont inexcusables !
Vaike : Ouah, minute, papillon ! Pas de conclusions hâtives ! Je t'accorde que quand tu as débarqué, tu ne nous accordais même pas un regard...
Maribelle : Il faut dire que vous autres étiez fort rustres, avec votre odeur de bas-quartiers.
Vaike : Ça y est, tu recommences ! Juste quand je commençais à te voir d'un meilleur œil...
Maribelle : Vraiment ?
Vaike : C'est la première fois que je t'entends te remettre en question. Comme un bêta, je pensais que tu voulais améliorer tes manières. M'enfin, je suppose qu'une tigresse ne se défait pas de ses rayures en un jour !
Maribelle : Je doute fort que ma haute naissance vous permette de me critiquer ainsi, Monsieur !
Vaike : Ouah ! La tigresse n'a pas perdu ses griffes !
Soutien B :
Vaike : Ha ! La chance est avec moi, aujourd'hui ! Voilà deux belles pommes bien dodues !
Maribelle : Vaike ? M'accorderiez-vous un instant ?
Vaike : Mais bien sûr. Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?
Maribelle : On dit que Chrom a perdu son dessert à la suite d'un jeu auquel vous avez pris part. C'est inacceptable ! En ces temps funestes, le pari est un vice des plus honteux !
Vaike : Quoi ? J'ai gagné cette pomme à la régulière ! Je n'y vois pas de honte.
Maribelle : Il suffit ! Cela vous amuse, mais ce n'est pas décent. Donnez-moi cette pomme !
Vaike : Ha ! Si tu veux cette pomme, faudra la gagner aux dés, tout comme moi !
Maribelle : Vous voudriez que je gagne aux dés pour prouver l'immoralité des jeux d'argent ? Il me semble que vous n'avez vraiment rien compris.
Vaike : Bon, d'accord... Si Madame est trop vieux jeu pour jouer aux dés avec ce rustre-ci...
Maribelle : Je ne suis pas vieill... vieu jeu. Oh, et zut ! Donnez-moi ces dés.
Vaike : Ha ! Voilà qui est mieux ! Mais d'abord, faudrait peut-être me dire votre mise.
Maribelle : Peu importe ! Disons que je ferais tout ce que vous désirez.
Vaike : Hein ?
Maribelle : Le bien et la vertu l'emportent toujours ! Je n'ai aucun doute quant à l'issue du pari.
Vaike : C'est ton premier pari, n'est-ce-pas ?
Soutien A :
Vaike : Hé, Maribelle ? Tu veux bien donner ça à Chrom ?
Maribelle : Une pomme ? J'ai pourtant perdu notre petit jeu.
Vaike : Je sais, c'est bien pour ça que tu as dû me rejoindre dans une vulgaire taverne. Notre pari est réglé. C'est juste que j'ai changé d'avis. T'inquiète, elle est fraîche ! Je suis allé la chercher hier, monnaie sonnante et tout ça.
Maribelle : Dois-je en conclure que vous avez renoncé à votre conduite immorale ?
Vaike : Eh bien, je n'irais pas aussi loin... Demain est un autre jour !
Maribelle : Admettons. En tout cas, ce fut intéressant d'aller voire avec le peuple. Surprenant ! Et en plus, j'ai même une nouvelle pomme ! Si perdre était toujours si agréable...
Vaike : Ça t'a vraiment pas gênée d'aller t'encanailler ainsi ?
Maribelle : Au contraire ! C'était une formidable expérience ! Les gens du peuple sont très sympathiques. Et en peu de temps, on oublie les odeurs.
Vaike : Ah, d'accord... À la base, je pensais te donner une bonne leçon... Mais après dix minutes et quelques bières, tout le monde s'est entiché de toi ! Peut-être que t'es pas si snob que ça, au final.
Maribelle : Qui sait ? D'ailleurs, je tiens absolument à retourner là-bas ! Promettez-moi, Vaike !
Vaike : Euh, pour sûr. Pas de problème !
Maribelle : Magnifique ! Affaire conclue ! Maintenant, il faut que j'aille donner sa pomme à Chrom.
Vaike : Un champion ne se trompe pas souvent, et pourtant, cette fois... J'ai peut-être mal jugé cette femme...
Soutien S :
Maribelle : Échec et mat !
Vaike : Oh non ! La barbe ! Encore ? Ces jeux d'aristos me donnent un de ces mal de crâne !
Maribelle : De grâce, Vaike. Vos caprices sont si peu séduisants... Encore un peu de tisane ?
Vaike : Oh, euh, pardon... Mademoiselle. De la tisane ? V... Volontiers.
Maribelle : Oh, arrêtez de boire comme un templier ! Ralentissez, et prenez le temps de savourer. Ne m'avez vous pas promis d'apprendre quelques manières ?
Vaike : C'était à peu près ça, oui... Si tu arrives à t'entendre avec les roturiers, je peux faire la même chose avec les nobles.
Maribelle : J'admire votre engagement. Et maintenant, voyons comment vous faire honorer ce pari... Mmh...
Vaike : Hé, et si...
Maribelle : Tss ! C'est moi la gagnante, Monsieur. Vous devez faire comme bon me plaît.
Vaike : T'as pris goût aux paris en un rien de temps, dis donc...
Maribelle : Non pas ! Il n'y a pari que lorsqu'on met de l'argent ou des richesses en jeu. À ce propos, et si vous me montriez ce que vous me cachez depuis un certain temps ?
Vaike : Qu... Comment ? Cette broutille ? Ce n'est rien du tout...
Maribelle : C'est un anneau, n'est-ce-pas ?
Vaike : Euh, oui... C'est un anneau que je me suis procuré... Rien que pour toi, Mademoiselle. T'as pas la langue dans ta poche, mais au moins, on ne s'ennuie jamais avec toi ! Et moi, j'aime pas m'ennuyer... Donc, je me disais que peut-être...
Maribelle : Oh, je vois. Eh bien, Vaike, voilà ma requète en ce qui concerne notre pari...
Vaike : Oui... ?
Maribelle : Si nous nous marions, il vous faudra prendre bien soin de moi et me rendre heureuse !
Vaike : Avec plaisir, Mademoiselle ! Promis, juré ! Sur la tête de ma hache !
Soutiens à venir
Vaike/Brady
Daraen(homme)/Linfan(femme)
fais plutôt emmeryn MU
Si je l'avais, je l'aurais fait. Malheureusement, je ne l'ai pas. Donc demande à quelqu'un d'autre.
Si je m'étais pas marié par erreur , je l'aurais fait.
Dans ma 4ème partie (tu peux facile attendre 1 mois , pour le moment , je teste toutes les épouses.)
Demande sur le blabla, peut être que quelqu'un l'a fait.
Ou attends un peu et tu auras peut-être une surprise. Mais sois pas trop optimiste non plus.
Tu as de la chance, le Père Noël est en avance cette année. Par contre, il a oublié le soutien S en Laponie. Il risque donc de te le ramener une autre fois. Enfin, c'est pas grave, tu l'auras quand même en partie.